Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 903

  • Un restaurant de New York payera 900 000 dollars pour des blagues antisémites

    3191428452_9f7463177e_o.jpg New York.jpg

         

     

    Par La Voix de la Russie | Adam Wiercinski, courrier au restaurant new-yorkais Mangia, a gagné le procès contre ses chefs les ayant accusés d'attaques antisémites. Wiercinski touchera 900 000 dollars de dommages-intérêts pour préjudice moral.

                 

     Selon sa requête, le chef du service de nuit Artur Zbozien pétait devant lui affirmant que c'était du gaz Zyklon B utilisé par les nazis dans les chambres à gaz des camps de la mort.

     « La même chose se répétait, raconte Wiercinski de 57 ans. Zbozien pétait, tout le monde riait, puis il demandait : « Tu sens du gaz ? C'est du Zyklon B, Juif stupide ».
     http://french.ruvr.ru/news/2013_10_29/Un-restaurant-de-New-York-payera-900-000-pour-des-blagues-antisemites-6097/

  • Rouge cauchemar

     

      

    Presque chaque famille allemande a sa victime, murée dans le silence depuis plus de soixante ans. Nombre d’entre elles sont décédées, sans avoir jamais évoqué le traumatisme enfoui… A la fin de la guerre, des centaines de milliers d’Allemandes furent violées par les Alliés et les Soviétiques, assoiffés de vengeance. Lentement pourtant, le silence se craquelle. Plusieurs livres, films ou colloques consacrés aux souffrances de la population civile allemande à la fin de la guerre abordent ces derniers mois pudiquement le sujet. Quelques victimes bravant le tabou osent prendre publiquement la parole. «Bien des fois, j’ai tenté de parler. A des médecins, à l’école. Partout, je me suis heurtée à un mur», se souvient Ruth-Irmgard. A 77 ans, cette femme pasteur a trouvé un peu de paix grâce à la thérapie entreprise dans le sillage d’un cancer. Violée comme sa mère par les Russes en Prusse orientale, ce traumatisme a marqué toute sa vie. «J’ai connu l’amour, mais jamais le désir», confie-t-elle simplement. Aujourd’hui encore, bien des femmes de son âge sont assaillies de cauchemars et prises d’accès de panique en entendant parler le russe ou lorsqu’elles doivent descendre à la cave.

     

    Silence menaçant

    A Stuttgart, des milliers de femmes sont victimes des Français, lors de la prise de la ville. En Rhénanie, ce sont les GI qui s’en prennent aux Allemandes. Mais nulle part dans le Reich en ruines les violences contre les femmes n’atteignent une dimension semblable à ce qui se passe à l’est du pays où l’Armée Rouge progresse à grande vitesse. «Fin janvier 1945, le front se rapproche. Fuir à pied n’avait aucun sens, nous mourrions de froid». Ruth-Irmgard a 12 ans lorsque deux officiers la tirent de force de la cave dans laquelle s’est cachée toute la famille. «Le silence qui tombe brusquement sur la ville est lourd de menaces, se souvient-elle. Nous osons à peine respirer. J’entrouvre la porte pour prendre un peu d’air frais, et vois un Russe en uniforme se diriger vers notre immeuble. Ils demandent d’abord à ma mère, qui portait mon petit frère Erich dans ses bras de leur montrer notre appartement. Elle met longtemps à revenir. A son retour, je vois un bandage à son poignet. Plus tard, elle me dira qu’elle a tenté de se suicider.Ensuite, les Russes descendent de nouveau à la cave. Cette fois, ils me demandent de les suivre…»

    Près de deux millions d’Allemandes sont violées par les Soviétiques entre janvier 1945, lorsque l’Armée Rouge entre dans le pays, et juillet 1945, quand les Alliés se partagent le Reich. Rien qu’à Berlin, on estime à 100 000 le nombre des victimes. Dix mille femmes meurent des suites de ces violences. Nombre d’entre elles se suicident, entraînant leurs enfants avec elles. Parfois, ce sont les pères qui décident de la mort de toute une famille, pour échapper au déshonneur. «En quelques heures, les jeunes filles vieillissaient de plusieurs dizaines d’années. Des mères de famille revenaient des granges où elles étaient violées avec les cheveux blancs», rapportent les témoins. Peu de familles ont été épargnées.

