1) Politique / Le SIEL rend hommage aux policiers
2) Economie / La Mairie de Paris en guerre contre Amazon
3) Union Européenne / M. Renzi piqué par Les 5 étoiles
4) L’actualité en bref
5) TV Libertés / Cap sur Radio Libertés
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Blog - Page 325
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TVLibertés - Journal du lundi 20 juin 2016
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ZOOM Les Brigandes: la musique alternative
TVLibertés
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Printemps patriotique à Vienne: discours de Marine Le Pen (17 06 2016)
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La victime, c’est le racketteur ?, par Caroline Parmentier
Quels sont cette justice et ce tribunal médiatique qui font d’un enfant racketté (qui s’est défendu) un coupable et de son racketteur (qui le persécutait depuis des semaines) une victime ?
Jonathan, 11 ans, en classe de CM2 à Vénissieux dans la banlieue de Lyon, était suivi, attendu (plusieurs élèves en témoignent), obligé de remettre 50 euros par jour à Mickaël, son tortionnaire de 12 ans qui le terrorisait et le frappait. C’est lui aujourd’hui qui est inculpé de « tentative d’assassinat », séparé de ses parents, placé en retenue provisoire et en famille d’accueil.
Mercredi matin, il a pris un couteau dans le tiroir de la cuisine chez lui, avant de partir à l’école, la peur au ventre une fois de plus. Et lorsque son persécuteur s’est approché de lui, il lui a porté deux coups de couteau à l’abdomen. C’est très malheureux en effet, mais pardon de dire que ça vaut mieux que l’inverse. Transporté à l’hôpital, l’adolescent est hors de danger. Hors d’atteinte de la justice aussi ?
Le racket est un crime ignoble, un phénomène de société connu et de plus en plus répandu dans nos écoles. Du chantage répétitif à la dépouille structurée, il se décline sous autant de formes qu’il y a de racketteurs. On sait la torture psychologique et physique que c’est pour un enfant. Il a peur d’en parler à ses parents car la petite frappe qui le tourmente, le menace de s’en prendre directement à eux ou à sa petite sœur. Le racketteur force sa victime à voler ses parents, à leur mentir sous la terreur. C’est un cauchemar. Les symptômes ne sont pas toujours clairs, parfois ils sont évidents : l’enfant ne sourit plus, se replie sur lui-même, il a subitement peur de certaines choses, il ne dort plus, ses résultats scolaires baissent, il ne veut plus aller à l’école.
Jonathan a été mis en examen pour « tentative d’assassinat » après sa retenue judiciaire à la Brigade de protection des familles à Lyon, une procédure exceptionnelle, réservée aux moins de 13 ans pour un crime ou un délit puni d’au moins 5 ans d’emprisonnement avec mention au casier judiciaire. Est-ce vraiment ce qui l’attend ? Quand les antifas qui ont tenté de brûler un flic puis l’ont frappé à coups de barres, sont tous ressortis libres ?
Est-ce qu’il aurait fallu que Jonathan se suicide pour que l’affaire tourne « comme il faut » ?
Article paru dans Présent daté du 18 juin 2016
NOVOPRESS
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Une Azuréenne condamnée à 3 ans de prison pour apologie du terrorisme
Marouah Labidi, Franco-Tunisienne a été condamné hier en comparution immédiate à 3 ans de prison ferme. Agée de 28 ans, elle est fichée S.
- Par Catherine Lioult
- Publié le , mis à jour le
Marouah Labidi, Franco-Tunisienne de 28 ans, a été interpellée à l'aéroport de Nice mercredi de retour de Tunisie. Pendant le contrôle de ses bagages, les douaniers ont découvert une tablette contenant de la propagande de Daesh. Une perquisition a été diligentée à son domicile du Cannet et le constat est accablant : 80 vidéos, 221 photos de meurtre et de décapitations, des livres, dont certains prônent un islam radical. En comparution immédiate, elle a été condamnée à 3 ans de prison pour apologie du terrorisme.
Marouah Labidi, qui vit du RSA, faisait l'objet d'une fiche S.France 3 Côte d'Azur -
Pauvre France ! - Chronique n°67 de Richard Millet
18/06/2016
Chronique n°67
Pauvre France !
