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Blog - Page 1201

  • Les jeunes de France fument de plus en plus de cannabis

    Ce avec la complaisance du Système, qui sait bien qu’une jeunesse « shootée » ne se révolte pas.

    La France détient un triste record européen : 24% de ses 15-16 ans ont fumé du cannabis au cours du dernier mois.

    « En France, en 2011, 39 % des jeunes de 15-16 ans ont déjà fumé du cannabis au moins une fois dans leur vie. Une mauvaise nouvelle mais plus encore, c’est la tendance à la hausse observée ces dernières années qui retient l’attention: ils étaient 31 % en 2007.
    Après avoir fortement baissé en France entre 2003 et 2007, l’usage récent (depuis moins d’un mois) du cannabis chez les jeunes de 15-16 ans est en effet revenu à son niveau initial chez les garçons, à 26 %, et même un peu au-dessus chez les filles, passant de 18 à 22 %. Trois fois plus que dans les autres pays d’Europe. »

    Source & détails

    Contre-info.com - 02/06/12

  • Ils se font voler leur voiture par une personne qui demandait de l'aide sur le bord d'une route

    Dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 1h50, une personne faisait mine d’être en panne, sur une route de Vaulx-en-Velin, dans le Rhône.

    Un véhicule, à bord duquel se trouvait deux jeunes hommes de 25 et 27 ans, s'est arrêté à sa hauteur. Ils voulaient porter assistance à la personne.

    Deux individus cagoulés ont alors surgi et ont menacé les deux jeunes hommes avec un couteau. Ils ont ensuite pris la fuite à bord de la voiture de leurs victimes, une Audi.

    Une enquête est en cours.

    Faits Divers - 02/06/12

  • Pendant que l'Italie est ravagée par les tremblements de terre, Monti va déjeuner avec les immigrés

     

    Pendant que l’Italie est ravagée par les tremblements de terre, Monti va déjeuner avec les immigrés
     (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)
     

    01/06/2012 – 08h00
    ROME (NOVOpress) —
    Mardi, Mario Monti a affiché ses priorités. À 9 heures du matin, l’Émilie était secouée par un nouveau séisme, qui a encore aggravé la catastrophe humaine, économique et patrimoniale de cette malheureuse région. À midi, le premier ministre italien, flanqué de son ministre de la Coopération internationale et de l’intégration sociale, le catho-immigrationniste Andrea Riccardi, est allé, tout sourire, participer au déjeuner pour SDF de la communauté Sant’Egidio, au Transtévère (l’un des rioni de Rome, sur la rive droite du Tibre). Un déjeuner qui est l’emblème de la préférence étrangère, puisqu’il est essentiellement destiné aux immigrés, même si, avec la crise, de plus en plus de nouveaux pauvres italiens tentent désespérément d’y trouver une place. Selon le quotidien ex-communiste L’Unità, la liste des hôtes « est pleine à craquer de Mohammed et de noms Rom ». Le déjeuner de Sant’Egidio avait du reste déjà fait la une des journaux le mois dernier, quand un Marocain, mécontent de devoir attendre pour se mettre à table, avait poignardé un serveur italien et un SDF «roumain ». Politiquement correct oblige, le porte-parole de la Communauté de Sant’Egidio avait alors parlé d’une « explosion de folie individuelle ».

    Monti a posé complaisamment devant les caméras avec dans ses bras « Osman, deux ans et demi, né en Italie de parents sénégalais musulmans ». Pour L’Unità, « c’est le symbole de la journée ». Le premier ministre aurait également échangé des plaisanteries avec « Ivan », 36 ans, dont l’origine n’est pas précisée et que d’autres journaux présentent comme « retardé mental ». Monti a ensuite mangé le déjeuner commun : lasagnes, viande hachée avec pommes de terre et épinards, kiwi et fraises. Il est à présumer que tout était halal. Monti, en tout cas, a trouvé son repas « excellent ».

    Pendant que l’Italie est ravagée par les tremblements de terre, Monti va déjeuner avec les immigrés

    Mario Monti et le Président du Conseil Européen, Herman Van Rompuy, le 22 novembre 2011. Crédit photo : President of the European Council via Flickr (cc)

    Cette ostentation immigrationniste risque d’aggraver encore le sentiment d’abandon des sinistrés de la région de Ferrare. Il y a quelques jours, l’un d’entre eux avait écrit au Corriere della Sera leur « rage de ne voir personne parmi les politiciens de premier plan, en dehors de la fugace apparition de Mario Monti, qui accomplisse la visite due à ce territoire ». Il faut dire que, lors du bref passage en question, après le premier séisme, Monti avait été copieusement hué et sifflé par les sinistrés, qui venaient de subir les mesures d’austérité imposées – aux Italiens – par le gouvernement : «Honte à vous, voleurs, vous pouvez rester chez vous ! » Pour essayer d’arranger les choses, le sous-secrétaire à la présidence du Conseil, Antonio Catricalà, avait cru habile d’expliquer : « Monti a été contesté, mais il l’aurait été aussi même s’il n’y avait pas eu de tremblement de terre ». Une fois rentré à Rome, peut-être sous l’effet de ces huées, le premier ministre avait annoncé que les maisons rendues inhabitables par le séisme seraient exemptées de taxe d’habitation cette année.

    On comprend que Monti n’ait pas souhaité renouveler l’expérience et qu’il ait préféré aller se faire applaudir par les immigrés – et peut-être, parmi eux, un Italien retardé mental – à la communauté Sant’Egidio.

    Image en Une : capture d’écran du site internet rainews24.it

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Syrie - Massacres à Houla, coup monté pour favoriser une intervention militaire - Entretien avec Jean-Michel Vernochet


    Massacre à Houla,crise diplomatique, vérité et... par IcebergTV

  • Syrie: dialogue tendu et profond désaccord entre Poutine et Hollande

    Par Alain Barluet Mis à jour le 02/06/2012 à 00:06 | publié le 02/06/2012 à 00:04

    Vladimir Poutine et François Hollande vendredi soir, lors d'une conférence de presse qui s'est déroulée dans une atmosphère tendue.
     

