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L'ONU programme le raz-de-marée... 159 millions d'immigrés d'ici à 2025...
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4 militants renvoyés devant la justice après l'entrée de migrants dans les Hautes-Alpes
Ils ont permis l'entrée d'une vingtaine de migrants en avril.
Quatre militants qui avaient permis l'entrée en France d'une vingtaine de migrants le 22 avril lors d'une marche à Briançon (Hautes-Alpes) seront jugés devant le tribunal correctionnel de Gap le 8 novembre prochain, a indiqué mardi le procureur de Gap.
Ces quatre personnes, une femme et trois hommes âgés entre 22 et 51 ans, avaient été convoqués mardi matin à la gendarmerie de Briançon dans le cadre d'une enquête visant à identifier "les principaux acteurs côté français du passage en force de la frontière du 22 avril", a précisé dans un communiqué Raphaël Balland, le procureur de la République à Gap. Le magistrat a ajouté :
"Les quatre personnes se sont présentées sans contrainte à leurs convocations par les gendarmes mais elle ont refusé de répondre à toutes les questions portant sur les faits au cours de leur garde à vue."
L'un des quatre militants interrogés, qui s'était enfui menottes aux poignets le 22 avril "alors qu'il venait d'être difficilement maîtrisé par plusieurs policiers de Briançon", comparaîtra également pour rébellion.
Les quatre militants – dont deux membres sont issus du conseil d'administration du collectif "Tous Migrants", qui vient en aide aux réfugiés dans la région – étaient entendus sous le régime de la garde à vue pour "aide à l'entrée irrégulière" d'étrangers "en bande organisée".
"Principe de fraternité"
Trois militants – une Italienne, un Suisse et un Belgo-Suisse âgés de 23 à 27 ans – sont déjà poursuivis dans cette affaire. Ils avaient comparu le 31 mai devant le tribunal correctionnel de Gap mais leur procès avait été renvoyé également au 8 novembre dans l'attente d'une décision du Conseil constitutionnel.
Celle-ci a été rendue le 6 juillet : les Sages ont affirmé qu'une aide désintéressée au "séjour" irrégulier des étrangers ne saurait être passible de poursuites au nom du "principe de fraternité". En revanche, l'aide à "l'entrée" irrégulière reste illégale.
Benoit, 48 ans, un des militants convoqués, avant d'entrer dans la gendarmerie :
"J'ai la conscience tranquille, je n'ai rien à me reprocher, on a juste aidé des personnes, le principe de fraternité n'a pas de frontières."
Pour Me Yassine Djermoune, un avocat des mis en cause, les militants y voient "une tentative d'intimidation".
Aucune poursuite pour les identitaires
Le 22 avril, près de 150 militants antifascistes avaient franchi la frontière franco-italienne par les pistes de ski du col de Montgenèvre avec une vingtaine de migrants africains. Après de brefs heurts avec les forces de l'ordre, le cortège avait rejoint Briançon sous escorte.
Le 21 avril, une centaine de militants d'extrême droite de Génération identitaire, agissant sous la bannière du mouvement "Defend Europe", avaient bloqué ce col frontalier voisin pour marquer leur hostilité à l'entrée de migrants. Les jours suivants, ils avaient mené des "patrouilles" dans les vallées de la région, agissements qui font l'objet d'enquêtes diligentées par le parquet de Gap mais aucune poursuite n'a encore été engagée.
A.R.
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FOLHUMOUR
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JT TVL 18 JUILLET 2018
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Poitiers (86) : une jeune femme et son compagnon tabassés pour avoir répondu « Non, vive la France ! » à des individus qui criaient « vive l’Algérie ! »
18h59Si d’autres grandes villes ont connu une nuit beaucoup plus chaude, Poitiers a tout de même été le théâtre d’incidents dans la nuit de dimanche à lundi.
