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République tchèque : une Irlandaise de 35 ans violée collectivement par six touristes algériens dans un hôtel à Prague
21h34Jeudi après-midi, la police a diffusé une vidéo de l’arrestation de six hommes originaires d’Algérie qui sont accusés d’avoir violé une femme de trente-cinq ans dans un hôtel de Prague
L’acte criminel a eu lieu lundi matin dernier. Une touriste d’Irlande, une professeure, était à Prague tard dans la nuit avec ses amis. Après avoir séjourné dans un hôtel du centre-ville, ils se sont dirigés vers une boîte de nuit à proximité.
Là, Irka a rencontré deux jeunes Algériens, ils ont parlé puis sont partis vers 5h30 vraisemblablement en état d’ébriété.
Un Algérien de 22 ans l’a invité dans sa chambre, dans une suite d’un grand hôtel. La femme a accepté l’invitation. Ensuite, la situation a dégénéré.
« La femme ne voulait pas continuer, le suspect a alors commencé à être brutal, agressif », affirment les policiers de Prague.
« Il a commencé à être très violent », a-t-elle dit aux enquêteurs. Il a quitté la chambre puis y est retourné avec des amis. « Ils ont commencé à me violer » dit-elle.
Le jeune homme a amené ses cinq amis avec lesquels il a voyagé à travers plusieurs pays européens. Ils sont arrivés à Prague en bus d’Amsterdam le 31 mars.
Cinq d’entre eux sont des étudiants de familles algériennes bien placées, seul le principal suspect, l’homme qui a ramené l’Irlandaise dans sa suite, travaille dans un aéroport à Paris.
Les six violeurs présumés, âgés entre 19 et 23 ans, encourent jusqu’à 10 ans de prison.
(…)
Merci à kozsj
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Ivre, Jean-Vincent Placé en garde à vue pour insultes racistes, sexistes et outrage à agent
Jean-Vincent Placé le 24 janvier 2017 dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. (image d'illustration)Ex-sénateur de l'Essonne et membre du dernier gouvernement Valls, Jean-Vincent Placé a été interpellé par la BAC à Paris dans la nuit du 4 au 5 avril. Il a été mis en garde à vue pour injures raciales, outrage à agent et violences en état d'ivresse.
L'ancien secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat et à la Simplification et ex-sénateur de l'Essonne Jean-Vincent Placé a été interpellé dans la nuit du 4 au 5 avril en état d’ébriété, selon une information de BFM Paris. Il a dû être conduit au poste en raison d'injures raciales, outrage à agent et violences en état d'ivresse.
Aux alentours de 2h, dans le Quartier latin à Paris, il aurait d'abord importuné une femme d'une vingtaine d'années dans un bar rue Princesse en la saisissant par le bras et en l'insultant de «sale pute qui ne mérite que ça», après avoir refusé sa proposition de danser contre rémunération.
«On n'est pas au Maghreb ici. Je vais te renvoyer en Afrique moi. Tu vas voir !»
Le portier du bar, qui a prévenu la police, a alors dû faire sortir de la salle Jean-Vincent Placé. L'ex-membre du gouvernement de Manuel Valls, alors «fortement alcoolisé et avec un équilibre précaire», aurait copieusement insulté le videur : «On n'est pas au Maghreb ici. Je vais te renvoyer en Afrique moi. Tu vas voir!»
Au cours de son interpellation par la Brigade anti-criminalité (BAC) arrivée sur place, Jean-Vincent Placé les aurait insultés, les traitant de «connards» et de «tocards». L'outrage à agent a été retenu contre lui et il a été placé en garde à vue au commissariat du Ve arrondissement de Paris où il a passé la nuit. Son taux d'alcoolémie s'élevait à 1,16 mg/L d'air. Jean-Vincent Placé a affirmé avoir été agressé par «un individu d'extrême droite» qui lui aurait porté un coup au visage après avoir tenté de l'étrangler. Les policiers n'ont cependant relevé aucune trace sur son visage ou sur sa gorge.
Le 5 avril au matin, il était toujours dans les locaux du commissariat.
