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GAELLE MANN - Page 1128

  • Manuel Valls veut faire financer par l'Etat la formation des imams

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    18/08/2012 — 08h00
    PARIS (via l’Observatoire de l’islamisation) — Interrogé hier matin sur France Inter, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a parlé de “rumeurs” quant aux liens pourtant avérés entre le Qatar et les mouvements islamo-terroristes, puis a déclaré vouloir financer la formation des imâms :

    “Nous nous retrouvons ensemble avec les représentants du culte musulman notamment pour traiter de l’avenir de la fondation des œuvres de l’islam qui doit permettre à travers des financements publics ou privés de traiter la question de la formation des imams.
    (…)
     
    Je veux aider l’islam de France à se construire et à traiter des questions du financement des mosquées, de la viande halal, de la formation des imams, des carrés musulmans, comme des pèlerinages à la Mecque, voilà les points qu’il faut traiter et moi j’appelle chacun à sa responsabilité, à ne pas se diviser et à travailler pour le bien commun.”

     

    Si l’étatisation de l’islam peut permettre, en surveillant le contenu des enseignements (ou en nommant et rémunérant les imams) d’orienter le personnel religieux vers un cadre empêchant les excès radicaux, il nous semble que cette technique ne puisse marcher que dans des pays musulmans. Le Grand mufti de Syrie, Ahmed Badr Eddine Hassoun, a démontré ces dernières années dans ses discours une exemplarité dans l’approche du respect des minorités et de la séparation du politique et de l’islam. Mais perçu comme “vendu” au régime laïc de Bachar, il fut visé via son fils, lâchement assassiné par les islamo-terroristes l’année dernière (les médias français n’en ont pas parlé). En France, la dépréciation d’imams formés par la république serait évidente, des instituts instigués par des pays occidentaux ne pouvant gagner le millième de légitimité qu’ont les universités sunnites multiséculaires comme celles de Constantine (Abdelkader), Fez (Qarawine), la Zeitouna en Tunisie et Le Caire (Al-Azhar).

    De plus, le laïcisme hystérique franco-français disqualifierait politiquement l’homme politique qui mettrait en œuvre une telle entreprise, bénéfique ou non.

    Crédit photo : Jackolan1 via Wikipédia (cc)

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Taubira veut recruter plus d’imams dans les prisons

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    Rédigé par lesoufflet le 12 octobre 2012.

    12.10.2012
    Photo : francediplomatie

    Dans une interview pour Europe 1, la ministre

    de la justice, Christiane Taubira, a déclaré que

     « les imams sont insuffisants » dans les prisons

     françaises avant d’annoncer qu’elle comptait

     concéder un effort budgétaire, pour pouvoir

    recruter d’avantage de ministres du culte

    musulman dans les prisons françaises. Quand

     le clientélisme du PS impose à la gauche

    française de renier ses convictions sur la laïcité…

    Alors que les journalistes lui demandaient son avis sur

     la cellule terroriste islamiste démantelée le week-end

     dernier et sur certains de ses membres déjà

    condamnés pour des faits de petite délinquance,

     qui ont passé quelques séjours en prison, Christiane

     Taubira a expliqué que le manque d’imams dans les

     prisons françaises était un vrai problème et qu’elle

     comptait en embaucher plus.

    La solution au problème terroriste serait donc de

    mettre des imams dans nos prisons ! Il fallait y penser.

     Seul un parti aveuglé par l’absurdité de son idéologie

     peut tirer ce genre de conclusions…

    Pour les socialistes, c’est donc désormais la religion

     qui doit servir de boussole morale aux citoyens ?

    Une conception pas forcement idiote que la gauche

     française a pourtant toujours combattu au nom de

     la laïcité française…quand il s’agissait du christianisme.

    Christiane Taubira estime donc que « les imams

    sont insuffisants. [...] A tel point que j’ai décidé dans

     le budget 2013 d’affecter 15 ETP (ndlr équivalents temps

     plein), cela fera une possibilité de couverture de 30

    établissements supplémentaires. [...] Je ferai le même

     effort en 2014, ça nous fera encore 30 établissements

     supplémentaires », a-t-elle expliqué avant de préciser

     qu’ »actuellement une soixantaine d’établissements

    seulement sont couverts ».

