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Journal de TVLibertés du jeudi 23 juin 2016
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Cisjordanie : Israël coupe l’approvisionnement en eau de territoires occupés
Julien Vlassenbroek, RTBF, mercredi 15 juin 2016
La compagnie nationale israélienne des eaux, Mekorot, a purement et simplement coupé l’approvisionnement en eau d’importantes parties de la Cisjordanie occupée. Une décision qui prive des dizaines de milliers de Palestiniens d’accès à l’eau potable, ce en plein mois du Ramadan.
Les localités de Salfit, Naplouse ou encore la ville de Jénine et ses 40 000 habitants sont touchés par cette décision de les priver d’eau.
Des familles contraintes de vivre sans le minimum d’eau requis par les Nations unies
La chaîne d’information Al Jazeera [1] a interrogé le directeur du Palestinian Hydrology Group, une ONG qui lutte pour offrir un accès à l’eau et en contrôler la qualité dans les territoires palestiniens.
"Des familles vivent avec un, deux ou dix litres d’eau par jour par personne", explique Ayman Rabi. A titre de comparaison, en Belgique, nous utilisons en moyenne environ… 120 litres d’eau par personne et par jour. Ayman Rami précise que dans certains endroits, les gens n’ont plus d’eau depuis plus de 40 jours.
Les Nations unies ont fixé à 7,5 litres d’eau par personne et par jour le minimum requis, dans des conditions climatiques classiques. Dans les endroits concernés par les pénuries issues de l’arrêt de l’approvisionnement, les températures peuvent excéder les 35°. Des conditions dans lesquels le minimum requis devient nettement plus important.
450 000 colons israéliens en Cisjordanie utilisent plus d’eau que 2,3 millions de Palestiniens
Dans ces conditions, les autorités de la ville de Jénine ont d’ores et déjà annoncé qu’elles tiendraient Mekorot pour seul responsable de toute tragédie qui résulterait des pénuries d’eau provoquées pendant l’été.
Sollicité par Al Jazeera, Mekorot n’a pas souhaité faire de commentaire. Officiellement, la raison de ces coupes claires dans l’accès des Palestiniens à leur eau serait un manque d’eau disponible.
Pour rappel, courant février, la publication d’un rapport de l’Assemblée nationale française qui dénonçait "Un nouvel apartheid de l’eau" dans les territoires palestiniens occupés avait fâché les autorités israéliennes. Le député français Jean Glavany avait alors souligné auprès du journal Le Monde [2] "les 450 000 colons israéliens en Cisjordanie utilisent plus d’eau que 2,3 millions de Palestiniens". Pour rappel, les colons sont implantés dans des territoires palestiniens, en contradiction avec le droit international.
200 000 Palestiniens de Cisjordanie privés d’accès à l’eau courante
Depuis 1967, Israël a limité l’accès à l’eau des Palestiniens de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza. L’occupation israélienne a pour résultat que les Palestiniens n’ont pas le contrôle sur l’approvisionnement de leur propre eau.
D’après un rapport d’Amnesty [3], 200 000 Palestiniens de Cisjordanie n’ont pas accès à l’eau courante et doivent obtenir une permission pour pouvoir collecter de l’eau eux-mêmes.
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Magnanville : pas si « solitaire » que ça, la hyène…
Cette fois encore, les gros médias, évoquant l’abominable tuerie de Magnanville, nous auront resservi leur scénario préféré : celui du fameux « loup solitaire » – pardon pour les loups ! – agissant seul et sans véritable consigne en provenance de l’étranger.
Une version qui présente l’avantage de rassurer dans les chaumières et, surtout, de cacher aux Français le péril qui les menace. Sauf que, l’enquête avançant, les interpellations se multiplient, et l’on « découvre » une fois de plus que, derrière le « déséquilibré » Abballa, se cachait évidemment un « agent dormant » de l’Etat islamique.
Dès le lendemain du massacre, deux proches d’Abballa, Saâd Rajraji et Charaf-Din Aberouz, tous deux connus de l’antiterrorisme français, étaient ainsi placés en garde à vue. Soupçonnés d’avoir apporté une aide logistique au djihadiste, ils ont depuis été mis en examen et placés en détention provisoire. Mardi, ce sont trois autres vieilles connaissances d’Abballa, soupçonnées elles d’avoir effectué des repérages visant les victimes, qui devaient être à leur tour interpellées aux Mureaux et à Mantes-la-Jolie. Après perquisition, l’un de ces trois islamistes devait finalement être relâché au motif qu’« il n’y a pas de charges retenues à ce stade contre lui ». Lui qui, au passage, a été condamné en 2007 à huit ans de prison pour terrorisme, déchu de sa nationalité française en octobre dernier, mais bénéficie néanmoins d’un titre de séjour provisoire !
