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Blog - Page 455

  • Don du sang ouvert aux homosexuels: Marisol Touraine veut rassurer les receveurs

    Une contamination du sang au VIH et à l'hépatite B et C est toujours possible.

  • Les homosexuels vont pouvoir donner leur sang, sous certaines conditions

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    http://www.levif.be/actualite/international/france-les-homosexuels-vont-pouvoir-donner-leur-sang-sous-certaines-conditions/article-normal-431789.html?utm_source=Newsletter-04/11/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

     

     

  • Oskar Freysinger : « Le jour où l’on ne pourra plus payer l’aide sociale, ce sera sanglant ! »

    Entretien avec

    « Le jour où l’on ne pourra plus payer l’aide sociale, ce sera sanglant ! »

    Oskar Freysinger, cofondateur de l’Union démocratique du centre (UDC) et conseiller d’État du Valais, revient, au micro de Charlotte d’Ornellas, sur la victoire de son parti aux dernières élections, et surtout sur la vague d’immigration qui touche actuellement l’Europe.

    Il s’étonne également que les « nouveaux Torquemada et Bernard de Clairvaux qui en appellent à la croisade antifaciste » fassent preuve d’autant de violence physique.

    BdV - 03 11 2015

     

  • CHARD

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  • Gouvernance mondiale : l’étau se resserre

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    Jean-Michel Vernochet, écrivain, essayiste, journaliste et géopolitologue français.

    Cela commence en avril 1945 avec la création des Nations unies, moins de trois mois après le partage du monde à Yalta….

    Redisons-le une nouvelle fois à ceux auxquels cela aurait pu échapper : « Nous aurons une gouvernance mondiale, j’ignore si cela sera avant ou après la Troisième Guerre mondiale, mais nous l’aurons. »


    Tel est l’oracle de notre gourou cosmoplanétaire, conseiller très prisé de nos derniers présidents, Jacques Attali. Pour ce qui est de la gouvernance mondiale, nous en voyons se déployer tous azimuts depuis quelques décennies des pseudopodes particulièrement actifs. Cela commence en avril 1945 avec la création des Nations unies à la conférence de San Francisco, moins de trois mois après le partage du monde à Yalta. Les vainqueurs ne perdent pas de temps et la course à la domination mondiale est engagée (1).

    Car l’ONU, derrière sa façade de verre new-yorkaise, est l’atelier du Nouvel ordre mondial qui, sous couvert de « construire la paix » (le peacebuilding), vise en réalité au grand remplacement des États souverains par la chimère d’une souveraineté collective. Autrement dit, l’établissement d’une bureaucratie céleste à échelle planétaire. Ce worldbuilding s’édifie pas à pas et sous nos yeux. Dépourvus d’une vision panoramique, nous n’en percevons que des segments discontinus sans liens immédiatement discernables entre eux. Mais en se donnant la peine de rétablir la séquence historique, il est aisé de voir où nous allons et où l’on nous conduit. Un mot, un seul, définit alors ou désigne le paradis qui nous est promis : totalitarisme !

    Ayons à l’esprit que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dispose de moyens juridiques et coercitifs de nature dictatoriale pour faire massivement vacciner contre leur gré ou confiner manu militari des nations entières sur la simple présomption de risque épidémique (2). Dans le même ordre d’idée, le super-groupe de pression international des tenants du réchauffement climatique d’origine anthropique va à grands frais tenir sa grand-messe à Paris fin novembre. Avec pour objectif d’aboutir à un accord applicable à tous les pays afin de limiter le réchauffement mondial à 2 °C.

    Le dérèglement climatique est, certes, indéniable, il est cependant facile de discerner ce qui se profile derrière les intentions affichées de réduire l’empreinte carbone de tout un chacun. Se dessinent, en effet, de nouveaux moyens, au nom du bien commun et du salut écologique, d’engraisser quelques oligopoles, de servir de prétexte indiscutable à de nouvelles taxations et, pire, à une mise sous tutelle renforcée de nos activités industrielles et individuelles.

    Notons, au passage, sans en tirer aucune conclusion prématurée, que si les glaces terrestres régressent, ce n’est pas toujours le cas sur les mers et océans polaires. Ainsi, en 2013, la calotte glaciaire arctique avait augmenté au cours de l’été de près de 60 %, soit 2 383 000 km2, l’équivalent de la moitié de l’Europe ! Rebond spectaculaire après la fonte record de 2012 et six ans après que la BBC eut annoncé que, justement en 2013, le réchauffement devait avoir fait disparaître complètement les glaces estivales. C’est dire la complexité de phénomènes dont l’instrumentation est orchestrée à des fins d’ingérence croissante dans les affaires des peuples, avec pour destination finale leur étroit corsetage par d’intransgressibles lois supranationales.