    Le président français a affiché son désaccord avec son homologue russe qu'il recevait à l'Élysée.

    De l'électricité est passée vendredi soir à l'Élysée lors de la conférence de presse entre François Hollande et Vladimir Poutine. Tout avait pourtant plutôt bien commencé. À l'issue d'un entretien et d'un dîner, les deux dirigeants qui se voyaient pour la première fois ont indiqué leurs convergences de vue sur la coopération bilatérale mais aussi sur l'Iran, la Corée du Nord et la défense antimissile. Sur ce dernier projet, rejeté par Moscou, le chef du Kremlin a déclaré que la France était l'un «des rares pays à écouter mais aussi à entendre» la Russie. Un agenda pour la coopération a été mis en place. François Hollande a accepté une invitation à se rendre en Russie.

    Mais sur la Syrie, l'ambiance s'est nettement gâtée. «Le régime de Bachar el-Assad s'est conduit de manière inacceptable, intolérable», a déclaré le président français, allusion au massacre de Houla qui, il y a une semaine tout juste, a fait 108 morts dont 34 femmes et 49 enfants. «Il n'y aura de sortie à cette situation qu'avec le départ de Bachar el-Assad», a poursuivi le président de la République. Pour obtenir ce résultat, la pression et les sanctions sont «nécessaires, indispensables». Poutine a pris le contre-pied. Lui, que François Hollande escomptait «convaincre», n'a pas bougé d'un iota. «Les sanctions doivent être débattues au Conseil de sécurité, elles ne sont toujours pas efficaces, affirme Poutine. Il faut éviter que la situation évolue vers la pire des situations, la guerre civile.» À l'entendre, «la Russie n'a pas d'intérêts commerciaux en Syrie, pas d'intérêts militaires, elle ne soutient ni Bachar ni son opposition. Elle veut juste la fin des violences et mettre toutes les parties autour de la table…» Et Poutine, très remonté, de poursuivre: «Regardez, l'Irak, la Libye, est-ce que c'est le bonheur, est-ce que ces pays sont en sécurité aujourd'hui? Nous savions tous que Kadhafi était un tyran. Mais pourquoi n'écrivez-vous pas ce qui s'est passé après sa chute, à Syrte notamment?»

    La Russie serait-elle prête à accueillir Bachar dans le cadre d'une solution négociée? Poutine, narquois: «Assad a plus visité Paris que Moscou, regardons le problème aussi sous cet angle-là». Hollande, du tac au tac: «Sur les visites d'Assad père et fils, je n'ai aucune responsabilité, c'était une autre époque.» Certes, les présidents français et russe appuient tous deux la mission Annan et rejettent toute intervention militaire. Mais ces rapprochements n'ont guère transparu au fil de ces échanges rugueux.

    L'Ukraine, où l'Euro de football débutera dans quelques jours, est encore venue pimenter le propos. «Je suis contre l'amalgame entre la politique et sport», a dit Poutine. Hollande: «Je ne suis pas pour un boycott sportif mais pour ce qui concerne ma présence et celle de mon gouvernement, je considère que ma place n'est pas en Ukraine

    Et le président russe d'envoyer une autre pique en soulignant la faiblesse des échanges commerciaux franco-russes contrairement à ceux que Moscou entretient avec l'Allemagne: «Vingt-huit milliards d'euros contre 72 milliards, vous pouvez voir la différence…»

    À la question posée par une journaliste russe - «la première impression est souvent la bonne, qu'avez-vous pensé de François Hollande» - Vladimir Poutine a botté en touche. À la toute fin de la conférence, François Hollande a repris la question, avec une phrase lourde de sous-entendus: «Je confirme, la première impression est souvent la bonne.» Remontant les marches du perron, après avoir salué son invité, le président de la République ressemblait à un boxeur soulagé et un peu groggy. Pas de doute, réélu le 4 mars, «Battling» Poutine est de retour.

    LIRE AUSSI:

    » Syrie: Berlin et Moscou misent sur une solution politique

     

    Le Figaro

  • En meeting à Paris, Marine Le Pen appelle son électorat à la constitution d'une "vraie opposition"

    En meeting vendredi soir à Paris, Marine Le Pen a appelé son électorat à se mobiliser aux législatives pour envoyer des députés frontistes à l'Assemblée nationale et constituer une "vraie opposition" à la gauche au pouvoir.

    "Il faut une vraie opposition au gouvernement en place, pour faire de notre Assemblée une Assemblée vraiment nationale", a lancé la présidente du FN, devant près d'un millier de sympathisants, entamant vendredi une série de trois meetings avant Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais, #circo6211) lundi et Perpignan mercredi.

    Face à la gauche, "voter pour l'UMP ne sert à rien", et "choisir l'UMP, ce n'est pas choisir la France, c'est choisir la dilution de la France dans le magma mondialiste", a prévenu celle qui veut ramener le FN au Palais Bourbon après 14 ans d'absence.

    Les 10 et 17 juin, l'un des premiers enjeux pour le Front national sera de garder son électorat mobilisé. Avec 17,9% au premier tour de la présidentielle, et sa candidate arrivée en tête dans 23 circonscriptions et 2e dans 93 autres, le FN est en position favorable. Mais le parti d'extrême droite avait perdu environ cinq points entre la présidentielle et les législatives de 2002 et 2007.

    "Nous devons gagner une part du pouvoir, une part de la représentation nationale" car "nous ne sommes pas là pour témoigner" mais pour "mettre nos idées au pouvoir", a lancé Marine Le Pen pour motiver ses troupes et son électorat.