    «Bien sûr, on ne sait pas combien de femmes ont été violées, admet l’historienne Silke Satjukow. Selon les estimations, entre 10 et 90 % des femmes qui se trouvaient à Berlin à la fin de la guerre ont été violées par les Russes. Nombre d’entre elles ont été victimes de viols collectifs, et/ou répétés, puis déportées vers l’URSS. Fuyant l’avancée de l’Armée Rouge, un grand nombre de réfugiées venues des territoires de l’Est vivaient à Berlin. Les hommes étaient au front, les femmes livrées à elles-mêmes. Et aux Russes. Elles savaient ce qui les attendaient : la propagande nazie ne cessait d’évoquer les atrocités commises par l’Armée Rouge sur les civils. Goebbels agitait cette menace pour motiver la Wehrmacht désabusée par l’accumulation des défaites depuis la perte de Stalingrad. Il pensait que les hommes se battraient avec plus d’ardeur s’ils savaient que les femmes seraient violées en cas de défaite.»

    Troufion de base, gradé… Il n’y a pas de portrait type du violeur russe à la fin de la guerre. «Ce qui est sûr, c’est que Staline, qui s’était fixé comme objectif d’atteindre Berlin pour le 1er mai, n’a pas épargné ses hommes, rappelle Jochen Staadt, historien à l’Université libre de Berlin. Vingt mille soldats russes sont morts dans les dernières semaines de la guerre. Et il a fallu envoyer au front de nouvelles recrues, de très jeunes hommes, souvent mal formés, issus des territoires orientaux de l’URSS. Beaucoup de ces jeunes soldats ont vu mourir leurs camarades sous les balles nazies. Ils étaient animés d’une haine solide contre les Allemands. La propagande stalinienne leur répétait depuis des mois qu’une bonne journée, c’était une journée où on avait tué au moins un Allemand. Lors de leur progression vers l’Ouest, les soldats russes ont vu les ravages commis par les nazis en URSS, ont découvert à quel point l’Allemagne, même dévastée par la guerre, était riche en comparaison des régions d’où ils venaient. Légitimement, ils pouvaient se demander ce que les Allemands étaient venus chercher chez eux qui n’avaient rien…»

     

    «Mœurs victoriennes»

     

    «Les Russes ont marché vers l’Ouest avec 22 millions de morts dans le dos, rappelle pour sa part l’historien américain Norman Naimark. L’alcool était l’un des rares moyens de s’évader de la brutalité du front. Des mœurs victoriennes régnaient en URSS. On ne parlait pas de sexualité. Il n’y avait ni préservatifs ni bordels. Cette morale sexuelle répressive et les violences subies expliquent la bestialité des soldats lorsqu’ils tombaient sur des femmes allemandes.» «Ce qu’on oublie, c’est que les Soviétiques n’ont pas violé que les Allemandes, rappelle Ingeborg Jacobs, qui a collecté les témoignages de 200 victimes dans son livre Freiwild («Proie»), paru en septembre 2008. Ils ont violé des rescapées des camps de concentration, des Polonaises, des Hongroises, des Tchèques, et même les femmes soldats de l’Armée Rouge !»

    «Les viols massifs ont cessé avec l’arrivée des Américains , en juillet 1945, précise Jochen Staadt. A partir de fin 1945, il y a encore eu quelques cas isolés. Mais ce n’était plus en pleine rue. Des sanctions exemplaires ont été appliquées. Certains soldats ont été exécutés devant leurs camarades pour viols.» Staline, soucieux d’asseoir son autorité sur le bloc de l’Est, reprend son armée en main, parquée dans des casernes, interdite de contacts avec les habitants. «Dès le 16 avril 1945, Staline a donné l’ordre à ses soldats d’épargner les civils, précise Ingeborg Jacobs. Pour mener à bien son dessein politique, il lui fallait éviter la haine de la population.»

    Pendant des mois, la peur des viols domine la vie des femmes dans la partie orientale de l’Allemagne. Et avec elle, l’angoisse des grossesses et des maladies vénériennes. A Senftenberg, au sud-est de Berlin, le responsable des services techniques de l’hôpital a récemment retrouvé dans le grenier le registre des patients de 1945. Entre juin et août 1945, «Interruptio» figure régulièrement en face du nom des patientes. Pendant ces trois mois, les médecins de l’hôpital pratiquent quatre à cinq avortements par jour, sur des femmes âgées de 17 à 39 ans. «Selon le registre, 80 % des opérations effectuées à Senftenberg durant l’été 1945 ont été des avortements. A une époque où l’avortement était illégal !» insiste Georg Messenbrink, qui a retrouvé ce document. Cette année-là, la mère de Ruth-Irmgard mettra au monde une petite fille qui ne survivra que quelques semaines. «Nous avions faim. Maman n’avait pas de lait. Bien sûr qu’elle a cherché à avorter. Mais le médecin lui a dit qu’il ne pouvait rien faire pour elle. Je ne sais pas ce que mon père a su plus tard de cette naissance.»

