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Blog - Page 902

  • Vladimir Poutine, homme le plus influent du monde selon Forbes

     

    Le président russe Vladimir Poutine arrive en tête du classement des personnes les plus influentes du monde établi par le magazine Forbes et publié mercredi, rétrogradant le président américain Barack Obama à la deuxième place.

    "Le président russe Vladimir Poutine dispose de la meilleure cote parmi les personnes les plus influentes du monde. Son homologue américain Barack Obama recule à la deuxième place et le président chinois Xi Jinping se classe troisième", rapporte le magazine.

    S’agissant des Russes présents dans cette liste de 72 personnalités, on retrouve, outre le président russe, le président de Rosneft Igor Setchine (60e place), le premier ministre Dmitri Medvedev (53e place) et l’homme d’affaires le plus riche du pays Alisher Usmanov (63e place).

    L’an passé, le président russe occupait la troisième place, et dans le classement 2011, Poutine, qui était alors premier ministre, avait terminé deuxième du classement.

    E&R

  • La rançon des otages au Niger: au moins 20 millions d'euros !

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/30/97001-20131030FILWWW00338-liberation-des-otages-au-niger-au-moins-20-millions-d-euros-ont-ete-verses.php

  • La grande peur des bien-pensants

     

    urne_vote

    A mesure que l’impopularité de la gauche au pouvoir  atteint des sommets et qu’il est constaté que celle-ci ne profite pas à l’aile droite du Système ou à ses chiens de garde d’extrême gauche, l’hystérique machine anti-FN se remet en branle avec une énergie accrue. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est peut être la conviction inquiète des officines se partageant le pouvoir  que les Français essorés, matraqués, envahis, paupérisés, sont vraiment  décidés cette fois   à renverser la table, à sanctionner comme jamais dans les urnes  les échecs des partis euromondialistes .   

    Cette frousse  de la  Caste  de perdre ses privilèges, qui nous permet en retour de craindre bien des manœuvres, des coups bas, des manipulations d’un Système qui incapable de protéger la France,  sait en  tout cas très bien défendre ses intérêts, était patent dans les propos d’un Jean-François Copé,  interrogé mardi matin sur RTL.

    Alors que l’UMP  se déchire sur la stratégie à tenir pour contenir la poussée de l’opposition nationale,  M.  Copé expliquait  à l’adresse du tout aussi calamiteux  Alain Juppé que « ce qui fait monter le FN, c’est le déni de réalité. Personne ne vote FN avec plaisir. » Il est bien connu a contrario  que c’est en proie à une allégresse et à un enthousiasme  débordant que électeurs se précipitent  avec un bulletin PS ou UMP dans l’isoloir!

    A la vérité,  le vote FN est tout autant, voire même plus,  un vote d’adhésion à des idées que peut l’être un vote UMP, FG ou PS, comme l’ont enregistré dernièrement  de récurrentes enquêtes d’opinion. Un déni de réalité peut en cacher un autre M. Copé…

    Au PS, les humanistes s’inquiètent aussi de l’éventualité de la  fin du jeu de balancier stérile,  de la (fausse)  alternance gauche-droite, de  cette incapacité de l’UMP à récolter  les raisins de la colère nationale. Dans Le Figaro, le président socialiste du Sénat, Jean-Pierre Bel, en fait clairement l’aveu:  »Si la gauche échoue, ce sera pour longtemps » dit-il.   « Ce ne sera pas forcément au profit de la droite républicaine, pas plus que de la gauche de la gauche. Le danger du Front National est évident. On a tout à perdre« …

    Conscient du danger, le Grand Orient de France (GODF) tire la sonnette d’alarme et mobilise ses réseaux, ses frangins,  tandis que se multiplie les menaces de couper les vivres aux villes dont les électeurs auront  démocratiquement choisi  de se doter d’une municipalité FN ou  RBM.

    René Olmetta,  79 ans, Vice-Président PS du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, incarnation emblématique du si progressiste et honnête socialisme marseillais,  Président GODF du Cercle Ramadier de  PACA,   a toujours le compas dans l’œil.  La Fraternelle des élus de gauche se mobilise. Il organise le 5 novembre prochain, en compagnie d’un autre humaniste, Loïc Gachon , maire de Vitrolles, Conseiller Général des Bouches-du-Rhône, une réunion  maçonnico-politique de mobilisation  pour contrer après Brignoles   « la montée du Front National »;  à l’heure est-il énoncé par le grand sachem local  Olmetta,   ou  » nos valeurs (sic)  sont une nouvelle fois attaquées ».