    S’agit-il vraiment du même parti socialiste qui nous

     harcèle avec sa laïcité ? Qui refuse que l’on parle

    de Jésus dans les cours d’Histoire ? Ces gens là n’ont

     vraiment pas de figure ! Quel cynisme de se renier à

    ce point pour glaner quelques voix aux élections.

     Il est vrai que le président a été élu grâce au vote

    communautariste musulman et qu’il faut bien

    récompenser ses électeurs…

    Allons nous devoir imprimer sur nos billets de banque,

    à la manière des Américains, « In Allah we trust » ?

    Taubira souhaite -t-elle que l’Islam devienne

     la religion publique française ? Voudrait-elle

     instaurer une république islamique dans

     notre pays ?

    L’Islam pour lutter contre le terrorisme,

    c’est maintenant !

     

    24h Actu

  • Bernard Lugan : Mensonges et manipulation à propos de la manifestation FLN du 17 octobre 1961 à Paris

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    François Hollande rend hommage aux victimes du 17 octobre 1961 le 17 octobre 2011

     

                

    Article initialement publié le 18/10/11 à 19h53

     
    Contrairement à ce qui est affirmé par des médias dont l’inculture est à l’égal de l’esprit partisan, le 17 octobre 1961, il n’y eut pas de massacre d’Algériens à Paris.
    Bernard Lugan

    Cinquante ans après la fin de la guerre d’Algérie, par le biais d’une machination particulièrement bien orchestrée, policiers, gendarmes mobiles, CRS et Harkis engagés le 17 octobre 1961 à Paris dans une opération de maintien de l’ordre, sont devenus des agresseurs accusés d’avoir massacré 300 manifestants algériens, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.
    Tous les ans depuis 1991, ceux que le FLN désigne sous le nom de « Frères des Frères », organisent à grand renfort médiatique une cérémonie à la mémoire des « Martyrs Algériens » du 17 octobre 1961. Au mois d’octobre 2000, les « Frères des Frères » ont créé l’ « Association 1961 contre l’oubli ».
    Cette année, la commémoration a pris un éclat particulier avec la présence du candidat socialiste aux futures élections présidentielles lequel a lancé une rose rouge à la Seine en mémoire des manifestants qui y auraient été noyés…

    Or, contrairement à ce qui est affirmé par des médias dont l’inculture est à l’égal de l’esprit partisan, le 17 octobre 1961, il n’y eut pas de massacre d’Algériens à Paris.
    Revenons aux faits. Nous sommes en pleine guerre d’Algérie et le FLN qui cherche à prendre le contrôle de la communauté algérienne vivant en France organise une manifestation surprise et clandestine devant converger vers la Place de la Concorde et l’Elysée afin de montrer sa force et pour peser sur les pourparlers de paix qui ont lieu à Evian.
    Assaillis de toutes parts, les 1300 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non 7000 comme cela est toujours dit, firent preuve d’un grand sang-froid et d’un immense professionnalisme se traduisant par un bilan des pertes « modéré » dans de telles circonstances.

    Contre les affirmations des complices du FLN et des auteurs militants, les archives de l’Institut Médico Légal de Paris, la Morgue, sont pleines d’enseignements. Le Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961, nous apprend ainsi que du 1° au 30 octobre 1961, 90 corps de « NA » , Nord-africains selon la terminologie officielle de l’époque, sont entrés à l’Institut médico légal, la plupart étant d’ailleurs des victimes du FLN…
    Le 17 octobre, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant massacre, l’Institut Médico Légal n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA ». Et pour cause, le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, une seule victime fut à…suite et source : Bernard Lugan, Merci à Pam-Pom

    Défrancisation

  • Marion Rousset, violée et poignardée à 60 reprises : deux experts concluent à l’irresponsabilité pénale de son meurtrier

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    Marion Rousset

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    Yannick Luende Bothelo, originaire de l'Angola

     

    C'est avec stupeur qu'on apprend que Yannick Luende Bothelo, l'assassin de Marion Rousset, cette adolescente de 14 ans violée et tuée d'une soixantaine de couteau près de Nantes, pourrait ne pas être condamné.

    En effet, deux experts ont conclu à l’irresponsabilité pénale de l'homme, en diagnostiquant une «schizophrénie paranoïde».

    Dans la nuit du 18 au 19 mars, la victime a été tuée d'une soixantaine de coups de couteau dans des toilettes publiques de Bouguenais, près de Nantes. Son corps était désarticulé et à moitié dénudé.