Lire aussi : «Le président chinois» : quand Nabilla publie une photo d’elle avec… Jean-Vincent Placé
RT
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Éric Zemmour : « Il n’y a ni droit d’asile ni migrant économique ; il n’y a qu’une invasion des peuples du sud vers le nord qui utilise tous les canaux possibles »
22h14CHRONIQUE – Un sociologue est devenu juré à la Cour nationale du droit d’asile. Il raconte et témoigne.
(…) Dans les vingt années qui ont suivi la signature de la convention de Genève sur le droit d’asile, en 1951, la France a reçu trois cents demandes d’asile par an. Qu’elle acceptait pratiquement toutes. Il s’agissait soit de Sud-Américains fuyant des dictatures militaires, soit d’Européens de l’Est échappant à la tyrannie communiste. Des militants de gauche et des anticommunistes. «De race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-romaine», pour parodier la célèbre formule du général de Gaulle sur le peuple français. Tout change à partir des années 1970. En qualité et en quantité. Les demandes explosent ; on passe à 20.000 à la fin des années 1970, à 60.000 dans les années 1990. En 2016, le chiffre a dépassé le plafond des 100.000! Ils viennent désormais d’Afrique et du Moyen-Orient ; aux familles d’autrefois a succédé un flot dominant d’hommes seuls, pour la plupart musulmans.
(…) Ce ne sont pas des individus qui leur (nous) demandent l’asile, ce sont des peuples entiers. Ils ne nous demandent rien d’ailleurs, ils exigent. Ils ont le langage des victimes parce qu’aujourd’hui le langage de la victime est devenu celui du maître. Notre sociologue se moque avec raison de la tentative des politiques de distinguer entre vrai droit d’asile et migrant économique. Il n’y a ni droit d’asile ni migrant économique ; il n’y a qu’une invasion des peuples du sud vers le nord qui utilise tous les canaux possibles. Smaïn Laacher reconnaît lui-même que ces demandeurs d’asile «ne sont pas arrivés dans leur nouveau pays mais dans un nouveau pays». N’importe lequel.
Les immigrés d’aujourd’hui ne rejoignent plus un pays mais une diaspora ; ils ne veulent plus vivre comme et avec le peuple qu’ils rejoignent mais avec et comme celui qu’ils ont quitté. Ceux qui sont déjà installés – et l’attitude de notre sociologue le prouve à son corps défendant – ne leur ferment plus la porte, de peur qu’ils ne remettent en cause le fragile équilibre de leur propre assimilation – comme le faisaient volontiers leurs lointains prédécesseurs – mais leur ouvrent la porte à deux battants pour qu’ils viennent renforcer la puissance de leur communauté au sein d’une société multiculturelle qui n’a plus de France que le nom.
(…) Smaïn Laacher ne connaît que des individus étrangers menacés qu’il faut protéger ; mais son empathie ne s’étend pas au peuple français, qui aurait pourtant besoin plus que tout autre d’être protégé. Son rêve est de faire de l’Europe une nouvelle Amérique ; mais il ne nous dit pas quels seront les Indiens de ce projet grandiose.
Suivant le discours habituel, notre auteur prétend que notre régime de droit d’asile, que le reste du monde se garde bien d’adopter, est la grandeur des démocraties occidentales. C’est en vérité une plaie béante. Lorsque les conquistadors de Cortés débarquèrent sur leurs superbes chevaux, les Aztèques crurent voir s’accomplir une de leurs légendes prophétisant que leur sauveur arriverait par la mer sur une monture céleste. Cette légende empêcha les Aztèques de se défendre contre leurs envahisseurs. Ils furent vaincus et colonisés. Notre droit d’asile, et plus généralement notre religion des droits de l’homme, c’est notre légende des Aztèques.
Merci à valdorf
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Un ministre belge sous le feu des critiques pour avoir « favorisé » les migrants chrétiens
Theo Francken a fêté à sa façon la belle fête de Pâques – mais ça n’a pas été du goût de tout le monde. Dans un long message publié dimanche sur son compte Twitter, le secrétaire d’État à l’asile et aux migrations s’est félicité de ce que la Belgique ait accueilli, depuis 2015, 903 demandeurs d’asile syriens chrétiens, venus particulièrement des communautés assyriennes de la partie dévastée à l’est du pays.
