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Blog - Page 1223

  • Lettre ouverte de Marine Le Pen à François Hollande et Nicolas Sarkozy

    Posté par le 26 avril 2012

     

    Marine Le Pen, Présidente du Front National et candidate à l’élection présidentielle qui a obtenu près de 18 % des suffrages exprimés (6,4 millions d’électeurs), s’adresse par cette lettre ouverte aux deux finalistes de la présidentielle, le président sortant, Nicolas Sarkozy, candidat de l’UMP, et le candidat du Parti socialiste, François Hollande.

    Messieurs les candidats, un peu de respect !

    6,4 millions de nos compatriotes ont choisi de voter pour moi au premier tour de l’élection présidentielle, à l’issue d’une campagne que j’ai commencée il y a plus d’un an.

    J’ai présenté l’intégralité de mon projet aux Français dès le mois de novembre, et je n’ai pas voulu, à la différence d’autres, prendre les électeurs par surprise à la veille du scrutin.

    Le peuple français a ainsi pu se saisir de mes propositions, qui ont bien souvent irrigué les débats : protectionnisme intelligent, réindustrialisation, liberté monétaire, reconstruction des services publics, arrêt de l’immigration, priorité nationale, défense de la laïcité, pour n’en citer que quelques unes.

    Malheureusement aujourd’hui, vos propos de campagne sont très irrespectueux de mes électeurs. Et je ne peux laisser la campagne d’entre-deux-tours se dérouler sans m’adresser à vous et vous inviter à cesser l’insulte et le mépris.

    Cessez l’insulte à l’égard des millions de Françaises et de Français qui se sont portés sur ma candidature le 22 avril.

    Il est inadmissible de dire que mes électeurs ne voulaient pas me porter à l’Elysée. Le vote en ma faveur n’est pas un « cri », un vote « de crise », « de souffrance » ou de « désespérance » comme j’ai pu l’entendre. Il est encore moins un vote « d’extrême droite » ou « xénophobe ». Je ne peux tolérer de voir leur choix réduit à un comportement irréfléchi ou animé par de mauvais sentiments.

    Le peuple français est parfaitement souverain. C’est le seul souverain que la République reconnaisse. Tous les électeurs doivent dès lors être respectés. Il n’y a pas d’un côté des Français qui voteraient bien et de l’autre des Français qui voteraient mal. Il n’y a pas d’un côté des Français qui voteraient avec leur intelligence et de l’autre des Français qui voteraient par instinct ou par réflexe, comme des animaux.

     

    Personne ne peut percer le secret de l’isoloir, accéder au fond de l’âme de l’électeur, mais les enquêtes et les analyses, la campagne que j’ai menée et les innombrables témoignages qui me parviennent indiquent que le vote en ma faveur a été un vote réfléchi, construit, un vote d’espérance, de soutien, en somme un véritable vote d’adhésion au nouveau chemin que je propose à la France, aux propositions qui sont les miennes. Or, vous niez la sincérité du vote de mes électeurs et leur capacité à réfléchir, à se faire une idée personnelle et étayée de l’avenir de leur pays.

    En insultant ainsi mes électeurs, vous persistez dans ce comportement d’élites arrogantes et méprisantes que j’ai combattues dans cette campagne. N’avez-vous donc rien compris à ce rejet grandissant par notre propre peuple de ces attitudes aristocratiques, pleines d’un dédain que les Français ne supportent plus ? Pourquoi donc ressentez-vous le besoin de reprendre le discours suffisant de quelques éditorialistes imbus d’eux-mêmes et tellement déconnectés des Français ?

    Je ne suis en rien propriétaire de mes voix du 22 avril. Je n’en revendique aucunement la propriété. Ce serait parfaitement contraire à l’idée que je me fais de la liberté du peuple. Mais je considère qu’il est de mon devoir de défendre l’honneur de mes électeurs, et de demander qu’on cesse de les mépriser. J’estime que votre attitude jusqu’ici rend votre quête de ces voix particulièrement illégitime.

    Messieurs les candidats, il vous reste quelques jours de campagne, et je vous demande, au nom de la démocratie et de la grandeur du peuple français, de faire preuve de respect.

    Désormais, plus rien ne sera comme avant, des millions de Français ont redressé la tête.

    Il est peut-être encore temps de vous en rendre compte.

    Marine Le Pen

  • Marine Le Pen : "En cas de duel FN/PS, que fera l'UMP ?" - 26.04.12


    Sur RTL, Marine Le Pen interpelle Sarkozy et sa... par rtl-fr

    Marine Le Pen, Présidente du Front National, est l’invitée politique de Jean-Michel Apathie sur RTL. Elle s’exprimera le 1er mai à Paris sur sa position pour le second tour de l’élection présidentielle en indiquant avoir posée une question très simple à Nicolas Sarkozy sans pour le moment avoir obtenu une réponse.

