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Blog - Page 757

  • 190 000 étrangers s'installent légalement en France chaque année

    http://www.fdesouche.com/474201-france-190-000-etrangers-sinstallent-legalement-en-france-chaque-annee

  • Mohssen, le héros de l'incendie d'Aubervillies, a eu ses papiers

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    Il avait sauvé des flammes une quinzaine de ses voisins, pris au piège dans l’incendie qui a ravagé un immeuble de la rue des Postes, le 7 juin, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Mohssen, le Tunisien sans-papiers qui avait eu un comportement héroïque était reçu ce mardi après-midi à la préfecture de Bobigny.

     
     

    Le de Seine-Saint-Denis Philippe Galli qui avait remarqué sa bravoure, avait en effet promis qu’il étudierait son dossier de façon accélérée pour qu’il obtienne un titre de séjour. Mardi Mohssen est ressorti de son rendez-vous avec un récépissé, titre de séjour provisoire qui lui permet notamment de travailler et de bénéficier d’un accès aux soins en . Le document est valable trois mois en attendant la délivrance d’une vraie carte de séjour.

     

    Mohamed, le colocataire de Mohssen qui avait lui aussi aidé à évacuer par un échafaudage les locataires de l’immeuble en flammes, a également reçu un titre de séjour provisoire.

    Le Parisien  17 06 14

  • Irak: "Obama souhaite à tout prix éviter l'intervention militaire"

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    http://www.bfmtv.com/international/irak-obama-souhaite-a-prix-eviter-lintervention-militaire-794473.html

    + VIDEO: les islamistes à Mossoul

  • Les enfants étaient les bienvenus à la gay pride de Tel Aviv

     

    Les enfants étaient les bienvenus à la gay pride de Tel Aviv

    Tel Aviv-Jaffa, dont la population LGBT atteindrait 15% du total des habitants (l’équivalent de San Francisco) accueillait vendredi 13 juin une gay pride un peu spéciale. En effet, les organisateurs, qui attendaient 150 000 personnes, avaient prévu un spectacle pour enfants, afin de les y attirer. Le site AlyaExpress-news.com s’interroge : « Mais jusqu’où ira-t-on ? Inclure aujourd’hui les mineurs dans ces défilés pas toujours adaptés aux enfants, car souvent très provocateurs, ne frôle-t-il pas le « détournement moral » des mineurs ? A quel point la sexualité sera-t-elle maîtresse dans une si belle ville israélienne, prise en otage par 15 % de la population de cette ville ? » Les commentaires des internautes sont du même acabit et posent en filigrane cette question : à quoi bon disposer d’un état confessionnel juif si c’est pour y organiser des gay prides dignes de Sodome et Gomorrhe comme à New York ou à Paris ? Je comprends que certains Juifs pensent à aller vivre au Birobidjan

    Nouvelles de France

  • Netanyahou l’apprenti sorcier

     

    http://www.france-palestine.org/Netanyahou-l-apprenti-sorcier

    lundi 16 juin 2014

    La dis­pa­rition mys­té­rieuse de trois jeunes colons au soir du 12 juin aux alen­tours du bloc de colonies de Gush Etzion a été suivie d’une série de bou­clages, couvre-​​feu, fouilles et opé­ra­tions mili­taires de jour comme de nuit avec au moins 150 arres­ta­tions dont dix députés, parmi les­quels Aziz Dweik, pré­sident du Conseil légis­latif pales­tinien et Wasfi Qabha, ancien Ministre.

    Neta­nyahou a aus­sitôt désigné les res­pon­sables : le Hamas et Mahmoud Abbas son com­plice, alors que l’événement a eu lieu en zone C sous contrôle israélien total. Il cherche en réalité à cacher sa propre res­pon­sa­bilité, écra­sante, et à uti­liser la dis­pa­rition des colons pour saper l’unité pales­ti­nienne et faire éclater le gou­ver­nement d’entente nationale.

