https://www.facebook.com/philippot.f/videos/1055899574494255/
Blog - Page 321
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VIDEO - Réaction de Florian Philippot suite à l'entretien avec Hollande sur le Brexit
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Brexit : deux millions de personnes signent une pétition pour un nouveau référendum
23h35Une pétition, déjà signée par plus de deux millions de Britanniques, a vu le jour sur le site du Parlement britannique. Les signataires de cette pétition en ligne demandent un second référendum pour ou contre le Brexit.
Quelques heures après l’annonce des résultats, une pétition, qui avait dépassé les deux millions de signatures samedi soir, a été lancée sur le site du Parlement britannique afin de demander un second référendum. Leur argument? Si le résultat du « Leave » ou du « Remain » atteint moins de 60% et que le taux de participation ne dépasse pas 75%, le vote ne peut pas être considéré comme valable. Sachant que le taux de participation du vote jeudi a atteint 72% et que le « out » l’a emporté avec 51,9% des voix, cet argument tient la route.
En ce qui concerne le règlement des pétitions, si l’une d’elle dépasse les 10.000 signatures, le gouvernement s’engage à y répondre dans un délai de 20 jours. Mais, au-delà des 100.000, il peut la soumettre au Parlement pour qu’elle soit débattue. Mais ce n’est pas obligatoire. Selon le journal Le Monde, un porte-parole de la Chambre des communes a déjà fait savoir que le comité se réunirait le 28 juin pour examiner ce texte. « Si nous votons en faveur d’une sortie, ce sera fait. Ce sera irréversible. Nous quitterons l’Europe pour de bon » avait pourtant prévenu le Premier ministre britannique David Cameron.
Une deuxième pétition a vu le jour sur le site indépendant Change.org, demandant l’indépendance de la capitale. Les Londoniens se sont réveillés sous le choc vendredi. Ils ont été plus de 62% à voter pour rester au sein de l’Union Européenne. Et plus de 100.000 personnes ont déjà signé pour cette « londependence ». La ville pourrait alors adhérer de nouveau à l’Union Européenne. [...]
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Conseil Régional PACA: pourquoi les élus FN ont quitté l'hémicycle
Marion Maréchal-Le Pen a été insultée de façon ordurière, avec des mots inadmissibles.
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Mise en examen d’Alain Jochimek, représentant du Crif et du B’nai Brith, pour « blanchiment d’argent criminel » : silence de la presse française
25 juin 2016 par admin4 - Contre-info.com
Vu chez Panamza :
« Le 17 juin, Alain Jochimek, directeur général de Lycamobile et représentant du CRIF auprès de la haute fonction publique israélienne, a été mis en examen dans une affaire de blanchiment d’argent lié à la criminalité. Pas un mot dans la presse écrite et audiovisuelle de l’Hexagone.
Incroyable mais vrai : dans la France de 2016, un influent dirigeant économique et communautaire peut être interpellé par la police et mis en examen sans susciter le moindre commentaire public dans la classe politique et médiatique.
Vendredi 17 juin, Alain Jochimek, « directeur général France » de l’opérateur de téléphonie Lycamobile, a été formellement mis en examen pour « blanchiment d’argent » lié à la criminalité et « escroquerie à la TVA » portant sur plusieurs millions d’euros.
La source de cette information édifiante ?
Le dense et brillant article publié dimanche 19 juin par le siège londonien d’un site américain dénommé BuzzFeed.
Les journalistes britanniques Heidi Blake, Jane Bradley, Tom Warren et Richard Holmes ont ainsi enquêté durant plusieurs mois sur une vaste et complexe affaire de transactions financières frauduleuses en Europe qui auraient été supervisées par des cadres, des intermédiaires et des coursiers agissant pour le compte de Lycamobile, plus grand fournisseur du monde des appels internationaux low-cost.
Une version française du papier a également été mise en ligne via la rédaction parisienne de BuzzFeed.
19 personnes interpellées et 9 désormais mises en examen parmi lesquelles figure Alain Jochimek.
Jochimek ?