Il paraît que la gent lycéenne, non contente d’être sur-notée pour maintenir élevé le « taux de réussite » de la « cuvée » annuelle du baccalauréat, a véhémentement protesté, sur les réseaux sociaux, contre la présence d’Anatole France à l’épreuve de français des sections S et ES. Protestations qui relèvent tout à la fois de l’inculture propre à l’Education nationale (mes filles ont ainsi dû subir les écrits post-littéraires de Marc Dugain, Philippe Claudel, Mathias Enard, que je leur ai montré comment faire semblant d’avoir lus, puisque la littérature est déjà évacuée – le reste participant du grand mensonge culturel), et d’une haine immédiate contre un inconnu (une sorte d’« étranger », donc) qu’un zombie twitteur qualifie d’« arrêt de tram » et à qui un autre imbécile demande, le tutoyant, qui est Anatole France pour « oser » s’inviter au baccalauréat…
On peut se demander si ce pauvre France ne paie pas ici non seulement l’ignorance qu’il révèle à ces prétendants au diplôme, mais aussi son pseudonyme : que le vieil Anatole Thibault leur soit inconnu et qu’il ait, quelle horreur ! choisi de s’appeler France, c’est évidemment intolérable à des néo-Français moins aptes à lire un texte, quel qu’il soit, qu’à brailler contre la loi El Khomry et, avec la bénédiction du gauchisme culturel, à exécrer cette France qui les accueille ou leur a, hélas, donné une nationalité automatique. Et pourtant, Anatole France devrait les séduire : dreyfusard, socialiste, voltairien, prix Nobel de littérature, doté d’un style simple, il est bien plus aisé à lire que le sinistre Le Clézio ou qu’Anus Ernie, par exemple : au moins France savait-il, lui, le français.
Est-il encore lisible, cet écrivain dont la gloire fut telle, raconte Lévi-Strauss, dans Tristes Tropiques, qu’il était impossible de décliner sa qualité de français sans s’entendre, même au cœur de l’Amazonie, féliciter d’être un concitoyen d’ « Anatole » ? On se doute que je ne saurais guère l’aimer, sauf peut-être pour les quatre volumes de l’Histoire contemporaine et surtout pour Les Dieux ont soif, où France dénonce les excès de la Révolution française sous la Terreur, encore qu’il oublie que cette révolution bourgeoise fut tout entière terreur, et un crime contre l’humanité, pour parler le langage d’aujourd’hui. Et ce n’est pas ce vieil académicien « humaniste » que j’aurais mis au programme, moi, mais un passage du Dialogue des Carmélites, un extrait de la vie de Charlotte Corday, dans l’Histoire des Girondins, du Chevalier des Touches ou de La Chevalière de la mort. On imagine le tollé chez les ilotes et leurs soutiens gauchistes, Bernanos, Lamartine, Barbey d’Aurevilly et Bloy ne pouvant même pas être des arrêts de tram…
A l’heure où l’équipe de France compte plus de noms étrangers que français, tout comme l’équipe suisse, avec ses mercenaires bosniaques et africains, les Allemands, les Belges et les Néerlandais n’étant pas en reste, on ne s’étonnera pas que la présence d’un vieil écrivain typiquement français et portant le nom exécrable de France soit une insulte aux mutants de l’espace France.
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Euro 2016 - Chronique n°66 de Richard Millet
11/06/2016
Chronique n°66
Euro 2016
J’ai fait comme tout le monde : j’ai regardé le match d’ouverture de l’Euro 2016, non point par panurgisme mais parce que le football est un excellent révélateur de ce qui porte encore le nom de peuple, alors que ce dernier n’en est plus tout à fait un. Passons sur le grotesque ballet précédant l’ouverture. Il me faut surtout parler de cette équipe de France, et d’un point de vue non pas technique (car on n’imagine pas les joueurs dépourvus de qualités) mais ethnique : si c’est là l’équipe nationale, je ne me reconnais nullement dans ce rassemblement de mercenaires fraîchement naturalisés ou nés dans une immigration non assimilée, ainsi qu’en témoignent les noms et les prénoms de nombreux joueurs – dont on a même vu l’un priant Allah sur la pelouse… On me dira que je ne fais qu’enfoncer là des portes dévergondées ; sans doute. Il m’importe néanmoins de répéter que je ne saurais être le concitoyen d’un Bacary Sagna, d’un Mamadou Sissoko, d’un Kingsley Coman ou d’un Adil Rami – desquels, encore une fois, je ne nie pas le talent. Mais enfin les tensions considérables engendrées par la composition ethnique de cette équipe où les Français de souche sont minoritaires ont démontré, si besoin était, que ce qui se passe avec l’équipe de France est la synecdoque de la France tout entière –c’est-à-dire d’une France malade de l’inassimilation d’une immigration extra-européenne qui a peu à peu détruit, avec le consentement des élites, les structures républicaines.
