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Blog - Page 326

  • Brexit : l’affiche anti-migrants de Nigel Farage fait scandale

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    18/06/2016 – LONDRES (NOVOpress) : A une semaine du référendum sur la sortie de l’Union européenne – Brexit or not Brexit –, Nigel Farage a sorti une affiche-choc sur l’invasion de l’UE par les migrants. « Point de rupture – l’UE a tout raté », clame l’affiche de l’Ukip (Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni), ajoutant : « Nous devons quitter l’UE et reprendre le contrôle de nos frontières. » Au Royaume-Uni, explique l’Ukip, le solde migratoire net est de plus de 330 000 personnes par an, ce que le pays n’a pas connu depuis un siècle.

    Cette affiche a fait scandale dans le camp des pro-UE (et pro-migrants), au point d’accuser Nigel Farage de procéder à une campagne « de style nazi » ! Le principal reproche : la photo utilisée montre une colonne de migrants à la frontière de la Slovénie, et le Royaume-Uni, n’étant pas membre de l’espace Schengen, n’est pas concerné.

    L’affiche a été publiée dans les grands journaux nationaux, comme The Telegraph, The Daily Star et The Daily Express, et arborée par des camionnettes sillonnant Londres.

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    Farage Breaking Point 2

  • Un consensus mou est en train de se faire autour de l’acceptation de la GPA


    Un consensus mou est en train de se faire... par bvoltaire

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    18/06/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Le mercredi 15 juin, 3.000 manifestants – dont des élus LR et FN – sont descendus dans la rue à l’appel de LMPT pour dénoncer la GPA.

     


    Un consensus mou est en train de se faire… par bvoltaire

  • La cathédrale d'Orléans aux couleurs LGBT: c'était une intox!

    La photo avait été publiée sur France 3 Centre, en illustration d’un papier « Hommage aux victimes d’Orlando ». Cette photo a été reprise par France3 de Orléans Actu qui l’a postée sur son compte twitter. Orléans Actu l’a prise à Christophe Asselin un photographe. La journaliste de France 3 Centre-Val de Loire, auteur de l’article, a avoué avoir publié la photo (et son commentaire) sans en vérifier la source. Elle l’a supprimée de la page.

    Quant à la cathédrale d’Orléans, qui a été consultée au préalable, comme indiqué dans l’article d’hier, il s’avère que la personne a été surprise et déstabilisée par l’interlocuteur, et, n’étant alors pas au courant, a fait une réponse théorique inadaptée à la situation. En effet, très inadaptée

     

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    Riposte catholique
  • Orlando : les agents de sécurité, danger pour la sécurité? Par Jean-Yves Le Gallou

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     16 juin 2016

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    Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia ♦

    L’Empire romain est tombé parce qu’il a confié la garde de ses frontières aux Barbares.

    Omar Mateen, l’Américain d’origine afghane responsable de la tuerie d’Orlando, était agent de sécurité. Il détenait des armes légalement et pouvait s’entraîner non moins légalement.

    Omar Mateen est pourtant décrit comme « instable et violent ». Et selon USA Today, un policier ayant travaillé avec lui s’était plaint auprès de ses employeurs de ses commentaires « homophobes » et « racistes ». Mais la société G4S Security avait estimé ne rien pouvoir faire « parce qu’il était musulman ».

    La tuerie d’Orlando devrait attirer l’attention sur le risque pris par les sociétés occidentales en confiant leur sécurité à des sociétés de sécurité privées car celles-ci recrutent préférentiellement au sein des minorités ethniques. Et leurs agents, même lorsqu’ils sont déviants, sont protégés par l’idéologie et les lois antiracistes.

    Il est, d’ailleurs, interdit de poser le problème. Pour avoir posé la question des vigiles musulmans assurant la sécurité (!) du Bataclan, le chanteur Jesse Hugues, chef des Eagles of Death Metal, a heurté la bien-pensance. Jesse Hugues a aggravé son cas en répondant oui au magazine canadien Takimag qui lui demandait si « la peur d’offenser les musulmans [était] l’arme la plus grande des terroristes ». Un propos jugé si choquant que Jesse Hugues, qui était invité, en août prochain, à se produire à Rock en Seine (le spectacle rock de la région Ile-de-France), a été censuré – pardon, « déprogrammé », en novlangue. C’est dire si certains sujets sont interdits !

