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JT TVL 29 janvier 2019
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TEMOIGNAGES: Mon oeil a perdu plus des trois-quarts de sa vue, ils accusent les L.B.D. d'avoir bouleversé leur vie
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Près de 130 djihadistes français vont être prochainement rapatriés de Syrie (MàJ)
11h15Près de 130 hommes et femmes détenus en Syrie et soupçonnés de jihadisme vont être rapatriés en France, dans les prochaines semaines, pour être jugés.
C’est la première fois que la France organise un rapatriement aussi massif de jihadistes français depuis la Syrie. Selon nos informations, près de 130 hommes et femmes, détenus dans des camps en Syrie sous la surveillance des Kurdes, vont revenir dans les prochaines semaines en France.
A cause du retrait des soldats américains en Syrie et de l’instabilité du pays, les autorités françaises craignent de perdre la trace de ces jihadistes et préfèrent les rapatrier pour les juger. Les rapatriements se feront par avion.
« Tous ceux qui rentreront en France seront judiciarisés et confiés aux juges. Lorsque le juge estimera qu’il faudra les mettre en prison – et ce sera l’essentiel des cas – ils seront mis en prison », a réagi Christophe Castaner ce mardi sur notre antenne.
Christophe Castaner : « D’abord ce sont des Français avant d’être des djihadistes »
Ces individus sont soupçonnés d’avoir quitté la France pour la Syrie, il y a plusieurs années, afin de combattre dans les rangs de Daesh. Pour certains, les services antiterroristes français ne disposent que de leurs noms de combattants, pour d’autres, ils connaissent leur identité réelle et détiennent parfois des vidéos les montrant en train de commettre des exactions.
NdB: Non, ces djihadistes ne sont plus des Français ! Dire cela est une insulte à notre peuple.
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Monsieur Macron, nous ne sommes pas vos « enfants »!
Le président veut nous expliquer, parce qu'on ne comprend pas bien
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Grand débat: les secrets d’un hold-up
Alors que la Commission nationale du débat public était disposée à assurer l'impartialité et la neutralité du grand débat national, l’Élysée s’y est opposé. Documents et courriels confidentiels à l’appui, Mediapart révèle la lutte âpre qui s’est déroulée dans les coulisses du pouvoir, de sorte qu’Emmanuel Macron puisse transformer l’initiative, selon le mot de Chantal Jouanno, en une « campagne de communication ».
C’est une curieuse histoire, qui se joue le 9 janvier, et qui va lourdement peser sur le grand débat national souhaité par Emmanuel Macron, pour essayer de sortir de la crise des gilets jaunes. L’avant-veille, le 7 janvier, sous le titre « Le salaire pas très “gilet jaune” de Chantal Jouanno », La Lettre A a révélé que la présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP) avait une rémunération de 14 666 euros brut par mois. La controverse s’est aussitôt enflammée. Et quand l’intéressée tente de s’expliquer, deux jours plus tard au micro de France Inter, elle est en réalité devenue inaudible.
Elle a beau dire que le niveau de sa rémunération relève d’un décret, lequel relève de la compétence de la puissance publique, et qu’il lui appartient éventuellement de la diminuer ; elle a beau préciser qu’elle comprend qu’un tel niveau de rémunération puisse choquer les gilets jaunes, dont les revendications portent pour beaucoup sur des questions de pouvoir d’achat… personne ne l’entend.
Et quand Chantal Jouanno annonce ce 9 janvier qu’elle reste présidente de la CNDP mais qu’elle n’assumera pas, contrairement à ce qui était prévu, le pilotage de ce grand débat national, l’opinion retient que c’est cette polémique sur sa rémunération qui est à l’origine de cette embardée catastrophique pour le pouvoir.