    Son meurtrier, un multirécidiviste qui était recherché après avoir arraché son bracelet électronique, avait, le jour même, poignardé un promeneur et tenté d'étrangler un retraité de 86 ans.

    La jeune fille de 14 ans était en fugue au moment des faits et, selon sa mère, qui l'avait confiée à l'aide sociale à l'enfance, elle n'aurait jamais dû se trouver à cet endroit-là, à cette heure-là.

    Les parents de la victime vont demander une contre-expertise.

    « C’est un premier avis. Nous demandons une contre-expertise. Elle peut très bien conclure différemment. À une abolition seulement partielle du discernement par exemple. Dans ce cas, il y aura un procès. » a indiqué Maître Louis-Georges Barret, l’avocat de la famille de Marion.
     
     
    Faits Divers - 18/10/12
     
  • Le mariage gay favorisera l'inceste et la polygamie

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    15/09/2012 – 10h00
    PARIS
    (NOVOpress) — Le projet de loi sur le mariage et l’adoption homosexuels sera présenté le 24 octobre au conseil des ministres. Le contenu du texte est toujours en cours d’élaboration. « Le gouvernement veut aller vite sur le sujet », assure Nicolas Gougain, porte-parole de l’Interassociative-lesbienne, gay, bi et trans (Inter-LGBT).


    Pour Ivan Rioufol, « cette précipitation à vouloir trancher avec tant de désinvolture un sujet aussi fondamental laisse voir un parti socialiste obnubilé par ses combats idéologiques, menés au nom de la non discrimination et de l’égalitarisme en tout ». Pour le journaliste, « le mariage pour tous qu’entend promouvoir la gauche relativiste, sous la pression de la minorité militante homosexuelle » aboutira à « une structure familiale sans substance permettant les unions les plus fantaisistes ».

    C’est exactement la préoccupation du cardinal Philippe Barbarin. Pour l’archevêque de Lyon, le mariage gay ouvre la voie à la polygamie et à l’inceste. « Après, ils vont vouloir faire des couples à trois ou à quatre. Après, un jour peut-être, l’interdiction de l’inceste tombera », s’inquiète Philippe Barbarin. Quant au Conseil national des évangéliques de France, il estime que ce « projet promeut les intérêts d’une minorité et que ceux-ci vont à l’encontre du bien commun, en particulier de celui de l’enfant à avoir un père et une mère ». Les évangélistes constatent que le mariage homosexuel « sous couvert de non-discrimination et de liberté de choix individuel, remettrait en cause un fondement structurant de notre société. Ce serait aussi céder à une idéologie faussement égalitariste qui conduira immanquablement à une confusion des repères et bouleversera les structures sociales ». Ils évoquent aussi un risque de « marchandisation du corps » via le « droit à la filiation » que les socialistes font miroiter aux mariés du même sexe.

    Crédit photo : Anthony .S./Flickr (cc)

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    18/10/2012 –18h00
    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) –
    L’association pro-vie Alliance Vita a annoncé son intention de manifester le mardi 23 octobre dans 75 villes de France contre le projet de loi ouvrant aux homosexuels le droit au mariage et à l’adoption.

    Selon l’association, « des voix plus en plus nombreuses s’élèvent contre ce projet de loi : Maires, professionnels de l’enfance, pédopsychiatres, associations de personnes adoptées, juristes… Le véritable débat démocratique consiste à les consulter, ainsi qu’à écouter les Français avant d’engager ce que Monsieur Ayrault présente comme “une évolution majeure de notre code civil” ayant pour conséquence une transformation radicale du droit de la famille et de la filiation ».

     

    En effet, dans un sondage Ifop pour Le Figaro en date du 11 octobre, 52 % des français déclarent être hostiles à l’adoption d’enfants par les homosexuels, soit une progression de 10 points en quelques semaines.

    Le mardi 23 octobre, les militants bordelais organiseront donc place Saint Projet une manifestation, afin de mettre en avant « les droits de l’enfant », qui semblent passer après les envies d’adultes égoïstes.

    Happening d’Alliance Vita à Paris en Mars 2012

    Alliance VITA (anciennement Alliance pour les droits de la vie) est une association fondée en France en 1993 au moment des premières lois bioéthiques. Elle agit selon deux axes : l’aide aux personnes confrontées aux épreuves de la vie ; la sensibilisation du public et des décideurs à la protection de la vie humaine. Alliance VITA compte 105 équipes départementales et plus de 37 000 soutiens en France.