    Eh bien, grâce à Boulevard Voltaire, je vais poser les questions qui fâchent : est-il normal que 80% à 90% des agents de sécurité privés dans les musées parisiens, les aéroports des grandes métropoles, les grandes surfaces commerciales soient issus des minorités ? Est-il juste que les Français et les Européens de souche soient de facto discriminés (parce que si un contrôle avec un Africain ou un Maghrébin tournait mal, ils ne manqueraient pas d’être accusés de « racisme ») ? Est–il prudent que les agents de sécurité soient souvent recrutés dans les quartiers et au sein des milieux d’où vient la délinquance ? Est-il sage, pour se protéger du terrorisme islamique, de recruter à la va-vite des agents de sécurité en grande majorité musulmans ? Et est-il vraiment opportun, comme l’envisagent Bernard Cazeneuve et certains responsables du ministère de l’Intérieur, de les armer ?

    L’Empire romain est tombé parce qu’il a confié la garde de ses frontières aux Barbares. Désarmer les Français de souche en leur interdisant le port d’armes tout en confiant notre sécurité intérieure aux minorités ethniques relève de la folie.

    Source

    METAMAG

  • Les musulmans de plus en plus nombreux aux USA

     

     

    Selon Les Echos de mardi, les musulmans représentent 1% de la population américaine, soit 2,75 millions de personnes. En 2050, leur proportion devrait plus que doubler pour atteindre 2,1% sachant que la population globale des Etats-Unis croît fortement. Plus de 8 millions de musulmans devraient ainsi vivre outre-Atlantique dans 34 ans, sauf si Donald Trump est élu et applique sa promesse de fermer les frontières à cette population. Les Echos rappellent que 70% des musulmans votent démocrates (Omar Mateen lui-même était enregistré comme électeur du parti de l’âne).

    NDF

  • Députée britannique abattue : d’étranges précédents en Europe

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Deputee-britannique-abattue-d-etranges-precedents-en-Europe-39957.html

    Suède 2003 / Grande-Bretagne 2016 : hasard ou manipulation de l’opinion ?

    + VIDEO

    Bruxelles tue!

  • Meurtre de Jo Cox : entre deuil et récupération politique - Parallèle avec la ministre suédoise Anna Lindh

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    Thomas Mair le meurtrier présumé de Jo Cox

     

    © REUTERS/ Daniel Leal-Olivas
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    Maxime Perrotin
    116820

    "Je serai un ardent défenseur du camp du oui au Royaume-Uni, je prendrai des gardes du corps", déclarait François Asselineau, à notre micro. L'assassinat de la députée travailliste Jo Cox à quelques jours du référendum donne un tragique écho à ses propos. Retour sur le drame.

    "J'espère qu'au Royaume-Uni, il ne va pas se produire la même chose que ce qui s'était produit en Suède puisque je rappelle qu'en Suède, comme les sondages pour l'entrée dans l'euro donnaient désespérément le NON gagnant, eh bien la porte parole du camp du "OUI", qui était Mme Annah Lindt, […] a été assassinée dans une galerie commerciale".

    Voilà une crainte que François Asselineau énonçait au micro de radio Sputnik il y a tout juste une semaine. Il est des circonstances ou l'on aurait préféré avoir tort et pourtant, tout confirme un parallèle entre les deux événements tragiques, comme le souligne le Président de l'Union Populaire Républicaine (UPR), que nous avons joint à nouveau tout à l'heure:

     

    ​"Anna Lindh, qui était ministre des affaires étrangères et qui était l'égérie du "oui" avait 42 ans et avait de jeunes enfants, elle a été abattue à Stockholm et cela a fait une énorme émotion dans la population suédoise et les médias en avaient tiré un argument que cela allait peut-être bouleverser le sens du référendum qui avait lieu 3 jours après… Jo Cox, elle a 41 ans, elle a des enfants en bas âge et son assassinat fait exactement le même effet que celui d'Anna Lindh 13 ans auparavant.

