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Blog - Page 450

  • Cent mille Polonais, principalement des jeunes, ont manifesté leur patriotisme le 11 novembre à Varsovie

    http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/12-11-2015/cent-mille-polonais-principalement-des-jeunes-ont-manifeste-leur-patriotisme-le-11-novembre-a-varsovie#.VkUDDZWFOM8

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    NDF

  • Migrants : l'UE débloque 1,8 milliard pour l'Afrique

    http://www.leparisien.fr/international/migrants-l-union-europeenne-debloque-1-8-milliard-pour-l-afrique-12-11-2015-5270177.php

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  • La Question du jour

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    Le Parisien

  • Pays-Bas: Wilders veut fermer les frontières pour arrêter l'invasion islamique

    http://www.fdesouche.com/667391-pays-bas-wilders-veut-fermer-les-frontieres-pour-arreter-linvasion-islamique

    VIDEO

  • VIDEOS - Calais: troisième nuit d'affrontements

    http://www.fdesouche.com/666773-calais-62-violences-entre-migrants-et-forces-de-lordre-16-policiers-blesses

  • Régionales : Valls favorable à la fusion des listes « républicaines » en Nord-Picardie. «Il faut assumer l’UMPS» (MàJ)

     

    20h37

    Manuel Valls prépare le terrain et les esprits depuis plusieurs jours. [...] Avec la proposition d’une fusion, il garde sous le boisseau l’hypothèse du retrait des listes de gauche, que redoutent tous les élus locaux. La manœuvre a pour but de reporter sur la droite la responsabilité morale de faire barrage à l’extrême droite.

    « Compte tenu du danger Le Pen, il faut assumer l’UMPS, l’UMPS c’est l’équivalent chez les autres pays européens des grandes coalitions », explique-t-on dans l’entourage du premier ministre.

    Celui-ci cite souvent le cas de l’Allemagne, où Angela Merkel résiste à la montée de l’extrême droite en s’appuyant habilement sur une alliance de circonstance avec les sociaux-démocrates du SPD. Ce faisant, il commence à construire sa posture de l’entre-deux tours : celle du responsable politique qui aura tout tenté pour empêcher le FN d’arriver au pouvoir, face à une droite présentée comme irresponsable. [...]

    source


    Décidé à tout faire pour empêcher Marine Le Pen de prendre la région Picardie-Nord-Pas-de-Calais – celle où le Front national est selon lui le plus dangereux – le Premier ministre Manuel Valls affirme à qui veut l’entendre qu’il ne faut « rien exclure ».

    Certes, il reste pour l’instant prudent : il dit attendre (avec impatience) les futurs sondages pour voir si la tête de liste PS Pierre de Saintignon décolle ou non et considère de toute façon que seuls les résultats du premier tour des régionales permettront de fixer définitivement une stratégie. Mais en attendant, Manuel Valls préfère anticiper et lancer le débat plutôt que de devoir improviser au soir du 6 décembre.

    Valls doute par ailleurs que le retrait de l’une au l’autre des listes, de droite ou de gauche, serait la bonne parade pour éviter une victoire de la patronne du FN. D’autant que le PS ou LR pourraient en se retirant s’exposer à une « double peine » : n’avoir aucun élu pendant six ans dans une région qui serait néanmoins dirigée par le FN. Il penche donc pour la fusion des deux listes républicaines entre les deux tours.

    « C’est extrêmement difficile mais la question de la fusion, il faudra la poser », confie le Premier ministre à ses visiteurs.

    source

  • La Chanson de Craonne

    E&R

  • Clandestins: la Suède rétablit ses frontières

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/11/97001-20151111FILWWW00218-migrants-la-suede-retablit-ses-frontieres.php

  • Terrorisme. Valls: "Notre main ne tremblera jamais"

    Manuel Valls a affirmé ce mercredi que les autorités assurent "avec beaucoup de force et d'autorité" la sécurité des Français contre la menace terroriste, après l'arrestation d'un homme soupçonné d'avoir voulu attaquer des militaires à Toulon.

    "Tous les jours, nos services de renseignement, les policiers, les gendarmes, sont mobilisés, interpellent, arrêtent, font en sorte qu'on incarcère ceux qui menacent par des actions, des projets terroristes, notre pays et les Français", a déclaré le premier ministre sur France 2.

