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Blog - Page 1197

  • Le racisme ouvert d'un soutien de Mélenchon ! Quelle honte !

    Posté par le 8 juin 2012

     

    Dimanche dernier, Marine Le Pen était en déplacement dans l’Essonne pour soutenir deux candidates, Brigitte Dupin du Rassemblement Bleu Marine pour la 4e circonscription de l’Essonne et Isabelle Cochard du Front National pour la 9e circonscription.

    A Draveil, l’arrivée de la Présidente du Front National a attiré une foule nombreuse et heureuse de la voir en chair et en os, ce qui a mis en colère deux camps. Celui de Tron (l’UMP qui aime masser les pieds) et celui du Front de gauche. Si les militants UMP ont tenté d’empêcher l’avancée de Marine et d’Isabelle Cochard dans les allées du marché, le Front de gauche est lui resté fidèle à lui-même… haineux et vociférant… Savez-vous qu’à notre époque on peut dire « sales Blancs ! » sans craindre les foudres du MRAP et de la LICRA ?

    Et Dominique Sopo de SOS Racisme qui nie toujours le racisme anti-Blanc !

    Preuves en images de la haine ordinaire d’un soutien de Mélenchon !

       

     
  • Molenbeek: deux policiers poignardés par un islamiste venu de Paris

      La station de métro Beekkant a été rouverte à 20h30 suite à une très grave agression perpétrée par un musulman radical.

    La ministre de l'Intérieur Joëlle Milquet a réagi vendredi soir à l'agression au couteau dont ont été victimes deux policiers dans la station de métro Beekkant, à Molenbeek.

    Elle condamne "avec fermeté l'agression ignoble" qui s'est produite vendredi soir. La ministre "tient à exprimer toute ses pensées et son émotion à l'égard des policiers blessés dans l'exercice de leurs fonctions de sécurisation des transports en commun", indique-t-elle dans un communiqué.

    "Sur base des précisions données par la Justice, les mesures nécessaires continueront à être prises sur tous les plans concernant la sécurité.

    Un agresseur actif dans le milieu islamiste

    Deux représentants des forces de l'ordre ont été poignardés par un forcené à Molenbeek, dans la station de métro Beekkant. L'agresseur est un homme de 34 ans actif dans le milieu islamiste qui, selon ses propres dires, a commis son agression pour protester contre la politique du gouvernement belge à l'égard des musulmans.

    Arrivé de Paris en Thalys, il portait sur lui des documents sur lesquels étaient rédigés des extraits du Coran ainsi qu'un article de presse faisant allusion à la femme contrôlée en niqab jeudi dernier. Après avoir pris ses renseignements sur les événements survenus ces derniers jours à Molenbeek, il a pris le métro vers la commune. Au moment de l'ouverture des portes, il a attaqué les deux jeunes recrues policières par derrière en hurlant "Guerre sainte". Selon nos sources, l'homme était clairement en Belgique pour "tuer du flic".

    Les deux victimes, un homme et une femme âgés d'une trentaine d'années, sont hors de danger. La femme souffre d'une blessure au cou et dans le bas du dos, l'homme a été touché à la nuque.

    "Nos services étaient en train d'effectuer une action de contrôle pour renforcer la sécurité dans les transports publics et pour lutter contre les bandes urbaines", explique le commissaire Johan Berckmans, de la police de Bruxelles Nord. "Quatre personnes ont été arrêtées administrativement. Les deux agents se tenaient près de ces personnes arrêtées quand un autre homme a soudainement sorti un couteau et les a poignardés."

    L'homme a immédiatement été maîtrisé et interpellé. Les deux agents ont été emmenés à l'hôpital, où un des deux était toujours opéré.

    L'agresseur a également été emmené à l'hôpital pour une visite médicale puis a été transféré au commissariat pour y être entendu.

    Nous vous donnerons davantage d'informations sur les faits et sur la circulation des métros dans cette station dès que possible.

