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Biographie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Madeleine_Albright
Information passée quasiment sous silence par les gros médias français. On savait Madeleine Albright haineuse, on ne la savait pas hystérique. L’ex-patronne de la diplomatie de Bill Clinton s’est permise d’injurier publiquement des Serbes le 25 octobre dernier à Prague, provoquant sur la toile de vives réactions. Madeleine Korbel-Albright fut parmi les plus puissants personnages de la planète à pousser à la guerre contre le peuple serbe dans les années 1990 et, notamment, lors de la crise du Kosovo. Aujourd’hui, elle dirige la société Albright Capital Management, qui brigue le rachat de la compagnie publique de télécommunications PTK, l’une des entreprises les plus rentables du Kosovo-Métochie, qui appartient de droit à la nation serbe mais qui lui a été spoliée.
« Sales Serbes ! Dehors ! » sont les propres mots de Madeleine Albright lancés à des membres de l’association des « Amis des Serbes du Kosovo », qui lui demandaient de signer des affiches montrant des victimes serbes des bombardements massifs de l’OTAN au printemps 1999, au cours d’une séance de dédicace de son livre Un hiver à Prague, le 25 octobre dans une librairie de la capitale tchèque.
Les réactions ont commencé après la mise en ligne sur Youtube d’une vidéo de l’incident : elle montre une Madeleine Albright haineuse, prononçant des invectives après avoir demandé à plusieurs reprises à ceux qui l’approchaient de quitter la pièce, perdant la maîtrise de soi. « Comportement lamentable de Madeleine Albright », titrait le site internet de la télévision d’Etat serbe RTS vendredi.
Mme Albright « a révélé son grand dégoût pour les Serbes d’une manière pas très diplomatique », a déclaré le réalisateur tchèque Vaclav Dvorzak, présent à la librairie, dans une interview vendredi sur le site d’information serbe du Novi Standard (voir ici). Sur le site, des dizaines de Serbes, notamment des Serbes de Bosnie, ironisaient sur la sortie de l’ancienne responsable américaine. Ainsi, Sasa Milovanovic, un homme politique serbe de Bosnie affirme que les invectives ont été « signées par la vieille sorcière sanguinaire, Madeleine Albright ». « Elle n’a pas pu résister… », constate Zeljka Dragicevic, chef de cabinet du Premier ministre serbe de Bosnie.
Le fait que cette femme ait été responsable de la diplomatie US, résume à lui seul l’état d’esprit de l’hyperpuissance américaine envers les petits peuples qui refusent de se soumettre au nouvel ordre mondial. A méditer au moment où Belgrade vient de recevoir en grandes pompes Hillary Clinton (épouse de Bill qui fit bombarder la Serbie en 1999), actuelle responsable de la diplomatie US venue se rendre compte de la situation politique et géopolitique dans les Balkans et alors que le peuple américain se choisit un président.
LeParisien.fr
03/11/2012 – 11h00
AMIENS (NOVOpress) – A Amiens, la cinquième édition des parfums d’hiver commencera le samedi 24 novembre et sera placé sous le thème de la Russie. Le site marchedenoel se réjouit de cette initiative : « Pour la quinzième année consécutive, Amiens se transforme, s’anime et s’illumine durant plus de cinq semaines autour du plus grand marché de Noël du nord de la France ».
Erreur ! Car il ne faut plus parler de « marché de Noël » dans la ville picarde.
Comme le déplore Franz-Olivier Giesbert cette semaine dans son éditorial consacré à « cet islam sans gêne » dans Le Point : « C’est ainsi, chose comique, que les notables d’Amiens en sont venus à débaptiser le traditionnel marché de Noël, ô le vilain mot, pour l’appeler marché d’Hiver, ce qui est quand même infiniment plus joli ».
Pas question de chagriner le « vivre ensemble » avec le mot « Noël » en rapport avec les racines chrétiennes de la France. « Vivre ensemble » à l’origine des graves émeutes ayant secoué Amiens l’été dernier…
Crédit photo : François et fier de l’Être, via Flickr, (cc).