Surtout, lors de leur perquisition chez Rajraji, les enquêteurs devaient découvrir un papier portant l’adresse courriel et le numéro d’écrou de Fabien Clain, célèbre chef djihadiste installé en Syrie, auteur de la revendication des attentats du 13 novembre, soupçonné d’avoir téléguidé Ghlam dans son projet d’attentat et qui, lors de sa détention, aurait correspondu avec Merah avant que ce dernier ne passe à l’acte. Une découverte capitale qui montre non seulement que tous ces hommes se connaissent ou se connaissaient, mais aussi que Clain est probablement leur donneur d’ordres.
Rajraji et Clain se seraient ainsi rencontrés alors qu’ils étaient tous deux incarcérés à la prison de Fresnes. Clain purgeant alors une peine de cinq ans pour avoir mis sur pied une filière d’envoi de djihadistes vers l’Irak. Rajraji, pour avoir pris part à une filière d’acheminement en zone pakistano-afghane, notamment aux côtés d’Abballa et de Charaf-Din Aberouz.
Reste une question en suspens : combien de djihadistes « en sommeil » notre pays abrite-t-il au juste ?
Article paru dans Présent daté du 23 juin 2016
NOVOpress
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Flandres. La Zannekinfeest de retour les 19-20-21 août
http://www.breizh-info.com/2016/06/21/45276/flandres-zannekinfeest-a-besoin-de-soutien-financier
(merci à Dirk)
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Boualem Sansal : «L'ordre islamique tente progressivement de s'installer en France»
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Après les meurtres de policiers à Magnanville par un islamiste, l'écrivain Boualem Sansal compare la situation actuelle de la France à celle de l'Algérie au début de la guerre civile.
Boualem Sansal est un écrivain algérien censuré dans son pays d'origine à cause de sa position très critique envers le pouvoir en place. Son dernier livre 2084, la fin du monde est paru en 2015 au éditions Gallimard.
FIGAROVOX. - Depuis un an, sur fond de tensions culturelles, la France vit au rythme des attentats. Dernier en date, l'assassinat à coups de couteau, revendiqué par l'État islamique, d'un policier et de sa compagne dans leur maison. Que vous inspire ce nouvel acte de terreur?
Boualem SANSAL. - Ca me glace le sang. Voici venu le temps du couteau et de l'égorgement. Il est à craindre que cette méthode fasse florès, car un hadith célèbre prête au prophète Mahomet cette terrible sentence adressée aux mécréants: «Je suis venu à vous avec l'égorgement». On a vu combien Daech a pris ce hadith à la lettre et combien de milliers de personnes ont été égorgées comme des moutons, avec tous les raffinements que des esprits malades peuvent inventer pour exalter leur soif de cruauté. C'est le deuxième cas en France: en juin 2015, en Isère, un islamiste avait égorgé et décapité son patron puis accroché sa tête au grillage d'une usine. La méthode va certainement inspirer beaucoup de jeunes islamistes. Au couteau, eux ajouteront la caméra qui démultiplient l'horreur. Ils filmeront leur crime et balanceront le film sur les réseaux sociaux. Le terrorisme islamiste en Europe n'en est qu'à ses débuts, nous verrons avec le temps combien il sait être inventif: l'égorgement, le viol, l'empalement, l'éventrement seront au menu, comme ils le sont au Daech et comme ils l'ont été en Algérie à grande échelle, pendant la guerre civile. Au Daech comme en Algérie, les terroristes sont très fortement endoctrinés et encadrés: ce sont des soldats de la terreur, ils exécutent des ordres. En Europe, une telle organisation n'est pas possible, pas encore. C'est pourquoi les commanditaires et les stratèges du terrorisme islamiste mondialisé poussent à l'ubérisation du terrorisme, les instructions sont dans la toile à la disposition de qui veut devenir djihadiste et martyr.
Peut-on vraiment comparer la France et l'Algérie?
