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Le pacte de Marrakech: Conférence de Marine Le Pen
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JT TVL 20 décembre_
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Attentat de Strasbourg: comment on fabrique le déni
L'attentat de Strasbourg n'a pas mis fin au "pas d'amalgame"
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Les mots interdits
https://blog.causeur.fr/bonnetdane/les-mots-interdits-002535.html#ligne
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Pacte de Marrakech : 13 généraux accusent Macron de « trahison » (MàJ : le ministère des Armées réfléchit à des sanctions disciplinaires)
0h2518/12
Contacté par L’Opinion, le ministère des Armées a qualifié d’«inadmissibles et indignes» les termes de la lettre ouverte adressée à Emmanuel Macron par 13 officiers, opposés à l’adhésion de la France au pacte de Marrakech.
La lettre ouverte de 13 chefs militaires français à l’attention du président de la République Emmanuel Macron, dénonçant le pacte mondial de l’ONU sur les migrations (dit pacte de Marrakech), n’a guère été du goût du gouvernement. Contacté par L’Opinion ce 17 décembre, le cabinet de la ministre des Armées Florence Parly a jugé les propos contenus dans cette lettre «inadmissibles et indignes». «Les généraux 2S [de la 2e section, c’est-à-dire qui ne sont plus actifs au sein de l’armée mais toujours mobilisables] qui ont signé ce texte sortent du devoir de réserve auquel ils sont soumis. Ce devoir de réserve les oblige et ce d’autant plus qu’en tant qu’officiers généraux ils incarnent le sommet de la hiérarchie militaire, c’est-à-dire qu’ils ont la charge de montrer l’exemple», a confié au quotidien le cabinet de la ministre.
"Ils ne répondent pas à leurs obligations statutaires et s’exposent de ce fait à des sanctions disciplinaires, dont nous apprécierons l’opportunité dans les jours à venir"
14/12
Un ancien ministre de la Défense, dix généraux, un amiral et un colonel. Dans un contexte de crise politique issue de la fronde des Gilets jaunes, un groupe d’officiers à la retraite vient de contresigner une lettre ouverte, demandant à Emmanuel Macron de renoncer à signer le pacte de Marrakech.
Les signataires de cette lettre, écrite par le général Antoine Martinez, un ancien haut gradé de l’armée de l’air estiment qu’en ratifiant le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, Emmanuel Macron se rendrait « coupable d’un déni de démocratie, voire de trahison à l’égard de la nation ».
(…) Parmi les signatures connues, figure Charles Millon, l’ex-ministre de la Défense de Jacques Chirac. Mais aussi le souverainiste Didier Tauzin, général, ou encore le général Christian Piquemal, radié des cadres de l’armée en septembre 2016, après avoir organisé une manifestation interdite contre les migrants à Calais.
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Strasbourg : un cinquième mort des suites de l’attentat (MàJ : la presse polonaise rapporte qu’il a agi en héros)
19h55(…)
– Ce jour-là, Bartek était allé à un concert dans l’un des clubs. Avant le début du concert, Bartek et une connaissance, un journaliste italien et deux musiciens se tenaient devant l’entrée. Ils sont sortis pour fumer. Ils ont ensuite vu un homme armé d’une arme à feu. Les témoins nous ont rapporté qu’ils s’étaient précipités pour l’arrêter », déclare l’ami de Bartosz.– Grâce à eux, la porte put rester fermée, l’agresseur n’est pas entré. Sinon, cela aurait été un massacre. Ça aurait fait comme au Bataclan à Paris, où les terroristes ont tiré sur des gens comme des canards. (…)
NCZAS.com
(Merci aux lecteurs qui nous ont pointé du doigt l’information)
(…)
Le musicien strasbourgeois Barto Pedro Orent-Niedzielski, connu sous le nom de «Bartosz», «Bartek» ou encore « Bart », est la cinquième victime décédée après l’attentat perpétré par Cherif Chekatt mardi 11 décembre à Strasbourg. Depuis mardi soir, il se trouvait en état de mort cérébrale.Bartek a été atteint d’une balle dans la tête alors qu’il se trouvait à côté du bar Les Savons d’Hélène dans la rue Sainte-Hélène. Il était avec le journaliste italien, Antonio Megalizzi, lui aussi grièvement blessé par le terroriste et décédé vendredi des suites de ses blessures.