Vers minuit, quartier de Saint-Eloi, deux jeunes gens de 19 ans sont dépassés par une voiture d’où sort un cri : « Vive l’Algérie ! ».
Les passants ont le malheur de répondre « Non, vive la France ». Le conducteur descend, donne un coup de poing à la jeune femme qui tombe au sol. Puis des complices arrivent à pied et frappent son compagnon qui s’en tire avec des bleus sur tout le corps. Il a un arrêt de travail inférieur à 8 jours. Les agresseurs sont recherchés par la police.
Merci à Paladin
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Xavier Moreau analyse la rencontre Trump-Poutine au sommet d'Helsinki
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Clandestins : la Hongrie rejette le pacte mondial des Nations unies sur la migration
16h53Ce mercredi, le gouvernement hongrois a rejeté le pacte mondial sur la migration des Nations unies, avant son approbation finale. Interrogé par Euronews, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, a dénoncé un document « biaisé » et « déséquilibré ». Interview.
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Russie : 100 000 personnes commémorent le centenaire de l'assassinat du dernier tsar Nicolas II
Procession nocturne commémorant l'assassinat du dernier tsar, Nicolas II.Une procession nocturne a réuni à Ekatérinbourg près de 100 000 personnes pour commémorer le centenaire de l'assassinat du dernier tsar Nicolas II et des membres de sa famille après son abdication par les bolchéviques.
A la tête de l'Eglise orthodoxe russe, le patriarche Kirill a guidé une procession nocturne de près de 100 000 personnes, commémorant le centenaire de l'assassinat de Nicolas II et de sa famille. Le 17 juillet, la procession a quitté vers 2h (heure locale) le lieu de l'assassinat, à Ekatérinbourg (Oural), pour rejoindre à pied le monastère de Ganima Iama, situé à 21 kilomètres. Près de 20 000 personnes se sont ensuite jointes aux commémorations dans ce monastère, érigé sur le site où ont été enterrés les dépouilles du dernier tsar et des membres de sa famille après leur exécution par les bolchéviques.
Nous devons vraiment résister à toute idée ou dirigeant qui nous propose, via la destruction de notre vie, de nos traditions et de notre foi, d'adopter un soi disant nouvel avenir inconnu et heureux
La Russie doit tirer des leçons «de cette expérience difficile et amère», a déclaré à cette occasion le patriarche de toutes les Russies, s'adressant aux pèlerins. «Nous devons vraiment résister à toute idée ou dirigeant qui nous propose, via la destruction de notre vie, de nos traditions et de notre foi, d'adopter un soi disant nouvel avenir inconnu et heureux», a-t-il souligné.
Une famille impériale canonisée
Nicolas II, la tsarine Alexandra et leurs cinq enfants ont été fusillés dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 par les bolchéviques qui ont ainsi mis fin à 300 ans de règne des Romanov à la tête de l'Empire russe. La famille impériale a été canonisée en 2000 par l'Eglise orthodoxe russe et en 2008, la Cour Suprême de Russie l'a réhabilitée, la jugeant victime de la répression politique bolchévique.
Découverts en 1979, les ossements de Nicolas II, de sa femme et de trois de leurs enfants ont été inhumés à la forteresse Pierre et Paul de Saint-Pétersbourg en 1998. Retrouvés en 2007 seulement, les restes présumés des deux autres enfants du tsar, Alexeï et Maria, n'ont toujours pas été inhumés, faute d'accord entre les autorités et l'Eglise.
Ce 16 juillet, de nouveaux tests ADN sur les restes de la famille impériale ont confirmé leur authenticité. Un porte-parole de l'Eglise, Vladimir Legoïda, a déclaré que le clergé examinerait «avec attention» ces résultats.