L'islamisme sait s'adapter, il se fiche de la culture du pays, il veut la détruire et imposer la sienne, et comme il a trouvé des recrues en Algérie il trouvera des recrues en France. Aujourd'hui, il les sollicite, les prie, demain il les forcera à assumer leurs devoirs de soldats du califat, et le premier de ces devoirs est de libérer l'islam de la tutelle de l'Etat mécréant qu'est la France. En Algérie, les maquis islamistes étaient pleins de jeunes qui ont été forcés de faire allégeance à l'émir de leur village, de leur quartier: c'était rejoindre le maquis ou se faire égorger ainsi que toute sa famille. S'il s'évade c'est la famille, voire tout le village, qui paie.
Derrière le terrorisme, existe-t-il un problème plus large d'islamisation de la France?
C'est le but même de l'islam conquérant, gagner la planète, convertir toute l'humanité. Le terrorisme n'est qu'une méthode pour conquérir des territoires, soumettre leurs populations et les convertir par force, comme il l'a fait au Daech avec les communautés chrétiennes. C'est la méthode des islamistes radicaux, les djihadistes. Les islamistes modérés et les musulmans pacifiques récusent cette méthode, ils préfèrent la voie douce, la da'wa, l'invitation à écouter le message d'Allah, ou la prédication publique. Entre les deux méthodes, la conquête militaire et la da'wa, il y a tout ce que l'intelligence humaine a pu inventer pour convertir et enrôler. La France est un terrain très favorable à l'islamisation par la voie douce et par le moyen de la violence: elle est inquiète, divisée, épuisée, dégoûtée. Les retours à la pratique religieuse se multiplient chez les musulmans et les conversions explosent.
Une serveuse musulmane a été giflée à Nice parce qu'elle servait de l'alcool durant le ramadan…
L'ordre islamique tente de s'installer en France, c'est un fait patent. En maints endroits, il est déjà installé. Dans un pays musulman, cette serveuse aurait été arrêtée et jetée en prison par la police. Durant le ramadan, la folie s'empare du monde musulman et fait commettre d'horribles choses. La faim et la soif ne sont pas seuls responsables, il y a que ce mois est sacré (c'est pendant le ramadan que Mahomet a reçu le coran, apporté à lui par l'archange Gabriel), les gens sont pris dans la ferveur et la bigoterie. Durant ce mois, certains imams sont littéralement enragés.
Comment les islamistes s'y prennent-ils pour accroître leur influence?
La force des islamistes et des prédicateurs est la patience. Ils inscrivent leur action dans la durée. Une autre qualité est l'inventivité et leur capacité maîtriser les instruments à leur portée: les chaînes satellitaires, Internet, les réseaux sociaux, les outils marketing, les techniques de communication, la finance islamique, le cinéma, la littérature, tout est mobilisé pour atteindre la plus grande efficacité. Dans les pays du sud, les islamistes n'ont que les moyens traditionnels pour avance, ils convoquent les vieilles recettes de charlatanisme, la sorcellerie, la magie, le maraboutisme, ils investissent les mosquées, les souks, les stades, les fêtes religieuses, les hôpitaux. L'action sociale n'a pas de secrets pour eux. Dans tous les cas, ils n'ont aucun souci d'argent, les donateurs généreux et intéressés ne manquent pas.
Bombarder Daech peut-il régler la question?
Elle n'est une solution que si elle est accompagnée d'une intervention militaire au sol menée par les pays arabes. Pour compléter, il faut ensuite installer à demeure une mission onusienne pour reconstruire la région, disposant d'une force armée capable d'empêcher les représailles.
(merci à Dirk)
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Florian Philippot sur LCI
Interdire une manifestation, « on ne voit ça nulle part ailleurs » critique Florian Philippot. Le vice-président du Front National a averti le gouvernement des « risques de grandes violences » jeudi.
Source : http://lci.tf1.fr/politique/manif-interdite-on-ne-voit-ca-nulle-part-ailleurs-pour-le-fn-8753999.html -
Méditerranée
(photo EB)
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Paris: une touriste violemment agressée (vidéo)
http://www.fdesouche.com/742185-paris-une-touriste-violemment-agressee
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Marine Le Pen sur TF1
VIDEO DU MOMENT
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Pape François, Merkel, Hollande : démence, niaiserie ou machiavélisme monnayé ?