[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Le Front National regrette la décision de Manuel Valls d’autoriser l’extradition en Espagne de la militante basque indépendantiste Aurore Martin.
Quelle que soit la nature ou la gravité des faits qui lui sont reprochés, c’est à la justice française et à elle seule de juger Aurore Martin.
En aucun cas, un gouvernement français ne doit extrader ses nationaux.
BORDEAUX (Reuters) - L'arrestation par la France et la remise aux autorités espagnoles de la militante basque française Aurore Martin, membre du parti indépendantiste Batasuna, ont fait monter la tension au Pays Basque vendredi.
Des élus communistes, Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et même socialistes, ont critiqué la décision du ministre de l'Intérieur Manuel Valls, accusé d'aller encore plus loin que son prédécesseur UMP.
"Ce que (Claude) Guéant n'avait pas osé faire, le ministre Valls vient de le commettre", a déclaré dans un communiqué le porte-parole du PCF Olivier Dartigolles.
"Nous reprochons à Manuel Valls de ne pas respecter le droit français", a déclaré sur i>TELE le député EELV Noël Mamère, accusant le ministre de vouloir se construire une image de fermeté sur le dos d'Aurore Martin.
Le Front national a estimé dans un communiqué "qu'en aucun cas un gouvernement français ne doit extrader ses nationaux".
Aurore Martin, 33 ans, a été interpellée jeudi par la gendarmerie lors d'un contrôle routier fortuit à Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques), en exécution d'un mandat d'arrêt européen émis par l'Espagne le 13 octobre 2010 et validé le 16 décembre suivant par la justice française.
La justice espagnole reproche à Aurore Martin ses liens avec le parti indépendantiste Batasuna, illégal dans ce pays car considéré comme lié à l'organisation politico-militaire ETA, mais légal en France. Elle a notamment participé à deux réunions publiques de cette organisation.
Entrée durant six mois dans la clandestinité avant de réapparaître et de recevoir le soutien de nombreux politiques, Aurore Martin avait épuisé tous les recours possibles.
Les soutiens de la jeune femme, parmi lesquels la Ligue des droits de l'Homme, reprochent aux autorités françaises d'accepter de livrer un de ses ressortissants à un autre pays pour des faits qui ne sont pas condamnables en France.
"CONSTERNÉS"
Une tentative d'arrestation avait échoué en juin 2011. Des militants s'étaient opposés aux policiers venus chercher Aurore Martin dans l'appartement de sa soeur à Bayonne. Elle vivait depuis à visage découvert mais savait qu'elle pouvait à tout moment être arrêtée. Elle risque jusqu'à 12 ans de réclusion.
Aurore Martin a été placée vendredi en détention provisoire par la justice espagnole en attendant son jugement, déclenchant de vives protestations localement et nationalement, de l'extrême droite à l'extrême gauche.
Seize élus "socialistes et républicains" du Pays basque se sont dit "consternés" dans un communiqué commun.
"Nous rappelons que les faits visés par l'Espagne ne sont pas répréhensibles en France", affirment les élus. "Nous demandons le retour immédiat de notre compatriote sur le territoire français."
Le conseiller général UMP Max Brisson a dit voir dans cet événement "un nouveau signal préoccupant pour tous ceux qui œuvrent pour un Pays basque apaisé et le vivre-ensemble".
Quatre cents à 500 personnes se sont rassemblées vendredi en fin de journée devant la mairie de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) pour protester contre la remise aux autorités espagnoles de la militante basque française, a-t-on appris auprès des organisateurs.
La remise à l'Espagne d'Aurore Martin est intervenue quatre jours après une interview accordée par Manuel Valls au quotidien espagnol El Pais, où il annonçait qu'il n'y aurait pas de Pays basque français dans la prochaine loi de décentralisation.
Il a ainsi mis fin aux espoirs de nombreuses organisations basques dont une délégation avait présenté le 11 octobre dernier à la ministre de la Réforme de l'Etat Marylise Lebranchu un projet de Collectivité territoriale à statut particulier (CTSP).
Manuel Valls avait ajouté qu'il refusait d'ouvrir ce débat tant qu'ETA n'aurait pas "restitué ses armes".
