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Depuis plusieurs jours, l’équipage du C-Star est bloqué par le gouvernement de Malte, qui refuse que l’équipe « Defend Europe » qui a terminé sa mission rentre chez elle , ce qui est évidemment totalement illégal contre des citoyens européens. Le gouvernement de l’île bloque également tout ravitaillement du bateau.
« Aujourd’hui, des maltais ont violé l’embargo de leur gouvernement et apporté de l’eau et des vivres à l’équipage du C-Star. Nous remercions les patriotes maltais qui ont collecté ces biens et pris le risque de nous venir en aide. Cet acte courageux montre que la solidarité entre patriotes et le courage sont plus forts que le pouvoir de l’argent et les mensonges des médias. Les actes illégaux et inhumains des politiciens maltais, qui non seulement interdisent à des européens de rentrer chez eux, mais veulent même empêcher un équipage de seize personnes de se ravitailler en eau, créent un tollé international. Nous invitons tous les patriotes maltais à montrer leur mécontentement envers les décisions de leurs politiciens et à suivre l’exemple de ceux qui nous ont aidés! Nous avons jeté l’ancre à Hurd Bank, à quelques miles à l’ouest de La Valetta. Que vous vouliez nous apporter de l’eau et de la nourriture, ou simplement nous dire bonjour, nous serons ravis de vous recevoir ! »
BREIZATAO – ETREBROADEL (23/08/2017) Lors de son meeting de Phoenix (Arizona), le Président Donald Trump a dénoncé avec vigueur l’organisation terroriste communiste « Antifa » pour les violences qu’elle commet depuis un an aux USA.
« Ils ont des masques, des barres de fer, ils ont tout : les « Antifas » ! » a tonné le chef de l’état le plus puissant de la planète.
L’organisation, fondée par les communistes pro-soviétiques en Allemagne, s’illustre depuis longtemps en Europe – ainsi qu’en France et en Bretagne – où elle bénéficie de la protection des autorités et des partis de gauche institutionnels qui s’en servent comme milices de rue.
Depuis la campagne de Donald Trump, elle tente de s’en prendre violemment aux meeting de M. Trump. Des troubles ont encore eu lieu à l’initiative des « antifas » à Phoenix, où ils s’en sont pris à la police.
Le commandant des troupes confédérées était avant tout un grand militaire, vénéré par ses soldats. Mais en tant que chef des armées des Etats esclavagistes durant la guerre de Sécession (1861-1865), il est aujourd'hui devenu un symbole bien encombrant.
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Chevelure abondante, barbe blanche bien taillée et œil bleu azur fixant l'horizon (ou l'ennemi qui s'avance). Ainsi nous est transmise depuis le XIXe siècle l'image du général Robert Edward Lee (1807-1870), général en chef des armées confédérées durant la guerre de Sécession, devenu une icône sudiste.
Et c'est d'ailleurs le déboulonnage d'une de ses statues qui a servi de prétexte au meurtrier rassemblement de militants d'extrême droite à Charlottesville (Virginie, Etats-Unis), le 12 août 2017. L'un d'eux a en effet foncé en voiture sur la foule de contre-manifestants, tuant une jeune femme de 32 ans, Heather Heyer, et faisant vingt blessés. Mais qui était au juste ce général récupéré par le Ku Klux Klan, par des néo-nazis et des suprémacistes de toutes obédiences ? Qu'en disent les historiens ?
"Un personnage écrasant de l'histoire américaine"
"C'est un personnage écrasant de l'histoire américaine, considéré comme un des meilleurs généraux de son temps", résume à franceinfo Vincent Bernard, l'auteur de la seule biographie en français du général Lee (Robert E. Lee, éd. Perrin, 2014). "Une icône absolue dans le Sud restée, malgré sa défaite, une figure emblématique de la Confédération, renchérit l'historien Farid Ameur, qui a signé La guerre de Sécession aux éditions PUF (2013). Il incarne le gentleman sudiste dans toute sa splendeur."
Issu d'une riche famille virginienne, le jeune homme se destine très tôt au métier des armes. Il montre rapidement ses aptitudes et sort second de l'académie militaire de West Point, en 1829. "Mais c'est lors de la guerre contre le Mexique (1846-1848) qu'il va faire ses preuves, raconte Farid Ameur. Ce soldat dans l'âme, d'un sang-froid incroyable, qui ne boit pas, ne trompe pas sa femme et applique un code très virginien de l'honneur et du courage, va faire l'admiration de tous."
"Il ne se voyait pas faire la guerre à ses voisins"
Pour ce natif de Virginie qui s'élève sans heurts dans la carrière militaire, le vrai coup de tonnerre éclate début 1861. Les premiers Etats du Sud, le Mississippi, la Floride, l'Alabama, la Louisiane, la Géorgie, la Caroline du Sud, font sécession. "A ce moment-là, le général Lee est reconnu comme le meilleur officier de l'armée régulière, poursuit Farid Ameur. Le président des Etats-Unis, Abraham Lincoln, lui propose de prendre la tête de l'armée de l'Union."