     

    La libre.be - 08/06/2012

     

  • Meurtre de Marie-Jeanne Meyer, 17 ans

  • Anthony Draoui a avoué le meurtre de la joggeuse Marie-Jeanne Meyer

     

    Anthony Draoui, interpellé jeudi soir en gare de Port-Bou en Espagne, a avoué durant son audition devant le juge d'instruction, le meurtre de Marie-Jeanne Meyer, en juin 2011, en Ardèche.

    «Il dit qu'il l'avait rencontrée de façon fortuite. Mais il n'est pas rentré dans les détails, ni du meurtre, ni de ses motivations» a indiqué l'avocat des parents de la victime.

    Il a ensuite été placé en détention provisoire.

    Anthony Draoui a été arrêté alors qu'il avait sur lui un couteau, des fils électriques et des rubans adhésifs.

    Le suspect, déjà bien connu des services de police pour vols aggravés, avait été arrêté le jour de la découverte du corps pour un autre délit. Armé d'un marteau et ivre, il avait menacé la gérante d'un salon de coiffure.

    Après sa garde à vue, il avait disparu. C'est seulement après qu'on a fait le lien avec le meurtre de la joggeuse. Son ADN ayant été retrouvée sur les lieux.

    Photo : document exclusif de M6.

     

    Faits Divers - 08/06/12

  • Eric Zemmour: le polémiste et sa famille menacés de mort

    Le chroniqueur Eric Zemmour a reçu une lettre de menaces de mort, adressée à la radio RTL, son employeur, comme l'annoncent nos confrères du site Le Parisien. En effet, hier, jeudi 7 juin, le courrier a été réceptionné au siège de la station de la rue Bayard dans le VIIIe arrondissement à Paris.

     

    Le ou les auteurs de cette missive s'en prennent de manière très virulente à l'ex-cerbère de Laurent Ruquier, le traitant notamment de "gros facho" et de "SS en liberté". Ces derniers vont même jusqu'à laisser entendre qu'ils pourraient s'en prendre physiquement à Eric Zemmour ainsi qu'à sa famille.

    Informé, le parquet de Paris a aussitôt saisi la brigade de répression des violences contre la personne (BRDP) des investigations. Le chroniqueur, que l'on retrouve aux côtés de son compère Eric Naulleau dans Zemmour et Naulleau chaque vendredi sur Paris Première, se retrouvait une fois de plus, pourrait-on dire, il y a quelques jours, au coeur d'une sérieuse polémique...

    En effet, dans une chronique tenue sur RTL le 23 mai dernier, le polémiste avait tenu des propos sur Christine Taubira, nouvelle Garde des Sceaux, qui avait poussé le MRAP et SOS Racisme à critiquer violemment ce dernier. "En quelques jours, Taubira a choisi ses victimes, ses bourreaux. Les femmes, les jeunes des banlieues sont dans le bon camp à protéger, les hommes blancs dans le mauvais", avait-il notamment déclaré. Une phrase qui avait mis le feu aux poudres et entraîné une cascade de réactions.

    L'Express avait notamment annoncé le départ du chroniqueur, entraînant un dépôt de plainte d'Eric Zemmour par le biais de son avocat, pour "diffusion de rumeurs malveillantes". Sur RTL, le chroniqueur s'était expliqué sur les termes employés, évoquant une polémique qui selon lui n'avait pas lieu d'être et dénonçant "des professionnels du choquage, de l'indignation tarifée, (...) des torquemadas de café".

    Espérons que la brigade de répression des violences mette rapidement un terme à cette histoire...


    Chloé Breen

    Pure People  - 08/06/12

  • La photo officielle de Françoios Hollande deva-t-elle être refaite?

    La place accordée aux drapeaux français et européen pose un problème, selon un article de Sud-Ouest. Et un député UMP demande à ce que la photo soit refaite...