En 2015, la Belgique avait sauvé 244 chrétiens d’Alep lors d’une opération spéciale initiée par un groupe d’action soutenu par les autorités. Plusieurs autres actions ont ensuite été organisées pour faire venir des réfugiés sans les obliger à parcourir les dangereuses routes migratoires vers l’Europe.
« Je considère qu’il est de mon devoir, dans la limite de nos moyens, de faire un effort pour les chrétiens de Syrie ».
Une déclaration discriminatoire pour certaines ONG qui auraient voulu voir un pareil engouement pour les musulmans de ces mêmes régions. Myria, le centre fédéral de la migration, a été jusqu’à pointer un manque de transparence dans la délivrance des visas humanitaires.
Mais pour le nationaliste flamand Francken, c’est une question, justement, de vulnérabilité. « Dans les zones sous contrôle du gouvernement, les chrétiens sont protégés par l’armée, mais là non plus ils ne sont pas à l’abri d’attentats perpétrés par des musulmans terroristes ». Rappelons à ces ONG que l’Etat islamique est… musulman. Francken a d’ailleurs appelé l’Europe à soutenir le pouvoir égyptien pour qu’il protège les chrétiens coptes « contre la terreur islamiste ». -
JT TVL 05/04/18
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« Invasion migratoire » : amende avec sursis requise contre Dupont-Aignan
18h56Le parquet de Paris a requis aujourd’hui 5.000 euros d’amende avec sursis contre Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, jugé pour provocation à la haine ou à la discrimination pour avoir évoqué une « invasion migratoire ».
Le 17 janvier 2017, le député de l’Essonne, alors candidat à l’élection présidentielle, avait tweeté les propos suivants: « En 2016, les socialistes compensent la baisse de natalité par l’invasion migratoire. Le changement de population, c’est maintenant ! »
Le parquet avait engagé des poursuites après un signalement de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra). M. Dupont-Aignan n’était pas présent devant la 17e chambre du tribunal correctionnel. Ses avocats ont fait valoir son immunité parlementaire, immunité qui selon le parquet et la Licra ne peut pas lui permettre d’échapper aux poursuites dans le cas présent.
« On a un responsable politique de premier plan, candidat déclaré à l’élection présidentielle, qui reprend tranquillement, publiquement, à son compte une théorie complotiste et raciste née dans les tréfonds de l’extrême droite française au début de la décennie précédente« , la thèse du « grand remplacement » de Renaud Camus , a dénoncé le procureur. […]
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L’Autriche veut interdire le port du voile en maternelle et primaire
19h11Le gouvernement autrichien du conservateur Sebastian Kurz, allié au FPÖ, a indiqué aujourd’hui préparer une loi à valeur de « symbole » pour interdire le port du voile aux fillettes au jardin d’enfant et à l’école primaire.
Le projet de texte devrait être finalisé avant l’été, a précisé le ministre de l’Education Heinz Faßmann lors du conseil des ministres, expliquant qu’il voyait dans cette initiative « une mesure symbolique« , indépendamment du nombre d’enfants concernés dans les écoles maternelles et primaires.
L’idée d’interdire le voile dans ces sections avait été lancée ce week-end par le vice-chancelier et dirigeant du FPÖ Heinz-Christian Strache, au nom de la politique d’intégration: les fillettes, « au moins jusqu’à leur dixième année, doivent être protégées » et pouvoir « s’intégrer et évoluer librement« . « Nous voulons que toutes les fillettes aient les même chances en Autriche« , a justifié Sebastian Kurz, 31 ans, sur la radio Ö1, disant vouloir éviter la formation de « sociétés parallèles« . […]
Merci à Livercingetorix
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Louis ALIOT (04/04/18)
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VIDEO - Donald Trump: "Nous voulons des villes sûres pour les Américains, pas pour les criminels"
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Busto Arsizio (Italie) : un Nigérian de 20 ans, détenteur d’un permis de séjour pour des « raisons humanitaires », attaque des passants et des policiers à la machette
21h20Un Nigérian de 20 ans a été arrêté hier par les autorités italiennes dans la ville de Busto Arsizio après avoir menacé plusieurs passants avec une machette et un marteau.