    Sourds reproches

    Jusqu’à la chute du Mur, les femmes se sont tues. A l’ouest du pays, le sentiment de culpabilité, la responsabilité pour les atrocités commises par les nazis interdisent toute évocation des horreurs subies par les civils allemands. «Nous étions un peuple de coupables. Il n’y avait pas de place pour les victimes allemandes», comprend Ruth-Irmgard. A l’Est, l’Armée Rouge est glorifiée par la propagande. Que le grand frère russe ait pu s’en prendre aux femmes allemandes ne colle tout simplement pas avec l’image officielle. «Le silence des femmes a commencé avec le retour des hommes, relate l’historienne Silke Satjukow. Tant qu’elles n’étaient qu’entre elles, les femmes ont réagi avec un certain pragmatisme, dicté par l’anormalité de la situation et la nécessité de survivre. On sait à la lecture de journaux intimes qu’il leur arrivait même de se saluer en se disant : "Combien cette nuit ?" Cela peut sembler macabre, ou cynique mais c’est la réalité.»

    Les hommes, qui n’avaient pu protéger épouses, sœurs ou filles, adressent aux victimes de sourds reproches. «Tu as bien dû avoir ton plaisir !» «Ne fais pas la chochotte, pour ces quelques minutes.» Le père de Ruth-Irmgard, de retour du front, s’étonne que sa femme n’ait pas pensé à sauver un de ses costumes dans son exode. Une femme à Berlin, le journal anonyme tenu entre avril et juin 1945 par une jeune Berlinoise, sera très mal accueilli lorsqu’il finit par sortir en 1959 en Allemagne, cinq ans après sa parution aux Etats-Unis. En 2003, sa réédition devient un best-seller, à l’heure où la société allemande n’a plus peur, ni honte de se saisir de son passé.

    «L’absence de reconnaissance par la société du dommage subi est l’une des composantes majeures du traumatisme», insiste le psychiatre Philipp Kuwert, qui mène une étude sur le trauma à long terme des victimes, pour l’université de Greifswald. «Cette étude n’aurait pas été possible il y a quelques années», insiste le psychiatre. Le tabou était trop fort. Suite à l’appel à témoins qu’il a lancé, 35 femmes se sont manifestées. La plupart ont près de 80 ans. «Nous cherchons à savoir comment ces femmes ont pu vivre toutes ces années sans aucun soutien psychologique.» Une fois son étude scientifique achevée, le médecin voudrait mettre en place une thérapie spécifique, destinée aux personnes âgées. Pour leur permettre, à l’image de Ruth-Irmgard, de retrouver la paix, au seuil de la mort.

    Nathalie VERSIEUX Berlin, de notre correspondante
     
     
    LIBERATION
  • Pologne: la statue du viol d'une femme enceinte par un soldat soviétique provoque la colère de Moscou

    article_000_DV1558113.jpg
    La statue d’un viol sculptée provoque la colère... par 20Minutes

     

    http://www.20minutes.fr/television/1237573-20131016-pologne-statue-dun-viol-sculptee-etudiant-provoque-colere-moscou

     

    NdB: Des centaines de milliers de femmes allemandes et polonaises ont été violées par les soldats de la glorieuse Armée Rouge !

     On parle assez des viols perpétrés en Afrique, au Congo, par la soldatesque pour ne pas passer sous silence les viols systématiques subis par les malheureuses Berlinoises de la part des soudards soviétiques. Cette barbarie bestiale envers des femmes et des jeunes filles innocentes ne doit pas être oubliée par l'Histoire. Des témoignages irréfutable dénoncent ces crimes qui n'ont jamais fait l'objet d'une quelconque repentance de la part de la Russie.

     

    Cette sculpture leur rend hommage et justice. Que son auteur courageux en soit félicité!