La puissance footballistique tente de ravauder la toile et de faire accepter cette nouvelle idée de la France, de la même façon que la clique médiatico-politique avait tenté de faire accroire, en 1998, que la victoire de l’équipe nationale était due à sa nature « black-blanc-beur » : dénomination qui à elle seule dit tout à la fois la décomposition ethnique de la France et celle de sa langue. Non seulement le football règne sur les esprits, comme le mauvais roman et les séries télévisées, mais encore un footballeur, Ibrahimovic, peut dire qu’il fait plus pour la France que François Hollande. Il n’a pas tout à fait tort, mais il joue sur du velours, tellement la nullité du chef de l’Etat est patente… Il y a longtemps que ce dernier a rabaissé la dignité de sa fonction, en même temps, d’ailleurs, que l’ensemble de la classe politique : il suffisait de le voir, hier soir, interviewé par France 2, le cou ceint d’une écharpe aux couleurs de l’équipe de France, interpellé par une vulgaire journaliste qui lui donnait du « président », et non, comme il se doit, du « Monsieur le président », comme si elle s’adressait au président d’un club de football. Il est d’ailleurs possible que Hollande ne soit plus que ça : le chef d’une équipe de « foot » et de quelques centaines de supporteurs…
Cette décadence de la fonction présidentielle semble propre à tout l’Occident : on a pu le voir à l’occasion des funérailles du boxeur musulman Mohammed Ali, où Bill Clinton côtoyait des acteurs de Hollywood et le sultan islamiste Erdogan, lequel a rappelé ce qui n’est évident que pour lui : « L’islam est une religion de paix. » On le voit en effet tous les jours, à Nice où une jeune Tunisienne, serveuse de son état, a été giflée par des barbus parce qu’elle servait de l’alcool à ses clients ; au Pakistan, où une jeune femme a été brûlée vive par sa famille pour avoir épousé un homme de son choix. Et on ne parlera pas de ce qui se passe dans les entreprises publiques françaises, de quoi le stalinien Martinez devrait s’inquiéter bien plus que de l’insignifiante loi « Travail. »
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Les écoles libres menacées
19 juin 2016 par admin4 - Contre-info.comCommuniqué de l’abbé Christian Bouchacourt, Supérieur du District de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X :
« Ce jeudi 9 juin Mme Najat VALLAUD-BELKACEM a annoncé une réforme des modalités d’ouverture des établissements d’enseignement privés hors contrat.
Il ne s’agira plus simplement d’informer d’une ouverture d’une école à l’Académie, mais de demander une autorisation qui sera ou non accordée dans un délai maximum de quatre mois.
De plus, si cette réforme était adoptée, elle obligerait nos écoles à s’aligner presque intégralement sur les programmes du public pour avoir le droit d’exister !
La deuxième quinzaine de juin, Madame Le ministre envisage de faire adopter un amendement lui permettant de mener cette réforme par voie d’ordonnance sans passer par le Parlement. Un 49.3 qui ne dit pas son nom et donc un passage en force.
Ces réformes projetées portent non seulement une atteinte grave à la liberté scolaire mais aussi mettraient en péril l’existence même de nos écoles catholiques.
Nous ne pouvons souscrire à un tel projet et nous invitons les parents d’élèves et tous nos fidèles à prier afin que cette réforme ne passe pas ou, si elle venait à passer, pour qu’elle puisse être invalidée et ne pas entrer en vigueur.«
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VIDEO - Loi travail : Valls et Martinez s'opposent frontalement
VIDÉO - Après une mobilisation anti-loi travail record mardi, Manuel Valls assène ce dimanche dans Le JDD : «il n'y aura ni retrait du texte, ni modification de sa philosophie, ni réécriture des articles qui en constituent le coeur». La CGT promet, elle, des actions cet été.
