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Blog - Page 17

  • JT TVL 20 décembre_

  • Attentat de Strasbourg: comment on fabrique le déni

     

    L'attentat de Strasbourg n'a pas mis fin au "pas d'amalgame"

     
     
     

    L’attentat de Strasbourg a mis en acte plusieurs facettes du déni tel qu’il se pratique en France, chaque fois qu’il est question d’islamisme ou de terrorisme islamiste.


    Règle n°1: le déni est d’abord celui de l’Etat et de la classe politique

     

    Le 12 décembre, alors qu’il est déjà acquis qu’un terroriste islamiste nommé Chérif Chekatt, d’origine algérienne, délinquant multirécidiviste, tire à vue sur les badauds du marché de Noël de Strasbourg, les pouvoirs publics s’emploient à nier l’attentat. Laurent Nunez, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, sur France Inter, refuse de qualifier les actes du tueur islamiste d’ « attentat ». Quelle raison donne-t-il ? « Le tireur n’a jamais essayé de se rendre en Syrie ».

    Bruno Studer, député LREM, a sangloté deux jours plus tard sur les bancs de l’Assemblée nationale en déclarant : « Hier soir, un Strasbourgeois né à Strasbourg, un Alsacien né en Alsace, un Français né en France, et n’ayant grandi nulle part ailleurs qu’à Strasbourg, en Alsace et en France, a décidé pour des raisons que l’enquête déterminera de semer la terreur sur le marché de Noël de Strasbourg ».

    MM. Studer et Nunez ont cherché tous deux à déréaliser le réel. Telle est la définition du déni. Les attentats islamistes ne sont pas des attentats islamistes car l’islam est une religion de paix et d’amour. Questionner l’islam reviendrait à « stigmatiser » l’ensemble des musulmans. L’attentat de Strasbourg doit rester l’acte isolé d’un « Français » lambda, incompréhensible, et donc dément. Telle est d’ailleurs la thèse de la justice depuis 2015 : les terroristes sont des déséquilibrés qui agissent seuls.

    Il serait bien sûr inacceptable, tant sur les plans moral que politique, de pointer un doigt accusateur sur l’islam et les musulmans. Mais le dédouanement en bloc, la négation de la sécession politique et culturelle d’une frange importante de la communauté des Français musulmans, sont-ils pour autant acceptables ?

    Règle n°2: le déni s’appuie sur les « experts »

    Cette politique publique du déni est servie par de puissants alliés. Médias et experts s’associent souvent pour conforter la thèse que l’islam ne saurait être meurtrier. Pour ce faire, il n’existe qu’une seule technique connue : transformer le tueur en victime. C’est ce qu’ont fait le 14 décembre, Le Monde et Farhad Khosrokhavar, « expert » de l’islam et auteur de plusieurs livres sur le sujet. Affirmer que Chekatt « est un individu animé par un islamisme radical, fait peur à la société et crée une atmosphère de panique généralisée »,explique M. Khosrokhavar. Refusant de « faire peur », M. Khosrokhavar a donc développé la thèse devenue un classique que Chekatt était un pauvre garçon « désespéré » « qui veut en découdre avec la société, en a assez de vivre une vie éclatée entre la prison et le monde extérieur ». Strasbourg n’a pas été victime d’un attentat islamiste mais d’un « moment de fragilité psychologique ou un désir de revanche » sociale d’un malheureux.

    Le chercheur Olivier Roy est le chef de file de cette école de la désinformation. Olivier Roy analyse la réislamisation des sociétés musulmanes comme la conjonction de quêtes existentielles individuelles. « Allah akbar » serait selon lui l’équivalent du peace and love des hippies des années 1960. Plus la chape islamiste massifie les populations, plus il perçoit les rues du Caire comme peuplées de hippies musulmans en quête de solutions personnelles.

    On voit bien l’intérêt de cette « théorie » pour les pouvoirs publics. Elle permet de ne pas répondre à cette question vitale que chaque Français se pose : le musulman du coin de la rue est-il ou non cet inquiétant voisin qui menace de découper le juif ou le mécréant à la machette ? Olivier Roy et Farhad Khosrokhavar contribuent au déni de l’Etat quand ils bottent la question en touche et affirment que les jeunes radicalisés ne sont pas des terroristes islamistes, mais des hippies qui ont mal tourné.