     

     

     

     

  • Nigel Farage: les partisans d'une Europe des nations ne sont ni des malades mentaux ni des dangers pour la civilisation occidentale

    Le 23 octobre 2013 au Parlement européen de Strasbourg, Nigel Farage explique à ses confrères qu’ils doivent se préparer à perdre leurs places lors des prochaines élections, en 2014. Sourires moqueurs de ces derniers. Après avoir considéré les partisans d’une Europe des nations comme des malades mentaux, vous les traitez de dangers pour la civilisation occidentale, note-t-il avant de rappeler l’importance pour les États-nations de disposer de la maîtrise de leurs frontières. Autant parler à un mur…

    NOUVELLES DE FRANCE - 28/10/13

  • Valls fait tirer sur des travailleurs bretons alors qu'il épargne les racailles

    http://ripostelaique.com/valls-fait-tirer-sur-des-travailleurs-bretons-quand-il-epargne-les-racailles.html

     + VIDEO

  • Paris veut faire perdre leur mémoire aux Parisiens

     

    Parce qu'il faut donner des noms en rapport avec l'histoire de la capitale, la mairie de Paris remplace la bibliothèque Mouffetard-Contrescarpe par la bibliothèque Mohammed Arkoun : 

    "Bertrand Delanoë a décidé de débaptiser certaines bibliothèques de Paris pour leur donner le nom de personnalités "ayant un lien avec la capitale". Ainsi la bibliothèque Mouffetard-Contrescarpe s’appellera désormais "bibliothèque Mohammed Arkoun". J’ai quelques raisons familiales d’avoir de la sympathie pour cet éminent islamologue né à Taourit-Mimoun (Kabylie) et spécialiste de Ibn Miskawayh, mais je me mets à la place des habitants du coin : s'agissant d’une bibliothèque, franchement, est-ce que les noms "Mouffetard" et "Contrescarpe" n’étaient pas plus évocateurs de la mémoire bimillénaire de ce quartier de Paris ?"

    Pour ne pas y perdre la tête, revenons aux sources : 

    Mouffetard

    "- Portion de l'ancienne voie Romaine allant vers l'Italie. Elle traversait au XIII ème siècle un lieu dit le Mont Cetardus. Ce nom après déformation au fil des ans a donné le nom de Mouffetard.

       - La rue Mouffetard tirerai son nom des "mofettes" , ces odeurs pestilentielles provoquées par les écorcheurs qui vidaient dans la Biévre les tripes des animaux abattus pour en tanner le cuir".

    Contrescarpe (en rapport avec les fortifications de Lutèce) : 

    "Pente extérieure du fossé entourant une place fortifiée".

    Mohammed Arkoun :

    "né en 1928 à Taourirt-Mimoun dans la commune actuelle de Beni Yenni, en Kabylie (Algérie), décédé le 14 septembre 2012 à Paris, est un intellectuel qui s'inscrit dans la tradition française  des « lumières » , historien de l'islam et philosophe".

    Lahire

    LE SALON BEIGE - 28/10/13

  • Diverses façons pour anéantir les nations et démolir l’Europe.

    |

     

    1) Promouvoir le biculturalisme. L’Histoire montre qu’aucune nation ne peut survivre quand deux langues, deux cultures, ou plus, s’opposent en son sein. (Ex : Yougoslavie, Tchécoslovaquie, Irlande, Liban, …la liste est longue).

    2) Valoriser le multiculturalisme. Encourager les immigrants à conserver leurs cultures. Les sociétés multiraciales et multiculturelles doivent consacrer toute leur énergie à maintenir la paix entre les différentes communautés qui la composent.

    3) Faire l’éloge de la diversité, plutôt que de l’unité. Les divers groupes culturels mettent en avant et revendiquent leurs spécificités, plutôt que leurs points communs. Il ne reste alors plus comme facteurs de cohésion que la « tolérance » et le « pluralisme ».

    4) Maintenir le groupe, dont la démographie est la plus forte, dans l’illettrisme. Une sous-classe en expansion, non-assimilée, sous-éduquée, hostile à la majorité, et dont l’énorme taux d’échec scolaire (ou de condition sociale) sera prétendument le produit des discriminations et des préjugés de la majorité.

    5) Amener le monde des affaires à soutenir financièrement le multiculturalisme. Miser et investir dans l’identité ethnique. Mettre en place un culte de la « victimisation » et le business de la rancœur, au travers d’une industrie de la revendication qui rejettera systématiquement la responsabilité de l’échec des minorités, sur la majorité des populations. Imposer une religion de la « repentance » et de la culpabilité, au nom du « devoir de mémoire ».