(…)(Merci à FR67)
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JT TVL 17 décembre 2018
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FRAUDE FISCALE !
https://twitter.com/europe1/status/1073631929721774082?s=12https://twitter.com/europe1/status/1073631929721774082?s=12
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L'Italie durcit sa loi sur l'immigration par Soeren Kern 16 décembre 2018
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Avec cette nouvelle loi, le gouvernement italien n'accordera l'asile qu'aux réfugiés de guerre ou aux victimes de persécutions politiques. Les demandeurs d'asile pourront désormais être déchus de leur protection en fonction des délits qu'ils commettent : menaces ou violences à l'encontre d'un représentant de l'ordre public ; agression physique ; mutilation génitale féminine ; et diverses accusations de vol.
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« Je me demande si ceux qui contestent le décret sur la sécurité l'ont lu. Je ne comprends pas vraiment le problème : la loi expulse les délinquants et intensifie la lutte contre la mafia, le racket et la drogue. » - Matteo Salvini, vice-premier ministre et ministre de l'intérieur.
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L'Italie ne signera pas le Pacte mondial pour les migrations des Nations Unies et ses responsables n'assisteront pas à la conférence organisée à cet effet, à Marrakech (Maroc), les 10 et 11 décembre. Le Pacte mondial ne vise pas seulement à faire de la migration un droit de l'homme ; il met hors la loi toute critique de l'immigration et la rend passible des lois sur les crimes de haine.
L'Italie, principale porte d'entrée en Europe des migrants arrivant par voie maritime, a voté une loi plus stricte qui facilitera l'expulsion des migrants qui deviennent délinquants. Photo : des migrants sur une barque attendent d'être pris en charge par le navire Phoenix Migrant Offshore Aid Station le 10 juin 2017 au large de Lampedusa, en Italie. (Photo par Chris McGrath / Getty Images)
Le Parlement italien a voté une nouvelle loi qui durcit les conditions d'accueil des migrants, facilitera l'expulsion des délinquants et déchoira de la nationalité italienne les auteurs de crimes terroristes.
Le 28 novembre, la chambre basse du Parlement italien, la Camera dei Deputati, a approuvé par 396 voix contre 99 la nouvelle loi proposée par le ministre de l'Intérieur, Matteo Salvini. Le 7 novembre, le texte avait déjà passé victorieusement le test du Sénat. La nouvelle législation a été promulguée par le président Sergio Mattarella le 3 décembre.
Également connue sous le nom de « décret sur la sécurité » ou « décret Salvini », la nouvelle loi énumère plusieurs dispositions essentielles :
Fin du régime de protection dit humanitaire. L'un des principaux objectifs de la nouvelle loi est de limiter le nombre de migrants éligibles à l'asile en Italie. Ainsi, l'article premier du décret supprime les permis de séjour accordés au titre de la protection humanitaire ; une protection accordée auparavant à ceux qui ne pouvaient prétendre au statut de réfugié.
La protection humanitaire était l'une des trois formes de protection accordées aux demandeurs d'asile, aux côtés de l'asile politique et de la protection subsidiaire. Les conditions requises pour en bénéficier étaient vagues et susceptibles d'abus. Les migrants non éligibles à l'asile politique et à la protection subsidiaire mais qui obtenaient une protection humanitaire disposaient d'un permis de séjour qui durait deux ans et ouvrait droit à l'emploi, aux aides sociales et à un logement.
En vertu de la nouvelle loi, l'asile ne sera accordé qu'aux réfugiés de guerre ou aux victimes de persécutions politiques. Pour les problèmes de santé ou en cas de catastrophe naturelle, la nouvelle loi institue des titres de séjour spéciaux d'une durée maximale de six mois à un an.
Prolongation de la période de détention. L'article 2 double la durée de détention des migrants - de 90 jours à 180 jours – dans les centres de rapatriement (Centri di permanenza per il rimpatrio, CPR). Cette extension correspond à la période jugée nécessaire pour vérifier leur identité et la nationalité d'origine.
L'article 3 prévoit que les demandeurs d'asile pourront être détenus pendant une période maximale de 30 jours dans des "camps de migrants" (hotspots) situés aux frontières extérieures de l'Union européenne. Si l'identité n'est pas établie dans les 30 jours, les demandeurs d'asile pourront également être détenus dans des centres de rapatriement pendant 180 jours. En d'autres termes, les demandeurs d'asile peuvent être détenus pendant 210 jours aux fins de vérification de leur identité.