    Pour fustiger le début du mandat de François Hollande, elle a commencé par agiter l'image des drapeaux étrangers place de la Bastille, le 6 mai, y voyant le "triste présage" d'un quinquennat démarrant sous le "règne de l'étranger". Puis est venu le tour d'Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, symbole pour elle d'"enfumage" au même titre que Claude Guéant pour "l'immigration" ou Nicolas Sarkozy pour "l'insécurité".

    La ministre de la Justice, Christiane Taubira, "cette femme indépendantiste", qui "soutient la désintégration de la République", a été copieusement huée par les frontistes.

    Durant son discours, Marine Le Pen a fait de l'élection de députés du Rassemblement Bleu Marine un enjeu crucial, promettant que ces derniers ne resteraient pas les bras croisés au Palais Bourbon, même si sans groupe parlementaire -- 15 élus -- il est difficile d'agir concrètement à l'Assemblée nationale.

    "Nous mettrons les élus au pied du mur" sur les sujets chers aux frontistes, comme le protectionnisme ou l'immigration, a assuré Marine Le Pen.

    Déroulant des promesses phare de son programme, elle a alterné entre un discours de protection -- accès aux soins, baisse de 5% des tarifs des trains, du gaz ou de l'électricité -- et quelques mesures martiales, comme la suppression de l'Aide médicale d'Etat (AME) pour les sans-papiers ou la présomption de légitime défense pour les policiers.

    "Nous serons les seuls et les vrais protecteurs des Français qui triment, qui rament, qui n'en peuvent plus", a-t-elle promis, tout en fustigeant les "chômeurs qui roulent en grosses cylindrées".

    "Oubliés", "invisibles", "vous aurez des avocats à l'Assemblée nationale", a conclu Marine Le Pen sous les ovations, avant la traditionnelle Marseillaise.

    La présidente du FN devait retourner ce week-end dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, où elle est elle-même candidate, notamment face au leader du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, qu'elle n'a pas évoqué dans son discours.

     

    L'Echo républicain - 01/06/12

  • Les Identitaires, voiture balai de la droite - Editorial par Claude Bourrinet

    Les Identitaires, voiture balai de la droite
    Si la gauche de l’argent, dont la victoire doit plus au rejet de l’ex-président qu’à l’adhésion à un programme qui n’est, ni plus ni moins, que celui, permanent, de la classe libérale et atlantiste qui squatte le pouvoir en France et en Europe, ne suscite guère d’enthousiasme parmi les masses, sa droite n’est pas vaillante non plus. D’autant plus que le petit chef ayant opté, plutôt lâchement, et finalement égoïstement (on n’est pas néo-soixante huitard pour rien…) pour des vacances dorées dans des palaces marocains, les sous-chefs s’étripent en s’envoyant des amabilités.

    La défiance n’est pas une politique. Les sondages, cette fièvre d’un moment, peuvent bien dire épisodiquement le contraire, le fait même qu’un Hollande l’ait emporté indique suffisamment qu’on ne se fait guère d’illusion sur l’avenir, qui risque bien d’être semblable à ce que l’on a connu, voire pire. La revendication, à la limite grotesque, d’une normalité assumée, n’engage pas à l’optimisme. Car, dans une situation si anormale, si inquiétante, où tout peut arriver, l’effondrement économique, la guerre mondiale, la guerre civile, il serait nécessaire, au contraire, d’avoir à la tête de l’Etat un chef qui soit autre chose qu’un être « normal ».

    Mais passons. Il est vrai que l’agité qui nous a quittés donnait l’impression parfois d’être atteint de troubles gesticulatoires pathologiques. Mais ce n’était sans doute qu’une interprétation erronée, car notre président « normal » actuel semble tout autant animé de cette frénésie de déplacements, d’interventions et de déclarations que son frétillant prédécesseur. La normalité moderne consisterait-elle dorénavant dans l’ubiquité spasmodique ?

    Ou bien est-ce un signe de maladie, comme ces mythomanes qui submergent leurs victimes de leur logorrhée, tout en les séduisant, pour cacher le vide de leurs propos ?
    Il n’en fallait pas moins pour qu’un menu fretin, venu des eaux polluées de l’extrême droite « identitaire », ne vienne à la rescousse du gros poisson pourri qu’est l’UMP.
    Le 29 mai, par exemple, à Toulouse, s’est tenu, devant la préfecture, un « Rassemblement des droites (comme cela sent bon les années 30 !) contre le vote des étrangers ». Cette sauterie qui ne groupait qu’une vingtaine de personnes, mêlait des membres du bloc identitaire, de l’UMP et de l’UNI. La manifestation se réclamait emphatiquement de la Révolution française et de la République. C’est de mode. Riposte laïque, un autre animal de basses eaux, n’a-t-elle pas ouvert le chemin pour ces réconciliations fusionnels autour de « thèmes consensuels », comme la lutte contre le « voile islamique » ? Il est vrai que Sarkozy, après avoir proposé le vote des étrangers quand il était ministre de l’intérieur, avait viré de bord pour des raisons électoralistes. Mais comme nous avons affaire à de l’affichage politique, il n’est nul besoin d’aller fouiner jusqu’à la vase. Le principal est de se retrouver dans le bon camp.

    Lequel, au fait ? Le problème, avec les poissons dits pilotes, c’est qu’on ne sait pas s’ils fraient la voie, ou s’ils se contentent d’accompagner la bête. Dans un tout autre ordre de réalité, nous avons aussi la mouche du coche. Ces gros malins d’identitaires croient peut-être, un jour, influer sur cet organe local du mondialisme mercantile qu’est l’UMP. Ou bien ont-ils quelques visions d’un avenir qui ressemblerait aux destins de Madelin et de Longuet. Peut-être au fond l’explication est-elle plus bête : ils croient sans doute à leurs âneries.