Après plusieurs signalements de passants inquiets après qu’un individu ait été vu en train de déambuler dans une gare armé d’une machette et d’un marteau. Il menaçait les gens qu’il croisait. Les policiers ont exigé au Nigérian de se rendre mais l’assaillant a refusé et a essayé d’attaquer les forces de l’ordre. Les policiers ont heureusement réussi à désarmer et à l’arrêter sans que personne ne soit blessé.
Le migrant africain est arrivé en Italie par bateau il y a deux ans et est actuellement détenteur d’un permis de séjour légal, qu’il a reçu pour des «raisons humanitaires».
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"The Truman show", discours de Renaud Camus à Bordeaux (03/04/18)
https://www.cnre.eu/the-truman-show
A lire absolument ! Jusqu'au bout!
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JT TVL 04 AVRIL 2018
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Brigitte Macron plus fortunée qu'Emmanuel
Avec sa fille Tiphaine Mazières
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L'automobiliste visé d'une balle dans la tête par le terroriste à Carcassonne est sorti du coma
Attentats de Trèbes et de Carcassonne
Le jeune conducteur, visé d'une balle dans la tête par le terroriste Radouane Lakdim, le 23 mars à Carcassonne, est sorti du coma. Renato Silva, resté conscient jusqu'à son arrivée aux urgences, était plongé dans un coma artificiel depuis son admission au centre hospitalier de Perpignan.
Selon nos informations, l'état de santé du jeune Portugais de 26 ans se serait amélioré : il serait toujours dans un état confus mais il pourrait s'exprimer. Cependant aucune décision n'a été prise au sujet d'une éventuelle intervention chirurgicale afin d'extraire la balle logée dans son crâne.
Renato Silva était au volant de sa voiture, aux côtés du viticulteur Jean Mazières, quand le terroriste les avaient braqués pour voler le véhicule, à Carcassonne aux Aigles de la Cité. Jean Mazières avait été la première victime tuée par Radoune Lakdim qui avait ensuite blessé un CRS et s'était rendu au Super U de Trèbes. Une fois blessé par le terroriste, Renato Silva était parvenu à prévenir sa mère au téléphone. La police et les secours étaient parvenus à le localiser pour l'emmener aux urgences.
Le jeune homme était arrivé du Portugal il y a 3 ans pour rejoindre ses parents.
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Le Congrès de l’UOIF attise la haine contre la France, par Caroline Parmentier
Le 35e rassemblement des islamistes de l’ex-UOIF a bien eu lieu samedi et dimanche au Bourget malgré les demandes d’interdiction de plusieurs personnalités dont Marine Le Pen. Le stand « Free Tariq Ramadan » y a connu un franc succès.
Quelques jours seulement après que Macron a juré sur la tombe d’Arnaud Beltrame qu’il allait s’attaquer à « l’hydre islamiste », Musulmans de France (nouveau nom de l’Union des organisations islamiques de France) lié aux Frères musulmans, interdit et classé comme groupe terroriste par de nombreux pays à travers le monde, a toujours pignon sur rue. En plein contexte des attentats islamistes de Trèbes et de Carcassonne et de l’assassinat de Mireille Knoll, ce rassemblement qui a réuni 170 000 musulmans, (le plus important du genre en Europe) avait annoncé ses prédicateurs attitrés, comme Ahmed Jaballah ou Tareq Oubrou, l’imam Iquioussen, célèbre pour avoir qualifié les juifs « d’avares et d’usuriers », Nabil Ennasri, pour qui « le djihad, dans le cadre d’une lutte armée défensive contre un système oppressif, est parfaitement légitime pour le peuple syrien » ou encore Sofiane Meziani, pour qui il faut « en finir avec la démocratie française ».
Rappelons que la très radicale UOIF a officiellement appelé à voter Emmanuel Macron à la dernière présidentielle. Un soutien que ce dernier n’a jamais rejeté.
