Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1453

  • Harcèlement et violence à l'école

    7672693930_l-etude-de-l-observatoire-international-de-la-violence-a-l-ecole.jpg

    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)

    Luc Chatel: "J'installe aujourd'hui un Conseil scientifique contre le harcèlement à l'école"

    D'après l'étude, les phénomènes de "victimation" restent plutôt limités puisque près de neuf élèves sur dix (88,9%) déclarent se sentir "tout à fait bien" ou "plutôt bien" à l'école et plus de sept sur dix disent n'être "jamais" victimes de violences ou "très occasionnellement".

     Mais pour une minorité d'élèves, la violence se fait sentir, souvent par de petites agressions répétées allant du vol de goûter aux insultes et menaces, mais aussi aux coups, racket ou violences sexuelles.

    "Chaque petite agression a peu d'importance prise isolément, mais c'est la répétition qui fait que la situation devient grave", a expliqué Eric Debarbieux, directeur de l'Observatoire et auteur du rapport.

    Le taux d'élèves victimes de harcèlement physique est estimé à 10,1%, 71,8% des élèves interrogés n'étant pas victimes de violences et 18% l'étant occasionnellement. 67% des agressions physiques sont le fait de garçons contre 20% par des filles et 12% par des groupes mixtes. Pour les violences verbales, près de deux tiers des élèves (65%) se disent pas ou très peu concernés comme victimes, tandis que 14,4% le sont modérément ou fréquemment.

    Au total, 11,7% des élèves interrogés sont victimes de violences répétées à la fois physiques et verbales et deviennent les "boucs émissaires" ou "souffre-douleur" d'une classe, et ce, quelle que soit la sociologie de l'établissement...

    Source RTL - 29/03/11

  • Marine Le Pen invitée par une radio israélienne - émoi de la communauté juive de France

    Difficile d'en savoir plus sur cette radio peu connue, créée par d'anciens journalistes de la chaîne de télévision Guysen. Une chaîne d'information en langue française et réputée neutre.

    Début mars, l'invitation de la présidente du FN sur Radio J avait suscité l'indignation de la communauté juive et de certains responsables politiques. Résultat : La radio avait donc décidé de déprogrammer l'émission.

    "Le fait que Marine Le Pen soit reçue par une radio communautaire juive, c'est un symbole qui est inacceptable", expliquait ainsi Richard Prasquier, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France, (CRIF).

    Les associations vont-elle maintenir la même pression pour le passage de Marine Le Pen sur 90' FM ? Son intervention va-t-elle être annulée au dernier moment ?

    Pour un proche de Marine Le Pen, la problématique est différente de celle avec Radio J. En effet, il s'agit dans le cas présent d'une radio localisée en Israël. "La presse israélienne est plus intéressée par notre travail. Bien plus qu'en France. Marine Le Pen ne suscite pas autant d'indignation", assure-t-il au Post.

    Mais, du côté de la communauté juive en France, la venue de Marine Le Pen sur une radio israélienne fait grincer des dents.

    "Je trouve que ça ne se justifie toujours pas. La communauté juive a besoin de preuves plus évidentes du FN. Le noyau dur du parti reste pétainiste, négationniste, antisioniste... Pour montrer un nouveau visage, mieux vaut aller à Drancy ou à Auschwitz", commente Sammy Ghozlan, du Bureau national de vigilence contre l'antisémitisme (BNVCA).

    Ce dernier souligne une volonté forte de Marine Le Pen de "montrer un nouveau visage". La nouvelle patronne du FN tente, en effet, d'améliorer l'image du parti pour le rendre plus fréquentable.

    L'émission de 90'FM sera diffusée en français de 21h à 22h mercredi. 

    29/03/11

  • DSK vise la gouvernance mondiale

    18 mars 2011

  • Marine Le Pen atomise Strauss-Kahn!

  • L'UMP au bord de l'implosion

  • Et maintenant l'étoile verte!

    L'ex-conseiller de Nicolas Sarkozy dénonce à sa façon la stigmatisation des musulmans.