    Comme les campagnes électorales s’organisent maintenant volontiers par le truchement électronique, nous n’avons pas tardé à recevoir une invitation (anonyme) à signer une pétition adressée aux candidats des partis de « droite ». La thématique de cet appel reprend en partie celle de l’exhibition toulousaine. En gros, il nous est affirmé qu’Hollande n’était pas légitime. Pourquoi ? Parce qu’en fait, la France est majoritairement à droite, et que la zizanie, seule, a empêché qu’elle n’ait basculé du bon côté.

    L’argumentation reprend une rhétorique étrangement surannée : il y est question des socialo-communistes, des trotskistes (Mélenchon), des libertaires (les écologistes), des dizaines de millions de morts causés par les régimes communistes. Elle se fonde essentiellement sur la réactualisation de la vieille dichotomie, issue de la Guerre Froide, droite/gauche. L’échec de la droite à s’unir provient surtout d’une bien-pensance qu’imposeraient le « diktat » de la gauche et la pression de médias qui, pourtant, ont été mis en place et contrôlé aussi bien par la droite que par la gauche.
    Enfin, nous assure-t-on, « il existe plus de différence entre un homme de droite et un socialo-communiste qu’entre deux hommes de droite ».

    L’impudence de ce qu’on pourrait qualifier de boniment de foire est si imposante qu’on en reste quasi coi. On se demande où ces gens ont vécu depuis quelques dizaines d’années. Cela fait penser aux personnages du film de Kustorica, Underground, qui demeurent enfermés pendant de longues années dans une cave, en croyant vivre dans un monde, qui est, de fait, artificiellement façonné pour les berner. Nos militants identitaires sont des sortes de revenants, qui déblatèrent d’antiques antiennes, en croyant que le monde n’a pas changé.

    Est-il vraiment utile de rappeler que cela fait belle lurette que la droite et la gauche, en tant que réalités historique, ont cessé d’exister ? Que la classe politique officielle, dans son ensemble, recrutée et sélectionnée par un système inique, a, depuis longtemps, adopté le libéralisme mondialiste, et s’est convertie, non seulement à la société mercantile sans scrupules identitaires, mais s’est inféodée aux Etats Unis d’Amériques et à son bras armé, le sionisme ? Il y a des lustres qu’il n’existe aucune différence, sinon des bagatelles de surface, concernant surtout, à la mode anglo-saxonne, des problématiques « sociétales » et culturelles, des assaisonnements de mœurs, sur lesquelles, du reste, tout ce beau monde se retrouve un jour en accord, quand bien même on y mettrait les formes, entre les tenants du social-libéralisme, mâtiné, si l’on veut, d’esprit libertaire, et un libéralisme « dur » pour qui, l’argent n’ayant aucune odeur, il n’existe pas fondamentalement de légitimité aux résistances à la marchandise conquérante, que ces obstacles soient la nation, la famille, le peuple ou les traditions. Cette caste n’en forme qu’une. Elle constitue l’appui logistique de ce qui nous détruit, notamment en ayant soumis nos forces armées au commandement de l’Otan, c’est-à-dire des Américains, et en promouvant la sous-culture yankee et la langue anglo-saxonne. Mettre l’accent sur le vote des étrangers n’est qu’un leurre, un rideau de fumée qui cache l’essentiel.

    La véritable opposition est entre le mondialisme, défendu par la force et la ruse par l’UMPS, et les forces nationales, les mouvements qui essaient, en lien avec d’autres forces internationales réellement patriotiques, d’empêcher la victoire désastreuse du « Nouvel Ordre Mondial ». Soutenir, de près ou de loin, ceux qui ont pris le parti de nos ennemis mortels, c’est peut-être faire preuve de naïveté, mais c’est sûrement trahir le pays et le peuple français. Ce qui ne saurait être sans conséquences.
     
    VOXNR - 30/05/12

  • Marine Le Pen: "Vous l'avez gagné au loto, la voiture ?"

    Rédacteur : Damien le 1 juin 2012 à 16:48 

    A Hénin-Beaumont, la présidente du FN a lancé cette phrase à un conducteur d’origine maghrébine.

    Les caméras de France 2 ont saisi un vif échange entre Marine Le Pen et un habitant d’Hénin-Beaumont à l’occasion de la campagne de la présidente du FN pour les élections législatives.

    Dans cet extrait diffusé jeudi soir, l’ex-candidate à la présidentielle sourit d’abord aux sympathisants qui crient « Vive Marine » et klaxonnent à son passage. Puis un jeune homme d’origine maghrébine passe au volant d’une Peugeot cabriolet en criant, sourire aux lèvres : « Vive Mélenchon », en référence à l’adversaire de Marine Le Pen dans la circonscription. « Vous l’avez gagnée au loto, la voiture, ou vous l’avez gagnée avec votre travail ? »lui lance alors la candidate frontiste visiblement agacée. Puis, se tournant vers la caméra : « A chaque fois que des types crient ‘Vive Mélenchon’, ce sont des Français d’origine maghrébine. A chaque fois… »

     

    Suite et source : Europe 1, merci à Marine et Quai27

    Défrancisation - 01/06/12

     

    Bravo, Marine !

  • Poutine rejette d'avance les pressions sur le dossier syrien

    Par Pierre Avril Mis à jour le 01/06/2012 à 19:21 | publié le 31/05/2012 à 20:08  

    Le président russe, Vladimir Poutine, le 30 mai, lors d'un discours prononcé à l'occasion du vingtième anniversaire du Conseil de sécurité de la Russie.
    Le président russe, Vladimir Poutine, le 30 mai, lors d'un discours prononcé à l'occasion du vingtième anniversaire du Conseil de sécurité de la Russie.Crédits photo : Alexei Nikolsky/AP
     

    Le président russe dîne vendredi avec François Hollande à l'issue d'une tournée européenne entamée en Biélorussie.