    La photo officielle de François Hollande, prise par Raymond Depardon, devra-t-elle être refaite? Un article du journal Sud-Ouest pointe plusieurs anomalies, qui pourraient la rendre non conforme aux règles en vigueur.

    D'abord, le drapeau français n'est pas à l'horizontale mais à la verticale. Présenté ainsi, c'est le drapeau des Pays-Bas (c'est à dire celui de... la Hollande) et pas de la France. Ce qui ne plaît pas à Jean-Paul Garraud, député UMP. Interrogé par Sud-Ouest, cet élu de la Droite populaire estime que "cela opère une confusion" et demande que le portrait "soit refait".

    Ensuite, comme le rappelle un spécialiste interrogé par le jounal, les règles établies par une brochure du ministère de l'Intérieur précisent que le drapeau doit flotter et être attaché à son support dans le sens vertical. Or il est plaqué contre un mur de l'Elysée, et attaché dans le sens horizontal.

    Le drapeau européen peut, lui, être posé sur un mur, selon une circulaire du 4 mai 1963 citée par le quotidien et un décret des ministères de la Défense et de l'Intérieur. Mais il doit être placé à la droite du drapeau français, ce qui n'est pas le cas ici. Enfin, si les drapeaux longent les bâtiments, ils ne doivent en aucun cas toucher le sol. Or il semble qu'ils tombent en l'occurrence sur les marches de l'Elysée.

    Et Photoshop?

    L'image controversée a été prise lors d'une séance d'une demi-heure seulement. 200 clichés ont été pris "en mouvement" avec un projecteur d'appoint et trois appareils différents.

    Au final, le photographe a retenu la dernière des douze photos prises avec son Rolleiflex, "un tout petit peu retouchée" en arrière-plan, a-t-il. Mais pourquoi Raymond Depardon n'en a pas profité pour corriger les anomalies de l'image?

    Le photographe a confié vouloir "une photo qui traverse le temps". Pas sûr...

     

     

    L'Express - 08/06/12

  • Marseille: la dame de 83 ans agressée et violée chez elle était juive - S'agit-il d'un acte antisémite?

    Ce matin, la presse française a annoncé qu’une grand-mère juive a été violée, agressée et séquestrée chez elle, dans la nuit de samedi 2 à dimanche 3 juin 2012.

    « selon la presse, son agression et ce qui s’en est suivi ont été déclenchés à la vue de la mezouza fixée à sa porte »

     

    Selon la presse, c’est en sortant les poubelles que cette habitante du quartier depuis plus de 40 ans a été attaquée par trois personnes.

    Toujours selon la presse, son agression et ce qui s’en est suivi ont été déclenchés à la vue de la mezouza fixée à sa porte.

     

    Crif - 08/06/12

  • VIDEOS - Grèce: les néo-nazis ont encore frappé !!!

    REUTERS/Yannis Behrakis

    Jeudi matin, le porte-parole du parti Aube dorée s'en est physiquement pris à deux élues de gauche avec lesquelles il débattait en direct sur la chaîne Ant1. Alors qu"Ilias Kasidiaris reste toujours introuvable, les actes de violences des néonazis grecs semblent se multiplier.

    L'attaque d'Ilias Kasidiaris en direct à la télévision a médiatisé la violence du parti néonazi et bouleversé les citoyens grecs à quelques semaines d'un scrutin crucial le 17 juin.

    Mais, comme l'a déclaré, Rena Dourou, la candidate de la gauche radicale (Syriza) agressée par Kasidiaris, "nous rendrons un très mauvais service à la démocratie grecque si nous considérons l'épisode d'hier comme un événement isolé". En l'espace d'une semaine, l'Aube dorée a en effet multiplié les actions violentes.