    "Nous assurons avec beaucoup de force et d'autorité la sécurité des Français et nous en faisons aujourd'hui la démonstration", a poursuivi Manuel Valls, qui s'exprimait avant les cérémonie du 11 novembre sur les Champs-Elysées. "Il n'y a pas de risque zéro. Il y a toujours une menace terroriste particulièrement importante, mais nous combattons ce terrorisme à l'extérieur, en Syrie, en Irak (...) mais aussi bien sûr en France", a-t-il poursuivi.

    "Face à cette menace nous serons toujours particulièrement engagés et notre main ne tremblera jamais", a conclu le premier ministre.

    De son côté le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a redit que le "niveau de vigilance était absolu". Il a précisé que le suspect interpellé l'avait été au terme d'une enquête méticuleuse. Et de souligner que ce "suivi" attentif des risques terroristes a abouti au fil de ces derniers mois à près de 300 interpellations et 150 incarcérations.

    LE FIGARO

     

  • Attentat déjoué à Toulon: le profil du commanditaire se précise

    Les enquêteurs tentent d'identifier le djihadiste de Daech qui aurait poussé Hakim Marnissi à passer à l'acte. Il s'agirait d'un Français, Mustapha Mojeddem.

     
     

    Un attentat visant une fois encore des soldats français a été déjoué à Toulon. Le 29 octobre, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a interpellé Hakim Marnissi, un Français de 25 ans, alors qu'il venait de tenter de se procurer des armes pour attaquer la base navale de la ville afin d'assassiner des militaires de la marine nationale. «Des morts ont été évités grâce à l'intervention des services spécialisés», considère un membre de l'entourage de Bernard Cazeneuve, qui insiste sur le «profil particulièrement déterminé et les connexions à l'étranger» du djihadiste présumé. Selon l'enquête, Hakim, natif de Toulon, était dans les radars de la DGSI depuis l'été 2014, lorsqu'il a commencé à poster sur Facebook de véhéments messages de soutien aux combattants volontaires engagés dans les zones de combat syro-irakiennes sous la bannière de Daech. «Il s'est radicalisé de manière fulgurante, confie au Figaro une source informée. Après avoir rompu de manière progressive avec sa famille et son entourage proche, il s'est muré dans une attitude silencieuse, puis de repli identitaire.» Au gré des surveillances, les policiers ont intercepté des messages électroniques qu'il échangeait avec des djihadistes français actuellement en Syrie.

    Désireux de passer lui aussi à l'action, Hakim Marnissi, sans antécédents judiciaires, a songé dans un premier temps à acheter une arme à feu, peut-être de type kalachnikov, avant de renoncer à ce projet faute de disposer de relais dans le milieu délinquant local.

    Obstiné, il a donc entrepris de passer commande, via Internet, pour se procurer depuis la Chine un couteau de combat avec poing américain intégré ainsi que deux cagoules qui devaient être livrés à son domicile. «Mais l'un des deux colis, légèrement éventré lors de l'acheminement, a attiré l'attention», assure un fonctionnaire de haut rang. Appréhendé dans le foyer où il vivait, Hakim a indiqué après son interpellation que son souhait premier était de partir faire le djihad en Syrie, ce dont il a été empêché à deux reprises au cours de l'année écoulée. De fait, il faisait l'objet d'une interdiction de sortie du territoire ayant été prononcée en avril et renouvelée cet été

    Il aurait donc décidé «par défaut» d'agir sur le sol français, reconnaissant avoir voulu frapper «un ou plusieurs marins de la base de Toulon». Le port militaire abrite la majeure partie de la force d'action navale, y compris le porte-avions Charles-de-Gaulle ainsi que les sous-marins nucléaires d'attaque. Près de 12.000 personnes travaillent pour l'arsenal. Toujours selon cette même source, le jeune radicalisé «attendait de recevoir son armement pour mettre sur pied un plan d'attaque plus précis». Au terme de sa garde à vue, il a été mis en examen le 2 novembre dernier pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et écroué.

