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Blog - Page 1106

  • Mariage gay : le PS dénonce «les propos honteux» de Serge Dassault

     

    Le sénateur de l'Essonne a "dérapé" mardi en répondant à une question sur le mariage pour les couples homosexuels.

    Publié le 07.11.2012, 11h01 | Mise à jour : 19h15

    Alors qu'il était interrogé sur le projet de loi sur le mariage pour les couples homosexuels, le sénateur de l'Essonne Serge Dassault, 87 ans, a proposé une curieuse relecture de l'histoire de la Grèce antique : «On veut un pays d'homos ? Dans dix ans y'a plus personne, c'est stupide», a-t-il affirmé mercredi dans un entretien enregistré par Culture et repéré par le Lab d'Europe1. Et d'ajouter : «Regardez dans l'Histoire, la Grèce, c'est une des raisons de sa décadence.

     

    C'est l'arrêt de la famille, c'est l'arrêt du développement des enfants, c'est l'arrêt de l'. C'est un danger énorme pour l'ensemble de la nation, énorme».

    Au de cette réunion, qui s'est tenue mardi, Serge Dassault avait également déclaré : «La note de la France risque d'être dégradée, et pendant ce temps, on parle de mariage homo, de conneries comme ça !», indique encore le journaliste de France Culture.

    «Propos honteux de S.Dassault», a réagi le porte-parole du PS, David Assouline sur son compte Twitter. «Que dit l'UMP ? Et Messieurs Copé et Fillon? La vulgarité homophobe serait-elle plus tolérable que les autres ?», demande le responsable socialiste, alors que le projet de loi sur le mariage homosexuel a été présenté ce mercredi en Conseil des ministres.

    De la même façon, Nadjat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement, interrogée sur BFMTV, a demandé à l'UMP de «condamner» les propos de Serge Dassault, appelant ce dernier à mieux les mesurer.



    Les propos de Serge Dassault sur France Culture (à partir de 13 min 14)

     
     
    Le Parisien




  • Le camp Romney après sa défaite - L'Amérique blanche en déclin - Barack Obama un président métis pour une population métissée

    Après la défaite de Mitt Romney à la présidentielle américaine, le parti républicain va devoir faire face à la rénovation. Décryptage.

    La victoire de Barack Obama mardi à la présidentielle américaine a révélé la déconnexion croissante des républicains avec les minorités américaines. Au menu des mois à venir pour le parti de l'éléphant : une réflexion urgente sur son avenir pour prétendre reprendre la Maison Blanche dans 4 ans. Le virage à droite du parti depuis 2010, quand la vague du "tea party" avait porté au Congrès des dizaines d'élus ultra-conservateurs, semble aussi avoir trouvé ses limites dans les urnes, avec notamment la perte d'un précieux siège au Sénat, dans l'Indiana, par un candidat issu de la mouvance.

    Plus encore qu'en 2008, les électeurs hispaniques ont voté en masse pour Barack Obama, à 71% contre 67%, selon les sondages de sorties d'urnes réalisés mardi. Le chiffre est encore plus haut pour les Asiatiques (73%) et les Noirs (93%). Les démocrates revendiquent une "coalition Obama", mêlant les électeurs non blancs, les jeunes de moins de 30 ans, les femmes et -nouveau groupe électoral visible- les homosexuels. Trois sur quatre ont voté Obama.

    Nouveau coup dur pour le Tea Party

    Les réservoirs de voix de Mitt Romney se trouvent chez les hommes, les blancs et les plus de 65 ans, des groupes démographiques qui prennent de plus en plus les allures d'un bastion en déclin. Des personnalités conservatrices ont lancé la charge de la rénovation mardi soir. "Les républicains ont fait un travail pathétique pour attirer les gens de couleur, c'est une chose sur laquelle il faut qu'on travaille", a lancé Mike Huckabee, candidat à la primaire républicaine de 2008. "Les républicains doivent vraiment aborder les questions de société qui motivent les jeunes, et cela veut dire les sujets sur lesquels les chrétiens conservateurs et les évangéliques se battent, comme l'avortement, la contraception, les droits des homosexuels" analyse Christopher Arterton, professeur à l'Université George Washington.

    Selon cet observateur des mouvements politiques, le scrutin marque aussi "un coup dur contre le Tea party et le grand enthousiasme né en 2010 parmi les conservateurs". Mais ce sont les hispaniques qui préoccupent le plus la génération montante du parti républicain. Ils représentent aujourd'hui 10% des électeurs, et davantage en Floride (16%), dans le Nevada et l'Arizona (19%), trois Etats-clés. Hispaniques et asiatiques pourraient peser à eux seuls 40% de l'électorat en 2050, selon les projections de l'institut Pew. "Si les républicains ne parviennent pas à élargir leur base démographique, ils disparaîtront tout comme le parti Whig dans les années 1850", prédit Allan Lichtman, professeur d'histoire àl'American University à Washington, en référence à ce parti rongé par les divisions sur la question de l'esclavage. Le populaire sénateur de Floride Marco Rubio, d'origine cubaine, pourrait contribuer à la relance des négociations sur une loi de régularisation de certains des 12 millions d'immigrés sans papiers, au point mort depuis des années.

