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  • Le déclin de la France

  • PERSONNE N’AVAIT DONC PENSÉ À VÉRIFIER CE QUI ALLAIT ÊTRE CHANTÉ À L’ÉLYSÉE ?

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    Des paroles vraiment « adorables », fraîches et primesautières : « Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît »…« Danse, enc… de ta mère, danse »…

    Ecrivain, journaliste
     
    Son blog
     
     

    Sur le compte Twitter de l’émission « Quotidien », présentée par Yann Barthès sur TMC, on peut lire la petite phrase espiègle suivante : « Hier, il y avait une grosse soirée pour la Fête de la Musique, et on a adoré traduire certaines paroles qui ont résonné dans le palais présidentiel. »

    C’est vrai que c’est le mot qui convient, des paroles vraiment « adorables », fraîches et primesautières : « Ce soir, brûlons cette maison, brûlons-la complètement » (L’Élysée ?), « Les femmes et la beuh »« Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît » (le monsieur qui chante est poli, mais plutôt sur la fin, c’est mieux que rien), « Danse, enc… de ta mère, danse »« Je suis avec six mannequins »« T’es vénère parce que je me suis fait sucer la b… et lécher les c… » Mais qui tutoie-t-il en cette soirée du 21 juin ? Sûrement pas le maître des lieux, que l’on sait, depuis deux jours, chiffonné par le simple diminutif « Manu »… mais qui n’a, semble-t-il, pas jugé utile de remettre dans l’axe sèchement, comme il en a le secret, les chanteurs aux propos violents, sexistes, grossiers et faisant l’apologie de la drogue. À moins qu’Emmanuel Macron ne comprenne pas l’anglais ? Ou que seuls les porcs francophones méritent d’être balancés ? Ou bien encore, comme Michel Sardou, trouve-t-il tellement plus mignon de se faire traiter de c… en chantant ?

    Et dire que l’on disait qu’au moins, celui-ci, avec sa classe et sa distinction naturelles, habitait la fonction présidentielle. Et dire que l’on prétendait qu’il verrouillait tout, contrôlait tout, orchestrait tout au millimètre près… La précaution qu’aurait prise le moindre des patrons de PME pour son spectacle de Noël, le plus obscur petit maire conviant ses administrés à la fête du village, il l’a donc négligée ? Il n’a donc confié à personne la mission de vérifier la décence des propos des artistes invités ? Ou bien va-t-on prétendre, comme pour Médine, qu’il ne faut voir là que du quatrième degré et qu’il s’agit, au contraire, d’une ode pudique à la féminité et aux valeurs citoyennes ?

    En ce lendemain de fête de la Musique, exit Macron, bienvenue Mallande ou Hocron. L’un avait été plombé par Leonarda, l’autre risque bien de traîner longtemps sa surréaliste fiesta.

    BV

    IGNOBLE,  DEVANT LE DRAPEAU !

  • Migrants: Salvini en Libye aujourd'hui

     

    Le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini s'est envolé ce matin pour la Libye pour rencontrer les autorités du pays sur la question des migrants, a-t-il annoncé lui-même sur son compte Twitter. "Mission Libye, on part!", a-t-il écrit, en postant un selfie à bord de l'avion militaire emprunté pour se rendre en Libye. M. Salvini est le premier membre du nouveau gouvernement italien populiste à se rendre dans le pays.

     
    Matteo Salvini
     
    @matteosalvinimi
     
     

    Missione , si parte!

     

    Dans un entretien publié aujourd'hui dans le quotidien La Repubblica, le vice-premier ministre libyen Ahmed Miitig a souligné son intérêt à travailler avec les hommes clefs du nouveau gouvernement italien. "La collaboration entre l'Italie et la Libye est décisive", a-t-il commenté, notant que l'arrivée de migrants était également "un problème important" pour son pays. "Les trafiquants qui font venir les migrants en Italie sont pour nous des bandes criminelles dangereuses, qui ne permettent pas à la Libye de faire des pas en avant en direction d'une difficile normalisation", a-t-il souligné.