    "Le rapprochement entre les deux affaires ne s'arrête pas là, les coïncidences vont jusqu'à concerner le profil du tueur lui-même, même si pour l'instant on sait peu de chose.

    "Avec Anna Lindh, il s'agissait d'un Serbe, qui s'appelle Mijailo Mijailović, qui était sorti 5 jours avant d'un asile psychiatrique et dont les motivations sont peu claires. Il y a eu des rumeurs qui ont circulé à l'époque, comme quoi il n'était pas forcément seul, comme quoi il avait été manipulé, etc […] eh bien là, en Angleterre, c'est également un malade mental semble-t-il ou quelqu'un qui a des antécédents psychiatriques, Thomas Mair, qui a abattu en pleine rue à la fois avec un pistolet et avec une arme blanche cette députée."

     

    Et les conséquences des deux assassinats frappent également par leur ressemblance.

    "C'était même allé plus loin, puisque la campagne avait été suspendue par respect pour la défunte, sauf que tous les médias avaient été mobilisés — y compris le jour du scrutin — pour vanter la destinée tragique de l'égérie du +Oui+ à l'Euro. Cela s'était assorti d'un sondage Gallup — un sondage d'origine américaine — qui avait annoncé sans vergogne que cet assassinat terrifiant d'Anna Lindh, avait provoqué un électrochoc dans la population suédoise et que cela bouleversait, cela renversait, le résultat du scrutin et que les Suédois allaient voter en faveur de l'Euro, par respect pour la défunte."

     

    "Ce qui est absolument certain, c'est que le camp européiste se saisit de cette affaire pour faire mousser cette opération. On a vu d'ailleurs que cela ne concerne pas que les britanniques, puisque d'un seul coup, François Hollande, le Premier Ministre du Danemark, tous les chefs d'Etat et de gouvernement européens, mais aussi John Kerry, le Secrétaire américain qui a été le premier à réagir, tout le monde y va d'un couplet sur "c'est la démocratie qui est menacée…"

    "Profonde tristesse pour Jo Cox et le peuple britannique. À travers elle, notre idéal démocratique a été visé. Ne jamais l'accepter!" déclarait Manuel Valls dans un tweet peu après l'annonce du décès de l'élu britannique.

     

    "Profondément choqué par le meurtre hier de Jo Cox, dans ce qui n'est rien d'autre qu'une atteinte intolérable contre la démocratie". Réagissait quant à lui Nicolas Sarkozy sur Twitter.

     

    ​Mais la palme de l'amalgame en France revient à François Bayrou, qui affirmait, lui aussi par l'intermédiaire twitter: "La jeune députée Jo Cox tuée parce qu'elle défendait l'Europe. Son assassin criait "Britain first!". Le fanatisme nationaliste mène au pire"

     

    ​Alors que rien ne permet à ce stade d'affirmer que Jo Cox a été assassinée pour ses positions contre le Brexit. Les premiers éléments de l'enquête semblent indiquer que l'assassin n'aurait pas crié "Britain First" comme l'avait affirmé un témoin.

    Quant à la presse, le doute sur les intentions du tueur — à ce stade de l'enquête — semble s'effacer, pour vous donner un aperçu du ton qui est donné depuis ce matin, voilà à titre d'exemple ce que l'on peut trouver dans une publication d'Alexis Poulin, le directeur d'EurActiv France, parue sur le site du : "Nous le savions déjà, le Brexit est un gâchis politique. Il est devenu aujourd'hui un drame humain. La député travailliste Jo Cox est décédée parce qu'elle menait campagne pour l'Europe, pour un rêve centenaire de prospérité et de paix entre nations."