RT
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JT TVL 17 JUILLET 2018
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JT TVL 17 JUILLET 2018
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17 juillet 1918 : le massacre de la famille impériale russe
La famille impériale des Romanov
La chute du Tsar Nicolas II après la révolution de février puis celle d’octobre 1917, la signature du Traité de Brest-Litovsk le 3 mars 1918 qui met fin à la guerre sur le front russe, puis le régime de terreur instauré par les Bolcheviks permettent à Lénine (1870-1924) d’asseoir chaque jour un peu plus son pouvoir.
À l’image des révolutionnaires français face à l’Ancien régime, il s’agit de faire table rase du passé pour créer un nouveau monde, naturellement meilleur que le précédent. Après son abdication, Nicolas II et sa famille sont placés, le 22 mars 1917, en résidence surveillée au Palais Alexandre à Saint-Pétersbourg. Au mois d’août suivant, sur ordre du gouvernement provisoire dirigé par Alexandre Kerenski (1881-1970), la famille impériale est transférée à Tobolsk, en Sibérie, soi-disant pour la protéger des dangers de la Révolution. En réalité, les conditions de détention de Nicolas II et de sa famille ne cessent de se dégrader, au point que leurs membres finissent par partager les rations des soldats qui les gardent. Leur présence agace aussi Lénine qui craint deux menaces : d’abord les armées blanches, favorables au Tsar et qui combattent toujours l’armée rouge; ensuite les puissances étrangères, au premier rang desquelles, l’Angleterre. Le roi Georges V étant le cousin germain de Nicolas II (1), les tentatives d’enlèvement sont toujours possibles.
Entre avril et mai 1918, la famille impériale est rapatriée à Ekaterinbourg, ville réputée pour sa forte assise révolutionnaire. Elle loge dans la villa Ipatiev (2). On pourra ainsi mieux la surveiller. Mais les armées blanches, notamment des unités de la Légion tchèque, arrivent aux portes de la ville et la crainte d’un enlèvement grandit. Le 16 juillet, ordre est donné d’éliminer physiquement la famille impériale. Il est signé, au nom du Soviet régional de l’Oural, par Iakov Sverdlov (1885-1919) (3). Officiellement, Lénine n’est au courant de rien… Mais Léon Trotski (1879-1940) affirmera plus tard le contraire.
Vers minuit, on réveille le Tsar et sa famille. Le geôlier, Iakov Iourovski (1878-1938) aurait indiqué à Nicolas II : « Nikolaï Alexandrovitch, les vôtres ont essayé de vous sauver, mais ils n’y sont pas parvenus. Et nous sommes obligés de vous fusiller. Votre vie est terminée ». On les conduit dans la cave de la villa et la quinzaine de soldats présents abattent le Tsar, sa famille et les membres de sa suite. Ils sont plus assassinés qu’exécutés. Plusieurs d’entre eux sont littéralement terminés au couteau ou à la baïonnette. Puis les onze corps (4) sont emportés jusqu’à un puits de mine avant d’être repêchés pour être brûlés. En vain. Finalement les corps sont aspergés d’acide sulfurique pour empêcher toute reconnaissance.
Par la suite, les restes de la famille impériale sont retrouvés dans une fosse commune d’Ekaterinbourg en 1991 puis identifiés grâce à des tests ADN. Les onze martyrs du 17 juillet ont été canonisés par l’Église orthodoxe en 2000.
Un siècle plus tard, l’enquête criminelle n’est toujours pas officiellement close et il y a toujours des révisionnistes communistes pour affirmer que la famille impériale n’a pas été massacrée sur ordre des Bolcheviks…
1 Leur ressemblance est à ce point frappante que l’on croirait deux frères jumeaux.
2 Elle a été démolie en 1977.
3 C’est en son honneur qu’Ekaterinbourg sera rebaptisée en 1924 Sverdlovsk.
4 Ceux de Nicolas II et sa famille (sept personnes) auxquels s’ajoutent ceux de sa suite (femme de chambre, valet de pied, médecin et cuisinier) -
En France, fêter la victoire voudrait donc dire aussi… agresser les femmes ?