    « J’ai posé une question simple, elle est très simple, j’attends que Nicolas Sarkozy, Président candidat et le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé y répondent. En cas de duel entre un Front National et un socialiste, est-ce que l’UMP et le Président préfèrent faire élire un député mariniste ou un député socialiste, c’est clair. C’est une question que mes électeurs se posent ! »

  • Affaire Kadhafi - Emprisonnée au Mexique, Cynthia Vanier interpelle Ottawa (vidéo)

    Cliquez sur le lien pour prendre connaissance de cette curieuse affaire:

    http://www.legrandjournal.com.mx/actu-mexique/une-canadienne-aurait-tente-de-faire-entrer-de-fils-de-kadhafi

     

    NdB: Ce n'était pas seulement la mort de Kadhafi que voulaient les mondialistes, mais aussi la traque de tous les siens pour les passer en jugement au TPI ! La chasse est ouverte!

     

     

     

  • Jean-Yves Narquin, frère de Roselyne Bachelot, candidat d’ouverture du FN

                                    

    25/04/2012 15:00
     

    Le maire de Villedieu-le-Château et frère de Roselyne Bachelot se présente aux législatives avec le soutien du Front national contre... Maurice Leroy, actuel ministre de la Ville.

    Après avoir parrainé Marine Le Pen pour l’élection présidentielle, Jean-Yves Narquin a passé un accord avec le Front National pour les législatives : le parti de Marine Le Pen soutiendra sa candidature.
     
    Après avoir parrainé Marine Le Pen pour l’élection présidentielle, Jean-Yves Narquin a passé un accord avec le Front National pour les législatives : le parti de Marine Le Pen soutiendra sa candidature. - (dr)

    Comme La Nouvelle République l’annonçait dès ce mercredi matin, Jean-Yves Narquin se présentera bien aux législatives sur la troisième circonscription de Vendôme, sous une étiquette "rassemblement républicain", et avec le soutien du Front national.

    Fin février, lors de la course aux 500 signatures, Jean-Yves Narquin avait signé pour Marine Le Pen, "par souci démocratique", disait-il alors.

    "La reconstruction de la droite se fera avec le FN"

    "Suite à ce parrainage, et au fait qu’il ait eu un certain retentissement, Marine Le Pen a pris contact avec moi, pour me remercier et me proposer une rencontre avec elle à Paris, explique t-il. Elle m’a demandé quelles étaient mes intentions politiques, je lui ai dit que je comptais me présenter aux législatives."

    "Elle m’a demandé mon avis sur l’évolution des forces politiques après la présidentielle, je lui ai dit ce que tout le monde dit maintenant : une fois la défaite de Nicolas Sarkozy consommée, une période de reconfiguration de la droite va s’ouvrir. Une UDF bis est déjà en train de se mettre en place, et une reconfiguration à droite est possible. Il y a l’opportunité d’un rassemblement républicain, avec à côté du Front national, des gens de droite, souverainiste, villiéristes… Pour moi, la chimère UMP va exploser, et la reconstruction de la droite se fera avec le FN."

    Le FN est donc compatible avec la République ? "Je pense que les leçons de morale sont dépassées, et qu’un parti qui représente 15 % des voix est parfaitement intégré et en conformité avec la République. Soit on interdit le Front National, soit on le considère comme un parti de droite comme les autres. Le terme extrême-droite est totalement dépassé. Il reste peut-être quelques rares cadres nostalgiques de Tixier-Vignancour au FN, mais c’est tout."

    Triangulaire possible aux législatives

    Comment pense t-il que vont réagir les 409 habitants de Villedieu-le-Château, commune du nord du Loir-et-Cher dont il est maire ?

    "Je pense qu’ils connaissent mes opinions. D’ailleurs, je n’ai pas eu la moindre réaction suite à mon parrainage de Marine Le Pen. Et ici, elle fait un très bon score, elle arrive en deuxième position, comme dans d’autres communes voisines."

    Le frère de Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des Solidarités et de la cohésion sociale, se présentera donc aux législatives sur la troisième circonscription du Loir-et-Cher, avec le soutien du Front national. "Je pense que j’ai mes chances, explique t-il. La dernière fois, j’ai fait 19 % des voix exprimées, alors que la dynamique m’était défavorable."

    Lui et l’actuel ministre de la Ville Maurice Leroy (Nouveau centre) s’étaient disputé l’investiture UMP, et Maurice Leroy avait été reconduit par les électeurs dans le fauteuil de député. Mais il ne manquait à Jean-Yves Narquin, présenté alors comme candidat "divers droite", que 400 voix pour se maintenir au second tour.

    "Aujourd’hui, la dynamique Marine Le Pen est incontestable, je pense que la triangulaire est tout à fait envisageable."

    Une telle triangulaire impliquerait donc Jean-Yves Narquin (candidat Rassemblement Républicain soutenu par le FN), Maurice Leroy (candidat Nouveau Centre soutenu par l'UMP) et Karine Gloanec-Maurin (Candidate PS). Elle pourrait, pour le coup, mener à une victoire du Parti Socialiste, qui avait été largement battu au second tour de 2007 par Maurice Leroy.