    Il n’a, lui, aucun compte à rendre. Il peut jouer le pour­ris­sement depuis des mois et des mois, renier l’engagement de libérer les pri­son­niers enfermés depuis plus de 30 ans, réprimer la grève de la faim de détenus admi­nis­tratifs main­tenus indé­fi­niment en prison sans charge ni jugement, faire léga­liser l’alimentation forcée des gré­vistes de la faim sans avoir de souci à se faire. Couvrir les assassins de deux ado­les­cents devant la prison d’Ofer ou faire tuer Ali Al Awwar, ce gamin de 10 ans qui cir­culait à Gaza à l’arrière de la moto de son oncle. Barrer tout chemin cré­dible vers la paix et plonger un peuple dans le désespoir sans s’attirer autre chose que des condam­na­tions verbales.

    S’agit-il d’un enlè­vement opéré par des Pales­ti­niens ? C’est pos­sible quoique non établi à ce jour. Il ne serait, en effet, pas sur­prenant, quand on se rap­pelle que la capture du soldat Shalit s’était soldée par la libé­ration d’un millier de pri­son­niers pales­ti­niens, que, face à ces pro­vo­ca­tions, cer­tains choi­sissent ce qui semble la seule voie que com­prennent les auto­rités israé­liennes. Neta­nyahou pra­tique la poli­tique du pire et fait tout pour pousser vers ce genre d’actions : il croit pouvoir en pro­fiter pour rac­com­moder son image et redonner vie à celle, bien peu cré­dible, du « ter­ro­riste palestinien ».

    La France ne doit pas se prêter à pareille opé­ration, mais constater que tout ce qu’elle a fait pour ménager les auto­rités israé­liennes en croyant faci­liter ainsi la « reprise du dia­logue » n’a en rien permis d’avancer. Au contraire, la cause pro­fonde de l’aveuglement de Neta­nyahou réside dans la cer­titude qui est la sienne de béné­ficier quoi qu’il fasse d’une totale garantie d’impunité. C’est cela qui est aujourd’hui émi­nemment dan­gereux. Il est urgent d’y mettre un terme : la France ni l’UE ne peuvent continuer à éluder l’heure des sanctions.

    Le Bureau national

    --

    Association France Palestine Solidarité (AFPS)
    21 ter Rue Voltaire 75011 Paris
    Tél. : 01 43 72 15 79
    Fax. : 09 56 03 15 79
  • L'Ukraine ne craint pas de pénurie après la coupure de gaz russe

    Le Vif

    Source: Belga
    mardi 17 juin 2014 à 12h02

    L'Ukraine a affirmé mardi ne pas craindre de pénurie de gaz, tout en reconnaissant vouloir se tourner vers l'Europe pour bénéficier de livraisons fiables, après la coupure décidée la veille par Moscou.

    Andriï Kobolev. © Image Globe

    Le PDG du groupe ukrainien Naftogaz, Andriï Kobolev, a assuré à la population de 46 millions d'habitants qu'ils n'avaient pas à craindre de pénurie, même si la Russie a "réduit à zéro" ses livraisons en ne laissant transiter que les volumes destinés aux pays européens. "Je pense que les consommateurs ne seront aucunement affectés", a-t-il déclaré lors d'une interview à une chaîne de télévision locale.

    "Concernant la possibilité de Naftogaz de fournir du gaz, il y a du gaz en stock", a-t-il ajouté, sans fournir de chiffres.

    L'Ukraine a par ailleurs indiqué qu'elle comptait sur la mise en place de "flux inversés" pour recevoir une partie du gaz russe que les pays européens importent. Le Premier ministre Arseni Iatseniouk a déclaré mardi devant le parlement qu'un "petit volume de flux inversés" avait déjà commencé. "De petits volumes de flux inversés sont insuffisants pour fournir du gaz à l'Ukraine mais lorsqu'il y aura de larges flux, les livraisons pourraient être de l'ordre de 15 milliards de m3. Ce volume est suffisant pour fournir du gaz à l'Ukraine", a assuré M. Iatseniouk.

