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Blog - Page 41

  • Objectif : la marche sur Bruxelles. Le salut passe peut-être par l’Europe de Salvini

     

     
    Italie Ligue Stelle

    Objectif : la marche sur Bruxelles. Le salut passe peut-être par l’Europe de Salvini

     

    Jean Bonnevey ♦
    Journaliste.

    Avant de prendre quelques vacances d’été un message d’espoir. Tout n’est peut être pas définitivement perdu pour la civilisation européenne minée par le mondialisme et son bras armé migratoire.

    Si en France, la situation ne cesse de s’aggraver sous la pression d’un pouvoir médiatico- judiciaire traquant la liberté d’expressions, ce n’est pas pareil partout. L’année aura été marquée par la montée des peuples.

    L homme fort marquant c’est l’italien Salvini, le chef de la ligue. L’ex femme forte est méconnaissable, s’excusant presque d’être toujours là, c’est la chancelière des migrants, désavouée par les sien,s Angela Merkel. Lors des prochaines élections européennes, il y a une chance que les Européens fiers de l’être l’emportent. Ce sera l objectif des nationaux et patriotes, s’emparer de leur Europe, prendre le parlement, en abattre le Babel bruxellois pour en faire un temple d Artémis.

    Si demain les Européens des racines s’emparent de l’Europe transformée en empire et communauté de destin identitaire, tout peut changer.
    C’est donc Salvini qui a raison. Le ministre de l’intérieur italien et chef de file de la Ligue, Matteo Salvini, a lancé le dimanche 1er juillet l’idée « d’une Ligue des ligues en Europe », réunissant les mouvements « qui veulent défendre leurs frontières », à l’occasion du rassemblement annuel de son parti souverainiste à Pontida, dans le nord de l’Italie.

    « Je pense à une Ligue des ligues en Europe, qui unisse tous les mouvements libres qui veulent défendre le bien-être de leurs enfants », a lancé M. Salvini devant des milliers de sympathisants qui l’acclamaient. Plus tôt, il avait annoncé que les élections européennes de mai 2019 seraient « un référendum entre l’élite, le monde de la finance et celui du travail réel, entre une Europe sans frontières avec une immigration de masse et une Europe qui protège ses citoyens ».

    Selon les médias, quelque 50 000 personnes sont venues de toute l’Italie pour cette grand-messe du mouvement organisée à Pontida, près de Bergame, où serait née, en 1167, la Ligue lombarde, une alliance de villes du nord de l’Italie contre l’empereur Frédéric Barberousse. Fort du double portefeuille de vice-premier ministre et de ministre de l’intérieur, dont il est titulaire depuis un mois, M. Salvini a réussi à imposer le thème des migrants à l’agenda européen en interdisant, au début de juin, l’accès aux ports italiens aux navires des ONG portant secours aux migrants en Méditerranée. Il les accuse d’être complices des passeurs, ce qu’elles contestent avec virulence. « La décision d’ouvrir les ports ou de les fermer, c’est le ministre de l’intérieur qui la prend », a-t-il martelé. Avec son style, il a conseillé à M. Macron de « se laver la bouche parce que l’Italie a fait beaucoup plus que les Français qui continuent de repousser des personnes à Vintimille », à la frontière franco-italienne.

    Une ligne dure qui semble lui réussir selon les sondages, dont un récent, réalisé à la mi-juin par Ipsos, qui a montré qu’une majorité de ses compatriotes (59 %) approuvaient ses choix en matière d’immigration.

    Une large adhésion dont la Ligue, alliée du Rassemblement national (RN, ex-FN) de Marine Le Pen en France, tire tout naturellement avantage : arrivée au pouvoir aux législatives, le 4 mars, avec 17 % des voix (en troisième position), elle était créditée, samedi, de 31,2 % des intentions de votes pour les élections européennes, faisant de la formation eurosceptique le premier parti d’Italie.

    Les Européens qui aiment l’Europe, ses racines et son histoire ont trouvé peut être un leader…. un Duce, diront les autres.

    Mais aujourd’hui, il ne faut pas marcher sur Rome, il faut marcher sur Bruxelles.

    METAMAG

  • Climat : la canicule ne touche pas que la France, records de températures autour du globe

     

    France, Scandinavie, Japon... Le monde connait des records de chaleur lors de cet été 2018.

    Les températures affolent le thermomètre dans plusieurs régions du monde.
    Les températures affolent le thermomètre dans plusieurs régions du monde. (Sipa)
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    L’été 2018 va-t-il être celui de tous les records de température? Tandis que la France connait, ce vendredi, une nouvelle journée de canicule, des pics de chaleurs sont observés un peu partout autour du monde depuis le début de l'été. Selon le service Copernicus de surveillance des changements climatiques du Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (CEPMMT), à l’échelle du globe, juin s’est placé au deuxième rang des mois de juin les plus chauds jamais enregistrés. Jusqu’à présent, l’année en cours est même la plus chaude année jamais observée.