Près de quatre mois après le début de la contestation, Myriam El Khomri et Philippe Martinez se sont entretenus vendredi, trois jours après une journée de mobilisation qui a rassemblé entre 125.000 et 1,3 million de personnes. Seul point de consensus: la journée du 14 juin a été la plus importante depuis le début de la contestation. La rencontre entre la ministre du Travail et le leader de la CGT n'a cependant débouché sur aucune perspective de fin de conflit. Au contraire, Philippe Martinez a confirmé que deux nouvelles journées d'action se tiendraient les 23 et 28 juin prochains. Preuve s'il en est de l'étendue des désaccords, Manuel Valls ayant demandé mercredi au syndicat d'arrêter les manifestations à Paris.
Face aux violences qui persistent et s'intensifient au fur et à mesure des mobilisations, alors que l'état d'urgence est toujours en place et que se déroule l'Euro de football, le premier ministre s'est ainsi dit prêt à «prendre ses responsabilités» pour interdire «au cas par cas» ce type de rassemblements. Dans Le JDD dimanche, le premier ministre estime que «les organisateurs devraient annuler eux-mêmes ces rassemblements» car, selon lui, «il n'y aura ni retrait du texte, ni modification de sa philosophie, ni réécriture des articles qui en constituent le coeur». François Hollande a lui aussi prévenu que les autorisations de manifester ne seraient plus accordées si la sécurité «des biens et des personnes» ne pouvait être «garantie».
» Loi travail: Hollande osera-t-il interdire la manifestation de la CGT?
Les opposants ne se laissent pour autant pas intimider. Sur iTélé ce dimanche, Philippe Martinez a prévenu que «des formes de mobilisation» auraient lieu cet été. Il a également confirmé la tenue des deux nouveaux rendez-vous pris, les 23 et 28 juin. «Oui, les manifestations seront maintenues tant que le gouvernement maintiendra son texte», a martelé le leader de la CGT, qui a assuré que la CGT était «un syndicat responsable», prenant l'exemple d'une manifestation annulée lundi à Toulouse, sur demande du préfet.
Dans le sillage de la CGT, Force ouvrière a elle aussi prévenu, samedi, qu'elle n'avait pas l'intention «de laisser faire les choses». Anticipant un nouvel usage du 49-3 lors du retour du projet de loi à l'Assemblée en juillet, Jean-Claude Mailly a souhaité «bien du courage [au premier ministre et au président de la République] à la rentrée». «Ce mouvement ne se terminera pas tout seul, a-t-il prévenu. En juillet, ce sera évidemment plus difficile mais ça ne veut pas dire qu'il ne se passera pas autre chose en septembre, sous des formes autres.»
Certains opposants à la loi travail ont d'ailleurs déjà commencé à varier leurs modes d'action. Vendredi, les initiateurs de la pétition contre le projet de loi, qui avait dépassé le million de signatures, ont lancé l'opération «casseroles debout». Au programme: «rencontres, débats et apéros» avant un «concert de casseroles» de trois minutes. «Le gouvernement ne nous entend pas donc on va faire plus de bruit», a expliqué Caroline de Haas au Figaro.
Retour du projet de loi en juillet à l'Assemblée
Pendant ce temps, le texte continue sa navette parlementaire. Examiné par le Sénat depuis le 6 juin, et sous l'effet de la majorité de droite, le projet de loi a été durci. Le fameux article 2, qui porte notamment sur l'organisation et le temps de travail et cristallise les tensions, revient désormais sur la semaine de 35 heures. Cette disposition ne devrait toutefois pas perdurer une fois le texte revenu à l'Assemblée, où la gauche possède toujours une courte majorité. «Nous rétablirons la version adoptée à l'Assemblée, qui avait déjà intégré près de 800 amendements» sur ce texte, «fruit d'un compromis bâti avec les syndicats réformistes et avec la majorité socialiste», dit Valls.
Après avoir fait usage du 49-3 en première lecture, le gouvernement le dégainera-t-il à nouveau? Dimanche dans Le JDD, Manuel Valls se montre offensif: «Maintenant, il faut aller vite et faire adopter ce texte». Habilement, il n'évoque pas un éventuel nouvel usage du 49-3.
Pour Jean-Claude Mailly, «le gouvernement est maintenant confronté à un choix: ou il ne change rien, il reste ferme sur ses positions en n'écoutant rien [...] ou le gouvernement bouge et on peut espérer un vote normal au Parlement». Bouger, c'est-à-dire modifier certains articles, comme le demande FO, ne ferait pas le jeu de la CFDT, fervent soutien du texte, et qui avait imposé les précédentes inflexions.