    Thierry Soulard
     
    La Nouvelle République
  • Marine Le Pen, modèle pour la Droite italienne

    25/04/2012 – 15h00
    ROME (NOVOpress) - Dans le contexte de la déroute du berlusconisme et de la crise à la Ligue du Nord, le score de Marine Le Pen fait rêver en Italie, surtout à La Destra, un petit parti (2,4% aux dernières élections à la Chambre des députés) qui avait fait scission d’Alleanza Nazionale (ex-MSI), en réaction aux virages politiques de Gianfranco Fini. La Destra se pose aujourd’hui en principal interlocuteur italien du Front National : son secrétaire général, Francesco Storace, ancien président de la région Latium et brièvement ministre de la Santé de Berlusconi, avait rencontré Marine Le Pen le 13 avril dernier. Les spécialistes autoproclamés des « droites extrêmes » s’étaient hâtés de dénoncer à cette occasion « le compagnonnage de Marine Le Pen avec l’extrême droite italienne », sans grand écho semble-t-il.

    Entre lundi et mardi, les militants de La Destra ont collé à Rome « des milliers d’affiches pour célébrer le grand succès du Front National au premier tour des présidentielles françaises », avec le slogan : « En Italie comme en France, il suffit d’être cohérents ». Le communiqué du parti salue « la capacité de la présidente du Front National à capter un mécontentement général envers l’Europe, en particulier pour une vision politique orientée vers les marchés financiers et qui n’est pas respectueuse de la personne ». Lors de leur entretien du 13 avril, Marine Le Pen et Storace auraient envisagé de travailler ensemble à « un Front européen des nations ». La Destra conclut en affirmant : « Le vent de droite qui souffle depuis les Alpes soufflera bientôt ici aussi ».

    S’agissant des contacts avec le FN, La Destra a clairement pris l’avantage dans le camp néo-fasciste sur les « purs et durs » de Forza Nuova. Le secrétaire général de Forza Nuova, Roberto Fiore, s’est réjoui que « 18% des Français aient choisi de voter pour quelqu’un qui a tenu un discours clair contre le centre droit comme le centre gauche, et dont la position économique était clairement de refuser de payer la dette et de retourner à une monnaie nationale ». Fiore a fait savoir qu’il avait « envoyé personnellement ses félicitations à Marine Le Pen par l’intermédiaire du président du groupe européen du Front National, membre du parlament européen et second personnage du FN en importance (sic), Bruno Gollnisch, lequel se rendra en outre le 4 mai à Vérone pour la clôture de la campagne électorale du candidat de Forza Nuova à la mairie, Luca Castellini ».

    Mais même dans le grand parti de la droite de gouvernement, le PDL, partenaire officiel de l’UMP au Parlement européen, certains préfèrent ouvertement Marine Le Pen à Sarkozy. L’ancien ministre de la défense de Berlusconi, Ignazio La Russa (issu lui aussi du MSI mais qui a suivi Fini dans tous ses revirements), a déclaré à la télévision avoir « envoyé un message à Marine Le Pen avec mes félicitations pour son prestigieux résultat, supérieur même à ce qu’on attendait, fruit de tant d’engagement et de capacité, d’amour pour son pays et de thèses claires et cohérentes. La leçon que tous devraient en tirer est qu’on ne vainc pas sans la droite ». La Russa espère « avoir bientôt l’occasion de féliciter Marine Le Pen en personne ».

    Selon La Russa, « ce n’est pas seulement l’extrême droite, mais aussi la droite qui n’a pas choisi Sarkozy, pour ses choix économiques mais peut-être aussi à cause de sa femme, qui est entrée en politique: je pense à l’affaire Battisti dans laquelle on a dit que Mme Sarkozy s’était impliquée avec des milieux de gauche, ce qui n’a évidemment pas plu aux gens qui se sentent de droite en France, comme cela n’a pas plu en Italie ». Être le mari de Carla Bruni n’est manifestement pas un titre de gloire au-delà des Alpes.

    À la Ligue du Nord, l’eurodéputé Mario Borghezio – qui avait accompagné Marine Le Pen lors de sa visite à Lampedusa en mars 2011 –, a lui aussi salué le score de la candidate du Front National, mais pour des raisons différentes. Selon lui, «l’extraordinaire succès de Marine Le Pen aux élections présidentielles françaises est la meilleure confirmation que les positions claires sur l’immigration, l’Europe et le mondialisme rencontrent en Europe un succès croissant. C’est la victoire de quelqu’un qui croit dans les valeurs traditionnelles et dans l’Europe des peuples, et qui défend avec courage notre identité menacée par l’Islam extrémiste. C’est à se demander quel résultat obtiendrait en Italie un leader courageux qui aurait la force de parler clair comme Le Pen».

    La seule fausse note dans ce concert d’éloges vient du côté de Casapound. Sous le titre « La comédie française », Gabriele Adinolfi appelle à ne pas se laisser tromper par « le pourcentage important, certes significatif comme thermomètre politique, qu’a recueilli une Marine toujours plus “normalisée”». Pour Adinolfi, « Marine n’est pas son père. She’s California dreaming. » Cette dure critique n’empêche pas l’extrême gauche italienne (qui fait de Mélenchon son modèle) de considérer que « le résultat de Le Pen est aussi grave que si Casapound (c’est de ce niveau) avait fait 20% en Italie ».