    TF1 - 07/11/12

  • En 2013 Poutine attend Obama en Russie

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    Vladimir Poutine a félicité Barack Obama à l'occasion de sa réélection au poste de président des Etats-Unis et a confirmé l'invitation à se rendre en visite en Russie l'année prochaine, rapporte le service de presse du Kremlin.

    Dans son message le chef de l'Etat russe a apprécié à sa haute valeur une large victoire du candidat du Parti démocrate remportée à l'issue d'une campagne électorale tendue. Vladimir Poutine a mis en relief les résultats de ces dernières années enregistrés dans le développement des relations entre la Russie et les Etats-Unis et a exprimé l'espoir que le travail conjoint constructif se poursuivrait.

    La Voix de la Russie

  • Barack Obama triomphe pour le statu quo

     

    Ce matin, des premiers enseignements peuvent être tirés de la réélection de B. Obama sorti vainqueur du scrutin du 6 novembre 2012.

    Sur le plan géopolitique, la nouvelle victoire d’Obama a certainement été une douche froide à Jérusalem pour les jabotinskistes. A peine reconduit dans les affaires, B. Obama n’a certainement pas le désir de voir les cours de l’énergie s’envoler avec une attaque contre l’Iran, réduisant à rien la timide croissance de l’économie américaine. En outre, Obama sait que ses mentors partagent ce même point de vue comme nous l’avons annoncé dans le dernier numéro de LIESI. Il y a un calendrier que d’aucuns veulent gérer dans une certaine paix civile jusqu’en 2016… à moins bien sûr d’un grain de sable providentiel. Certains membres de l’équipe de B. Netanyahu rêvaient d’une victoire de M. Rommey, et sitôt installé à la Maison Blanche de le voir passer à l’action contre l’Iran. L’accalmie est probable et du temps est nécessaire pour avancer tranquillement vers ce Nouvel Ordre Mondial dont les étapes sont bien gérées par le président Obama, comme l’avait d’ailleurs exprimé Henry Kissinger il y a quelques années.

    Sur le plan monétaire, aucune flambée des taux américains n’est à attendre à brève échéance comme d’aucuns l’affirmaient dans l’éventualité d’une victoire du candidat républicain. L’accalmie et le scénario actuel devraient dominer. Premier commentaire des banquiers de Citigroup qui s’attendent à « une nette détente sur les taux, une hausse de l’or, un marché actions globalement stable et une pression à la baisse sur le dollar ». C’est d’ailleurs bien cela qui se produit ce matin sur les marchés des changes.

    On évoque aujourd’hui le « mur budgétaire » (un ensemble de coupes automatiques des dépenses publiques et de relèvement des impôts de quelque 600 milliards de dollars qui menace le pays si la Maison blanche et le Capitole ne s’entendent pas d’ici la fin de l’année). Il est difficile d’imaginer qu’aucun accord ne puisse survenir entre les deux groupes démocrates et républicains sur ce point. Nous verrons bien. Commentaire de chez Natixis : « Les tractations sur le fiscal cliff vont demeurer difficiles d’autant que le Congrès actuel restera en place jusqu’au 3 janvier et qu’il faudra trouver un accord courant janvier avant notamment que les exemptions d’impôts ne soient appliquées automatiquement sur les salaires à la source. » De toutes les façons, les choix se feront au-dessus de la mêlée, par ceux qui se jouent des agences de notation…

    E & R

  • Romney battu, Obama réélu de justesse

    Posté par le 7 novembre 2012

     

    Obama a donc été réélu sans trop de difficultés cette nuit (heure de Paris), mais de justesse, face à un adversaire coriace qui ne lui a rien épargné. Pourtant, son bilan est loin d’être positif. L’historien des Etats-Unis André Kaspi notait dernièrement combien était grande la désillusion d’une « obamania » qui aura fait long feu. En somme, il n’y a qu’en Europe, et plus précisément en France, que le premier président « de couleur » de l’hyperpuissance US fait encore rêver… Il est le premier chef d’État US depuis Franklin Delano Roosevelt à être réélu avec un taux de chômage aussi élevé : 7,9 % en octobre. Seul Ronald Reagan, réélu en 1984 avec 7,4 % de chômage, avait réussi une pareille prouesse. Cette profonde fragilisation de la société américaine aura potentiellement été la clé de l’échec d’un Mitt Romney qui s’est marqué bien trop à droite lors de cette campagne, comme son entourage immédiat semble l’analyser au soir de sa défaite.