Lee hésite. "Sa famille est tiraillée au moment de la Sécession, explique Vincent Bernard. Il faut se souvenir que c'est un pays encore en construction, pas un Etat-nation. Les fidélités sont partagées, d'autant que sa femme descend quand même, on ne le souligne pas assez, du premier président des Etats-Unis, George Washington.". Mais la sécession de son état natal, la Virginie, fait pencher la balance. "Par loyauté, Lee offre son épée aux séparatistes. Il ne se voyait pas faire la guerre à ses voisins", analyse Farid Ameur.
Repoussé par les Nordistes dans un premier temps, le général Lee prouve sa valeur au printemps suivant. A la tête des armées de la Virginie du Nord, il franchit le fleuve Potomac et tient la dragée haute à une armée nordiste supérieure en nombre et en armement.
"Il inspire une confiance totale à ses troupes"
La légende du général Lee naît-elle à ce moment-là ? "On l'a surnommé 'l'homme de marbre', l'homme parfait, impassible, ne trahissant jamais ses émotions. Il inspire une confiance totale à ses troupes", affirme l'historien. Ses troupes le vénèrent "au point que 15 000 fantassins contournent sur la pointe des pieds l'endroit où il dort pour ne pas le réveiller". Vincent Bernard confirme cette fascination, qu'il explique ainsi : "Lee prêchait par l'exemple, restant avec ses troupes à Noël au lieu de rentrer chez lui, comme il pouvait le faire, ce qui explique la dévotion dont il faisait l'objet."
Ses soldats le suivent donc jusqu'à la défaite ultime. Car le vent tourne. Après les premiers succès et surtout des victoires à la Pyrrhus, très coûteuses en hommes, Robert Lee lance, début juillet 1863, une attaque frontale contre les troupes de l'Union lors de la bataille de Gettysburg. L'offensive tourne au carnage (quelque 8 000 morts, 30 000 blessés). Certes, il réussit à repousser l'échéance de la défaite et à poursuivre son duel avec le général Grant, qui commande les armées de l'Union. Mais pour combien de temps ? A l'été 1864, la grande ville sudiste d'Atlanta (Géorgie) tombe. L'armée confédérée est épuisée et Lee doit choisir : soit se retrancher et prendre la tête d'une guérilla, soit s'avouer vaincu. Il aurait préféré "souffrir mille morts que de se rendre, mais finit par le faire", souligne Farid Ameur, avant de dépeindre la scène finale de la capitulation, en avril 1865, à Appomattox (Virginie). "Lee arrive sanglé dans son grand uniforme, en avance, impassible. En face, le général Grant, en retard et la vareuse mal boutonnée, contient mal son émotion. Lequel des deux se rend à l'autre ?"
"Un général à l'ancienne"
L'issue aurait-elle pu être différente, alors qu'aujourd'hui, une polémique (relayée par le Washington Post) surgit, aux Etats-Unis, sur les talents de stratège du général vaincu ? "C'était un général, estime Vincent Bernard, qui mène une guerre à l'anciennecontre Grant, lequel est un réaliste qui va employer tous les moyens et qui a derrière lui la puissance économique et démographique du Nord."
"Il manquait à Lee le sens de la stratégie, qui permettait de penser la guerre dans sa globalité, poursuit Vincent Bernard. Grant était le meilleur stratège, un précurseur des guerres modernes, et Lee, le meilleur tacticien, le dernier héritier des guerres napoléoniennes."
Un propriétaire sudiste, donc esclavagiste
Voilà pour le soldat. Qu'en est-il de l'homme privé, du propriétaire terrien de Virginie ? En 1831, jeune officier, il épouse une descendante de George Washington. Ils auront sept enfants. "Quand il n'est pas en campagne militaire, il vit dans la somptueuse demeure d'Arlington, une maison à colonnades, comme dans Autant en emporte le vent", dépeint Farid Ameur.Confisquée dès 1861 par le gouvernement fédéral des Etats-Unis, cette propriété abrite désormais le cimetière national où reposent les anciens combattants américains et le président assassiné John Fitzgerald Kennedy.
Comme tous les riches propriétaires sudistes, Robert Lee possédait des esclaves. Dans les faits, passionné avant tout par sa carrière militaire, il a surtout, pendant trois décennies, évité de s'en occuper, les voyant comme une source d'ennuis. Il les louait volontiers à d'autres propriétaires terriens, d'où la difficulté à évaluer sa pratique esclavagiste.