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • "Vrai travail" et MoDem-FN : le double rétropédalage de Sarkozy sur TF1


    "Vrai travail" et Modem : les deux... par LeLab_E1

    Par Paul Larrouturou

    | 25/04/12 - 21:36

    RETROPEDALAGE - Invité mercredi du 20H de TF1, Nicolas Sarkozy a nié avoir jamais utilisé l'expression "vrai travail" ou assimilé les électeurs du FN et du Modem. Sauf que les archives sont désormais accessibles en trois clics... Démonstration en vidéo par le Lab d'un double rétropédalage.

    • 1

      "Non, non, je n'ai pas dit vrai travail"

      Proposé par Paul Larrouturou
       

       

       

      Lundi 23 avril, devant son siège de campagne, Nicolas Sarkozy déclare :

       

      Le 1er mai, nous allons organiser la fête du travail mais la fête du travail, du vrai travail. De ceux qui travaillent dur.

       

      Mercredi 25 avril, interrogé par un journaliste sur le plateau de TF1, Nicolas Sarkozy nie avoir jamais utilisé cette expression.

       

      Non, non, je n'ai pas dit du vrai travail. Je veux faire du premier mai une fête du travail.

       

      Le journaliste le relance : "Vous avez quand même dit du vrai travail..."

       

      Nicolas Sarkozy persiste "Non, non, non, non. "

       

      Pourtant, lundi 23 avril toujours, en meeting à Saint-Cyr (vers 57 minutes et 20 secondes), Nicolas Sarkozy avait longuement développé ce nouveau concept de la droite :

       

       

      Alors on me dit mais qu'est ce que c'est le vrai travail ? Je vais vous expliquer ce que c'est que le vrai travail. C'est celui qui a construit toute sa vie sans demander rien à personne.

       

      Alors pourquoi nier avoir utilisé cette expression deux jours après en avoir parlé à la télévision et en meeting ? La réponse est peut être à chercher du côté de son conseiller spécial. Mercredi matin, Henri Guaino s'est exclamé sur LCP "laissons tomber cette formule".

       

      DEUXIEME RETROPEDALAGE - Laurence Ferrari demande ensuite au candidat de l'UMP :

       

      "Que répondez vous à François Bayrou qui juge offensant vos propos assimilant ses électeurs à ceux du Front National ?"

       

      Réponse du président-candidat :

       

      Les électeurs de François Bayrou ? Je n'ai jamais assimilé les électeurs de François Bayrou à ceux du Front National.

       

      Pourtant, le matin même, lors d'un entretien à l'Association des journaux de l'Est de la France, paru dans l'Est Républicain et publié sur lafranceforte.fr, son site de campagne, Nicolas Sarkozy déclare :

       

      Les préoccupations des électeurs de M. Bayrou et du Front national sont les mêmes, même si les chemins sont différents…

  • Renaud Camus privé d'éditeurs pour cause de soutien à Marine Le Pen !

     

    L’écrivain Renaud Camus a eu le tort d’apporter son soutien à Marine Le Pen. Et dans la démocratie française, qui n’a de démocratie que le nom, ce genre d’indépendance d’esprit se paie aux prix de la censure. C’est ainsi que l’auteur de Tricks, des Églogues, de Décivilisation, des Demeures de l’Esprit, vient de se faire signifier par ses éditeurs Fayard et P.O.L. qu’ils n’éditeraient plus ses livres.(L’express). Ironie de l’Histoire, c’est Joseph-Arthème Fayard, le fondateur de la maison d’édition Fayard, qui fut l’éditeur des journaux collaborationnistes et antisémites « Candide » et « Je suis Partout »

    Voilà donc un écrivain quasiment interdit de publication parce qu’il a apporté son soutien à une candidate, sans passé «criminel» et présidente d’un parti parfaitement légal. Hors période de tyrannie, de guerre civile ou d’Occupation étrangère, cette situation est une première.
    Il faut bien prendre la mesure de l’inquisition qui règne dans ce pays, et qui ne va cesser d’augmenter avec la gauche au pouvoir. Je m’empresse de rajouter que Nicolas Sarkozy n’a fait que renforcer cette situation. Il a soutenu financièrement les officines de gauche comme le MRAP, SOS Racisme, la LDH… Il a choisi comme dirigeant des média publics des figures de la gauche bobo à l’image de Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo devenu directeur des programmes de France Inter. Il a versé des milliers d’euros sous forme de subventions à la presse écrite et à certains sites internet proche de la gauche comme Médiapart de l’inénarrable Edwy Plenel.