Dr Bernard Plouvier, auteur, essayiste ♦
Un certain nombre de dirigeants politiques et religieux font douter le public éclairé ou de leur bon sens ou de leur sincérité. Il en va ainsi de la Chancelière germanique, du locataire actuel du Vatican ou d’une quantité ahurissante de seconds couteaux, comme nos Hollande, Valls et autres Juppé.
Ne pas apercevoir le danger évident que l’islam conquérant fait courir aux Occidentaux, réfuter la réalité de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale et scandinave, nier la délinquance quotidienne et la criminalité des migrants africains, proche- et moyen-orientaux, en très grande majorité musulmans, peut résulter de diverses raisons.
En médecine, nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire. Le délire aigu relève, dans la quasi-totalité des cas, de l’usage des stupéfiants ou d’une encéphalite, souvent virale. Mais nos dirigeants, effectifs ou supposés, délirent de façon chronique, ce qui évoque une démence, une tumeur cérébrale ou les complications cognitives d’une maladie métabolique ou d’une dégénérescence cérébrale, comme la maladie de Parkinson. Bref, il est urgent de faire passer une IRM cérébrale et un entretien psychiatrique aux délirants authentiques. Toutefois, s’agit-il pour tous d’un délire vrai ? On peut en douter.
Comparer la niaiserie chrétienne de l’agapè à l’islam djihadiste, comme il semble que le pape actuel l’ait fait, relève non pas d’un défaut de connaissances (ce serait une absurdité, s’agissant d’un jésuite), mais soit d’un dérèglement cognitif (la « folie » en terme vulgaire, trop général pour être médicalement satisfaisant) soit d’une subtilité politique, dont le machiavélisme laisse pantois… et pas d’admiration.
Que la Chancelière teutonne, qu’un scribouillard ou un vulgaire politicien français courent après un Prix Nobel de la paix, cela peut se comprendre. C’est d’un excellent rapport, en publicité et en royalties sonnantes et trébuchantes. Un souverain pontife peut, vanité aidant, ne pas dédaigner non plus ce genre de gloriole… il a bien accepté un Prix Charlemagne.
Toutefois, les prestations des uns et des autres, si elles ne relèvent pas de la pure psychopathologie – même si les coïncidences existent, l’on a du mal à envisager que plusieurs dirigeants politiques soient atteints simultanément de délire -, font penser à une planification, à une orchestration.
Certes, aucun complot à l’échelle planétaire n’a jamais existé, n’est même envisageable étant donnée la haine que se vouent mutuellement les divas de la finance, du négoce, de la production et du maniement des opinions publiques. Tout Pouvoir divisé, réparti sur plusieurs titulaires, est forcément multidirectionnel.
Toutefois, après l’expérience néoconservatrice et pro-sioniste des USA (soit les règnes des deux Bush encadrant la double prestation de Clinton), il semble qu’une majorité de dirigeants économiques aient concerté la destruction de l’Europe par l’islam, excellent agent de pourrissement des sociétés par sa barbarie et fabuleux outil de déclin scientifique et technique par son obscurantisme médiéval. Il faut croire que l’Europe, dont le déclin paraît monstrueux aux Européens teintés de culture historique, a encore un potentiel qui terrifie les maîtres de la globale-mondialisation.
À l’évidence, ce potentiel, c’est la race européenne, qui est à la source de la plus fabuleuse civilisation intellectuelle et technique de l’humanité. Si d’autres ont perçu cette évidence, il serait bon que les autochtones d’Europe se pénètrent de cette réalité, qu’ils reprennent confiance en eux et rien qu’en eux, refusant l’occupation étrangère autant que les charmes pervers du métissage.
L’on comprend ainsi qu’un pape latino-américain joue sa partition démagogique, tiers-mondiste, non pas « au service de l’islam » (ce qui est une formulation absurde), mais au service de la globale-mondialisation, dont l’islam n’est qu’un pion parmi d’autres, mais probablement le plus intéressant pour le moment. Après tout, la pure doctrine chrétienne a toujours été universaliste, antinationale et métisseuse.
Pour d’autres pitres politiques, l’argent doit jouer un rôle, ou la psychopathologie, ou encore une repentance elle-même pathologique par son intensité et sa durée.