    "Les médias suédois avaient exactement fait la même chose. c'était une espèce de mort et transfiguration, ils avaient quasiment donné à la vie d'Anna Lindh une destinée christique. Elle était morte et elle allait ressusciter car les suédois allaient voter massivement pour l'entrée dans l'Euro. On joue sur des archétypes presque religieux pour essayer d'influencer les populations, en réalité plusieurs années après on ne sait toujours pas quelles ont été les motivations de ce Mijailo Mijailović, encore une fois qui était sortie 5 jours avant — chose étrange — d'un asile psychiatrique. Il a dit que finalement il ne lui en voulait pas, qu'il cherchait quelqu'un d'autre… enfin bref on ne sait pas!"

    Amalgamer extrême-droite, néonazisme et sortie de l'Euro, le propre des médias et de la classe politique pro-européenne depuis des décennies, dans une volonté de mettre sous pression psychologisante l'électeur, par une forme de culpabilisation, d'après François Asselineau qui revient sur différents épisodes qui ont marqué l'histoire récente de l'Union:

     

    "Depuis, on a mis dans la tête des français que défendre la souveraineté d'indépendance nationale, cela serait être d'extrême-droite, et puis accessoirement tout le monde connaît les dérapages de Jean-Marie Le Pen, on a mis dans la tête des Français que de proche en proche se serait avoir des sympathies pour le troisième Reich…

    Ceci n'existe pas seulement qu'en France, on a mis la même chose dans la tête des Néerlandais avec Geert Wilders, on a fait la même chose avec les Grecs et Aube Dorée, qui est un mouvement néo-nazi, qui n'existait pas il y a 5 ans et qui a été ultra-médiatisé pour faire croire aux Grecs que c'étaient ceux qui s'opposaient au pillage — en coupe réglée — de la Grèce au profit d'intérêts financiers; que ceux qui s'opposaient à cela et à l'Euro étaient des néo-nazis."

    François Asselineau qui conclut en paraphrasant Clausewitz, qu'il s'agit là de "la continuation de la même politique par d'autres moyens", regrette une volonté d'empêcher les gens de réfléchir de manière rationnelle. Ne dit-on pas qu'il faut savoir raison garder, malgré la vague d'émotion, face à une situation dont nous sommes loin d'avoir — à ce jour — tous les éléments de réponse.

    Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

    SPUTNIK

  • Meurtre de Jo Cox : la piste de l'extrême-droite se précise

     

    Les Echos
     
     
    La députée Jo Cox a été tuée jeudi après-midi dans sa circonscription, près de Leeds - Matt Dunham/AP/SIPA

    La police britannique évoque une "attaque ciblée" et cherche aussi à savoir si le suspect, Thomas Mair, souffrait de troubles mentaux.

    La police britannique enquête sur de possibles liens avec l'extrême droite du meurtrier présumé de la députée Jo Cox , tuée en pleine rue jeudi dans sa circonscription du nord de l'Angleterre, a-t-elle annoncé vendredi soir. Cette déclaration vient confirmer les informations circulant depuis l'annonce du meurtre de la députée. Le Southern Poverty Law Centre, un groupe américain de défense des droits civiques, a ainsi affirmé que Thomas Mair, le tueur présumé, était un "partisan dévoué" d'un groupe néonazi basé aux Etats-Unis. Il aurait dépensé plus de 620 dollars (550 euros) dans des ouvrages de l'Alliance nationale, groupe qui a appelé à la création d'un pays peuplé exclusivement de Blancs et à l'éradication du peuple juif. De surcroît, selon le quotidien The Guardian, la police a retrouvé des symboles nazis à son domicile ainsi que de la littérature d'extrême droite. L'agresseur aurait par ailleurs crié "Britain first" ("Le Royaume-Uni d'abord") au moment de son passage à l'acte, selon plusieurs médias britanniques.

    Troubles mentaux

    Des habitants de Birstall ont décrit l'individu comme un homme "calme", "solitaire" et s'occupant de jardinage. Le Yorkshire Post a publié une photo le montrant vêtu d'un treillis et d'une casquette blanche. "Il avait l'air si innocent. Il habitait seul depuis que sa grand-mère est décédée", a déclaré à l'AFP Bethany Thurston, une adolescente vivant à proximité.