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Le Brexit pourrait poser plus de questions à l’Écosse qu’au Royaume-Uni
http://www.breizh-info.com/2016/06/24/45600/brexit-ecosse-snp-cameron-sturgeon-farage
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Marine Le Pen dit avoir été reçue "pour rien" par Hollande
Plusieurs vidéos à voir
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Comment la justice française a rattrapé Lycamobile, géant de la téléphonie "ethnique", dans une affaire de blanchiment d’argent
https://www.buzzfeed.com/heidiblake/grosse-descente-chez-lycamobile-dans-une-affaire-de-blanchim
Lycamobile, plus gros donateur du parti de David Cameron
Lire absolument cette enquête jusqu'à la fin
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Idaho (USA) : Des migrants musulmans violent une petite fille de 5 ans et lui urinent dans la bouche
BREIZATAO – ETREBROADEL (24/06/2016) L’immigration afro-musulmane impacte aussi gravement les USA que l’Europe comme le souligne un nouveau fait de barbarie, cette fois-ci dans l’état de l’Idaho. Trois migrants musulmans hébergés dans le centre pour réfugiés de Twin Falls ont violé une petite fille blanche de cinq ans avant de lui uriner dans la bouche.
KIVI rapporte (source) :
Le chef de la police de Twin Falls, Craig Kingsbury, a confirmé que trois garçons qui étaient impliqués dans le viol d’une petite fille de cinq ans était de souche irakienne et soudanaise.
Lors d’une conférence de presse à Twin Falls, le chef de la police Kingbury a rendu compte aux habitants et au conseil municipal au sujet de l’agression et indiqué que deux des trois garçons impliqués étaient internés dans un centre de détention suite au crime. Les garçons ne vivent à Twin Falls depuis moins de deux ans.
Un témoin des faits rapporte (source) :
Cela s’est passé il y a trois semaines, vers 15:30. J’étais assise sur le patio de mon porche et je regardais autour quand j’ai vu ce garçon prendre des photos avec son appareil. Il était d’Afrique ou de quelque part ailleurs à l’étranger, il se tenait debout à la sortie de la laverie, prenant des photos de gamins à l’intérieur… Je les ai trouvé là. Je savais que quelque chose se passait parce que le garçon se comportait bizarrement. Il prenait des photos et disait aux plus jeunes garçons quoi faire… La porte était assez abîmée pour voir ce qu’il prenait en photo. J’ai ouvert la porte et je me suis presque évanouie quand j’ai vu ce qu’il se passait et pourtant, je suis infirmière. Par quelle chose terrible la pauvre petit fille a du passer.
La police est venue et ensuite, le jour suivant, des enquêteurs sont venus et m’ont parlé seuls. Tout ce que je sais, je leur ai dit. La pire chose était la façon dont ils lui ont uriné sur tous ses vêtements et sur elle aussi, et je me suis dis que c’était la chose la plus méchante que j’ai vu faire.
Ce sont des garçons qui ont une mère et ont emménagé ici depuis l’étranger. Les femmes ne parlent même pas un mot d’anglais, quelques unes un peu, mais les autres non. Elles portent de longues robes avec des trucs noirs sur leurs têtes.
La petite fille n’avait pas de vêtements sur elle. Les garçons les lui avaient pris. J’ai vu les deux garçons et la petite fille morte de peur… J’ai dit aux garçons qu’ils feraient mieux de mettre leurs vêtements.
Fox News précise (source) :
Davis Odell, un résident de la commune qui a été en contact proche avec la famille de la victime a déclaré que les garçons ont traîné la petite fille dans la laverie d’un complexe d’habitation à loyer modéré de Twin Falls, l’ont violée et ont cessé quand une voisine les a surpris.
“Ils l’ont déshabillée et ont uriné dans sa bouche“ a déclaré Odell à Fox News, d’après sa conversation avec la famille de la petite fille.
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Un ancien prisonnier américain d’Auschwitz, vraiment?
© REUTERS/ Pawel Ulatowski/FilesJoseph Hirt, un habitant de la ville d'Adamstown dans l’Etat de Pennsylvanie qui raconte depuis des décennies son internement à Auschwitz pendant la guerre, a confié qu'il n’y avait en réalité jamais séjourné.