    Au moins un correspondant en Syrie

    Au dernier stade des investigations de la DGSI, aucun élément ne permet de caractériser un voyage en Syrie, ni a priori une quelconque complicité sur le sol français. En revanche, les policiers multiplient les recoupements techniques pour tenter d'identifier l'un de ses correspondants en Syrie, membre de l'EI et qui l'aurait «incité à passer à l'acte». Il s'agirait d'un djihadiste français, Mustapha Mojeddem, qui se trouve en Syrie depuis environ un an, mis en examen et écroué quelques mois auparavant pour avoir proféré de violentes menaces contre Charlie Hebdo dès 2012. Lui aussi originaire de Toulon, il aurait par ailleurs été en lien avec la cellule islamiste démantelée de Cannes-Torcy dont certains membres auraient eu, déjà, des projets d'attentat visant des militaires.

    Cette affaire ciblant des marins français intervient alors que la France a décidé de déployer le Charles-de-Gaulle pour participer aux opérations contre le groupe État islamique (EI). Elle intervient cinq mois après un autre attentat déjoué visant l'armée française sur notre territoire. À la veille de la fête nationale, la DGSI avait neutralisé un commando de trois hommes qui voulait mener une sanglante équipée contre le Centre national d'entraînement commando de l'armée de terre implanté dans l'enceinte du fort Béar, près de Collioure (Pyrénées-Orientales). Le groupe, dans lequel figurait un matelot révoqué, voulait décapiter un officier. Et il était lui aussi en lien avec un combattant de Daech en Syrie.

    Après avoir félicité la DGSI pour son travail, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a rappelé mercredi que «Chaque jour nous procédons à des arrestations», «chaque jour nous démantelons des filières», «chaque jour nous mettons hors d'état de nuire des individus qui veulent nous frapper». Selon un dernier bilan établi par le ministère de l'Intérieur, la DGSI a déjà procédé à 370 interpellations depuis 2013.

    LE FIGARO

  • Florian Philippot sur Stra&sTV Strasbourg: débat des Régionales Grand - Est 2015


    Débat Régionale Grand-Est 2015 ALCA par StrasTv

    Florian Philippot, Candidat-tête de liste dans la région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, était l’invité de StrasTV Strasbourg pour le débat des Régionales Grand-Est 2015.
    Avec les têtes de liste Grand Est : Sandrine Bélier (EELV), Jean-Pierre Masseret (PS, PR), Philippe Richert (LR, UDI Modem), et Jean-Georges Trouillet (Unser Land)
    Débat animé par Caroline Kellner, France 3 Alsace, avec des étudiants de SciencesPo Forum et de l’ ADEJ.

  • " Rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois ! "

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    Exclusif : Boulevard Voltaire a pu se procurer l'intégralité de l'intervention d'Eric Zemmour à la barre.

    Journaliste et écrivain
     
    On est en guerre civile larvée !
     

    En 2014, alors qu’il faisait la promotion de son livre Le Suicide français, Éric Zemmour avait donné une interview au journal italien Corriere della Sera, dans laquelle il affirmait notamment que les musulmans « ont leur Code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les périphéries », si bien que « les Français ont été obligés de s’en aller ». Bien entendu, le polémiste a immédiatement été poursuivi pour provocation à la haine raciale. Son procès s’est déroulé vendredi dernier. Boulevard Voltaire était présent à l’audience et a pu se procurer l’intégralité de son intervention à la barre, que nous reproduisons ci-dessous. Délibéré attendu le 17 décembre 2015.

    C’était il y a près de cent ans. La Première Guerre mondiale venait de s’achever. Le traité de Versailles avait été signé. Un grand économiste, le plus grand de son temps, l’Anglais John Maynard Keynes, publiait un ouvrage, Les Conséquences économiques de la paix, pour expliquer que la France et les vainqueurs avaient été trop durs envers l’Allemagne vaincue, et qu’en particulier celle-ci ne pourrait jamais payer les énormes réparations pécuniaires réclamées. Un grand historien français, journaliste de profession, Jacques Bainville, lui répondit dans un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix. Il expliqua au contraire que le traité de Versailles avait été, selon sa célèbre formule qu’on apprenait naguère dans les cours d’histoire, « trop mou pour ce qu’il avait de dur et trop dur pour ce qu’il avait de mou ». Mais cet affrontement de points de vue sur le traité de Versailles n’intéresserait plus aujourd’hui que les historiens si, dans son livre, Jacques Bainville n’avait, avec une prescience extraordinaire, annoncé tous les événements qui conduiraient à la guerre, la remilitarisation de la Rhénanie, l’Anschluss avec l’Autriche, le dépeçage de la Tchécoslovaquie, le pacte germano-soviétique et l’attaque de la Pologne, avant celle de la France et de l’Angleterre.