    La Russie a coupé lundi le gaz à l'Ukraine après l'échec de leurs négociations sur le prix du gaz russe fourni à l'Ukraine et le remboursement de la dette accumulée par Kiev, égale à 4,5 milliards de dollars. L'Ukraine a rejeté la hausse des prix décidée par Moscou après l'arrivée au pouvoir de dirigeants pro-occidentaux fin février, conséquence de la chute du président prorusse Viktor Ianoukovitch: les 1.000 mètres cubes de gaz sont alors passés de 268 à 485 dollars, un prix sans équivalent en Europe.

  • George ENESCU Rhapsodie roumaine

  • L’ÉIIL massacre 1 700 soldats irakiens de confession chiite

     

     
    | 16 juin 2014
     

    La progression de l’Émirat islamique en Irak (ÉIIL) et au Levant a cessé en Irak à l’issue d’une semaine de combats.

    L’ÉIIL (« Daesh » en arabe) a exécuté au moins 1 700 soldats irakiens de confession chiite, à Tikrit, a confirmé le département d’État états-unien. L’armée privée a diffusé des images de ce massacre.

    L’ÉIIL est dirigé par le prince Abdul Rahman et commandé par Abu Bakr el-Bagdadi. Il est encadré par des officiers états-uniens, français et saoudiens. Grâce à de nouveaux armements et à la corruption d’officiers et de parlementaires irakiens, il a pu conquérir en une semaine la partie à majorité sunnite de l’Irak [1].

     

    [1] « Washington relance son projet de partition de l’Irak », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie), Réseau Voltaire, 16 juin 2014.

  • Seine-Saint-Denis: un jeune Rom dans le coma après avoir été lynché dans une cité

    http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-un-jeune-rom-dans-le-coma-apres-avoir-ete-lynche-16-06-2014-3928111.php

  • MANUEL VALLS au Conseil National du PS

     

    MANUEL VALLS au Conseil National du PS - « La Gauche peut disparaître » ou  « la Gauche a disparu » ?

     


    « La Gauche peut disparaître » ou « la Gauche a disparu » ?



    Michel Lhomme
    le 16/06/2014
    C'est fait. Il n'y a plus de CDI, plus de contrat de travail. Il faudra que la France se souvienne que cette attaque sans nom du droit social s'est faite sous les socialistes, avec la complicité des socialistes. Un salarié ne peut plus refuser une modification voulue par son employeur, y compris une baisse de salaire si elle reste mineure ou comme le dit la formule « dans des limites raisonnables ». Mais c'est quoi les limites raisonnables pour les patrons ou les socialistes ? Récemment, Pascal Lamy parlait d'un smic à 450 euros !
     
    Certes, il s'agit pour les juges de la Cour de Cassation, d'introduire une certaine souplesse dans les relations employeur-employé, qui était absolument exclue jusqu'à présent. La Cour jugeait invariablement que ce qui avait fait l'objet d'un contrat signé ne pouvait en aucun cas être modifié par une partie sans l'accord de l'autre. Elle admettait seulement que la modification refusée, si elle était nécessaire, puisse justifier un licenciement, mais un licenciement avec des indemnités. Cette modification autorisée du contrat de travail n'est pas un amendement en soi de députés mais une jurisprudence de la cour de cassation.  Dans les couloirs du gouvernement, sur les bancs de gauche de l'hémicycle, c'était dans l'air. Ce que n'avait pu faire la droite sous Sarkozy, le PS l'a fait. 
     
     
    Manuel Valls a précisé ce 14 juin, lors du Conseil national du PS, à ses interlocuteurs politiques ou syndicalistes que « la radicalité en interne ou dans la société mène à une impasse ». Aux socialistes qui lui demandent un virage à gauche de la politique de l'exécutif, Manuel Valls répond que « le PS doit être une force moderne, attractive, conquérante, et non pas une force en difficulté cherchant dans des alliances improbables des sources de renouveau ».  Le député PS de Haute-Garonne Christophe Borgel, proche de Jean-Christophe Cambadélis, s'est du coup félicité de la fermeté du chef du gouvernement, de son « discours solide d'affirmation, seul susceptible de rassurer le pays, de lui montrer qu'il y a un cap vers la croissance » et, pour enfoncer le clou, il a cru bon de préciser que : « ce n'est pas vrai que tous les patrons s'interrogent sur la façon d'augmenter les dividendes de leurs actionnaires. C'est avoir une vision passéiste des entreprises que de le dire ». 