Et pourtant, non ! Derrière cette histoire, une autre se joue, dont personne à l’époque ne se doute. Il y a bien une rumeur persistante qui circule, et dont Mediapart se fait l’écho dans notre première enquête, selon laquelle les relations sont tendues entre le pouvoir et Chantal Jouanno, l’ex-ministre sarkozyste, le premier cherchant à se débarrasser de la seconde. Mais cela ne va pas plus loin. Et nul ne se doute que cette mise en retrait de Chantal Jouanno est surtout l’aboutissement ultime de très vives tensions entre la CNDP d’un côté, et l’Élysée et Matignon de l'autre, sur la manière de conduire ce grand débat national.
Chantal Jouanno, dont nous avons recueilli le témoignage, admet elle-même bien volontiers que ce 9 janvier, elle ne dit pas ce qu’elle a sur le cœur. Par « loyauté », dit-elle. Mais avec le recul, la présidente souhaite visiblement faire connaître sa version des faits. Pour rétablir la vérité.
L’histoire commence donc au début du mois de décembre. Emmanuel Macron a alors annoncé son intention d’ouvrir un grand débat national pour tenter de désarmer la colère des gilets jaunes et leur apporter la preuve qu’il est à l’écoute.
Le 5 décembre, Chantal Jouanno, qui préside la CNDP, dont la mission est précisément d’être le garant de la neutralité et de l’impartialité de tous les débats publics organisés dans le pays, est donc approchée. Dans un premier temps, c’est Damien Cazé, conseiller au cabinet du premier ministre, qui lui demande si elle accepterait de piloter le grand débat. Mais la demande est curieusement formulée : son interlocuteur lui demande si elle accepte de le faire « à titre personnel ». Réponse de Chantal Jouanno : c’est impossible ! Si le gouvernement veut la saisir, cela ne peut être qu’ès qualités, comme présidente de la CNDP. Il faut donc que le gouvernement respecte les procédures et fasse une saisine officielle de la CNDP.
Le sous-entendu est très clair : la CNDP est régie par des règles. Et si le gouvernement veut faire appel à elle, il devra les respecter. Comme dans tous les débats organisés par la CNDP, il ne peut y avoir de « lignes rouges », c’est-à-dire de sujets interdits. La neutralité et l’impartialité des débats devront être assurées, et c’est la CNDP qui en est nécessairement le garant – et non un ministre ou un responsable politique. Tous les intervenants dans le débat sont égaux : en clair, la parole d’un président de la République, s’il intervient, ne peut pas peser plus que celle d’un autre citoyen. Ou alors, si le président ou un ministre participe, ils ne peuvent présider la séance ni être sur une tribune ou au centre de la salle, de sorte que tous les participants soient égaux. Quant aux restitutions et au compte-rendu final des débats, c’est aussi la CNDP qui doit en avoir la maîtrise, de sorte qu’ils ne soient pas biaisés par quiconque. Toutes ces règles, la puissance publique les connaît évidemment, et le premier échange ne fait qu’y faire allusion.
Alors pourquoi Damien Cazé demande-t-il à Chantal Jouanno de piloter le grand débat « à titre personnel » ? Le gouvernement souhaite-t-il obtenir la caution de la présidente de la Commission, mais sans saisine officielle, c’est-à-dire en s’émancipant des procédures démocratiques de la commission ? Ce même 5 décembre, un autre indice peut le suggérer. Il transparaît du courriel (voir ci-dessous) que Chantal Jouanno adresse au même Damien Cazé mais aussi à Thomas Fatome, qui est le directeur adjoint de cabinet d’Édouard Philippe. Chantal Jouanno leur signale que deux ministres, Jacqueline Gourault et Muriel Pénicaud, « rencontrent demain les organisations syndicales et associations d’élus ». Et la présidente de la CNDP d’ajouter : « Elles envisagent de définir et valider avec eux la méthode et l’organisation du débat. Ceci n’est pas en cohérence avec la volonté affichée de confier à une autorité indépendante cette organisation pour en garantir la neutralité. »
En clair, il n’y a pas encore de conflit entre le pouvoir et la CNDP, mais celle-ci peut commencer à craindre que le gouvernement ne cherche à s’émanciper des règles d’un véritable débat démocratique. Quelques jours passent ensuite, sans que Chantal Jouanno n’obtienne d’éclaircissements sur la méthode retenue par le gouvernement.