    La Dictature du Bien, instaurée par le PS et ses commissaires politique, repose sur la saturation de l’espace médiatique d’auteurs et d’intellectuels au service de la caste. La stigmatisation, l’insulte, l’exclusion, la marginalisation des penseurs non conforme à la doxa sont devenus les éléments incontournables pour asseoir l’autorité de la bienpensance au sein du débat public. Cette situation affiche les signes d’un néo-maccarthysme à l’envers.
    Pour ceux qui pensent que la comparaison est caricaturale, je les invite à écouter la cabale que quelques plumitifs sans talent ont lancé contre Renaud Camus sur les ondes de France Culture. Un procédé devenu fâcheusement habituel sur cette radio. C’est en effet sur cette antenne que l’historien Reynal Seycher a été censuré en raison de ses démonstrations sur le génocide vendéen. Dans le même temps, la radio a laissé l’historien militant Jean Salem tenir des propos joliment nostalgique à la gloire des régimes communistes. Une émission qui a d’ailleurs indigné Luc Rosenzweig du magazine Causeur :

    (…) Il existe encore, dans notre pays, des gens qui considèrent que la chute du mur de Berlin et la dissolution de l’URSS ont été une catastrophe pour l’humanité. (…) Cette émission avait convié un estimable professeur de philosophie à la Sorbonne, Jean Salem, qui vient de publier un petit livre, Élections, piège à cons ?, qui veut mettre en garde les possesseurs d’une carte d’électeur contre les illusions provoquées par l’idée stupide d’en faire usage à l’occasion du prochain scrutin présidentiel. Pourtant Salem n’est pas sectaire : il ira voter Mélenchon au premier tour, et s’abstiendra au second. Issu d’une célèbre famille de communistes orthodoxes2,

    Salem peut sans susciter la moindre contradiction chez ses hôtes de France-Culture développer une analyse historique décoiffante. L’URSS et l’ensemble des forces progressistes à travers le monde ont, selon lui, été victimes d’un complot ourdi par les États-Unis de Ronald Reagan, qui ont contraint l’URSS à courir au suicide économique en la forçant à une course aux armements démentielle. Ce complot visait, toujours selon Salem, à soumettre les classes laborieuses du monde entier à la domination sans partage du capital. Sans le bouclier d’un «socialisme réel» puissant, il n’est pas d’espoir pour les opprimés d’espérer leur émancipation.

    Il est symptomatique – poursuit Luc Rosenzweig dans son article – qu’un tel discours puisse aujourd’hui trouver des médias pour le relayer, et des oreilles pour y prêter attention.

    De l’acharnement judiciaire que subissent Pierre Cassen et tous les compagnons de Riposte Laïque à la censure ou la marginalisation de penseurs et de chercheurs de premier rang (je pense ici à feu Maurice Allais, à Raymond Boudon, à Jean-Claude Michéa…) en passant par l’omniprésence médiatique de faiseurs d’opinion dont la particularité est de s’être toujours trompé, nous sommes face à une dictature de la pensée organisée et planifiée.
    Cette situation est la conséquence de l’hégémonie culturelle de la gauche. L’intellectuel communiste Gramsci a parfaitement analysé ce phénomène :

    « la bourgeoisie domine par la force mais aussi par le consentement, notamment par son hégémonie culturelle qui fait que le prolétariat adopte les intérêts de la bourgeoisie. »

    La gauche a remplacé l’Église catholique, elle est la nouvelle bourgeoise qui édicte ses lois et ses dogmes. Elle prêche la bonne parole, et use de l’inquisition contre ceux qui s’opposeraient à son catéchisme. Se dire de gauche aujourd’hui n’est pas un signe d’insoumission au système qui nous écrase. C’est au contraire affirmer son appartenance au camp des petits tyrans. C’est devenir le complice d’une police de la pensée dont l’objectif est d’intimider toute forme de dissidence. C’est être le soutier d’une caste qui défendra, comme elle l’a toujours fait, les intérêts du capital et de la finance contre le peuple.

    Depuis 30 ans la gauche s’est emparée du pouvoir culturel et des corps intermédiaires de ce pays dans le but de peser de tout son poids totalitaire sur la liberté d’expression et sur la liberté de penser. Il suffit de passer une journée à l’écoute de France Inter pour s’en convaincre. Comme le démontre Jean Robin dans une série d’article qu’il consacre aux animateurs du groupe radio France, les média du service public sont devenus chacun à leur manière de véritable Pravda où règne le mensonge, le conformisme et la propagande.
    Les patriotes savent donc ce qui leur reste à faire : s’opposer au diktat de la gauche, à ses média dominants, et créer une alternative culturelle et médiatique de rassemblement.

    Je terminerais ce laïus par un hommage sincère à Renaud Camus. En affichant son soutien à Marine Le Pen, il a fait preuve d’un merveilleux courage et s’est distingué des quelques journalistes ou intellectuels qui adoptent pendant 5 ans la posture des néo-réacs pour, le moment du vote venu, de façon dociles et serviles, se ranger derrière le candidat qui incarne le mieux ce qu’ils ont toujours dénoncé. Nos néo-réac sont semblables à ces résistants qui plastronnent avant l’arrivée des chars, mais se jettent sous le lit au premier coup de tonnerre.
    La complainte médiatique de cette engeance est elle aussi totalement feinte. Ils participent de la société du spectacle. Leur stratégie ?: occuper une place en tête de gondole, le mieux placé dans les rayons du supermarché de l’information. Du factice et du marketing.

    Tout le contraire de Renaud Camus. Merci à lui.