    De nouveau élu à la présidence du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ou il a succédé en mai dernier  à Richard Prasquier, Roger Cukierman, 76 ans, également vice-président du Congrès Juif Mondial,  y va  lui aussi de son couplet grandiloquent (grand-guignolesque).

    Dans une tribune publié hier dans Le Monde,  il s’essaye bien lourdement et sans grand talent, dans le fond comme dans la forme, à la politique fiction: « il est 20 heures ce 14 mai 2017. Le visage de Marine Le Pen se dessine lentement sur les écrans de télévision de millions de Français, au soir du second tour de l’élection présidentielle.Elle devient le 8e président de la Ve République. C’est un séisme politique.Quelques semaines plus tard, portée par ce succès et à l’issue de tractations avec des parlementaires en dissidence de leurs propres partis, Marine Le Pen dispose de la majorité à l’Assemblée nationale ».

    Un préambule réjouissant  de prime abord mais « Le scénario de (son)  cauchemar varie selon les nuits » poursuit M.  Cukierman qui expose ensuite  tous les clichés possibles et  variantes de celui-ci  en instrumentalisant,  toujours selon le même procédé que l’on a le droit de juger  intellectuellement   indécent et moralement répréhensible,   son passé d’ « enfant caché pendant la seconde guerre mondiale ».

    « Il est des réveils brutaux, mais salutaires » conclut M Cukierman. « Nous avons la responsabilité collective de tout faire pour qu’il continue d’en être ainsi. Le Conseil représentatif des institutions juives de France, que je préside, sera de ce combat.« 

    « Après vous avoir livré mon cauchemar, je veux vous dire quel est mon rêve : que le FN revienne à son ancien statut de groupuscule. Je n’exonère pas pour autant ceux qui, à l’extrême gauche, à l’autre bout du spectre politique, font également preuve d’intolérance et de radicalité, et qui méritent aussi de rester des groupuscules. Attention ! Il y a péril dans la maison commune ! »

    Péril qui ne sautait pas aux yeux de M.  Cukierman en 2002 quand, dans un  entretien accordé au quotidien israélien Haaretz au lendemain de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle,  il avait affirmé   avec balourdise que « Le score de Le Pen sert à réduire l’antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles ».

    Femme de gauche, Esther Benbassa, titulaire de la chaire d’histoire du judaïsme moderne à l’Ecole pratique des hautes Etudes,  s’interrogeait il y a quelques années sur la légitimité de la structure que préside Roger Cukierman : « Mais que représente véritablement le Crif et combien sont-ils en son sein ?   On ne le saura jamais. Ce qui compte, c’est qu’il est perçu comme un lobby (mot horripilant en France) par les politiciens. Et considéré comme tel, il l’est bien, un lobby, en fait. Ceux qui s’agglutinent à son dîner croient vraiment qu’il joue un rôle important dans la machine électorale. On y vient à la pêche aux voix juives, et pour être adoubé par des juifs dont l’influence serait déterminante, en raison de la place qu’ils occupent, ou sont censés occuper, dans la société française ».

    Ce jugement  sur une structure communautariste comme le Crif peut  aisément s’étendre à l’ensemble des porte-voix (porte-flingues) des différentes boutiques et écuries du Système.  La réalité constate Bruno Gollnisch,  c’est que les admonestations, les leçons de morale, les  anathèmes   anxiogènes, moralisateurs de  M. Cukierman ne portent pas plus que ceux   de l’UMPS.

    Car ces gens là dont le discours ronronne et tourne à vide   dans l’entre soi,  ont perdu  la connexion avec le peuple français , dans toutes ses composantes,  et sont incapables de répondre à  ses attentes. Alors oui, le déni de réalité est toujours tôt ou tard sanctionné.  

     

    Bruno GOLLNISCH

  • "Accroître la présence algérienne dans les universités française est une nécessité”, selon des députés français 30/10/2013

       

    “Accroître la présence algérienne dans les universités française est une nécessité”, selon des députés français


    Une mission de députés français, de toute tendances politiques, présidée par le parlementaire conservateur Axel Poniatowski et dont le rapporteur est le socialiste Jean-Pierre Dufau, ont recommandé, dans un rapport publié mercredi, que la France accueille davantage d’étudiants algériens et ont souhaité la création d’un office franco-algérien pour la jeunesse.

    Ils soulignent dans le même document que” la France et l’Algérie ne peuvent se tourner le dos. Leurs destins sont entremêlés et cette situation exceptionnelle appelle, dans bien des domaines, des solutions concertées, et donc une coopération étroite et concertée”.