Le magazine The Atlantic (article en anglais) rapporte toutefois une anecdote accablante, en s'appuyant sur les recherches de l'historienne américaine Elisabeth Pryor. En 1859, le général avait hérité de 70 esclaves à la mort de son beau-père. Celui-ci souhaitait que ses esclaves soient affranchis, tout en laissant à Lee, son exécuteur testamentaire, le soin des modalités. Mais au lieu de les libérer immédiatement, comme s'y attendaient les esclaves, le militaire leur a annoncé qu'ils devaient attendre cinq ans, et a fait fouetter ceux qui s'étaient enfuis. Il a ensuite tenu parole, et les esclaves ont été affranchis.
Lee n'était ni un partisan acharné de l'esclavagisme, ni un quasi-abolitionniste comme le présentent parfois ses thuriféraires en citant une phrase extraite d'une lettre à sa femme : "L'esclavage" est "un mal moral et politique dans n'importe quel pays", écrit Lee dans cette missive du 27 décembre 1856 (donc avant la guerre de Sécession). C'est oublier la suite : "Les Noirs, poursuit-il, sont incommensurablement mieux ici qu’en Afrique, moralement, socialement et physiquement. L’instruction douloureuse qu’ils subissent est nécessaire pour leur éducation et leur race. (...) Leur émancipation résultera plus vite de la douce et unifiante influence du christianisme, plutôt que des orages et des tempêtes de la controverse violente."
"Sur la question, il épousait les préjugés de sa caste et de son époque", remarque Farid Ameur. Le racisme de Lee est partagé par la majorité des Américains blancs de son temps, au Sud et au Nord. "Du côté du Nord,au départ, contextualise Vincent Bernard, on fait la guerre pour l'Union. Le thème de l'émancipation des esclaves n'est venu que dans un second temps : c'est le président Abraham Lincoln qui en a fait un sujet central, contre l'opinion de la majorité de ses concitoyens".
Après sa mort, une icône de la "cause perdue"
Une fois la guerre finie, en 1865, Lee n'a plus que cinq ans à vivre. Dès la reddition, après avoir obtenu des conditions avantageuses pour ses hommes, il appelle les Sudistes à s'élever contre le ressentiment et l'envie de revanche, même s'il déplore "la cause perdue", la défaite. Son message ? "Réintégrons l'Union, il faut faire avec", résume Vincent Bernard. A son enterrement, il n'a voulu ni uniforme, ni drapeau sudistes.
Mais le message a été d'autant plus oublié que le Sud a bâti sa Reconstruction politique sur les lois de ségrégation raciale (il a fallu attendre 1967 pour que la Cour suprême des Etats-Unis interdise les textes racistes légalisant cette ségrégation). Au début du XXe siècle, la symbolique sudiste ressurgit ainsi partout dans les Etats du Sud, et les statues du général Lee se multiplient pour déplorer "la cause perdue", cette défaite des Etats confédérés esclavagistes jamais acceptée.
Ces statues sont construites "avec l'idée de revanche", expose Farid Ameur, avant d'être aujourd'hui "récupérées par le Ku Klux Klan, les fraternités aryennes, les skinheads et autres militants d'extrême droite, tous protégés par le Premier amendement américain : le délit d'opinion n'existe pas." Une récupération que ne méritait pas le général Lee, conclut Vincent Bernard, qui planche désormais sur son adversaire, le général Ulysses Grant.
Quant aux batailles mémorielles, elles ne sont pas près de s'éteindre. La chaîne HBO, rapportent Les Echos, fait en effet travailler les auteurs de la série à succès planétaire "Game of Thrones" sur "Confederate", un projet qui enflamme les réseaux sociaux. Point de départ du scénario de cette uchronie : les Etats du Sud ont gagné la guerre.
Marie-Louise est une Marseillaise de 103 ans. Elle a été cambriolée deux fois en deux semaines, en plein jour, sous ses yeux. Henriette, sa fille de 75 ans, a décidé d'adresser un mot aux cambrioleurs, entre humour et insolence. C'est une information de nos confrères de France Bleu Provence.
Par Nathalie Deumier
Tous les bijoux ont été volés. Ne revenez pas pour la 3ème fois. Il reste la mamie, 103 ans.
La mamie en question a été cambriolée deux fois en deux semaines, dans son appartement du 9ème arrondissement de Marseille. Sa fille réagit avec ses propres moyens. C'est une histoire racontée par nos confrères de France Bleu Provence.
L'agression de personnes âgées à leur domicile est de plus en plus répandue. Les très "courageux" malfaiteurs se font passer pour le plombier, par exemple, entrent dans les logements et dépouillent leur victime. La fille de Marie-Louise réagit et se moque des voleurs. Les boucles d'oreilles dérobées valaient 12€. Un bien piètre butin.
Après les attentats en Catalogne, l'édile de Venise Luigi Brugnaro a déclaré que dans sa ville, une personne poussant le cri d'Allah Akbar serait abattue avant d'avoir fait plus de «quatre pas».