    Jérôme Cortier

    Prêchi Prêcha

    Riposte Laïque

  • Légion d'honneur: la "promotion Merah"

    Posté par le 25 avril 2012

     

    Une dizaine de policiers ont été décorés de la Légion d’honneur pour leur travail dans l’affaire « Merah ». Polémique.

    La dernière fournée de Légions d’honneur du quinquennat risque de raviver la polémique sur l’« affaire Merah ». C’est dans la plus grande discrétion qu’une dizaine de policiers ayant travaillé sur le « tueur au scooter » ont été faits chevaliers de la Légion d’honneur. Le 8 avril, plusieurs membres du Raid qui ont mené l’assaut, à Toulouse, contre Mohamed Merah ont ainsi été décorés, à la demande expresse du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant. Figurent également dans la liste deux policiers de la Direction centrale du renseignement intérieur, une commandante (sic) en poste à Levallois-Perret et un brigadier de l’antenne toulousaine.

    Lire la suite

    Commentaire NPInfo : La Légion d’honneur pour ne pas avoir arrêté plus tôt ce terroriste islamiste et sauver ainsi sept vies innocentes, il fallait le faire ! La Sarkozye l’a fait.

  • Marine Le Pen arrive en 2ème position dans l'Aude

    Posté par le 25 avril 2012

     

    Après avoir sablé la blanquette dimanche soir à la découverte des résultats qui plaçait Marine Le Pen en 2e position dans l’Aude, le secrétaire départemental du FN Robert Morio se félicitait, hier, de ses talents divinatoires : « Je l’avais annoncé pour le département, ça n’a malheureusement pas suivi au plan national ».

    article Midi Libre édition Carcassonne du 24 avril 2012

    Mais, au-delà d’avoir dépassé le score record de son père au 1er tour de la présidentielle de 2002 (19,81 %), Marine Le Pen a positionné le FN comme force politique audoise à ne pas négliger : « C’est un vote de conviction, assure Robert Morio, et le résultat du travail des militants », citant la centaine d’ »actifs » sur les 500 adhérents qu’il revendique sur le département.

    Le pourcentage de sa candidate n’est pas le seul à illustrer sa certitude. Dimanche, l’Aude a donné ses faveurs à François Hollande, en tête dans 321 des 438 communes. Mais c’est à Marine Le Pen que revient la seconde place du « podium », avec 50 communes acquises à sa cause, devant Nicolas Sarkozy (40). Implantation qui ne se limite pas à ces communes de moins de 200 habitants où le FN avait concentré sa recherche des précieux parrainages.

    Si, parmi les 50 communes où Le Pen arrive en tête, figurent 33 villages avec moins de 500 inscrits, 10 villes avec 500 à 1 000 inscrits et sept communes de plus de 1 000 inscrits figurent au « palmarès » du FN dans l’Aude. Et lorsqu’il s’agit de scruter la lutte derrière le candidat socialiste, la responsable frontiste arrive en 2e position dans 172 villages, loin devant le président sortant (120 communes).

    Même constat à l’échelle des cantons, avec la 1re place sur Sigean et la 2e place dans 18 autres territoires. De quoi faciliter la démonstration de Robert Morio : « Sur le littoral, nous sommes devant dans sept communes, soit la moitié de la 2e circo. Sur ce territoire, ce vote est plus historique, c’est vrai, mais nous sommes aussi présents en zone rurale, sur la 1re . Quand, d’élection en élection, on répète des scores de 20 à 25 % dans des communes, on n’est plus dans le vote de protestation ».

    Certitude que ne partagent pas tous les maires des communes où Le Pen est arrivée en tête. A Lavalette, 999 inscrits, le FN récolte 27,64 % des voix. Première « surprenante » pour Jésus Tolomio (PS), qui refuse d’y voir un impact de la thématique tant prisée du Front : « Il n’y a pas de délinquance à Lavalette ».

    Le supporter affiché d’Hollande y voit plutôt l’évolution du corps électoral, qui comptait 772 inscrits en 2002 : « Beaucoup de nouveaux électeurs viennent de la ville et font construire à Lavalette. Ces électeurs, je ne les ai pas maîtrisés. Même si on ne maîtrise pas un électeur, bien sûr. La connaissance de leur vote viendra au fil du temps ».

    A Pezenas, où 33,33 % des votants ont choisi Le Pen, le maire Jean-Pierre Botsen (MoDem) est moins catégorique sur les fondements du vote frontiste : « Ceux qui s’installent à Pezens y cherchent la tranquillité du monde rural. Mais la délinquance sort des grandes villes et nous nous sommes retrouvés face à un grand nombre de cambriolages ». Et de faire de ce score un révélateur d’une « conjoncture générale ». Jusqu’à trouver traduction dans des scrutins plus locaux ? « Tout dépendra des mesures du futur gouvernement. »

  • Ni accord avec le FN, ni ministre FN, promet Nicolas Sarkozy

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    En meeting à Cernay (Haut-Rhin)

     

    PARIS/CERNAY, Haut-Rhin (Reuters) - Nicolas Sarkozy a assuré mercredi qu'il ne conclurait pas d'accord électoral avec le Front national, tout en réaffirmant sa volonté de s'adresser à tous les électeurs, y compris ceux qui ont voté dimanche pour la dirigeante du FN Marine Le Pen.