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Plutôt que de surenchérir en qualificatifs injurieux et en habiles paradoxes, il est urgent de réfléchir à ce qu’est notre monde : un peu plus de 7 milliards d’individus, dirigés par quelques milliers de super-hyper-riches et puissants (dont le pape), qui manipulent des dizaines de milliers de collaborateurs du milieu du spectacle : politique, médias, et le show-business où le sport de compétition et les religions se disputent la première place. Manifestement, les maîtres n’ont pas encore décidé qui des clergés ou des gladiateurs seront leurs meilleurs agents de propagande.METAMAG
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66 enfants violés par un humanitaire : « Les Enfoirés » en bande-son
17h53Jugé dans une des rares affaires de « tourisme sexuel » à aboutir, Thierry Darantière est accusé d’avoir violé 66 enfants au Sri Lanka, en Tunisie et en Egypte. Directeur d’une maison de retraite, ce « French doctor » autoproclamé infligeait viols et sévices à des garçons devant caméra. La bande-son de ses vidéos ? « Les Enfoirés ».
« (…) 66 jeunes victimes ont été identifiées au Sri Lanka, en Tunisie et en Egypte. Cet ancien directeur d’une maison de retraite du Pecq (Yvelines) a filmé et photographié ces scènes (…). Les faits ont été commis entre 2002 et 2011, alors que l’accusé s’envolait régulièrement au Sri Lanka, dévasté par le tsunami, afin d’assurer des missions humanitaires pour le compte d’une association bretonne. Il s’est aussi rendu en Tunisie ou en Egypte. Toujours sous la fausse bannière d’ONG. (…) Une couverture, selon les enquêteurs, pour approcher et être mis en relation avec de jeunes enfants dans les pays qu’il visitait. « Sous couvert d’humanitaire, des pédophiles profitent de l’implantation des ONG sur place pour approcher des enfants », explique à la cour la commissaire de police affectée à l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), en charge des investigations (…). »
« (…) Entre deux voyages, le pseudo « French Doctor », comme il aimait se raconter à ses collègues, a besoin d’assouvir son fantasme. Il se repasse, « trois, quatre fois par semaine » les images des ébats qu’il a immortalisés sur sa caméra numérique. Plus le temps avance, plus la déviance sexuelle de l’accusé s’affermit, actes de torture à l’appui. Au point que la nausée envahit la cour d’assises quand le président décrit, à défaut de les montrer pour préserver les jurés, les images des orgies filmées par l’accusé. Des vidéos qui durent 45, 60, 70 minutes. Avec en fond sonore, la musique des « Enfoirés ». (…) »
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Journal de TVLibertés du mercredi 22 juin 2016
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ZOOM - L'imposture de la démocrartie : vers un nouveau régime politique
TVL
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Manifestation anti-loi Travail: "plus de 2.000" policiers mobilisés jeudi, indique le préfet de police
Alors que des violences avaient émaillé la dernière mobilisation contre la loi Travail, le préfet de police de Paris a adressé mercredi un message très clair de fermeté à la veille de la manifestation – finalement autorisée – prévue ce jeudi dans la capitale: « Toute exaction donnera lieu à des interpellations immédiates », a-t-il prévenu, précisant que « les syndicats se sont engagés à renforcer leur service d’ordre ».
Les participants « invités à ne pas prendre de sac à dos »
Lors de ce point presse, le préfet de police Michel Cadot a détaillé le dispositif mis en place pour encadrer le cortège: plus de 2.000 fonctionnaires de police » – des forces mobiles (CRS) mais aussi autres services comme la brigade fluviale – seront mobilisés.
Il sera interdit de se masquer et un « dispositif de filtrage » sera mis en place « en amont de la Place de la Bastille, pour éviter que ne soient introduits des projectiles ou masques », a-t-il précisé. D’autre part, « les participants sont invités à ne pas prendre de sac à dos ».
Comme lors d’occasions précédentes, des arrêtés d’interdiction de paraître aux abords de la manifestation ont été pris à l’égard d’une centaine de personnes, a-t-il ajouté, expliquant que la mesure concernait des personnes interpellées précédemment dans des manifestations, dont certaines seront convoquées ultérieurement par la justice.
Station Bastille fermée, retrait des véhicules et des bateaux
Des mesures seront également prises pour les riverains. « On sera amené à enlever les véhicules » en stationnement sur la zone de manifestation « et notamment boulevard Bourdon et boulevard Bastille ». De même, la préfecture de police assurera sur Twitter et sur son site internet une information continue « sur les conditions de circulation et les conséquences ».