Une manifestation à Bayonne pour le respect des droits des prisonniers et des réfugiés politiques basques est prévue le 10 novembre, un an après l'annonce par ETA de la fin définitive de la lutte armée.
Claude Canellas, avec Sonya Dowsett à Madrid, édité par Danielle Rouquié
Yahoo! Actu - 02/11/12
http://www.france-palestine.org/Hollande-deroule-le-tapis-rouge-a
Dans sa conférence de presse du 31 octobre, où il affiche sa proximité avec B. Netanyahou, F. Hollande s’aligne sans complexe ni état d’âme sur les positions israéliennes.
Sur l’Iran, s’il ne reprend pas la notion de ligne rouge brandie par Netanyahou, il fait sienne l’analyse israélienne du danger nucléaire sans jamais mettre en cause le nucléaire israélien et appeler à une dénucléarisation de la région.
Sur le « processus de paix », il s’aligne sur la position de Netanyahou en appelant à une négociation sans conditions ni préalables et en écartant « la tentation de l’Autorité palestinienne d’aller chercher à l’AG des Nations unies ce qu’elle n’obtient pas par la négociation ».
C’est refuser l’idée même d’une quelconque pression sur celui qui jour après jour viole le droit. C’est choisir de laisser l’occupant user de sa force pour faire plier l’occupé et le contraindre à l’inacceptable. Tout cela en contradiction complète avec les engagements du candidat, de son premier ministre et les positions du parti socialiste.
Dans ces conditions l’annonce de la visite commune des deux hommes à Toulouse a quelque chose de profondément malsain mettant en scène une prétendue « solidarité contre le terrorisme » entre la France et un acteur majeur du terrorisme d’état.
Au lendemain de la publication, par 22 ONG internationales, d’un rapport accablant sur la colonisation et ses conséquences sur les Palestiniens, dans lequel elles préconisent des mesures concrètes pour sauvegarder la possibilité d’un état palestinien conformément au droit international, le Président de la République a oublié son 59ème engagement en faveur de la « reconnaissance internationale de l’état palestinien ».
Nous ne le tenons pas pour quitte, non plus que sa majorité, et ne cesserons de le lui rappeler.
Le Bureau National AFPS
Contre-info.com
La « continuité » entre Nicolas Sarkozy et François Hollande sur la lutte contre l’antisémitisme et le nucléaire iranien a été particulièrement appréciée par le chef du gouvernement israélien.
Benyamin Netanyahou est très satisfait de son premier contact avec François Hollande. Les deux hommes ne s’étaient croisés qu’une seule fois, en 2003, et encore très brièvement. Établir une bonne relation personnelle avec le président de la République était l’un des trois objectifs du premier ministre israélien pour cette visite à Paris.
Selon son entourage, Nétanyahou a trouvé Hollande « exceptionnellement ouvert et réceptif », « prêt à écouter » et « désireux de trouver des terrains d’entente ». La « continuité » entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, sur les deux questions prioritaires de la lutte contre l’antisémitisme et du dossier nucléaire iranien, a été particulièrement appréciée par le chef du gouvernement israélien.
01/11/2012 – 23h50
NICE (NOVOpress) – Alors que Philippe Vardon était interviewé par une équipe de France 2, ce midi devant la mosquée de la rue de Suisse à Nice, un communiqué de Nissa Rebela nous informe qu’ils ont fait l’objet d’une agression.
Le président de Nissa Rebela et membre du bureau directeur du Bloc Identitaire participait à un reportage de « Complément d’Enquête » sur les identitaires.
“Un attroupement s’est peu à peu constitué autour de nous, la discussion s’est engagée avec certains musulmans et nous avons rapidement été violemment pris à partie. Il aura fallu beaucoup de sang froid pour éviter le lynchage par la bande d’une trentaine d’individus dans laquelle se mélangeaient racailles et dealers du quartier, clandestins fraichement arrivés, et barbus bien évidemment… Insultes, menaces, propos anti-Français et antisémites (j’ai été traité à plusieurs reprises de « sale juif » pour le simple fait de dénoncer l’islamisation) ont émaillé l’incident” nous indique le communiqué.