    Concrètement, un salarié ne pourra plus demain demander aux Prud'hommes de constater la résiliation de son contrat de travail aux torts de son entreprise. D'ailleurs, à terme, les Prud'hommes devraient être supprimés comme le sont déjà en pratique les inspecteurs du travail . L'ouvrier ou l'employé n'aura plus le droit à des indemnités de licenciement ou à des dommages et intérêts pour licenciement abusif. «Il ne peut plus sauter sur l'occasion pour quitter l'entreprise avec des indemnités», a résumé même un magistrat la semaine dernière. Bref, la Cour de cassation vient en l'espèce d'admettre qu'un patron peut licencier son ouvrier du jour au lendemain ou imposer à son salarié une baisse de son taux de rémunération.
     
    La politique, c'est d'abord la mémoire. Il ne faudra jamais oublier que l'enterrement du contrat de travail a été voulu par la Gauche au nom du discours libéral de l’introduction d’une certaine souplesse dans les relations employeur-employé. Aucun garde-fou n'a même été posé ou défini. Toujours dans son discours de samedi, évoquant la menace d'une victoire du Front National au deuxième tour des Présidentielles de 2017, Manuel Valls a brandi la menace : «  la Gauche peut disparaître ». La menace est inutile : la Gauche a déjà disparu. 
     
    METAMAG
  • L'enlèvement des trois jeunes israéliens, source de joie palestinienne...

    http://www.tribunejuive.info/israel/lenlevement-des-jeunes-israeliens-source-de-joie-palestinienne

  • Menteuse ?

     

    Jean-Marie Le Pen se rendait à Nice jeudi dernier pour assister à la conférence de presse de Marie-Christine Arnautu, conseillère municipale Front national de la ville. Sa venue a attiré une nuée de journalistes, un engouement en lien avec la récente passe d’armes du fondateur du Front national avec certains cadres du parti dans l’affaire de la « fournée ». C’est dans ce contexte de foule compacte qu’un drame majeur a eu lieu : une reporter d’Europe 1 aurait été « jetée à terre » par le service d’ordre du Front national et « légèrement blessée » [1].

    La reporter, Brigitte Renaldi, est toujours sous le choc. Elle n’est pourtant pas une petite nature, elle en a en effet « connu des bousculades », déclare-t-elle, mais ici, la violence était « un cran au-dessus », si bien que la journaliste a porté plainte. Le Front national de son côté fait preuve de prudence et a annoncé avoir entamé une enquête interne. Une précaution inutile aux yeux de la société des rédacteurs d’Europe 1, qui soutient sans réserve Brigitte Renaldi, victime d’une « brutalité » inacceptable [2].

    La journaliste s’est en effet vu prescrire cinq jours d’ITT, justifiables au vu de « l’énorme contracture qui va des cervicales jusqu’en bas » dont elle souffre, sans parler du traumatisme bien entendu, dans la continuité de la « crise de tachycardie » qu’elle a subie après avoir été « molestée ».

    Pourtant, une vidéo des faits a de quoi rendre perplexe. Après la fameuse « mêlée de rugby » d’une violence « inouïe » du service d’ordre, qui existe plus dans les déclarations de notre pauvre victime que dans la vraie vie, on peut voir Brigitte Renaldi, à peine décoiffée, en train de vociférer à tout va, au top de sa forme.

      

    Seules deux possibilités peuvent expliquer cela. Soit Mme Renaldi a consulté le même médecin que Caroline Fourest après son agression « ultraviolente » par des membres de la Manif pour tous, soit elle se moque du monde. Cette deuxième voie semble bien plausible, au vu des menaces qu’elle profère auprès des vigiles juste après la bousculade, avec toute la vigueur d’une personne bien portante.

    Jean-Pierre Elkabbach s’est fendu d’un tweet pour soutenir la reporter :

    « Je dénonce moi aussi la violence dont a été victime notre amie Brigitte Renaldi, honneur du journalisme qu’elle a toujours si bien défendu. »

    Brigitte Renaldi, une représentante honorable du journalisme français ? Effectivement, on ne peut qu’être d’accord avec M. Elkabbach !