    Abderahmane Dahmane assume son rôle de provocateur. Cet ancien conseiller du chef de l’Etat chargé de la diversité ne démord pas face à l’UMP et au débat sur la laïcité qu’il voit comme une "marque de la haine contre la communauté musulmane". "Je demande que ce débat n’ait pas lieu car il stigmatise et met une communauté face aux autres comme bouc-émissaire", a-t-il ajouté lundi soir sur Europe 1.

    Un peu plus tôt dans la journée, l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, devenu porte-parole de Banlieues Respect, qui se présente comme un collectif d'associations mais dont l’influence semble limitée, avait a appelé les musulmans à porter une "étoile verte". Ce signe distinctif leur permettrait de protester contre le débat sur la laïcité.

     

    Copé, "le meilleur protecteur des musulmans"

    "Il est inimaginable que Jean-François Copé lance ce débat vu ses origines : il est de mère  juive et d’un père arrivé en France en 1926 parce qu’il était victime de l’antisémitisme. Donc pour moi, Jean-François Copé est un frère car il est victime de l’antisémitisme. Et il devrait être, selon moi, le meilleur protecteur des musulmans de France", a lancé, toujours provocateur, l’ancien conseiller, limogé le 11 mars dernier pour avoir sévèrement critiqué la veille ce débat sur la laïcité et l'islam.

    Richard Prasquier, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), a rétorqué que la proposition de Abderahmane Dahmane de porter une étoile verte était "une insulte grave aux autorités de notre pays. C’est d’un tel niveau d’absurdité que cela ne mérite pas plus qu’un haussement d’épaules", a-t-il commenté sur Europe 1.

    28/03/11

  • Débat sur la laïcité - Abderahmane Dahmane: "Je demande que ce débat n'ait pas lieu"

    Etoils vertes.jpg


    "Je demande que ce débat n’ait pas lieu" par Europe1fr

    28/03/11

     

  • Lettre de Jean-François Copé à un "ami musulman"

    A l’approche du débat sur la laïcité que le secrétaire général de l’UMP organise, le 5 avril, à Paris, L’Express lui a demandé d’expliciter son état d’esprit sous la forme d’une « lettre à un ami musulman ». La voici.

    Mon cher ami,

    Voilà des années que nous évoquons ensemble la difficulté des musulmans en France à faire comprendre leur foi, défigurée dans l’opinion par des comportements radicaux ultraminoritaires. Voilà des années que nous déplorons tous les deux le mélange d’incompréhensions, de peurs, de caricatures qui domine au sujet de l’islam, à tel point que beaucoup de nos compatriotes considèrent à présent que « les musulmans ne sont pas bien intégrés » ou, pire, que « la communauté musulmane est une menace ».

    Je devine la peine immense que vous devez éprouver en constatant cela. Vous dont le grand-père est tombé en héros à Verdun, avec 70.000 frères d’armes de confession musulmane venus défendre la France. Vous qui êtes pleinement français et si fier de l’être, conjuguant, comme tant d’autres, foi religieuse et attachement à la République.

    Hier, vous m’avez dit votre perplexité à l’égard de ce « fichu débat » – ce sont vos mots – que l’UMP a lancé sur la laïcité. Loin de vous rassurer, cette initiative vous inquiète. Il est vrai que, depuis des semaines, tout ce que Paris compte d’imprécateurs et de polémistes aura fait de son mieux pour déformer nos intentions.

    Pour nous faire renoncer, on aura tout tenté: manipulations, insultes, intimidations… Quoi de plus essentiel, pourtant, que de rappeler notre attachement à ce précieux principe de laïcité? Que d’inviter à s’exprimer les différentes sensibilités sur ce bien qui fonde un projet de société généreux et presque unique au monde ? Car la laïcité n’est pas le rejet des religions; c’est la liberté pour chacun, s’il le souhaite, de pratiquer son culte, dans le respect de celui des autres et dans le respect des lois de la République. Elle a une longue histoire, parfois houleuse.