Le 11 décembre, Chantal Jouanno écrit donc un nouveau courriel à Thomas Fatome et Damien Cazé, dans l’espoir d’avoir des nouvelles car l’échéance du 15 janvier, date annoncée pour le lancement du grand débat, se rapproche. « Y voyez-vous plus clair sur l’organisation du débat ? L’Élysée souhaite-t-il le piloter directement ? Si vous souhaitez l’hypothèse de la saisine de la CNDP, il faut le faire très rapidement, car nous devons activer les budgets, les équipes pour mobiliser les prestataires », leur demande-t-elle.
Dans la soirée, Damien Cazé lui apporte une drôle de réponse. Ou plutôt, il revient vers elle pour lui poser une question : « Chantal, on peut mobiliser les équipes sans saisine formelle ? Car on risque d’avoir une gouvernance un peu compliquée… » Le message, cette fois, n’est plus allusif : la formule de « gouvernance un peu compliquée » suggère que le gouvernement cherche un moyen pour ne pas effectuer de saisine de la CNDP et donc, pour échapper aux contraintes démocratiques que cela imposerait.
Le nécessaire « filtrage du rapport final »
Le 12 décembre, Chantal Jouanno confirme donc à Matignon qu’elle ne pourra piloter le grand débat que dans le cadre d’une saisine officielle de la CNDP.
Le 13 décembre, le ton commence à monter. Une réunion a lieu ce jour-là à l’Élysée, avec une délégation de la CNDP conduite par Chantal Jouanno, la secrétaire générale adjointe de l’Élysée Anne de Bayser, le conseiller spécial de Macron Ismaël Emelien, le directeur adjoint de cabinet du premier ministre et divers autres conseillers. Un premier sujet de conflit apparaît. Ismaël Emelien veut qu’il s’agisse d’un débat fermé, avec des sujets hors débat – ce qui est contraire aux principes de la CNDP. Un second sujet de désaccord apparaît quand un conseiller évoque le nécessaire « filtrage du rapport final ». Ce qui est pour la CNDP tout aussi inacceptable car les données, dans leur intégralité, doivent pouvoir être accessibles à tous, de sorte que chacun puisse vérifier la sincérité de la restitution, à la fin du débat.
Le 14 décembre, après visiblement beaucoup d’hésitations, Édouard Philippe saisit officiellement la CNDP, mais les mots utilisés par le premier ministre prolongent les ambiguïtés des jours précédents :
Dans sa lettre à Chantal Jouanno, Édouard Philippe utilise en effet ces formules : « Je souhaite que la CNDP accompagne et conseille le gouvernement dans l’organisation de ce grand débat, et que vous assuriez personnellement cette mission. » Qui donc pilotera le grand débat : la CNDP ou le gouvernement ? La formule choisie peut signifier que la CNDP n’aura qu’une mission d’assistance et que c’est le gouvernement qui sera le pilote, ce qui serait une remise en cause du principe de neutralité.La formule selon laquelle Chantal Jouanno assurerait « personnellement cette mission » peut aussi suggérer qu’elle ne le ferait pas forcément ès qualités de présidente de la CNDP mais à titre personnel, d’autant qu’elle pourrait s’appuyer pour conduire cette mission « sur une équipe interministérielle ».
Le 17 décembre, la CNDP rend sa décision, qui est publiée comme le veut la loi par le Journal officiel : « Article 1 – La Commission, autorité administrative indépendante, accepte la mission d’accompagner et de conseiller le Gouvernement dans l’organisation du Grand débat national et désigne sa Présidente, Madame Chantal Jouanno, pour qu’elle assure personnellement cette mission. Cet accompagnement se poursuivra jusqu’au lancement du débat. Article 2 – La poursuite de cette mission jusqu’à la rédaction du rapport final suppose un engagement du Gouvernement à respecter pour ce débat public les principes fondamentaux de la Commission nationale du débat public. »
Il s’agit donc d’une réponse favorable, mais à la condition que les règles du débat démocratique soient bel et bien respectées ! Car tout est là, relève Chantal Jouanno, de manière rétrospective : « Ils ne voulaient pas être contraints par les règles du débat public », confie-t-elle à Mediapart.