    Car il est évident que le bilan de Barack Obama est globalement négatif, en dépit d’un hallucinant prix Nobel de la paix en 2009, sans doute afin de prévenir les très nombreuses agressions aux conséquences déplorables sur l’ensemble du globe dont le chef de la Maison Blanche est directement responsable, hier la Libye, demain peut-être la Syrie. Il y a quatre ans, Obama promettait la paix, il nous a servi la guerre. Hier l’Afrique-du-Nord (qui concerne directement la France) était encore partiellement stable, aujourd’hui, après le Printemps arabe largement instrumentalisé par les USA, des régimes autoritaires laïcs ont été remplacés par une somalisation qui préfigure l’avènement de dictatures islamistes inquiétantes. En Tunisie et en Egypte, les salafistes disputent le pouvoir aux Frères musulmans, en Libye le chaos prédomine partout et c’est le règne des bandes jihadistes surarmées, le Sahel est totalement déstabilisé et même le Maroc craint pour son avenir face à la poussée islamiste dans les urnes.

     

    Si Mitt Romney avait été élu, la déstabilisation mondiale aurait été mille fois supérieure à ce qu’elle est avec Obama, c’est une évidence. Rappelons-nous que l’ancien adversaire de Barack Obama à la précédente présidentielle US, le très conservateur sénateur John McCain, s’était précipité courant 2011 à Benghazi soutenir les jihadistes qui affrontaient les troupes de Muammar Kadhafi en plein guerre civile. En août 2008, quand Moscou était militairement intervenu contre les forces armées du dictateur géorgien Saakachvili qui voulait mater le petit peuple ossète, le même John McCain prônait une intervention armée contre la Fédération de Russie qui aurait immanquablement dégénérée en guerre mondiale. Romney est de la même veine : encore plus proche des milieux ultraconservateurs de la droite israélienne que ne l’est Obama, comme le relève le géopolitologue néoconservateur Daniel Pipes dans sa chronique du 4 septembre de la National Review, « les attitudes envers Israël servent de test préliminaire pour les points de vue sur d’autres questions relatives au Moyen-Orient : si je connais vos opinions sur Israël, j’ai déjà une idée de votre façon de penser sur des sujets tels que la politique énergétique, l’islamisme, les guerres en Irak et en Afghanistan, l’AKP qui dirige la Turquie, l’accumulation du nucléaire iranien, l’intervention en Libye, la présidence de Mohamed Morsi en Egypte, et la guerre civile syrienne ». Et d’ajouter : « Je prédis également que Romney, s’il est élu, sera à la tête du gouvernement le plus chaudement partisan jamais connu d’Israël, surpassant de loin les deux gouvernements de Bill Clinton ou de George W. Bush ». De fait, et son entourage n’en a pas fait mystère, Romney aurait très certainement engagé son pays et ses alliés occidentaux dans un affrontement contre l’Iran aux conséquences incalculables. Déjà, lors de sa campagne, Mitt Romney avait appelé à armer les insurgés syriens, y compris les bandes islamistes. Reste à savoir si ce genre de mesure plaiderait en faveur d’une réelle sécurisation d’Israël, les groupes jihadistes et leurs riches mécènes du golfe Persique comme le Qatar étant tous très hostiles à l’Etat hébreu…

    Des perspectives géostratégiques qui ne semblent donc pas avoir convaincu l’électeur américain moyen, plus préoccupé par une situation économique mondiale inquiétante car directement responsable de son plus proche quotidien.

    Sur le plan intérieur, cette réélection est sans doute due en partie au positionnement de Mitt Romney concernant le social. La réforme du système de protection sociale fut vraisemblablement la meilleure disposition du premier mandat de Barack Obama envers l’Amérique des plus humbles, des exclus du rêve que l’hyperpuissance aime à évoquer dans sa propagande. La Cour suprême a validé de justesse cette nouvelle loi en juin dernier. En permettant à chacun d’avoir une protection et des soins abordables, Obama a doté son pays d’un équivalent à notre sécurité sociale, mettant ainsi partiellement fin à un système inégalitaire et totalement injuste dans lequel près de 20 % de la population de la première puissance politique, économique, financière et militaire du monde n’avait aucune couverture sociale. Ces dispositions furent, et sont encore, combattues avec vigueur par tous ceux qui soutinrent Mitt Romney, et ses proches ne cachaient pas qu’une fois élu, la nouvelle administration ferait en sorte de revenir largement sur cette avancée sociale. C’est cela qui a sans doute fait peur à toute une partie de l’électorat, des plus modestes aux classes moyennes fragilisées par la crise. Toute politique se juge à ses résultats !