    Lire aussi - Contre le réchauffement climatique, le nouveau plan de Paris

    En France, 38,4 degrés en Côte-d'Or

    Ce vendredi, 25 départements ont été placés en vigilance orange par Météo France à cause de la canicule mais également des risques d’orage sur l’Ile-de-France et une partie de la région Centre. Après des records à Châtillon-sur-Seine (Côte-d'Or, 38,4°C), Aubenas (Ardèche, 37,9°C) ou encore Paris (37,2°C) jeudi, la chaleur devrait persister ce vendredi avant de chuter ce week-end et de revenir la semaine prochaine. Des fortes températures qui provoquent notamment des pics de consommation d’électricité en raison de l’utilisation des climatiseurs et ventilateurs. Le gestionnaire du réseau de distribution Enedis a prévenu que la canicule pourrait se traduire par des coupures de courant.

     

    Ces températures élevées sont dans la continuité du début de l’été. Entre le 1er juin et le 16 juillet, les températures ont été 2 degrés plus hautes que les normales de saison. Météo France dénombre 59 jours où le thermomètre a dépassé les 25 degrés depuis le début de l’année, un record.

    En Grèce, des incendies dévastateurs

    En début de semaine, la Grèce a été victime d’incendies dans la région d’Athènes qui a fait 82 morts. En cause, le temps sec et très chaud accompagné de vents violents. Jeudi, ce sont des averses qui ont inondé les banlieues nord de la capitale grecque.

    Lire aussi - EN IMAGES. En Grèce, le village de Mati entièrement ravagé par les flammes

    32,5 degrés près du cercle polaire

    La Suède a également été victime d’incendie à cause des températures dépassant les 30 degrés. Pas moins de 25.000 hectares sont partis en fumée. Un record absolu de température a été battu près du cercle polaire à Kvikkjokk avec 32.5 degrés le 17 juillet. En Norvège et en Finlande les températures ont également dépassé les 30 degrés.

    41,1 degrés au Japon

    La température a atteint le 23 juillet un exceptionnel 41,1 degrés à Kumagaya au nord de Tokyo soit le nouveau record du pays. Au début du mois de juillet, le Japon avait vécu les pires inondations et glissements de terrain observés depuis des décennies. Plus de 200 personnes ont perdu la vie et quelque 10 000 foyers ont été détruits ou inondés.

    Même l'Ecosse a chaud

    33,2 degrés à Motherwell, c'est le nouveau record de température pour l’Ecosse enregistré jeudi. Et ce vendredi le record de 38,5 degrés enregistré en Angleterre en 2003 pourrait être battu. Il n'y a pas eu de pluie soutenue dans le sud-est de l'Angleterre depuis le 29 mai, relève la météo.

    52 degrés en Californie

    Dans le Sahara, températures exceptionnelles le 5 juillet avec 51.3 degrés à Ouargla, record absolu pour l'Algérie. Dans le Caucase, trois capitales ont battu leur record absolu de chaleur : 42.7 degrés à Bakou (Azerbaïdjan) le 1er juillet, 40.5 degrés à Tbilissi (Géorgie) le 4 juillet et 42.4 degrés à Erevan (Arménie) le 12 juillet. Aux États-Unis, la station de Furnace Creek, dans le parc national de la Vallée de la mort, en Californie, a relevé une température de 52,0 degrés le 8 juillet. Cette station détient le record de la température la plus élevée observée sur la Terre, qui est de 56,7 degrés, le 10 juillet 1913.

  • Des dizaines de personnes protestent près du QG de LREM à Paris

    https://francais.rt.com/france/53008-dizianes-personnes-protestent-pres-qg-lrem-paris-affaire-benalla-images

  • Le Premier ministre hongrois appelle l’Europe à s’unir contre la France afro-musulmane et ses projets de submersion du continent

     

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    BREIZATAO – ETREBROADEL (28/07/2018) Prenant la mesure du danger que représente la république française en voie rapide d’africanisation et d’islamisation, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a appelé les Européens à former une coalition pour isoler la France de l’Europe.