Le texte doit revenir à la chambre des députés le 5 juillet. Le temps pour le gouvernement de réfléchir à ses options et pour les opposants de se faire entendre. Au risque que la contestation se radicalise encore un peu plus.
LE FIGARO
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VIDEO - Istanbul : la police turque disperse la «Trans Pride» avec du gaz lacrymogène
http://fr.euronews.com/2016/06/19/un-rassemblement-lgbt-severement-reprime-en-turquie/
|19 juin 2016, 22h50 | MAJ : 19 juin 2016, 22h39|3
Gaz lacrymogènes et balles en caoutchouc contre drapeaux arc-en-ciel. La police turque a interrompu ce dimanche une manifestation de la communauté LGBT (lesbienne, gay, bi-sexuels et transsexuels), place Taksim à Istanbul. Plusieurs centaines de policiers antiémeutes ont assiégé les abords de cette place emblématique de la rive européenne de la mégapole pour empêcher ce défilé baptisé «Trans Pride» en plein Ramadan.
VIDEO. Un rassemblement LGBT sévèrement réprimé en Turquie (19/06/2016)
La cinquantaine de militants de la cause LGBT avait été rejointe par une centaine de sympathisants. Devant l'assaut des forces de l'ordre, ils se sont enfuis dans les ruelles adjacentes. Au moins deux manifestants ont été interpellés, selon les médias turcs.
La Gay Pride du 26 juin interdite
Les manifestants s'étaient réunis devant un de leurs locaux situé près de Taksim. Ils ont d'abord déployé un drapeau aux couleurs arc-en-ciel LGBT, puis l'un d'eux a voulu lire un communiqué aux nombreux journalistes regroupés sur les lieux, avant d'être empêché par un chef de la police.
Cette «Trans Pride» s'inscrit dans le cadre de la semaine LGBT en Turquie. Mais les autorités d'Istanbul ont annoncé vendredi avoir interdit la Gay Pride qui devait avoir lieu le 26 dans la ville, afin de «préserver la sécurité et l'ordre public», suscitant l'indignation de la société civile.
«Nous ne voulons pas de ces gens ici !»
Peu avant l'intervention policière de dimanche, une dizaine de manifestants anti-gay qui ont fait irruption près de Taksim, ont été arrêtés par les forces de sécurité, a rapporté l'agence de presse Dogan. «Nous sommes des Ottomans, nous ne voulons pas de ces gens ici!», a scandé l'un d'eux.
Un groupuscule ultra-nationaliste, les Foyers d’Alperen, avait demandé en début de semaine aux autorités d'annuler l'événement, avertissant qu'il se chargerait lui-même de l'empêcher si son appel n'était pas entendu.
LE PARISIEN
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NOUS SOMMES TOUS DES MECREANTS !
Ceux qui se font exploser ne sont pas des déséquilibrés, ni des dingues, ni des fous, ce sont des « musulmans ».
Hollande, Valls, Cazeneuve, les trois petits singes de la sagesse : ne pas voir le MAL, ne pas entendre le MAL, ne pas dire le MAL.
Cela suffit, arrêtez de tenter de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Arrêtez de VOUS mentir, de NOUS mentir !
Ceux qui se font exploser, ces terroristes qui commettent des attentats meurtriers, qui massacrent à la kalachnikov, qui assassinent à coups de couteau, ne sont pas des Français, ne sont pas des Belges, ne sont pas des Américains, ce sont des « musulmans ».
Ce ne sont pas des déséquilibrés, ni des dingues, ni des fous, ce sont des « musulmans ».
Ils tuent au nom du Prophète et sur les ordres dictés par le Coran. Le djihad armé est permis par l’islam, il est même préconisé, et il est impie de lui désobéir.
Tous les attentats, tous les massacres, tous les assassinats, jusqu’à aujourd’hui, ont été commis par des « musulmans » radicalisés, que cela vous plaise ou non. Vous ne trouverez pas un seul nom qui ne soit pas d’origine islamique.
Tous les musulmans ne sont pas radicalisés, fort heureusement pour l’humanité, mais nombreux sont ceux qui, en sourdine, les approuvent et certains même les applaudissent en apprenant leurs exploits. Ils sont des héros pour eux.