    Le chef de l'Etat, qui brigue un second mandat, a aussi indiqué que tous les candidats de l'UMP, son parti, en position de se maintenir au second tour des élections législatives de juin le feraient même s'ils arrivaient derrière ceux du FN et du Parti socialiste.

    "L'accord avec le Front national, il n'y en aura pas. De ministres du Front national, il n'y en aura pas", a-t-il dit sur France Info.

    "Mais je refuse de diaboliser des hommes et des femmes qui, en votant pour Marine Le Pen, ont exprimé un vote de crise, un vote de colère, un vote de souffrance, un vote de désespérance."

    En meeting à la mi-journée à Cernay, une ville du Haut-Rhin où la candidate du FN est arrivée en tête au premier tour de la présidentielle, il a insisté sur la nécessité "d'entendre ce cri", d'en "tenir compte" et de "prendre des engagements précis pour que ces gens, ces Français qui ont été tentés par ce vote, puissent se retrouver dans le discours qui est le nôtre".

    Il s'est défendu de toute connivence avec le parti d'extrême droite, soulignant : "Toute ma vie, j'ai combattu les thèses du Front national".

    Et il a indiqué qu'il ne saurait sur ce point accepter des leçons de la part de son rival socialiste, François Hollande, "qui trouve normal de travailler et d'espérer gouverner avec M. Mélenchon (le candidat du Front de gauche-NDLR) qui a déclaré que Cuba était une démocratie et Fidel Castro un démocrate."

    DES CANDIDATS PARTOUT

    Prié de dire sur France Info pourquoi il n'envisageait pas, s'il était réélu, de pratiquer une ouverture à la droite de la droite comme il l'a fait en direction de la gauche au début de son quinquennat, Nicolas Sarkozy a répondu : "Je ne l'ai jamais souhaité, je ne l'ai jamais voulu et je ne le ferai jamais parce que nous avons des points de désaccord."

    L'électorat du FN constitue une des principales réserves de voix du président-candidat, que tous les sondages donnent à l'heure actuelle nettement battu au second tour le 6 mai par François Hollande.

    Nicolas Sarkozy multiplie depuis dimanche soir les signaux à l'adresse des électeurs qui ont voté pour la candidate du FN.

    "À partir du moment où la République autorise Marine Le Pen à être candidate, c'est que c'est un parti démocratique", a-t-il encore dit sur France Info. "Les citoyens qui votent pour elle, on ne va pas le leur reprocher".

    "Je suis bien obligé de considérer que 18% des Français qui se sont exprimés pour Marine Le Pen, c'est pas 18% des Français qui ont les idées de l'extrême droite", a-t-il ajouté.

    Il a rappelé à l'ordre les membres de sa majorité qui ont fait savoir, comme l'ancienne ministre des Sports Chantal Jouanno, qu'elles appelleraient à voter socialiste en cas de duels PS-FN aux législatives.

    "Mes amis seraient mieux inspirés de réfléchir à la réponse qu'ils vont poser", a-t-il dit. "Aux législatives, nous aurons des candidats partout, donc la question ne sera pas de choisir entre le Front national et le Parti socialiste."

    "Même si nos candidats n'arrivent pas en tête, pour se maintenir il faut 12,5% des inscrits. Donc, dans toutes les circonscriptions nous aurons nos candidats, donc on votera pour nos candidats", a-t-il ajouté.

    "Il n'y a qu'à dire : 'je voterai pour le candidat qui est proche de mes idées, qui se maintiendra quoi qu'il arrive'. Point."

    Emmanuel Jarry et Yann Le Guernigou, avec Vincent Kessler à Cernay, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo!Actu - 25/04/12

  • La Grèce se dirige vers une récession plus lourde que prévu

     

    La Banque de Grèce estime que le PIB va reculer d'environ 5 % cette année. Concernant le taux de chômage, les prévisions tablent sur un score supérieur à 19 %.

    AFP
     

    La Grèce verra son PIB chuter de « près de 5% » en 2012, soit plus que les estimations initiales, après un recul de 6,9% en 2011, a prévu mardi la Banque de Grèce dans son rapport annuel sur l'économie du pays.

    Le 19 mars, dans son rapport annuel de politique monétaire, la Banque de Grèce avait prévu un recul du PIB de 4,5% en 2012, cinquième année consécutive de récession.

    Par rapport au 19 mars, elle a maintenu inchangée sa prévision de hausse du taux de chômage annuel à « plus de 19% » en 2012, contre 17,7% en 2011, année durant laquelle 300.000 emplois ont été détruits, selon la Banque.

    « La récession sera moins intense qu'en 2011 à condition que les mesures structurelles (négociées avec les créanciers du pays, NDLR) soient mises en place sans délai » a mis en garde la Banque dans son rapport.

