Une véritable cabale médiatique, économique et politique s’est abattue sur Génération identitaire, ces jeunes militants européens qui ont entrepris de récolter des fonds destinés à financer une embarcation permettant d’empêcher les navires de migrants d’accoster en Europe tout en les redirigeant (et non pas en les coulant comme cela a pu être lu ici ou là) vers leur destination d’origine.
Ainsi, après que la banque luxembourgeoise Paypal ait plié sous la pression des groupes de gauche et d’extrême gauche – allègrement relayés par la presse subventionnée – en fermant le compte destiné à la récolte de fonds, c’est désormais le Crédit Mutuel qui a décidé de clôturer le compte, sous deux mois : « Le Crédit Mutuel a été récemment interpellé à propos d’un compte détenu par une association dénommée ‘Génération Identitaire’. Celle-ci communique ses coordonnées bancaires pour des appels à dons afin de financer ses activités. Lorsqu’il a pris connaissance des activités de cette association, le Crédit Mutuel a pris la décision de dénoncer ce compte sous préavis de 2 mois conformément aux dispositions de l’article L312-1-1 du Code monétaire et financier. ».
Le Crédit Mutuel n’empêchera de toute façon pas l’association de récolter des fonds, en vertu du « droit au compte » que toute personne physique et morale possède en France en vertu de la loi (article L312-1 du code monétaire et financier) qui « prévoit un droit au compte pour toute personne domiciliée en France. Ce droit s’applique aux particuliers, mais concerne aussi les entreprises, les associations, etc».
Hormis le média russe Sputnik, qui a interviewé Pierre Larti, responsable de Génération identitaire, ce fut donc le défilé de titres engagés : le journal d’Etat France 24 titre ainsi : « Génération Identitaire a lancé un triste financement participatif pour « défendre l’Europe » par la mer ».
Rue89 et l’Obs titrent : « Collecte anti-réfugiés : PayPal a (enfin !) gelé le compte des identitaires ». Et Ouest-France :« Les extrémistes anti-migrants privés de cagnotte ».
Menant un travail entièrement à charge, la presse subventionnée a « omis » de mentionner les raisons qui ont poussé ces jeunes militants – dont certains sont aujourd’hui assassinés économiquement et socialement après des reportages à charge à la télévision – à mener cette opération. Pourtant, un tour sur le site les-identitaires.com permet de lire une explication, claire, nette et précise au sujet de cette opération, explication fournie par Clément Galant, membre de Génération identitaire.
La voici ci-dessous :
Au début du mois de mai, des identitaires de toute l’Europe ont mené une opération à Catane en Sicile, baptisée DEFEND EUROPE. Elle marque le début d’une campagne qui aura lieu cet été et aura pour but de confronter les ONG actives en mer Méditerranée pour soi-disant y sauver des « migrants ». Évidemment, des opérations de pression ont été mises en place par tout ce que nos pays comptent de bonnes consciences. En les accusant de vouloir causer des morts en mer, ils ont tenté de salir les militants de Génération Identitaire et sont même parvenus à faire geler le compte PayPal utilisé pour récolter des fonds en soutien à l’opération.
Or, ce sont les ONG qui mènent des activités illégales en collaborant avec les mafias des passeurs,comme l’ont révélé de récents articles. Pire, le New York Times a récemment mis en lumière le fait que l’activité des ONG renforçait le danger pour les « migrants » qui tentaient la traversée.
Les ONG se rapprochent d’année en année des côtes libyennes pour y récupérer des « migrants ». Selon Frontex, l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes : « Les migrants et les réfugiés – encouragés par les histoires de ceux qui ont réussi la traversée – tentent des traversées dangereuses depuis qu’ils sont au courant de cette pratique et comptent sur l’assistance humanitaire pour être amenés en Europe. »
En clair, l’activité des ONG crée un appel d’air qui pousse des « migrants » toujours plus nombreux à tenter la traversée sur des embarcations de plus en plus précaires. Inévitablement, le nombre de morts en mer augmente.
La générosité affichée et l’humanisme en bandoulière des ONG ne suffisent plus à masquer les conséquences criminelles de leurs actions. En Australie, une politique ferme en matière d’immigration a permis de mettre fin aux morts en mer. Entre 2006 et 2013, lorsque la gauche était au pouvoir, plus de 50 000 personnes ont tenté la traversée, ce qui a coûté la vie à 1 200 d’entre elles. Depuis la prise du pouvoir par le conservateur Tony Abbott et la mise en place de l’opération NO WAY, plus une seule embarcation n’a atteint les côtes australiennes et plus un seul « migrant » ne s’est noyé en mer.
Cet exemple montre que non seulement cette politique est réaliste mais également humanitaire. Certes, le rêve des ONG de rendre l’Europe encore plus multiethnique et plus multiculturelle devra être abandonné, mais c’est à ce prix que des vies seront sauvées en mer. Nul doute que si elles sont sincèrement humanistes, elles finiront par le comprendre.
Nous, nous l’avons bien compris et nous mènerons campagne pour que cessent les activités criminelles des ONG en Méditerranée.
Vous pouvez soutenir la campagne DEFEND EUROPE ici.
Clément Galant
Crédit photo : DR
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