     

    La laïcité de 1905 poursuivait un objectif premier : séparer à tout prix les Eglises et l’Etat pour en finir, disait-on alors, avec ces confusions censées tromper le peuple. La laïcité de 2011 n’a pour essence ni la division ni le combat. Elle doit au contraire rassembler. Pour mieux vivre ensemble.

    Son premier ennemi, c’est aujourd’hui l’ignorance. La méconnaissance de l’autre, de sa confession ou de sa philosophie, de ses espérances ou de ses doutes… Je voudrais tant que ce débat soit l’occasion magnifique de se mettre à l’écoute, pour mieux se connaître, se respecter et construire l’avenir.

    Nous n’éluderons pas les enjeux de l’islam de France, les progrès accomplis comme ceux qu’il reste à faire. Vous me disiez votre crainte à cet égard. C’est tout l’inverse. Notre objectif est d’alléger le fardeau qui pèse sur les épaules des musulmans de France. Ils n’en peuvent plus d’une stigmatisation causée par des comportements qu’ils condamnent. Vous êtes toujours le premier à me le dire : la pratique de l’islam dans une République laïque, ce n’est pas la burqa, ni les prières de rue, ni le rejet de la mixité…

    Le FN et les islamistes se régalent de nos divisions. Ils les suscitent parce qu’ils en vivent. Par cette lettre, je veux vous dire que nous pouvons les arrêter. Là où ils dénoncent, nous proposons. Là où ils jouent sur les fantasmes, nous clarifions les choses. Imaginons ensemble que les fidèles disposent de lieux de culte à taille humaine, en nombre suffisant et financés dans le respect de la loi de 1905. Imaginons des ministres du culte formés en France et attachés à nos valeurs. Imaginons un Code de la laïcité, connu et respecté de chacun, car rappelant à tous les règles indispensables dans nos rues, nos écoles, nos entreprises…

    Vous le voyez, les mots que j’emploie, l’objectif que je poursuis sont empreints de paix et de respect, à mille lieues des procès d’intention que l’on nous fait. La source de mon engagement n’a jamais été la division ; c’est la volonté de rassembler. Mon combat, ma vie, c’est le service d’un pays où chaque Français est considéré. Où chaque Français est important. Mon cher ami, partageons ensemble cette mission. Elle a pour nom Fraternité.

    NPI - 29/03/11

  • Toutes les religions contre le débat sur la laïcité

    1383927_vingt-trois_640x280.jpgLe ton est prudent et «sans aucun esprit polémique ou partisan», mais le message est clair. Les représentants des six grandes religions de France, réunis au sein de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF), désapprouvent la tenue du débat sur la laïcité tel qu’il est proposé à ce jour par le président de l’UMP, Jean-François Copé.

     



    Leur déclaration commune, qui sera publiée mercredi, et dont Le Parisien-Aujourd’hui en France a eu connaissance, constitue une première pour le CRCF, fondé discrètement en novembre dernier. Pour l’heure, outre les représentants musulmans, seul le président de la Fédération protestante de France et le Grand Rabbin de France s’étaient prononcés publiquement sur le débat, prenant nettement leurs distances.

    Catholiques (Mgr André Vingt-Trois), protestants (le pasteur Claude Baty), orthodoxes (le métropolite Emmanuel), juifs (le Grand Rabbin de France Gilles Bernheim), musulmans (le président du CFCM, Mohammed Moussaoui) et bouddhistes (le révérend Olivier Wang-Genh) appellent d’une même voix à veiller «à ne pas dilapider ce précieux acquis» (la laïcité), et «pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation». «Le débat est toujours signe de santé et de vitalité. (...) Mais un parti politique, fût-il majoritaire, est-il la bonne instance pour le conduire seul ?»

    Les religieux posent la question, sans y répondre directement. Mais en réclamant de ne pas ajouter «de la confusion dans la période trouble que nous traversons», et en affirmant que, déjà, les religieux de France militent «ensemble pour une laïcité de bonne intelligence», il ne fait aucun doute que pour eux, la réponse est non.

    Source Le Parisien - 29/02/11


  • Un nouveau-né trouvé vivant près d'un conteneur à ordures

    Un nouveau-né enveloppé dans un sac en plastique fermé a été trouvé vivant à côté d'un conteneur à ordures ce mardi à Sucy-en-Brie (dans le Val-de-Marne) et transporté à l'hôpital dans un état «viable».