Selon CBS, la déclaration de l'Américain âgé de 91 ans est publiée dans le journal local. Hirt s'est excusé publiquement devant ceux à qui ses histoires aurait pu faire du mal. « Je ne voulais pas sous-évaluer la signification des événements qui ont vraiment eu lieu là-bas, quand j'ai affirmé faussement que j'étais présent », a-t-il souligné, expliquant qu'il avait tout simplement voulu raconter aux gens des crimes commis par des nazis.
C'était le professeur d'histoire de Turin (état de NY) Andrew Reid qui a révélé l'affaire. Il a fait une recherche en commun avec ses étudiants, au cours de laquelle ils ont compris que plusieurs faits de la vie de Hirt ne correspondaient pas à ses déclarations. Par exemple, le numéro qui est tatoué sur sa peau appartient à un autre homme.SPUTNIK
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Intervention d'Eléonore Bez, conseiller régional FN, à la séance plénière du Conseil Régional PACA le 24 juin 2016
Le président de la Région PACA est M. Christian Estrosi
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Brexit : Pour François Hollande, « le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes »
Brexit : François Hollande pointe un « danger... par Lopinionfr25/06/2016 – FRANCE (NOVOpress)
« Le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes. Il faut toujours moins de temps pour défaire que pour faire, pour détruire que pour construire. La France pays fondateur de l’Europe ne l’acceptera pas. Un sursaut est nécessaire. L’Europe pour aller de l’avant, ne peut plus faire comme avant » a expliqué François Hollande.NdB: Un danger pour qui ?
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Pour Juncker, le Brexit ne sera pas "un divorce à l'amiable"
La sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne ne se passera pas comme un "divorce à l'amiable", a mis en garde le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker en réclamant que Londres dépose "immédiatement" sa demande de quitter l'UE.
"Ce n'est pas un divorce à l'amiable mais après tout ce n'était pas non plus une grande relation amoureuse", a-t-il lâché à l'antenne de la télévision allemande ARD vendredi soir.
"Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d'attendre jusqu'au mois d'octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J'aimerais l'avoir immédiatement", a-t-il insisté.
Le Premier ministre britannique David Cameron a annoncé vendredi, après la victoire du Brexit au référendum, qu'il quitterait ses fonctions en octobre et qu'il laisserait à son successeur le soin de négocier la sortie de l'UE de son pays.
Un des favoris à sa succession, l'ex-maire de Londres Boris Johnson, a assuré de son côté que le départ britannique devait se faire "sans précipitation", laissant entendre que les autorités allaient faire traîner les choses le plus longtemps possible.
"Scandaleux"
Le président du Parlement européen, Martin Schulz, a jugé "scandaleux" le choix de M. Cameron de ne quitter son poste qu'en octobre, estimant qu'il prenait "tout le continent (européen) en otage".
Lorsque M. Cameron a annoncé en 2013 son intention d'organiser un référendum sur le maintien ou la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE, "il a emprisonné un continent entier pour ses négociations tactiques", a déclaré dans la soirée le responsable social-démocrate sur la chaîne publique ARD.
Après la victoire du Brexit lors du référendum de jeudi, M. Cameron a annoncé sa démission en précisant qu'il quitterait ses fonctions après la désignation d'un nouveau leader lors du congrès de son Parti conservateur début octobre.
"Une nouvelle fois, tout un continent est pris en otage pour des réflexions internes au parti conservateur britannique", a fustigé M. Schulz, qui juge ce retrait trop tardif.
"On peut aussi convoquer un congrès demain matin si on le souhaite", a encore critiqué le président du Parlement européen.
Berlin va jouer un "rôle central"
Jean-Claude Juncker, a également estimé samedi dans un entretien au quotidien allemand Bild que Berlin allait jouer un "rôle central" au sein de l'UE après le vote en faveur du Brexit.
"L'Allemagne va continuer à jouer un rôle central, voire même encore plus important au sein de l'Union européenne", a déclaré M. Juncker à Bild, alors que la chancelière Angela Merkel a d'ores et déjà invité lundi à Berlin le président français François Hollande, le Premier ministre italien Matteo Renzi et le président du Conseil européen Donald Tusk.
Samedi, une réunion des ministres des Affaires étrangères des six pays fondateurs de l'UE (Allemagne, France, Italie, Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) est également prévue à Berlin.