    6) Rendre tabou tout propos qui va à l’encontre du culte de la diversité. Trouver un terme comparable à celui de « l’hérétique » du 16ème siècle. « Raciste » par exemple ou encore « extrémiste ». Ce mot devra interdire toute discussion, tout débat, tout argumentaire et paralyser la pensée et exclure tout opposant des discussions.

    7) Faire en sorte que les lois sur l’immigration deviennent inapplicables. Imposer un ensemble de mythes ou de chimères, selon lesquels, par exemple, l’immigration massive (invasion et/ou colonisation) est un phénomène normal qui ne peut être arrêté, et qui en outre est un bienfait pour la société vieillissante.

    Ce petit mode d’emploi en 7 points clé, permet l’avènement d’une société « diverse », paisible et stable. A la restriction près que cette société est une parfaite utopie allant à l’encontre de tous les précédents historiques.
    Le multiculturalisme est-il seulement destiné à reconnaître les apports des autres cultures et des minorités ethniques ? Ou dénonce-t-il systématiquement l’homme blanc comme « oppresseur », « colonisateur », « destructeur » ou même « pollueur » tout en idéalisant les non-européens, à la fois plus « humains » et moins matérialistes ?
    A qui profite le multiculturalisme ?
    Les adeptes du Nouvel Ordre Mondial se servent du multiculturel et du métissage, comme d’un levier pour fragmenter les nations jusqu’alors culturellement homogènes. Ces nations homogènes représentent en effet un obstacle à un gouvernement centralisé. En revanche, une société éclatée en clans antagonistes sera bien trop divisée pour pouvoir s’y opposer.
    «Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la Nation.», selon feu le baron Edmond de Rothschild.(cf. n°775 d’Entreprise 07/1970).
    La vision multiculturelle d’une société harmonieuse et tolérante, basée sur la diversité ethnico-culturelle est une fiction collective et dangereuse qu’il faut combattre par tous les moyens, car notre survie en dépend.

    Pieter KERSTENS.

  • Admirez la "croix" pectorale de Mgr Dagens

    dagens11-768x1024.jpg Mgr Dagens angoulême.jpg

    Monseigneur Claude Dagens, évêque d’Angoulême, était aux abords du Vatican mercredi dernier, à l’issue de l’audience générale où il a rencontré le Pape François.

     

    RIPOSTE CATHOLIQUE - 27/10/13

  • Acharnement : la République veut maintenant s’attaquer à… l’encens !

    28 octobre 2013

    On sait que la « santé » sert de prétexte à l’État pour racketter les citoyens de diverses façons et pour les soumettre mentalement, toujours davantage.

    Mais on peut aussi l’utiliser pour un peu tout, y compris faire des petits coups tordus à ce qu’il reste de christianisme en France.

    Le gouvernement a ainsi annoncé dans son « plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur », qui est une « préoccupation de santé publique », que « les bougies, notamment parfumées, et les encens qui dégagent le plus de substances toxiques pour la santé vont être interdits ».

    Des études sont en cours pour décider quels produits sont les plus émissifs, et des arrêtés d’interdiction sont à attendre dans les prochains mois, a-t-on précisé au ministère de l’Écologie.

    Dans un récent rapport, l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) indiquait que « les encens sont beaucoup plus émissifs que les bougies et leur utilisation semble présenter des risques même dans le cas d’un usage mensuel ».

    Bref, inutile de rappeler que le Diable est réputé ne pas du tout aimer l’encens…
    Ce projet est-il signé ?

    Contre-info.com

  • Affaire Leonarda: recours de la famille contre expulsion

    http://www.rtl.fr/actualites/info/article/affaire-leonarda-recours-de-la-famille-contre-son-expulsion-7766169275

  • Une vieille dame décède après un vol à l'arraché

    article_avignon.jpg

    Avignon / Publié le Lundi 28/10/2013 à 19H10

    Une dame de 91 ans, victime d'un vol à l'arraché jeudi dernier, est décédée ce matin à l'hôpital d'Avignon. Le parquet a ordonné une autopsie pour savoir si un lien peut être établi entre son agression et son décès.