    Le Figaro (source) :

    Le premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré vendredi « ne pas vouloir d’une Union européenne dirigée par la France », jugeant les prochaines élections européennes « décisives » dans un entretien au journal allemand Bild. « Jamais nous n’avons été face à une élection aussi décisives », a estimé M. Orban, interrogé par le tabloïd sur le scrutin européen qui doit se tenir en mai 2019.
    « Les Allemands devraient avant tout être vigilants. Il y a un concept français qui, fondamentalement, signifie : leadership français de l’Europe, payé par de l’argent allemand », a lancé dans cet entretien mis en ligne sur le site du quotidien le chef du gouvernement hongrois, sans jamais nommer le président français Emmanuel Macron. « C’est quelque chose que je rejette. Nous ne voulons pas d’une Union européenne sous leadership français (…) Les Européens doivent se faire entendre et il faut attendre les élections européennes avant de prendre des décision importantes », comme sur le budget ou l’immigration, a ajouté le dirigeant populiste.
    Emmanuel Macron a estimé début juillet que la « véritable frontière en Europe » était celle séparant « progressistes » et « nationalistes » et que leur affrontement serait « au coeur » des européennes de 2019. « Le combat est clairement posé » et sera « au coeur des enjeux de l’élection européenne de 2019 », avait encore déclaré le chef de l’Etat français.

    Le chef du gouvernement hongrois a fort justement identifié la France comme un état n’appartenant culturellement et racialement plus à l’Europe.

    La Hongrie a parfaitement compris le jeu perfide joué par la France au sein de l’Union Européenne, lequel vise à écraser la race blanche sur le continent en prenant la tête de l’invasion afro-musulmane.

    L’Etat Français vise en effet à imposer aux Européens la politique raciale qu’il mène à l’intérieur de ses frontières, voulant se servir du surplus démographique africain et musulman comme auxiliaires dans son projet de domination.

    On doit également relever que Viktor Orban opère une distinction très nette entre la nation allemande et la France, estimant fort justement que l’instinct allemand porte naturellement l’Allemagne à la défense du substrat ethnique européen ainsi qu’au nationalisme culturel, par opposition à la massification cosmopolite de la république jacobine.

    Une coalition européenne dressée contre l’esprit français, négrophile, immigrationniste et socialiste, serait de nature à changer radicalement la donne sur le continent en plaçant Bruxelles sous l’influence des nationalistes européens. 

    La France multiplie par ailleurs les attaques contre les nations européennes refusant de se subordonner à sa politique raciale, à l’instar de la Pologne (lire ici), de l’Italie (lire ici) ou de la Hongrie (lire ici).

     
     
     
  • Les plongeurs de l'extrême

    https://www.france.tv/france-o/cliff-diving-world-series/561179-2e-manche.html#xtor=EPR-50-[int%C3%A9grale]-20180728&pid=726375-1481403324-18d18bc4https://www.france.tv/france-o/cliff-diving-world-series/561179-2e-manche.html#xtor=EPR-50-[int%C3%A9grale]-20180728&pid=726375-1481403324-18d18bc4

  • Royaume-Uni : une école primaire catholique a fait courir ses élèves en pleine canicule « pour qu’ils sachent ce que ça fait d’être un migrant », les parents en colère

     

    14h09

    Une école primaire privée catholique est sous le feu des critiques après que les élèves aient été invités à manifester leur solidarité avec les migrants en faisant cinq fois le tour d’un terrain, en pleine canicule.

    Les enfants ont participé à la campagne « Partagez le chemin » lancée par le pape François, malgré des températures atteignant 33 °C et les avertissements du Ministère de la Santé de rester à l’écart du soleil.

    Lundi, le jour de l’événement, était le jour le plus chaud de l’année.

    Les parents d’élèves de l’école catholique St Gregory à Margate, dans le Kent, ont déclaré que cela n’aurait jamais dû se passer..

    Un grand-père a qualifié l’événement de « dégoûtant ».

    Il fulmine : « Alors, ma petite-fille est rentrée de l’école aujourd’hui en disant qu’ils devaient se promener et faire le tour du champ cinq fois pour se mettre à la place d’un réfugié »

    Un autre parent déclare : « On n’a pas demandé aux enfants s’ils voulaient participer ou non, on leur a dit que c’était ce qu’ils devaient faire. Quelques membres du personnel étaient en désaccord avec le fait de faire cette activité en pleine chaleur, mais apparemment la hiérarchie a insisté. »

    « Une de mes filles m’a dit que chaque fois qu’ils se promenaient, ils devaient s’arrêter et dire une prière« 

    Daily Mail

    Merci à Tony Thommes

     

  • JOURNAL TVL 27 JUILLET 2018

  • Vergogna à tè chì vendi a terra ! Honte à celui qui vend la terre !

     

    Vergogna à tè chì vendi a terra !

    Honte à celui qui vend la terre !

     

    Lettre ouverte à messieurs Jean-Guy Talamoni, Président de l’Assemblée de Corse et à Gilles Simeoni, Président du Conseil exécutif de Corse.

                                                                                                                  Le 25 juillet 2018

     

                                                                                                  Messieurs,

    Le titre de ma lettre ouverte constitue, en plus d’être un slogan : honte à celui qui vend la terre, le fil rouge qui a présidé, dès le début de la prise de conscience du peuple corse, à toutes les revendications nationalistes, autonomistes ou indépendantistes.

