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GAELLE MANN - Page 1125

  • Avignon - Un chaton emmuré au tribunal est sauvé de justesse: une belle histoire pour changer...

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    Publié le mardi 23 octobre 2012 à 08H03
     

    Un chaton, coincé entre le revêtement en pierres et le mur en béton, a été sauvé

    "C'est lui", "qu'il est mignon !"... À 13h45 c'était l'heure de gloire au secrétariat de l'ordre des avocats pour "Tom Sawyer" le chaton emmuré au tribunal et sauvé par une "chaîne de solidarité".

    Ph A. Esposito

    Vive émotion hier matin à la "parlotte" de la Cité judiciaire d'Avignon qui abrite l'Ordre des avocats du barreau d'Avignon : le mur miaule !Il n'y a pas l'ombre d'un doute pour Me Perrine Corru, Me Valéry Dury, "Fred" la secrétaire de l'ordre et sa fille : un chat est là, "dans" le mur. Les petits miaulements persistent. Il y a urgence. Il n'y a aucune issue et personne ne comprend comment un chat peut se trouver à cet endroit : entre le parement en pierres et le mur en béton de la cité judiciaire.

    Des coups de téléphone sont passés à la sécurité, à l'entretien, à la Présidence du tribunal.... rien n'y fait. En substance tant pis pour le chat. Il n'a qu'à se débrouiller. Les avocats sondent le mur. Le chat est là, toujours vivant mais reste inaccessible. Une trappe qui surplombe la porte d'entrée de l'Ordre est soulevée. L'espoir est de courte durée, c'est une mauvaise piste.

    L'architecte autorise le sauvetage

    Un appel est alors adressé aux pompiers qui font comprendre que l'urgence reste tout de même à l'assistance aux personnes. Néanmoins une équipe est envoyée sur les lieux : le bilan est vite dressé. Impossible d'atteindre l'animal. Il faut desceller une pierre. Et pour cela il faut l'accord de l'architecte apprennent les avocats. Ni une ni deux. Une petite recherche pour identifier l'architecte qui a dessiné le palais. Un fax lui est envoyé est en retour arrive rapidement l'accord tant attendu pour ôter l'une des pierres agrafées au mur. Les pompiers peuvent intervenir : un pied-de-biche, la pierre saute. Le chaton est sauvé.

    Il est immédiatement adopté par Me Perrine Corru : "Tom Sawyer", la nouvelle mascotte de l'Ordre est bichonnée. Il a droit à une gamelle, un peu de nourriture, de l'eau et une brassée de câlins.

    La Provence

  • Lettre ouverte de Génération Identitaire à M. le Premier ministre

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    22/10/2012 — 16h00
    PARIS (NOVOpress) — Suite aux réactions hystériques des mondes politique et médiatique à l’occupation symbolique et non violente du chantier de la future mosquée de Poitiers, Génération Identitaire a adressé une lettre ouverte au Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Lettre que nous reproduisons ci-dessous.

     


    Monsieur le Premier ministre,

     

    Samedi 20 octobre, à six heures du matin, en compagnie d’une centaine de jeunes militants, nous sommes entrés sur le chantier de la Grande Mosquée de Poitiers. En fin de matinée, alors même que vous étiez en déplacement en Asie, vous avez publié un communiqué officiel. Si nous regrettons votre condamnation morale de notre action, nous nous félicitons, en revanche, de l’intérêt que vous portez à notre mouvement, et dont témoigne votre célérité à réagir.

     

    Pour autant, nous voulons croire que votre point de vue découle d’une appréciation inadéquate des faits. En effet, si notre pays connaît régulièrement des occupations d’usines, de bureaux, d’églises, notamment du fait de la CGT ou d’associations de soutien à l’immigration clandestine, celles-ci ne sont pas toujours pacifiques et ne relèvent pas forcément du débat politique. Or, notre occupation du chantier de la Grande Mosquée de Poitiers a été non-violente et est à inscrire dans notre volonté d’un débat public. Notre présence se résume à la pose d’une banderole et à des slogans. L’évacuation s’est faite dans le calme.

    Notre objectif était – et reste – d’attirer l’attention de l’opinion publique sur le problème de l’immigration et de l’islamisation en France. Nous savons que sur ces points, vous êtes d’un avis contraire. Ainsi, alors que vous étiez maire de Nantes, vous avez versé 200 000 euros de subvention publique à un centre “culturel” musulman, pourtant proche des mouvances islamistes radicales. Depuis votre nomination à la tête du gouvernement, vous inscrivez clairement votre action dans le développement et l’enracinement de l’immigration en France. Soit ! C’est votre droit et, peut-être, votre devoir au regard d’exigences d’Etats comme le Qatar ou l’Algérie.