    La semaine passée, dans le quartier Champfleury, cette dame s'était faite agresser par trois jeunes gens alors qu'elle sortait de chez elle. Elle s'était alors accrochée à son sac et ses voleurs avaient réussi à lui dérober son portefeuille et ses clés avant de s'enfuir, la laissant à terre. Victime d'une fracture au bras, elle avait été hospitalisée.

    Les enquêteurs de la sûreté départementale sont chargés d'identifier les auteurs. Si un lien est établi entre ce vol et la mort de la victime, les auteurs pourraient être poursuivis pour vol avec violence ayant entraîné la mort. Ils encourent la réclusion criminelle à perpétuité.

    LA PROVENCE

  • Fronde bretonne: l'alerte des RG au gouvernement

    PHO24deddae-3ffb-11e3-9156-9f73e93eacb8-805x453.jpg

    Le Figaro a pu consulter les dernières informations transmises au ministère de l'Intérieur par la SDIG de Rennes, qui prévoit des actions très dures en Bretagne.

     
     

    La fronde bretonne vue par les ex-RG prend des allures de jacquerie généralisée. Le Figaro a eu connaissance des derniers éléments de synthèse alarmants envoyés par la sous-direction de l'information générale (SDIG) de Rennes au ministère de l'Intérieur et dont Matignon aurait, selon nos informations, reçu copie.

    Pour les «grandes oreilles», la colère des Bretons contre l'écotaxe, sur fond de crise des filières agricoles et agroalimentaires, serait attisée notamment par deux groupes identitaires, l'un d'extrême gauche, en marge du mouvement Breizhsistance, l'autre d'extrême droite, sous la bannière de Jeune Bretagne.

    Ce dernier groupe, qui ne compte guère plus de «30 personnes», assure la police, est rattaché à l'Adsav (le parti du Peuple breton), qui se fixe pour objectif «la création d'un État indépendant breton». Ses militants ont ouvert une page Facebook intitulée «Révolte bretonne». Elle compte déjà 4000 sympathisants. Autant de fils à tirer pour les hommes du renseignement qui retracent les connexions entre les uns et les autres…

    «L'impulsion du mouvement est locale. Le Front national observe, mais n'a pas prise en Bretagne, où il ne réalise jamais de gros scores», confie un officier de police. Il n'empêche que le site Internet de Jeune Bretagne a laissé en évidence sur sa page d'accueil un appel à venir assister à la conférence en septembre dernier d'un ancien cacique du FN, Jean-Yves Le Gallou, à l'occasion de la publication de son livre sur La Tyrannie médiatique.

    Il n'y a pas que les partis ultras. Outre «les syndicats traditionnels, comme la FNSEA, mais aussi les organisations représentatives des secteurs du transport, du BTP et de l'agroalimentaire, la population commence à adhérer au mouvement», constatent les ex-RG.

    L'un des foyers les plus vivaces est la ville de Carhaix, qui anima, il y a cinq ans déjà, un combat très dur pour le maintien de sa maternité. Son maire, Christian Troadec, est la bête noire des autorités régaliennes sur place. Très apprécié par les anticapitalistes du NPA, et résolument impliqué dans le mouvement breton, cet électron libre de la gauche alternative appelle ouvertement les «salariés de l'agroalimentaire, agriculteurs, marins, élus, syndicats, commerçants, artisans, transporteurs, toutes les populations touchées d'une manière ou d'une autre par la crise, (…) à se rassembler pour dire non au déclin de la Bretagne» et par la même occasion à l'écotaxe.

    «Jusqu'alors, estiment les analystes du SDIG, les syndicats se sont toujours refusés à réunir agriculteurs et pêcheurs, tant le cocktail peut se révéler explosif.» Or, s'inquiètent-ils, des représentants de deux corporations se sont entendus «le week-end dernier» pour agir de front.

    Chacun se prépare donc pour le grand jour, le 2 novembre prochain, avec une nouvelle manifestation à Quimper. Les «bonnets rouges» et leur symbolique antijacobine, en souvenir de la révolte des Bretons de 1675 contre une nouvelle taxe, sont attendus en nombre, la police craignant violences et débordements.

    La SDIG de Rennes a prévenu Paris que le mouvement pourrait faire tache d'huile dans des régions de France à forte identité, «l'Alsace, le Pays basque et même la région niçoise», où quelques irréductibles s'interrogeraient sur la façon de passer à l'action. Ils auraient pris des contacts entre eux.