Augmentation des fonds pour l'expulsion. L'article 6 augmente le budget du financement de l'expulsion : 500 000 euros en 2018, 1,5 million d'euros en 2019 et 1,5 million d'euros en 2020.
Révocation de la protection. L'article 7 élargit la liste des délits pouvant entraîner une révocation du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire : menaces ou violences à l'encontre d'un fonctionnaire ou d'un représentant de l'ordre public ; agression physique ; mutilation génitale féminine ; et diverses condamnations liées au vol.
Une demande d'asile peut également être suspendue si le demandeur se trouve incriminé dans une procédure pénale pour l'un des délits susmentionnés. Une condamnation entraînera un refus automatique de l'asile. En outre, les réfugiés qui retournent au pays d'origine, même pour un court séjour, perdront leur protection internationale et subsidiaire.
Mise en place d'une liste des pays d'origine dits non-à-risque. L'article 7bis prévoit d'établir une liste des pays d'origine non-à-risque, c'est-à-dire des pays dotés de systèmes politiques démocratiques ou, de manière « générale et uniforme », les risques de persécution politique, de torture, de peines ou traitements inhumains ou humiliants, de menaces de violence ou de conflit armé sont absents.
Douze pays de l'UE disposent déjà de telles listes destinées à prévenir les abus au droit d'asile, qu'il soit européen ou national.
Le décret oblige les demandeurs d'asile originaires de l'un ou l'autre des pays de la liste à apporter la preuve qu'ils courent un danger en restant au pays d'origine. De nouvelles dispositions ont été introduites pour disqualifier une demande d'asile « manifestement non fondée » : déclarations incohérentes ; faux renseignements ou faux papiers ; refus de prise d'empreintes digitales ; ordonnances d'expulsion ; menaces de troubles à l'ordre public ; clandestins qui n'ont pas immédiatement demandé l'asile.
Outre la liste des pays d'origine dits non-à-risques, l'article 10 institue le principe de « fuite interne » : « si un étranger peut être rapatrié dans une région de son pays d'origine où il ne court aucun risque de persécution, l'application pour la protection internationale est rejetée ».
Réduction du nombre de centres d'accueil pour demandeurs d'asile. L'article 12 stipule que, seuls les mineurs non accompagnés et les personnes pouvant prétendre à une protection internationale seront autorisés à loger en centres d'accueil pour demandeurs d'asile et réfugiés (Sistema di protezione per richiedenti asilo e rifugiati, SPRAR), soit le système d'accueil ordinaire géré par les municipalités italiennes. Tous les autres demandeurs d'asile seront logés dans les centres d'accueil extraordinaire (Centri di Accoglienza Straordinaria, CAS) et dans les centres d'accueil pour demandeurs d'asile (Centri di Accoglienza de Richiedenti Asilo, CARA). Les changements visent non seulement à rétablir un contrôle central du processus d'asile, mais également à limiter l'accès aux services sociaux, à l'exception des plus élémentaires.
Déchéance de la nationalité. L'article 14 prévoit la déchéance de la nationalité italienne pour toutes les personnes qui l'ont acquise postérieurement à leur naissance et qui ont été reconnues coupables de crimes liés au terrorisme. Les personnes susceptibles de voir leur nationalité révoquée sont : les étrangers ayant acquis la citoyenneté après dix ans de résidence en Italie ; les apatrides qui ont acquis la citoyenneté après cinq ans de résidence en Italie ; les enfants d'étrangers nés en Italie qui ont acquis la citoyenneté après l'âge de 18 ans ; les conjoints de citoyens italiens ; et les étrangers adultes qui ont été adoptés par un citoyen italien.
La déchéance de la citoyenneté sera rendue possible dans un délai de trois ans à compter de la dernière condamnation pour crimes liés au terrorisme, par décret du président de la République sur proposition du ministre de l'Intérieur.
L'article 14 augmente également le délai d'attente pour obtenir la citoyenneté de 24 mois à 48 mois.
Renforcement des mesures de sécurité. La nouvelle loi a également renforcé les règles visant à garantir la sécurité publique, tant en matière de lutte contre le terrorisme que contre l'infiltration criminelle dans les marchés publics.
Afin de prévenir les attaques à la voiture bélier dans des lieux piétonniers, l'article 17 oblige les loueurs de véhicules à contrôler davantage les personnes qui louent des camions et des fourgonnettes. L'article 19 autorise les polices municipales des villes de plus de 100 000 habitants à utiliser des pistolets tasers, tandis que l'article 24 renforce les lois anti-mafia et les mesures de prévention. La mafia italienne a été régulièrement accusée de profiter de la crise migratoire.