Le préfet de police a également évoqué un retrait du port de l’arsenal des bateaux qui souhaiteraient s’éloigner, qui seront regroupés dans une zone proposée par Ports de Paris.
Enfin, la station de métro Bastille sera entièrement fermée. Les manifestants devront emprunter d’autres stations.
BV
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Philippe de Villiers : « La question identitaire est la question centrale »
18/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : « La question identitaire est la question centrale et toutes les autres sont secondaires. Un pays peut perdre sa souveraineté, mais il ne peut survivre en perdant son identité », assène Philippe de Villiers dans le numéro 2 du magazine France, où il succède, en couverture, à Marion Maréchal-Le Pen.
L’entretien exclusif que Philippe de Villiers a accordé à France s’étale sur dix pages. Le fondateur du Puy du Fou y cite ce propos que lui avait tenu Alexandre Soljenitsyne en 1993 : « Un pays peut perdre sa souveraineté et c’est grave, mais le plus grave c’est s’il perd son identité. » Soljenitsyne avait ajouté : « Mais vous avez, à l’est de l’Europe, des pays qui ont perdu leur souveraineté (on se souvient de la souveraineté limitée de Brejnev) mais qui ont gardé leur identité. Ces pays s’en sortiront. » Mais la France ? Mais le reste de l’Europe ? Extraits de ce magnifique entretien avec Philippe de Villiers.
France : Vous diriez que la double menace dont vous parlez est historique pour la France, vitale peut-être même ?
Philippe de Villiers : La menace est vitale, unique et inédite, oui. La France a connu des périodes extrêmement difficiles, parfois de guerre civile, souvent de guerres extérieures et elle a très souvent été occupée depuis la Révolution française. On a transformé le peuple français en chair à canon au nom d’une idéologie du genre humain avec laquelle la patrie devenait non pas la terre charnelle, mais un outil au service même de l’idéologie.
Mais jamais une telle menace d’implosion et d’explosion à la fois n’a pesé sur la France. Nous n’avons jamais vu s’installer sur notre territoire, avec l’aide de la cinquième colonne de nos élites, une population appartenant à une autre civilisation incompatible avec la nôtre et avec un taux de fécondité différentiel qui laisse peu de doute sur l’issue démographique.
La seule question importante pour les quelques années qui viennent, avant qu’il ne soit trop tard, c’est la question de l’identité française. La question identitaire est la question centrale et toutes les autres sont secondaires. Un pays peut perdre sa souveraineté, mais il ne peut survivre en perdant son identité. Un pays peut être accablé d’impôts, mais s’il garde son identité, il pourra se libérer.
Car un pays qui perd son être, sa substance, la science exacte de son passé et de son patrimoine, qui perd sa langue, porte d’accès à ses chefs d’œuvre et vecteur de la compréhension de lui-même, ne peut survivre.
Je ne dis pas ça pour paraître romantique, mais parce que l’Histoire nous l’enseigne. Nous connaissons des cas glorieux de nations, de grandes cités, et même de civilisations qui ont disparu. Il ne faut jamais oublier le mot de Paul Valéry : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » Les Amérindiens, les Spartiates, les Grecs, Athènes et Rome ont disparu.
France : Pour vous, il faudrait donc défendre l’identité avant la souveraineté ?
Philippe de Villiers : La question identitaire est liée à la question de la souveraineté, mais elle prime sur cette dernière et je vais vous expliquer pourquoi. Un pays qui n’a plus le pouvoir ne peut plus se commander lui-même. Quand il est commandé par d’autres, il est une colonie. C’est notre cas, nous sommes une colonie des firmes a-nationales qui conduisent la politique américaine, puisque les commissaires de Bruxelles ne sont que des pantins.
Les Polonais ont connu cette situation, les Hongrois aussi, mais ils n’ont pas perdu leur identité. Ils ont cultivé leurs souvenirs, leurs affections, leurs us et coutumes, leurs traditions, leurs équilibres, ils ont gardé leurs tissus.
Dans le cas français, c’est au moment où nous perdons notre souveraineté que nous perdons également notre identité. Prenons un exemple : la ministre de l’Éradication Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, fait bien son travail, elle détruit tout. C’est l’Attila de l’éducation, il ne repousse pas d’herbes derrière elle et c’est bien la mission qui est la sienne : détruire les humanités, la langue française et l’histoire de France et en finir avec la liberté de l’école.