    Gilles Kepel, l’un des rares vrais experts français de l’islam, s’est indigné sur FranceTv info de ces calembredaines meurtrières : « Certains spécialistes, comme le sociologue Farhad Khosrokhavar, expliquent que Cherif Chekatt n’était pas un djihadiste mais un déprimé, qu’il a fait cela par désespoir. On a là l’explication de l’échec total de ce qu’a été notre politique par rapport à ce phénomène : l’incapacité à comprendre la dimension idéologique de la radicalisation, à comprendre ce qu’il se passait dans les prisons, etc. Il faudrait que le président de la République se saisisse de cette question et arrête de faire en sorte que notre administration soit à côté de la plaque sur ce type d’enjeu. »

    Mais à quoi bon s’égosiller dans le désert. Les forces du déni sont puissantes.

    Règle n°3: les médias sont le principal relais du déni

    Aux tenants de la classe politique et des experts, il faut ajouter les médias. Quelle meilleure façon d’accréditer la thèse du déséquilibré dans le public que d’aller interviewer le père et la mère du terroriste assassin. Lesquels, comme n’importe quelle famille française, ont éduqué leur rejeton dans le respect de la loi et de l’ordre républicain. Le déni fonctionne sur ces présupposés communs. Comme l’islam, la famille est un relais de paix et d’amour.

    France 2 est donc allé interviewer la famille Chekatt. Et les Français ont découvert le père Chekatt, le chef orné d’un bonnet à l’effigie de Che Guevara et portant la barbe teinte en roux des salafistes les plus radicaux. La question de France 2 était : comment votre fils a-t-il pu aussi mal tourner ? La réponse du père (des voisins, des amis, de la grand-mère) est toujours la même : il était très-très gentil.

    Bref, la télé filme le cœur d’une cellule islamiste radicalisée, mais refuse de voir ce qui crève les yeux :  le père est lui-même islamiste, fiché S [ndlr: ce texte a été publié avant le démenti de France 2: « Contrairement à ce qui est indiqué dans le commentaire du reportage, le père de Cherif Chekatt n’est pas fiché S »] et se teint la barbe en roux, au henné pour mieux imiter le prophète. Ils sont en France depuis trente ans, parlent à peine le français, et les murs délabrés de leur appartement, son mobilier plus que sommaire témoignent moins de la pauvreté que du refus de s’installer confortablement dans la société française.

    Aucune question dérangeante ne sera posée : pourquoi portez-vous la barbe des salafistes? Que signifie ce bonnet à l’effigie de Che Guevara ? Quelle éducation avez-vous donné à votre fils pour qu’il soit considéré comme un délinquant même par les enseignants de son école primaire ?…

    Le déni est si puissant que les islamistes radicaux n’ont même plus besoin de se cacher. Ils sont là au grand jour et personne ne veut les voir. La police elle-même a relâché le couple parental après moins de 24 heures d’interrogatoire. Rappelons que les services sociaux ont mis gracieusement un logement social à Tremblay-en-France, à la disposition de Zoulikah Merah, la mère de Mohamed Merah pour qu’elle puisse se rapprocher de son fils Aldelkader Merah, incarcéré à Villepinte en 2017.

    Règle n°4: « Vous n’aurez pas ma haine »

    L’autre forme du déni médiatique est de trouver celui qui clamera « vous n’aurez pas ma haine ». Un rôle que le professeur Philippe Meirieu a tenu à merveille lui, dont le tweet sera abondamment relayé par les réseaux sociaux. « Attentats de Strasbourg : la barbarie est là, tapie dans notre quotidien. Surtout ne pas oublier que le passage à l’acte, même préparé de longue date, peut toujours être suspendu par un mot, un geste, une rencontre. Adoucir le monde, voilà l’urgence. »

    Philippe Meirieu@PhilippeMeirieu
     
     

    Attentats de Strasbourg : la barbarie est là, tapie dans notre quotidien. Surtout ne pas oublier que le passage à l’acte, même préparé de longue date, peut toujours être suspendu par un mot, un geste, une rencontre. Adoucir le monde, voilà l’urgence.