    A la différence de 2008, Obama a ne pourra pas compter sur une majorité au Congrès : la Chambre des représentants, reconquise en 2010 par les républicains, reste aux mains des conservateurs. L’Amérique continuera donc à « veiller » sur le monde comme un prédateur sur sa proie. Il n’y a rien à attendre de la réélection de Barack Obama, ni pour le peuple américain fragilisé par les conséquences d’une crise globale systémique dont ses dirigeant sont grandement responsables, ni pour nous, peuple français, dont le gouvernement en place (comme son prédécesseur), vassalisé aux options géopolitiques d’outre-atlantique, restera le fidèle serviteur d’une politique qui ne sert pas nos intérêts.

    NPI

  • Toulouse: il se fait rouer de coups pour un simple coup de klaxon

     
    Lors d'une intervention de police à Arnaud-Bernard./ Photo DDM-archives, Yann Foreix. ()

    Lors d'une intervention de police à Arnaud-Bernard./ Photo DDM-archives, Yann Foreix.

    Pour un simple coup de klaxon à un conducteur dont la voiture bloquait la circulation devant lui, un automobiliste a été roué de coups, samedi soir, dans le quartier Arnaud-Bernard, à Toulouse. Victime de plusieurs coups assenés par une vingtaine de personnes sorties d'un bar de la place, l'automobiliste a été hospitalisé. Les policiers ont interpellé sept individus âgés de 30 à 50 ans.

    Il était environ minuit, samedi, lorsqu'un automobiliste se retrouve bloqué dans une rue du quartier Arnaud-Bernard, par une voiture en stationnement. Considérant sans doute que la route n'est pas un parking, l'automobiliste klaxonne pour signifier au conducteur devant lui qu'il faudrait presser le pas. Ce dernier n'apprécie pas et sort de son véhicule, imité par une vingtaine de clients d'un bar voisin venus lui prêter main-forte. L'automobiliste dont le seul tort a été de faire respecter les règles de civisme au volant a été attaqué par le groupe muni de cannettes, de chaises et autres objets plus ou moins contondants. Une scène choquante et disproportionnée au regard du motif à l'origine de ce déchaînement.

    Alertés, les policiers interviennent pour ramener de l'ordre et interpeller sept individus soupçonnés d'avoir donné les coups. Hospitalisée dans un CHU, la victime souffre de nombreuses contusions. Les auditions des suspects se sont poursuivis hier au commissariat.

    Midi Libre - 05/11/12

     

  • Le Journal de Syrie 6 novembre 2012

  • Vladimir Poutine limoge son ministre de la Défense pour corruption

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    MOSCOU (Reuters) - Vladimir Poutine a limogé mardi son ministre de la Défense, Anatoli Serdioukov, impliqué dans un scandale de corruption de plusieurs millions de dollars et l'a remplacé par Sergueï Choïgou, ancien ministre des Situations d'urgence.

    Le président russe a annoncé à la télévision avoir remercié Anatoli Serdioukov, qu'il avait nommé à son retour au Kremlin, en mai, en raison de l'apparition de son nom dans une affaire de ventes présumées frauduleuses de biens militaires.

    "Considérant la situation concernant le ministère de la Défense et afin de réunir les conditions propices à une enquête objective sur tous les sujets, j'ai décidé de libérer de ses fonctions le ministre de la Défense Serdioukov", a expliqué Vladimir Poutine lors d'une réunion avec Sergueï Choïgou.

    Serdioukov a présidé jusqu'en 2011 le conseil d'administration de la société militaire publique Oboronservis, détenue par l'Etat et spécialisée dans l'approvisionnement de l'armée, dont les locaux ont été perquisitionnés fin octobre.

    Une commission d'enquête estime que des détournements de fonds se sont produits dans cette société travaillant pour le ministère de la Défense. Les enquêteurs ont déclaré que trois milliards de roubles (96 millions de dollars) avaient disparu des comptes du sous-traitant militaire.

    L'enquête s'est également intéressée aux relations de Serdioukov avec une ancienne responsable militaire de haut rang dans l'appartement de laquelle ont été retrouvés des dizaines de tableaux de prix, de rares antiquités et plus de 100 bagues de valeur.

    D'après un tabloïd russe bien renseigné sur le personnel de la sécurité du pays, Serdioukov était présent dans l'appartement au moment de la perquisition.

    Le contrôle qu'exerçait l'ancien ministre de la Défense sur le budget de l'armement lui a valu des ennemis parmi les personnalités ambitieuses du Kremlin, dont le vice-Premier ministre Dmitri Rogozine qui supervise l'industrie de défense du pays, selon des sources gouvernementales.

    Ses réformes militaires, qui ont entraîné la réorganisation d'unités, la suppression de plus de 100.000 postes d'officiers et mis à jour de hauts niveaux de corruption, l'ont aussi rendu impopulaire dans ses propres rangs.