    Quant à la Troisième Guerre mondiale, elle n’est évidemment pas à venir puisqu’elle a déjà commencé. En Syrie, ce sont au bas mot quarante nationalités dans les divers camps qui s’affrontent. À telle enseigne qu’au sein de l’État islamique, des takfiristes tchétchènes combattent aux côtés d’Ouïgours turcophones venus des steppes asiatiques. D’où l’engagement de la Russie et la vigilance rapprochée de la Chine. La gouvernance mondiale avance donc sur deux fronts, celui de la République universelle par le truchement des Nations Unies et des conférences internationales, et sur celui des guerres chaudes, lesquelles dessinent une ceinture de feu, de la mer du Japon au golfe de Guinée.

    Jean-Michel Vernochet
    30/10/2015

    Notes:

    1. James Burnham, proto-idéologue du néo-conservatisme, The Struggle for the World, 1947, New York, et à Paris sous le titre de Pour la domination mondiale.
    2. L’OMS ne vient-elle pas de décréter, ce 26 octobre 2015, que la consommation de produits carnés transformés (charcuteries, etc.) ou non est fondamentalement carcinogène ! La tyrannie hygiéniste avance à grands pas.

    Source : Boulevard Voltaire
    http://www.bvoltaire.fr/jeanmichelvernochet/gouvernance-mondiale-letau-se-resserre,214919

    Correspondance Polémia – 3/11/2025

  • Hollande chez Lucette: la retraitée au bord de la dépression. Le président contagieux?

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    02/11/2015 – POLITIQUE (NOVOpress)
    Les cameramans de BFMTV sont retournés voir Lucette après la visite impromptue du « président » chez la retraitée jeudi dernier, devant toute la presse. « Surprise », tout était calibré, jusqu’aux questions et réponses. Décidément, depuis VGE, les visites « au peuple », ça ne réussit pas aux locataires de l’Élysée… ni à leurs hôtes.

    « Oh, ben ça, si je m’attendais », avait l’air vouloir exprimer la face faussement étonnée de Hollande, aussi bon comédien qu’un type débarquant dans son anniversaire-surprise qu’il aurait lui-même organisé, en découvrant les rangées de journalistes qui se massait dans l’appartement de Lucette.
    C’est d’ailleurs exactement ce qui s’est passé chez Lucette, cette retraitée du nord qui a reçu ce week-end la visite « impromptue » du « président », venu discuter logement avec des vraies gens, des sans-dents, sous les flashs et les projeteurs. Opération « proximité », sourire bon enfant et mine concernée de mise, le sous-préfet espérait se ripoliner un peu la popularité au contact du populo, pt’it café sur la table de la salle à manger, sans façon, trois images qui évitent aux journalistes de voir les manifs et les perturbations des opposants et tout le monde repart content.

    Sauf que, à défaut d’avoir la mémoire longue et de se souvenir des pt’its dej de VGE chez l’habitant, les journalistes de BFMTV ont tout de même trouvé qu’il y avait baleine sous gravillon et que ça puait le coup monté, ce truc spontané au milieu d’un improbable voyage de presse élyséen dans le nord, officiellement pour aller serrer la louche de quelques élus locaux. Faut dire que même les petits coups de comm » de base, Hollande, il ne sait plus les faire. Éventés, tous les trucs de prestidigitateur de salle des fêtes communale de notre « président ».

    Donc, nos brillants confrères sont retournés voir Lucette, qui est une brave femme, une vraie, pas une actrice. Et elle leur a répondu sans détour, Lucette, aux journalistes : copine du maire PS de Vandoeuvre, c’est lui qui l’a choisie pour tenir le crachoir à Hollande et ce sont les services de la mairie qui ont fourni ménage, chaises, café, et joli (?) bouquet. Après, Lucette a répété les questions et les réponses avec le gars de l’Élysée, qui lui a bien dit de pas parler des sujets qui fâchent.

    J’avais une idée, c’était de dire qu’il s’occupait beaucoup des immigrés, mais pas des clochards qui crèvent dans la rue. Mais ça, il fallait pas que je le dise.