    Ainsi dans le but de renforcer “la dimension humaine” de la coopération entre les deux pays, la mission demande que la France facilite “l’octroi de visas de circulation” pour les Algériens “ne présentant aucun risque migratoire”. Elle invite “les autorités algériennes à en faire de même à l’égard des français souhaitant se rendre et s’installer en Algérie”.

    La mission de députés français relève, toujours selon la même source, que les étudiants algériens constituent le troisième contingent d’étudiants étrangers en France, après les Marocains et les Chinois en dépit du nombre très réduit de visas qui leur sont délivrés annuellement estimé à 5.000.

    Pour les mêmes députés, “accroître la présence algérienne dans les universités française est une nécessité. Cela passe par une politique de visas plus adaptée et un effort en matière de bourses” avant de recommander la création d’un “office franco-algérien de la jeunesse, à l’image des deux offices qui existent déjà avec l’Allemagne et le Québec”.

     

    http://www.algerie1.com/actualite/accroitre-la-presence-algerienne-dans-les-universites-francaise-est-une-necessite-selon-des-deputes-francais/ http://www.algerie1.com/actualite/accroitre-la-presence-algerienne-dans-les-universites-francaise-est-une-necessite-selon-des-deputes-francais/


     ALTERINFO.NET

     

     

       

  • Marine Le Pen sur RTL - 29/10/13

  • Marine Le Pen à Fougères - 26/10/13

  • Le Parlement israélien refuse de recevoir le président français

     

          Le Parlement israélien refuse de recevoir le président français

     

    Par La Voix de la Russie | Yuli Edelstein, le président du Parlement israélien, a annoncé que le président français François Hollande était persona non grata dans les murs de la Knesset après que ce dernier a renoncé à prononcer un discours devant les députés lors de sa visite de novembre en Israël.

     Sur une page Facebook, Yuli Edelstein s’indigne du fait que François Hollande ait refusé de prononcer un discours devant le Parlement, qu’il prévoit tout de même de visiter, mais en se laissant du temps pour rencontrer des étudiants. En réponse, le président de la Knesset a déclaré qu’il refusait d’accueillir le chef d’État français dans les murs de l’institution. « Celui qui ne respecte pas la Knesset ne mérite pas le respect de la Knesset », écrit-il.
     http://french.ruvr.ru/news/2013_10_30/Le-Parlement-israelien-refuse-de-recevoir-le-president-francais-4006/

  • Les camps de travail en Corée du Nord

     

    • Date de prise de vue
    • 13/04/2012
    • Date de publication 27/06/2012

     

     

  • Mayotte : le Lampedusa de l’océan Indien

     

    Pendant que le monde se lamente sur le sort funeste des immigrés noyés à l’approche de Lampedusa et de Malte, il se passe des drames similaires dans ce département français et aussi région ultrapériphérique de l’Europe qu’est Mayotte.

    Le 20 octobre, ce sont 131 immigrés clandestins d’Anjouan à Mayotte, transportés par cinq kwassa kwassa, qui ont été interceptés par les gendarmes et immédiatement ramenés à leur point de départ.

    Et encore, ceux-là sont arrivés à bon port, alors que, depuis des années, en fait depuis que Balladur a instauré un visa entre les Comores et Mayotte, il s’en noie par centaines sans que cela émeuve grand monde.

    L’année dernière, 26 000 clandestins ont été reconduits du jour au lendemain sans autre forme de procès. Il est vrai que c’est insuffisant, la proportion de clandestins à Mayotte dépasse 60 %. Il vaut mieux être clandestin à Mayotte, où l’on reçoit soins et instruction, qu’habiter les Comores ou l’Afrique de l’Est.

    Lire la suite de l’article sur bvoltaire.fr

     

    E&R

  • Naissance de trente bébés génétiquement modifiés aux États-Unis

     

    Traduction E&R

    La naissance des premiers êtres humains génétiquement modifiés du monde a été révélée hier soir.

    L’annonce que 30 bébés en bonne santé sont nés après une série d’expériences aux États-Unis a relancé un débat houleux sur l’éthique en matière de science.

    Jusqu’à présent, deux des bébés ont été testés et se sont révélés posséder des gènes de trois « parents ».

    Quinze de ces enfants sont nés au cours des trois dernières années à la suite d’un programme expérimental de l’Institut de médecine de la reproduction et des Sciences de St Barnabas dans le New Jersey.

    Ces bébés sont nés de femmes ayant des difficultés à concevoir.

    Des gènes supplémentaires provenant d’un « donneur femelle » ont été insérés dans leurs ovules avant qu’ils ne soient fécondés pour leur permettre de concevoir.

    Des tests d’empreintes génétiques sur deux enfants d’un an confirment qu’ils ont hérité de l’ADN de trois adultes différents - deux femmes et un homme.