     
    460 personnes parlent à ce sujet
     
     

    Règle n°5: le musulman est la seule victime de la société française

    Enfin, ce concert déréalisant, se termine toujours par les mêmes points d’orgue : les déclarations des leaders de la communauté musulmane. Ils viennent toujours opportunément rappeler qu’il n’existe qu’une seule victime en France, c’est le musulman. « Les musulmans vivent dans un climat anxiogène », a déclaré Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris dans un entretien accordé début décembre à un journal algérien. Le même trouverait profondément inconvenant que l’on se demande si les Français non-musulmans ne vivent pas eux-aussi dans un climat anxiogène. Du fait des musulmans radicalisés par exemple.

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  • Pacte de Marrakech : 13 généraux accusent Macron de « trahison » (MàJ : le ministère des Armées réfléchit à des sanctions disciplinaires)

     

    0h25

    18/12

    Contacté par L’Opinion, le ministère des Armées a qualifié d’«inadmissibles et indignes» les termes de la lettre ouverte adressée à Emmanuel Macron par 13 officiers, opposés à l’adhésion de la France au pacte de Marrakech.  

    La lettre ouverte de 13 chefs militaires français à l’attention du président de la République Emmanuel Macron, dénonçant le pacte mondial de l’ONU sur les migrations (dit pacte de Marrakech), n’a guère été du goût du gouvernement. Contacté par L’Opinion ce 17 décembre, le cabinet de la ministre des Armées Florence Parly a jugé les propos contenus dans cette lettre «inadmissibles et indignes». «Les généraux 2S [de la 2e section, c’est-à-dire qui ne sont plus actifs au sein de l’armée mais toujours mobilisables] qui ont signé ce texte sortent du devoir de réserve auquel ils sont soumis. Ce devoir de réserve les oblige et ce d’autant plus qu’en tant qu’officiers généraux ils incarnent le sommet de la hiérarchie militaire, c’est-à-dire qu’ils ont la charge de montrer l’exemple», a confié au quotidien le cabinet de la ministre.

    "Ils ne répondent pas à leurs obligations statutaires et s’exposent de ce fait à des sanctions disciplinaires, dont nous apprécierons l’opportunité dans les jours à venir"

    RT


    14/12

    Un ancien ministre de la Défense, dix généraux, un amiral et un colonel. Dans un contexte de crise politique issue de la fronde des Gilets jaunes, un groupe d’officiers à la retraite vient de contresigner une lettre ouverte, demandant à Emmanuel Macron de renoncer à signer le pacte de Marrakech.

    Les signataires de cette lettre, écrite par le général Antoine Martinez, un ancien haut gradé de l’armée de l’air estiment qu’en ratifiant le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, Emmanuel Macron se rendrait « coupable d’un déni de démocratie, voire de trahison à l’égard de la nation ».

    (…) Parmi les signatures connues, figure Charles Millon, l’ex-ministre de la Défense de Jacques Chirac. Mais aussi le souverainiste Didier Tauzin, général, ou encore le général Christian Piquemal, radié des cadres de l’armée en septembre 2016, après avoir organisé une manifestation interdite contre les migrants à Calais.

    (…) Le Parisien

  • Strasbourg : un cinquième mort des suites de l’attentat (MàJ : la presse polonaise rapporte qu’il a agi en héros)

     

    19h55

    (…)
    Ce jour-là, Bartek était allé à un concert dans l’un des clubs. Avant le début du concert, Bartek et une connaissance, un journaliste italien et deux musiciens se tenaient devant l’entrée. Ils sont sortis pour fumer. Ils ont ensuite vu un homme armé d’une arme à feu. Les témoins nous ont rapporté qu’ils s’étaient précipités pour l’arrêter », déclare l’ami de Bartosz.

    Grâce à eux, la porte put rester fermée, l’agresseur n’est pas entré. Sinon, cela aurait été un massacre. Ça aurait fait comme au Bataclan à Paris, où les terroristes ont tiré sur des gens comme des canards. (…)

    NCZAS.com
    (Merci aux lecteurs qui nous ont pointé du doigt l’information)


    (…)
    Le musicien strasbourgeois Barto Pedro Orent-Niedzielski, connu sous le nom de «Bartosz», «Bartek» ou encore « Bart », est la cinquième victime décédée après l’attentat perpétré par Cherif Chekatt mardi 11 décembre à Strasbourg. Depuis mardi soir, il se trouvait en état de mort cérébrale.