    Eh non, mais c’est le jeu, ma pauvre Lucette !
    D’ailleurs, nous sommes tous désolés pour elle, qui n’en peut plus de la polémique née à la suite de la visite de Hollande chez elle. Après avoir trouvé refuge chez sa fille, la retraitée a chu dans les escaliers, sans gravité heureusement et elle aspire au calme, horriblement stressée et déprimée par toute cette affaire.
    Hollande arrive quelque part, il pleut. il promet de s’occuper du chômage, il augmente. il se mêle de relations internationales, il ridiculise la France. il rend visite à une paisible retraitée, elle tombe dans les escaliers et en dépression. Il est peut-être pas vraiment dangereux, il suffit de pas trop s’approcher.

    Charles Dewotine

  • Pessat-Villeneuve (63) : voyez où 50 clandestins seront logés à nos frais

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    Cinquante « migrants » seront transportés à nos frais ce soir de Calais vers l’Auvergne, où ils seront hébergés dans le château de Pessat-Villeneuve…

    Pour les clochards français ? La rue.

    Pour dire ce que vous en pensez :

    Mairie de Pessat-Villeneuve :

    Tél : 04-73-38-28-59

    Association Forum Réfugiés :

    Tél : 04-73-14-36-00

  • Entretien avec Karim Ouchikh : Soutien à Orban !

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    02/11/2015 – FRANCE (Présent 8475)

    Le SIEL (Souveraineté, Indépendance et Libertés) nous donne rendez-vous le 7 novembre devant l’ambassade de Hongrie pour manifester le soutien du peuple français à la politique anti-migratoire menée par Viktor Orban.
    Une nouvelle initiative du président du SIEL, Karim Ouchikh.

    Présent : « Le combat de Viktor Orban est le nôtre », dites-vous. On connaît l’ennemi, mais quelles sont nos armes ?
    Karim Ouchikh : Notre arme principale ? L’inquiétude de la classe politique. Ce sentiment anxiogène que nous devons susciter et entretenir en permanence dans l’esprit de nos dirigeants de l’UMPS,

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    lesquels doivent se persuader en effet qu’ils ne pourront bientôt plus contenir une colère populaire qui s’exprimera sous peu dans les urnes… Seule cette angoisse taraudant perpétuellement nos dirigeants, à Paris, mais aussi ailleurs en Europe, sera de nature, au-delà des échéances électorales, à peser sur les choix technocratiques européens concernant les « migrants » : cette pression populaire doit en somme neutraliser le sentiment d’impunité politique qui prévaut actuellement dans les couloirs de Bruxelles.
    De ce point de vue, il nous faut mobiliser tous azimuts, dans les médias bien sûr, mais aussi dans la rue afin de faire entendre la colère des peuples européens. C’est dans le cadre de cette stratégie maîtrisée de montée des tensions politiques que s’inscrit le rassemblement du 7 novembre prochain à 15 heures devant l’ambassade de Hongrie, que le SIEL organise à la fois pour soutenir à la politique d’indépendance nationale de Viktor Orban, mais aussi pour résister à l’invasion migratoire actuelle.

    Présent : Comment expliquez-vous que les pays de l’Est fassent preuve de plus de résistance à l’invasion que l’Occident ?
    Karim Ouchikh : La capacité de résistance des pays de l’Est plonge ses racines dans l’histoire particulière de cette partie de notre continent. Les peuples d’Europe de l’Est ont été protégés du double phénomène de sécularisation et de mondialisation : tout au long de sa riche histoire, le défunt empire austro-hongrois a su d’abord conserver intacte la diversité culturelle et religieuse des peuples dont les pays de l’Est sont aujourd’hui les héritiers ; la guerre froide fut ensuite une période inédite, éminemment paradoxale, à la fois privative des libertés fondamentales pour les ressortissants de ces pays, mais aussi protectrice des vents mauvais véhiculés par le matérialisme occidental, qui a fait tant de mal de ce côté-ci de notre continent.
    Ces ressorts historiques fondent ainsi une disposition d’esprit particulière, largement partagée parmi les peuples de l’Est européen : une conscience claire de leurs singularités culturelles et des atouts spirituels de leur héritage chrétien, qui s’accompagne d’une volonté farouche de préserver leurs identités séculaires face aux assauts des flux migratoires. Un élan vital que ne partagent guère les peuples d’Europe occidentale…

    Présent : Le 7 novembre, devant l’ambassade de Hongrie, qui seront les intervenants ?
    Karim Ouchikh : Au moment où je réponds à vos questions, la liste des intervenants n’est pas encore totalement bouclée. Elle le sera en milieu de semaine et vous en serez aussitôt informés.