    Le fait que les enfants ont hérité des gènes supplémentaires et les ont intégrés dans leur lignée germinale (NDLR : lignée formée par la suite des cellules germinales qui subissent la division des chromosomes au cours de leur évolution) signifie qu’ils pourront, à leur tour, être en mesure de les transmettre à leur progéniture.

    La modification de la lignée germinale humaine - un bricolage de la nature même de notre espèce - est une technique boudée par la grande majorité des scientifiques du monde entier.

    Les généticiens ont peur qu’un jour, cette méthode puisse être utilisée pour créer de nouvelles races d’humains, avec les caractéristiques souhaitées telles qu’une force ou une intelligence accrue.

    Écrivant dans la revue Human Reproduction, les chercheurs, dirigés par le pionnier dans le domaine de la fertilisation, le professeur Jacques Cohen (photo ci-dessus), disent que « c’est le premier cas de modification génétique germinale humaine chez des enfants en bonne santé ».

    Certains experts ont sévèrement critiqué ces expériences. Sir Winston, de l’Hôpital Hammersmith dans l’ouest de Londres, a déclaré à la BBC hier : « En ce qui concerne le traitement de la stérilité, il n’existe aucune preuve que cette technique vaille la peine. . . Je suis très surpris qu’elle ait même été réalisée à ce stade. Cela ne serait certainement pas autorisé en Grande-Bretagne ».

    John Smeaton, directeur national de la Société pour la protection des enfants à naître, a déclaré : « Nous avons beaucoup d’empathie pour les couples ayant des problèmes de fertilité. Mais ce qui semble être une nouvelle méthode dans le processus de la fécondation in vitro afin de concevoir des bébés, conduit à des bébés étant considérés comme des objets sur une ligne de production. C’est une nouvelle et très inquiétante étape dans l’histoire de l’humanité. »

    Le professeur Cohen et ses collègues ont diagnostiqué que ces femmes sont stériles car elles possèdent des défaillances dans des structures minuscules de leurs ovules, appelées mitochondries.

    Ils ont pris des ovules de donateurs et, à l’aide d’une fine aiguille, aspiré une partie du matériel interne - contenant des mitochondries saines - et injecté celui-ci dans les ovules des femmes qui souhaitent concevoir un enfant.

    Parce que les mitochondries contiennent des gènes, les bébés résultant du traitement ont hérité de l’ADN de deux femmes. Ces gènes peuvent maintenant être transmis le long de la lignée germinale maternelle.

    Un porte-parole de la HFEA (Human Fertilisation and Embryology Authority), organisme chargé de réglementer la technologie de procréation assistée en Grande-Bretagne, a déclaré qu’il n’autoriserait pas la technique dans son pays car elle implique une modification de la lignée germinale.

    Jacques Cohen est considéré comme un scientifique brillant, mais controversé, qui a repoussé les limites des technologies de procréation assistée.

    Il a développé une technique qui permet aux hommes stériles d’avoir des enfants, en injectant l’ADN des spermatozoïdes directement dans l’ovule en laboratoire.

    Auparavant, seules les femmes stériles ont pu concevoir par fécondation in vitro. L’année dernière, le professeur Cohen a déclaré que son expérience lui permettrait de cloner des enfants - une perspective traitée avec horreur par la communauté scientifique en général.

    « Ce serait l’œuvre d’un après-midi pour un de mes élèves », dit-il, ajoutant qu’il avait été approché par au moins trois personnes souhaitant créer un enfant cloné, mais avait refusé leurs demandes.

  • Viol collectif au Kenya: les auteurs condamnés à tondre la pelouse du commissariat et relâchés

    http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/kenya-six-auteurs-d-un-viol-collectif-condamnes-a-tondre-la-pelouse-26-10-2013-3261657.php

  • Maria, l'Ange blond, "ne demande après personne"


    Maria, l'Ange blond, "ne demande après personne" par leparisien

     

    Maria, la fillette âgée de cinq ans retrouvée par la police grecque au sein d'une famille Rom n'a aucun lien de parenté avec elle. Une ONG, " le sourire de l'enfant", a recueilli Maria. Pour son directeur, Costas Yannopoulos, elle est "un symbole pour les autres enfants qui sont dans une situation similaire".

    NdB: Elle ne réclame pas ses parents adoptifs...  ce qui laisse à penser bien des choses.

  • Alain Finkielkraut fait peur au parti remplaciste au pouvoir !

     

    peloton

     

     

    Le 30 octobre 2013

     
     
     
     
    Renaud
    Camus
    Ecrivain.
    .
     