Lors d'une conférence de presse, le ministre de l'intérieur, Salvini, a déclaré que la nouvelle loi permettra de remédier aux dysfonctionnements du droit d'asile. « Avec des critères, du bon sens et d'excellents résultats, nous avons mis de l'ordre, des règles, du sérieux, de la transparence et de l'homogénéité dans le système d'accueil des demandeurs d'asile, devenu une marchandise, un business hors contrôle financée par le peuple italien. » Il a ajouté :
« Nous devons accueillir les réfugiés qui fuient les guerres, mais les migrants économiques n'ont pas leur place en Italie. À l'ère de la communication mondiale, un message clair est envoyé aux migrants de tous les pays et aux passeurs ; ils doivent comprendre qu'ils doivent changer de travail. Celui qui fuit la guerre est mon frère, mais celui qui vient ici pour vendre de la drogue et créer du désordre doit retourner dans son pays. »
La nouvelle loi a été vertement condamnée par les principaux médias italiens, les partis politiques de gauche, ainsi que par des ONG et d'autres groupes s'occupant d'immigration. Salvatore Geraci, de Caritas Italie, la filiale italienne d'une association caritative, a décrit la loi comme « la pire de l'histoire italienne » et comme « pathogène, inutile et nuisible ». Il a ajouté : « Le texte mélange préjugés et calculs électoraux et représente une approche simpliste d'un phénomène complexe et articulé. »
Salvini a rétorqué : « Je crois que ceux qui contestent le décret sur la sécurité ne l'ont tout simplement pas lu. Je ne comprends pas où est le problème : il expulse les criminels et intensifie la lutte contre la mafia, le racket et le trafic de drogue. »
Salvini, chef du parti anti-immigration Lega (Ligue), participe à un gouvernement de coalition avec le mouvement populiste Cinq Etoiles (M5S) depuis le 1er juin. Le programme du gouvernement, un plan d'action en 39 pages, a promis de juguler l'immigration clandestine et d'expulser jusqu'à 500 000 migrants illégaux.
L'Italie est l'une des principales portes d'entrée en Europe des migrants arrivant par voie maritime : 119 369 personnes ont traversé la Méditerranée en 2017, contre 181 436 en 2016 indique l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). Près de 700 000 migrants sont arrivés en Italie au cours des cinq dernières années, mais depuis l'arrivée au pouvoir de Salvini, leur nombre a fortement décru. Selon l'OIM, 23 000 migrants seulement sont arrivés au cours des onze premiers mois de 2018.
En même temps que le décret, Salvini a annoncé que l'Italie ne signerait pas le Pacte mondial pour les migrations des Nations Unies et que les autorités italiennes ne se rendraient donc pas à la conférence de Marrakech (Maroc), les 10 et 11 décembre. Le Pacte mondial non seulement fait de la migration un droit de l'homme, mais veut pénaliser toute critique du mouvement migratoire au titre de la législation sur les crimes de haine.
Le 28 novembre, le Premier ministre Giuseppe Conte a déclaré devant le Parlement :
« Le Pacte mondial pour la migration pose des questions et des problèmes qui préoccupent nombre de nos concitoyens. Par conséquent, nous estimons nécessaire d'en débattre au parlement. Une décision sera prise à l'issue de ce débat, comme en Suisse. Le gouvernement ne se rendra pas à Marrakech, et adoptera ou non le Pacte de l'ONU une fois que le Parlement se sera exprimé. »
Plus d'une douzaine de pays ont annoncé qu'ils ne signeraient pas l'accord. Les pays occidentaux comprennent : l'Australie, l'Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République Tchèque, la Hongrie, Israël, l'Italie, la Lettonie, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la Suisse et les États-Unis.
Soeren Kern est Senior Fellow du Gatestone Institute de New York.
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JT TVL VENDREDI 14 DECEMBRE 2018
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Acte 5 : les Gilets Jaunes se mobilisent à Paris - 15/12/18
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Béziers : la justice donne 48 heures à la commune pour retirer la crèche de Noël installée dans la cour d'honneur de l'Hôtel de Ville
La municipalité devra payer une amende de 2 000 euros par jour de retard.
La justice administrative donne 48 heures à la commune de Béziers, dans l'Hérault, pour "retirer la crèche installée dans la cour d'honneur de l'Hôtel de Ville", "à compter de la notification de l'ordonnance du tribunal", "sous astreinte de 2 000 euros par jour de retard", indique la préfecture de l'Hérault.