Le 18 décembre, pour en avoir le cœur net, Chantal Jouanno repart à la charge. Sachant qu’il y a eu une réunion de travail peu avant entre l’Élysée et Matignon, elle demande par courriel à Thomas Fatome, le directeur adjoint de cabinet à Matignon, pour lui demander qui fera le rapport final : la CNDP comme le veut ses procédures ou le gouvernement ? « Et ils ont arbitré sur CNDP jusqu’à la restitution ou seulement la mise en place ? », demande-t-elle à son interlocuteur. Réponse peu avant minuit : « Point non abordé. Reparlons-en demain. »
La formule a de quoi inquiéter Chantal Jouanno car le même jour, peu avant, une réunion a eu lieu, toujours à Matignon, au cours de laquelle on lui a dit que la CNDP piloterait le grand débat, mais qu’elle serait assistée de personnalités faisant office de garants. Ce que Chantal Jouanno a refusé, toujours pour la même raison : le garant, le seul, ne peut être que la CNDP, puisque c’est précisément sa raison d’être.
Pour lever toutes les équivoques, la CNDP transmet d’ailleurs au gouvernement ce 18 décembre « une proposition de méthode pour la conduite du Grand Débat National » (proposition qui, parmi d’autres documents, figure dans le rapport final de la CNDP, que nous examinerons plus loin).
Dans le lot de ces recommandations figure celle-ci : « Nous déconseillons fortement de préciser publiquement avant le débat les “lignes rouges”, c’est-à-dire les propositions que le gouvernement refusera quoi qu’il advienne de prendre en compte, et plus encore les sujets dont il ne veut pas débattre. L’expérience de la CNDP lui permet d’affirmer qu’afficher une telle position avant l’ouverture du Grand Débat National en videra les salles ou en radicalisera plus encore les oppositions. Un débat qui ne permet pas d’aborder l’option zéro d’un projet, c’est-à-dire son abandon, est systématiquement un échec. Par contre, il ne vous sera jamais reproché de répondre négativement et de manière argumentée. Nous déconseillons également très fortement d’utiliser les mots de pédagogie, d’explication, ou tout autre terme qui laisse à penser que les décideurs n’écoutent pas et se placent toujours dans une position de supériorité. Plus généralement, l’expérience de la CNDP permet d’affirmer que la seule pédagogie acceptable lors d’un débat est la “pédagogie réciproque” et non unidirectionnelle. Un débat renseigne toutes les parties prenantes des points de vue, des arguments et des informations dont chacun dispose. Enfin le débat ne sert pas à faire accepter les projets, mais à faire émerger leur condition de faisabilité. »
Au chapitre « Neutralité et écoute pendant le Grand Débat National » figure cette autre recommandation : « Pendant le Grand débat national, les membres du gouvernement comme les parlementaires doivent s’engager à adopter une posture d’écoute active […]. La posture d’écoute active implique de ne jamais prononcer de discours en ouverture, en clôture ou depuis une estrade, mais de répondre éventuellement aux questions posées. »
La lettre confidentielle de Chantal Jouanno à Édouard Philippe
Le 21 décembre, Chantal Jouanno sait pourtant, par l’Élysée, que le grand débat ne se déroulera pas sous le pilotage de la CNDP. L’Élysée souhaite toujours qu’elle s’implique, mais seulement à titre personnel. Par une lettre adressée ce 21 décembre à Édouard Philippe, elle lui fait donc savoir qu’elle ne peut pas se livrer à cet exercice. C’est un épisode qui était jusque-là inconnu, car on avait toujours pensé que la décision de se mettre en retrait avait été prise par Chantal Jouanno bien plus tard, le 9 janvier, dans le prolongement des polémiques sur sa rémunération. Or non : dès ce 21 décembre, Chantal Jouanno refuse la mission, telle que le gouvernement la conçoit.