    Jean Birnbaum, dans Le Monde, accuse Alain Finkielkraut d’avoir été « contaminé » par votre pensée… Le philosophe va-t-il rejoindre le cercle des « excommuniés » ?

    J’espère bien que non. Il est difficile d’excommunier un homme qui a des centaines de milliers de lecteurs. Ce serait les excommunier eux aussi. Ce serait aussi ridicule que de continuer à appeler d’extrême droite un parti qui a pour lui vingt, trente ou quarante pour cent des électeurs. Finkielkraut, avec son intelligence, son courage, son talent, ses origines (et je ne pense pas seulement à son origine culturelle mais à son origine idéologique aussi bien, à son itinéraire), est merveilleusement précieux pour les patriotes parce qu’avec lui les remplacistes, en face, peuvent difficilement faire leur coup habituel du ventre encore fécond et des heures les plus sombres. Les Français se disent à juste titre que si un homme comme lui voit ce qu’il voit et dit ce qu’il dit, c’est qu’il doit bien y avoir quelque chose à voir et à dire, malgré ce qu’affirment quotidiennement Le Monde, France 2, France Culture, Le Nouvel Observateur et les neuf dixièmes des organes de presse, qui estiment, en accord avec la sociologie de cour, qu’il ne se passe rien, que le Grand Remplacement est un pur fantasme, né de l’imagination malade de ce pauvre Camus, le mauvais Camus. Finkielkraut ne parle pas de Grand Remplacement, ni de changement de peuple et de civilisation, encore moins de colonisation africaine ou de conquête musulmane : ce ne sont pas ses mots et ce ne sont pas ses idées. Mais il témoigne d’une inquiétude fondamentale quant à l’identité de la patrie, et des millions de Français peuvent reconnaître en lui leur propre effarement, et se convaincre qu’il est fondé. Je n’exclus pas que L’Identité malheureuse soit le signal et l’instrument d’une prise de conscience : le déclencheur de ce grande refus, de ce grand NON, que je m’échine à appeler de mes vœux.

    Toujours selon le journaliste, vous « ventriloquez littéralement » Alain Finkielkraut…

    Jean Birnbaum tente un double écrasement, et c’est bien d’écrasement qu’il s’agit, d’une tentative de se débarrasser de quelqu’un qui fait peur au parti remplaciste au pouvoir parce qu’il est connu, aimé et respecté et donc pourrait être cru, et suivi : écrasement de Finkielkraut sur moi, alors que nous n’avons pas, malgré notre proximité et notre amitié, les mêmes positions (Finkielkraut désapprouvait totalement mon appel à voter pour Marine Le Pen, par exemple) ; écrasement de moi sur Marine Le Pen, alors que les deux tiers de son programme me sont totalement étrangers et que, si j’ai appelé à voter pour elle, c’est uniquement parce qu’elle était, de tous les candidats, le moins éloigné de mes vues et le plus conscient de la gravité du Grand Remplacement. Quand Bayrou dit qu’il va voter Hollande, personne ne pense qu’il est devenu socialiste.

    Christian Vanneste affirme que le droit du sol est un « marqueur républicain » décrété par la gauche : un tabou de plus ?

    Christian Vanneste rappelle très justement que droit du sol et droit du sang l’ont emporté tour à tour pour des raisons purement contingentes, presque cyniques. Dans l’esprit de ses promoteurs, le droit du sol pouvait concerner quelques centaines ou milliers d’individus. Il ne remettait pas en cause la principale et presque unique source d’appartenance à la nation et au peuple : l’origine, l’héritage, la transmission héréditaire. Nous sommes dans des circonstances totalement transformées, que le législateur post-révolutionnaire n’avait pas un seul instant envisagées, parce qu’il ne pouvait pas croire que nous puissions jamais être assez bêtes pour en arriver là. Et dans ces circonstances nouvelles, dans ce contexte de colonisation par substitution ethnique, le droit du sol est un désastre.

    Et vous, vous êtes plutôt « droit du sang » ou « droit du sol » ?

    Si tout le choix est là, droit du sang, bien sûr. Mais je suis surtout pour le droit de l’héritage culturel, de la transmission, de l’amour des œuvres et des façons de voir d’une civilisation : la nôtre (sauf durant les voyages et dans les expositions, ou les livres, les films : là, l’héritage des autres me va très bien).

    Où en est le Parti du Non au Changement de Peuple et de Civilisation ?