L'UE n'est certes pas parfaite mais "c'est ce que nous avons de meilleur pour rassembler les pays d'Europe à la même table et forger des compromis afin que les gens y vivent en paix, libres et dans la prospérité", a déclaré M. Juncker. Le Royaume-Uni va "nous manquer à cette table familiale", a-t-il dit.
M. Juncker a toutefois pointé la responsabilité et l'ambivalence du Premier ministre David Cameron, démissionnaire vendredi après le référendum lors duquel 51,9% des électeurs ont voté pour le Brexit, alors que M. Cameron avait fait campagne pour le maintien de son pays dans l'UE.
"Quand on peste du lundi au samedi sur l'Europe, il est difficile de passer pour un Européen convaincu le dimanche", a accusé M. Juncker, pour qui Bruxelles ne porte "aucune responsabilité" dans les résultats d'un scrutin voulu par M. Cameron "et non par le Parlement européen, la Commission ou le Conseil européen".
Lors du prochain sommet extraordinaire des dirigeants de l'UE, mercredi et jeudi, il faut réfléchir à "comment nous pouvons mieux nous occuper des soucis des gens et contrer les mouvements populistes de façon résolue et unie", a-t-il insisté.
Le président de la Commission européenne n'exclut du reste pas l'hypothèse de nouveaux référendums dans d'autres pays de l'UE, dans la mesure où "les populistes (...) ne perdent aucune occasion pour faire entendre à grand bruit leurs (idées) politiques anti-européennes".
"Les effets du référendum britannique pourraient toutefois amener la fin de cette grossière agitation haineuse. Il pourrait rapidement s'avérer que la Grande-Bretagne allait mieux lorsqu'elle était dans l'UE", a-t-il estimé.
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Vers un nouveau référendum sur le Brexit ?
Après la victoire serrée (51,9%) en faveur du Brexit vendredi, plus d'un million de Britanniques réclament un second référendum sur le maintien dans l'Union européenne via une pétition en ligne.
Le cap du million de signataires a été atteint samedi avant midi.
Le gouvernement britannique est tenu de répondre à toutes les pétitions atteignant au moins 10.000 signatures. Si 100.000 signatures sont récoltées, la pétition doit être débattue au Parlement.
Les initiateurs de la pétition veulent que le gouvernement britannique organise un second référendum sur la question, le premier n'ayant pas atteint 75% de taux de participation et aucun des camps n'ayant réuni 60% des voix.
Selon les données officielles, 72% des Britanniques ont pris part au vote et 51,9% d'entre eux se sont manifestés en faveur d'une sortie de l'Union européenne.
En plus d'être relativement serrés, les résultats ont montré l'image d'un Royaume-uni fort divisé, tant géographiquement qu'entre les milieux sociaux et les générations. L'Angleterre a voté à 53,4% pour quitter l'UE. Au contraire, l'europhile Écosse a soutenu le maintien à 62%. L'Irlande du Nord a elle aussi voté le maintien à 55,7%, de même que Gibraltar (95%) et Londres (60%). La division a également été nette entre les jeunes électeurs, pro-UE, et les électeurs plus âgés, anti-UE. Elle a été encore plus marquée entre les Britanniques détenteurs d'un bagage éducatif et les autres.
NdB: Les pétitions en ligne ont-elles une valeur juridique?
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Brexit: "il aura un effet domino", selon le dirigeant du parti flamand
© REUTERS/ Neil HallSuivant l'exemple britannique, d'autres Etats européens, notamment les Pays-Bas, pourraient envisager de sortir de l'UE, estime le leader du Vlaams Belang, parti d'extrême droite flamand.
Le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken se réjouit du résultat du référendum britannique qui acte la sortie prochaine du Royaume-Uni de l'Union européenne et prédit un effet de domino.
"C'est une nouvelle fantastique! Finalement, le peuple britannique a fait entendre sa voix. Ils veulent récupérer leur pays", a-t-il déclaré dans un entretien à Sputnik.
Selon lui, le débat tournait notamment autour de l'immigration :
"Le peuple veut contrôler ses frontières. Le peuple en a assez de la crise migratoire et de l'asile. Vous aimez fermer votre verrou ? Eh bien les pays aiment fermer leurs frontières quand ils le veulent. Et l'UE ne le permet pas : elle interfère avec la souveraineté des Etats et le peuple en a assez. Il veut le retour de son pays et aujourd'hui, les Britanniques ont retrouvé leur pays !".