     

    Bartek a été atteint d’une balle dans la tête alors qu’il se trouvait à côté du bar Les Savons d’Hélène dans la rue Sainte-Hélène. Il était avec le journaliste italien, Antonio Megalizzi, lui aussi grièvement blessé par le terroriste et décédé vendredi des suites de ses blessures.
    (…)

    L’Alsace

    (Merci à FR67)

  • JT TVL 17 décembre 2018

  • L'Italie durcit sa loi sur l'immigration par Soeren Kern 16 décembre 2018

  • JT TVL VENDREDI 14 DECEMBRE 2018

  • Béziers : la justice donne 48 heures à la commune pour retirer la crèche de Noël installée dans la cour d'honneur de l'Hôtel de Ville

     

    La municipalité devra payer une amende de 2 000 euros par jour de retard.

    Robert Ménard, le maire de Béziers, le 4 décembre 2017.
    Robert Ménard, le maire de Béziers, le 4 décembre 2017. (MICHAEL ESDOURRUBAILH / MAXPPP)

    La justice administrative donne 48 heures à la commune de Béziers, dans l'Hérault, pour "retirer la crèche installée dans la cour d'honneur de l'Hôtel de Ville""à compter de la notification de l'ordonnance du tribunal""sous astreinte de 2 000 euros par jour de retard", indique la préfecture de l'Hérault.

    La préfecture avait saisi le tribunal administratif de Montpellier en référé le 5 décembre pour demander le déménagement immédiat de la crèche dans un autre lieu que la mairie de Béziers.

    Malgré trois condamnations, le maire persiste

    "L’installation d’une telle crèche, à titre temporaire, à l’initiative d’une personne publique, dans un emplacement public, n’est légalement possible que lorsqu’elle présente un caractère culturel, artistique ou festif, sans exprimer la reconnaissance d’un culte ou marquer une préférence religieuse", indique le tribunal administratif, cité par la préfecture. La justice estime que même si la crèche est installée dans la cour d'honneur, elle "demeure toutefois dans l’enceinte du bâtiment public qui abrite le siège de la commune".

    L'an dernier déjà, après plusieurs jours de polémique, la justice administrative avait enjoint Robert Ménard de retirer sous 48 heures la crèche de Noël installée dans sa mairie. Malgré trois condamnations par la justice ces dernières années, en vertu de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'État, le maire apparenté Rassemblement national a persisté cette année, mais a placé la crèche sur roulettes, en précisant qu'elle "se déplacera, si elle a besoin de se déplacer. Et elle continuera à exister".

  • Hautmont (59) : le préfet du Nord décide de fermer une salle de prière musulmane « provoquant à la haine »

     

    21h08

    Près de deux mois après la fermeture du centre Zahra à Grande-Synthe, le préfet du Nord décide jeudi de fermer un autre lieu de culte musulman du département « pour prévenir la commission d’actes de terrorisme« . Il s’agit de la salle de prière As-Sunnah à Hautmont, près de Maubeuge. La fermeture devra être effective avant ce samedi 15 décembre à 14h30 et durera au minimum six mois.

    La surveillance durait depuis plus d’un an

    « _Les idées qui y sont diffusées et les activités qui s’y déroulent provoquent à la haine et font l’_apologie d’actes de terrorisme » écrit le préfet du Nord dans un communiqué. L’imam de ce lieu de culte serait particulièrement visé. « Les prêches provoquent à la violence envers les non-croyants » écrit encore Michel Lalande.

    Cette salle de prière As-Sunnah était très fréquentée puisqu’elle accueillait parfois jusqu’à 200 personnes alors que le local avait une capacité n’excédant pas les 100 visiteurs.