    Ah, ce n’est pas (encore ?) un parti. Nous avons rencontré quelques difficultés techniques pour le lancement du site, le-non.fr, qui dans mon esprit est un élément essentiel du dispositif de reconquête. Il faudrait que tous ceux qui sont disposés à dire NON au changement de peuple et de civilisation s’y retrouvent, s’y donnent rendez-vous, y organisent des groupes, y préparent des actions et des manifestations, comme celle du 8 décembre aux côtés de Résistance républicaine. Ce que nous serons et ce que nous pourrons faire (et empêcher) dépendra étroitement de notre nombre. Si la moitié ou même un quart des lecteurs d’Alain Finkielkraut nous rejoignaient, nous serions déjà une force qui pourrait peser sur les événements.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Hongrie : le président du Jobbik, Gábor Vona, souhaite renouveler l’image de son parti

    Hongrie : le président du Jobbik, Gábor Vona, souhaite renouveler l’image de son parti

    À la quasi-unanimité des suffrages (98,8% des voix des congressistes), un congrès exceptionnel du Jobbik a fêté les 10 ans de la fondation du parti nationaliste et désigné son président Gábor Vona comme candidat au poste de Premier ministre pour les élections législatives à venir du printemps 2014.

    Invité par la chaîne de télévision Hír TV, Gábor Vona a notamment été interrogé sur l’évolution de l’image qu’il souhaitait donner de lui-même, mettant en avant des visages plus « présentables » que les habituels clichés sur la Garde Hongroise. Le président du Jobbik a répondu que ces visages avaient toujours existé au sein du Jobbik, qui est devenu le parti le plus populaire au sein de la jeunesse hongroise, et reconnu que c’était peut-être une erreur de n’avoir mis en avant que le visage « radical » du parti, précisant toutefois que ces deux « visages » du parti avaient toujours coexisté et continuent de le faire en harmonie au sein du parti, et qu’en revanche les lignes fondamentales du programme du Jobbik (rendre la Hongrie aux Hongrois, résoudre le problème de la coexistence des Hongrois et des Roms, ne plus accepter la domination de la Hongrie par l’Union européenne) n’avaient pas changé et ne changeraient pas.

    Voici le dernier clip de campagne du Jobbik : A jövőt nem lehet megállítani ! (Il n’est pas possible d’arrêter l’avenir !).

     

    NOUVELLES DE FRANCE - 29/10/13

  • Grande-Bretagne : « Nous devons dire non à l’immigration » déclare David Cameron


    29 octobre 2013

     « L’immigration, le système de protection sociale et l’éducation sont étroitement liés. Dans de nombreuses entreprises britanniques, la moitié des emplois sont occupés par des immigrés. Nous devons, en tant que pays, refuser cela. Nous devons réformer notre éducation pour que ce soient nos jeunes qui occupent ces emplois. Et nous devons réformer notre système de protection sociale pour qu’il soit plus intéressant financièrement de travailler que de rester inactif. Et nous devons contrôler l’immigration, en limitant en particulier le nombre d’immigrés hors Union Européenne.»

     

    Islamisme

     

  • En Bretagne comme ailleurs, le droit de vivre et de travailler au pays! Par Bruno Gollnisch

     

    drapreau breton

     Le baromètre BVA publié hier  lundi, enregistre un nouvel écroulement de la cote de bonne opinion  de François Hollande qui  plonge de six points au mois d’octobre. 73% des personnes interrogées affirment ainsi avoir une « mauvaise opinion » du chef de l’Etat, qui devient de  fait le président le plus impopulaire de toute la Ve République. Un pourcentage d’impopularité  similaire est recueilli par   Jean-Marc Ayrault.  Seul Manuel Valls, boosté par sa fermeté en trompe l’œil  sur l’affaire Léonarda surnage,  et gagne même neuf points avec 70% des personnes interrogées  qui disent avoir une bonne opinion du ministre de l’Intérieur. La nouvelle levée de bouclier contre l’impitoyable matraquage fiscal dont  se rend coupable le gouvernement, notamment  pour poursuivre sa politique d’immigration massive et respecter les diktats euromondialistes, ne devrait pas arranger la cote de popularité de l’exécutif. Devant le cri de colère  des 15 millions de possesseurs de plans d’épargne en actions (PEA) et plans d’épargne-logement (PEL) -Bruno Gollnisch avait notamment déclaré qu’il fermerait  son PEA et son PEL pour que » les gaspilleurs des deniers publics  n’aient pas (son) fric »-  le gouvernement  a ajourné (reporté après les élections de 2014?) les  taux de prélèvements sociaux prévus à 15,5%  sur les PEA et PEL.  Ce taux a cependant été maintenu pour les 7 millions de Français possédant des  contrats d’assurance-vie, mesure qui a  officiellement pour but  de combler le déficit de la sécu en rapportant 600 millions d’euros. Soit pratiquement deux fois moins  que ce coûte l’Aide Médicale d’Etat (AME) attribué aux clandestins chaque année dans notre pays…