    Un jour avant l'assaut du porte-parole du parti néo-nazi Ilias Kasidiaris, mercredi 6 juin, un journaliste du Jerusalem Post, Gil Shefler, a été frappé violemment à la tête, dans le centre d'Athènes. Un groupe d'une vingtaine de personnes, armées de pieds de biche, était entrain de tabasser des immigrés et des junkies, près du musée archéologique. Le journaliste a alors voulu les prendre en photo, ce qui leur a fortement déplu... Gil Shefler était en Grèce pour faire un reportage sur l'extrême droite. Il avait même tenté de rencontrer Ilias Kasiriadis. Ce dernier avait refusé de répondre à ses questions. "Nous ne donnons pas d'interview aux Israéliens pour des raisons politiques" avait-il alors déclaré.

    Jeudi matin, à Serres, dans le nord de la Grèce, Nikitas Siois, un élu d'Aube dorée, s'en prenait quant à lui à l'ancien député PASOK de cette circonscription, Stathis Koutmeridis.

    Par ailleurs, à l'université de sciences politiques d'Athènes, une trentaine de membres d'Aube dorée a déferlé, jeudi en fin d'après-midi, dans un amphithéatre. Les étudiants attaqués écoutaient une conférence sur "les mouvements armés en Europe et leur histoire". Les scènes de violence se sont poursuivies à l'extérieur de l'université. Au total, trois personnes ont été blessées selon le journal Ta nea. Le journaliste note que "quand la police est arrivée sur les lieux, les affrontements étaient terminés". La police grecque est souvent accusée de laisser agir les membres d'Aube dorée, notamment lors des ratonnades contre les immigrés qu'ils organisent dans les quartiers désherités du centre d'Athènes. "Beaucoup de policiers sont eux-mêmes membres d'Aube dorée", avait confié à L'Express, peu avant les élections du 6 mai, Michalis Spourdalakis, professeur de sciences politiques à l'université d'Athènes.

    Cette fois, les forces de l'ordre, par la voix de leur porte-parole Thanassis Kokkalakis tente de prouver qu'ils "font tout leur possible pour arrêter Ilias Kasidiaris". Reste que l'agresseur est toujours en liberté... Son prochain rendez-vous avec la justice est lundi prochain, pour une précédente agression, contre un étudiant en 2007.

    Après l'épisode de jeudi matin, les partis politiques ont déclarés unanimement ne plus vouloir participer à des débats avec des représentants d'Aube dorée. Les membres du mouvement néonazi ont immédiatement répliqué dans un communiqué et décrété un embargo sur les chaînes de télévision et les journaux, qualifiés d'"organes de propagande marxiste".

    Des rassemblements contre l'Aube dorée doivent se tenir, ce vendredi soir, dans toutes les grandes villes du pays (à Athènes, Patras, Thessalonique...).

    Les néo-nazis sont entrés au parlement lors des élections législatives de mai dernier, où ils ont obtenu près de 7% des voix. Ils sont toujours crédités à 4% pour les prochaines élections le 17 juin.

    Après cet événement les électeurs d'Aube dorée modifieront-ils leur choix?

     

    L'EXPRESS - 08/06/12

     

    A voir sur le même sujet:

  • EN DIRECT - Moscovici dénonce un rappprochement UMP-FN dans le Doubs

    http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-la-campagne-des-legislatives-08-06-2012-2038505.php

     

    + 5 VIDEOS

     

  • Tueur présumé de la joggeuse Marie-Jeanne arrêté : Portrait d'un fugitif

     

    Joggeuse disparue en Ardèche

     

    Le tueur présumé de la joggeuse Marie-Jeanne Meyer vient d'être arrêté après un an de cavale. Portrait d'un jeune homme connu pour sa violence.

     
    Anthony Draoui est le principal suspect dans le meurtre de Marie-Jeanne Meyer
    Anthony Draoui est le principal suspect dans le meurtre de Marie-Jeanne Meyer DR

    « Incontrôlable, dangereux, violent et impulsif » : après douze mois de cavale, celui que les enquêteurs décrivent en ces termes a été interpellé dans un train entre la France et l'Espagne. Anthony Draoui, 20 ans, est soupçonné d'avoir en juin dernier mortellement poignardé puis brûlé le corps de Marie-Jeanne Meyer, innocente jeune fille de 17 ans qui faisait un jogging dans une forêt ardéchoise, à Tournon.