    Si la diplomatie est affaire de symboles, sans doute faut-il voir dans la mini-tournée européenne que Vladimir Poutine a entamée jeudi le peu de considération que le nouveau président russe témoigne, en pleine crise syrienne, à l'égard des membres de l'Union européenne. Pour son premier séjour à l'étranger depuis son investiture, le chef du Kremlin a choisi la Biélorussie, dirigée par l'autocrate Alexandre Loukachenko, et dont la plupart des hauts dirigeants, interdits de séjour sur le territoire européen, font l'objet de sanctions de l'UE.

    Vendredi, il est allé à Berlin pour rencontrer la chancelière Angela Merkel. Tous deux se sont prononcés en faveur d'une «solution politique» en Syrie. «Cela demande un certain professionnalisme et de la patience», a jugé Vladimir Poutine, qui a par ailleurs catégoriquement démenti toute livraison par son pays d'armes utilisables «dans une guerre civile» en Syrie.

    Après sa visite en Allemagne, le président russe se rend dans la foulée en France, où il doit dîner avec François Hollande. Il attendra lundi pour rencontrer à Saint-Pétersbourg les dirigeants de Bruxelles pour un sommet UE-Russie. Un ordre protocolaire jugé «un peu choquant» par un haut fonctionnaire européen, à défaut d'être «étonnant».

    Le dossier syrien devrait également dominer la «prise de contact» avec le nouveau locataire de l'Élysée. L'hypothèse évoquée par François Hollande d'une intervention militaire a réveillé les craintes de la Russie, qui, outre son refus catégorique d'une telle option, ne veut pas entendre parler d'une nouvelle résolution à l'ONU condamnant Damas. «Le nouveau président français ne sera pas différent de son prédécesseur», croit Evgueni Satanovski, président de l'Institut du Proche-Orient, pro-Damas. La politique arabe de Nicolas Sarkozy avait irrité Moscou. Après le massacre de Houla, «la situation a changé, il est temps d'ouvrir un nouveau chapitre, et celui-ci ne pourra s'écrire qu'avec les Russes», plaide un diplomate français.

    Agir sans mandat de l'ONU?

    En attendant, Vladimir Poutine ne semble pas près de fléchir. Toute pression diplomatique de l'Occident serait «très inappropriée», a prévenu son porte-parole, Dmitri Peskov. «La position de la Russie est bien connue, elle est équilibrée, constante et absolument logique», a-t-il insisté. Pour la secrétaire d'État américaine, Hillary Clinton, la politique russe en Syrie risque au contraire de «contribuer à une guerre civile».

    Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a exhorté Damas à appliquer le plan du médiateur Kofi Annan. «Des massacres (comme celui de Houla) peuvent faire sombrer la Syrie dans une guerre civile catastrophique, une guerre civile dont le pays ne pourra jamais se relever», a-t-il dit jeudi. Les rebelles syriens ont donné jusqu'à vendredi midi au régime de Bachar el-Assad pour appliquer le plan Annan, qui prévoit notamment l'arrêt des violences, faute de quoi ils ne s'estimeront plus tenus par ce plan.

    Alors que le gouvernement syrien a libéré 500 prisonniers détenus pour leur participation présumée à la révolte, l'armée syrienne a bombardé de nouveau jeudi la région de Houla. Faute d'une initiative rapide du Conseil de sécurité pour faire pression sur la Syrie, les États membres pourraient envisager d'agir sans mandat de l'ONU, a averti mercredi soir Susan Rice, l'ambassadrice américaine auprès des Nations unies.

    Moscou, qui fait face à sa propre guérilla islamiste dans le Nord-Caucase, considère que la dégradation de la situation en Syrie lui donne raison. Mais le Kremlin veille aussi à ce que le dossier n'empoisonne pas ses relations bilatérales avec l'Allemagne et la France, ses deux principaux partenaires commerciaux européens. «Poutine est à la recherche du point d'équilibre entre sa politique intérieure et sa politique étrangère», résume un diplomate européen.

     

    Le Figaro

  • Née d'un don de sperme, elle réclame l'accès à ses origines

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    Paillettes de sperme

     

    Les enfants nés sous insémination artificielle vont-ils enfin avoir accès à leurs origines ? Jeudi, pour la première fois en , une personne née sous insémination artificielle, présidente de l'association Procréation médicalement anonyme (PMA), qui milite pour la levée de l'anonymat des donneurs de gamètes, a intenté une requête devant le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis) à l'encontre du centre d'étude et de conservation des œufs et du sperme humains (Cecos), de l'hôpital Jean Verdier, à Bondy (Seine-Saint-Denis).

     

    Elle souhaite obtenir des informations sur son père biologique (âge, motivations, descriptions physiques...), que l'administration hospitalière refuse de lui transmettre.

     

    En 2009, cette jeune femme de 32 ans, avocate au barreau de , a appris qu'elle était née d'un don de sperme anonyme. Depuis, sa vie est un combat à la recherche de ses origines. Habituée des prétoires, elle brandit comme principal argument l'article 8 de la convention européenne des droits de l'homme selon lequel «toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale». «Est-ce que la législation française qui prévoit l'anonymat absolu est compatible avec la convention européenne des droits de l'homme ? C'est la question que le tribunal va devoir trancher», résume Irline Billandon, la rapporteur public qui martèle : «En , l'anonymat du donneur de gamètes fait l'objet d'une protection absolue et la pérennité de l'insémination artificielle repose sur cet anonymat. Si l'anonymat est remis en cause, les donneurs refuseront de donner, les couples inféconds seront obligés de partir se faire soigner à l'étranger et les parents qui ont donné naissance à des enfants par insémination artificielle n'oseront plus le dire à leurs enfants par peur de voir un inconnu surgir dans leur vie».