    Pour la Bretagne, les ex-RG retiennent que «les mouvements identitaires ont lancé un appel à tous les Bretons pour qu'ils accrochent à leurs fenêtres le drapeau breton Gwenn ha Du, jusqu'au 11 novembre prochain». Ce jour-là, en signe de protestation contre l'État centralisé, les plus déterminés sont invités à perturber les commémorations de l'armistice.

     

    LE FIGARO - 28/10/13

     

     

     

                                                 

     
     
     

     

  • L’art contemporain à l’école : opération «Un établissement, une œuvre»

     

    Les ministres Vincent Peillon et Aurélie Filippetti ont lancé vendredi 27 septembre à Toulouse cette opération destinée à sensibiliser les écoliers et collégiens à l’art contemporain en exposant dans leur établissement une création issue des FRAC – Fonds régionaux d’art contemporain.

    On peut se demander pourquoi restreindre l’art au seul art contemporain, sans le recul nécessaire pour pouvoir en juger ? Il faudrait, comme en histoire à propos de l’historicité d’un événement, attendre un certain nombre d’années avant de convenir qu’une œuvre récemment créée a une valeur artistique. Mais il est vrai aussi que dans les programmes d’enseignement de l’histoire, l’actualité tend de plus en plus à supplanter cette dernière.

    En créant les FRAC, le ministère de la Culture s’est arrogé le droit de décider lui-même ce qui relève de l’art. Ainsi reste-t-on dubitatif face à la sculpture de Fabien Verschaere dévoilée au grand jour dans l’école primaire Jules Julien de Toulouse ce même vendredi et prêtée pour un mois par le FRAC de Midi-Pyrénées. Elle représente un « clown noir aux airs de diablotin » – on appréciera l’euphémisme en admirant ses magnifiques cornes et un pentacle rouge sang faisant office de feuille de vigne.

     

    L’art qui devrait être indépendant de tout militantisme ne l’est pourtant pas aux yeux d’Aurélie Filippetti vantant « l’éducation artistique et culturelle » comme étant un « moyen de lutter contre les inégalités ». En effet : « L’art contemporain peut sembler hermétique pour certains mais je crois au contraire que parce qu’il est toujours ludique, parce qu’il suscite toujours un débat, une discussion, il est un excellent outil pédagogique », ajoute-t-elle. On est loin de la conception de Théophile Gautier sur cette activité humaine qui doit rester « inutile » pour élever l’âme, conception exprimée dans la préface de Mademoiselle de Maupin :

    « Rien de ce qui est beau n’est indispensable à la vie. On supprimerait les fleurs, le monde n’en souffrirait pas matériellement ; qui voudrait cependant qu’il n’y eût plus de fleurs ? Qui aurait la folie de préférer […] Michel-Ange à l’inventeur de la moutarde blanche ? Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelque besoin, et ceux de l’homme sont ignobles et dégoûtants, comme sa pauvre et infirme nature. »

    Pour couronner le bien-fondé de cette initiative, Vincent Peillon ajoute que « c’est gratuit, il n’y a rien à vendre », précisant que toute œuvre des FRAC ne peut être achetée, mais omettant de dire que chacune est un formidable faire-valoir publicitaire des autres créations de leur auteur destinées quant à elles à la vente. Et puis, insister sur la gratuité fera quelque peu sourire. Précisons quelques informations pour nous en convaincre.

    Les FRAC en chiffres

    Créés en 1982 par Jack Lang, dotés d’un budget dont le financement vient en grande majorité de chaque Conseil régional et de l’État, ils sont constitués d’un ensemble de 26 000 œuvres pour 4 200 artistes français ou étrangers : « Les collections des 23 FRAC rassemblées, c’est l’une des plus belles collections d’art contemporain au monde et nous avons la chance que ces collections soient publiques. Nous avons constitué depuis 30 ans une richesse exceptionnelle qu’il faut faire découvrir et faire partager », a insisté la ministre.

    Le FRAC de Midi-Pyrénées fonctionne avec un budget annuel de 120 000 euros octroyé à parts égales par l’État et la Région. Chaque année, un comité technique choisit une dizaine d’œuvres de jeunes « artistes prometteurs ». Pas question de cote ici, le fonds du FRAC ne se revend effectivement pas, mais les 700 œuvres sont vouées à être diffusées partout, notamment à l’hôpital, à l’école, dans les centres culturels et les librairies, ce qui n’est pas donné.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que Vincent Peillon et Aurélie Filippetti ont l’art en tous les cas de se moquer du contribuable.