La préfecture avait saisi le tribunal administratif de Montpellier en référé le 5 décembre pour demander le déménagement immédiat de la crèche dans un autre lieu que la mairie de Béziers.
Malgré trois condamnations, le maire persiste
"L’installation d’une telle crèche, à titre temporaire, à l’initiative d’une personne publique, dans un emplacement public, n’est légalement possible que lorsqu’elle présente un caractère culturel, artistique ou festif, sans exprimer la reconnaissance d’un culte ou marquer une préférence religieuse", indique le tribunal administratif, cité par la préfecture. La justice estime que même si la crèche est installée dans la cour d'honneur, elle "demeure toutefois dans l’enceinte du bâtiment public qui abrite le siège de la commune".
L'an dernier déjà, après plusieurs jours de polémique, la justice administrative avait enjoint Robert Ménard de retirer sous 48 heures la crèche de Noël installée dans sa mairie. Malgré trois condamnations par la justice ces dernières années, en vertu de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'État, le maire apparenté Rassemblement national a persisté cette année, mais a placé la crèche sur roulettes, en précisant qu'elle "se déplacera, si elle a besoin de se déplacer. Et elle continuera à exister".
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Hautmont (59) : le préfet du Nord décide de fermer une salle de prière musulmane « provoquant à la haine »
21h08Près de deux mois après la fermeture du centre Zahra à Grande-Synthe, le préfet du Nord décide jeudi de fermer un autre lieu de culte musulman du département « pour prévenir la commission d’actes de terrorisme« . Il s’agit de la salle de prière As-Sunnah à Hautmont, près de Maubeuge. La fermeture devra être effective avant ce samedi 15 décembre à 14h30 et durera au minimum six mois.
La surveillance durait depuis plus d’un an
« _Les idées qui y sont diffusées et les activités qui s’y déroulent provoquent à la haine et font l’_apologie d’actes de terrorisme » écrit le préfet du Nord dans un communiqué. L’imam de ce lieu de culte serait particulièrement visé. « Les prêches provoquent à la violence envers les non-croyants » écrit encore Michel Lalande.
Cette salle de prière As-Sunnah était très fréquentée puisqu’elle accueillait parfois jusqu’à 200 personnes alors que le local avait une capacité n’excédant pas les 100 visiteurs.
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Strasbourg : l’islamiste multirécidiviste Chérif Chekatt abattu par la police, l’Etat Islamique revendique l’attentat
21h28
Quatre personnes au moins ont par ailleurs été poignardées. Il y a ces « Allahou akbar »entendus par des témoins. Et surtout cet aparté avec M., le chauffeur de taxi qu’il a pris en otage avant de disparaître. Selon nos informations, Chekatt lui a confié avoir « tué pour venger ses frères morts [en Syrie] ».
Et si M. a eu la vie sauve, c’est après avoir déclaré qu’il était « musulman pratiquant » et respectueux de « la prière ».
EN DIRECT – Attaque à Strasbourg: L’opération du Raid dans le quartier du Neudorf vient de s’achever https://t.co/2Qc2g4Rico
— Jean Marc Morandini (@morandiniblog) 13 décembre 2018
Une importante opération policière est en cours dans le quartier du Neudorf à Strasbourg, où de nombreux véhicules de police ont été disposés en travers des rues pour bloquer la circulation des voitures mais aussi des piétons, et évacuer ainsi le périmètre.
« Il s’agit d’une levée de doute comme il y en a eu plusieurs depuis 36 heures. Cela n’est pas un signalement et cela ne veut rien annoncer, laissons l’enquête se poursuivre », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, devant le Sénat.
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Marine Le Pen à Eric Naulleau ...
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Le taux de fécondité baisse pour toutes les femmes en France, sauf pour les immigrées
10h03Le taux de fécondité est en baisse régulière depuis 2015 atteignant 1,88 enfant par femme en 2017. (…)
Un taux plus élevé chez les femmes immigrées. Mais selon l’Institut national des statistiques et des études économiques (Insee), la fécondité des femmes immigrées, elle, reste « plus stable » et se maintenait en 2016 à 2,73 enfants par femme. Ce niveau est « comparable à celui des années 2012 à 2014 ». Cela représente « environ 0,8 enfant de plus par femme que les non immigrées » dont le taux de fécondité était de 1,80 enfant par femme en 2016.