    Le nouveau ministre, Sergueï Choïgou, a dirigé le ministère des Situations d'urgence pendant près de vingt ans, de 1994 jusqu'à cette année, lorsqu'il est devenu gouverneur de la région de Moscou. Sa loyauté à l'égard de Poutine et son parcours vierge de toute affaire de corruption ne sont certainement pas étrangers sa nomination.

    Henri-Pierre André et Juliette Rabat pour le service français, édité par Jean-Loup Fiévet

    Yahoo!Actu - 06/11/12

  • L’arme du silence médiatique

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    par Manlio Dinucci

     

    Les nouvelles technologies de l’information devaient transformer le monde en un village global dans lequel les nouvelles circuleraient instantanément, assurait le sociologue canadien Marshall McLuhan. Il n’en est rien. Un rideau de fer s’est abattu sur les peuples occidentaux qui sont tenus dans l’ignorance d’importants événements d’actualité et ne peuvent pas accéder aux chaînes satellitaires anti-impérialistes.

     

    RÉSEAU VOLTAIRE | ROME (ITALIE) | 30 OCTOBRE 2012

    On dit que le silence est d’or. Il l’est, sans aucun doute, mais pas seulement dans le sens du proverbe. Il est surtout précieux comme instrument de manipulation de l’opinion publique : si dans les journaux, dans les télé-journaux et dans les talk shows on ne parle pas d’un acte de guerre, il n’existe pas dans l’esprit de ceux qui sont convaincus que n’existe que ce dont parlent les médias.

     

    Par exemple, combien de gens savent qu’il y a une semaine la capitale du Soudan, Khartoum, a été bombardée ? L’attaque a été effectuée par des chasseurs bombardiers, qui ont frappé de nuit une usine de munitions. Celle qui, d’après Tel Aviv, fournirait les Palestiniens de Gaza. Israël est le seul à posséder dans la région des avions capables de frapper à 1 900 kms de distance, d’échapper aux radars et de provoquer le blackout des télécommunications, capables de lancer des missiles et des bombes à guidage de précision depuis des dizaines de kilomètres de l’objectif. Des photos satellitaires montrent, dans un rayon de 700 mètres de l’épicentre, six énormes cratères ouverts par de très puissantes têtes explosives, qui ont provoqué des morts et des blessés. Le gouvernement israélien garde le silence officiel, en se bornant à affirmer que le Soudan est «un dangereux État terroriste, soutenu par l’Iran ». Par contre les analystes stratèges parlent, donnant pour sûre la matrice de l’attaque, soulignant que ce pourrait être un essai de celle des sites nucléaires iraniens. La requête soudanaise que l’Onu condamne l’attaque israélienne et la déclaration du Parlement arabe, qui accuse Israël de violation de la souveraineté soudanaise et du droit international, ont été ignorées par les grands médias.

     

    Le bombardement israélien de Khartoum a ainsi disparu sous la chape du silence médiatique. Comme le massacre de Bani Walid, la ville libyenne attaquée par les milices « gouvernementales » de Misrata. Des vidéos et photos, diffusées via Internet, montrent d’impressionnantes images du massacre de civils, enfant compris. Dans un témoignage vidéo dramatique depuis l’hôpital de Bani Walid assiégé, le Dr. Meleshe Shandoly parle des symptômes que présentent les blessés, typiques des effets du phosphore blanc et des gaz asphyxiants. On a appris immédiatement après que le médecin a été égorgé. Il y a cependant d’autres témoignages, comme celui de l’avocat Afaf Yusef, que de nombreuses personnes sont mortes sans être touchées par des projectiles ou des explosions. Corps intacts, comme momifiés, semblables à ceux de Fallujah, la ville irakienne attaquée en 2004 par les forces étasuniennes avec des projectiles au phosphore blanc et des armes nouvelles à l’uranium. D’autres témoins parlent d’un bateau transportant des armes et des munitions, arrivé à Misrata peu avant l’attaque contre Bani Walid. D’autres encore parlent de bombardements aériens, d’assassinats et de viols, de maisons démolies au bulldozer. Mais leurs voix aussi ont été étouffées sous la chape du silence médiatique. Tout comme l’information que les États-Unis, pendant l’assaut contre Bani Walid, ont bloqué au Conseil de sécurité de l’Onu la proposition russe de résoudre le conflit par des moyens pacifiques.

     

    Informations qui n’arrivent pas, et arriveront de moins en moins, dans nos maisons. Le réseau satellitaire mondiale Intelsat, dont le quartier général est à Washington, vient de bloquer les transmissions iraniennes en Europe, et le réseau satellitaire européen Eutelsat a fait de même. À l’époque de l’ « information globale », on ne doit écouter que la Voix de son Maître.