    Les vieux peuples, quand ils marchent sur leur terre, marchent sur des millions de morts

    Chaque peuple authentique a le devoir de protéger et de préserver la terre de ses ancêtres. Comme le dit mon ami Pierre-Emile Blairon [1] qui milite, lui, pour sa région provençale :

     « L’attachement aux traditions, aux paysages, aux arts, à la culture, à l’architecture paysanne, à la gastronomie issue des produits locaux, au patrimoine, aux langues originelles, même si elles sont en déclin : tout ceci représente tout simplement la conscience pour chacun de faire partie d’un peuple attaché à son sol et qui envisage un destin et des projets communs, qui vibre pour les mêmes mots forgés par le terroir et les mêmes musiques enracinées.

    N’importe quelle terre n’appartient pas indifféremment à n’importe qui ni à tout le monde ; elle appartient au peuple qui l’a conquise, comme on conquiert un être aimé, qui l’a labourée, enrichie, soignée ; elle se mérite (il ne suffit pas d’y naître, et encore moins d’y habiter) et elle se respecte.

    Les vieux peuples, quand ils marchent sur leur terre, marchent sur des millions de morts, des centaines de générations qui les ont précédés, qui reposent là où ils ont vécu, où ils ont combattu, leurs ancêtres qui ont défendu cette terre et pour laquelle ils sont morts. »

    La Corse s’est faite tout au long d’une histoire tumultueuse, à l’époque où les puissances européennes cherchaient encore à fixer leurs frontières si possible en annexant les territoires voisins.

    Au temps béni des colonies : les Corses du bout du monde

    C’est finalement, après maintes péripéties, la Révolution française qui décréta la réunion de la Corse à la France le 30 novembre 1789 et c’est sous des gouvernements socialistes et républicains que l’aventure de la colonisation de peuplement sera lancée tout au long du XIXe siècle à travers le monde. De nombreux Corses, sans ressources et sans emploi sur l’île, assureront l’administration civile et militaire de ces colonies. Je suis descendant de l’un de ces pionniers méritants installé en Tunisie où je suis né et d’où j’ai été chassé. Je crois savoir que les parents de Jean-Guy Talamoni sont nés au Maroc.

    Beaucoup de ces Corses sont rentrés au pays après la décolonisation, fiers de l’œuvre accomplie. Ils y ont été bien accueillis par leurs compatriotes, et c’est même grâce à ce retour qu’un nouvel élan a été donné au mouvement régional. La Corse fut le seul département « métropolitain » (mais oui, il y a toujours plus métropolitain que nous) à soutenir le combat des Européens d’Algérie où s’illustrèrent, là aussi, de nombreux Corses, comme Jean-Jacques Susini. D’autres Corses, au début du XXe siècle, avaient caché des Russes blancs chassés par les Bolcheviks ; le gouvernement français de l’époque n’hésitera pas cependant à rembarquer 1400 de ces Russes vers leur pays d’origine, les envoyant vers une mort certaine, tout comme le gouvernement gaulliste de 1962 renverra ou abandonnera des dizaines de milliers de harkis sur le sol désormais algérien, les vouant ainsi à une fin horrible.

    Indépendantistes européens ou altermondialistes ?

    Plusieurs milliers de Pieds-Noirs, pour la plupart vignerons, qui avaient perdu leurs biens en Algérie, ont pu mettre en valeur des terres corses restées jusque là incultes grâce à des subventions de l’Etat. S’ensuivra l’affaire d’Aleria au cours de laquelle s’illustra Edmond Simeoni, le père de Gilles, dirigeant de l'Azzione per a rinascita di a Corsica (ARC), protestant contre ces « occupations » de terres.

    A partir de cet épisode, on commence à comprendre que le nationalisme des Corses indépendantistes de cette époque et, donc, de leurs héritiers dont vous êtes on ne peut plus directement, a peu de liens avec la vision à la fois généreuse et enracinée d’un peuple au caractère bien affirmé qui peut se permettre par là-même de porter haut ces valeurs auxquelles je faisais référence au début de ma lettre, celles qui ont permis à ces Corses d’accomplir leur devoir d’hospitalité à l’égard de ces Russes et de ces Européens d’Algérie.

    Vos racines, messieurs, vous ne les puisez pas dans la sublimation de l’aventure des peuples de l’Europe qui a transporté notre force vitale et notre génie de par le monde, aventure dont beaucoup de Corses étaient au premier rang ; vous n’avez pas saisi l’importance et la nécessité d’une solidarité à l’échelle européenne des peuples enracinés dans leurs régions, solidarité que prônent un Salvini ou un Orbán pour reconstruire une nouvelle Europe, une véritable Europe des peuples, pour rester nous-mêmes et respecter le sacrifice de nos ancêtres à qui il a fallu des siècles pour construire les bases solides de notre avenir.