    Jacques Bainville prophétisait ces événements en 1920 alors même qu’Hitler n’était encore qu’un peintre raté. À l’époque, Bainville fut violemment attaqué par les Anglais et Keynes bien sûr, mais aussi et surtout par la gauche. Sa proximité avec l’Action française en faisait une cible facile. Il fut moqué, insulté, accusé d’être germanophobe, xénophobe, belliciste. Toute la gauche l’accusait de monter les Français contre les Allemands, de pousser à une nouvelle guerre, d’être un criminel, alors qu’il voulait seulement mettre en garde ses compatriotes contre les illusions et la naïveté. Il en tira une leçon que je vous livre : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés. »

    Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots qu’on n’avait pas prononcés, qu’on n’avait même pas entendus. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i>Télé, parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.

    Il ne savait pas que la gauche, la gauche bien-pensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Bien sûr, il ne s’agit plus de condamner le chevalier de La Barre parce qu’il n’a pas ôté son chapeau devant une procession catholique. Mais il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences.

    Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés.

    Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée. La cible privilégiée parce que mes livres ont beaucoup de succès, parce que mes interventions sont regardées, écoutées. Mes adversaires croient que je suis un danger parce que je convaincrais les Français alors que ce sont les Français qui reconnaissent en moi ce qu’ils pensent tout bas. Illusions du nominalisme !

    Quand l’historien Georges Bensoussan dit dans Le Figaro : « Nous sommes en train d’assister en France à l’émergence de deux peuples, au point que certains évoquent des germes de guerre civile », que dit-il de différent de moi ? Quand il évoque le témoignage de policiers, d’élus, de médecins aux urgences, « le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd’hui partagé par beaucoup », pourquoi lui et tous ces témoins ne sont pas traînés comme moi devant ce tribunal ?

    Il y a quelques mois, lors d’un autre procès – puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice -, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Est-ce qu’il a enfin décidé de ne plus instrumentaliser une loi pleine de belles intentions pour en faire une arme politique ? Est-ce qu’il a enfin compris que son rôle était non pas de criminaliser les opinions dissidentes mais de protéger les citoyens contre les voyous, et accessoirement de respecter la liberté de pensée et d’opinion en France, un de nos acquis les plus précieux hérités des générations précédentes ? Est-ce que ces messieurs-dames du parquet ont admis, enfin, qu’ils n’étaient pas là pour imposer l’idéologie politique de leur ministre, aussi charismatique soit-elle, de leur syndicat, aussi impérieux soit-il, ou plus prosaïquement leurs propres convictions politiques, aussi légitimes soient-elles ?

    Quand le ministre de la Justice – madame Taubira, pour ne pas la nommer -, avertit dans une interview qu’il faudra compter de plus en plus avec les « gens comme nous, car ils seront de plus en plus nombreux », que fait-elle d’autre sinon opposer une partie des Français à une autre, séparés par l’origine, la race, la religion ? Est-ce que le parquet a dit quelque chose ? Quand le Premier ministre parle d’apartheid, ne fait-il pas référence à la séparation géographique de deux peuples, selon le modèle des Blancs et des Noirs en Afrique du Sud ? Séparation géographique, raciale, culturelle, avec chacun ses règles, ses lois. Je n’ai pourtant pas entendu une plainte du parquet.

    Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?

    À toutes ces questions, je connais déjà la réponse. Le parquet s’est empressé de faire appel de la décision de relaxe dont j’ai bénéficié il y a quelques semaines. Et m’a poursuivi pour mes propos dans le Corriere della Sera. Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard.