Alors la question est simple : combien de temps un pays peut-il vivre en tenant ses enfants dans l’ignorance de sa propre histoire ? Ou pire encore : combien de temps un pays peut-il survivre quand il donne à ses enfants une image ignominieuse de son propre passé ? Est-ce qu’un pays peut survivre lorsqu’il pratique ad nauseam la honte de lui même ?
Nous sommes devenus un pays dans lequel on ne propose plus nos drames, nos larmes, nos gloires, nos fiertés. Nous prenons donc le risque que des jeunes qui habitent chez nous aillent chercher ailleurs d’autres drames, d’autres larmes, d’autres gloires et d’autres fiertés. Aujourd’hui, les héros qui sont mis à la dispositions de la jeunesse française sont doubles : les héros consuméristes sans âme de la Coca-colonisation ou alors les héros du djihad.
Je me souviens avoir dit un jour à Pasqua : « Toi et moi voulons le retour à la souveraineté, très bien. Mais après, qu’est ce qu’on en fait de la souveraineté ? » Il nous faut bien sûr rétablir la souveraineté mais surtout retrouver notre identité, la préserver tant qu’il est encore temps.
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Un arrêt de travail pour une IVG, ou la banalité du mal…
Le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens est devenu le porte-étendard de la « réaction » et du « sexisme » en France !
On savait que l’interruption volontaire de grossesse, en France, était devenue une méga-foire à la brocante où les vies de petits êtres en formation valaient bien moins que les désirs de s’en débarrasser au nom de mille motifs exposés sur les étals obscènes de cet hypermarché des droits-créances.
On sait encore, horresco referens, que, depuis le 5 juin 2016, un simple décret élargit le champ de compétences des sages-femmes qui pourront, désormais, réaliser ces mêmes IVG par voie médicamenteuse (ou létale, c’est selon) et – comble de l’hypocrisie – vacciner l’entourage de la mère et du nouveau-né (pour vil prix du rachat d’une pseudo-mauvaise conscience ?).
On saura, dorénavant, que le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France (SYNGOF) est devenu, via les réseaux sociaux, notamment, le porte-étendard de la « réaction » et du « sexisme » en France. Pour avoir effectué un don massif à la fondation Jérôme-Lejeune ? Vous n’y êtes pas ! Alors, plus modestement, pour avoir porté ce décret en annulation devant le Conseil d’État ? Nenni ! Vous faites fausse route, derechef. Plus tristement banal, pour avoir contesté auxdites sages-femmes le pouvoir d’administrer un abortif ? Vous brûlez, mais ce n’est pas tout à fait ça.
Bon, allez, on vous dit tout, par la voix d’une représentante de ce « SYNGOF » qui considère que les sages-femmes n’auraient pas les compétences pour délivrer un arrêt de travail de quatre jours ni le renouveler. Sur sa page Facebook, ce médecin se justifie :
Soit il y a une complication et la patiente a dû être vue aux urgences gynécologiques pour hémorragie et l’arrêt de travail est prescrit pour complications ; soit tout se passe bien et on propose à la patiente de choisir le jour de l’expulsion un jour férié avec un adulte, si possible le compagnon ou une amie, ou de poser un jour de congé (cela lui évite de donner un arrêt de travail à son employeur et de craindre de devoir s’expliquer avec ses collègues). […] Si on considère que la femme est l’égale de l’homme au sein du travail et qu’elle puisse enfin être payée comme l’homme et avec égalité, il faut que les professionnels de santé évitent les arrêts de travail injustifiés à leurs patientes. »
Hourvari médiatique. Ou peu s’en faut. Sans rire, avec la componction funèbre qui sied aux gardiens du temple de l’ordre moral progressiste, Slate (19 juin) commente avec emphase et sur le ton infantile du type « Oh la la ! Je vais le dire à la maîtresse ! » : « La docteure (sic) Élisabeth Paganelli a écrit quelques mots pleins (re-sic) de sexisme sur la page Facebook du Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France. […) Un discours plein de mépris pour les sages-femmes […] mais aussi envers les femmes dont l’IVG “se passe bien”. » La praticienne ainsi mise à l’index se voit même « félicitée » par un de ses bienveillants confrères pour être aussi « profondément réactionnaire ».