Le maire de Venise n'y va pas par quatre chemins. Un journaliste lui demandant ce qui se passerait si quelqu'un venait à crier «Allah Akbar» sur la place Saint-Marc, Luigi Brugnaro a répondu du tac au tac : «Il fera quatre pas et nous l'abattrons», rapporte le quotidien italien La Repubblicale 22 août 2017.
«Parlons clairement : l'angélisme, c'est terminé», a-t-il ajouté, soulignant que, selon lui, dans le contexte d'intense menace terroriste en Europe, le cri prisé des djihadistes s'assimilait à une déclaration de guerre. «Nous nous défendons», a encore argumenté le maire de droite, qui participait à une conférence à Rimini, sur la côte adriatique.
s'agissant de la crise migratoire, Luigi Brugnaro n'a pas manqué de faire le lien entre sécurité et arrivée de migrants en provenance de Libye. «Nous devons faire un blocus humanitaire [...] en positionnant nos navires de guerre à 13 milles des côtes libyennes», a plaidé le maire de Venise. «Nous devons porter secours à tous les migrants, puis réexpédier chez eux ceux qui n'ont pas le droit de rester [en Italie]».
A l'approche de la 74e édition du festival de Venise, qui doit débuter le 30 août prochain, l'élu a pris des mesures supplémentaires afin d'assurer la sécurité du public, «contrairement à Barcelone, où ils n’ont pas installé de protections, nous restons sur nos gardes», déplore l'intéressé.
Dans l'après-midi et la nuit du 17 août, des attentats à Barcelone et Cambrils, en Catalogne, avaient provoqué la mort de 16 personnes et en avaient blessé plusieurs centaines. Le 18 août, deux personnes avaient trouvé la mort dans une attaque au couteau en Finlande, traitée comme un acte terroriste par les autorités du pays.
Une majorité d’Américains pense que les monuments confédérés doivent être conservés dans les lieux publics, selon un sondage Reuters/Ipsos, une opinion qui va à l’encontre des mesures prises dans de nombreuses villes pour les retirer.
Le sondage qui a été effectué du 18 au 21 août a révélé que 54 pour cent des adultes déclarent que les monuments confédérés « devraient rester dans tous les lieux publics », tandis que 27 pour cent ont dit qu’ils « devraient être retirés de tous les lieux publics. » Les 19 pour cent restants ont dit « ne pas savoir ».
Les réponses au sondage font cependant apparaître des clivages marqués en fonction de la race et de l’orientation politique , blancs et républicains étant largement favorables à leur maintien. Démocrates et minorités étaient davantage enclins à soutenir leur retrait.
L’affaire agite les réseaux sociaux depuis quelques heures: une employée d’un club de fitness de Bischheim, l’Orange Bleue, a été mise à pied » dans l’attente d’une sanction disciplinaire plus lourde ». Que reproche-t-on à cette employée? Elle a posté sur sa page Facebook personnelle un commentaire qui n’a pas été apprécié de tous.
Elle constatait qu’à Strasbourg Plage (une zone de mini-plage avec du sable aménagée à proximité de la Médiathèque Malraux), un nombre important de femmes portait le voile. Selon les affirmations de cette publication, il y avait davantage de femmes voilées que de femmes en jupes. Un certain nombre d’internautes, en désaccord avec le contenu de la publication, ont rapidement identifié cette personne comme étant coach à la salle de fitness l’Orange Bleue de Bischheim
La mobilisation en réseau a été extrêmement rapide puisque des commentaires ont émergé de toute la France sur la page Facebook de la salle de sport bischheimoise, avec de nombreuses menaces de boycott. Face à cette pression extrêmement rapide et virale, l’employeur a immédiatement annoncé publiquement (aussi bien sur la page locale de l’enseigne que sur la page nationale) sa mise à pied conservatoire, en attente de sanctions à venir (vraisemblablement un licenciement).
Mis à jour le 23/08/2017 à 23h07 | Publié le 23/08/2017 à 22h07
La police néerlandaise a découvert mercredi soir à Rotterdam une camionnette immatriculée en Espagne et contenant des bouteilles de gaz à proximité d'une salle de concert où le groupe de rock Allah-Las devait se produire. Le spectacle a été annulé à la dernière minute par les forces de l'ordre.
L'information venait de la police espagnole. "Cela a eu lieu après l'arrivée d'informations au sujet d'une possible menace terroriste", a confirmé la police de Rotterdam dans un communiqué. "La police a tellement pris cette information au sérieux qu'après concertation, l'organisation a décidé d'annuler l'événement." Le groupe rock californien Allah-Las devait se produire à 20H30 et les portes de la salle devaient ouvrir à 19H30.
Une enquête a été ouverte, a précisé la police de Rotterdam qui a procédé à une arrestation, celle du conducteur de la camionnette.