     

     

    Traduction
    Marie-Ange Patrizio

     

    Source
    anifesto (Italie)

     
  • Charlie Hebdo : la déchèterie s’en prend à l’Eglise

     

    La Une de Charlie Hebdo de ce jour représente une immonde caricature de la sainte Trinité, provocation contre l’Église catholique qui fait écho à son opposition, renouvelée récemment par le Cardinal Vingt-Trois, au projet de « mariage » homosexuel. On se souvient, il y a de cela bientôt deux mois, des caricatures de Mahomet que l’hebdomadaire exposait en Une. On se rappelle aussi de l’indignation que cet événements avait suscité dans la classe politique, interpellant le Premier ministre lui-même.

    On s’attend évidemment à ce que ces nouvelles caricatures soulèvent les mêmes réactions de Jean-Marc Ayrault et de ses ministres. A moins qu’à ses yeux, l’Islam soit plus respectable que la religion de ses ancêtres… laquelle a tout de même façonné la terre de France et la civilisation qui s’y enracine, ainsi qu’en témoigne simplement le calendrier qui structure notre temps social. Il est vrai cependant que la gauche ne veut plus considérer l’homme comme un héritier, pas davantage d’ailleurs comme un dévot des vieilles superstitions : l’individu, principe exclusif du droit, doit s’émanciper, nous répète-t-elle sans cesse, aussi bien du passé d’où il vient et des traditions qu’il en a reçues, que du Ciel au-dessus de sa tête.

    Soulignons également -c’est là peut être aussi un début d’explication- que tous les « intégristes« , puisque le mot est convenu, ne jouent pas dans la même cour : certains, lorsqu’ils sont contrariés, manifestent leur mécontentement à la bombe, pendant que les autres sortent leur chapelet pour réparer l’offense faite à Dieu. L’artillerie n’est définitivement pas la même…

    Jean de Rouen

    Contre-info.com
  • Le Projet Apache rend hommage à l’ancien légionnaire mort de froid dans la rue

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     06/11/2012 — 14h00
    PARIS (NOVOpress) — Le 2 novembre dernier, les militants du Projet Apache ont déposé une gerbe de fleurs à l’endroit où Bernard, ancien légionnaire et SDF, a été retrouvé sans vie. Un bandeau bleu-blanc-rouge reprenait la célèbre devise des légionnaires: “Honneur & Fidélité”. Lors de ce dépôt de gerbe, les militants identitaires parisiens ont placardé une affiche indiquant : “Ici, un ancien légionnaire est mort de froid. A Saint-Denis, des clandestins sont logés dans un hôtel trois-étoiles”.

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  • Christian Vanneste voit la même unité de vue entre les chrétiens réunis à Paray-le-Monial et les Identitaires

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    06/11/2012 — 08h00
    PARIS (NOVOpress) — Revenant via un billet sur son blog sur sa participation à la Convention identitaire, Christian Vanneste a affirmé : “J’ai mis à profit ce long week-end de la Toussaint pour participer à deux rencontres très différentes en apparence, et cependant très complémentaires : la première, à Paray-le-Monial était un colloque des Chrétiens engagés en politique. J’y étais en tant que Président de Famille et Liberté. La seconde était une intervention du Président du Rassemblement Pour La France devant le Bloc Identitaire à Orange. Deux atmosphères opposées : d’une part, des échanges très riches intellectuellement entre des responsables chrétiens de sensibilités diverses, des ‘poissons roses’ socialistes à Civitas, avec la modération dans les propos et la recherche du consensus propres aux croyants ; d’autre part, une salle emplie de militants prompts à réagir par des applaudissements ou des huées aux propos des orateurs.”

     

    Ajoutant : “Et pourtant, le problème principal était le même. L’Europe a renoncé à inscrire les valeurs chrétiennes dans le socle de sa Constitution. En niant de façon aussi aveugle son identité, elle a perdu son âme et s’est réduite à n’être que la machine à produire des directives conformes à la pensée unique de la technocratie.”

    C’est pourquoi, selon le député honoraire et président du RPF, “de Paray-le-Monial à Orange, avec une halte devant les restes de l’église abbatiale de Cluny, chemin faisant, l’image de la France comme un grand fleuve qui a accueilli de nombreux affluents tout en demeurant lui-même, m’est apparue évidente. Ce fleuve au parcours tumultueux, s’il veut continuer sa route, doit avoir confiance en lui et savoir, non sans fierté, qui il est : un pays chrétien, de culture greco-latine, dont l’histoire militaire a été riche, mais qui a a beaucoup apporté au monde sur le plan scientifique, médical, culturel. C’est donc bien la même volonté d’affirmer une identité qui animait à la fois les Chrétiens de Paray et les militants réunis à Orange. Ils ne le disent pas de la même manière, mais, ils disent la même chose : on ne dessine pas un portrait avec une gomme.