    La police a aussi indiqué qu'elle se penchait sur les éventuels troubles mentaux du suspect. "J'ai toujours du mal à y croire. Mon frère n'est pas violent et n'est pas du tout politisé", a affirmé au Daily Telegraph Scott Mair, le frère du principal suspect. "Il a des antécédents de maladie mentale, mais il s'est fait aider".

    Scott Mair, arrêté sur les lieux du crime, a été maintenu en garde à vue, et son interrogatoire se poursuit, a indiqué la police vendredi.

    Une attaque ciblée

    Sur les circonstances du drame, les enquêteurs ont indiqué vendredi soir que la parlementaire avait été victime d'une "attaque ciblée". Les médias britanniques croient savoir que Jo Cox a été touchée par trois balles et sept coups de couteau. L'assistante de la députée, Fazila Aswat, était avec Jo Cox. Son père a indiqué à la chaîne ITV qu'elle avait l'impression que l'agresseur attendait sa victime. Jo Cox a succombé à ses blessures jeudi, à 12H48 GMT, selon la police.

    Jo Cox avait fait l'objet de récents messages de menaces, a indiqué la police britannique vendredi, précisant que cette affaire, pour laquelle un homme a été arrêté en mars, était sans lien direct avec son meurtre.

    Le Royaume-Uni sous le choc

    L'annonce de la mort de Jo Cox a profondément bouleversé la campagne référendaire , dominée ces derniers jours par la progression dans les sondages des partisans du Brexit. Les campagnes pro et anti-Brexit ont été suspendues jusqu'à dimanche au moins. Des réactions d'effroi ont afflué de la part de personnalités politiques comme d'anonymes. Les habitants de Birstall continuaient à déposer vendredi des fleurs et des cartes au pied de la statue de Joseph Priestley, théologien et philosophe, au centre de la ville.

    Le Premier ministre David Cameron s'est rendu à Birstall avec le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn et le président du Parlement John Bercow pour rendre hommage à la députée.

    Les drapeaux de Buckingham Palace, du Parlement et du 10 Downing Street, la résidence officielle du Premier ministre, étaient en berne vendredi et la reine a envoyé un message de soutien à l'époux de la défunte.


    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/0211041621067-meurtre-de-jo-cox-la-piste-de-lextreme-droite-se-precise-2007513.php?CUvsEzxwxVZXHQHC.99
  • Marion Maréchal-Le Pen sur France Info

    http://dai.ly/x4gzrsv

    Magnanville : "Le gouvernement a une lourde responsabilité dans ce drame" (M.Maréchal-Le Pen, FN)    

  • Le ramadan s’affiche en gare d’Avignon au service des migrants !

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    Ramadan Lebara

    17/06/2016 – AVIGNON (NOVOpress) : Voici une photo prise aujourd’hui dans le hall de la gare d’Avignon : des publicités pour l’offre « spécial ramadan » de Lebara, pour appeler à moindre prix la famille restée au pays. Lebara ? Les deux premières lettres des noms des trois associés (Leon, Baskaran et Ratheesan) de cette société basée à Londres, et qui a pour but d’«améliorer la qualité de vie des migrants » :

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    « Chez Lebara Mobile, nous tenons à répondre aux besoins de nos communautés de migrants à chaque étape de leur voyage : préparation du voyage, arrivée et séjour dans leur nouvelle demeure, n’importe où elles choisissent de s’installer dans le monde. »

    Et à la SNCF donc, on tient à répondre aux besoins de Lebara. Pensez-y quand vous voudrez joindre votre famille restée au bout du monde pour Noël ou pour Pâques, et que ça vous coûtera un bras…

     

  • Autorisation de port d’arme hors service prolongée pour la police : enfin !

    http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/autorisation-de-port-darme-hors-service-prolongee-pour-la-police-enfin,262943?mc_cid=9f8e78bff7&mc_eid=0b0d8f3739

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  • En direct sur France 2, un policier refuse de serrer la main de Hollande et Valls !


    En direct sur France 2, un policier refuse de... par bvoltaire

    Le policier se tient sur deux béquilles

  • Marine Le Pen à Vienne avec le FPÖ

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  • Méfiez-vous du chat qui dort!