  • Strasbourg : l’islamiste multirécidiviste Chérif Chekatt abattu par la police, l’Etat Islamique revendique l’attentat

     

    21h28
    Darelle Ba@ZieuxVoient
     
     

    Corps du terroriste cherif Chekatt après avoir été abattu par les forces de police ,

     
    241 personnes parlent à ce sujet
     
     

     

    Jean-Charles Brisard
     
    @JcBrisard
     
     

    L’ revendique l’attentat de via l’agence et qualifie l’auteur de “soldat de l’Etat Islamique”

     
    137 personnes parlent à ce sujet
     
     

     

     
    Vidéo intégrée
    Pierre Sautarel@FrDesouche
     
     

    Le corps pointé au laser de Chérif CHEKATT

     
    204 personnes parlent à ce sujet
     
     

     

    Laurent Valdiguié
     
    @Valdiguie
     
     

    Chérif Chekatt a été tué par un tir de riposte (source police officielle)

     
    66 personnes parlent à ce sujet
     
     

     

     
    Vidéo intégrée
    BFMTV
     
    @BFMTV
     
     

    Strasbourg: le suspect Cherif Chekatt a été abattu

     
    1 877 personnes parlent à ce sujet
     
     

     


    Quatre personnes au moins ont par ailleurs été poignardées. Il y a ces « Allahou akbar »entendus par des témoins. Et surtout cet aparté avec M., le chauffeur de taxi qu’il a pris en otage avant de disparaître. Selon nos informations, Chekatt lui a confié avoir « tué pour venger ses frères morts [en Syrie] ».

    Et si M. a eu la vie sauve, c’est après avoir déclaré qu’il était « musulman pratiquant » et respectueux de « la prière ».

    Le Parisien


    EN DIRECT – Attaque à Strasbourg: L’opération du Raid dans le quartier du Neudorf vient de s’achever https://t.co/2Qc2g4Rico

    — Jean Marc Morandini (@morandiniblog) 13 décembre 2018

     


    Une importante opération policière est en cours dans le quartier du Neudorf à Strasbourg, où de nombreux véhicules de police ont été disposés en travers des rues pour bloquer la circulation des voitures mais aussi des piétons, et évacuer ainsi le périmètre.

    « Il s’agit d’une levée de doute comme il y en a eu plusieurs depuis 36 heures. Cela n’est pas un signalement et cela ne veut rien annoncer, laissons l’enquête se poursuivre », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, devant le Sénat.

    BFMTV

    Richard De Wulf@ritchydewulf
     
     

    Un opération du est en cours à . Débutée il y a environ 30min, non loin quartier du Neudorf, là où aurait été aperçu pour la dernière fois mardi soir selon

     
    Voir les autres Tweets de Richard De Wulf
     
     

     


     
    Vidéo intégrée
    Pierre Sautarel@FrDesouche
     
     

    Un député LR dénonce la radicalisation islamiste dans la police, la gendarmerie, l'armée, la douane et l’administration pénitentiaire

     
    395 personnes parlent à ce sujet
     
     

     


    Fdesouche@F_Desouche
     
     

    Matteo Salvini : « Toute personne se réjouissant de l’attaque terroriste en France sera immédiatement arrêtée » - http://www.fdesouche.com/1125233-matteo-salvini-toute-personne-se-rejouissant-de-lattaque-terroriste-en-france-sera-immediatement-arretee 

  • Marine Le Pen à Eric Naulleau ...

    http://www.fdesouche.com/1124935-marine-le-pen-a-eric-naulleau-politiquement-vous-etes-un-ane-et-professionnellement-un-mouton

  • Le taux de fécondité baisse pour toutes les femmes en France, sauf pour les immigrées

     

    10h03

    Le taux de fécondité est en baisse régulière depuis 2015 atteignant 1,88 enfant par femme en 2017. (…)

    Un taux plus élevé chez les femmes immigrées. Mais selon l’Institut national des statistiques et des études économiques (Insee), la fécondité des femmes immigrées, elle, reste « plus stable » et se maintenait en 2016 à 2,73 enfants par femme. Ce niveau est « comparable à celui des années 2012 à 2014 ». Cela représente « environ 0,8 enfant de plus par femme que les non immigrées » dont le taux de fécondité était de 1,80 enfant par femme en 2016.