Le Point, France Info, BFMTV, Le Parisien, Le JDD, Closermag, le Dauphiné, Madmoizelle, Madame Figaro, l’Obs… la liste des journaux évoquant cet épineux sujet s’allonge, même si une fois de plus, ce ne sont pas eux qui ont levé le lièvre mais les réseaux sociaux : sur Twitter, pour rassembler les nombreux témoignages livrés ça et là de façon désordonnée, a été lancé le hashtag #MeTooFoot. Vous avez compris.
Nombre de jeunes femmes qui avaient souhaité se joindre à la foule dimanche soir, dans les bars ou sur les Champs-Élysées ont vite déchanté et rebroussé chemin. Quand elles le pouvaient encore : « La coupe du monde m’a rappelé qu’en tant que femme, je reste parfois une proie », « je me débattais en pleurant », « Je le repousse, il me prend par le cou en me disant : c’est la victoire, qu’est-ce que tu attends ? » , « Je suis mal, très mal », «j’avais envie de pleurer d’énervement ».
Voilà. L’écriture inclusive n’y peut rien. L’éradication des cartables roses non plus. Tous les bouquins de Marlène Schiappa encore moins : le premier droit de la femme devrait être celui d’évoluer librement où elle veut, dans la rue, les bars ou les transports en commun, quand elle veut, le matin, dès potron minet ou le soir, entre chien et loup, et si cela lui chante. Mais l’égalité entre homme et femme ne peut se concevoir que si une toute petite chose, purement matérielle, qui fait défaut à cette dernière et que l’on appelle la force physique, n’est pas toute puissante dans l’espace public. Et elle le devient sitôt qu’une société, par laxisme, paralysie, inconscience, idéologie, retourne à la loi de la jungle autrement appelée… celle du plus fort.
Mais que croyait-on, au juste ? Que des petites frappes alcoolisées et agressives, cognant les passants, défiant les forces de l’ordre, saccageant les voitures, brisant les devantures et pillant les magasins allaient s’incliner, devant les jeunes filles en fleur, comme des gentlemen déférents : « mais après vous, mademoiselle ! ».
Prise en étau entre une population masculine autochtone biberonnée à l’école libertaire – qui a dérégulé les relations hommes-femmes pour une plus grande fluidité du commerce sexuel (au vieux sens du terme), comme l’école libérale a dérégulé les relations marchandes pour une plus grande fluidité du commerce tout court, conduisant, dans l’un et l’autre cas, à plus de brutalité et moins de protection pour le (la) plus faible -, et une population masculine allochtone dont le regard sur la femme n’est pas culturellement le nôtre – et qui jauge péremptoirement la vertu de celle-ci à l’aune de critères qui nous sont étrangers -, ne pouvant compter, pour plaider sa cause en haut lieu, que sur un bataillons de féministes sourdes et aveugles à cette enclume comme à ce marteau, la femme est parfois, disons-là, bien seulette. Et le soir de la coupe du monde, elle n’était pas à la fête. Comment s’en étonner ?
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Légion d’honneur pour les Bleus : «Les soldats la méritent plus que nous», estime Olivier Giroud
17h31Les joueurs de l’équipe de France championne du monde vont recevoir la Légion d’honneur. Lundi, les services de l’Elysée ont indiqué qu’elle ne leur sera remise que dans quelques mois. Les coéquipiers d’Hugo Lloris seront donc récompensés d’une des plus hautes distinctions de la République, à l’instar des champions du monde 1998, emmenés alors par Didier Deschamps.
Interrogé sur BFMTV à l’hôtel de Crillon mardi matin, Olivier Giroud a donné son sentiment à propos de cette décoration. « Cela représente beaucoup, ça veut dire que l’on a fait beaucoup pour le pays. C’est une chance, un privilège. Je pense surtout aux combattants de la guerre qui la méritent bien plus que nous. Je la prendrai avec plaisir et je vais la bichonner », a conclu l’attaquant des Bleus.