Face à la crise des migrants, la parole du pape aurait pu être un aiguillon, pour nous éviter de nous endormir dans une indifférence égoïste sous prétexte de sécurité, et nous rappeler à notre devoir d’humanité.
Diviniser l’immigré au détriment de l’autochtone
Mais hélas ! Ses dernières prises de position relèvent d’avantage de l’appel au suicide collectif que de l’injonction de solidarité. Il n’est plus question d’offrir l’asile à des réfugiés et de les accueillir dignement jusqu’à ce qu’ils puissent retourner chez eux dans des conditions décentes, mais d’aller chercher tous les habitants d’Afrique et du Moyen-Orient pour leur offrir de vivre chez nous sans leur demander le moindre effort d’intégration.
« Le statut migratoire ne devrait pas limiter l’accès à l’assistance sanitaire nationale et aux systèmes de pension »
« En favorisant le regroupement familial – y compris des grands-parents, des frères et sœurs et des petits-enfants – sans jamais le soumettre à des capacités économiques. »
« Intégrer se place sur le plan des opportunités d’enrichissement interculturel général du fait de la présence de migrants et de réfugiés. »
« L’intégration n’est pas une assimilation, qui conduit à supprimer ou à oublier sa propre identité culturelle. »
« Offre de citoyenneté dissociée des capacités économiques et linguistiques »
Dès le début, le ton est donné : « Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté. »
Il ne s’agit pas seulement de faire primer l’aide à la personne humaine sur les intérêts collectifs et les Etats, ni d’exiger solidarité et compassion, mais de diviniser l’immigré au détriment de l’autochtone. Il n’est plus question de rencontre fraternelle, mais de soumission totale de l’un aux intérêts de l’autre.
Qu’on est loin de Kamel Daoud !
Inutiles à forces d’être excessives, ces propositions ont certainement permis à Jorge Bergoglio de se défouler, mais n’aideront personne à mettre en place des solutions viables à la crise migratoire. Il est pourtant urgent de concilier l’aide indispensable aux migrants, avec la protection tout aussi légitime des populations qui les accueillent et de leur civilisation.
Il s’agit certes d’un équilibre difficile, tant sur le plan de l’éthique que de la géostratégie. Mais abandonner cette nécessaire exigence pour se complaire dans une supériorité morale purement théorique est indigne de l’Église. Il y a quelque chose d’un lâche abandon dans ce choix d’un confort intellectuel facile. Et il y a du mépris dans cette injonction faite aux gouvernants d’imposer à leurs peuples la destruction volontaire de leur culture.
Car le pape ne nous appelle plus à tendre la main à nos frères humains dans la détresse, mais à donner les clefs de la maison à des inconnus et à leur confier nos enfants sans prendre la moindre précaution. Ne nous y trompons pas. La dimension économique n’est pas la plus importante dans la question des flux migratoires. Le véritable enjeu est de donner le droit de vote à des millions de personnes dont les valeurs sont radicalement différentes des nôtres, en renonçant du simple fait de leur nombre à accueillir parmi nous des individus, au profit de groupes massifs et constitués.
Qu’on est loin, hélas, de la lucidité et du courage d’un Kamel Daoud ! Écrites après les agressions sexuelles massives de Cologne, ses observations ont pourtant une portée bien plus générale. Il critique aussi bien les « fantasmes d’invasion » que « l’angélisme ». Du côté des immigrés, estime-t-il, « on ne comprend pas encore que l’asile n’est pas seulement avoir des “papiers” mais accepter le contrat social d’une modernité » ; du côté des pays d’accueil, « cela pose le problème des “valeurs” à partager, à imposer, à défendre et à faire comprendre. Cela pose le problème de la responsabilité après l’accueil et qu’il faut assumer ».
Babylone va tomber
Comme l’écrit très justement André Versaille, est-il vraiment si choquant de dire qu’un travail d’initiation à la mentalité européenne est à faire pour les nouveaux arrivants, et que ce travail suppose du temps, des efforts réciproques et de la fermeté de la part des pays d’accueil ?
Les propositions du Pape, si elles étaient appliquées, reviendraient à abolir brutalement les frontières, la distinction entre citoyens et résidents, et à mettre toutes les cultures sur le même plan. Cela peut sembler une utopie de retour à l’ère mythique d’avant Babel, mais dans la réalité cela se traduirait, malheureusement, par un chaos généralisé. A force de relativisme moral et de multiculturalisme, on ne ferait que récréer au sein même de chaque pays les frontières que l’on prétend abolir entre eux. Loin de permettre aux réfugiés de se réfugier où que ce soit, il s’agirait d’importer ce qu’ils tentent de fuir.
Pourtant, « le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. » (Jean 10, 11-13).
Le vicaire du Christ, le successeur du Bon Pasteur, ne devrait-il pas chercher à distinguer les brebis cherchant un refuge des loups déguisés, au lieu d’ouvrir sans distinction la porte de la bergerie ?