    Présent : Pensez-vous être reçus par l’ambassadeur de Hongrie, ou est-ce impensable ?
    Karim Ouchikh : Au regard de mes contacts actuels, cela n’est pas à exclure, d’autant que j’ai eu l’occasion de m’en entretenir avec lui lors de notre rencontre le 18 octobre dernier, sous l’Arc de Triomphe, en compagnie de M. Lazlo Köver, président de l’Assemblée nationale de Hongrie, à l’occasion de la commémoration du 59e anniversaire de la Révolution hongroise de 1956. Toutefois, je suis pleinement conscient que l’ambassadeur de Hongrie, comme tout représentant officiel d’un État étranger en France, est tenu d’observer une obligation de neutralité à l’égard des affaires intérieures de notre pays. Ajoutons enfin que M. l’Ambassadeur György Károlyi n’est pas à l’abri de pressions politiques prévisibles émanant du Quai d’Orsay…

    Présent : Le 24 septembre s’est tenue une première manifestation, devant l’ambassade d’Allemagne. Regrettez-vous le peu de mobilisation concrète contre l’invasion migratoire ? La situation ne justifierait-elle pas l’équivalent d’une Manif pour tous ?
    Karim Ouchikh : Réunir près de 1 500 personnes un jeudi soir, sous la pluie, sans pouvoir compter sur la présence de nos compatriotes provinciaux qui m’avaient exprimé, nombreux, leur impossibilité de se rendre dans la capitale en milieu de semaine, fut à l’évidence une réussite politique, pour moi comme pour beaucoup de commentateurs politiques. Notons également que cette manifestation, qui s’est déroulée paisiblement, n’avait reçu le concours d’aucun autre parti politique et n’avait bénéficié, en dehors des médias patriotes, d’aucun écho de la part de la presse. En outre, il faut bien admettre malheureusement que notre famille politique a perdu l’habitude, ces dernières années, de battre le pavé pour exprimer ses opinions, à la différence de la gauche qui n’hésite jamais à occuper le terrain à la moindre occasion. Avec d’autres, je veux rompre avec cette frilosité politique en prenant l’habitude de clamer haut et fort nos convictions sur des sujets que nous estimons vitaux pour la France et pour notre peuple : nos compatriotes l’expriment devant moi, d’ailleurs, chaque jour.
    S’agissant de l’invasion migratoire actuelle qui menace les fondements mêmes de notre civilisation, il appartiendra au SIEL, avec d’autres forces politiques, de mobiliser régulièrement les Français en les invitant à affirmer avec force leur hostilité au processus accéléré de substitution de peuples qui s’opère sous nos yeux ces derniers mois. En un mot comme en cent, une initiative pérenne, de type Manif pour tous, devra s’organiser rapidement, en liaison avec d’autres mouvements européens, pour faire échec à l’anéantissement programmé de notre civilisation qui est à l’œuvre avec ce terrible chaos migratoire qui frappe le continent européen.

    Propos recueillis par Samuel Martin

  • 218 000 clandestins ont traversé la Méditerranée en octobre: un record

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    03/11/2015 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    218 000, c’est le nombre de clandestins à avoir franchi la Méditerranée en octobre. Ce chiffre, enregistré par le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, est un « record mensuel » et vient battre le précédent record de 172 843 arrivées en septembre.
    Ce nombre, en constante augmentation malgré les mauvaises conditions météorologiques, témoigne d’une accélération rapide du processus migratoire auquel l’Europe doit faire face.

    Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés prévoyait l’arrivée de 700 000 clandestins avant la fin de l’année, ils sont déjà plus de 744 000. L’institution va donc devoir revoir ses chiffres à la hausse et, alors que la colère populaire commence à sérieusement gronder partout en Europe, les gouvernements européens vont peut-être enfin se pencher sur des solutions efficaces et responsables.