    Vous êtes, Messieurs, les héritiers de cette Révolution française, cette République, accomplie par une coalition éphémère de racailles de l’époque alliées à des bourgeois uniquement soucieux d’accroître leurs revenus, vous êtes les représentants de cette mesquinerie française, oui, française, car elle n’est pas corse, jalouse de ses voisins, repliée, arc-boutée sur le moindre de ses privilèges. Et, en même temps, comme dirait votre Président, vous êtes universalistes, mondialistes ou plutôt altermondialistes, héritiers – décidément, vous allez être riches - des soixante-huitards, « Zadistes » actuels ou anciens hippies du Larzac, « occitans » déjantés, babas-cools fumeurs de cannabis, qui avaient trouvé dans le mouvement régionaliste un bon moyen de faire croire qu’il étaient attachés à une terre et à un peuple mais qui, en réalité, n’en poursuivent pas moins l’application de leur idéologie ringarde ; il y a bien longtemps que les peuples ont compris que Mao, Staline et Pol-Pot étaient morts et leurs utopies fumeuses et sanglantes avec. En fait, dans les actes, vous préférez aimer votre lointain plutôt que votre prochain, comme c’est le cas de nombre de mouvements pseudo-indépendantistes européens au premier rang desquels la Catalogne qui affiche sans complexe une préférence pour les clandestins africains en même temps qu’un rejet du tourisme européen (dont espagnol) qui se traduit par ces deux slogans apposés côte à côte : Refugees welcome, turist go home. 160 000 Catalans lobotomisés manifestaient le 18 février 2017 pour réclamer plus de clandestins sur leur sol.

    Il est bien certain qu’un tourisme non maîtrisé et non éduqué peut aboutir à des catastrophes écologiques et patrimoniales, l’exemple de Benidorm en Espagne est édifiant, si l’on peut dire ; cependant, le tourisme est l’une des rares industries non délocalisables et basée sur un apport positif : lorsque des moyens énergiques et cohérents de communication culturelle sont mis en place, le tourisme est le principal vecteur de préservation du patrimoine sous toutes ses formes ; on ne vient pas visiter un pays si c’est pour trouver les mêmes constructions mondialistes et uniformisatrices que chez soi. Chaque pays a son originalité, son identité, à nulle autre pareille. Il n’en reste pas moins que des cultures voisines se ressemblent et se rassemblent, par le sang et le sol. Il convient de préférer son cousin à son voisin et son prochain à son lointain pour éviter tout conflit.

    Quel intérêt pour le peuple corse d’accueillir les Africains de l’Aquarius ?

    Vous avez proposé tous deux d’accueillir l’Aquarius, ce fameux bateau de « migrants » (qui sont en fait des clandestins pour la plupart Africains) dont le courageux Matteo Salvini a refusé l’accostage dans l’intérêt de son peuple. Vous l’avez fait sans demander l’avis des Corses. Cette démarche était non seulement inutile, mais aussi indigne.

    1. Quel intérêt de se mettre ainsi en avant au nom de la Corse dans un débat qui divise l’Europe entière ?
    2. Je suppose que vous savez parfaitement qu’il n’est pas raisonnable d’invoquer une quelconque générosité ou compassion pour de « pauvres gens qui ne savent pas où aller » ; cet argument n’est qu’une des nombreuses figures de style de la propagande mondialiste et on peut penser qu’arrivés à votre niveau, vous ne pouvez ignorer que ce matraquage est uniquement destiné à formater les foules européennes décérébrées pour permettre le remplacement de nos peuples éduqués et habitués à un certain confort par des masses d’esclaves africains qui serviront de main-d’œuvre à bas coût puisqu’ils n’ont aucune qualification.
    3. Vous n’ignorez pas que ces « pauvres gens », qui sont dans leur grande majorité des hommes africains dans la force de l’âge, payent chacun entre 3000 et 5000 euros pour leur passage en Europe ; il est impossible que ces gens aient pu réunir ces sommes qui sont colossales pour eux (et même pour beaucoup d’Européens), même en sollicitant toute la famille et tous les amis. Certains observateurs avisés supposent que des rabatteurs vont chercher au plus profond des bidonvilles qui entourent les grandes villes africaines ceux dont leur propre pays ne veut plus car ce sont pour la plupart des délinquants récidivistes. On peut imaginer que cet argent leur est fourni par de grands groupes financiers ou industriels qui s’entendent avec la mafia des passeurs et les ONG pour disposer de cet argent pour les uns et de ces masses de « migrants » taillables et corvéables à merci pour les autres. Vous savez parfaitement qu’il s’agit là de trafic d’êtres humains et de rien d’autre qui ait un rapport même lointain avec un sentiment charitable.