    Autre épine, et de taille,  dans le pied du gouvernement, la fronde bretonne  contre l’écotaxe dont devront s’acquitter sur les routes nationales les poids lourds -pour  les punir de ne pas prendre l’autoroute?  Jean-Marc Ayrault  réunit aujourd’hui  à Matignon certains  élus bretons sur ce sujet  et les ministres concernés, ceux de l’Agriculture, des Transports et de l’Agro-alimentaire. Mais cette taxe ne sera pas supprimée a averti Stéphane Le Foll  qui espère en tirer  800 millions d’euros d’argent public, notamment pour améliorer le réseau routier;  selon certains calculs elle devrait  rapporter un milliard d’euros par an.

    800 millions d’euros c’est d’ailleurs le montant du contrat passé sous Nicolas Sarkozy  avec la société  italienne Ecomouv, chargée d’installer les portiques sur les routes et de récupérer l’argent. Interrogé par l’AFP, le ministère des Transports  a confirmé qu’il s’agit bien d’une clause du contrat conclu par trois ministres du gouvernement Fillon  en octobre 2011.

    Selon Le Figaro, citant « des  éléments de synthèse alarmants envoyés par la sous-direction de l’information générale (SDIG) de Rennes au ministère de l’Intérieur », cette fronde bretonne « prend des allures de jacquerie généralisée« . « Chacun se prépare donc pour le grand jour, le 2 novembre prochain, avec une nouvelle manifestation à Quimper. Les bonnets rouges et leur symbolique antijacobine, en souvenir de la révolte des Bretons de 1675 contre une nouvelle taxe, sont attendus en nombre, la police craignant violences et débordements ». Outre « les syndicats traditionnels, comme la FNSEA« , « les organisations représentatives des secteurs du transport, du BTP et de l’agroalimentaire, la population commence à adhérer au mouvement, constatent les ex-RG. »

    « La SDIG de Rennes a prévenu Paris que le mouvement pourrait faire tache d’huile dans des régions de France à forte identité, l’Alsace, le Pays basque et même la région niçoise, où quelques irréductibles s’interrogeraient sur la façon de passer à l’action. Ils auraient pris des contacts entre eux. »

    Mais en Bretagne , « l’un des foyers les plus vivaces est la ville de Carhaix (…) Son maire, Christian Troadec (…), très apprécié par les anticapitalistes du NPA, et résolument impliqué dans le mouvement breton, cet électron libre de la gauche alternative appelle ouvertement les salariés de l’agroalimentaire, agriculteurs, marins, élus, syndicats, commerçants, artisans, transporteurs, toutes les populations touchées d’une manière ou d’une autre par la crise, (…) à se rassembler pour dire non au déclin de la Bretagne et par la même occasion à l’écotaxe ».

    «Jusqu’alors, estiment les analystes du SDIG, les syndicats se sont toujours refusés à réunir agriculteurs et pêcheurs, tant le cocktail peut se révéler explosif. Or, s’inquiètent-ils, des représentants de deux corporations se sont entendus le week-end dernier pour agir de front. »

    Pour délégitimer cette fronde, rien de tel que d’y voir la main des extrémistes et Le Figaro de nous expliquer encore que « la colère des Bretons contre l’écotaxe (…) serait attisée notamment par deux groupes identitaires, l’un d’extrême gauche, en marge du mouvement Breizhsistance, l’autre d’extrême droite, sous la bannière de Jeune Bretagne (…), rattaché à l’Adsav (le parti du Peuple breton), qui se fixe pour objectif «la création d’un État indépendant breton». Ses militants ont ouvert une page Facebook intitulée Révolte bretonne. Elle compte déjà 4000 sympathisants. »

    Preuve que  la bête immonde pointe déjà le bout de son museau, «  le site Internet de Jeune Bretagne a laissé en évidence sur sa page d’accueil un appel à venir assister à la conférence en septembre dernier d’un ancien cacique du FN, Jean-Yves Le Gallou, à l’occasion de la publication de son (excellent, NDLR)  livre sur La Tyrannie médiatique. » Horresco referens!

    Il n’empêche que le FN qui certes défend aussi les enracinements régionaux, les particularismes locaux, les  patries charnelles que sont nos provinces,  a toujours rappelle Bruno Gollnisch,    résolument dénoncé les mouvements  indépendantistes qui font  le jeu du mondialisme en tant  qu’alliés  de revers de ceux qui à Bruxelles comme ailleurs,  veulent   abattre les Etats nations.