    Il avait disparu à l'issue de sa garde à vue, avant que les enquêteurs n'obtiennent des résultats d'analyse confirmant la présence de traces ADN d'Anthony Draoui sur le lecteur MP3 de Marie-Jeanne, retrouvé à proximité de son corps, et fassent de lui le suspect n°1 dans l'affaire.

    L'an dernier, Le Parisien révélait le parcours quelque peu chaotique d'Anthony Draoui. Arrêté le jour même de la découverte du corps carbonisé de la joggeuse pour tentative de braquage dans un salon de coiffure, il n'en était pas à son coup d'essai. Le principal suspect traîne en effet un lourd passé.

     

    "Il forçait sa mère à faire le trottoir"

    Le quotidien indiquait ainsi qu'Anthony Draoui était déjà connu des services de police pour des faits de vol et de dégradation commis en 2008, quand un an plus tard il s'en est violemment pris à une femme dans la rue. « Il n'avait pas supporté que je le regarde », expliquait au journal la victime, « rouée de coups de pieds ».

    Enfant, Draoui a grandi avec une mère toxicomane. Alors qu'ils logeaient tous deux dans un hôtel de Saint-Rambert-d'Albon (Ardèche), le jeune aurait détruit leur chambre à coups de démonte-pneu. Le duo aurait alors déménagé à Tournon. Le Parisien rapportait que le jeune marginal y était « déscolarisé » et passait « ses journées à jouer aux jeux vidéo et à fumer du cannabis ». Les témoignages des amis de sa mère étaient encore plus édifiants quant au comportement pour le moins étrange du jeune homme. Tandis que l'un racontait qu' « il la (sa mère, NDLR) frappait, lui réclamait de l'argent tout le temps » et « avait même menacé de la jeter par la fenêtre », le second expliquait qu' « il forçait même sa mère à faire le trottoir pour gagner de l'argent » et qu' « il portait tout le temps de grands couteaux le long de sa jambe ».

    Crime "méthodique"

    Au moment où le corps de Marie-Jeanne avait été retrouvé, enterré dans un trou et camouflé sous des branchages, aucune piste n'était privilégiée : accident ou crime d'un rôdeur, d'un familier, d'un chasseur. Une chose seulement était sûre : le meurtrier avait pris soin d'enfouir le cadavre au fond d'un trou, méthodiquement creusé par des chasseurs pour enterrer les viscères de gros gibier, et de le dissimuler sous des branchages. Un scénario qui ne pouvait être suivi que par un familier des lieux, étant donné « la très grande difficulté d'accès, tant par le haut que le bas » de cet endroit très accidenté, selon le procureur.

     

    Par Actu France-Soir / Service Faits Divers
  • Béziers (34), La Devèze : « Nous sommes calfeutrés chez nous, derrière nos clôtures et des grilles »

     

     

    « Nous n’en pouvons plus, assurent les représentants d’un collectif d’habitants qui demeurent à proximité de la rue d’Alger dans le quartier de La Devèze. Nous n’osons plus rien dire de peur des représailles.

    Certains d’entre-nous vivent dans ce quartier depuis presque 50 ans. Aujourd’hui des petits jeunes nous insultent, nous intimident. Ce n’était jamais arrivé. Ce sont des menaces à peine déguisées. Résultat, nous sommes calfeutrés chez nous, derrière nos clôtures et des grilles alors que certains jouent les maîtres de la rue. Ce sont les rois. On ne leur dit rien. »

    Exaspérations

    Nos témoins sont exaspérés, à bout de nerf. Ils ont bien appelé les policiers qui se sont déplacés, mais rien n’y fait. Dès le jeudi soir, cela depuis 3 ans, et jusqu’au dimanche, les riverains nous racontent être ennuyés par des jeunes qui jouent au foot, tapent contre les murs, crient, font du rodéo avec leurs voitures et qui se servent des rues d’Alger, de Constantine et d’Oran, comme des salons.