     

    » LIRE AUSSI - Libye: près de 1.000 migrants secourus en Méditerranée en 24 heures

    "Nous devons arrêter ce trafic aux frontières méridionales de la Libye et toute l'Europe doit penser aux mesures structurelles à prendre dans les pays africains pour stopper les migrants", poursuit-il. Le responsable libyen s'est par ailleurs dit "préoccupé" par les tensions entre l'Italie et la France. "L'Italie et la France, outre le fait qu'il sont des piliers de l'UE, sont deux pays stratégiques pour la sécurité, le bien de la Libye et de la Méditerranée", a-t-il souligné. "Nous devons travailler tous ensemble pour trouver des solutions, pour la stabilité de la mer qui nous unit".

    » LIRE AUSSI - Migrants: l'Italie va séquestrer deux navires d'une ONG allemande

    Dans la soirée, M. Salvini est de nouveau intervenu pour remercier les autorités libyennes d'avoir recueilli en mer et ramené en Libye plus de 820 migrants dans la journée de dimanche. Plus tôt, l'ONG espagnole Proactiva Open Arms a affirmé que l'Italie avait refusé l'aide de son navire pour secourir un millier de migrants au large de la Libye, Rome affirmant selon elle que les garde-côtes libyens s'en chargeraient.

     

  • « THIS IS THE END… » : FÊTE DE LA MUSIQUE 2018 À L’ÉLYSÉE

     

     

     

    Évidemment, le papillonnant Jack Lang, créateur de la fête de la Musique en 1982, est tout à fait enchanté de la façon dont le Président a traité l’affaire.

    Écrivain, journaliste
     
     
      
    Écrivain, journaliste
     
     
     

    C’est par ces mots, « This is the End » (« c’est la fin »), titre d’une chanson pathétique et envoûtante des Doors, que commence – mais oui – le splendide et terrible film du réalisateur Francis Ford Coppola, dont il a aussi coécrit le scénario avec John Milius : Apocalypse Now.

    Pour la fête de la Musique 2018, le 21 juin, Emmanuel Macronavait décidé d’ouvrir les portes de l’Élysée et de recevoir quelques représentants d’un certain type de musique actuelle : la musique électronique (il faut bien faire branché, et de préférence multiculturel) ; l’un d’eux, le DJ Kiddy Smile, venu avec sa troupe d’homosexuels noirs, exposait son pedigree sur son maillot : « fils d’immigré, noir et pédé ».

    La photo du couple présidentiel français qui pose avec le groupe de danseurs noirs rappelle, par sa structure – mais en inversion totale, visuelle et symbolique, parodique -, celle, bouleversante, du couple impérial russe, les Romanov, avec leurs magnifiques enfants. Photo qui symbolise la fin d’un monde puisque les Romanov, parents et enfants, seront tous férocement assassinés le 16 juillet 1918 par les bolcheviks ; fin d’un cycle historique, pour la Russie, certes, mais aussi pour le monde entier puisque l’utopie communiste va le conquérir.

    La photo du couple Macron avec les danseurs peut évoquer également les représentations lascives de certains péplums hollywoodiens qui racontaient à leur manière caricaturale la fin de l’Empire romain. Les Doors avaient, d’ailleurs, intégré dans leur chanson un vers sur la Rome décadente.

    Ce qui nous fait revenir à Apocalypse Now, dont le titre résume à lui tout seul notre propos. Le film se termine sur une scène de fête barbare qui se déroule dans un lieu cauchemardesque peuplé de têtes piquées sur des bambous où les participants sacrifient un bœuf à la machette pendant laquelle le récitant répète, sur un ton sépulcral, ces deux mots : l’horreur… l’horreur… C’est exactement le mot qui est venu à nos lèvres en regardant la vidéo de la prestation de ce groupe de « danseurs ».

    Faut-il rappeler que le palais de l’Élysée est devenu officiellement la résidence des présidents de la République en 1879 et que, de ce fait, il constitue un élément patrimonial emblématique du régime actuellement en place en France, qu’il siérait que ses locataires, censés disposer d’un minimum de dignité et de considération pour ce régime, préservent ce qui doit constituer un socle permanent, intangible, des valeurs de la République et, au-delà, un élément important du patrimoine français. Quand on remet vertement en place un adolescent qui ose dévaloriser la personne qui représente la fonction présidentielle, on se doit d’être à même de faire respecter ce qui dépasse sa propre personne, laquelle est bien plus éphémère.