    BdV

    (merci à Dirk)

     

     

  • TCHO

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  • Entretien avec Me Olivier Pardo, avocat d'Eric Zemmour

    « Zemmour est inclassable, et donc insupportable pour ses adversaires ! »

     

    Vendredi dernier s’est déroulé le septième procès contre Éric Zemmour pour provocation à la haine raciale. Son avocat, Olivier Pardo, répond aux questions de Charlotte d’Ornellas pour Boulevard Voltaire.

    Très intéressant sur la justice et la politique!

  • Nicolas Bedos relaxé: pas d'injure raciale...

    http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/nicolas-bedos-reconnu-coupable-de-second-degre-pas-d-injure-raciale-7780456771

     

  • Soutien à la Hongrie de Viktor Orban !

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    Ecrit le 9 nov 2015 à 12:45 par Christian Vanneste dans Poing de vue

     
     




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    Samedi, j’ai répondu, en tant que président du RPF à l’invitation de Karim Ouchikh et Frédéric Pichon, respectivement président et vice-président du SIEL (Souveraineté, Indépendance, Et libertés), ce parti fondé par un autre gaulliste, et ami, Paul-Marie Couteaux. Nous nous sommes retrouvés square Foch à Paris à côté de l’Ambassade de Hongrie et devant un millier de personnes pour dire notre soutien à la Hongrie et à la politique menée notamment contre la déferlante migratoire par son Premier Ministre, Viktor Orban. De très nombreux policiers, sans doute plus utiles pour lutter contre la délinquance, encadraient la manifestation. Cette très coûteuse démonstration de force avait-elle pour but de souligner le caractère extrémiste du rassemblement ? Pas de chance ! Les amis que j’y ai retrouvés et qui ont comme moi pris la parole témoignaient au contraire d’un regroupement de personnalités de droite, certes, mais venus d’horizons divers, et qui se réunissaient à l’appel du bon sens face à l’effondrement de l’Europe, et singulièrement de la France en son sein. Etaient présents Charles Beigbeder pour l’Avant-Garde, François Billot de Lochner qui préside aux destinées de la Fondation de Service Politique, un mouvement chrétien inspiré par la Doctrine sociale de l’Eglise, Roland Hureaux, ce gaulliste qui au sein du RPF conseilla Charles Pasqua. Renaud Camus, le théoricien lucide du « grand remplacement », Pierre Cassen et Christine Tasin de Riposte Laïque étaient au premier rang, mais n’ont pas pris la parole. Voici en substance la déclaration que j’ai faite lors de cette manifestation :

    » Nous sommes rassemblés ici pour exprimer notre soutien à la Hongrie, à la Hongrie de Viktor Orban.

    D’abord, parce que la Hongrie est la championne de la liberté. En 1956, dans les rues de Budapest, les Hongrois se sont révoltés et ont renversé la dictature communiste et fait vaciller l’empire soviétique avant que celui-ci n’écrase la révolution et ses partisans sous ses chars. Le 19 Août 1989, c’est encore la Hongrie qui a soulevé le rideau de fer, et qui a entamé l’effondrement du bloc de l’Est. A Sopron, un pique-nique pan-européen, organisé à l’instigation de Otto de Habsbourg, se tenait aux abords immédiats de la frontière autrichienne. De nombreux Allemands de l’Est en ont profité pour gagner la liberté sans que les Hongrois s’y opposent. Le « mur de Berlin » était condamné. On dira que la Hongrie de l’époque ouvrait ses barrières et que maintenant elle les ferme. Il est clair pourtant que dans les deux cas, le but est la liberté. Dans le premier, il s’agissait de permettre à des Allemands de rejoindre la partie libre de leur pays. Dans le second, il s’agit d’empêcher une masse de migrants d’envahir l’Europe. On parle de 3 millions d’ici 2017. Ces immigrants ne sont pas tous des réfugiés syriens, mais dans leur quasi-totalité, ils sont de confession musulmane, et véhiculent des pratiques culturelles étrangères à l’Europe, et à ses valeurs. Certains d’entre-eux peuvent demain se révéler des terroristes fanatiques. La liberté pour un peuple, c’est aussi de préserver son identité, sa manière de vivre et sa sécurité, la première des libertés. Pour le 20e anniversaire du pique-nique de Sopron, Mme Merkel avait déclaré : « l’Allemagne remerciera toujours le peuple hongrois pour son courage ». Quand on perçoit le trouble qui a saisi la Chancelière, débordée par les conséquences de son encouragement irresponsable aux « réfugiés », on peut penser qu’elle devrait remercier la Hongrie pour sa clairvoyance.