    L’Insee définit un « immigré » comme une « personne résidant en France née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance ». Rapporté au taux de fécondité global en France en 2014 (2,00), « la contribution des femmes immigrées » reste cependant « limitée » à 0,1 enfant par femme, a nuancé l’Institut. Elle n’a quasiment pas évolué depuis 2012.

    Europe 1

     
  • Le taux de fécondité baisse pour toutes les femmes en France, sauf pour les immigrées

     

    10h03

    Le taux de fécondité est en baisse régulière depuis 2015 atteignant 1,88 enfant par femme en 2017. (…)

    Un taux plus élevé chez les femmes immigrées. Mais selon l’Institut national des statistiques et des études économiques (Insee), la fécondité des femmes immigrées, elle, reste « plus stable » et se maintenait en 2016 à 2,73 enfants par femme. Ce niveau est « comparable à celui des années 2012 à 2014 ». Cela représente « environ 0,8 enfant de plus par femme que les non immigrées » dont le taux de fécondité était de 1,80 enfant par femme en 2016.

    L’Insee définit un « immigré » comme une « personne résidant en France née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance ». Rapporté au taux de fécondité global en France en 2014 (2,00), « la contribution des femmes immigrées » reste cependant « limitée » à 0,1 enfant par femme, a nuancé l’Institut. Elle n’a quasiment pas évolué depuis 2012.

    Europe 1

     
  • Fichés S: on arrête bien les gilets jaunes…

     

    Les "arrestations préventives" seraient possibles dans un cas, mais pas dans l'autre...

     
     
     

    Les « arrestations préventives » seraient possibles à l’encontre de manifestants plus ou moins violents, comme certains gilets jaunes, mais pas contre des fichés S mêlant banditisme et islamisme, comme le terroriste présumé de Strasbourg.


     
     
     
     
     
     

    Quelques jours à peine après que des centaines de manifestants gilets jaunes ont fait l’objet d’arrestations préventives pour les motifs les plus farfelus comme la possession de lunettes ou de casques de chantier, et parfois de répression particulièrement violente (trop nombreux tirs de flashball en plein visage ou premières décisions d’une justice devenue subitement impitoyable), on apprend que, selon le processus désormais bien huilé, un nouveau fiché S, Chérif le mal nommé, musulman radicalisé lors d’un de ses innombrables passages en prison, a fait plusieurs morts et blessés graves près du célèbre marché de Noël de Strasbourg lors d’une attaque avec arme à feu et arme blanche, assortie de la formule incantatoire « Allah Akbar »…

    Le terroriste de Strasbourg ne portait pas de lunettes de piscine

    Cela fait quelques années déjà que l’on sait combien il est devenu dangereux de maintenir l’appellation « marché de Noël » dans une société aux racines chrétiennes honnies,  cible de l’entrisme islamiste le plus violent qui soit avec la complaisance des soumis de tout poil. Chez nos voisins belges, à Bruges, à Bruxelles, à Gand, les marchés de Noël ont courageusement été rebaptisés en « Plaisirs d’hiver » et autres considérations météorologiques prétendument neutres et tolérantes : il est vrai que lorsqu’on n’ose pas affronter les sujets qui fâchent avec courage, on peut toujours parler des saisons et du temps qu’il fait, ça ne mange pas de pain. On sait aussi que les grandes fêtes et rassemblements populaires sont des cibles faciles et de choix pour les islamistes.

    Le profil du tueur pose une nouvelle fois la lancinante question des moyens dont se dote la puissance publique pour lutter contre le fléau islamiste et, fatalement, le peuple citoyen est en droit de se demander pourquoi les entorses aux libertés fondamentales qui ont été commises contre les gilets jaunes – à travers notamment ces insupportables « arrestations préventives » auxquelles on a assisté, particulièrement liberticides et entravant en l’occurrence la liberté de manifester -, ne sont alors pas possibles, tant qu’à faire, contre ceux qui tuent et terrorisent le pays depuis des années. La radicalisation religieuse, islamiste, ne suffit-elle pas, dans cette conception pénale qui repose sur la notion de sûreté (et donc de protection préventive), à mettre hors d’état de nuire les individus qui représentent un danger pour la société ? Pourquoi cette philosophie pénale ne serait-elle valable que contre le peuple français revendiquant son droit à vivre dignement, et pas contre ceux qui font couler le sang depuis tant d’années ? Il faut dire, l’assassin ne portait pas de lunettes de piscine et n’avait pas bloqué de trains.