    Évidemment, le papillonnant Jack Lang, créateur de la fête de la Musique en 1982 (laquelle venait s’insérer à la date exacte du solstice d’été dont la célébration remonte au plus lointain de notre histoire), est tout à fait enchanté de la façon dont le président a traité l’affaire.

    Mais ce dernier a-t-il la moindre idée de ce que pensent de ces profanations ceux qu’il appelle les « lépreux » ?

    BV

     

     

     

     

  • L'ETE

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    La méridienne ou la sieste, par Vincent van Gogh

  • JOURNAL TVL DU 21 JUIN 2018

  • Trump/Immigration : Enfants séparés de leurs parents, la vaste manipulation émotionnelle

     

    23h20

    Immigration. Pendant plusieurs jours, les médias du monde entier ont fait tourner en boucle des images d’enfants clandestins séparés de leurs parents à la frontière mexicano-américaine. Au point d’empêcher toute possibilité de réflexion.

    Sur le plateau de la NBCNews, l’ancien président du Comité national du parti Républicain, Michael Steele, vient de comparer les centres dans lesquels sont accueillis les enfants de clandestins aux Etats-Unis à des camps de concentration. Il s’adresse alors aux Américains : « Demain, ce pourrait être vos enfants ».

    La scène résume à elle seule la folie qui s’est emparée de la sphère politico-médiatique après que Donald Trump a ordonné aux autorités gardant la frontière mexicaine d’appliquer la loi et de séparer les parents de leurs enfants entrés illégalement aux Etats-Unis. Passons sur la comparaison. Aussi indécente que manipulatrice : ces enfants ne sont pas enfermés en attendant la mort. Quant à la mise en garde, elle est grotesque. Aucun américain ne se verra subitement séparé de ses enfants. A moins d’avoir commis un crime ou un délit puni de prison.

    Quand un citoyen lambda est condamné à une peine de prison, personne ne s’offusque jamais de cette séparation … Jusqu’à ce que cela touche des clandestins. Leur particularité étant de n’avoir aucun logement dans le pays dont ils viennent de violer la frontière, leurs enfants sont donc pris en charge dans des camps, en attendant que la situation des adultes soit examinée. Aux frais des Américains.

    Parce qu’un rappel n’est pas inutile dans le débat : franchir illégalement la frontière d’un pays est une violation de la loi. Un délit, puni d’emprisonnement aux Etats-Unis. Avec sa raison et non ses bons sentiments irrationnels, l’homme politique interrogé aurait donc pu être plus juste : si vous commettez un crime ou un délit passible de prison, vous aussi pourriez être séparés de vos enfants.

    Reste que les parents, prévenus de la loi que nul n’est censé ignorer, sont les premiers responsables du sort qui menace leurs enfants, en choisissant de la violer. Ce sont eux qui font payer leur délit à leur propre progéniture. Les clandestins sont des adultes tout aussi responsables que n’importe quel autre adulte : leur retirer leur capacité de décision, leur liberté et donc leur responsabilité n’est pas exactement les respecter.

    Certains ont voulu critiquer la politique migratoire de Donald Trump en usant de photos datant de… 2014

    Mais penchons-nous plus précisément sur ce qui se passe à la frontière mexico-américaine. Et plutôt que de regarder la situation actuelle, qui ne saurait être analysée de manière raisonnable maintenant que Trump préside les Etats-Unis, remontons à 2014, époque bénie du président Barack Obama. Cette année-là, 47.017 mineurs sont appréhendés, alors qu’ils traversent la frontière… seuls.