    Mais la Hongrie est aussi la championne de la démocratie contrairement à ce que laissent entendre l’oligarchie européenne et e microcosme médiatique français. Le gouvernement de Viktor Orban est soutenu d’abord par son parti, le Fidesz, l’Alliance des Jeunes Démocrates fondée sous le régime communiste, devenue « Union Civique », un parti de centre-droit traditionnellement uni aux démocrates-chrétiens. La présence dans son opposition de Jobbik, une formation d’extrême-droite clarifie les choses. Fidesz est un parti politique de droite, avec les idées qui devraient partout réunir la droite : le conservatisme des valeurs morales et culturelles, le libéralisme économique, le patriotisme. Ce n’est pas Fidesz qui est étonnant, mais ce que sont devenus les partis qui se prétendent « de droite » chez nous et qui ne sont plus que des officines de placement de carriéristes sans conviction. Largement majoritaire pour la seconde fois, il représente légitimement le peuple hongrois. Peu de gouvernements européens obligés à des alliance de circonstance ou très minoritaires dans l’opinion peuvent en dire autant. Mais au-delà des chiffres, la démocratie , c’est aussi respecter le « démos », le peuple, ce qu’il est et ce qu’il veut. Or, les technocrates européens et les lobbys qui les orientent, non seulement n’ont aucune légitimité populaire mais leur action consiste au contraire à effacer les frontières nationales jusqu’aux confins de l’Europe élargie que les pays qui les bordent sont incapables de contrôler. Non contents de faire de l’Europe un ectoplasme géographique soumis à toutes les pressions, ils ont aussi entrepris de gommer son identité. Le valeurs chrétiennes, celles du mariage et de la vie plus particulièrement, sont inscrites dans la Constitution hongroise. Elles ne l’ont pas été dans le projet de constitution européenne.

    Enfin, la Hongrie est encore la championne du bon sens, ce bon sens auquel se référait le général de Gaulle en Juin 1940. Jean-Claude Juncker, qui préside la Commission Européenne après avoir dû quitter son poste de 1er Ministre du paradis fiscal luxembourgeois, depuis peu effacé de la liste grise, est assez mal placé pour donner des leçons à la Hongrie. Selon lui, « il n’y a plus de place en Europe pour des barrières ». Depuis la sentence du « grand homme », on remarquera que les frontières intra-européennes ont repris du service, en Allemagne même pour faire le tri entre migrants et réfugiés, en France sous prétexte de COP 21. Notre continent uni, fort de ses plus de 500 millions d’habitants, n’est pas capable de protéger ses frontières extérieures, mais surtout, il n’a ni la volonté ni le courage d’adopter une politique indépendante de celle des Etats-Unis, notamment au proche et moyen Orient. Face au chaos installé par les Etats-Unis dans le monde arabe, l’Europe est quasi-absente sur le plan militaire, mais notre Union, cette démocratie en trompe-l’oeil, n’hésite pas elle-même ou à travers ses membres à condamner le régime syrien tout en faisant les yeux doux à la Turquie, et même aux monarchies wahhabites du Golfe, comme si elles étaient plus fréquentables. L’Union Européenne avait un projet originel bâti par des Chrétiens comme Adenauer, Schuman et de Gasperi. Elle lui tourne aujourd’hui résolument le dos et c’est pour offrir son ventre mou à une immigration qu’elle ne contrôle pas et qu’elle n’assimilera pas.. La Hongrie, comme d’autres pays de l’Est de l’Europe est au contraire attachée à une identité qu’elle a reconquise après en avoir été privée pendant des décennies par les communistes. C’est pourquoi elle nous montre la voie de la résistance. Nous devons l’y rejoindre. Bien sûr, qui dit résistance dit aussi traîtres et collaborateurs qui encombrent les allées des pouvoirs politiques et médiatiques. Il faut les combattre !