  • Pierre Lellouche : « Un réfugié politique en France a droit à 700 euros par mois »

     




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    Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC lundi matin, Pierre Lellouche a alerté sur la montée prévisible du Front National si le gouvernement persiste dans la préférence étrangère : « Un réfugié politique en France a droit à 700 euros par mois. Il a une priorité au logement. Il a droit aux transports gratuits. Toutes sortes de choses auxquelles la famille modeste ici n’a pas droit », a déclaré le député Les Républicains

    (NDF)

    Ce commentaire pour compléter:

    jejomau

     

    Pierre Lelouche est en dessous de la vérité. C’est 770 e
    S’il a des enfants, il faut prendre en compte les allocs donc :
    – un couple de réfugiés + 1 enfant touchera : 924e
    – avec deux enfants : 1079
    – avec trois enfants : 1300 e
    etc…
    Bien sûr on rajoutera la gratuité des transports, les allocations logement autour de 500 à 700 e dans la banlieue parisienne (permettant d’avoir un logement grtos) + la quasi-gratuité de l’eau + edf-gdf… et SURTOUT ne pas oublier l’approvisionnement dans les épiceries dites « solidaires » où ils sont orientés par les assistantes sociales… Une famille de trois enfants peut se nourrir pour le mois en déboursant ainsi réellement …. 24 EUROS/MOIS seulement tout en stockant chez elle toutes sortes de nourritures qu’elle revend au black !!!!!!

    Calculez : ce qu’ils touchent, c’est du NET !!!!

  • Samedi 7 novembre: Manifestation en soutien à Orban et contre la submersion migratoire

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    02/11/2015 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    C’est une date à noter dans vos agendas, samedi 7 novembre à 15 h, le SIEL, parti politique allié au Rassemblement Bleu marine, invite tous les patriotes à dire NON à la politique d’accueil inconsidérée des immigrés clandestins. Le président du parti Karim Ouchikh a déclaré :

    Nous devons soutenir Viktor Orban, son combat est le nôtre. Comme la Hongrie, la France, doit restaurer ses frontières, comme la Hongrie la France doit conserver son identité.

    Le RDV est donné devant l’ambassade de Hongrie située 5 Square de l’Avenue Foch, 75116 Paris

  • Bernard Cazeneuve : « sans les juifs de France, la République serait amputée de cette part d’elle-même la plus sensible et la plus vivante»

     

    Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur intervenait dimanche à la sixième convention nationale du Crif.

    Invité par le Conseil représentatif des institutions juives de France afin de conclure par une allocution sa 6ème convention nationale, Bernard Cazeneuve a déclaré notamment :

    « Je voudrais dire ma confiance en l’avenir à tous les juifs de France, promettre de toute la force de ma volonté que la République les défendra sans faillir, comme l’ont clairement montré toutes les décisions prises depuis un an. La République les défendra parce que sans les juifs de France, la République serait amputée de cette part d’elle-même la plus sensible et la plus vivante. »

    Médias-Presse-Info

     

  • Digne : deux attaques de loup tuent 13 brebis


    Deux attaques de loup cette nuit à Digne par LaProvence

     

    Samedi 31/10/2015 à 16H00 Digne-les-Bains  

    Deux éleveurs ont été victimes de la bête jeudi soir, aux portes de Digne

     
     
     "Celle-là, elle est complètement dévorée. Regardez, il ne reste que la tête et la peau. Celle-ci, ils l'ont juste égorgée et puis elle... Ils ont juste joué avec". Pascal Frison est dépité. En colère. Dans la nuit de jeudi à vendredi, cet éleveur du Gaec les Olivettes, a été victime d'une attaque présumée de loup sur trois de ses 282 brebis, à seulement un kilomètre du Pigeonnier, à Gaubert. Autrement dit, aux portes de Digne.

    "Je m'en suis aperçu vers 10 heures, en allant récupérer le troupeau. J'ai cherché les bêtes. Elles étaient toutes dans un coin, stressées. Et puis j'ai vu la première brebis, totalement mangée", confie l'homme au bord des larmes. Un voisin avait bien entendu durant la nuit quelque chose se tramer. "Vers 23 h 30, il a entendu du bruit et les brebis s'agiter. Mais il pensait que ce n'était que les sangliers. Il y en a beaucoup par ici". Le pré, dans lequel les bêtes étaient parquées, est pourtant clôturé avec du fil de fer. "Elles ne sont pas en liberté. Mais pensez-vous, ils passent au-dessus", indique Pascal Frison.