  • "La faute : une vie en Corée du Nord", plongée dans le pays le plus opaque du monde

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    http://www.france24.com/fr/20140616-coree-nord-bande-dessinee-faute-vie-mickael-sztanke-reportage-documentaire-pyongyang-kim-jong-un/

  • Pourquoi les commentaires sont souvent fermés

    Posté le 16 juin 2014 à 10h00 | Lien permanent

      

    Le plus souvent par manque de temps pour les valider. Mais pas seulement comme l'indique cet article :

    "Il faut dire que souvent les commentaires, quel que soit le site, de The Atlantic à Yahoo en passant par YouTube, Facebook, Twitter... sont stupides, ignorants, hors sujet, racistes, sexistes, menaçants, agressifs... En fait, tout simplement sans intérêt si ce n’est de permettre à quelqu’un de se défouler et d’évacuer son mal être et sa frustration.

    Pas étonnant, si le sentiment anti commentaires se développe sur le web et si les sites sont de plus en plus nombreux à décider de ne plus en avoir tant ils ont tendance à dévaloriser le contenu publié, les articles et les idées et thèses avancées. «Même sur les sites où les lecteurs sont intelligents et prévenants, les commentaires ont tendance à être des listes d’idées avancées sans lien les unes avec les autres plutôt qu’un vrai débat», écrivait déjà en 2011 Rebecca Rosen toujours sur The Atlantic en dressant un constat sévère sur ce qu’apportent vraiment les commentaires.

    L’an dernier Popular Science, qui est tout sauf un site politique et idéologique, a tout simplement  décidé de bannir les commentaires de l’ensemble de son site. Pourquoi? Les éditeurs expliquent que les commentaires, anonymes ou pas d’ailleurs, sapent l’intégrité de la science et mènent à une culture d’agression et de moquerie qui fait obstacle à des échanges de qualité.

    Le commentaire, souvent écrit par quelqu'un qui n'a pas lu l'article, influence la perception qu'en ont les autres

    «Même une petite minorité exerce suffisamment de pouvoir pour fausser la perception d’un article par les lecteurs», écrit Suzanne LaBarre la responsable des contenus en ligne citant au passage une étude très intéressante de l’Université of Wisconsin-Madison. Cette dernière souligne que les commentaires augmentent en général les comportements agressifs. Plus les commentaires sont désagréables, plus les lecteurs se radicalisent et se polarisent sur le contenu de l’article, même si celui-ci est très modéré.

    En fait, les commentaires et leur tonalité, écrits souvent par des gens qui n’ont pas lu l’article ou seulement une partie de celui-ci et ne l’ont pas compris, changent considérablement la perception de l’article en question. Un effet pervers.

    Il y a quelques semaines, toujours aux Etats-Unis, le National Journal, a décidé lui aussi d’interdire les commentaires sur la plupart de ces articles. Conséquence, l’implication des lecteurs s’est nettement améliorée. Le nombre de pages vues par visite a augmenté de plus de 10%, le nombre de visiteurs uniques de 14% et les lecteurs revenant sur le site de plus de 20%. [...]"

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Le marin Le Pen par Jacques Trémolet de Villers


     11.6.14

     

      
    Nouvelles de la France qui vient

     
    Le marin Le Pen
    par Jacques Trémolet de Villers
     
    « C’est le début du commencement du redressement de la France… »
     Il ne faudra pas l’oublier, cette phrase de Jean-Marie Le Pen, à vingt heures et seize minutes, le 25 mai au soir, sur France Info.
     
    Jean-Marie Le Pen est le doyen de la vie politique française. Il est le seul, aujourd’hui, chargé d’un mandat public, à avoir connu, comme député, la IVe République et, avant elle, la Seconde Guerre mondiale, la défaite, l’Occupation, la Résistance, la Libération, les guerres d’Indochine et d’Algérie.
     