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  • Allemagne : la communauté juive scandalisée par la vente d'effets personnels d'Adolf Hitler

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    Lu dans la presse
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    Publié le 17 Juin 2016

     

    "C'est scandaleux et abject".
     

    « En 2014, une vente avait été annulée en France »

    Par Eléanor Douet, publié sur RTL le 17 juin 2016
     
    Le Conseil central des Juifs d'Allemagne a manifesté jeudi 16 juin son indignation face à la vente aux enchères prévue samedi à Munich d'effets personnels d'Adolf Hitler. "C'est scandaleux et abject", a jugé le président du Conseil central, Josef Schuster, cité par l'agence allemande DPA. "D'un côté certains vont jusqu'à remettre en question la parution d'une édition commentée par des chercheurs de Mein Kampf, d'un autre côté on peut faire des affaires sans restrictions avec des objets d'Hitler, de Göring (le ministre de l'Aviation du dictateur nazi) et d'Eva Braun (la compagne d'Hitler)", a-t-il ajouté.
     
    La maison d'enchères munichoise Hermann Historica organise samedi 18 juin une vente d'effets personnels du dictateur nazi, parmi lesquels des paires de chaussettes et des cravates, des nappes ou encore son attestation fiscale concernant la taxe sur les chiens, selon les médias allemands. Des affaires ayant appartenu à Hermann Göring, qui créa la terrible Gestapo, seront également proposées, parmi lesquelles... ses sous-vêtements.
     
    Le maire de Munich a également fait part de sa colère. En avril 2014 en France, la vente d'une quarantaine d'objets nazis ayant appartenu aux deux responsables du 3e Reich, dont des passeports et de la vaisselle, avait été annulée par la maison d'enchères après l'intervention de la ministre française de la Culture. Les associations juives avaient vivement protesté contre cette vente... Lire l'intégralité.
  • Le préfet d’Ile-de-France défend un Grand Paris «rayonnant, métissé et ouvert»

    19h56

    A la demande du ministère des Affaires étrangères, Jean-François Carenco s’est exprimé devant une assemblée de diplomates étrangers. Il a livré une philosophie de la métropole.

    Comment vendre le Grand Paris aux investisseurs étrangers ? En réunissant les ambassadeurs de leur pays d’origine dans les locaux chamarrés du Quai d’Orsay. Ce jeudi matin, dans le cadre du Club des entrepreneurs, le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a entrepris d’expliquer à un aréopage d’une soixantaine de diplomates l’intérêt de la métropole parisienne pour les capitaux internationaux.

    «Des communautarismes, on en trouve partout».

    Mais ces propos à forte teneur économique sont intervenus à la fin d’une réflexion comme on n’en entend pas souvent dans la bouche de hauts fonctionnaires. Certes, il s’agissait de faire comprendre l’idée métropolitaine à un cercle de non-spécialistes. Mais quand même… «Je vais essayer de vous faire partager l’ambition de la métropole, a posé d’emblée Jean-François Carenco. La métropole, ce n’est pas une grande ville. C’est un territoire nécessairement rayonnant, métissé, ouvert. Création de valeur, lien social, émotion culturelle : c’est ça, le fondement de la métropole. » [...]

    yahoo

  • Une députée britannique tuée par balles en pleine campagne contre le Brexit

     

     

    VIDÉO - Jo Cox, une députée travailliste pro-UE de 41 ans, a succombé à ses blessures après avoir été victime d'une agression par balles jeudi à Birstall. Un homme de 52 ans a été arrêté.

    Correspondant à Londres

    La Grande-Bretagne est sous le choc après le meurtre, jeudi après-midi, d'une députée travailliste de 41 ans, Jo Cox, à une semaine du référendum sur l'Europe. L'élue s'est effondrée dans une mare de sang, selon un témoin, après avoir été agressée en pleine rue à la mi-journée dans la petite ville de Birstall, au cœur de sa circonscription du Yorkshire (nord de l'Angleterre). Elle aurait été atteinte de plusieurs balles et de coups de couteau. Elle a succombé à ses blessures rapidement. Un homme de 52 ans du nom de Tommy Mair a été arrêté, seul suspect du crime. La police a qualifié l'événement d'«isolé». Un homme de 77 ans a été légèrement blessé dans l'attaque.