    Les services de secours ont été prévenus à 7h40 par un habitant qui se rendait sur son lieu de travail.

      Dans un quartier tranquille proche de la Médiathèque, rue Maurice-Berteaux, Fabien, 28 ans,  a entendu des bruits provenant d'une benne à ordures. En s'approchant, il a aperçu au sol un sac de magasin en plastique bleu fermé.

     L'enfant, entièrement nu, se trouvait à l'intérieur. Il portait encore une partie de son cordon ombilical. Le passant a aussitôt donné l'alerte.

    Le bébé souffrait d'hypothermie au moment où il a été pris en charge par le Samu et conduit au CHU Henri-Mondor de Créteil. Ses jours ne seraient plus en danger.

    Une enquête a été confiée à la sûreté départementale du Val-de-Marne.


    29/03/11

  • Marine cloue le bec à Harlem Duflot!

  • Pour BHL, le ministre allemand des Affaires étrangères est une "catastrophe"

    Bernard-Henri Lévy qui s’est fait l’avocat de l’opposition libyenne au colonel Kadhafi, a des mots très durs aujourd’hui à l’égard du ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle, mais aussi d’Angela Merkel.

    France Info -

     

    Dans une interview au Spiegel parue ce dimanche, interrogé sur l’abstention allemande au Conseil de sécurité de l’ONU, BHL estime d’abord que “Angela Merkel a le pire ministre des Affaires étrangères depuis très longtemps. Guido Westerwelle est une catastrophe”.

    Mais l’intellectuel français n’est pas beaucoup plus tendre avec la chancelière allemande, puisqu’il estime qu’elle a “balancé par dessus bord tous les principes qui soutenaient la politique extérieure allemande depuis la fin de la"seconde guerre mondiale...Il y avait un principe... c’était d’empêcher que se reproduisent des crimes contre l’humanité. Merkel et Westerwelle ont rompu ce pacte, c’est un acte extrêmement grave, pas une bagatelle...”

    Et il estime que Guido Westerwelle devrait démissionner.

    Défenseur intraitable de la rébellion libyenne depuis quelques semaines, BHL a été très écouté par le président français dans ce dossier libyen. Après un déplacement à Benghazi, il a joué les intermédiaires entre Nicolas Sarkozy et les représentants des insurgés.

     

    Source France-Info - 27/03/11

  • Cantonales: "Le FN se renforce sur l'ensemble du pays"

    Jpurnaliste politique au Figaro, Guillaume Perrault analyse les résultats du Front National au second tour des cantonales

    28/03/11

  • Le Mémorial de la Shoah lance un nouveau site Internet

    Le Mémorial de la Shoah lance un nouveau site internet dédié aux procédures d'indemnisation des Juifs français et étrangers victimes de persécutions racistes et antisémites sous l'Occupation.

    Le site, disponible en français, en anglais et en hébreu (à partir du 5 avril), vise à faire mieux connaître les compensations et restitutions attribuées par le gouvernement aux Juifs français et étrangers persécutés par le gouvernement de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Les Juifs français ou étrangers concernés peuvent se rendre sur http://holocaust-compensation-france.memorialdelashoah.org

    28/03/11

     

     

     

     

  • L'Eglise reconnaît une guérison inexpliquée à Lourdes

    L'Eglise catholique a reconnu dimanche la guérison inexpliquée d'un malade venu prier à Lourdes comme pouvant être un acte divin réalisé par l'intercession de la Vierge, ont annoncé les Sanctuaires de la cité mariale.
    Les Sanctuaires se sont gardés de parler de "miracle", notion qu'ils manipulent avec une extrême prudence à cause de la difficulté d'établir un "miracle".

     Mais il ne s'agit pas moins d'une reconnaissance tout à fait extraordinaire, a déclaré Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes.