    Visiblement exaspérée, la requérante se retourne vers ses amis de l'association PMA, venus la soutenir dans la salle. «La rapporteur public oppose les intérêts des personnes issues de l'insémination artificielle à ceux de leurs familles et des donneurs, mais la prétendue baisse du nombre de gamètes n'est pas mise en exergue dans les pays qui ont levé l'anonymat du donneur, rétorque Me Rémi Duverneuil, l'avocat de la jeune femme. C'est l'intérêt des 50 à 70 000 enfants nés en France sous insémination artificielle qui doit primer». Certificat médical à l'appui, il rappelle que sa cliente «traverse, depuis 2009, une grave crise identitaire, avec des signes de dépression. L'obtention de ces informations participera à la reconstruction de son identité». «Je souhaite que mon donneur soit consulté et qu'il puisse, s'il le souhaite donner son consentement», conclut la requérante.

    Autorisée à s'exprimer à sa demande par la présidente du tribunal, la requérante conclut l'audience, la voix tremblante d'émotion, par un véritable appel au secours. «La décision que vous allez prendre aujourd'hui est vitale pour moi et les 50 à 70 000 enfants personnes conçues de la même façon. Regardez-nous, regardez la réalité qui est la nôtre. Je crois en la justice. J'ai l'espoir d'être entendue». En 2010, l'ancienne ministre de la Santé (UMP), Roselyne Bachelot, avait proposé une levée partielle de l'anonymat des donneurs. Mais cette proposition avait été rejetée par les députés et sénateurs lors de l'examen, au printemps 2011, du projet de révision des lois de bioéthiques. Le tribunal administratif de Montreuil rendra sa décision le 14 juin.

     

    LeParisien.fr - 31/05/12

  • Un récépissé pour limiter les contrôles au faciès: tollé chez les policiers

    C'est une des promesses du candidat qui souhaitait «mettre un terme» aux «contrôles au faciès». Ce vendredi, Jean-Marc Ayrault confirme qu'un texte est en préparation. Le planche sur une mesure qui obligera les forces de l'ordre à délivrer un récépissé à chaque personne dont l'identité est contrôlée, afin d'éviter notamment la multiplication des contrôles au faciès.

    C'est notamment le cas en Grande-Bretagne. Cette mesure vise à copier des dispositifs existant en Espagne ou en Angleterre, où chaque contrôle d’identité, même sans aucune suite, fait l’objet d’un procès-verbal, et où les policiers sont facilement identifiables par leur matricule affiché sur leur uniforme. Une annonce qui provoque un tollé chez les de policiers.

    Ayrault : «Il ne s'agit pas d'arrêter les contrôles d'identité, les policiers font leur travail»

    «C'est important de ne pas contrôler trois fois la même personne (...) c'est une mesure que l'on va faire mais qui n'a rien d'extraordinaire, ça se fait ailleurs», plaide le Premier ministre, invité de RMC - BFM-TV. C'est notamment le cas en Grande-Bretagne. Cette mesure vise à copier des dispositifs existant en Espagne ou en Angleterre, où chaque contrôle d’identité, même sans aucune suite, fait l’objet d’un procès-verbal, et où les policiers sont facilement identifiables par leur matricule affiché sur leur uniforme.

    Le Premier ministre a pris des précautions oratoires, s'attachant à ne pas mettre en cause les services de police. «Il ne s'agit pas d'arrêter les contrôles d'identité, les policiers font leur travail.» «Je pense que ça sera utile à tous. Aux personnes contrôlées, qui doivent être contrôlées mais pas trois, quatre fois, et aux policiers aussi parce que les policiers ont besoin de retrouver la confiance et le respect», juge Jean-Marc Ayrault. «Moi, j'ai confiance dans la mission qu'ils exercent au service de la sécurité. Ils ont besoin qu'on les respecte, qu'on leur fasse confiance. Une mesure de ce type n'a rien de vexatoire pour eux, c'est simplement pour remettre de la sérénité.»

    Les syndicats de police dénoncent une mesure «de défiance»

    Le message est mal passé chez les intéressés. Les syndicats de police y voient une mesure «de défiance», «inadmissible», décidée sans concertation. «On stigmatise la police comme étant une police raciste. C'est inacceptable», dénonce Jean-Claude Delage, le secrétaire général d'Alliance, 2e syndicat des gardiens de la paix. «Cela part d'une présomption de discrimination des policiers, qui seraient coupables de pratiquer des contrôles au faciès. Or aujourd'hui il y a la même diversité dans la police que dans la population qu'elle contrôle», renchérit Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-Officiers, 2e syndicat d'officiers. «C'est un message de défiance envoyé aux policiers». Le secrétaire général d'Unité Police (1er syndicat des gardiens de la paix), Nicolas Comte, estime lui que cette mesure n'est pas «une priorité» : «On ne solutionnera pas la fracture police-population en donnant l'impression aux policiers que la faute vient d'eux.»


    «Cela va nous enlever des outils»

    Les syndicats de police sont d'autant plus surpris de cette annonce que le sujet avait été évoqué lors de leur rencontre vendredi dernier avec le ministre de l'Intérieur Manuel Valls. Ce dernier leur avait indiqué qu'au sujet des contrôles d'identité, il faudrait s'inspirer «de ce qui se pratique en Grande-Bretagne», mais qu'il n'était «pas dans la précipitation», selon Patrice Ribeiro.

    Pour Patrice Ribeiro, cette mesure aura également un effet pervers sur le terrain. «Cela va nous enlever des outils comme la palpation où on peut trouver des armes, de la drogue», assure-t-il. «Les voyous contrôlés le matin brandiront un récépissé le reste de la journée et on ne pourra plus les contrôler. Cela va générer une dynamique qui n'est pas saine.»

    En janvier dernier, l'organisation américaine Human Rights Watch avait sévèrement épinglé la France sur les contrôles d'identité, mettant notamment en évidence un «profilage ethnique». La direction de la police et les syndicats de policiers avaient farouchement démenti l'existence de «contrôles au faciès».