    Nous avons, quant à nous, un avis contraire. Nous sommes de ceux qui pensent – car nous avons encore le droit de penser – que si les Français devenaient minoritaires, alors la France ne serait plus la France. Fantasme ? Non. Il suffit pour s’en convaincre de considérer les récentes études chiffrées de l’INSEE sur les jeunes d’Ile-de-France ou le nombre de mosquées construites ces dernières années chez nous.

    Vous voulez que cela continue ? Nous voulons que cela cesse !

    Vous ne voulez pas demander l’avis des Français ? Nous désirons un referendum !

    Tel était le but de notre action à Poitiers. A cette dernière, votre parti, le PS, mais aussi vos alliés du Front de gauche et d’Europe écologie les Verts, ont répondu unanimement par la haine. Pensez-vous vraiment, monsieur le premier ministre, que, dans une république, on puisse légitimement interdire d’expression des personnes qui réclament un referendum ? Si votre république n’est pas qu’un mot, n’est pas un rapt sémantique, alors, bien évidemment, la réponse est non.

    Nous ne vous demandons pas de nous comprendre. Nous vous demandons, Monsieur le premier ministre, de reconnaître notre droit à l’expression.

    Nous voulons un débat public et apaisé ? Les partis qui soutiennent votre gouvernement répondent par des invectives et des menaces. Nous voulons ouvrir les urnes ? Ils brandissent le bâton. N’est-ce pas eux, pourtant, qui, naguère, défendaient les Pussy Riot, entrées dans une église russe ?

    Certes, vous nous répondrez que la justice a décidé de nous poursuivre. Mais, soyons sérieux, Monsieur le Premier ministre. Pourriez-vous nous jurer que pas un seul de vos ministres n’ait appelé Monsieur le procureur de Poitiers ? Savez-vous d’ailleurs la raison de la mise en examen de quatre d’entre nous ? “Incitation à la haine raciale” pour avoir scandé, entre autres slogans : “Charles Martel !”. Est-ce cela votre république ? Est-ce là votre réponse aux centaines de milliers de jeunes Français qui refusent l’immigration parce qu’ils en souffrent régulièrement ?

    C’est de tout cela, Monsieur le Premier ministre, que nous souhaitons vous entretenir. Nous vous demandons donc de nous fixer un rendez-vous ou, à défaut, une rencontre avec l’un de vos conseillers.

    Dans cette attente,

    Nous vous prions de croire, Monsieur le premier ministre, à l’expression de notre très haute considération.

    La direction de Génération Identitaire

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  • Face aux islamistes, les chrétiens syriens craignent pour leur vie et fuient leur pays

     

     

    Islamistes armés affiliés à l'ASL : pas de pitié pour les chrétiens !

    Pour une raison qu’ils qualifient de « miraculeuse », Fadi, Myriam et Teresa, un couple de Syriens chrétiens et leur petite fille, ont obtenu leur visa pour l’Europe. Ils attendent aujourd’hui la reconnaissance de leur statut de réfugiés. Anciens résidents de Bab Touma, le principal quartier chrétien de Damas qui vient d’être touché par un attentat sanglant pour la première fois depuis le début de la guerre, ils évoquent douloureusement ce qu’ils viennent de quitter : un pays en guerre certes, mais aussi parents et amis. Nous les avons interrogés quelques heures avant l’attentat du 21 octobre qui a fait 13 morts et des dizaines de blessés dans leur quartier.

    Comment se déroulait le quotidien avant votre départ ?
    Fadi : La vie a évidemment beaucoup changé à Bab Touma. Avant, il y avait du monde dans les rues jusqu’à minuit. Aujourd’hui, vers 20h, il n’y a plus un chat. Chacun se terre chez soi. La moitié des restaurants sont fermés, il n’y a plus d’activité. Nous avons souvent des problèmes d’alimentation de pain. Devant les boulangeries, les gens font la queue dès 6h du matin. Une fois, nous n’avons pas eu de pain pendant trois jours. Bab Touma est un quartier protégé par les soldats de l’armée. En revanche, les quartiers voisins sont bombardés. Dès qu’une bombe explosait, c’était toute notre maison qui tremblait.