    Vidéo : Altérité sexuelle des parents. Par Aude Mirkovic, maître de conférence en droit privé à l’université d’Evry.

    Crédit photo en Une : DR. Crédit photo dans le texte : Alliance Vita.

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  • Comment Kadhafi a été assassiné – un rapport accablant d’Human Rights Watch

     Posté par le 18 octobre 2012

     

    Un rapport d’Human Rights Watch décrit en détail les exécutions sommaires (nous parlerions pour notre part d’assassinats en règle) commises par les insurgés au moment de la mort de Muhammar Kadhafi. Même s’il faut prendre avec d’extrêmes précautions un document émanent de cette ONG très proche de certains réseaux du Département d’Etat américain et autres « agences » d’outre-Atlantique (on se souvient notamment de ses rapports à charge contre les Serbes lors de l’affaire du Kosovo en 1997-1999 dans le but de préparer l’opinion publique occidentale à une agression en règle contre la Serbie), ce document contribue à nous éclaircir sur la manière dont les puissances occidentales mènent leurs interventions armées au nom de grands principes et pour des objectifs inavoués.

    __________

    Comment Kadhafi a été exécuté – un rapport accablant d’HRW

    L’organisation humanitaire Human Rights Watch publie un rapport extrêmement documenté sur les circonstances de la mort de Kadhafi, le 20 octobre 2011. On peut le lire, en anglais, sur le site de HRW.
    Intitulé « Death of a Dictator. Bloody Vengeance in Sirte » (La mort d’un dictateur. Vengeance sanglante à Syrte), le document de 58 pages décrit ce qui peut être qualifié de crimes de guerre et dénonce l’absence d’enquête de la part des nouvelles autorités libyennes.

    Voici les faits, tels qu’ils ont été reconstitués par HRW à la suite d’une longue enquête sur le terrain, sur la base notamment de témoignages, d’enregistrements vidéos (téléphones portables) et d’une présence à Syrte au moment des faits.

    Après la chute de Tripoli, le 28 août 2011, Muammar Kadhafi trouve refuge à Syrte, la ville dont il est originaire. Il y vit alors, entouré de ses derniers fidèles et de son fils Mutassim (responsable de la défense de la ville) dans des conditions extrêmements précaires, sous les tirs des insurgés de Misrata, à l’ouest, et de Benghazi à l’est. Au cours des dernières semaines, il réside dans le « deuxième district », un quartier en bord de mer.

    Le 20 octobre au matin, la décision est prise de fuir. Un convoi d’environ 50 véhicules, des 4x4 armés, est formé. A bord, environ 250 personnes : le colonel Kadhafi, des fidèles et des proches, mais aussi des civils et des blessés. Le convoi part vers l’ouest et, avant la sortie de la ville, tombe sur la brigade Tigre – les miliciens de Misrata. Après des échanges de tirs, le convoi tourne à gauche, sur une route en direction du sud. Un drone (américain) tire un missile sur le convoi, et celui-ci explose à proximité de la voiture de Kadhafi, sans gros dommages. Le convoi tourne alors à droite (vers l’ouest) s’engageant dans des ruelles. Il est alors frappé une nouvelle fois par deux bombes GBU-12 (larguées par un Mirage 2000D français, jdm) qui explosent au-dessus des véhicules. Le choc est violent : HRW recensera le lendemain 14 véhicules détruits et 53 corps – 28 carbonisés et 25 touchés par des éclats.

    Kadhafi et ses proches sortent indemnes de cette seconde frappe aérienne. Ils s’enfuient à pied et gagnent un batiment pour y trouver refuge. Les miliciens de Misrata sont à leurs trousses. Le groupe d’une quinzaine d’hommes cherche alors à s’enfuir pour gagner une autre maison, de l’autre côté de la rue (vers l’ouest) en passant par un conduit souterrain d’irrigation.

    Lire la suite sur le blog de JD Merchet

  • Gendarme tué près de Nice: un suspect en garde à vue

    Un homme soupçonné d'avoir joué "un rôle" dans la mort du gendarme tué mercredi dans l'arrière-pays niçois a été interpellé en début d'après-midi et placé en garde à vue», a indiqué jeudi le procureur de Nice,

     

     

    L'homme a été interpellé sur la commune de Peille (Alpes Maritimes), commune limitrophe avec La-Grave-de-Peille où le drame s'est produit.