Il n’est pas certain que Jorge Bergoglio soit naïf au point d’ignorer tout cela. Certes, sa vision du monde s’est forgée en Amérique du Sud, où la situation est radicalement différente de celle de l’Europe. Il a maintenant plus de 80 ans, et même si rien ne permet de douter de sa vive intelligence, il est peu probable qu’il soit encore capable d’appréhender des situations avec un regard neuf, sans être excessivement influencé par ses expériences passées.
L’Occident connaîtra la paix en acquiesçant à sa propre destruction
Cependant, il y a dans ses déclarations une cohérence profonde, et qui n’a rien de rassurant.
La vision de la crise migratoire par le pape doit être mise en relation avec sa doctrine de la non-violence, maintes fois répétée. Il ne s’agit pas seulement de refuser toute forme de « guerre sainte », toute justification divine du meurtre, mais de s’opposer à toute violence même dans la conduite des nations et des contingences humaines. Pour François « la guerre n’est jamais nécessaire, ni inévitable. » Jamais. Plutôt Munich que la Résistance.
Le projet du pape pour la chrétienté est très clair : « Jésus a tracé la voie de la non-violence, qu’il a parcourue jusqu’au bout, jusqu’à la croix, par laquelle il a réalisé la paix et détruit l’inimitié. »
C’est dit. L’Occident connaîtra la fin des conflits et la paix en acquiesçant à sa propre destruction. La paix dans la mort. Le calme reposant du néant.
Un choix caricatural entre l’égoïsme et le martyr
Oh, bien sûr, pour l’Église la croix n’est que le prélude à la Résurrection. Peut-être François espère-t-il une renaissance miraculeuse de la chrétienté ? Hélas ! Tendre l’autre joue aboutit plus souvent à encourager les agresseurs qu’à les faire réfléchir. Un Occident crucifié ne ferait que mourir, et même si de belles choses finissaient par naître de ses ruines, la souffrance des générations qui vivraient la période d’anarchie préalable n’en serait pas moins grande.
Le pape est dans son rôle lorsqu’il nous rappelle que les enfants des migrants sont avant tout des enfants, aussi innocents que les nôtres. Mais de quel droit ose-t-il nous demander de créer les conditions d’un chaos généralisé et d’y abandonner tous ces enfants, les nôtres comme ceux que nous accueillons ?
On a beaucoup appelé les musulmans à prendre leurs distances face aux excès de leurs croyances. C’est au tour des catholiques de faire preuve d’esprit critique vis-à-vis de leur religion, et de sens des responsabilités. Après deux millénaires d’histoire, de culture, d’errements mais aussi de grandeur, de foisonnement intellectuel et de foi, n’ont-ils vraiment rien d’autre à proposer qu’un choix caricatural entre l’égoïsme et le martyr ?
Une pétition officielle ayant réuni plus de 210 000 signatures, dépassant ainsi le seuil légal lui permettant d’être examinée, demande à l’administration américaine de classer les militants antifascistes comme terroristes.
En quelques jours, plus de 210 000 Américains ont signé une pétition officielle demandant que le mouvement antifasciste soit classé comme groupe terroriste par l’administration américaine.
Le premier amendement de la Constitution américaine garantit en effet le droit de pétition de ses citoyens. À l’heure d’Internet, une plate-forme a été créée afin de faciliter la procédure de sollicitation du gouvernement. Si un texte recueille 100 000 signatures en 30 jours, la Maison-Blanche s’engage à ce qu’il soit soumis aux experts politiques appropriés et à fournir une réponse officielle.
L’auteur de la pétition assure que les antifascistes sont à l’origine « d’actions violentes dans de nombreuses villes » et qu’ils ont « incité au meurtre de plusieurs policiers aux États-Unis ».
« Le terrorisme est défini par l’utilisation de la violence et de l’intimidation afin de servir un objectif politique », poursuit le texte, avant d’appeler le Pentagone à être « cohérent dans ses actions ».
« Comme [le Pentagone] a, avec raison, qualifié Daech de groupe terroriste, il doit déclarer les antifas groupe terroriste, au nom des principes d’intégrité, de moralité, et de sécurité », peut-on lire dans la pétition.
Ce texte paraît quelques jours après les violences de Charlottesville du 12 août en Virginie autour du retrait d’une statue confédérée, ayant entraîné la mort d’une militante antiraciste.
BREIZATAO – ETREBROADEL (22/08/2017) L’Ukraine a fini de retirer la totalité des 1,320 statues du fondateur du totalitarisme bolchevique, Vladimir Lénine-Blank, ainsi que d’autres symboles soviétiques.
Les monuments du chef communiste ont été démantelés dans toutes les villes et villages contrôlés par le gouvernement ukrainien. L’initiative anti-communiste comporte également le changement des noms de rues et de villes, selon une loi votée en mai 2015.
