09/06/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : La révélation nous vient du journaliste Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles du quotidien « Libération », cité par l’hebdomadaire Les 4 Vérités. Lors d’un débat sur Arte, le 13 mai dernier, celui-ci a avoué une manipulation récurrente de la presse du système :
« Je me rappelle un article sur une affaire de tournante en banlieue parisienne, tous les prénoms avaient été changés. C’étaient tous des Alain, des Marcel, des Frédéric, sauf qu’en réalité, c’étaient des Mohamed, des Ahmed… »
Jean Quatremer ajoute que la « presse bien-pensante » cache sélectivement l’origine ethnique ou culturelle des agresseurs, par peur de déclencher le racisme
Pour les journalistes présents sur le plateau, ne pas donner ces informations visait à éviter d’alimenter le « populisme ». Mais, en ne disant pas la vérité, on risquait aussi d’alimenter le populisme ! Aucun journaliste n’a semblé intéressé par la question de la vérité pour elle-même.
Les médias peuvent cacher l’identité des agresseurs, mais peuvent faire encore mieux : nier ou ne pas parler de la violence des immigrés contre les autochtones.
Technique partagée par la police et la presse allemandes, par exemple à Cologne. Les centaines d’agressions sexuelles du Nouvel An ont été hypocritement tues par la police et par la presse pendant plusieurs jours pour éviter de « faire le jeu » de l’« extrême droite ».
Toujours pour atténuer la violence des criminels issus de la diversité, les médias utilisent d’autres techniques, notamment la novlangue. Le dernier exemple en date est le braquage d’une bijouterie, en banlieue parisienne, où deux jeunes criminels, dont au moins un Malien, ont violé la malheureuse employée qui se trouvait là. Pour minimiser les faits, des médias comme Le Parisien ont titré sur « les bébés braqueurs ». Mais depuis quand les bébés peuvent-ils violer ? Sauf si les « bébés » font 1,80 m et 85 kg… Le Parisien a d’ailleurs changé son titre pour parler d’« ados braqueurs » (mais l’url témoigne encore de l’ancien titre…).
Pour décrypter d’autres exemples de novlangue utilisée par les médias, vous pouvez lire l’excellent Dictionnaire de Novlangue de Jean-Yves Le Gallou et Michel Geoffroy.