    Mercredi, six gendarmes en «planque» y attendaient le retour du voleur d'une Austin Mini, dérobée dans la commune de L'Escarène (à 20 km de Nice) et repérée dans le village de La Grave-de-Peille. Les militaires, «en tenue civile, porteurs de brassards tout à fait repérables, orange fluo, avec indication gendarmerie» avaient bloqué trois axes routiers. C'est sur l'un de ces contrôles routiers qu'un homme à bord du véhicule volé s'est retrouvé face au major Daniel Briere et son coéquipier l'adjudant Moreau. Il était 14h30.

    Un témoin parle d'une «accélération du conducteur»

    Le conducteur, qui roulait à vive allure, a percuté «volontairement» le gendarme qui le sommait de s'arrêter, selon le procureur. Le coéquipier du gendarme a même parlé d'une «accélération» à la vue des militaires. Le procureur explique : «L'adjudant essaie de sortir une herse pour interrompre la progression du véhicule, tandis que le major Briere, qui est le long d'un muret, sort son arme, se met face au véhicule qui venait sur lui à vive allure». Le major Briere fait ensuite «les sommations d'usage» et «il y a une sorte de bref freinage réflexe du conducteur». «Il avait toute latitude, dira l'adjudant Moreau, pour s'écarter et éviter le major Briere. C'est un choix qu'il n'a pas voulu faire», a affirmé Eric Bedos.

    Le choc a été particulièrement violent. Le major Briere, 52 ans et père de deux enfants, a été projeté en l'air à environ 12 mètres. Il est mort de ses blessures peu après son admission dans un hôpital de Nice.

    Un important dispositif pour appréhender le chauffard

    Quant au conducteur, il a poursuivi sa route en direction de Nice avant d'abandonner le véhicule non loin, en tentant de l'incendier. «On reproche à cet individu d'avoir volontairement provoqué la de ce militaire de la gendarmerie dans l'exercice de ses fonctions, ce qui lui fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité», a souligné le procureur Eric Bedos

    Une soixantaine de gendarmes avaient été déployés dans la nuit de mercredi à jeudi sur les axes routiers du pays niçois pour retrouver le chauffard. Dans l'après-midi de mercredi, environ 120 gendarmes de tout le département avaient été mobilisés, dont des équipes cynophiles et un hélicoptère de recherche.

     

    LeParisien.fr - 18/10/12 

     

    Frankistan, le pays où l'on écrase les gendarmes!                      

     

  • M. Hollande, vous sombrez dans le ridicule

    Posté par le 17 octobre 2012

     


    Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à
    L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris

    Comment pouvez-vous croire tous ces mensonges ? Pourquoi vos services ne vous apportent pas les preuves qu’il s’agit de mensonges ? On abuse de votre crédulité, on se gausse de votre « normalité » et vous sombrez dans le ridicule.

    On vous raconte le 17 octobre 1961 et vous les croyez :

    « Ce fut un « massacre », une hécatombe de corps, 300 Algériens assassinés et 2.300 blessés. Vraiment les forces de l’ordre parisiennes ont fait fort, les mains des gardiens de la paix, des gendarmes mobiles, des CRS et des forces auxiliaires de harkis, sont couvertes de sang à jamais ».

    Il est de notre devoir, à nous journalistes présents sur les lieux, de rétablir la vérité quand elle est évidente et incontestable.

    À l’époque j’appartenais à la rédaction du quotidien L’Aurore et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la force auxiliaire des harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

    Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la Croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance.

     

    Aucun service d’urgence des hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés. 2.300 blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où sont donc passés ces 2.300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts ! L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun riverain n’en a signalé !!

    La réalité est tout autre. En vérité il n’y eut au cours de cette nuit du 17 octobre que sept morts, dont deux seulement sont imputés aux forces de l’ordre, Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. Les cinq autres morts sont quatre Algériens et un Français, Guy Chevalier.

    Voilà le bilan exact de ce « massacre » du 17 octobre 1961.

    En revanche voici un autre bilan qu’il ne faut pas laisser sous silence mais dont on ne parle jamais : entre janvier 1955 et juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement. Également 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de cinq tués ou blessés par jour, pendant sept ans !

    Au cours de ces 7 années il y eu en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

    Il faut que cela se sache : il y avait la guerre en Algérie mais il y avait également la guerre en France métropolitaine.