    Comme le dit d’Ulysse mon poète préféré, « L’existence a mûri son amère bonté. »
     
    L’un des signes les plus évidents et les plus douloureux de la barbarie, c’est la méconnaissance des vertus de la vieillesse. Les vieux en sont un peu responsables quand ils n’acceptent pas leur âge. Je ne parle pas des soins du corps qui sont un devoir, non plus que de l’entretien de l’agilité intellectuelle. Je parle d’un « jeunisme » qui tend à faire abstraction de cette expérience, pour vivre comme si on était né d’hier.
     
    Pourquoi refuser ce cadeau du temps qui a passé ? Sacha Guitry le disait avec bonheur, « le grand avantage du passé, c’est qu’il est passé ». On peut le contempler, l’interroger, lui demander de dévoiler les énigmes que nous ne comprenions pas quand nous les conjuguions au présent et découvrir, au milieu du labyrinthe, le fil d’Ariane qui lui confère un sens.
     
    Pour Ulysse, c’était Ithaque, la journée du retour, le roi enfin revenu dans son royaume, retrouvant l’épouse, le fils, la nourrice, le père et le vieux chien, punissant les prétendants corrupteurs et les servantes qui, trahissant la reine, s’étaient abandonnées à eux.
     
    Comparaison n’est pas raison. Le marin Le Pen a couru les périls et les dangers, les bonheurs et les adversités sur la houle électorale, dans le tumulte des assemblées et des meetings, sans compter quelques conflits internes, intrigues de cour et guerres de cabinet qui sont, sans doute, le plus douloureux des lots communs des chefs de parti.
     
    « Le sort, aux rois plus qu’aux sujets est prodigue de peines ! »
     
    De tous les candidats, en lice ou en coulisse, pour la prochaine présidentielle, aucun
    n’a connu la première élection de ce type, en 1965.
     
    Jean-Marie Le Pen a conduit cette campagne, première du genre… et, pratiquement toutes celles qui suivirent, sauf quand les signatures manquèrent, jusqu’à ce qu’il cède la place à sa fille.
     
    Cette stature d’ancien inspire plus que le respect. Elle donne la confiance. Face à cette stabilité dans le même combat, les agitations des jeunes gens, même quand ces « jeunes gens » sont septuagénaires, ont un aspect dérisoire.
     
    Dans cette longue course où les succès de la jeunesse ont préludé la traversée du désert, l’oubli, la dérision, les difficultés économiques du quotidien, le secours salvateur, l’envol, les retombées, si l’on compte beaucoup de procédures et encore plus de calomnies, le plus sourcilleux n’y trouvera pas la moindre compromission financière. Ni fausses factures. Ni détournement d’argent public, ni ingérence. Ni même cette spécialité française conçue pour piéger l’adversaire, l’abus de bien sociaux.
     
    Tout bien pesé, ce surnom de Menhir lui va comme la pierre levée sur le champ au péril de la mer.
     
    Mais alors ?
     
    S’il arrivait que nos institutions, à bout de souffle, ne permettent plus aux gouvernants, si misérables soient-ils, de gouverner ; si les forces de police et les armées ne savaient plus, comme à la fin de l’année 1957, à qui il faut obéir ; si, d’un coup, prévisible mais non prévu, nous nous trouvions devant le vide de ce qui reste d’Etat… soit pour une cause intérieure, soit pour des circonstances extérieures, l’ensemble de ce qui reste de l’armée, de la police, de l’administration se retournerait vers…
     
    Vers qui ?
     
    Le sauveur ? L’homme providentiel ? le général ? le maréchal ? mais personne ne répond à l’appel de ce nom.
     
    Alors, peut-être, le doyen ! L’ancien ! Celui qui a vécu, a lutté, a tenu.
     
    On dira : mais les forces de l’opinion, les clubs, les loges, les médias, les partis… hurleront à l’extrême droite !
     
    Dans ces circonstances-là, les loges et les partis, les médias… et le reste, perdent tout le crédit qu’ils usurpent dans le temps de la normalité. Il en est de ces moments comme dans les tremblements de terre qui surviennent la nuit. Les habitants affolés cherchent, dans le noir, à tâtons, un mur porteur, une pierre haute qui n’a pas bougé.
     