    Deux poids, deux mesures ?

    Les autorités auront beau jeu de dire qu’une perquisition venait d’avoir lieu chez lui : celle-ci (qui a peut-être déclenché son passage à l’acte) a été effectuée dans le cadre d’une affaire de banditisme et non dans une quelconque intention de le neutraliser préventivement en tant qu’islamiste dont on connaissait la radicalisation. Il y a, par ailleurs, belle lurette que l’on sait que l’islamisme ne sert bien souvent que de cache-sexe religieux à la voyoucratie. Dans tous les cas, il s’agit de régner par la violence et la terreur et, a fortiori, pourrait-on appliquer des mesures préventives  lorsque ces deux dérives (délinquance et islamisme) sont réunies dans un même individu. Il serait donc plus facile, en bidouillant à sa guise le Code pénal comme on l’a fait contre les gilets jaunes,  d’attenter aux libertés fondamentales garanties par les normes constitutionnelles et conventionnelles lorsqu’on s’attaque aux populistes prétendument « factieux » que lorsqu’il s’agit de neutraliser le véritable danger qui ne cesse de gangrener les sociétés occidentales ? Quel manque de chance ! Quelle malheureuse absence unilatérale de plasticité pénale !

    Le peuple est pris en tenaille

    Le peuple est pris en tenaille : soit il se laisse faire, ne revendique pas, soit il s’exprime et parfois même de façon turbulente (ce qui ne devrait pas choquer dans un régime fondé sur la Révolution, laquelle ne s’est pas déroulée dans une ambiance cosy et feutrée), et alors on lui fera le reproche même pas larvé, même pas honteux, d’épuiser les forces de l’ordre et de renforcer de facto le danger terroriste. Tout comme il ne lui est désormais plus possible ni de festoyer joyeusement ni de manifester sans que les habituelles bandes de racailles ne viennent corrompre et parasiter durablement les mouvements populaires. Christophe Castaner a ensuite beau jeu de s’indigner théâtralement et de porter plainte avec force coups de menton, dans la grande tradition d’atteinte à la liberté d’expression qui caractérise sa formation politique et le socialisme dont elle et lui sont issus, des propos certes maladroits de Nicolas Dupont-Aignan : les « petits casseurs » ne sont certes pas directement ceux « de Castaner » mais elles font clairement « le jeu » du pouvoir (pour reprendre l’expression favorite des électeurs-castors qui ne pourront donc pas s’en émouvoir ni se récrier ni encore encombrer les prétoires de leurs usuelles pleurnicheries) en décrédibilisant les manifestations auprès de l’opinion publique.

     

    Le peuple français subit donc de toutes parts : il subit  la violence concrète, sociale et le mépris symbolique, il subit la violence de la répression lorsqu’il ose se révolter, il subit le déferlement parasitaire des petits délinquants des cités, il subit enfin le terrorisme islamiste car c’est encore lui, le peuple, qui en paie le prix du sang et de l’insécurité dont on viendra, en prime, lui faire porter la responsabilité et la culpabilité car on l’accusera d’avoir détourné les forces de l’ordre de leur mission antiterroriste.

    Complotisme et contre-complotisme

    Il ne faut pas s’étonner que, dans ce contexte particulièrement malsain, les rumeurs les plus folles et complotistes en tous genres fusent à l’annonce de l’attentat : le gouvernement, qui a lui-même sombré sans retenue dans le complotisme le plus grotesque et manipulateur en allant jusqu’à fantasmer et investir de l’argent public afin d’élucider Dieu sait quelle intervention russe derrière les gilets jaunes (qui apprécieront qu’on ne les croie pas capables de se mettre en mouvement tout seuls comme des grands) – il est vrai qu’on avait déjà tenté le coup des bots russes pendant l’annonciatrice affaire Benalla -, a beau jeu à présent d’accuser certains gilets jaunes de sombrer eux-mêmes dans le complotisme, lesquels sous-entendent que le gouvernement serait au minimum bien content de cet attentat qui tombe à point nommé pour mettre un coup d’arrêt au moins provisoire au mouvement de révolte populaire.