Voici cette lettre qui, jusqu’à présent, n’avait donc jamais été rendue publique.
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JT TVL 25 janvier 2019
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Italie : menacé par des juges pro-migrants, Salvini promet que sa ligne « ne changera pas » et reçoit un soutien massif sur Twitter
21h42Un tribunal de Palerme a recommandé, jeudi, que le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini soit renvoyé devant la justice pour l’affaire des 150 migrants du navire Diciotti bloqués pendant dix jours en août dernier dans le port de Catane.
Matteo Salvini aura-t-il affaire à la justice ? C’est ce que recommande, jeudi 24 janvier, un tribunal de Palerme. L’instance demande que le vice-président du Conseil et ministre italien de l’Intérieur, chef de la Ligue, soit renvoyé devant la justice pour l’affaire des 150 migrants du navire Diciotti bloqués pendant dix jours en août dernier dans le port sicilien de Catane.
« Je risque de passer entre trois et 15 ans en prison pour avoir bloqué l’entrée en Italie d’immigrants illégaux. J’en reste sans voix », a réagi Matteo Salvini jeudi sur Twitter. « Je pose la question au peuple italien : dois-je continuer à être ministre, à exercer mes droits et à remplir mes devoirs, ou bien dois-je demander à tel ou tel tribunal de décider de la politique migratoire ? »
Le dernier mot pour renvoyer Matteo Salvini devant un tribunal revient au Sénat, qui devra voter à ce sujet.
Depuis cette annonce, les réseaux sociaux se sont mobilisés en faveur de Salvini. Le mot-clé #SalviniNonMollare (#SalviniNabandonnePas) est dans le top des tendances Twitter en Italie et dans le monde.
« Merci pour cet incroyable signe d’affection, pour moi c’est très important : ensemble nous sommes plus forts que toutes les menaces. Je n’abandonne pas ! » écrit le ministre de l’Intérieur après la mobilisation de ses partisans suite à la décision de la Cour de Catane qui a demandé l’autorisation de poursuivre Matteo Salvini.
Le leader de la Ligue a ajouté : « Merci à ceux qui me montrent leur affection en tweetant #SalviniNonMollare, nous sommes une communauté merveilleuse ! Oui, je plaide coupable d’avoir défendu nos frontières et notre patrie. Et je n’abandonne pas » et « C’est même une tendance mondiale ! Merci pour votre incroyable affection et votre soutien, de l’Italie et de l’étranger : nous sommes plus forts, vous êtes plus forts qu’eux ! »
« Notre ligne ne change pas et ne changera pas. Personne ne débarquera en Italie. » Le ministre italien de l’intérieur, Matteo Salvini, chef de file de la Ligue (extrême droite), a réaffirmé, jeudi 24 janvier, que les ports italiens restaient fermés pour les navires des organisations non gouvernementales (ONG) secourant des migrants en Méditerrannée.
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CNEWS - Le grand Journal du 22 janvier 2019
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Des clients croient voir Allah sur du papier toilette et obtiennent son retrait (MàJ)
20h1624/01/18
Alors que des vidéos de clients appelant à boycotter Marks & Spencer et saisissant des associations musulmanes devenaient virales sur les réseaux sociaux, la marque a décidé de retirer «définitivement» de la vente ce papier hygiénique en France.
A-t-elle eu «des hallucinations?», comme le suggère un employé de Marks&Spencer? Toujours est-il qu’une cliente du magasin de La Défense, près de Paris, a cru distinguer le nom d’Allah sur du papier toilette vendu par le magasin. L’inscription mise en cause est en fait…le dessin stylisé d’une feuille d’aloe vera. Mais alors que la vidéo de la cliente, appelant à boycotter la marque et saisissant des associations musulmanes, devenait virale sur les réseaux sociaux, Marks & Spencer a décidé de retirer «définitivement» de la vente ce papier hygiénique, que l’enseigne britannique commercialise pourtant depuis cinq ans.