Volodymyr Viatrovych, directeur de l’Institut National du Souvenir, a confirmé que toutes les statues de Lénine-Blank avaient été retirées ainsi que les 1,069 monuments soviétiques existants.
Le nombre de clandestins tentant de traverser la frontière entre le Mexique et les États-Unis a fortement baissé cette année par rapport à l’an dernier, selon l’administration de Donald Trump, qui effectue mardi une visite de terrain dans le sud-ouest du pays.
Selon un responsable du département de la Sécurité intérieure, 126 472 personnes ont été stoppées à la frontière Sud entre le 1er janvier et le 31 juillet, soit une baisse de 46% par rapport à la même période en 2016.
Au total, le nombre d’expulsions des États-Unis a baissé, en raison du ralentissement de l’arrivée de clandestins.
Mais l’administration vante sa nouvelle politique d’arrestations, à l’intérieur du pays, de clandestins ou d’étrangers ayant violé leur statut migratoire. Ces arrestations sont conduites par le service ICE (Immigration and Customs Enforcement). Selon un autre responsable, leur nombre a bondi de 44% sur un an, tandis que les reconduites à la frontière pour cette catégorie ont augmenté de 32%.
« Le message est le suivant : si vous venez ici, vous serez interpellés, arrêtés et expulsés du pays », a insisté le responsable de la Sécurité intérieure lors d’une conférence téléphonique avec la presse.
Donald Trump se rendra mardi dans le secteur de Yuma, dans l’Arizona, pour rencontrer les fonctionnaires chargés de la protection de la frontière. Ce secteur sert d’exemple pour illustrer la façon dont une clôture ou un mur peuvent freiner les passages de clandestins.
À la suite d’une loi du Congrès en 2006, une centaine de kilomètres de mur ont été érigés dans cette zone, faisant chuter de façon spectaculaire les tentatives de traversées. Mais les détracteurs soulignent que les flux clandestins se sont déplacés dans d’autres secteurs de la longue frontière.
Il n’est pas prévu que le président américain se rende sur la frontière, mais il verra dans un hangar un drone Predator, un bateau et un camion de surveillance utilisés par les fonctionnaires de la frontière.
Sa priorité est de construire un mur pour rendre la frontière hermétique, tout en augmentant les moyens techniques et infrastructures. Il a demandé au Congrès une enveloppe budgétaire , qui sera débattue en septembre après la rentrée parlementaire.
J’ai pris la liberté de traduire un texte (voir ici) écrit par un employé de la firme aéronautique US Lockheed Martin qui, dans le cadre de son activité professionnelle, a découvert la réalité de l’inégalité des aptitudes entre les groupes ethno-culturels. Comme vous vous en douterez, une entreprise de cette dimension (voir ici) ne peut pas se permettre de se rouler dans la bauge égalitaire si cela doit lui coûter des dizaines de millions de dollars. Pas de place donc pour l’idéologie antiraciste. Dans cet article, vous allez comprendre que l’islam n’est pas tant une religion qu’une superstructure culturelle et une matrice raciale involutive.
Durant un programme de transition avec des KV-107 et des C-130 avec Lockheed, nous avons découvert que la plupart des stagiaires saoudiens avaient une vision nocturne très limitée, même lors des nuits de pleine lune les plus éclairées.
Leur [les pilotes saoudiens, ndlr] capacité absorption des données était minimale, à l’instar des personnels de maintenance. Certains avaient de faibles mémoires et devaient se faire rappeler constamment des choses qui leur avaient été dites le jour précédent. Un Américain, un Britannique ou n’importe quel autre instructeur occidental s’épuise rapidement. Il a fallu des années aux pilotes musulmans de C-130 avant qu’ils puissent voler dans le noir en toute sécurité et ils demeuraient rétifs à s’éloigner des lumières d’une ville.
Demandez à n’importe quel Marine, personnel de l’US Air Force ou de l’US Army qui a dû entraîner des Irakiens, et tout spécialement des Afghans. L’islam n’est pas seulement une religion, c’est un mode de vie intégral. Il y a encore un ensemble de faits révélateurs au sujet des croyances et traditions ou du mode de vie islamiques : 1400 ans de consanguinité.
Nikolai Sennels est un psychologue danois qui a procédé à des recherches très étendues sur un problème peu connu du monde musulman : les résultats désastreux de la consanguinité musulmanes résultant du mariage entre cousins du premier degré. Cette pratique, qui a été prohibée par la tradition juive et chrétienne depuis l’époque de Moïse, a été validée par Mahomet et a prospéré depuis 50 générations maintenant (1400 ans) dans le monde musulman.
Cette pratique de la consanguinité ne disparaîtra jamais du monde musulman pour la raison simple que Mahomet est l’exemple ultime qui a toute autorité sur tous les sujets, y compris le mariage.