Quand, à Marseille, surgit un drapeau algérien au milieu d’une bagarre entre Russes et Anglais sur le Vieux-Port, ne vous méprenez-pas, c’est uniquement parce qu’ils n’ont pas, chez eux (ou n’ont pas osé arborer), un drapeau de l’État islamique. J’en veux pour preuve les déclarations de certains imams, dans l’entourage même du recteur de la Grande Mosquée de Paris, adhérents de la fédération chère à Dalil Boubakeur :
– le Coran ordonne aux musulmans de combattre et de soumettre les juifs et les chrétiens ;
– les valeurs et les mœurs de la République ne sont pas les valeurs et les mœurs que nous a données le Prophète. Ce ne sont pas les valeurs et les mœurs des musulmans ;
– combattez les mécréants, capturez-les, assignez-les et guettez-les dans toutes embuscades jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Dieu ;
– l’islam doit s’étendre partout, il doit exister partout, pour permettre les conversions consenties. Nous sommes envoyés pour convertir toute l’humanité ;
– l’islam n’est pas une religion de paix. Le djihad armé est pour apporter la lumière de Dieu aux peuples mécréants.Et il termine en ajoutant « qu’il n’est pas le seul à être hostile, au sein de la fédération, à promouvoir un véritable islam de France ».
Un porte-parole de l’État islamique, Abou al-Adnani, ordonne de tuer tous les mécréants au nom du Prophète, ajoutant « qu’il n’y a pas d’innocents ». Et c’est la vérité du Prophète : pour l’islam, il n’y a pas d’innocents, nous sommes tous des « mécréants » !
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Orphelin de policiers: le tweet de Taubira qui ne passe pas
Lire ça!
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Brexit: le camp du "in" en tête selon un sondage
Les défenseurs du maintien du Royaume-Uni au sein de l'Union européenne ont une avance de trois points sur les partisans du Brexit dans le premier sondage réalisé depuis le meurtre de l'élue travailliste pro-européenne Jo Cox jeudi.
L'enquête réalisée par l'institut Survation pour le journal Mail on Sunday place le camp du "In" en tête avec 45% des suffrages contre 42% pour le "Out", rapporte ce jour l'agence de presse britannique Press Association.
Le précédent sondage Survation, effectué pour le compte du cabinet d'analyse financière IG, donnait les mêmes chiffres à l'envers, le "Out" étant crédité de 45% des voix contre 42% pour le camp du "Remain".
Il a été publié jeudi, quelques heures avant le meurtre de Jo Cox. Le nouveau sondage a été réalisé vendredi et samedi. -
Euro 2016: un salut nazi photographié au Vélodrome pendant Islande-Hongrie?
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Nouvelle polémique en vue. Alors que de légers incidents ont émaillé le début et la fin du match nul entre l’Islande et la Hongrie (1-1), un supporter hongrois a été photographié par l’agence de presse Reuters, en train de faire ce qui ressemble fort à un salut nazi.
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La méthode Trump contre les "Orlando": une balle entre les deux yeux
+ VIDEO
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Discours de Sébastien Jallamion à la manifestation en hommage aux policiers assassinés à Magnanville
Discours de Sébastien Jallamion (officier de police), à la manifestation organisée par le SIEL en hommage aux policiers assassinés à Magnanville, à Paris le vendredi 17 juin 2016.
NdB: Saluons le courage admirable de cet officier de police et soutenons-le!
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Occitanie: la formidable victoire identitaire du nom de la région, c’est celle du droit du sang sur le droit du sol
“Occitanie”: l’éditorial de Richard Roudier
La formidable victoire identitaire du nom de la région, c’est celle du droit du sang sur le droit du sol
Le résultat de la consultation sur le nom de la Grande Région ne laissait planer aucun doute, tant l’enracinement de la population, dans nos 13 départements est fort; la surprise ne pouvait venir que de l'ampleur du résultat. Et nous n’avons pas été déçus puisque la presse nationale qualifie le choix “Occitanie” de plébiscite... Quant à l’équipe Delga, elle est encore sous le choc, ne sachant plus comment se débarrasser de la patate chaude, avouant même “on ne pourra faire autrement que de retenir Occitanie ... (sic) impossible de trapper (passer à la trappe) un nom qui s’est imposé face aux autres noms en compétition, la question n’est plus de savoir si Occitanie va être validé, mais comment...”