    Malheureusement la très grande majorité du peuple français qui n’a pas vécu ces événements ignore la vérité qui est souvent déformée et parfois même occultée.

    Quand donnera-t-on enfin la parole à ceux qui peuvent apporter la contradiction à ces menteurs qui salissent l’histoire de la France ?

    __________

    Note NPInfos : nous avons illustré ce texte avec quelques Unes de quotidiens de l’époque parues au lendemain des faits. Ces documents illustrent parfaitement l’ambiance d’alors : la violence fut essentiellement du côté des manifestants et la répression fut particulièrement limitée du côté des forces de l’ordre.

  • Mises en examen pour racisme anti-blanc : la preuve que tout combat doit être mené

     

    17 octobre 2012

     

    Mises en examen pour racisme anti-blanc : la preuve que tout combat doit être mené
     

     

    17/10/2012 — 19h45
    ROUBAIX (NOVOpress) —
    Les temps sont-ils en trains de changer ? Telle est la question que l’on peut se poser suite à la mise en examen pour… racisme anti-blancs du “sociologue”, et surtout militant de la haine anti-française, Saïd Bouamama et de “Saïdou” animateurs du groupe ZEP, tous deux co-auteurs de l’explicite Nique La France (image ci-dessus).


    Comme le rappelle dans un communiqué le Bloc identitaire, “il semble évident que ces mises en examen se veulent un contre-feu à la polémique récente – nourrie par les propos de Jean-François Copé – sur l’incroyable silence entourant le développement du racisme anti-blanc et du racisme anti-Français. Mais au-delà, elles témoignent de toute la légitimité du combat mené sur ce sujet par les Identitaires depuis 10 ans.”

    De plus, toujours selon le Bloc, “lorsque nous faisons annuler les concerts du groupe de rap haineux Sniper en 2003, lorsque les Jeunesses Identitaires menaient une grande campagne contre le racisme anti-blanc en 2005, lorsque le Bloc Identitaire assignait Houria Bouteldja en justice pour ses propos sur les “sous-chiens” voici moins d’un an; à chaque fois nous avons entendu des voix expliquer que cela ne servait à rien, que c’était inutile. Nous savions qu’ils avaient tort, que nous semions pour le futur. Et nous avions raison.”

    Ce qui fait dire au Bloc : “Sur le racisme anti-blanc, comme sur nombre d’autres combats : les identitaires ont 10 ans, mais surtout 10 ans d’avance !”

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  • La Grèce autorise la vente à bas prix des produits alimentaires qui ont dépassé leur date de péremption

     

    Le journal espagnol Voz Populi rapporte que le gouvernement grec a autorisé la vente à bas prix de produits alimentaires périmés.

    Il ne s’est pas justifié de cette mesure, mais le journal indique que des groupes de consommateurs l’ont interprétée comme un signe de son incapacité à stopper l’augmentation irrésistible du prix des denrées de base.

    « Cette loi [qui autorise les commerces à vendre les produits alimentaires après la date de péremption] a existé pendant des années. Et c’est quelque chose qui est autorisé dans le reste de l’Europe », a déclaré Yorgos Moraitakis Efe, conseiller au ministère du Développement, de la Concurrence et de la Marine Marchande.

    En Grèce, les prix des produits alimentaires n’ont pas cessé d’augmenter, dans un contexte de hausse continue du chômage, de baisse des salaires de certains salariés, et de réduction des pensions de retraite.

    Entre août 2011 et août 2012, le prix du sucre a augmenté de 15%, celui des œufs de 6,8%, celui du beurre de 3,2%, et celui du café de 5,9% selon l’agence de statistiques du pays. Les produits laitiers et carnés sont cependant exclus des produits alimentaires visés par cette nouvelle loi.

    L’Agence Nationale des produits alimentaires doute de l’efficacité de cette mesure, arguant qu’il n’est pas évident que ces produits seront revendu à des prix inférieurs, compte tenu que les mécanismes de contrôle des prix ne fonctionnent plus.

    Yannis Mijas, son président, pointe aussi une question morale, celle de la séparation des consommateurs en deux groupes : ceux qui pourront se permettre d’acheter les produits de base à leur prix normal, et ceux qui seront contraints de choisir des produits de qualité douteuse à cause de la pauvreté.

    E&R

  • Le discret soutien de Valérie Trierweiler à Florence Cassez...