(…) Le Figaro
22/01/18
Le nom d’Allah inscrit sur du papier toilette et vendu dans toutes les boutiques Marks & Spencer. pic.twitter.com/LV1lGgpP8v
— klausstrofob (@Deer_Philosoph) 22 janvier 2019
Des appels au boycott de Marks & Spencer ont été lancés à la suite de la découverte présumée du mot « Allah » sur le papier hygiénique de la marque du supermarché.
[…]
« Récemment, j’ai acheté du papier hygiénique chez Marks & Spencer et subhan’Allah (Gloire à Dieu) quand j’en ai ouvert un, il porte le nom d’Allah, comme vous pouvez le voir.« Alors s’il vous plaît, frères et sœurs, n’achetez pas ce papier hygiénique, ou essayez de boycotter Marks & Spencers, incha’Allah (si Dieu le veut) car chaque papier hygiénique porte le nom d’Allah. »
[…]
Ce ne serait pas la première fois qu’une grande entreprise ait des soucis en adoptant involontairement l’écriture islamique sur des produits populaires.En 1997, Nike avait retiré 38 000 paires de chaussures de sport portant un logo offensant pour les musulmans d’Amérique et a accepté de ne pas vendre la nouvelle gamme en Grande-Bretagne, après que la société a utilisé un logo destiné à ressembler à des flammes sur une ligne de chaussures de basket-ball qui, selon le Council on American- Islamic Relations (CAIR), ressemblait au mot « Allah » écrit en arabe.
En janvier de l’année dernière, le magasin de vêtements H&M a retiré une série de chaussettes des étagères après que les clients se sont plaints qu’une partie du motif ressemblait au mot arabe pour Allah écrit à l’envers.
Il y a à peine une semaine, le géant mondial de la vente en ligne Amazon a annoncé sa décision de retirer de son site une sélection de produits contenant des écritures islamiques à la demande d’un groupe américano-musulman de défense des droits civils. Les produits controversés comprenaient des housses de siège de toilette ornées d’une iconographie islamique.
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Audition de Benalla devant les sénateurs: ce qu'il faut en retenir
+ plusieurs vidéos
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Salvini : « La fermeture des ports italiens aux navires d’ONG sauve des vies, moins d’arrivées de migrants signifie moins de morts »
22h06(ANSA) – Rome, le 21 janvier – Le vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, a déclaré que le gouvernement entend poursuivre sa politique de fermeture des ports italiens aux navires transportant des migrants sauvés en Méditerranée.
« Il est nécessaire de mettre les trafiquants d’êtres humains en prison », a déclaré le leader de la Ligue, Salvini, dans une déclarationen direct sur Facebook dimanche.
« Ils doivent savoir que les ports italiens sont fermés – c’est le seul moyen de sauver des vies humaines. »
« L’année dernière, moins de migrants sont arrivés et il y a eu moins de morts ».
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C'était aussi un 19 janvier...
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JT TVL lundi 21 janvier 2019
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Les antifas d'extrême-gauche pointés du doigt dans l'agression d'un journaliste... VIDEOS
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Bautzen (All.) : des inconnus ont planté des croix portant les noms de victimes tuées par des migrants
20h21Allemagne – Des croix ont été érigées ce week-end dans la vieille ville de Bautzen. Elles portaient des noms de victimes tuées par des migrants.
Le Protschenberg à Bautzen est une destination populaire pour les randonneurs. De la colline de la Spree, vous avez une vue magnifique sur la vieille ville. Le week-end dernier, les Bautzener ont été confrontés à une action macabre.
Des inconnus avaient érigé de grandes croix en bois sur un terrain. Selon la police, ils contenaient les noms de personnes tuées par des étrangers.
La police a saisi un total de 23 croix en deux jours.