    La plupart des grands dirigeants européens, pour une raison qui nous échappe encore, sont acquis au principe de remplacement de leurs propres peuples ; est-ce pour les imiter, pour tenter de rejoindre la cour des « grands » (qui ne sont véritablement eux-mêmes que des marionnettes) que vous avez choisi d’adopter cette attitude tout à fait irrespectueuse à l’égard des Corses ? est-ce simplement pour défier le gouvernement français qui, miracle !, n’a pas cru bon d’offrir un port à ce bateau ?

    [1] http://www.nice-provence.info/blog/2018/01/12/paca-provence-alpes-cote-azur-grande-provence/

    1. Vous avez créé gratuitement et d’une manière complètement irresponsable un appel d’air irrémédiable - les clandestins s’en souviendront - même si, finalement, l’Espagne nouvellement socialiste a décidé de recevoir l’Aquarius et d’autres bateaux de passeurs pour ensuite rediriger les clandestins en partie vers la France.
    2. Comment pouvez-vous, d’un trait, supprimer tout le passé de votre peuple, ces millions d’ancêtres qui ont tant lutté pour vous donner une vie meilleure ? Comment osez-vous imaginer que vous pourriez les remplacer par des gens qui n’ont pas la moindre idée des sacrifices auxquels il a fallu consentir pour arriver à un stade de culture et de civilisation qui nous permet de profiter d’un environnement et d’un patrimoine que nos pères ont construit pierre à pierre ? En quoi ces Africains seraient-ils méritants pour arriver et profiter sans rien faire de ce que nous avons si ardemment et ardûment bâti ? d’autant plus qu’ils ont été incapables ne serait-ce que de maintenir en bon état ce que nous leur avons légué par la colonisation ; après avoir détruit cet héritage, ils devraient maintenant venir démolir le nôtre chez nous comme font les sauterelles qui sautent d’un champ cultivé à un autre après avoir dévoré le précédent ?
    3. Prétendre qu’ils ne seraient là que provisoirement n’est pas sérieux, personne n’y croit. Pour une population de 300 000 habitants qui comprend déjà 10% d’allogènes, principalement Marocains, toute nouvelle immigration serait suicidaire.
    4. Ainsi, ce slogan : honte à celui qui vend la terre ! que vous et vos prédécesseurs avez martelé pendant des années est désormais désuet, car on ne peut même pas l’appliquer à votre projet : vous ne voulez pas vendre notre terre, ni même la brader, vous voulez la donner à des gens qui n’ont aucune légitimité à la recevoir. Vous serez sans doute contents quand tout le monde en Corse parlera corse, mais ce ne seront plus que des Maghrébins et des Africains. Le peuple corse aura disparu.

    Dominique Silvani, Corte

     

  • 37 % des cas de nouvelles infections par le VIH en France concernent des personnes nées en Afrique subsaharienne

     

    14h58

    (…) En attendant, la PrEP a fait ses preuves. À San Francisco, le nombre de nouveaux cas de VIH a chuté de 49 % entre 2012 – année où la PrEP a été autorisée aux États-Unis – et 2016. À Londres, le nombre de nouvelles infections chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes a diminué de 29 % entre 2015 et 2016. Prochaine cible, les personnes nées en Afrique subsaharienne, qui représentent 37 % des cas de nouvelles infections par le VIH en France.

  • Roumanie: un ministre s'excuse après avoir comparé l'incinération de porcs malades à "Auschwitz"

     

     
    Le ministre avait affirmé mardi soir lors d'une interview télévisée que dans les élevages touchés par cette épidémie, "les porcs sont incinérés, c'est un travail incroyable, c'est comme Auschwitz.
     
     
     
     

    L'opposition de centre droit a aussitôt demandé sa démission, soulignant qu'il était "inacceptable de comparer l'incinération des porcs à une tragédie mondiale".

  • Alexandre Benalla a-t-il vraiment été mis à pied ? Il vient de se rendre à la fourrière pour y retirer un véhicule de la flotte présidentielle

     

    18h37

     

    Le 20 juillet dernier, soit deux jours après les révélations du Monde sur l’affaire Benalla, le jeune bodyguard de 26 ans était encore au volant d’un véhicule de la flotte présidentielle. Le Renault Talisman, immatriculé EY-196-VZ, géré par le commandement militaire du palais de l’Élysée, dirigé par le général Éric Bio-Farina, était garé en stationnement gênant sur le trottoir d’une rue adjacente au tribunal de grande instance, dans le quartier des Batignolles, dans le 17e arrondissement de Paris. Emmené à la fourrière Chevaleret, dans le sud de la capitale, c’est un certain Alexandre Benalla qui est venu le récupérer aujourd’hui, vers 13 heures.

    Et ce, alors même que l’Élysée a assuré qu’il avait été mis à pied et qu’il fait l’objet de sanctions administratives.  (…)

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    18h37

    Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.

    Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.

    Radio6.fr

  • Affaire Benalla-Macron: les médias et les vraies questions

    Un homme de main passé du PS à Macron, Alexandre Benalla, provoque une affaire que les médias ont montée en mayonnaise : derrière l’arbre de ses brutalités et passe-droits, se cache une forêt de vraies questions qui se posent à tout le système, et pour commencer aux médias.
     
    Les grands médias des grands oligarques de France ont fait Macron, ils sont en train de le défaire, ou de lui donner un avertissement, ou de jouer avec lui une comédie dont il est urgent de chercher la signification. Politiques et médias, prompt à se jeter sur l’os de l’affaire Benalla, crient au scandale d’Etat, à la crise de régime (Mélenchon a parlé de « Watergate »). Quant aux médias, ils ont relevé les fautes commises par Benalla, les avantages et les protections dont il jouissait, mais ils ont omis de poser des vraies questions, pourtant très simples, qui pourraient éclairer utilement l’affaire.
     

    Les questions que ni Macron ni le PS ne se sont posées sur Benalla

     
    Son parcours au PS, par exemple. Il a été gros bras et factotum socialiste. Il finit chauffeur chez Montebourg, ministre de quelque chose à l’époque, du redressement économique. Celui-ci le vire pour délit de fuite (il aurait pu se virer lui-même pour délit de fuite devant ses responsabilités et la réalité), très bien : mais l’homme est insubmersible et « rebondit », comme on dit. Comment cela est-il possible ? Le parti socialiste, celui de Hollande, Ségolène Royal et Martine Aubry, n’est-il pas le sanctuaire du bien et du scrupule ? Benalla savait-il des choses sur les uns ou les autres ? Ou bien est-ce la règle au PS d’employer des hommes de main douteux ? En tout cas, chez Macron, ça ne l’a pas handicapé. L’Elysée, c’est comme la légion étrangère, on est une grande famille et l’on ne pose pas de question sur le passé. Quel est le vrai prénom de Benalla ? A-t-il des liens avec les services marocains ? Ce n’est pas à Emmanuel Macron qu’il faut le demander. Il « fait confiance aux procédures en place ». Il « n’interfère pas dans les enquêtes ».
     

    La vraie question que n’osent pas poser les médias sur Benalla

     
    C’est donc aux médias que je vais poser mes questions. Ils s’indignent, et les réseaux sociaux s’indignent avec eux (c’est une tendance nouvelle, un consensus croissant, signe de prise en main, entre médias et réseaux sociaux), de la situation faite à Benalla : salaire à dix mille par mois, logement de fonction quai Branly, passe-droits divers dont une carte d’entrée très spéciale à l’Assemblée nationale, grade de lieutenant-colonel de gendarmerie dans la réserve nationale à vingt-six-ans, etc. Comme son profil psychologique, son bref passage chez les Bleus (« il s’occupait des bagages », pour Christophe Castaner) ni son passé au PS ne semblent justifier cette ascension irrésistible, il faut croire qu’il rend de vrais services, en rapport avec ces avantages. Ce n’est pas une supputation, c’est une certitude logique. Toute la question est : quel type de services ? Est-il mandaté par quelqu’un d’extérieur aux institutions républicaines ? Accomplit-il des besognes inavouables ? Son étoile tient-elle à son silence sur certaines choses dont il aurait été témoin ? Ou encore est-il ce que l’on avait accusé Mathieu Gallet d’être, l’amant du président ? On n’a pas seulement le droit de poser la question, on en a le devoir.
     

    Collomb, la femme de Colombo, la fiancée de Benalla

     
    On comprendrait mieux si c’était le cas l’utilité d’avoir fait transpirer dans les médias l’information selon laquelle Benalla devait se marier le jour même de sa garde à vue : la diversion sur la vie privée hétérosexuelle de Benalla masquerait sa fonction homosexuelle. Ici, nous sommes dans la conjecture. Ce qui l’alimente, c’est que la fiancée de Benalla, comme la femme de Colombo, reste invisible. Ce sont aussi toutes les vraies questions sans réponse.
     
    Pourquoi les brutalités sur deux manifestants qui ont lancé l’affaire, qui remontent à mai, ne sont-elles sorties que deux mois plus tard dans la presse ? Pourquoi Gérard Collomb, ministre de l’intérieur, qui les connaissait, les a-t-il couvertes ? Une réponse s’impose, qui n’a pas été donnée dans les médias : parce qu’il avait tout lieu de penser que l’affaire serait facile à étouffer.
     