    Il y a longtemps que l’on n’avait pas reparlé de Florence Cassez. Depuis que la Cour suprême du Mexique, en mars, s’était déclarée dans l’incapacité de prendre une décision sur le cas de la Française, renvoyant son rapport aux calendes grecques.

    Incarcérée en décembre 2005, Florence Cassez purge une peine de soixante ans de prison pour une participation à des enlèvements — qu’elle a toujours niés — aux côtés de son ancien compagnon, Israel Vallarta.

    Alors que en avait fait une affaire nationale, jusqu’à fâcher le Mexique, l’Elysée a décidé cette fois d’agir de plus façon plus discrète. Depuis son élection, a reçu les parents de la Française de 37 ans et lui a téléphoné plusieurs fois en prison. Récemment, c’est Valérie Trierweiler qui a pris le relais. Selon nos informations, la première dame a expédié, il y a quelques jours, un colis rempli de livres, de produits de beauté et de chocolats à la prisonnière. Et compte faire de même tous les mois jusqu’à son éventuelle libération. « C’est un geste précieux que Florence a beaucoup apprécié, confirme Jean-Luc Romero, élu apparenté de la région Ile-de-France et président de son comité de soutien. L’appui de l’Elysée, c’est important. Cela montre que la France est toujours derrière elle, qu’on ne la laisse pas tomber. Elle est passée par des moments difficiles ces derniers temps. »

    Hollande doit recevoir son homologue mexicain mi-octobre

    Le colis a été envoyé par la valise diplomatique et remis vendredi à Florence Cassez par un membre de l’ambassade de France à Mexico et un représentant du consulat. Mais échaudé par les échecs à répétition dans ce dossier, Paris avance prudemment et laisse la justice mexicaine travailler. « Toute nouvelle tentative de pression serait mal vécue. Il faut avancer à pas de loup », admet un diplomate qui suit l’affaire depuis des années. « Hollande nous a demandé quelle était la meilleure façon de s’y prendre pour éviter ce qui pourrait être considéré comme une provocation. On a retenu la leçon », renchérit Jean-Luc Romero, qui accompagnait le chef de l’Etat au G20 de Mexico en juin.

    Même si la date ne figure pas encore à l’agenda officiel, le président français doit recevoir son homologue, Enrique Pena Nieto, à l’Elysée le 17 octobre. Un déjeuner entre Valérie Trierweiler et son épouse, Angelica Rivera, une ex-actrice de telenovela, est également au programme. Certainement l’occasion d’aborder une nouvelle fois l’épineux dossier qui a envenimé les relations entre les deux pays. Car l’arrivée au pouvoir de Pena Nieto (élu en juin mais qui prendra seulement ses fonctions le 1er décembre, selon le délai imposé par la Constitution mexicaine) suscite l’espoir dans le camp français. « Son prédécesseur, Felipe Calderon, s’était braqué. Nul doute qu’il a pesé sur le cours de la justice. Le nouveau président, lui, n’a jusqu’ici envoyé aucun signal négatif », commente-t-on à Paris.

    Aujourd’hui, la balle est à nouveau dans le camp de la justice mexicaine. Une magistrate doit terminer son rapport sur lequel se prononceront les membres de la Cour suprême. Toutes les hypothèses sont sur la table, d’une confirmation de la condamnation à une relaxe pure et simple en passant par un nouveau procès. Si aucune date n’est fixée pour ce nouvel examen de passage, son entourage espère qu’il surviendra dans quelques mois (lire ci-dessous). Emprisonnée depuis bientôt sept ans, Florence Cassez doit encore s’armer de patience.


     

    Le Parisien - 08/10/12

  • La République hollandaise reconnaît les massacres du 17 octobre 1961

    C'est un communiqué de l'Elysée qui était attendu depuis des décennies des deux côtés de la Méditerranée. Le a déclaré mercredi que «la République reconnaît avec lucidité ces faits» à propos de la «sanglante répression» de la manifestation d'Algériens à Paris le 17 octobre 1961.

    Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes", a-t-il ajouté.

    A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d'Algériens manifestent pacifiquement à l'encontre du couvre-feu qui les vise. Organisée par le Front de libération nationale (FLN), cette manifestation vise aussi à dénoncer la répression du préfet de police de la Seine, Maurice Papon. La police ouvre le feu. Des centaines d'Algériens sont exécutés froidement. Des corps sont retrouvés dans la Seine. Un massacre à Paris.