    La campagne pour le référendum a été aussitôt suspendue. Tout juste arrivé à Gibraltar, le premier ministre, David Cameron, a annulé le meeting qu'il devait tenir dans ce cadre. «Nous avons perdu une étoile», a-t-il commenté, déplorant une «tragédie». Son rival à la tête du camp en faveur du Brexit, Boris Johnson, a aussi interrompu ses activités de campagne dès qu'il a appris «l'horrible nouvelle». Le chef du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, s'est dit «sous le choc et le chagrin devant l'horrible meurtre de Jo Cox». Les hommages affluaient de tous bords pour cette nouvelle venue au Parlement, où elle avait été élue il y a un an seulement.

    «Les circonstances ne sont pas encore claires», a indiqué la ministre de l'Intérieur, Theresa May. Selon des témoignages cités par la presse, non confirmés, l'agresseur aurait été entendu crier «Britain First» («la Grande-Bretagne d'abord»). Britain First est le nom d'un mouvement d'extrême droite prônant l'action de rue, qui a nié toute implication. Jo Cox faisait campagne pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Europe. La classe politique se refusait prudemment dans l'immédiat à spéculer sur le caractère politique du meurtre. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, s'est dit lui aussi profondément choqué «par la terrible attaque contre la députée Jo Cox». François Hollande a fait part de sa «solidarité» au peuple britannique. Pour Manuel Valls, «à travers elle, notre idéal démocratique a été visé».

    Trêve à une semaine du référendum

    Cet événement a vivement choqué, dans un pays où les crimes par armes à feu sont rares, en raison d'une législation très sévère sur leur détention et de contrôles rigoureux aux frontières limitant le trafic. Selon un témoin, l'arme utilisée aurait été un fusil vétuste. Jo Cox a été attaquée à proximité d'une bibliothèque municipale où elle s'apprêtait à recevoir ses administrés lors d'une permanence. Les politiciens britanniques ont l'habitude de circuler librement sans protection. Seuls le premier ministre et le ministre de l'Intérieur sont escortés de gardes du corps.

    Au cœur d'une campagne acrimonieuse sur l'Europe et de plus en plus tendue alors que le Brexit a pris l'avantage dans les sondages, une trêve œcuménique s'est soudainement imposée. Les drapeaux ont été placés en berne au Parlement de Westminster, où s'est tenue une veillée de recueillement. «Une rivière de larmes coule à la Chambre des communes, réagissait le député Jack Dromey, en charge des questions de sécurité au Parti travailliste. Mais on ne peut pas laisser une sauvagerie de cette sorte se mettre en travers de l'exercice démocratique.» «Nous sommes tous unis dans notre profonde tristesse devant la perte de l'une de nos collègues les plus brillantes et les plus appréciées», a déclaré la ministre Theresa May, pourtant dans le camp opposé. Des habitants de Birstall pleuraient leur députée «qui s'intéressait à nous».

    En un an, Jo Cox s'était imposée comme une figure montante de la politique. Elle suscitait l'admiration de part et d'autre de l'échiquier. Diplômée de Cambridge, elle a fait carrière dans l'humanitaire, comme responsable de la stratégie de l'association Oxfam, avant de se lancer en politique. Sa collègue travailliste Sarah Champion l'a décrite comme «l'une des personnes les plus gentilles et attentives que je connaisse». Présidente du groupe parlementaire Friends of Syria, elle avait invectivé en séance David Cameron pour son refus d'accueillir davantage de réfugiés syriens. Elle dirigeait le réseau des femmes travaillistes. Brendan, son mari, a assuré dans un communiqué qu'elle aurait souhaité «qu'on s'unisse tous pour combattre la haine qui l'a tuée». «La haine n'a pas de croyance, de race ou de religion, c'est un poison», a-t-il poursuivi. Le couple avait deux jeunes enfants.

    LE FIGARO