    « L’impulsion du mouvement (en Bretagne, NDLR)  est locale. Le Front National observe, mais n’a pas prise en Bretagne, où il ne réalise jamais de gros scores», confie un officier de police cité par Le Figaro. Scores frontistes en deçà de la moyenne nationale car  «le poids des valeurs démocrates chrétiennes dans la région» est encore important   avance  comme explication  le politologue Romain Pasquier, directeur de recherche au CNRS et à Sciences-Po Rennes, cité par 20 minutes.

    Mais là aussi, et Marine Le Pen en déplacement samedi à Fougères (Ille-et-Vilaine)  ne nous contredira pas, les choses changent rapidement. Lors de la  présidentielle, elle avait obtenu   13,2 % des suffrages et en juin dernier le FN   avait  franchi la barre des 20% aux législatives  dans certaines petites communes rurales, en Ille-et-Vilaine et dans le Morbihan.

    Géographe,  auteur  des Fractures Françaises, Christophe Guilluy rappelait dans la dernière édition du JDD que « le FN a globalement une marge de progression immense dans tout l’ouest. Et ce parti l’a bien compris. Les représentations de la France d’hier, tout comme la géographie électorale d’hier, sont en train de s’effacer. C’est la conséquence de la reconstruction sociale mais aussi économique des territoires. Aujourd’hui, il y a deux France, celle des métropoles, en phase avec la mondialisation, qui inclut les banlieues, et celle où se redéploient les nouvelles classes populaires. Des zones rurales, des petites villes, des petits villages, certaines zones périurbaines. Cela forme la France périphérique, où progresse le vote FN. Cette fracture touche à présent toutes les régions, y compris la Bretagne« .

    Il relevait déjà dans son ouvrage cité plus haut que  » les milieux populaires sont ceux qui ont été les plus exposés à la mondialisation et au multiculturalisme. Or on ne les a pas armés pour. »  Cette « exposition » là épargne en effet  de moins en moins la Bretagne et les Bretons.

    «  Ce qui vient de se produire en Bretagne est assez représentatif constate encore M Guilluy. Quand une entreprise du centre de la région vient à fermer, c’est le chômage total qui arrive. Dans cette France périphérique qui pèse 60% de la population, les mobilités sociale et résidentielle sont en train de s’effondrer. Compte tenu des logiques foncières et économiques, les gens sont coincés. Et c’est ce qui génère la radicalisation. »

    Autant dire que samedi prochain les anciens, nouveaux et futurs  électeurs frontistes, ouvriers,  paysans, marins-pêcheurs,chefs d’entreprise, artisans, seront nombreux à manifester dans les rues de Quimper pour défendre le droit de vivre et de travailler au pays ».

  • Pour retrouver un cap, revenir au peuple ! 29/10/13

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, présidente du Front National

    Suspension de l’écotaxe, après un rétropédalage sur la fiscalité de l’épargne, et celle de l’entreprise : le gouvernement ne sait manifestement plus du tout où il va en matière de fiscalité.

    Euro beaucoup trop fort d’après Arnaud Montebourg, pas si fort que ça d’après Pierre Moscovici : le gouvernement ne sait plus à quel saint se vouer en matière de politique monétaire.

    Expulsion de Leonarda et de sa famille, retour de Leonarda en France mais sans sa famille : le gouvernement n’a aucune idée non plus de ce qu’il convient de faire en matière d’immigration.
    On pourrait multiplier à l’infini les exemples. Le gouvernement n’a en réalité plus de direction.

    Les Français ont rejeté en 2012 la trahison sarkozyste. Ils rejettent aujourd’hui un président qui, comme son prédécesseur, est incapable de donner un cap à la France.

    Quand il n’y a plus de direction au sommet de l’Etat, il n’y a qu’une solution : en revenir au peuple, et lui demander quelle direction il veut prendre.

    Plus que jamais, la question de la dissolution de l’Assemblée nationale et de l’organisation de nouvelles élections législatives se pose.
    Le quinquennat précédent a été un quinquennat pour rien. Le nouveau quinquennat est en train de l’être aussi.
    La crise de gouvernance que connaît actuellement la France doit être l’occasion de réfléchir à la possibilité de rendre la parole au peuple.

    Nous proposons au peuple une direction claire : redonner à la Nation la maîtrise de son destin, par la souveraineté du peuple en tous domaines, économique, monétaire, budgétaire, migratoire, diplomatique, etc. L’UMPS ne propose que la soumission à des intérêts qui ne sont pas ceux des Français, tout en taisant les vrais enjeux. Il est temps de sortir de la fausse politique, de l’impuissance et du mensonge.

    La campagne législative nouvelle serait l’occasion de poser ces questions de fond.