Tariq Ramadan toujours influent
Mais l’un des orateurs vedettes de ce congrès manquait à l’appel. Et pour cause, il est en prison, accusé de viols par trois femmes. Toutefois ses livres, ainsi que ceux de son frère Hani Ramadan (qui appelle à la lapidation des femmes en cas d’adultère) sont en bonne place. Et surtout le stand de son comité de soutien « Free Tariq Ramadan » (Libérez Tariq Ramadan) à la place d’honneur dans le hall d’accueil, n’a pas désempli. Barbus et femmes voilées s’y pressent pour signer la pétition de soutien (adressée au président de la République et au ministre de la Justice) et acheter les livres du prédicateur islamiste. Cette pétition réclamant sa libération, rédigée en trois langues – français, anglais, arabe – a déjà recueilli près de 120 000 signatures, et la collecte de fonds pour les frais de justice avait atteint 100 000 euros en quelques jours.
Les leaders associatifs musulmans battent le rappel de la communauté depuis des semaines sur les réseaux sociaux. La banlieue n’est pas loin d’en faire un martyr. Il faut dire que Tariq Ramadan y a fait l’éducation politique et religieuse de beaucoup de jeunes Français de la deuxième génération d’origine maghrébine. Au Bourget, la révolte gronde : on entend que « ses droits fondamentaux sont bafoués » et qu’il vit une « incarcération sans jugement, sans fondement et dans un état de santé alarmant ». « L’affaire a perturbé la communauté, cela nous met en colère de voir qu’un musulman est traité de cette manière dans ce pays », déclare un certain Jamel au Figaro.
Le président des Musulmans de France, Amar Lasfar, fait monter la pression : « Nous assistons à un lynchage médiatique, nous prions Dieu pour qu’il soit libéré et blanchi. Même s’il était condamné, la pensée de Tariq Ramadan restera. Personne ne peut remettre en cause ce qu’il a enseigné. D’ailleurs, ses livres se vendent comme des petits pains sur son stand. »
Musulmans de France n’a pas formellement condamné les attentats de Trèbes et de Carcassonne.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 3 avril 2018
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VIDEO - Jordan Bardella sur I24 News
http://www.frontnational.com/videos/jordan-bardella-sur-i24news-2/
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Poutine et Erdogan lancent la construction de la première centrale nucléaire en Turquie
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Rencontre entre Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan au palais présidentiel turc à Ankara, en marge de l'inauguration du chantier de la centrale nucléaire d'Akkuyu, le 3 avril 2018.Le début de la construction par Rosatom de la première centrale nucléaire turque est le prélude à une rencontre entre les deux chefs d'Etat. Ils seront rejoints le 4 avril par le président Iranien pour un sommet tripartite sur la Syrie.
Les présidents turc Recep Tayyip Erdogan et russe Vladimir Poutine ont posé, le 3 avril, la première pierre de la la construction de la première centrale nucléaire turque construite par Rosatom, symbole des relations florissantes entre Ankara et Moscou. «Dieu soit avec vous !», a déclaré le président turc lors d'un discours à Ankara retransmis par visioconférence sur le site du chantier de la centrale nucléaire d'Akkuyu, dans la province de Mersin (sud), où des ouvriers ont immédiatement fait couler du béton.
«Nous assistons à un moment vraiment historique pour notre développement et pour notre coopération énergétique avec la Russie», avait précédemment déclaré le chef de l'Etat turc. «Il est difficile de surestimer l'importance de ce projet innovant d'ampleur», a déclaré Vladimir Poutine lors de la cérémonie.
La construction de la centrale, pour un coût estimé à 20 milliards de dollars (16,6 milliards d'euros), fait partie d'un projet de développement porté par Recep Tayyip Erdogan qui vise à faire de la Turquie l'un des 10 pays les plus riches du monde d'ici 2023, année du centenaire de la République turque.