     

    Même son de cloche pour Étienne Debayle, au Gaec de la Molière, sur la commune du Chaffaut. Dans la même nuit, cet éleveur a retrouvé 10 de ses 300 brebis attaquées. Toutes sont mortes, cinq autres ont été blessées. "Il ne s'agissait que de jeunes et des brebis laitières. Ce sont des bêtes qui ont de la valeur", regrette l'éleveur qui n'en est pas à sa première attaque. Déjà au printemps, le loup avait frappé deux fois chez lui, au bord de la Bléone. 13 brebis avaient été dévorées à ce moment-là. "On ne sait plus trop quoi faire. Je ne pensais pas qu'il allait attaquer là, en bordure de route. Cette nuit, je vais rapatrier mes bêtes sur l'exploitation, les faire dormir dedans. Mais ça ne pourra pas durer parce qu'à un moment, je manquerai d'herbe".

    Pour Pascal Frison, qui tient l'exploitation avec ses autres frères, il faudra trouver un chien patou avant la nuit. "Avant, on pouvait s'occuper de nos bêtes. On passait notre vie derrière nos moutons. Aujourd'hui, ce n'est plus possible. Notre vie se résume à de la paperasse, admet l'homme. J'en ai ras-le-bol que tout le monde se fiche de nous. On n'est plus à l'abri, même chez nous. C'est le début d'un calvaire. Vous allez voir que d'autres attaques vont se produire dans peu de temps. D'ici la fin de l'hiver, on ne sera plus tranquille".

    Après l'entrée en vigueur le 1er juillet dernier d'une autorisation de prélever des loups, dix-huit ont été abattus sur le territoire français. Le maximum autorisé quant au prélèvement de ces animaux bénéficiant du statut d'espèce protégée, est de trente-six loups sur l'ensemble du territoire.

    LA PROVENCE

  • Poutine est à prendre au sérieux

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    « SI LA BAGARRE EST INÉVITABLE, IL FAUT FRAPPER LE PREMIER »

    Ce serait une grave erreur pour l’Occident et ses dirigeants de ne pas prendre au sérieux ce que dit Poutine. Il n’est pas du genre à parler pour ne rien dire. Ce qu’il a à dire, il le dit sans élever le ton et sans effet oratoire. Les mots sont pesés, les pensées sont claires et ses intentions sont sans équivoque. On se souviendra de son intervention, l’an dernier, à la rencontre de Valdaï, où il avait précisé les défis à relever de la part des puissances qui conditionnent les destinées de ce monde.

    « …le monde s’est engagé dans une époque de changements et de mutations profondes, époque où nous devons tous faire preuve d’un degré élevé de prudence et d’une capacité à éviter les démarches irréfléchies ».

    Cette année, à l’occasion de sa rencontre avec les experts internationaux, réunis à Sotchi pour la XIIe édition du club de discussion de Valdaï, il a de nouveau pris la parole dans un contexte où les problèmes semblent s’accentuer plutôt que diminuer. Le conflit en Ukraine n’est toujours pas résolu. En Syrie, le droit international de l’État syrien est toujours bafoué par la coalition occidentale qui ignore la souveraineté et l’indépendance du peuple syrien. Elle recrute, forme, arme et finance une soi-disant armée de libération syrienne (ALS) pour lutter contre l’armée syrienne et le gouvernement de Bachar Al-Assad. Pendant ce temps, les terroristes de l’État islamique étendent leur influence et leur domination sur le territoire syrien et, au lieu de disparaître sous les frappes de la coalition occidentale, ils se sont renforcés. Ce fut à tout le moins le cas jusqu’à ce que la Russie intervienne en réponse à l’appel du président Bachar Al-Assad.

    « Les États-Unis possèdent un grand potentiel militaire, mais il est toujours difficile de mener un double jeu : lutter contre les terroristes et en même temps en utiliser certains pour poser des pions sur le damier du Moyen-Orient dans leur propre intérêt. Il est impossible de vaincre le terrorisme si l’on utilise une partie des terroristes comme un bélier pour renverser des régimes que l’on n’aime pas. On ne peut pas ensuite se débarrasser de ces terroristes. C’est une illusion de croire qu’on pourra les chasser du pouvoir. Le meilleur exemple nous est donné par la situation en Libye. On espère que le nouveau gouvernement pourra stabiliser la situation, mais ce n’est pas le cas pour l’instant ».

    Ce double jeu des États-Unis et de ses alliés agace d’autant plus Vladimir Poutine qu’il rend pratiquement impossible toute action concertée pour se libérer de l’État islamique et du terrorisme, quelle que soit la forme qu’il prend. Il n’y a pas, comme il le dit dans une autre partie de son intervention, un terrorisme modéré et un terrorisme cruel. Dans les deux cas on tue et l’on assassine, faisant fi de tout droit et de toute loi.