Alors que les identitaires n’ont eu aucun accès aux médias régionaux, à la botte des jacobins et en position de monopole, via le groupe la Dépêche, le vote “Occitanie” frôle la majorité absolue avec 45 %, auquel, il convient de rajouter le vote “Occitanie Pays-Catalan” à 12 %, plus le vote “Languedoc” (dit historique - acception très proche d’Occitanie) à 10 %, ce qui place le vote identitaire à deux tiers des suffrages exprimés aux alentours de 67 %... Rien d’étonnant à cela puisque tous les sondages le démontrent, les positions identitaires représentent, dans la population française, les 2/3 des électeurs. En faisant ce calcul, nous ne faisons que reprendre l’analyse de Carole Delga qui indique qu’il y a deux choix qui émergent, celui d’Occitanie et celui de Pyrénées mais la présidente de la Région oublie de préciser qu’Occitanie sort vainqueur dans le rapport de deux tiers/un tiers, et comme on dit chez madame la baronne : “Y a pas photos”.
Comme nous l’avions dit au début de la consultation, deux thèses s’affrontent : celle des jacobins-mondialistes avec une appellation à caractère géographique comprenant en l’occurrence Pyrénées ou Méditerranée ou même ces 2 noms accolés, c’est le choix, entre autres, des multi-nationales, qui considèrent la région comme une marque ; l’autre c’est celui des tenants de l’identité et de la cause des peuples. Le résultat est clair et sans appel : les occitans-catalans ont rejeté massivement et avec beaucoup de finesse toute connotation géographique assurant la victoire du droit du sang sur le droit du sol.
D’ailleurs cette analyse est confirmée en miroir par le clan des affairistes, et des politiciens “hors sol” qui vient d’exprimer publiquement son désaccord au travers d’un communiqué de presse du président du Conseil Economique Social et Environnemental (CESER). Jean-Louis Chauzy est clair : “Ce serait une erreur de suivre le résultat de cette consultation. Si le 24 juin, la Région choisit le nom « Occitanie », nous demanderons au préfet de suivre l’avis du Ceser (Languedoc-Pyrénées), car ce nom répondait à tous les critères importants : géographique, historique, culturel, sentiment d’appartenance, lisibilité “. On voit en quelle estime ce syndicaliste de la CFDT tient la population, mais ça ne nous surprend pas puisqu’on sait que depuis des mois la CFDT a rejoint le camp de Macron et du MEDEF. On pourrait d’ailleurs conseiller à Monsieur Chauzy de proposer que dorénavant le préfet remplace Carole Delga à l’Hôtel de région.
On notera également le mépris de l’exécutif régional vis-à-vis des catalans, exécutif qui se triture les méninges pour proposer une ou plusieurs mesures pouvant désamorcer une fronde : localisation à Perpignan d’une Euro-Région ; soutien de la Région pour changer le nom du département des Pyrénées-Orientales; présence dans le nouveau logo de la Région (à côté de la croix occitane) des couleurs catalanes. Les catalans ont leur dignité et refusent par avance ces distributions de breloques. Ils connaissent l’Histoire et savent que les socialistes ont toujours fait des promesses aux autonomistes ou régionalistes pendant les campagnes électorales avant de les laisser tomber une fois élus et Mme Carole Delga ne fait ni mieux ni pire que François Mitterrand en 1981. Les échanges risquent d’être vifs au sein de la gauche lors de la séance de détermination du nom le 24 juin. Tout ça n’est que magouille, et arrangements entre amis et Llorenç Perrié Albanell dans un souci de clarté démocratique vient de demander la publication des résultats département par département et en particulier celui des Pyrénées Orientales.
Si Carole Delga –qui ne connait pas l’histoire de l’arroseur arrosé- veut sortir par le haut de cette épreuve à haut risque, qu’elle a elle-même déclenchée, nous lui conseillons de revenir aux fondamentaux et d’écouter la voix de l’histoire, la voix de l’identité et la voix du peuple.