    Crédit photo : DR

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  • "Une autre voix"

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  • Après la Convention d’Orange, Julien Dray veut la dissolution de toutes les structures identitaires

     

    6 novembre 2012

    Après la Convention d’Orange, Julien Dray veut la dissolution de toutes les structures identitaires
     
     

    06/10/2012 — 10h00
    PARIS (NOVOpress) — Il faut croire que certains cadres du parti socialiste (PS) ont du mal à accepter certaines décisions de leur gouvernement. Tel est le sentiment que l’on peut avoir à la suite des dernières déclarations de Juien Dray. En effet, ce “modèle” de vertu et d’honnêteté républicaines souhaite, malgré l’avis négatif du gouvernement, la dissolution de toutes les structures identitaires.

     

    C’est ce qu’il proclame et exige via son blog : « Pour une dissolution de la nébuleuse identitaire ». Précisant : « Après la “Convention identitaire » de ce week-end à Orange, après les multiples déclarations racistes proférées en son sein par des intervenants européens ou français. Les uns, comme Mario Borghezio, de la Ligue du Nord italienne clamant ”Vive les Blancs de l’Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race” et invoquant Robert Brasillach, les autres traitant le Premier Secrétaire du PS [Jean-Philippe "Harlem" Désir – cofondateur de SOS racisme avec Julien Dray –, note de Novopress] de “kapo”, il devient urgent de s’interroger sur les moyens que la République entend utiliser pour se défendre. Il est désormais urgent d’engager la dissolution des organes de la mouvance identitaire. »

    Et Julien Dray ne fait pas dans la dentelle, puisqu’il exige la dissolution de toutes les structures identitaires : « Il faut, pour être efficace, dissoudre toutes les sécrétions du Bloc Identitaire : “Génération identitaire”, auteur de l’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers, Nissa Rebela ou Rebeyne, Projet Apache ou encore le groupe Lugdunum Torgnole pudiquement défini comme “une association sportive créée par Rebeyne! pour enseigner et valoriser la pratique de sports de défense”. Chacun verra derrière ces groupes non pas des associations culturelles mais des groupes violents, radicalement hostiles à notre République et qui menacent l’ordre public ou incitent à la haine raciale. » (sic)

    Le délire totalitaire et le plus sectaire de Julien Dray restant pour la fin de son billet : « Evidemment la dissolution de cette petite armada de groupes extrémistes ne suffira pas à faire disparaitre ces idées si dangereuses pour notre communauté nationale. Mais il convient de le faire, parce qu’il s’agit de la première étape d’une reconquête culturelle républicaine de notre pays. »

    Crédit photo : Thesupermat via Wikipédia (cc)

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • [Exclusif] Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, répond aux attaques de Julien Dray

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     Photo : Fabrice Robert à la Convention Identitaire, 4 novembre 2012.

    Novopress : Julien Dray vient de publier une tribune dans laquelle il réclame la dissolution de la “nébuleuse identitaire”. Quelle est votre réaction ?

    Fabrice Robert : Julien Dray qui – rappelons-le – est l’un des fondateurs de SOS Racisme, ne semble pas avoir apprécié ma sortie contre son “pote” Harlem Désir lors de la Convention identitaire. Sa réaction démontre que l’antiracisme est bien une idéologie mortifère et liberticide qui cherche à bâillonner tous ceux qui refusent leur modèle de société multiculturelle et anti-traditionnelle.


    Il s’agit de museler toute expression de fierté autochtone et de criminaliser toute critique de l’immigration massive en France. Ce processus de culpabilisation du Français de souche européenne doit ainsi permettre de faciliter et justifier dès lors la submersion migratoire.

    Ainsi, ceux qui ont les mots démocratie et liberté plein la bouche proposent la répression – comme seule réponse – à ceux qui refusent ce nouveau totalitarisme. Harlem Désir mais également l’ensemble des représentants de l’antiracisme d’Etat sont donc bien des petits kapos !

    Novopress : Quelles sont les motivations de Julien Dray ?

    F.R. : Julien Dray s’en prend, en priorité, au Bloc identitaire, mouvement que je préside et qu’il présente comme “le navire amiral de cette mouvance”. D’après lui, “Trop d’actes lourds de sens sont commis par cette mouvance pour que nous restions inertes, pour que la République se garde de rappeler ces groupes aux règles les plus élémentaires du bien commun.” Mais il en profite aussi pour désigner un certain nombre de structures telles que Génération identitaire, Projet Apache ou bien encore Nissa Rebela, le mouvement niçois associé au Bloc identitaire et qui se présente aux élections depuis un certain nombre d’années. Il faudrait demander aux milliers d’électeurs de Nissa Rebela s’ils se considèrent comme des délinquants, bons à dissoudre parce qu’ils refusent de se soumettre aux diktats des ennemis de nos identités charnelles.