Voilà où nous mène la banalité du mal. Alors que l’on s’attendrait à un minimum de compassion (sinon un silence gêné, à tout le moins) de la part du « SYNGOF », celui-ci s’offre le luxe indigne d’une polémique dérisoire sur le sexe des (faiseuses d’)anges. La communion unanimiste, uniforme, univoque sur l’avortement, ses causes et ses conséquences psycho-physiologiques et socio-anthropologiques (quelle est la valeur de la vie ?) inhibe toute réaction saine sur un sujet sculpté dans le granite d’un dogme d’État.
Sans doute la République tressera-t-elle des couronnes de lauriers mortuaires à la féministe Benoîte Groult, qui vient de décéder à l’âge honorable de 96 ans, tandis que les plus faibles d’entre nous, perdus dans les limbes de l’oubli anonyme, attendront encore d’entrer au Panthéon d’une patrie si peu reconnaissante à leur égard.
BV
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Le Printemps des Patriotes
C’est au cœur de l’ancienne capitale impériale que le Mouvement européen des nations et libertés (MENL) s’était donné rendez-vous pour marquer le 1er anniversaire de sa création.
Vienne, où un vent de liberté s’est levé il y a quelques jours à l’occasion d’une élection présidentielle historique. Election à l’issue de laquelle nos amis du FPO et son candidat Norbert Hofer ont incarné cet élan formidable de renouveau, cette soif insatiable des peuples européens à recouvrer le cours de leur destin et à reprendre leur avenir en main.
Certes, la victoire électorale a échappé pour quelques voix douteuses au camp patriote, résultat qui fait d’ailleurs l’objet d’un recours, mais le succès idéologique n’en est pas moins là. En Autriche, tout comme chez nous, ceux qui rabâchent comme pour mieux se rassurer, de l’existence d’un plafond de verre, voient se rapprocher inéluctablement leur défaite.
D’élections en élections, le basculement patriotique se précise, de scrutins en scrutins, l’espérance grandit.
Il fallait être à Vienne durant ces trois jours pour percevoir ce changement, cet état d’esprit, cet enthousiasme propre aux peuples qui touchent du doigt cette liberté bientôt retrouvée.
Nos amis du FPO et son dynamique président Heinz-Christian Strache ont porté cet élan pendant toute la campagne, l’extraordinaire accueil qui nous a été réservé, cet engouement patriotique qui a accompagné ces journées où se sont retrouvés les représentants des différents courants patriotiques élus au Parlement européen, ne laissent planer aucun doute : l’avenir appartient aux peuples, les Nations sont de retour.
De Vienne à Paris, la liberté guide nos pas. Face à une caste européiste s’enfonçant chaque jour un peu plus dans un totalitarisme étouffant, jamais mot d’ordre n’avait résonné avec autant de ferveur : Patriotes de tous les pays, unissez-vous !
Marine Le Pen
Carnets d'espérances
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Toulouse : «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants» (Màj : Hassen condamné)
0h59L’homme qui avait menacé des policiers de la brigade anticriminalité, mardi soir, place des Pradettes à Toulouse, est passé en comparution immédiate, jeudi dernier, devant le tribunal correctionnel, qui l’a condamné, pour menaces de mort, outrages et rébellion, à 30 mois de prison ferme.
Le ministère public avait requis 24 mois de prison à l’encontre du prévenu, Hassen Koufa, 44 ans, dont le casier judiciaire comporte 32 condamnations.
Les faits se sont déroulés 24 heures après l’attaque meurtrière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste se réclamant de l’organisation État islamique. C’est dans ce contexte très particulier et tendu que des fonctionnaires de la BAC ont été pris à partie alors qu’ils contrôlaient un groupe de jeunes gens. C’est à ce moment-là que l’homme est arrivé. «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants !» Interpellé et placé en garde à vue, cet homme avait d’abord refusé d’être entendu. [...]
24 heures après l’attaque meurtière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, un homme a menacé des policiers mardi soir place des Pradettes à Toulouse.
Alors que des agents de la BAC, la brigade anti-criminalité de Toulouse, contrôlaient un individu qui consommait de l’alcool sur la voie publique, vers 22 heures 30 place des Pradettes, ce dernier s’est mis à les invectiver d’une manière pour le moins menaçante. Il a en effet affirmé qu’il allait « égorger » les policiers et « mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants ».
L’homme âgé de 44 ans, qui était sous l’emprise de l’alcool, a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse. Il devrait être déferré au parquet dans la journée.