    Les militants satisfaits
    Les militants contre le contrôle au faciès ont, eux, exprimé leur satisfaction. «C'est un signe fort», se réjouit l'avocat Félix de Belloy. En avril dernier, il a assisté avec Me Slim Ben Achour une quinzaine de personnes se disant victimes de contrôles d'identité au faciès, qui avaient assigné l'Etat en justice à Paris. «Mais il faut s'assurer que le reçu dont parle le Premier ministre fasse également état de la raison pour laquelle la personne est contrôlée. La loi prévoit un certain nombre de motifs et il faut s'interroger aussi sur la légalité du contrôle», nuance-t-il.

    Pour le Collectif contre les contrôles au faciès, «c'est une bonne nouvelle que le gouvernement prenne acte d'une mobilisation populaire». «Ce projet n'est pas une mesure contre la police et notre objectif est l'amélioration du lien police/citoyen». «C'est une mesure qui améliore l'efficacité policière», insiste pour sa part Lanna Hollo, d'Open Society Justice Initiative. En 2009, cette émanation de la Fondation Soros a réalisé une étude avec le CNRS dans cinq lieux parisiens, démontrant qu'un Noir ou un Arabe ont respectivement 6 et 7,8 fois plus de chance d'être contrôlé qu'un Blanc.

    LeParisien.fr

  • Contrôles au faciès - A peine installé place Beauvau, Manuel Valls choisit déjà clairement son camp

    Posté par le 1er juin 2012

     

    Communiqué de Michel Thooris, conseiller de Marine Le Pen lors de la campagne présidentielle pour les questions de sécurité

    A peine installé place Beauvau, Manuel Valls réfléchit à l’idée de faire distribuer un récépissé à toute personne faisant l’objet d’un contrôle d’identité de la part des forces de l’ordre.

    Ce récépissé, qui comporterait notamment le numéro de matricule du fonctionnaire, aurait pour objectif de lutter contre les contrôles au faciès. Il permettrait également aux individus contrôlés de déposer plainte plus facilement contre le policier en ayant ainsi son numéro de matricule.

    Monsieur Valls est-il au courant que suite aux émeutes de 2005, les contrôles d’identité ont été supprimés dans les 700 cités interdites de la République ? Monsieur Valls est-il au courant que dans ces quartiers, les services de l’Etat ne peuvent plus entrer sans être attaqués par des émeutiers ?

    En réfléchissant à ce récépissé, Monsieur Valls dévoile son idéologie au grand jour. Pour lui et ses amis, se trouvent d’un côté les policiers auteurs de contrôles au faciès et de l’autre, les « jeunes » qui sont victimes de contrôles au faciès.

    Est-ce le plan de bataille de la Gauche plurielle pour lutter contre les gangs de narcotrafiquants que de leur distribuer des récépissés ? Ce qui pose problème en France, ce ne sont pas les contrôles au faciès mais toute cette racaille qui fait la loi dans les quartiers.

    Les 10 et 17 juin prochains, il faut porter un maximum de députés du rassemblement bleu marine soutenus par Marine Le Pen dans l’hémicycle pour empêcher cette Gauche plurielle là d’avoir une majorité au Palais Bourbon.

  • Cannibalisme - Etats-Unis: il dévore le coeur et le cerveau de son colocataire

    Un étudiant américain âgé de 21 ans a reconnu avoir tué puis découpé son colocataire avant d'ingérer son cœur et des parties de son cerveau. Ce crime, inimaginable, fait écho à d'autres faits récents de cannibalisme.

     
    Alexander Kinyua
    Alexander Kinyua (Bureau du sheriff de Harford County)

    Un étudiant américain du Maryland a affirmé à la police avoir tué son colocataire, avant de le découper, de manger son cœur et des parties de son cerveau, ont rapporté les médias américains, quelques jours après une affaire de cannibalisme à Miami.

    Alexander Kinyua, un jeune homme de 21 ans étudiant à la Morgan State University de Baltimore, a été interpellé, mardi, après la découverte dans sa maison dans le comté de Harford, par son frère, de la tête et des mains de la victime, selon le Baltimore Sun. D'autres parties du corps de la victime ont été laissées dans une poubelle qui fait face à une église du Comté de Harford.

    La victime - Kujoe Bonsafo Agyei-Kodie, un homme de 37 ans de nationalité ghanéenne - était portée disparue depuis vendredi, selon le journal, qui publie une photo du tueur présumé. L'étudiant, qui a fait jeudi à la police sa macabre confession, a été inculpé d'assassinat.

    Le mobile du crime toujours pas expliqué

    Alexander Kinyua est un étudiant en ingénierie électrique. C'est son propre père qui avait signalé à la police la disparition de Agyei-Kodie. Celui-ci n'avait plus été vu depuis être parti courir, vendredi dernier.

    Pour les enquêteurs en charge de l'affaire, interrogés par le Baltimore Sun, il s'agit du meurtre le plus brutal - et bizarre - jamais vu dans le comté de Harford. Le porte-parole de la police a affirmé que les enquêteurs ne savaient toujours pas quel était le mobile de ce crime à la violence stupéfiante. Le FBI a été appelé pour aider les enquêteurs à tracer le profil psychologique du meurtrier.

    Selon des camarades de classe interrogés par le quotidien de Baltimore, cette grande ville de la côte Est, proche de la capitale fédérale Washington, Kinyua montrait un comportement de plus en plus erratique et bizarre, capable de « péter des plombs » de manière incompréhensible, ces derniers mois. « Toujours dans son petit monde, prêchant partout où il allait, parlant du livre qu'il allait écrire », raconte une camarade de classe.

    Sur son profil facebook, il mentionne des "sacrifices humains de masse"

    Sur son profil facebook, Alexander Kinyua écrivait également des messages cryptiques et inquiétants. Sur la destruction de la « famille noire » et les « sacrifices humains de masse ».

    Cette affaire intervient alors qu'un homme a été abattu samedi par la police alors qu'il dévorait nu en pleine rue à Miami le visage d'un sans-abri. Le crime pourrait être dû à un nouveau type de drogue synthétique qu'il aurait consommé, selon la police.