    Des enfants, envoyés par leurs parents qui n’ont apparemment pas eu peur de s’en séparer pour leur faire prendre des risques inconsidérés. Comment est-ce possible ? L’administration américaine d’alors avait affirmé que les étrangers envoyaient leurs enfants seuls, persuadés qu’ils seraient ainsi mieux traités que des adultes. Le New York Times avait donné raison à l’administration : « alors que l’administration Obama a évolué vers une attitude plus agressive d’expulsion des adultes, elle a, dans les faits, expulsé beaucoup moins d’enfants que par le passé. »

    Les clandestins le savent, tout comme ils connaissent aujourd’hui les risques qui pèsent sur leurs propres enfants. On apprend également qu’à l’époque, les enfants mexicains sont directement reconduits de l’autre côté de la frontière et que les autres sont « pris en charge par le département de la Santé et des Services humanitaires qui les place dans des centres temporaires en attendant que leur processus d’expulsion soit lancé. » En 2013, 80 centres accueillaient 25 000 enfants non accompagnés. Et ce, dans les mêmes conditions aujourd’hui dénoncées. Si similaires d’ailleurs que certains ont voulu critiquer la politique migratoire de Donald Trump en usant de photos datant de… 2014 !

    Rien n’a changé. A un détail près. Les enfants dont on parle en ce mois de juin 2018 sont parfois accompagnés d’adultes. Comme sous l’administration Obama, les enfants sont séparés de ces adultes lorsqu’il y a un doute sur le lien réel de parenté, en cas de suspicion de trafic de mineurs ou par manque de place dans les centres de rétention pour les familles.

    Restent les enfants effectivement accompagnés de leurs parents et malgré tout séparés de ces derniers qui partent en prison. Chaque mois, 50.000 clandestins entrent aux Etats-Unis, parmi lesquels 15% de familles. Une fois arrêtés, les clandestins sont pénalement poursuivis avant toute demande d’asile. Or Trump a été élu pour une tolérance zéro : la loi est donc strictement appliquée. Cette même loi américaine ne permet pas que les enfants puissent suivre leurs parents lorsque ces derniers sont poursuivis pénalement. La séparation était donc une conséquence logique, même très pénible, du choix des Américains.

    «Le dilemme est si vous êtes mou, le pays va être envahi par des millions de gens. Et si vous êtes ferme, vous n’avez pas de coeur»

    C’est d’ailleurs ce qu’a immédiatement répondu le ministre américain de la justice Jeff Session : « Nous ne voulons pas séparer les familles, mais nous ne voulons pas que des familles viennent illégalement. Si vous faites passer un enfant, nous vous poursuivrons. Et cet enfant sera séparé de vous, comme la loi le requiert ».

    Mais il a suffi de quelques images, publiées en même temps que la sortie du très attendu rapport sur la possible partialité du FBI lors des dernières élections présidentielles américaines, pour que l’opinion politico-médiatique hurle au scandale. Jusqu’à la première dame du pays, Mélania Trump, qui a confié « détester » voir les clandestins séparés de leurs enfants.
    Le Président lui-même a fini par douter publiquement : «Le dilemme est si vous êtes mou, ce que certaines personnes aimeraient que vous soyez, si vous êtes vraiment mou, pathétiquement mou… le pays va être envahi par des millions de gens. Et si vous êtes ferme, vous n’avez pas de coeur. C’est un dilemme difficile. Peut-être que je préfère être ferme, mais c’est un dilemme difficile.»

    Donald Trump a subi l’indignation générale (à moins d’en profiter), au point de montrer au monde que même lui avait du cœur en annonçant la signature d’un décret mettant fin à cette séparation forcée. Tout le monde s’est félicité du résultat de la mobilisation : enfin, les enfants vont pouvoir rejoindre leurs parents en prison ! Quelle victoire… Mais Donald Trump a insisté sur sa détermination à stopper l’immigration illégale en même temps, appelant de ses vœux un vote du Congrès pour « changer les lois ». Depuis son accession à la présidence, notamment due à un discours extrêmement ferme sur l’immigration, Donald Trump est empêché par les démocrates, comme par son administration : ils bloquent son projet de mur à la frontière, l’immigration fondée sur le mérite ainsi que tous les ajustements proposés pour les forces de l’ordre.

    La situation finit par le servir, et il ne pouvait l’ignorer : il vient de faire une concession, il appelle maintenant le Congrès à voter contre les « anciennes lois horribles » en adoptant la sienne. Nul ne connaît la suite. Mais pour Donald Trump, le défi est immense. S’il n’a pas été élu sur la seule promesse d’une tolérance zéro vis-à-vis de l’immigration illégale, le sujet reste l’une des préoccupations majeures de ses électeurs.