    Je ne suis pas surpris. Je sais que les antiracistes professionnels n’apprécient pas les réflexes populaires, immunitaires et identitaires. Rappelez-vous de Cohn-Bendit qui, mécontent des résultats du référendum sur les minarets en Suisse, avait proposé de refaire voter le peuple !

    Je me demande si finalement le ringard Julien Dray n’essaye pas de profiter de l’exposition médiatique dont bénéficient les Identitaires pour continuer encore à exister…

    Novopress : Depuis l’élection de François Hollande, le mouvement identitaire apparaît comme une cible du nouveau pouvoir en place :

    F.R. : Dès le lendemain de l’élection de François Hollande, nous avons lancé la campagne “Pas mon président” pour signifier que les Identitaires comptaient être en première ligne dans la lutte contre le nouveau pouvoir en place. En septembre dernier, le Bloc identitaire a également annoncé une grande campagne contre l’idéologie antiraciste intitulée “Pleven 1972 – Hollande 2012 : 40 ans d’« antiracisme »”.

    La désignation d’Harlem Désir à la tête du PS marque plus que jamais, pour nous, l’orientation idéologique des cadres du Parti politique le plus puissant de France.

    Depuis le début, nous savons que le pouvoir PS ne nous fera pas de cadeaux. Mais il est vrai que depuis quelques semaines, certains ténors du PS (Valls, Harlem Désir et maintenant Julien Dray) réclament la tête des Identitaires. A force d’employer le mot dissolution, ils vont finir par sponsoriser des marques de dissolvants

    Pour notre part, nous restons sereins. Ils paniquent car ils savent que nos idées sont dans toutes les têtes aujourd’hui. Faut-il alors dissoudre Jean-François Copé qui parle comme nous du racisme anti-blanc ? Faut-il dissoudre ces 68 % de Français qui considèrent que les musulmans ne font aucun effort pour s’intégrer (Sondage IFOP-Le Figaro) ?

    Plus qu’un mouvement, nous sommes une marque. Nous sommes le peuple !

    Crédit photo : Novopress (cc)

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  • Pakistan : une jeune fille avait discuté avec un garçon, sa mère l’asperge d’acide !

     

     

    Dans un entretien télévisé diffusé lundi par la BBC, une Pakistanaise a avoué avoir tué sa fille en lui jetant de l’acide car elle la soupçonnait d’avoir une relation avec un garçon, estimant que c’était son « destin » de mourir ainsi.

    Zaheen Zafar et son mari Mohammed ont été arrêtés la semaine dernière par la police dans un district du Cachemire administré par le Pakistan, après la mort d’Anusha, leur fille de 15 ans décédée dans d’atroces souffrances à l’hôpital deux jours après avoir été aspergée d’acide. Ils avaient avoué ce crime en expliquant que leur fille les avait déshonorés en discutant avec un jeune homme hors du domicile familial.

    Interrogé en prison par la BBC, Mohammed Zafar a expliqué l’avoir avertie qu’elle ne devait pas regarder les hommes. Son épouse a de son côté confirmé ses aveux : « C’était son destin de mourir ainsi ».

    Les parents d’Anusha ont ensuite attendu deux jours avant de l’emmener à l’hôpital, où elle est arrivée « dans un état très critique », la peau brûlée à près de 70 %, selon un médecin de l’établissement.

    Selon la Commission pakistanaise des droits de l’Homme, au moins 943 femmes ou jeunes filles ont été tuées l’an dernier au Pakistan par leurs proches après avoir été accusées d’avoir sali l’honneur de leurs familles. Ces « crimes d’honneur » sont particulièrement courants dans les zones les plus pauvres et reculées de ce pays musulman très rural et conservateur. Les femmes y sont parfois traitées comme des objets ou des monnaies d’échange, peu protégées par la police et souvent sous pression de leurs familles qui les dissuadent de protester pour ne pas leur faire honte.

    Chaque année plus de 200 femmes dans le pays sont défigurées par des jets d’acide. Le Pakistan est un précieux allié des Occidentaux dans leur guerre contre « l’Axe du Mal », selon la stratégie néoconservatrice définie par Georges Bush Jr. fin 2001. Aussi, le gouvernement pakistanais n’a rien à craindre s’il persiste à ne pas améliorer la condition des femmes dans son pays.

    Source

  • Le Front National lance une pétition contre la repentance permanente

     

    Posté par le 6 novembre 2012

     

    Communiqué du Front National

    « Repentance, non merci ! », voilà le titre de la pétition que le Front National lance ce lundi soir pour dénoncer les multiples actes de repentance de François Hollande au nom de la France et redonner une fierté aux Français.

    Le texte de la pétition est ici.

    Les militants du Front National relaieront sur le terrain cette pétition.