Et si les Britanniques ont "retrouvé leur pays", d'autres pourraient bien leur emboîter le pas, à en croire Tom Van Grieken, qui mise sur les Pays-Bas comme pour succéder au Royaume-Uni :
"D'autres pays suivront. Oui, je pense qu'il y aura un effet domino, et le premier pays que nous devrions surveiller, ce sont je pense les Pays-Bas. Un référendum s'est tenu là il y a quelques mois et le "non" l'avait emporté. Donc je pense que s'il y a une sortie prochaine, je miserai mon argent sur le NExit !".
Le 23 juin, les Britanniques se sont prononcés par référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni au sein de l'UE. Les premiers résultats ont été annoncés quelques minutes après la fermeture des bureaux de vote et donnaient les partisans du "In" gagnants. Toutefois, le résultat définitif a changé la donne. Le pays a choisi de quitter l'UE à 51,9%. Un cas sans précédent.
Suite à la publication des résultats, le premier ministre David Cameron a annoncé sa démission.
SPUTNIK
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Brexit: scène de liesse dans le camp des "leave"
Merci au Royaume-Uni de nous avoir donné ce grand jour de joie !
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Marion Maréchal-Le Pen réagit au Brexit
FDS
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Les bébés, des marchandises comme les autres!
Il est aujourd’hui possible, en France, de commander un bébé qui naîtrait d’une mère porteuse… en passant un simple coup de téléphone ! C’est ce qu’affirme Jean-Frédéric Poisson. Il nous en a fait la démonstration en appelant devant nous une société canadienne qui dispose d’une antenne en France. En se faisant passer pour un homosexuel à la recherche d’un bébé, un jeune homme de l’équipe du député a demandé le détail des prestations et a obtenu un devis chiffré, pour un hypothétique bébé qui serait conçu en Ukraine.
Un bébé garanti « sans handicap »
La conversation avec la téléopératrice est surréaliste ! Lorsqu’on lui demande s’il est possible de choisir une personne du même niveau social et d’éviter les handicaps, voire les « becs-de-lièvre », elle répond systématiquement par l’affirmative. Concernant le risque de voir la mère porteuse se rétracter et refuser de donner le bébé qu’elle a porté aux parents adoptifs, elle affirme que le « programme » est parfaitement verrouillé de ce côté-là. D’une part, aucun argent ne sera remis à la mère porteuse si elle se rétracte, et d’autre part, « la loi ukrainienne privilégie toujours les parents plutôt que les mère porteuses ».
Hypocrisies en cascade
Les autorités françaises ne réagissent pas devant ces pratiques qui tombent pourtant sous le coup de la loi et dont l’existence est avérée. Jean-Frédéric Poisson saisit donc le procureur de la République contre cette société canadienne qui dispose d’un bureau à Paris. « Nous le savons depuis longtemps, assure-t-il, toutes les facilités sont faites en ce sens », et il dénonce le double langage des députés qui affirment « la main sur le cœur » qu’il n’est pas question de légaliser la gestation pour autrui (GPA), mais qui, dans le même temps refusent de voter en faveur d’un projet de loi qui permettrait d’inscrire, sans ambiguïté, l’interdiction de la GPA dans la Constitution. Ce dernier projet, lancé par Philippe Gosselin (LR) et Valérie Boyer (LR), rencontre en ce moment même une forte résistance à l’Assemblée nationale.
« Une course effrénée vers un nouvel esclavagisme »
Malgré l’interdiction des mères porteuses en France, plusieurs centaines voire milliers de couples y ont déjà eu recours, participant à ce que le député des Yvelines qualifie de « course effrénée vers un nouvel esclavagisme ». Elle donne désormais lieu à des concurrences sordides : récemment, la Thaïlande a pris des « parts de marché » à l’Inde, en proposant les services de mères porteuses moins chères… « On arrive au bout d’une logique entamée avec la loi bioéthique 1994, explique le député. À partir du moment où l’on a validé la réduction embryonnaire, on a validé la mécanique eugénique qui trouve son expression quasi parfaite dans la pratique des mères porteuses. »
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Nigel Farage: "C'est une victoire contre les banques"
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