    Sur plus de 7.000 cas de guérisons inexpliquées enregistrées à Lourdes depuis 1884, 67 seulement avaient fait l'objet d'une reconnaissance officielle de la part de l'Eglise avant ce dernier cas. La dernière reconnaissance datait de 2005, alors que six millions de pèlerins convergent chaque année vers Lourdes, dont beaucoup dans l'espoir d'une guérison.
    Serge François, un artisan angevin aujourd'hui à la retraite, souffrait depuis des années d'une hernie discale opérée deux fois, d'une paralysie presque totale de la jambe gauche et de douleurs vives quand, le 12 avril 2002, il s'est rendu à la grotte de Massabielle à Lourdes.
    Il venait déjà à Lourdes depuis des années, mais pour officier comme hospitalier, c'est-à-dire comme bénévole aidant les malades.
    C'est pendant ces années que le mal a commencé à le frapper.

    Le 12 avril 2002, Serge François a prié devant la grotte, là où la Vierge serait apparue à Bernadette Soubirous en 1858. Après avoir touché l'eau de la source réputée miraculeuse puis s'être rendu aux fontaines, il a été pris d'une douleur si fulgurante qu'il a cru mourir, selon son propre récit.
    Au bout de quelques minutes, la souffrance a fait place à une intense sensation de bien-être et de chaleur. Sa jambe a cessé de le faire souffrir et s'est ensuite progressivement ranimée.
    Au cours d'un nouveau pèlerinage en 2003, Serge François, réparateur de téléviseurs, a signalé sa guérison au Bureau des constatations médicales de Lourdes, qui enregistre et éventuellement instruit de tels dossiers.


    Le 1er décembre 2008, après des années d'instruction, le Comité médical international de Lourdes (CMIL), composé d'une vingtaine de médecins, a reconnu que la guérison de Serge François était remarquable parce que subite, complète, sans relation avec une quelconque thérapie, et durable.
    La CMIL est un passage obligé et important.


    Mais c'était à l'évêque de son diocèse qu'il appartenait de se prononcer sur le caractère "remarquable", aux yeux de l'Eglise, de la guérison de Serge François.
    C'est ce que Mgr Emmanuel Delmas, évêque d'Angers, a fait dimanche.
    "Cette guérison peut être considérée comme un don personnel de Dieu pour cet homme, comme un événement de grâce, comme un signe du Christ Sauveur", dit-il dans un communiqué.
    Interrogé sur les raisons pour lesquelles l'évêque d'Angers et les Sanctuaires ne parlent pas de "miracle", l'évêque de Lourdes invoque la difficulté grandissante à satisfaire aux critères du miracle selon les règles de l'Eglise.


    En particulier, il faut être absolument sûr que le diagnostic établi sur le malade était le bon, et qu'il n'a pas guéri sous l'effet d'un médicament, certitude beaucoup plus inatteignable aujourd'hui que par le passé étant donné la multiplicité des traitements, a expliqué l'évêque de Lourdes.
    Le miracle, c'est "une interprétation des faits avec les yeux de la foi", a dit Alessandro de Franciscis, médecin permanent du Bureau des constatations médicales, et ce n'est pas à lui, médecin, de se prononcer sur le caractère miraculeux de la guérison de Serge François.

    Mais il a rappelé les mots de l'évêque d'Angers selon lesquels cette guérison peut être considérée comme un "signe" du Christ; or "vous savez que la catégorie théologique des miracles dans la religion catholique, c'est le signe".

     28/03/11

  • La femme "violée" à Tripoli par des militaires pro-Kadhafi a sans doute menti...

    La femme qui avait accusé la semaine dernière des hommes du régime de l'avoir violée, devant la presse étrangère à Tripoli (vidéo ci-dessous), a été libérée. C'est ce qu'affirment les autorités libyennes. «Il s'agit d'une affaire criminelle et non pas politique», selon le porte-parole du gouvernement. 

     Les militaires qu'elle a accusés ont «déposé plainte contre elle pour diffamation et dénigrement, et le parquet poursuit ainsi son enquête, notamment après qu'elle a refusé de se soumettre à un examen médical»


    Libye : son témoignage dérange les autorités par BFMTV

    28/03/11