Dans le même entretien, Olivier Giroud est revenu sur les festivités de lundi et notamment la descente des Champs Elysées dans un bus à impériale.
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L’affligeant bilan de quatre « soirées festives » à Paris, par Pierre Malpouge
Les nuits de fête se suivent et se ressemblent. Qu’il s’agisse des deux nuits de la fête nationale des 13 et 14 juillet, ou de celles des 15 et 16 juillet célébrant la victoire des Bleus, les fêtards et les racailles ayant envahi l’avenue des Champs-Elysées à Paris et les rues adjacentes, ont laissé éclater leur joie, de façon parfois très violente.
Telles les fourmis ravageuses et détruisant tout sur leur passage du film Quand la Marabunta gronde, les « poètes » du ballon rond s’en sont donné à cœur joie en matière de casse et d’exactions diverses et variées. Voitures brûlées, magasins pillés, mobilier urbain saccagé, vitrines brisées, agressions, heurts avec les forces de l’ordre, le volet « gentil » de la fête aura été de courte durée.
Noyés dans une foule immense, les casseurs ont en effet investi les Champs-Elysées où s’étaient massées des centaines de milliers de personnes.
Dimanche soir, quelque 845 voitures étaient déjà parties en fumée. La veille au soir, 508 personnes avaient été placées en garde à vue suite à ce que l’on nomme « incidents », du côté de la Place Beauvau.
« Compte tenu de la foule présente et malgré des débordements inacceptables, on doit enregistrer un bilan mesuré », a souligné pour sa part le préfet de Paris, Michel Delpuech, heureux récipiendaire de la Légion d’honneur (promotion du 14 juillet).
45 policiers et gendarmes ont été blessés. Gaz lacrymogènes et engins lanceurs d’eau ont répondu aux jets de bouteilles ou de chaises.
Mêmes débordements festifs dans la nuit de lundi à mardi aux abords de l’Hôtel Crillon (place de la Concorde) où des « supporters » énervés d’attendre l’apparition des « héros » se sont frottés aux forces de l’ordre. Ce mardi à 6 h du matin, la carcasse calcinée d’une voiture continuait à fumer à quelques pas de l’Olympia.
Ailleurs en Ile-de-France, 24 voitures ont brûlé en Seine-Saint-Denis, des voitures ont également été incendiées en Seine-et-Marne et dans le Val-de-Marne. Dans le Val-d’Oise, une cinquantaine de personnes ont été interpellées tandis qu’en Essonne, incendies en série et affrontements entre bandes et policiers se sont déroulés.
Ce type de « joyeusetés » se décentralise désormais un peu partout en France.
L’alcool et la stupidité ont aussi été à l’origine d’accidents graves, voire mortels : à Saint-Félix (Oise), un automobiliste qui hurlait sa joie en conduisant est décédé après avoir percuté un platane. En Meurthe-et-Moselle, trois enfants ont été percutés par une moto. A Aubenas (Ardèche), trois piétons ont été heurtés par un automobiliste. A Annecy, un homme s’est noyé après avoir sauté dans un canal presque à sec…pour manifester sa joie. A Marseille, plusieurs « incidents » entre supporters et forces de l’ordre ont éclaté autour du Vieux-Port. Même chose à Nantes, à Ajaccio, à Strasbourg ou encore à Rouen. Mais comme le disent les autorités, toutes ces joyeuses soirées se sont globalement déroulées de manière très festive partout en France.
Pierre Malpouge
Article paru dans Présent daté du 17 juillet 2018
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Anniversaire de Jean-Marie Le Pen (90 ans) et les Brigandes !
Prédédé une introduction de Jean-Maris LE PEN
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Des Bleus dans les yeux: victoire et désespoir…
Protocole et "débordements" ont un peu terni la fête qui se voulait populaire