Philippe Vardon espère que le reportage de France 2 n’éliminera pas ces images.
“Je reste ouvert à tout débat serein, tout comme je reste déterminé dans la lutte contre l’islamisation de notre ville” conclut-il.
Crédit photo : DR.
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Irib 2012.11.02 Alain.Soral, sur la visite de... par Hieronymus20
Source : french.irib.ir
Posté par Victor De Bann le 2 novembre 2012
Par Daniel Lefeuvre Professeur d’histoire contemporaine
Quelle honte ! Tu l’as bien cherché Longuet, ce seau de déjections qui tombe sur ta tête.
Quoi ! Un bras d’honneur pour toute réponse à cette légitime revendication de repentance, exigée de la France par le ministre algérien des moudjahidin !
Parce qu’enfin, il faut bien que la France s’agenouille, n’a-t-elle pas d’ailleurs commencé à le faire, pour tous les malheurs dont elle fut la cause.
Oui, nous devons demander pardon pour ces génocides, perpétrés pendant cent trente années de colonisation, qui ont conduit à un triplement de la population indigène.
Oui, nous devons demander pardon au FLN pour l’avoir contraint, pendant la guerre d’Algérie, à massacrer des dizaines de milliers d’Algériens — hommes, femmes et enfants — qui refusaient de se plier à sa loi et à ses exigences.
Pardon d’avoir forcé cette grande organisation démocratique à mener à coups d’enlèvements, d’attentats, de tortures et d’assassinats, une guerre d’épuration ethnique. Il fallait bien contraindre les Européens à fuir l’Algérie, pour que le colonisé puisse coucher dans le lit du colonisateur.
Lors de la messe de rentrée des députés et sénateurs, l'archevêque de Paris a appelé mardi soir la classe politique à "résister au conformisme de la pensée ‘prête-à-porter'" qui domine actuellement vis-à-vis du "mariage pour tous", auquel il est opposé.
"La liberté doit se gagner et se défendre face aux lobbies qui saturent les espaces de communication", a lancé mardi soir Monseigneur Vingt-Trois lors de la messe pour les responsables politiques et les parlementaires, qui se tient comme chaque année à l'église Sainte-Clotilde, voisine de l'Assemblée nationale, à Paris. "Dans le débat qui secoue notre société, bien que l'on nous eût dit qu'il était superflu puisque tout le monde était supposé d'accord, il est assez facile de comprendre qui est en train d'imposer une conception particulière du mariage à la société", a-t-il dit.
"Ce n'est pas nous", a poursuivi Mgr Vingt-Trois, "qui entreprenons de substituer au mariage un autre modèle qui empêchera les enfants d'identifier dans leur famille la dualité sexuelle d'un père et d'une mère, constitutive de l'humanité. (...) Ce n'est pas nous qui donnons prise à la revendication illégitime d'un ‘droit à l'enfant'". "Ce n'est pas nous qui faisons la promotion d'une réforme de civilisation, sans permettre à ceux qui en subiront les conséquences de pouvoir y réfléchir et de donner leur avis", a encore déclaré le président de la Conférence des évêques de France.
Evoquant les promesses de la campagne présidentielle, Mgr Vingt-Trois a estimé que "dans la vie d'un pays, il est des sujets qui engagent la vie personnelle des citoyens et qui ne dépendent pas simplement d'une majorité électorale, même si elle est importante". "Je ne pense pas", a-t-il précisé, "que l'organisation des moeurs conjugales et de la transmission de la filiation fassent partie des éléments d'une alternance politique. Elle engage trop profondément l'avenir de la société pour n'être qu'une conséquence automatique d'une élection". "Face à ces grands enjeux, c'est à la conscience personnelle du responsable politique d'exercer ses choix avec liberté et courage. La liberté doit résister au conformisme de la pensée ‘prête-à-porter' qui évite de trop s'interroger", a jugé le cardinal.
TF1 - 01/11/12
Le Parisien - 31/10/12