    Sous-préfet ? L’arbre qui cache la forêt des vraies raisons

     
    Si cette réponse n’a pas été donnée, c’est qu’elle pose une question fichtrement embêtante : pourquoi, dans ce cas-là, l’affaire Benalla est-elle sortie ? Si elle était facile à étouffer, c’est qu’on connaissait les fautes commises par Benalla, et que les preuves de celles-ci étaient bien au chaud dans les mains de personnes de confiance. Pourquoi, et sous quelle influence, ces personnes de confiance, ont-elles donné les images de manifestants « molestés » aux grands médias, au Monde, pour ne pas le nommer ? Et pourquoi maintenant ? A cette question, une réponse a été donnée par Valeurs Actuelles : l’Elysée avait proposé le jeune Benalla pour le poste de sous-préfet, au tour extérieur. Les gens de la préfectorale auraient trouvé cela plus fort que du roquefort, et, pour se venger tout en se protégeant, auraient dénoncé Benalla aux médias.
     

    L’affaire sortie par les grands oligarques de Macron : pourquoi ?

     
    Le capitaine Haddock avait une formule pour commenter ce genre d’hypothèses : Racontez-ça à un cheval de bois et il vous flanquera une ruade. Mon expérience du journalisme d’investigation me dit que les informations d’importance sont toujours données à un niveau élevé, en général le plus haut. Un sapeur-pompier qui dénonce un passe-droit dans la hiérarchie des sapeurs-pompiers pour l’honneur des sapeurs-pompiers, je n’y crois pas. La seule exception, c’est l’affaire de cœur, ou de fesse : Cahuzac est tombé à cause de sa femme. Le reste du temps, c’est le ministre de l’intérieur qui donne le dossier clefs en main, avec une faveur rose, à l’organe de délation choisi (ici, Le Monde). Je n’irai pas jusqu’à suggérer que Collomb a donné lui-même l’info, mais c’est quelqu’un de son niveau, dans le système d’oligarchie, peut-être Minc, Atali, Niel, Pigasse ou quelqu’un des leurs.
     

    Affaire Benalla : l’arbre qui cache la forêt de la guerre civile en marche

     
    Les dernières questions arrivent. Pourquoi cette affaire Benalla, et pourquoi maintenant ? Pour coincer la réforme constitutionnelle ? Pour faire descendre le jeune gorille trop dominant Macron de son arbre ? Ce serait un coup de Hollande, retour vers le passé ? Vous y croyez ? Alors quoi ? Les médias qui ont fait Macron s’apprêteraient à le défaire en constatant son échec ? Quel échec ? Ce serait beaucoup trop tôt. Il y a une question qu’aucun journaliste n’a posée : pourquoi Benalla casse-t-il du manifestant à ses heures de loisir ? Pour enrichir son expérience personnelle ? Sinon, ça ne paraît pas très utile. C’est même incongru, cocasse. Pendant sa garde à vue, ça a frappé un flic. Réponse de Benalla, il a aidé les policiers qu’il devait observer car ceux-ci se trouvaient « en grande difficulté ». Prenons-le au sérieux. Ça prouve déjà son côté chevaleresque. Et puis cela veut dire que pour une simple manif de premier mai les forces sont complètement dépassées. On le croit. Des images venues de Suède montrent quatre policiers en difficulté devant un migrant en colère.

    Le rapport des forces (hors armée) entre hordes invasives et police est en train de s’inverser. C’est cela qu’ont montré les deux dernières soirées de « liesse nationale », les 14 et 15 juillet. Cette rupture « gravissime » que l’affaire Benalla, montée en neige, a pour première fonction de faire oublier au télézappeur. 
     

    Pauline Mille

    REINFORMATION.TV

     
     
     
     
  • Après l’affaire Benalla, l’affaire Brigitte ?

     

    Les dépenses de la "première dame" détaillées par la Cour des Comptes

    Dans leur rapport annuel sur l’Élysée, les magistrats de la Cour des comptes expliquent ne pas pouvoir chiffrer le coût total de la première dame pour les finances publiques. Mais ils listent quand même toutes les dépenses qui lui sont liées. Le montant dépasse les 280 000 euros par an.

     

    Le passage que la Cour des Comptes consacre à Brigitte Macron débute par un avertissement en forme de déception. Ses magistrat affirment que même si la charte de transparence mise en place par Emmanuel Macron prévoit que la Cour puisse suivre les dépenses de son épouse, « cette forme de comptabilité reste à ce jour insuffisamment développée pour réaliser complètement cet exercice ». Cela n’empêche pas les Sages de la rue Cambon d’aligner les frais et les chiffres.

    Pour commencer, ils rappellent que Brigitte Macron dispose d’un directeur de cabinet et d’un chef de cabinet, ainsi que de deux secrétaires, dont l’une est également affectée au secrétariat du conseiller porte-parole.

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  • " Il y a quelque chose de puéril dans la posture de Macron"

    Ce mercredi, Julien Pearce reçoit Philippe Bas, sénateur LR de la Manche, président de la commission des lois du Sénat pour évoquer l'affaire Benalla.