La consanguinité massive dans la culture musulmane pourrait avoir causé des dommages virtuellement irréversibles au socle génétique musulman, notamment des dégâts majeurs sur leur intelligence, leur santé mentale, ou leur santé tout court. Selon Sennels, près de la moitié des musulmans du monde sont consanguins. Au Pakistan, les chiffres approchent les 70%. Même en Angleterre, plus de la moitié des immigrés pakistanais sont mariés à leurs premières cousines. Au Danemark, le nombre d’immigrés pakistanais consanguins se situe à 40%
Les chiffres sont aussi dévastateurs dans d’autres pays musulmans importants : 67% en Arabie Saoudite, 64% en Jordanie et au Koweït, 63% au Soudan, 60% en Irak et 54% aux Émirats Arabes Unis et au Qatar.
Selon la BBC, ces Pakistanais, dont la consanguinité est influencée par la tradition islamique, verraient leur comportement être la cause de la forte probabilité pour leurs familles d’avoir des enfants avec des désordres génétiques récessifs, 13 fois supérieure à la moyenne. Alors que les Pakistanais ne représenteraient que 3% des naissances du Royaume-Uni, ils représentent 33% des enfants avec des problèmes génétiques à la naissance.
Une capacité intellectuelle diminuée est une autre conséquence dévastatrice de la consanguinité dans les mariages musulmans. Selon Sennels, les recherches montrent que les enfants de mariages consanguins perdent de 10 à 16 points de QI et que leurs aptitudes sociales se développent bien plus lentement chez les bébés consanguins. Le risque d’avoir un QI inférieur à 70 – la limite officielle pour être classé comme déficient mental – s’accroît de 400% chez les enfants nés de mariages entre cousins.
Au Danemark, les immigrés non-occidentaux ont 300% de chances de plus d’échouer au test d’intelligence pour pouvoir entrer dans l’armée danoise. Sennels déclare : “La capacité à bénéficier et produire du savoir et de la pensée abstraite est simplement plus basse dans le monde islamique”. Il souligne que le monde arabe ne traduit que 330 livres chaque année, soit 20% de ce que réalise la Grèce seule.
Durant les dernières 1200 années de l’islam, seulement 100 000 livres ont été traduits en arabe, soit ce que traduit l’Espagne chaque année. 7 Turcs sur 10 n’ont jamais lu un livre. Sennels souligne les difficultés que cela engendre pour les musulmans qui cherchent à réussir en Occident. “Un QI plus bas avec une religion qui dénonce la pensée critique, rend certainement plus difficile pour beaucoup de musulmans d’avoir du succès au sein de nos sociétés du savoir de haute technologie”.
Seuls 9 musulmans ont gagné le Prix Nobel et 5 d’entre eux l’ont reçu au titre de “Prix Nobel de la Paix”. Selon le magazine Nature, les pays musulmans produisent seulement 10% de ce que produit en moyenne le monde en matière de recherche scientifique mesurée par article [de revue scientifique] par millions d’habitants.
Au Danemark, les statistiques indiquent que 64% des enfants de parents arabes sont toujours illettrés après 10 ans de scolarité au sein du système danois. Le taux d’abandon des immigrés au sein des lycées danois est deux fois supérieurs à celui des autochtones. L’islam n’est pas, on le voit, qu’une simple offre spirituelle parmi d’autres. C’est un système total qui a produit, en 1400 ans, une formidable entreprise d’involution culturelle et raciale. Involution qui à son tour garantit la permanence de “l’islam-système” dans les territoires qu’il a conquis.
En forme de conclusion, l’on peut dire que si le musulman peut – virtuellement – quitter l’islam, en revanche l’islam ne peut guère quitter le musulman dont il est le produit biologique définitif. Idéologie et race s’unissent en tout solide qui explique l’irréductibilité des atavismes comportementaux des peuples subjugués par “l’islam-système”.
Dans ces conditions, on comprend l’ampleur du désastre induit par l’immigration islamique. Désastre encore amplifié par l’ignorance des sociétés d’accueil qui appuient et encourage la colonisation culturelle.
Cette analyse est fondamentale pour comprendre le succès de cette "religion", pour laquelle deux neurones suffisent (et encore ! ). Cette consanguinité massive depuis 14 siècles a entraîné un véritable type racial musulman, dont les spécialistes, médecins, psychiatres et services sociaux connaissent bien les manifestations : troubles génétiques récessifs, QI inférieurs, mortalité périnatale, malformations, dépression, démence (40% des criminels "fous" au Danemark), baisse des compétences, de la concentration, records des dépenses de santé pour ces populations…etc. Quand les médias et le pouvoir, par lâcheté, n'osent pas désigner le caractère musulman des terroristes, et qu'ils parlent de "personnalités psychopathiques", ils n'ont pas tout à fait tort. Mais ils n'osent pas aller jusqu'au bout de l'analyse ! Un "musulman psychopathe", ça s'appelle un pléonasme !