    « «Il ne faut pas diviser les terroristes entre modérés et non-modérés. On voudrait savoir la différence. Les experts disent que les terroristes «modérés» décapitent les gens de façon modérée ou tendre»

    Deux conflits majeurs permettent de cerner avec précision ce qui sépare l’approche de la Russie de celle des États-Unis et de L’Europe.

    En Ukraine, la Russie a toujours soutenu que le conflit en est un entre le Donbass et le gouvernement central de Kiev. Il appartient donc au gouvernement de Kiev de reconfigurer la constitution en concertation avec les gouvernements du Donbass (Donetsk et Lougansk) de manière à respecter leurs particularités culturelles et leur autonomie comme peuples. C’est d’ailleurs la conclusion à laquelle en est arrivé Minks2. À ce jour Kiev  résiste à cette concertation assurant un statut particulier pour cette région du sud-est de l’Ukraine.

    Les États-Unis, n’ayant pas participé directement à ces négociations de Minks2 n’en continue pas moins à apporter leur soutien au gouvernement central de Kiev en lui fournissant des armes et en formant des soldats pour lutter contre les populations du Donbass.

    En Syrie, la Russie reconnaît la légitimité de l’État syrien ainsi que celle de son président, Bachar Al-Assad. C’est d’ailleurs à l’invitation de ce dernier  qu’elle intervient pour lutter contre les terroristes de l’État islamique qui n’ont rien à voir, comme tel, avec le peuple syrien. Par contre, les groupes armés, d’une soi-disant opposition syrienne, profitent de la présence de l’État islamique pour accentuer leurs actions contre l’armée régulière et le gouvernement de Bachar Al-Assad. À plusieurs reprises, la Russie a demandé aux États-Unis qui l’accusent de bombarder cette armée de l’opposition qu’ils soutiennent en armements, en formation et en argent, de leur fournir la liste des positions de l’ALS. Tout ceci pour éviter de les prendre pour cibles. Cette requête est demeurée sans réponse. Pour la Russie, Il appartiendra à l’armée régulière syrienne de les combattre ou aux responsables politiques des deux groupes en litige de résoudre entre eux, leurs différends. Pour Moscou, ce sera toujours le peuple syrien qui devra avoir le dernier mot concernant le choix de ses dirigeants et le régime politique de l’État.

    Quant aux États-Unis et ses alliés, ils ne reconnaissent pas la légitimité du gouvernement dirigé par Bachar Al-Assad et n’en tiennent aucunement compte dans leurs interventions en Syrie. Ils recrutent des mercenaires d’un peu partout à travers le monde pour grossir les rangs de l’ASL. Cette opposition armée n’est en rien comparable avec les combattants du Donbass, en Ukraine. Dans ce dernier cas, ce sont les populations locales, soutenues par leurs gouvernements régionaux, qui réclament un statut spécial qui respecte leur particularité culturelle et ethnique.

    Il est évident que les approches ne sont pas du tout les mêmes et que les fondements qui les soutiennent ne répondent pas aux mêmes principes.

    Pour la Russie, il est prioritaire de respecter le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et de celui des États à jouir pleinement de leur indépendance et souveraineté.

    Pour les États-Unis et ses alliés européens, le principe qui sous-tend tous les autres est celui de la subordination des régimes politiques et économiques à leurs intérêts. La gouvernance mondiale recherchée nivelle le principe des nations et, avec ce dernier, celui de leurs droits.

    La rencontre de Vienne

    Lavrof et Kerry34

    Cette rencontre sur trois jours des principaux acteurs concernés dans cette guerre en Syrie n’a malheureusement pas donné les résultats escomptés. Les États-Unis ont décidé d’envoyer des militaires en Syrie pour soutenir l’armée d’opposition syrienne et poursuivre ainsi leurs actions contre le gouvernement syrien. Cette décision prend la forme d’une véritable provocation contre l’intervention russe en Russie. Sous des dehors de promoteur de la paix en Syrie, John Kerry se moque éperdument de la Russie et de son ministre des relations internationales, Serguei Lavrov. Il parle et agit comme si les États-Unis avaient toujours bien en main le leadership de la lutte contre le terrorisme et des voies à suivre pour rétablir la paix en Syrie.