    Hollande en Algérie en décembre

    Lundi, le Parti socialiste avait réclamé «une reconnaissance officielle» de la répression de cette manifestation. Un an plus tôt jour pour jour, le 17 octobre 2011, François Hollande, qui venait de remporter la primaire PS pour être candidat à l'Elysée, s'était rendu à Asnières (Hauts-de-Seine), commune de proche banlieue parisienne, pour témoigner «de sa solidarité» avec les familles endeuillées par ces événements. Il avait relevé que «trop longtemps cet événement (avait) été occulté des récits historiques» et qu'il était «important de rappeler ces faits». François Hollande doit se rendre début décembre en voyage officiel en Algérie.

    Le Sénat va étudier mardi, en séance publique, une proposition de résolution du groupe communiste «tendant à la reconnaissance de la répression de la manifestation du 17 octobre 1961». Cette proposition avait été déposée par Nicole Borvo Cohen-Seat, ancienne sénatrice de Paris, et plusieurs de ses collègues communistes.

    Propositions de loi au Sénat et à l'Assemblée

    A l'Assemblée nationale, François Asensi (Front de gauche), a annoncé ce mercredi, lors d'un débat sur les questions européennes, que son groupe déposait une proposition analogue à celles des sénateurs communistes. «Son adoption serait un geste de concorde à l'adresse du peuple algérien, ce peuple ami», a-t-il souligné dans un communiqué.

    De son côté, le chef de file des députés UMP Christian Jacob a estimé qu'il est «intolérable de mettre en cause la police républicaine et avec elle la République toute entière» même si, pour lui, «il n'est pas question de nier les événements du 17 octobre 1961 et d'oublier les victimes.» «François Hollande doit rassembler et sa tentative de politiser les enjeux de mémoire d'une période difficile de notre histoire est dangereuse pour la cohésion nationale», ajoute Jacob dans un communiqué, demandant au président de la République de «préciser si son simple et très court communiqué vaut reconnaissance de la responsabilité de la France.»

    La mémoire ou plutôt la guerre de la mémoire entrave la normalisation des relations entre Paris et Alger. Notamment suite à l'adoption à l'Assemblée nationale de la loi du 23 février 2005 dont l'article 4 reconnaît les «bienfaits de la colonisation». Un article finalement abrogé par le président Chirac en janvier 2006. Un mois plus tard est proposée à l'Assemblée nationale la date du 19 mars 1962, en souvenir du cessez-le-feu suivant les accords d'Evian. Proposition rejetée par les députés, au motif que les affrontements se sont poursuivis (fusillade de la rue d'Isly le 26 mars 1962, enlèvements et assassinats d'Européens à Oran le 5 juillet et massacres de harkis à partir de l'été 1962).

    L'inauguration, en novembre 2007, du «mur des victimes du FLN», à Perpignan (Pyrénées-Orientales), a finalement lieu. Elle se déroule en présence du secrétaire d'Etat à la Défense chargé des Anciens Combattants, Alain Marleix, qui a souhaité «une politique de mémoire assumée». En toile de fond, la signature de gros contrats portant sur le gaz et le pétrole avec l'Algérie. Mais la question de la mémoire a longtemps empoisonné et donné le ton des relations entre la France et l'Algérie.




    LeParisien.fr - 17/10/12

     
  • Alpes-Maritimes: un gendarme meurt après un contrôle routier

    Un gendarme est mort en tentant d'arrêter un voleur de voiture, ce mercredi à Peille près de Nice.

    Le fuyard a abandonné son véhicule, une Mini Cooper, un peu plus loin. Il était activement recherché ce mercredi soir.

    L'accident s'est produit vers 15h sur un pont situé à La Grave-de-Peille. Le gendarme tué participait, avec plusieurs collègues, à une "planque" pour retrouver un véhicule volé.

    Arme au poing

    Surpris par les militaires, le voleur présumé a mis les gaz, renversant le gendarme qui lui barrait le passage. "Il avait son arme à la main et le brassard gendarmerie", expliquait -on sur place.

    Le fonctionnaire a été conduit en urgence jusqu'à l'hôpital, où il est décédé.

    La Mini-Cooper partiellement brûlée

    La voiture, une Mini-Cooper, a été découverte partiellement brûlée à quelques centaines de mètres du lieu de l'accident.

     Nice- Matin - 17/10/12
  • Gilbert Collard dans "On ne va pas se mentir" sur I>TELE

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