    Mais la vie civile suit son cours ?
    Myriam : A Bab Touma, une partie des écoles sont encore ouvertes, mais les parents y amènent de moins en moins les enfants. A Damas, de manière plus générale, la plupart des institutions sont maintenant fermées. Les hommes armés font pression pour que la vie civile s’arrête. A Jaraman, un quartier voisin, une de mes amies est allée inscrire sa fille à l’école, en septembre. Une voiture piégée a explosé à côté de la mère et la fille et les a tuées toutes les deux.
    Fadi : Les opposants disent aux écoles de fermer. Ils veulent mettre fin à toute vie normale. L’armée dit aux gens de continuer à vivre normalement, qu’elle les protège. Les gens sont entre deux feux. Ils doivent obéir aux deux s’ils veulent rester en vie. Ma tante était institutrice à Homs. Elle disait à ses élèves de continuer à venir. Elle militait pour que la vie continue coûte que coûte. Son mari l’a retrouvée égorgée. Sur le mur, ils avaient marqué, avec son sang, « Allah akbar ».

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    L'Islam, une religion d'amour et de tolérance!

  • Accouchement de l'A20: "Ma grossesse n'était pas à risque" - Témoignage d'Anne-Sophie Delestre

    L’enfant avait déjà un prénom, Béatrice. Elle est née à 7 mois de gestation, dans une voiture, sur l’A20, à la hauteur du péage de Montfaucon. Et n’a survécu que "quelques minutes", faute de soins adaptés. Un drame qui a entraîné une polémique sur les déserts médicaux et les conditions de prise en charge des naissances dans les zones isolées. François Hollande a demandé l'ouverture d'une enquête administrative, qui est en cours. Très perturbée par les articles de presse sur le drame, "qui disent des choses fausses", la mère de l’enfant a décidé de prendre la parole. Anne-Sophie Delestre, 35 ans, qualiticienne dans une entreprise, installée avec son compagnon Emmanuel Vaissières à La Capelle-Marival (Lot), confie pour la première fois au "Nouvel Observateur" sa version du drame.

    Vous contestez la version du drame véhiculée par les médias. Que s’est-il passé précisément vendredi 19 octobre ?

    - Je n’ai jamais fait "plusieurs fausses couches", comme j’ai pu le lire. C’était ma première grossesse, et elle n’était pas "à risque". On m’avait juste recommandé de ne pas conduire et de ne pas porter de poids lourds parce que j’avais un léger décollement du placenta, qui pouvait entraîner quelques saignements. Cela arrive à beaucoup de femmes. Mais je n’ai pas été alitée, ma grossesse s’est déroulée normalement. J’ai été très bien suivie par mon obstétricien à Figeac. Un praticien reconnu, qui a 25 ans de métier.

    Il n’a pas fait d’erreur en vous envoyant à Brive-la-Gaillarde plutôt que dans une maternité plus proche ?

    - Non. La petite commençait à descendre et j’avais des contractions, mais le col de l’utérus était fermé. Le gynécologue a estimé que j’avais quatre heures devant moi pour arriver à Brive, ce qui est très large. On m’attendait là-bas. Personne ne pouvait savoir que le bébé arriverait aussi vite.

    Mais pourquoi Brive plutôt que Cahors, Villefranche-de-Rouergue ou Aurillac, plus proches de Figeac sur la carte ?

    - Tous ces trajets prennent plus ou moins une heure, à 10 minutes près. Quand on m’a demandé où je voulais accoucher au début de ma grossesse, j’ai choisi Brive parce que la route est plus facile. Comme je devais accoucher en décembre et qu’il y a beaucoup de verglas dans la région, c’était important. Et puis il fallait bien que j’en choisisse une ! Il n’y avait aucune raison pour que j’accouche d’un prématuré. C’est à Brive que j’ai fait mon amniocentèse, tout s’est très bien passé.

    Vous quittez donc Figeac pour Brive en voiture. Qui conduit alors ?

    - Mon compagnon ! Evidemment pas moi ! Mais 20 minutes après être partis de Figeac, j’ai perdu les eaux. Il devait être 12h40. Puis tout s’est enchaîné. Quand la petite est née, elle vivait. Elle bougeait contre moi. Mais au bout de quelques minutes, c’était fini. Un bébé prématuré de sept mois ne tient pas s’il n’est pas mis en couveuse immédiatement.

    Quand les pompiers sont-ils arrivés ?

    - Ils ont dû mettre un quart d’heure, 20 minutes à venir. Puis le Smur est arrivé aussi. Mais la petite était morte. Ils l’ont constaté à 13h25. En tout cas, il est faux de dire que nous n’avons pas appelé les pompiers suffisamment tôt. On cherchait un endroit pour se garer. C’est pour ça qu’on a atterri à l’aire de La Bastide-Murat. Je n’accuse personne, on aurait fait différemment, ça n’aurait rien changé. La petite pesait 700 grammes.

    700 grammes, c’est vraiment très peu à 7 mois…

    - Marisol Touraine a dit qu’elle était très petite. Mais non, elle faisait 31 cm ! 700 grammes, ce n’est pas si petit pour 7 mois. C’est dans les deux derniers mois qu’elle devait prendre du poids.