L’Insee définit un « immigré » comme une « personne résidant en France née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance ». Rapporté au taux de fécondité global en France en 2014 (2,00), « la contribution des femmes immigrées » reste cependant « limitée » à 0,1 enfant par femme, a nuancé l’Institut. Elle n’a quasiment pas évolué depuis 2012.
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Le taux de fécondité baisse pour toutes les femmes en France, sauf pour les immigrées
10h03Le taux de fécondité est en baisse régulière depuis 2015 atteignant 1,88 enfant par femme en 2017. (…)
Un taux plus élevé chez les femmes immigrées. Mais selon l’Institut national des statistiques et des études économiques (Insee), la fécondité des femmes immigrées, elle, reste « plus stable » et se maintenait en 2016 à 2,73 enfants par femme. Ce niveau est « comparable à celui des années 2012 à 2014 ». Cela représente « environ 0,8 enfant de plus par femme que les non immigrées » dont le taux de fécondité était de 1,80 enfant par femme en 2016.
L’Insee définit un « immigré » comme une « personne résidant en France née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance ». Rapporté au taux de fécondité global en France en 2014 (2,00), « la contribution des femmes immigrées » reste cependant « limitée » à 0,1 enfant par femme, a nuancé l’Institut. Elle n’a quasiment pas évolué depuis 2012.
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Fichés S: on arrête bien les gilets jaunes…
Les "arrestations préventives" seraient possibles dans un cas, mais pas dans l'autre...
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Macron annonce une hausse du smic... qui n’en est pas une
Entourloupe. Au cours d’une allocution très attendue par les Français, Emmanuel Macron a annoncé plusieurs mesures pour calmer la grogne des “gilets jaunes”. Parmi elles, une hausse du smic de 100 euros… qui n’en est en fait pas une.
Dire que l’intervention d’Emmanuel Macron était attendue est un euphémisme. Lundi 10 décembre au soir, le président de la République a fait son mea culpa dans une allocution à la télévision, qui est loin d’avoir satisfaite tout le monde, notamment sur certains termes utilisés, comme l’explique franceinfo.
Une formulation qui prête à confusion
« Le salaire d’un travailleur au smic augmentera de 100 euros par mois dès 2019, sans qu’il en coûte un euro de plus pour l’employeur ». Cette phrase prononcée par le chef de l’Etat est une belle mesure en soi. Mais la formulation prête à confusion. En réalité, le smic n’augmentera pas, c’est la prime d’activité qui sera revalorisée, comme il était prévu dans le programme du candidat Macron en mai 2017. Une mesure qui sera juste appliquée un peu plus tôt que prévu. En fait, le salaire minimum ne bénéficiera que de la hausse légale automatique d’environ 1,8% prévue par la loi. Soit une vingtaine d’euros en net.
Une mesure déjà promise
D’où sortent alors les 80 euros restants ? Ce sont les travailleurs rémunérés au smic ou à un salaire légèrement supérieur, qui verront leur prime d’activité augmenter « dès 2019 ». Une prime qui a remplacé le RSA en 2016 et qui est versée par l’Etat via les caisses d’allocation familiales. D’où l’absence de financements supplémentaires pour les entreprises. Seulement, si le président de la République a annoncé cette mesure comme un cadeau pour les Français, elle est prévue depuis le début de son quinquennat : 30 euros en avril 2019, 20 euros en octobre 2020 et 20 euros en octobre 2021, soit un total de 70 euros d’ici la fin du mandat d’Emmanuel Macron. Contacté par franceinfo, l’Elysée a confirmé que cette annonce correspondait en fait à une simple accélération du processus. Au lieu d’être effective progressivement pendant cinq ans, elle le sera dès 2019. Si on y ajoute les 20 euros d’augmentation automatique du smic au 1er janvier, on atteint presque les 100 euros annoncés.
Désavantageux pour le salarié
Le problème réside dans le fait qu’une augmentation du smic aurait été plus avantageuse qu’une augmentation de la prime d’activité sur le long terme. Si, sur le compte en banque, cela revient au même, la prime d’activité, elle, n’est pas soumise aux cotisations sociales. Donc son montant ne sera pas pris en compte pour calculer le niveau de pension du salarié quand celui-ci partira à la retraite. Et cela, le président de la République s’est bien gardé de l’évoquer…
VALEURS ACTUELLES
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JT TVL MARDI 11 DECEMBRE