    Un autre crime horrible est survenu au Canada, où la police soupçonne un acteur porno, Rocco Luka Magnotta, d'avoir tué et dépecé un homme avant d'envoyer sur Internet une vidéo de son assassinat. La police canadienne soupçonne l'homme d'avoir quitté le pays.

    Actu France-Soir / Service Faits Divers
  • Marine Le Pen invitée de RFI/France 24

    Lien: Marine Le Pen invitée de Roselyne Febvre

     

     

  • "La Finance n'est plus mon Adversaire "

    François Hollande a choisi Emmanuel Macron comme secrétaire général adjoint de l’Elysée plus particulièrement chargé de l’économie. M. Macron a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance). Depuis des mois, il partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance.

    Arnaud Montebourg, lui aussi grand pourfendeur de la finance, a fait le choix de Stéphane Israël pour diriger son cabinet. Il fut la plume de Laurent Fabius, et vient de la banque Rothschild.

    Dans la vidéo le journaliste n’a pas cité le “conseiller spécial” choisi par M. Montebourg au ministère : Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré, banque du groupe Edmond de Rothschild.

    Emission du 29 mai.

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Le roi du Maroc donne 787.000 euros pour achever une mosquée en France

    Posté par le 31 mai 2012

     

    Le roi du Maroc, Mohammed VI, a fait un don de 787.000 euros à une association de Blois (centre) devant lui permettre d’achever la construction d’une mosquée, a-t-on appris mercredi auprès de l’association en question, Vivre Ensemble.

    Quelque 600.000 euros ont déjà été collectés par l’association et cet argent a été investi dans le gros œuvre, précise le quotidien local, La Nouvelle République. Le chèque versé par le roi du Maroc permettra de boucler le budget et d’achever la mosquée sans doute courant 2013, a indiqué le vice-président de l’association, Mohamed Zouadi.

    Le roi « a bien voulu répondre favorablement à notre appel pour nous aider à réaliser le rêve de toute une population qui, avec la crise, ne pouvait plus faire face au coût des travaux », a-t-il expliqué.

    La première pierre de la mosquée, d’une surface de 1.800 m² et dont la salle de prière de 420 m² pourra accueillir un millier de fidèles, avait été posée fin 2009. Cette mosquée doit également accueillir un centre de conférences et prôner un « islam tolérant comme au Maroc », selon le vice-président.

    Source

  • Tain-L'Hermitage - Le principal suspect d'un viol a été filmé par la vidéosurveillance

     

    Photo Le DL / Fabrice ANTERION

    Photo Le DL / Fabrice ANTERION

    Vendredi 25 mai, sur les quais de Tain-l’Hermitage, une jeune femme de 25 ans aurait été sauvagement agressée puis violée dans le jardin attenant d’un particulier. Dans le cadre de cette enquête, la gendarmerie a lancé un avis de recherche sur un homme de trente ans, teint mat, mesurant entre 1,80 et 1,85m, de forte corpulence, qui a passé quelques jours dans un foyer de Tournon. Identifié à proximité des lieux grâce aux bandes de vidéosurveillance, il s’agit du principal suspect de cette enquête ouverte pour viol et tentative d’homicide.

    APPEL A TEMOIN

    Tout personne qui pense détenir des informations sur le suspect qui a sillonné les foyers sociaux entre Lyon et Marseille peut contacter le 04 75 08 23 77.

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    Sur les berges du Rhône à Tain-l’Hermitage (Drôme), une jeune femme de 25 ans aurait été violemment agressée lors du week-end de Pentecôte.
    Venue faire des photos, vendredi 25 mai au soir dans ce lieu bucolique, elle s’est faite accoster par un trentenaire. Très vite menaçant, il l’a violemment frappée au visage. Et l’a ensuite empoignée puis projetée au-dessus du grillage d’une maison voisine. Dans ce jardin, il l’aurait violé, avant d’essayer de la tuer en l’étranglant. C’est à ce moment-là que la victime a réussi à s’échapper, et profitant de l’obscurité, s’est enfuie vers la gendarmerie locale toute proche. Qui a depuis lancé un avis de recherche pour un homme introuvable, mais identifié par les bandes de vidéosurveillance. Le suspect est un homme d’environ 1,80 m, de forte corpulence, qui vivait dans un foyer dans la ville voisine de Tournon, qu’il a depuis quitté. Il est présenté comme « dangereux et incontrôlable ».

    Le dauphiné.com - 31/05/12

  • Syrie - Massacre de Houla: des "groupes armés" responsables (enquête de Damas)

    L'enquête menée par les autorités syriennes a démontré que le massacre perpétré dans le village de Houla (centre du pays) était l'œuvre de groupes armés antigouvernementaux, a annoncé jeudi lors d'une conférence de presse à Damas le général Kassem Jamaleddine, chef de la commission d'enquête.

    Selon le général, 600 à 800 hommes armés ont lancé une attaque concertée contre les positions de l'armée et des forces de sécurité déployées aux alentours de Houla. L'armée n'est pas entrée dans le village.

    Depuis la mi-mars 2011, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Selon l'Onu, la confrontation armée y aurait déjà fait plus de 9.000 morts et quelque 230.000 réfugiés. L'Occident prône le départ du président el-Assad. D'après Damas, le gouvernement fait face à des gangs bien armés.

    Un cessez-le-feu a été décrété en Syrie en avril dernier, conformément au plan de paix proposé par l'émissaire spécial des Nations Unies et de la Ligue arabe Kofi Annan. Malgré cette trêve fragile, des affrontements éclatent régulièrement entre les parties au conflit.

    Le massacre perpétré à Houla a constitué la violation la plus flagrante du cessez-le-feu. Plus de 100 civils habitant le village ont été tués lors d'une attaque lancée par des formations inconnues les 25 et 26 mai derniers.

    L'Occident accuse le gouvernement de Bachar al-Assad d'être à l'origine de cette tragédie.

    Moscou/Damas- RIA Novosti - 31/05/12