    La Hongrie appelle les Européens à se lever pour défendre leurs libertés et leur identité. Nous devons la soutenir. »

    NDF

  • En Allemagne, un best-seller un temps oublié mais jamais interdit

     
    Nathalie Versieux
    Varia
    Succès de librairie dans les années 30, «Mein Kampf» a été remisé dans les greniers allemands après-guerre. Le texte, qui tombera dans le domaine public en 2016, sera réimprimé dans une version commentée.

    Après son départ de l’armée, le 31 mars 1920, Adolf Hitler n’a plus de revenus réguliers. Les quelques articles qu’il publie dans le Völkischer Beobachter, l’organe du NSDAP (le Parti national-socialiste), ne lui suffisent pas pour vivre. Hitler dépend financièrement de quelques riches mécènes munichois, convaincus par la cause nationale socialiste. Conscient de son potentiel de séduction auprès du public - lorsqu’il est à la tribune, les conférences données par le parti provoquent un afflux inhabituel malgré le prix élevé du ticket d’entrée - Hitler profite d’un séjour en prison en 1924-1925, à la suite de sa tentative de putsch manquée, pour rédiger un ouvrage «qui n’a d’autre but que de faire un maximum d’argent», dira l’un de ses proches, Julius Schaub. Le directeur de la prison, Otto Leybold, dira pour sa part au sujet de son illustre prisonnier : «Il mise sur une forte diffusion du livre et espère pouvoir réaliser les dépenses qu’il a en vue grâce à la vente de l’ouvrage.»

    Le premier tome sort en juillet 1925, le second en décembre 1926. Les deux ouvrages adoptent vite le format usuel de la Bible, 12 x 18,9 cm. Pendant les vingt années d’édition (de 1925 à 1945) le texte est régulièrement revu et corrigé. Au point que les éditions des années 40 n’ont plus grand-chose à voir avec le texte des années 20.

    Cadeau de mariage.

    Douze millions d’exemplaires ont été vendus du temps de Hitler, devenu ainsi millionnaire. Le contrat signé avec l’éditeur lui accorde 2 Reichsmark par exemplaire vendu, près de 20 % du prix de vente. Hitler n’a jamais payé un mark d’impôt sur ces revenus. Le succès commercial du livre, vendu à 240 000 exemplaires à l’arrivée au pouvoir de l’auteur en 1933, puis à 854 000 exemplaires entre janvier et novembre 1933, est assuré : nombre de municipalités achètent l’ouvrage pour l’offrir aux jeunes époux en cadeau de mariage. Aujourd’hui, les historiens s’accordent pour penser que, jusqu’en 1945, les Allemands avaient bien Mein Kampf sur une étagère mais que peu d’entre eux avaient lu ce livre indigeste, mal écrit et ennuyeux.

    A la défaite de l’Allemagne, Mein Kampf - dont la possession n’a jamais été formellement interdite - disparaît dans les caves et les greniers. Aujourd’hui encore, des exemplaires poussiéreux et oubliés, parfois dédicacés, ressurgissent au moment des partages d’héritage. Nombre d’exemplaires des éditions originales restent disponibles sur Internet ou chez les bouquinistes, de même que quantité de traductions. Contrairement à ce que prétendent les néonazis, soucieux de pointer du doigt les «limites de la soi-disant démocratie», la possession du livre n’a jamais été réprimée. Qui veut lire Mein Kampf a toujours pu se procurer l’ouvrage pour quelques euros. L’édition du livre a par contre été longtemps interdite en Allemagne.

    Domaine public.

    En 1948, les Alliés ont confié au ministère des Finances du Land de Bavière, où Hitler a toujours été officiellement domicilié, l’embarrassante gestion de son «œuvre» jusqu’en janvier 2016. Sa mission, éviter une réimpression. Depuis, le Land a mené un combat acharné contre toute publication, au nom du respect des victimes du nazisme et de peur qu’une réédition ne soit mal interprétée à l’étranger. Mais les écrits de Hitler, comme ceux de n’importe quel auteur, tomberont dans le domaine public fin 2015, soixante-dix ans après sa mort. La Bavière s’est donc résolue, début 2014, à approuver l’édition d’une version pédagogique de l’ouvrage, agrémentée de commentaires d’historiens, pour éviter que l’extrême droite ne s’en empare.

    source

    Libération :: lien

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