Pour le maire de Bautzen, Alexander Ahrens (SPD), il ne s’agit pas seulement d’un délit administratif, qui a été commis lors de l’érection des croix. À son avis, l’incitation à la haine raciale est une infraction criminelle. M. Ahrens a déclaré qu’il n’était pas illégal de critiquer la politique d’immigration du gouvernement. Mais il est tout à fait illégal de dénoncer un groupe entier – les migrants – et dire qu’ils sont venus ici pour tuer des gens. « C’est une généralisation qui n’est pas permise et que je trouve absolument répugnante ».
NdB: Monsieur le maire , il semble que la vérité vous gêne ?
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La nouvelle "Naqba" palestinienne : un centre commercial qui embauche... des Palestiniens
par Bassam Tawil • 20 janvier 2019
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« L'enseigne Rami Levy ne pratique aucune discrimination ethnique, sexuelle ou religieuse à l'embauche. Tous les employés, Palestiniens ou Israéliens, sont traités sur un pied d'égalité et reçoivent des avantages égaux. Les salaires et les promotions sont au mérite en fonction de la performance de chacun. Tous les employés de Rami Levy doivent avoir les mêmes chances de réussir, tel est mon objectif. » - Rami Levy, principal actionnaire du troisième groupe de distribution d'Israël, emploie 4 000 salariés, dont la moitié sont des Palestiniens et des Arabes israéliens.
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Selon Hatem Abdel Qader Eid, responsable du Fatah, les investisseurs palestiniens auraient pu bloquer le projet de centre commercial de Rami Levy en investissant dans un projet palestinien concurrent. « C'est vrai qu'il y a de riches hommes d'affaires palestiniens ... »
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Ayant échoué à empêcher l'ouverture du centre commercial, le Fatah et ses partisans utilisent l'intimidation et la violence. Leurs menaces visent les consommateurs et les commerçants palestiniens qui ont ouvert une boutique dans le nouveau centre commercial.
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Si l'achat d'un litre de lait israélien fait d'un Palestinien un traître, quel sort le Fatah réservera-t-il au premier Palestinien qui osera évoquer un compromis avec Israël ? S'il a de la chance, une bombe incendiaire tentera de l'intimider. S'il n'a pas de chance, il sera pendu en place publique.
Le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a tenté de torpiller le nouveau centre commercial de Jérusalem-Est, un établissement dont les salariés et les clients sont principalement arabes. Photo : un centre commercial Rami Levy de Jérusalem ouest. (Source de l'image : Yoninah / Wikimedia Commons)La colère gronde au Fatah, le parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Un homme d'affaires israélien a ouvert un centre commercial à Jérusalem-Est et la plupart des employés et clients sont Arabes.
Les dirigeants du Fatah ont appelé au boycott du centre commercial.
Le Fatah que les médias occidentaux décrivent comme une organisation « modérée », agit comme n'importe quelle organisation palestinienne : empêcher la population palestinienne de tirer un avantage quelconque de sa proximité avec Israël.
Quel dirigeant au monde peut condamner un projet qui crée plusieurs centaines d'emplois ? Dans quel pays un chef d'Etat demande-t-il à son peuple de boycotter un centre commercial ou un supermarché qui propose des vêtements et de la nourriture à des prix compétitifs ? Seuls les dirigeants palestiniens qualifient de catastrophe ("nakba") un projet commercial qui facilite la vie de la population.
GATESTONE Institute
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ACTE X : les Gilets Jaunes ne lâchent rien!
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Robert Ménard : « L’autre performance, c’est la capacité des maires à oublier ce que le même Macron leur a fait ! »
Emmanuel Macron a lancé le coup d’envoi du débat national devant 653 maires normands : il s’est exprimé durant plus de six heures et demie. Robert Ménard réagit à cette « performance ».
À la veille de l’arrivée d’Emmanuel Macron dans sa région, le maire de Béziers – ville emblématique de la France périphérique – déplore ne pas avoir été invité.