    Peu leur importe alors, quand ils l’ont trouvée, que la pierre levée soit un menhir d’extrême droite.
     
    L’important, c’est qu’il soit là.
     
    Je ne souhaite à mon pays ni l’effondrement des institutions, ni la tempête, ni ce que nos pères appelaient « le coup de torchon ».
     
    Mais si l’un de ces événements, ou les trois, advenaient, il serait bon de savoir qu’en haut de la colline, à l’ouest de Paris, derrière sa longue-vue, veille un ancien qui, entendant ces bruits de fin du monde, pourrait dire calmement aux foules qui s’affolent : « C’est le début du commencement du redressement de la France… »
     
     
  • Incidents graves sur le réseau SNCF : les services publics empêchés par l'insécurité !

       Communiqués / 15 juin 2014 / Mots-clés : , /

     

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Notre pays ne connaît même plus le niveau de sécurité minimale pour permettre aux grands services publics de remplir normalement leurs missions. Ainsi, du fait de tirs de carabine sur des isolateurs de caténaires hier, des centaines de passagers de deux TGV Paris-Nice et Nice-Paris ont été bloqués pendant des heures avant de pouvoir rejoindre leur destination.

    Ces événements ne sont pas isolés, ils se multiplient et s’ajoutent aux vols de cuivre devenus eux-aussi monnaie courante sur le réseau SNCF.

    Il est temps de remettre de l’ordre en France, en rompant définitivement avec le laxisme d’Etat que va encore aggraver la loi Taubira, après les reculades de l’UMP sous le mandat de Nicolas Sarkozy. Les Français doivent pouvoir se déplacer et voyager en sécurité et dans la sérénité.

    Il convient aussi de mener enfin la lutte contre la multiplication des mafias venues d’Europe de l’Est, récemment dénoncées par un rapport de la Gendarmerie Nationale, ce qui suppose la pleine et entière maîtrise de nos frontières.

  • L’humain remplacé par la technique : un robot compagnon des personnes âgées et des enfants

     

    robotDepuis six mois, c’est un robot qui tient compagnie aux pensionnaires d’une maison de repos d’Ostende, cité balnéaire flamande.

    C’est en décembre que « Zora » – le robot a reçu un prénom – a fait son entrée à la maison de repos « De Boarebreker ». Zora est un robot humanoïde d’une cinquantaine de centimètres de haut commercialisé par la société belge QBMT. Son allure pourrait laisser croire que Zora sort d’un dessin animé.  Il marche et parle. Sa mission est polyvalente car c’est un robot doté d’une « intelligence artificielle » déjà fort développée.

    Le matin, il lit le journal à voix haute aux pensionnaires. L’après-midi, il montre les mouvements de gymnastique que doivent reproduire les personnes âgées. En fin de journée, c’est encore lui qui tire les numéros du Bingo.

    L’humanoïde joue également aux échecs. Mais surtout, il est capable de tenir une conversation personnalisée avec les pensionnaires. Ses réponses sont adaptées aux propos qu’on lui tient. Et pour les prochaines versions de ce robot, il devrait être possible de lui choisir un éventuel accent patois pour favoriser le sentiment de proximité chez ses interlocuteurs.

    Un autre robot humanoïde du même type est également testé depuis plusieurs mois dans le département « enfants » d’un hôpital gantois.

    Ce robot intelligent se vend actuellement 25.000 euros. La société belge qui les produit a déjà reçu des commandes d’Allemagne et des Pays-Bas.

    La science-fiction se fait chaque jour un peu plus réalité…

     

    Source MPI

    Contre-info.com

  • Rouen : le drapeau des militants homosexuels hissé à la mairie

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    Ce vendredi 13 juin 2014, la ville de Rouen a hissé le drapeau arc-en-ciel, emblème du lobby homosexualiste, qui flottait encore ce samedi aux côtés des drapeaux français et européen, devant la mairie.

    Le motif de cette provocation serait qu’il y avait une « gay pride » (défilé de décadents homosexualistes) le samedi à Rouen.

    Contre-info.com