En avant vers la Grande Région Occitanie-Pays Catalan
Renseignements:
BP 1-7114
30912 – Nîmes cedex 2
Tél : 07 83 47 42 42
Mail : liguedumidi@orange.fr
(merci à Dirk)
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Honte allemande
Un tribunal allemand a condamné un ancien gardien d’Auschwitz à cinq ans de prison. Reinhold Hanning, 94 ans, était jugé pour « complicité » dans la mort « d’au moins 170.000 personnes ». L’acte d’accusation ne relève aucun fait. Tout gardien est coupable pour avoir été présent à Auschwitz… « Il a eu la sentence qu’il méritait », dit le président du Congrès juif mondial. Pourtant, cinq ans de prison pour complicité dans 170.000 meurtres, ce n’est vraiment pas beaucoup. Il était passible de la prison à vie (bon, d’accord, à 94 ans ça ne change peut-être pas grand chose). Le parquet avait requis six ans. Au cours du procès Reinhold Hanning avait dit : « J'ai honte d'avoir laissé survenir des injustices en toute connaissance de cause et de n'avoir rien fait pour m'y opposer. » Mais ce sont les Allemands qui devraient avoir honte de condamner un vieillard pour ce qu’il n’a pas fait (si tant qu’il aurait pu faire quoi que ce soit) il y a plus de 70 ans…
Le blog d'Yves Daoudal
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Un bébé tigre abandonné en Seine-Saint-Denis
Home ACTUALITE Flash Actu
La rumeur circulait depuis plusieurs jours, un bébé tigre était caché à Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis : moyennant quelques euros, des jeunes se prenaient en photo avec le félin, dont la présence a inquiété pendant plusieurs jours les policiers, partis à sa recherche.
Une fois les forces de l'ordre sur la piste du félin, il a été abandonné par son ou ses propriétaires, trouvé par des particuliers, et finalement transporté samedi dans un refuge de la Loire.
"Courant juin", les policiers trouvent sur le portable d'une personne placée en garde à vue dans une affaire de stupéfiants, des "vidéos montrant des jeunes de la cité des Boute-en-train avec un bébé tigre", explique le parquet de Bobigny dans un communiqué. Des photos auraient également circulé sur les réseaux sociaux, sans que pour l'heure nous n'en trouvions trace. "Des jeunes dealers s'amusaient à se prendre en photo" avec le tigre, explique un policier, selon lequel le selfie se monnayait "autour de cinq euros".
La police interpelle l'utilisatrice d'un compte Facebook sur lequel figurent des photos du félin et de sa soeur. "Les auditions et perquisitions ne permettant pas de localiser l'animal, les deux jeunes femmes étaient remises en liberté", relate le parquet.
Mais ces interpellations suscitent apparemment un "effet de panique", note le policier, et le tigre est abandonné.
Il est retrouvé le 14 juin à une dizaine de kilomètres à l'est de Saint-Ouen, à Noisy-le-Sec, "au bord de la route", selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), par des "personnes (qui) ont contacté plusieurs associations de protection de la nature qui ont ensuite contacté les services de l'ONCFS".
Il a été confié vendredi soir à l'association Tonga terre d'accueil, qui recueille des primates et des félins à Saint-Martin-la-Plaine, dans la Loire. L'animal est arrivé samedi midi dans ce centre, qui héberge 17 autres félins. "Cette petite tigresse sera installée entre deux tigresses adultes", afin de voir "avec laquelle elle s'entendra pour vivre en société", a dit le président de l'association, Pierre Thivillon.LE FIGARO -
L’appel du 18 juin ou l’histoire d’une imposture
18 juin 2016 par admin4- Contre-info.comLe texte ci-dessous, de 2010, n’a rien perdu de sa valeur.
« Le 18 Juin 2010 va être célébré le 70ème anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles de Gaulle. Or la version officielle, qui va être lue à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 « Philippiques contre les Mémoires gaulliens. » (Nouvelles Editions latines )
Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. »
Or, historiquement, Charles De Gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes : · 1° A cette date du 18 juin 1940, ces « gouvernants de rencontre » n’avaient pu capituler, car non seulement l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22 juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie. Par ailleurs on ne peut confondre armistice et capitulation. L’armistice est un acte politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines conditions, c’est le contraire d’une capitulation où le vaincu doit se soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De Gaulle a consenti le 19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain, pour se débarrasser du « boulet algérien ».
En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française, ne soit livrées à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont Ferrant soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé. · 2° Devant l’échec total de cet « appel du 18 Juin » auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que Charles De Gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère , aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, Charles De Gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle. En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors de Gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 :Londres le 20 Juin 1940 Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant ….. ( MEMOIRES DE GUERRE) Charles de Gaulle- Edition PLON 1954 tome I – page 269)
La suite reste entourée de mystère. Car de Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que de Gaulle rentre en France. La dissidence de la « France Libre » est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si de Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 Juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu ni de saga, ni de fabulation gaulliste. En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à « un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude ».
C’est pourtant ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 Juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel. »
Jean-Marie AVELIN Alain ALGUDO et Geneviève de TERNANT
Président Vice-présidents Et l’équipe de Veritas