    Si le gouvernement nourrit le complotisme d’un côté, il ne peut pas s’en indigner de l’autre lorsque celui-ci resurgit dans une narration qui ne lui convient pas. La République en marche et ses infatigables trolls macronolâtres ont le droit, après tout, d’halluciner des hologrammes de Poutine à tous les coins de rue, ces délires paranoïaques font aussi partie de la liberté d’expression. Mais alors d’autres ont le droit de s’inspirer de House of Cards et de se souvenir que le couple présidentiel Underwood, en proie à la grogne du peuple, déclenche la seule chose qui puisse le sauver : un attentat terroriste. A ce jeu de poker menteur dont tout le monde n’a pas eu la chance, contrairement au ministre de l’Intérieur, de faire son métier initial, chacun se fait les films qui lui conviennent, et, dans le fond, le réel dépasse toujours la fiction.

    Pendant ce temps, dans la réalité bien concrète, dans la sueur, le sang et les larmes, c’est le peuple qui souffre et qui paie, et personne d’autre.

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  • Macron annonce une hausse du smic... qui n’en est pas une

     

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    / Mardi 11 décembre 2018 à 07:522
     
    Emmanuel Macron lors de son allocution depuis l'Elysée. Photo © Ludovic Marin/AP/SIPA
     

    Entourloupe. Au cours d’une allocution très attendue par les Français, Emmanuel Macron a annoncé plusieurs mesures pour calmer la grogne des “gilets jaunes”. Parmi elles, une hausse du smic de 100 euros… qui n’en est en fait pas une.

    Dire que l’intervention d’Emmanuel Macron était attendue est un euphémisme. Lundi 10 décembre au soir, le président de la République a fait son mea culpa dans une allocution à la télévision, qui est loin d’avoir satisfaite tout le monde, notamment sur certains termes utilisés, comme l’explique franceinfo

     
     
     

    Une formulation qui prête à confusion

    « Le salaire d’un travailleur au smic augmentera de 100 euros par mois dès 2019, sans qu’il en coûte un euro de plus pour l’employeur ». Cette phrase prononcée par le chef de l’Etat est une belle mesure en soi. Mais la formulation prête à confusion. En réalité, le smic n’augmentera pas, c’est la prime d’activité qui sera revalorisée, comme il était prévu dans le programme du candidat Macron en mai 2017. Une mesure qui sera juste appliquée un peu plus tôt que prévu. En fait, le salaire minimum ne bénéficiera que de la hausse légale automatique d’environ 1,8% prévue par la loi. Soit une vingtaine d’euros en net. 

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    Une mesure déjà promise

    D’où sortent alors les 80 euros restants ? Ce sont les travailleurs rémunérés au smic ou à un salaire légèrement supérieur, qui verront leur prime d’activité augmenter « dès 2019 ». Une prime qui a remplacé le RSA en 2016 et qui est versée par l’Etat via les caisses d’allocation familiales. D’où l’absence de financements supplémentaires pour les entreprises. Seulement, si le président de la République a annoncé cette mesure comme un cadeau pour les Français, elle est prévue depuis le début de son quinquennat : 30 euros en avril 2019, 20 euros en octobre 2020 et 20 euros en octobre 2021, soit un total de 70 euros d’ici la fin du mandat d’Emmanuel Macron. Contacté par franceinfo, l’Elysée a confirmé que cette annonce correspondait en fait à une simple accélération du processus. Au lieu d’être effective progressivement pendant cinq ans, elle le sera dès 2019. Si on y ajoute les 20 euros d’augmentation automatique du smic au 1er janvier, on atteint presque les 100 euros annoncés. 

    Désavantageux pour le salarié 

    Le problème réside dans le fait qu’une augmentation du smic aurait été plus avantageuse qu’une augmentation de la prime d’activité sur le long terme. Si, sur le compte en banque, cela revient au même, la prime d’activité, elle, n’est pas soumise aux cotisations sociales. Donc son montant ne sera pas pris en compte pour calculer le niveau de pension du salarié quand celui-ci partira à la retraite. Et cela, le président de la République s’est bien gardé de l’évoquer… 

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