    Valeurs Actuelles

  • Immigration : le sénateur FN Stéphane Ravier dénonce un « grand remplacement », bronca à gauche

     

    17h47

    Intervention de Stéphane Ravier :

    Réponse du sénateur PS Rachid Témal :

    Excellente intervention de Stéphane Ravier !

  • Séparation des enfants de leurs parents immigrés clandestins : Trump fait marche arrière

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    © Mandel Ngan 
    Le président américain Donald Trump évoque l'immigration clandestine lors d'une réunion avec les membres du Congrès à la Maison Blanche le 20 juin 2018
     

    Après avoir affirmé que pour lutter contre l'immigration illégale, il fallait «séparer les enfants» de leurs parents clandestins, Donald Trump a signé un texte visant à éviter la séparation des familles de migrants.

    Le président américain Donald Trump a signé ce 20 juin un décret visant à éviter que ne soient séparées les familles de migrants après avoir franchi illégalement la frontière avec le Mexique.

    «Cela me tient particulièrement à cœur […] Nous n'aimons pas voir des familles séparées», a-t-il déclaré lors de la cérémonie de signature, a-t-il affirmé en signant le décret dans le Bureau ovale.

    «Nous allons avoir des frontières très fortes mais nous allons garder les familles ensemble», a encore dit le président américain qui a lui-même décrété début mai une «tolérance zéro» sur l'immigration illégale.

    «Je pense que toute personne avec un cœur régirait de la même manière», a-t-il ajouté, soulignant que sa fille Ivanka et sa femme Melania étaient montées au créneau sur ce sujet.

    L'administration américaine était sous le feu des critiques, tant au niveau national qu'international, alors que plus de 2 300 mineurs ont été séparés de leurs parents en cinq semaines.

    Donald Trump avait en effet décidé que pour lutter contre l'immigration illégale, tous les clandestins franchissant la frontière seraient désormais poursuivis au pénal. Puisque selon la loi, les mineurs ne peuvent pas être incarcérés avec leurs proches, il fallait donc séparer les adultes des enfants, argumentait le président américain.

    Donald Trump et son équipe répètaient depuis plusieurs jours qu'ils ne faisaient qu'appliquer la loi et que seule une modification de cette dernière par le Congrès permettrait de mettre fin aux séparations.

    Plus tôt, le chef des républicains à la Chambre des représentants, Paul Ryan, avait annoncé qu'il soumettrait au vote le 21 juin une loi mettant un terme aux séparations de familles de migrants franchissant illégalement la frontière et «résolvant» le statut des jeunes arrivés sans papiers aux Etats-Unis.

    RT

  • Eric Zemmour sur le baccalauréat

  • VIDEO - La séparation des familles de migrants de leurs enfants est-elle un fake?

    https://twitter.com/SanglierSympa/status/1009379661418287105?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F1028007-la-separation-des-familles-de-migrants-aux-etats-unis-est-elle-une-fake-news

  • BON ANNIVERSAIRE, MONSIEUR LE PEN ! ET LONGUE VIE !

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    Jean-Marie le Pen est né le 20 juin 1928 à la Trinité-sur-Mer 

  • QUAND MAMOUDOU LE HÉROS SE MOQUE DE NOUS !

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    N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ?



    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

     
     

    Une information est passée inaperçue, aussi m’empressé-je de vous la livrer brut de pomme, comme le veut l’expression populaire. Brut de sa brutalité, tellement elle paraît énorme !

    Le retour de notre héros national – enfin, celui de la grande presse et de tous ceux qui acclament l’épopée de l’Aquarius. Celui d’un rescapé de la Méditerranée qui a englouti tant de ses semblables.

    Je veux parler de Mamoudou Gassama, le migrant araignée.

    Samedi, après un voyage sans histoire dans le ciel méditerranéen de quelques heures, il est arrivé à Bamako – qu’il avait pourtant fui, aurait-il pu dire au Président Macron, car son pays était en guerre et qu’il y risquait sa vie tous les jours dans son petit village de Yanguiné .