    L'institution dépeint les autres ravages de la crise, affectant aussi les banques qui ont vu le total de leur dépôts chuter de « plus de 70 milliards » depuis le début de la crise entre la fin 2009 et février 2012, soit « l'équivalent d'un tiers du PIB ».

    Alors que l'on attend les détails sur la façon dont vont être recapitalisées les banques commerciales du pays, grâce aux 50 milliards d'euros d'aide prévus par les créanciers du pays dont 25 sont arrivés à la Banque de Grèce depuis la semaine dernière, « 2012 devrait être une année de référence pour le reprofilage du système bancaire » en Grèce, se contente d'indiquer le rapport sans autre précision.

    L'institution, qui fut gouvernée par l'actuel Premier ministre Lucas Papademos avant que celui-ci ne devienne vice-président de la Banque centrale européenne, prévoit aussi que le taux d'inflation en 2012 s'élevera aux alentours de 1,2%, et qu'il pourrait tomber « au dessous de 0,5% » en 2013.

    LES ECHOS - 24/04/12
  • Tué par un policier à Noisy-le-Sec: la légitime défense n'est pas retenue

    Le policier qui a mortellement blessé Amine Bentounsi, samedi soir, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) a été déféré ce mercredi au parquet de Bobigny, à l’issue de sa garde à vue.

     

    Une information judiciaire est ouverte pour «violences volontaires avec arme par un personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la sans intention de la donner».
    Le parquet réclame le placement sous contrôle judiciaire de ce gardien de la paix et l’interdiction d’exercer son activité professionnelle. Samedi soir, un appel téléphonique avait signalé la présence d’Amine Bentounsi dans le centre-ville de Noisy-le-Sec. Ce malfaiteur bien connu de la police, originaire de Meaux en Seine-et-Marne, faisait l’objet d’un mandat d’arrêt depuis juillet 2010 pour de la prison de Chateaudun (Eure-et-Loir), d’où il avait disparu après une permission de sortie. Samedi soir, quatre policiers de Noisy-le-Sec se sont mis à sa poursuite. Trois à pied, un quatrième en voiture qui a contourné un bloc de pavillons. C’est lui qui s’est ensuite retrouvé face à Amine Bentounsi. L’homme était armé mais n’a pas tiré.Les constatations, l’autopsie et un témoin ont mis à mal l’hypothèse de la légitime défense: le tir mortel a en effet atteint Amine Bentounsi dans le dos.

    LeParisien.fr -25/04/12

  • Un redressement fiscal de 9 M€ notifié à Johhny Hallyday

  • Marion Le Pen, la petite-fille de Jean-Marie, en mission à Carpentras

     

    Olivier Beaumont | Publié le 25.04.2012, 07h30                                 

    PARIS, LE 1er MAI 2011. Marion Maréchal-Le Pen avec son grand-père.

    PARIS, LE 1er MAI 2011. Marion Maréchal-Le Pen avec son grand-père.
     

     
    Il y a quelques mois, lors d’une visite dans le Vaucluse, Jean-Marie Le Pen avait promis une surprise dans la circonscription de Carpentras pour les législatives. Cette surprise, ce sera sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen (22 ans), nièce de , que le parti va demain après-midi! « Marion, j’aimerais que tu laves mon honneur », a ainsi demandé le vieux chef à cette étudiante en master de droit public à Assas, militante depuis le plus jeune âge.
     
          
    Tout un symbole, forcément. En 1990, le avait été indirectement accusé d’être le responsable de la profanation du cimetière juif de Carpentras. « Un affront, une manipulation d’Etat », a toujours clamé Jean-Marie Le Pen. « Cette candidature, c’est un peu une façon de le réhabiliter. Son honneur a été sali avec cette affaire, mais on ne l’a jamais lavé sur la place publique », considère Marion Maréchal, fille de Yann, la sœur de Marine, qui avoue avoir longtemps réfléchi avant d’accepter.





    Elle est convaincue de pouvoir faire un bon score

    « C’est une grosse responsabilité. Au début, j’ai eu un peu peur de me sentir seule, estime celle qui avait déjà fait campagne en 2010 pour les régionales en Ile-de-France. Mais j’ai fait quelques allers-retours dans le Vaucluse qui m’ont entièrement rassurée. » Durant cette campagne, elle pourra d’ailleurs compter sur le soutien de son grand-père, qui se rendra plusieurs fois à Carpentras. Le 7 mai, au lendemain de la présidentielle, la candidate du Front national prendra donc ses quartiers dans le Sud — appartement mis à disposition par le parti. « Je ne remonterai sur Paris que pour mes examens », explique-t-elle, convaincue de pouvoir faire un bon score face au député UMP sortant, Jean-Michel Ferrand. Dimanche, Marine Le Pen a obtenu 28,53%, juste derrière Nicolas Sarkozy (29,09%). « Même si ça ne sera pas simple, le fait que je sois une femme, donc symbole de parité, et que je porte le nom de Le Pen peut être un atout pour l’emporter », veut-elle croire.

                  

  • Le grand désert de Mongolie

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    La lune se lève sur le désert de Mongolie, au sud-ouest de la capitale Oulan-Bator