    Cette intervention du secrétaire d’État, John Kerry, ne prend aucunement en compte l’approche russe de la lutte contre l’État islamique pas plus d’ailleurs que celle de la reconnaissance légitime du Gouvernement syrien. Plus tôt, le chef de la diplomatie russe s’était prononcé pour un règlement politique du conflit syrien impliquant la participation du président Bachar Al-Assad et la participation de l’ensemble de l’opposition syrienne non armée.

    Il faut dire que les provocations des États-Unis contre la Russie ne manquent pas. Tout est mis en œuvre pour discréditer ses interventions en Syrie et minimiser ses succès. Sur la scène européenne, l’étau se resserre autour de la Russie. Sur ce dernier point, la Russie a servi un sérieux avertissement à l’OTAN.

    « Il s’agit du rapprochement de l’OTAN et de ses infrastructures militaires vers nos frontières, ce qui constitue un phénomène que nous considérons comme indésirable et dont nous expliquons depuis longtemps les potentielles conséquences dangereuses », a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov à la question de commenter les informations parues dans le WSJ.

    Que va conclure Vladimir Poutine de tout cela?

    Il est certain qu’il a décodé depuis un bon bout de temps la stratégie et les objectifs des États-Unis. Les comportements de ses « partenaires » occidentaux, comme il les appelle, lui confirment le fait qu’ils ne démordent pas de leur grand projet de s’asservir les nations et les peuples. La confrontation est de plus en plus plausible. Sur ce dernier point, John Kerry qui se dit optimiste quant à la non intervention de la Russie peut très bien se tromper. Il devrait plutôt prendre très au sérieux ces propos tenus par Vladimir Poutine à la tribune de Valdaï.

    “Il y a 50 ans, à Saint-Pétersbourg, la rue m’a appris une règle : si la bagarre est inévitable, il faut frapper le premier.”

     L’Occident risque beaucoup à ne pas prendre au sérieux Vladimir Poutine. 

    Oscar Fortin

    http://humanisme.blogspot.com

    RI

  • GR - Un tweet de Florian Philippot

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  • GR - Vers un enseignement de l’islam à l’école en Alsace-Moselle dès 2016

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    12h24

    Une expérimentation mise en place dès la rentrée 2016 doit conduire à proposer des cours de religion aux élèves de confession musulmane dans les écoles d’Alsace-Moselle. C’est déjà le cas pour les religions catholique, protestante et juive reconnues par le concordat.

     

    Les musulmans scolarisés dans les écoles d’Alsace-Moselle pourraient bien suivre des cours de religion comme leurs camarades de confession chrétienne ou juive. Les trois départements concordataires pourraient bien tester dès la rentrée 2016, la mise en place de ces cours de religion encouragés par les représentants locaux des cultes mais aussi la préfecture du Bas-Rhin. L’information avait déjà fuité en juin dernier, le site d’informations Rue 89 affirmait que l’Alsace pourrait intégrer des cours de religion pour les élèves musulmans dans ses programmes. Ce week-end, Le Figaro (article abonnés) affirme que la préfecture du Bas-Rhin est désireuse de relancer, dans la foulée des attentats de janvier, «le dialogue interreligieux».

    (…) Ainsi, des imams formés pourraient intervenir dans les écoles pour ces cours de religion, poursuit le quotidien. Le syndicat enseignant Usna quant à lui n’est pas du tout enjoué à l’idée de cette expérimentation dans les écoles d’Alsace-Moselle. Pour le syndicat, c’est un «un tour de passe-passe permettant de contourner le Concordat qui ne peut juridiquement intégrer l’islam et les imams». Ce syndicat plaide plutôt pour un arrêt de l’enseignement religieux dans les écoles de Moselle, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin.

    (…) Loractu

  • [mise à jour avec vidéo] Paris : des jeunes nationalistes contre Bernard-Henri Lévy

    Histoire Commentaires fermés

     

    Vu chez le mouvement Renouveau français :

    « A Paris, des militants du RF ont organisé aujourd’hui une petite manifestation devant le QG et salon de Bernard-Henri Lévy (le Café de Flore), le très influent « philosophe milliardaire » qui sème la guerre et la mort à travers le monde (en Syrie notamment) en utilisant les forces françaises au service d’intérêts qui ne sont pas les nôtres.

    BHL2« BHL appelle à verser le sang des autres »

    Dénonçant les méfaits de cet individu adulé par les médias et suivi par les politiciens, les militants ont diffusé un discours percutant, exigeant la déchéance de la nationalité de « BHL » et son expulsion vers Israël. »

    BHL3« Bernard-Henri Lévy, milliardaire faiseur de guerres »

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