    NOUVELLES DE FRANCE - 26/10/13

  • Marine Le Pen sur France 3 : « Le patriotisme est de retour et la patrie, la nation est de retour, n’en déplaise aux mondialistes ! »

     27 octobre 2013   Willy Legrand                                                 

    Marine Le Pen 12-13 Dimanche - NationsPresse

    Marine Le Pen, Présidente du Front National et du Rassemblement Bleu Marine, était l’invitée du journal « Le 12/13 Dimanche » à 12 heures sur France 3. Elle réagissait au sujet de l’actualité politique en vue des élections municipales et européennes qui se dérouleront en mars et mai 2014.

    Réagissant à l’article de presse consacré à Ségolène Royal (PS) qui brandit un drapeau tricolore, Marine Le Pen déclare :

    « Honnêtement, si tous les Français avaient un drapeau tricolore chez eux et le mettaient à leur balcon, je serais la plus heureuse des femmes, voyez-vous ; et ils sont de plus en plus nombreux à le faire car le patriotisme est de retour et la patrie, la nation est de retour, n’en déplaise aux mondialistes ! »

  • Churchill a refusé l’offre de paix de Hitler pour des "raisons morales"

     

    Finalement c’est confirmé : Adolf Hitler avait bien fait une offre de paix en 1941.

    Voilà maintenant des semaines que la nouvelle est connue en Israël et en Grande-Bretagne, mais les grands médias américains gardent le silence sur la parution d’un nouveau livre écrit par un historien britannique de premier plan qui affirme qu’Adolf Hitler a cherché à obtenir la paix avec la Grande-Bretagne en 1941 mais que l’offre d’Hitler a été rejetée par le premier ministre Winston Churchill.

    C’est le site israélien Ynet ainsi que le Daily Telegraph et le Daily Mail (tous deux de Londres) qui ont rapporté cette révélation qui change l’histoire "officielle" de la Deuxième Guerre mondiale et confirme ce que les historiens  indépendants disent depuis des années.

    Dans Hess, Hitler and Churchill, le célèbre écrivain Peter Padfield affirme que la légendaire "mission de paix" de Rudolf Hess (photo ci-dessus), fidèle adjoint d’Hitler, en Grande-Bretagne en mai 1941 avait bien eu l’approbation d’Hitler et que Hess apportait de la part d’Hitler l’offre suivante : les forces allemandes se retiraient des pays qu’elles occupaient en Europe occidentale en échange du soutien de la Grande-Bretagne (ou du moins sa non-intervention) à une attaque imminente de l’Allemagne contre la Russie soviétique, dont il divulguait la date (fixée à cinq semaines plus tard).

    Lire la suite de l’article sur blanrue.blogspot.fr

     

    Egalité & Réconciliation

  • Tourisme sexuel et protection de Ben Ali : quand Ruquier, Caron et Polony évitent de poser les questions qui fâchent à Frédéric Mitterrand

     

    par Hicham Hamza

    « La solution Maghreb ». Découvrez comment Frédéric Mitterrand, ancien ministre devenu interviewer sur France Inter, a délibérément menti, devant près de deux millions de téléspectateurs, au sujet de sa proximité passée avec le clan Ben Ali.

    - Pendant votre mandat, ont lieu les révoltes en Tunisie, un pays auquel vous êtes très attaché. Ça se ressent dans votre livre.

    - Je suis « tunisifié », c’est normal. Mais je ne pouvais pas faire plus. Cela dit, j’ai un peu dit une connerie quand j’ai dit que ce n’était pas une « dictature univoque ». En même temps, c’est vrai, ce n’est pas Bachar el-Assad, Kadhafi, ou Hussein. Il n’a pas tué, il a volé.

    Tels sont les mots employés hier par Frédéric Mitterrand lors de son entretien avec le journaliste du quotidien 20 minutes.

    L’ancien ministre de la Culture effectue actuellement la promotion médiatique de son dernier ouvrage consacré à son immersion antérieure dans la vie politique aux côtés de Nicolas Sarkozy.

    Une semaine auparavant, l’homme enregistrait une longue interview complaisante sur le plateau de l’émission On n’est pas couché de France 2. En hausse d’audience, le talk-show avait alors réuni 1 753 000 téléspectateurs.

    Lire la suite de l’article sur panamza.com : voir les vidéos

    E&R