Emmanuel Macron a lancé, hier, le grand débat national face à 653 maires normands. Il s’est exprimé plus de six heures sur de nombreux sujets. Qu’avez-vous pensé de cette performance ?On ne peut pas lui retirer un vrai talent. S’exprimer plus de six heures devant les maires avec l’aisance qui est la sienne, ce n’est pas rien. Reste l’autre performance : faire oublier aux maires ce que le même Macron leur a fait depuis qu’il est élu. Je suis sidéré de voir un certain nombre d’élus oublier qu’Emmanuel Macron méprise la province, les villages, la ruralité et tout ce qui n’est pas parisien. On tomberait à la renverse en voyant que les maires lui ont fait une ovation. Ils ont perdu la tête.
Emmanuel Macron avait cependant reconnu l’utilité des maires dans sa lettre ouverte aux Français. Cela vous a-t-il convaincu ?Tous les sondages disent que les maires sont les seuls élus populaires en France. En revanche, qu’Emmanuel Macron, ce Président particulièrement impopulaire, ait l’intelligence et le machiavélisme d’utiliser ce qu’il a tout le temps critiqué et méprisé, c’est-à-dire leur popularité, pour en tirer parti et renouer des liens avec les Français, la ficelle est un peu grosse.
Je suis évidemment pour le débat, mais je ne veux pas être instrumentalisé. J’ai le vague sentiment qu’on assiste à une véritable instrumentalisation. Je suis plus qu’étonné que les élus n’y prennent pas garde.
C’est un peu comme tous ces gens qui fréquentent des gens connus et qui ont l’impression qu’il y a une sorte de poussière d’or qui leur retombe sur les épaules, juste parce qu’ils fréquentent des puissants. Je me contrefous de fréquenter des puissants et je m’étonne qu’un certain nombre de maires acceptent de jouer ce jeu-là.
Que les maires soient les porte-parole des gens qui sont descendus sur tous nos ronds-points depuis des mois, bien sûr. Mais qu’ils servent de courroie de transmission à un pouvoir qui est à ce point discrédité, il me semble que ce n’est pas tout à fait la même chose.Emmanuel Macron continue sa tournée. Il se rendra, demain, dans le Gers, à quelques kilomètres de Béziers. Êtes-vous convié ?
C’est la même région, mais c’est un peu plus que quelques kilomètres ! Je n’ai, bien sûr, pas été convié. Béziers est l’exemple même de cette ville moyenne et de cette France périphérique. Elle a deux quartiers prioritaires. Elle connaît des difficultés et des succès.
Évidemment, monsieur Macron n’a pas imaginé nous inviter. Je lui avais écrit pour lui dire que j’étais prêt à le recevoir dans ma ville. J’ai reçu une réponse du genre « J’ai bien noté votre CV, je le laisse sur la pile et on en reparlera une prochaine fois ».
Tout cela finit par ressembler à une mascarade.Tribune reprise de Boulevard Voltaire
NOVOpress
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JT TVL vendredi 18 janvier 2019
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245 millions de chrétiens sont persécutés dans le monde en raison de leur foi, soit un fidèle sur neuf
22h27245 millions de chrétiens sont persécutés dans le monde en raison de leur foi, selon l’ONG Portes Ouvertes. Le Nigeria est le pays où être chrétien est le plus dangereux.
La situation empire pour les chrétiens à travers le monde. Au Pakistan, les images de milliers de manifestants réclamant la mort d’Asia Bibi, la chrétienne accusée de blasphème, ont crûment rappelé les menaces qui pèsent sur certaines communautés chrétiennes. Dans son dernier «Index mondial de la persécution des chrétiens», l’ONG protestante Portes Ouvertes dresse un classement des pays les plus inhospitaliers aux chrétiens. Les chiffres sont effrayants: 245 millions de chrétiens sont persécutés dans le monde soit un fidèle sur neuf. Parmi eux, 4 305 ont été tués pour leur foi, et 3 150 sont emprisonnés.
«La persécution des chrétiens est comme un lac», explique au Figaro Michel Varton, le directeur de Portes Ouvertes France. «En 2019, il est plus large, puisqu’il concerne davantage de pays, plus profond, puisque ces persécutions sont plus intenses, et à la surface, il y a une tempête, car le nombre de personne tuées a augmenté».