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    Note NPInfos : Les habitants de La Devèze n’ont qu’un choix à faire pour changer leur triste quotidien : dimanche, ils voterons Guillaume Vouzellaud, candidat du Front National – Rassemblement Bleu Marine.

  • Il brûle le drapeau tricolore devant le commissariat à Nice (texte manquant)

    Un drapeau tricolore. Un briquet. Un geste provocateur. Et voilà le symbole national qui s'embrase aux portes du commissariat Foch, à Nice, dans la nuit de lundi à mardi. L'incendiaire présumé est ressorti libre du palais de justice hier, en attendant de venir répondre de ses actes devant un tribunal.

    Centre-ville de Nice, avant-hier. Il est minuit et demi quand ce gaillard au physique imposant se plante avenue Maréchal-Foch, face au commissariat central du même nom. Il tient à la main un drapeau français. Sort de sa poche un briquet. Et y met le feu. Les fonctionnaires se ruent pour éteindre le début d'incendie et interpeller l'individu.

    En 2010, l'affaire du drapeau…

    Le drapeau est partiellement détruit. Le suspect, lui, est conduit à la caserne Auvare, au service du Quart. Il doit répondre d'outrage au drapeau, infraction passible d'une contravention de cinquième classe. Mais aussi de recel de vol, un délit, pour le coup. La provenance du drapeau reste en effet une énigme.

    On ignorait hier encore la motivation de son geste. Voilà, en tout cas, le genre d'incident qui passe d'autant plus mal en période électorale. Et pour lequel le mauvais plaisantin encourt une sanction pécuniaire. Déféré au parquet de Nice, il s'est vu remettre une convocation ultérieure devant le tribunal de police.

    C'est à Nice, déjà, qu'une affaire au retentissement national avait éclaté en avril 2010. A l'occasion d'un concours photo, la Fnac avait distingué un cliché montrant un homme qui s'essuyant le postérieur avec le drapeau tricolore.

    La direction de l'enseigne culturelle avait présenté ses excuses. Mais la polémique s'était située sur un plan plus moral que pénal.

     

    Nice Matin - 07/06/12

  • Syrie - Tchourkine: " Assad n'est pas Kadhafi, l'Occident soutient l'opposition armée" - 11 février 2012

    http://www1.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=49839&frid=18&cid=18&fromval=1&seccatid=37

     

     

  • Syrie: témoignage d'un religieux français

     Lu sur le Réseau Voltaire : La paix en Syrie pourrait être sauvée si chacun disait la vérité. De retour à Damas en ce mois de mai 2012, il me faut bien constater qu’après une année de conflit, la réalité du terrain ne cesse de s’éloigner du tableau catastrophiste qu’en imposent les mensonges et la désinformation occidentale.

    Le mois de février a marqué un coup d’arrêt aux provocations des islamistes radicaux. Les troubles, en majorité circonscrits à Hamma et à Homs, auraient d’ailleurs été plus vite résorbés si la pression internationale n’avait freiné l’intervention de l’Armée. Les zones frontalières de la Turquie, de la Jordanie et du Liban — par lesquelles s’infiltrent les mercenaires — restent encore sensibles. Dans la capitale, ce que l’on appréhende le plus sont les voitures piégées et les attentats à la bombe, la plupart du temps, le fait de kamikazes alléchés par l’appât du gain, le désir du paradis d’Allah, ou bercés du rêve sunnite de la fin des alaouites au terme de 40 ans de règne et l’avènement de Jésus au haut du minaret, accompagné du dernier prophète Al-Mahadi pour le Jugement dernier.

    Lire la suite

     

    Contre-info.com - 07/06/12