Les quatre réacteurs de la centrale, d'une puissance totale de 4,8 gigawatts, fourniront, selon le président, 10% de la demande en électricité de la Turquie, pays fortement dépendant de l'importation d'hydrocarbures pour satisfaire ses besoins énergétiques. Le premier réacteur de la centrale devrait entrer en fonction en 2023. Jusqu'à 10 000 ouvriers seront mobilisés, selon l'agence de presse d'Etat Anadolu, pour ce projet voulu depuis plus de 40 ans par Ankara.Ce chantier, plusieurs fois retardé, avait notamment connu un coup d'arrêt lors d'une grave crise diplomatique après que l'aviation turque a abattu un bombardier russe à la frontière syrienne en novembre 2015. Mais les relations se sont depuis réchauffées entre la Turquie et la Russie qui ont notamment mis de côté leurs différends sur la Syrie, où elles soutiennent des camps opposés, pour coopérer sur ce dossier.
Après l'inauguration de la centrale nucléaire, les deux présidents doivent s'entretenir à huis clos au palais présidentiel lors d'une réunion où la Syrie devrait occuper une place importante des discussions. Mercredi, les deux présidents seront rejoints dans la capitale turque par le président de la République islamique d'Iran, Hassan Rohani, pour un sommet trilatéral consacré à la Syrie, où Moscou, Ankara et Téhéran se sont imposés comme des acteurs incontournables dans la résolution de la crise.
RT
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JT TVL 03 AVRIL 2018
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DES MILLIERS DE JUIFS SONT CHASSÉS DE FRANCE ! UN PETIT REMPLACEMENT QUI PRÉFIGURE UN GRAND REMPLACEMENT ?
Ne fermons pas les yeux. Si les Juifs sont les plus exposés actuellement viendra ensuite le temps des « mécréants ».
Les chiffres, les statistiques, les graphiques de Jérôme Fourquet (de l’IFOP) dans L’Express sont effrayants. Par milliers, des Juifs quittent leur patrie – la nôtre – pour s’en chercher une autre. Le département de Seine-Saint-Denis, pour ne citer que lui, est devenu presque entièrement « judenrein ». Une expression forgée par les nazis qui veut bien dire ce qu’elle veut dire.
On les agresse, on les frappe, on les tue. Leurs enfants doivent quitter les écoles publiques où leur sécurité n’est plus assurée dès lors que l’établissement scolaire compte un certain nombre d’élèves « issus de la diversité ».
Mais c’est qui, « on » ? Jérôme Fourquet le dit sans détours : « Des dizaines de milliers de jeunes islamisés. » Certains s’acharnent sur les Juifs parce qu’il est écrit dans le Coran que les Juifs sont « des singes et des porcs ». D’autres parce que, dans de nombreuses familles maghrébines, le mépris du Juif fait partie des meubles.
Nombre de crimes antisémites sont d’ordre crapuleux. Il est, en effet, bien connu que « les Juifs ont de la thune » ! Souvenez-vous de Youssouf Fofana et de son gang des Barbares… Ajoutons à ces griefs l’idée, tout à fait insupportable, que des descendants de « dhimmis » d’Afrique du Nord réussissent là où ceux qui les haïssent échouent.
Toutes les enquêtes et tous les sondages effectués auprès de personnes se revendiquant de la religion musulmane et cités par Fourquet convergent. Toujours les mêmes mots : « les Juifs ont trop de pouvoir », « les Juifs tiennent les médias », « les Juifs tirent les ficelles de tout ».
Et de ce chaudron de haine et de ressentiment jaillit une bouffée délirante : « le complot juif » ! Il faut rappeler, ici, que ces Juifs-là, agressés et chassés, sont français. C’est leur pays qu’ils quittent, même s’ils en ont un autre prêt à les accueillir.
Ne fermons pas les yeux. Si les Juifs sont les plus exposés actuellement, viendra ensuite le temps des « mécréants ». On se doit, maintenant, de citer les célèbres phrases du pasteur Niemöller à l’époque d’Hitler : « Quand ils ont pris les Juifs, je n’ai rien dit : je n’étais pas juif… Quand ils ont pris les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit : je n’étais pas social-démocrate… Quand ils ont pris les syndicalistes, je n’ai rien dit : je n’étais pas syndicaliste… Et quand ils sont venus me prendre moi, il n’y avait plus personne pour protester. » Pensons-y toujours.
BV