    Brandie par une dizaine de groupies, entourées d’une petite centaine de jeunes, une immense toile fêtait le retour de « notre héros Mamoudou Gassama » sur l’aéroport Modibo-Keïta-Senou. La journaliste de TV5 Monde y allait, elle aussi, de ses éloges, y voyant une foule immense attendant son paladin qui n’avait pu, faute de papiers, dit-elle, revenir dans son pays depuis 2013.

    C’est donc avec de tout récents papiers français que le héros est revenu au pays. Un billet payé par qui, d’ailleurs ? Fier comme on peut l’imaginer, star d’un pays en guerre, jeune homme qui a refusé de porter l’uniforme pour défendre son pays contre les djihadistes qui tuent tous les jours ses compatriotes. Et dont, d’ailleurs, on se demande s’il ne revêtira jamais l’uniforme des sapeurs-pompiers de Paris à qui il avait rendu une visite de courtoisie sur invitation du Président Macron, et dont il avait pourtant appliqué à la lettre la devise « courage et dévouement ».

    N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ? Indécence par rapport aux 22 soldats français tombés au Mali qui sont morts pour que des Mamoudou puissent vivre, libres, dans leur pays ? Indécence par rapport au président de la République française qui doit regretter – on l’espère – à cette heure d’avoir aussi vite reçu ce migrant si empressé à regagner son pays et qui, en somme, s’est bien moqué de lui et de la France ?

    Comme tous ces Maliens venus accueillir leur héros d’un jour et pour lesquels la France envoie ses soldats affronter le terrorisme islamiste. Ne feraient-ils pas mieux d’ovationner nos soldats plutôt que de faire la fête à ce jeune migrant devenu immigré répondant, debout dans une voiture découverte, à leurs acclamations ?

    Sur le site de PressAfrik.com, un certain Moussa commente son arrivée ou son retour au pays avec ces mots crus et cruels : « C’est un connard, il rentre chez lui et apparemment il est en sécurité alors qu’il est venu demander l’asile en France donc à cause de lui on va dire que les autres aussi peuvent rentrer chez eux sans problème pour leur sécurité ! Un pauvre con africain, sans intelligence ! »

    Combien étaient réellement en danger chez eux parmi ceux qui sont sur l’Aquarius ?

    BV

  • Nouvelles lois contre l’immigration en Australie

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    20/06/2018 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les nouvelles lois contre l’immigration pourraient décourager certains candidats à s’installer en Australie. Les nouvelles mesures consistent en une exigence de connaître l’anglais et en une baisse sensible des aides sociales.

    L’année dernière l’Australie avait adopté toute une série de mesures pour faire baisser l’immigration, ce qui avait eu pour conséquence 138.086 entrées pour l’année 2017-18, le chiffre le plus bas depuis dix ans.

    Les candidats à la naturalisation devront prouver un emploi réel et stable dans le pays. Le ministre de l’Intérieur Michael Pezzullo a dit que les mécanismes de contrôle étaient rendus plus efficaces grâce à la fusion des données des différents services de l’Etat.

  • JOURNAL TVL DU 20 JUIN 2018

  • HONGRIE: VERS UNE "TAXE MIGRANTS"

  • Salon-de-Provence (13) : de nombreuses armes, 4 000 euros en liquide, de la littérature islamiste et des stupéfiants découverts dans un appartement

     

    21h35
     

     

    Les policiers de Salon-de-Provence ont mis la main sur un véritable arsenal de guerre, lundi après-midi, dans le quartier des Canourgues, lors de la perquisition d’un appartement situé dans l’immeuble Saint-Norbert. Ils y découvrent alors une Kalashnikov, un fusil M16, un pistolet mitrailleur Sten et un pistolet semi automatique, cachés sous les matelas. Ils tombent aussi sur 4 000 euros en liquide, des sachets d’herbe de cannabis et sur des ouvrages « qui relatent l’histoire de l’Islam dur » selon les mots d’un enquêteur. Les quatre occupants de l’appartement – la mère, ses deux fils et sa fille – ont été placés en garde à vue et doivent être transférés aujourd’hui à Marseille dans les locaux de la police judiciaire.

    Une belle prise ! Bravo à la Police! 

  • JOURNAL TVL DU MARDI 19/06/18