    Ils n’ont pas détecté d'anormalité à l’échographie ?

    - Non, mais on ne détecte pas tout. C’est toujours approximatif. En tout cas, pour un bébé de ce poids, dans ces conditions, il n’y avait aucune solution. Si j’avais été sur place, oui, ils me l’auraient sauvée certainement. Mais là, je ne serais arrivée à temps dans aucune maternité. Ni nous, ni l’obstétricien, que je soutiens totalement, sont en cause. C’est une douleur immense, un deuil horrible. Et quand je vois que ça fait la Une le lendemain, ça amplifie…

    Vous parlez du débat sur les déserts médicaux ?

    - On a été indigné par la politisation de notre drame. Et le manque de compassion total à notre égard. Jamais un mot pour nous. Les journalistes, eux, se sont pointés à la maison. RTL est resté devant chez nous. Ils nous ont trouvés parce que France Inter a diffusé le nom de mon compagnon. Mais surtout, j’ai été choquée par les journaux à scandale. Des journalistes de "Paris Match" sont venus jusque dans les couloirs de l’hôpital à Cahors pour prendre des photos. C’est inadmissible. C’est du voyeurisme. Profiter du drame des personnes, c’est inhumain.

    Vous êtes désormais rentrée chez vous...

    - Oui. La prise en charge psychologique à l'hôpital de Cahors a été très bonne. Nous attendons le retour du corps de la petite pour l'inhumer, parce que j'ai demandé une autopsie. Je veux que la cérémonie se passe juste entre mon compagnon et moi. Nous ne voulons personne d'autre.

    Propos recueillis par Morgane Bertrand le 23 octobre 2012 - Le Nouvel Observateur

  • Florian Philippot invité de Sciences-Po TV

    Posté par le 22 octobre 2012

     

    Le 7 octobre, Florian Philippot, vice-président du Front National, était l’invité du Grand O sur Sciences Po TV.

  • Le Journal de Syrie 22 octobre 2012

  • L'Iran condamne l'attentat au Liban et accuse Israël

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    L'Iran a condamné samedi l'explosion qui a tué le chef des renseignements de la police libanaise à Beyrouth. Il a accusé Israël d'être derrière cet attentat que l'opposition libanaise a au contraire attribué au régime de Damas allié de Téhéran.

    «L'Iran condamne l'explosion terroriste perpétrée par ceux qui ont cherché à créer des divisions entre les différents groupes libanais, au détriment de l'intérêt du Liban», a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast sur le site internet du ministère.

    «Sans aucun doute, l'ennemi principal du peuple libanais est le régime sioniste, à qui profite le plus l'instabilité et l'absence de sécurité dans la région», a-t-il ajouté.

    De son côté, le ministre des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi a accusé «les ennemis de la région» de «chercher à accroître l'insécurité pour réaliser leurs objectifs malveillants», lors d'un entretien téléphonique vendredi soir avec son homologue libanais Adnan Mansour, selon le site du ministère.

    La Syrie a condamné cet attentat, mais l'opposition libanaise a accusé le régime de Damas, soutenu par Téhéran, d'en être responsable.

    Attaque condamnée

    Huit personnes, dont le chef des renseignements de la police libanaise, ont été tuées et 86 autres blessées vendredi dans un attentat à la voiture piégée à Beyrouth, selon un bilan de la défense civile. L'attaque a été unanimement condamnée, y compris par la Syrie.

    L'attentat a visé le chef des renseignements des Forces de sécurité intérieure (FSI) du Liban, le général Wissam al-Hassan, un musulman sunnite proche de Saad Hariri, chef de l'opposition libanaise opposée au régime de Damas. Il était pressenti pour prendre la tête des FSI à la fin de l'année.

    Les renseignements des FSI avaient joué un rôle majeur dans l'arrestation le 9 août de l'ex-ministre libanais Michel Samaha, un partisan du régime syrien, dans le cadre d'une affaire d'explosifs saisis qui devaient être notamment placés dans le nord du Liban. (ats/Newsnet)

    Créé: 20.10.2012

    Tribune de Genève

  • Des jeunes Israéliens se font tatouer des numéros de déportés

     

     et apparemment ce ne serait pas de la nostalgie.

    Plutôt un mélange d’indécence et de névrose…

    Il y a en effet une mode chez certains jeunes Israéliens, consistant à reproduire sur leur peau les tatouages de leurs grands-parents qui avaient été déportés par l’Allemagne.

    Atlantico nous en parle en ces termes : « « Quand j’ai montré pour la première fois le numéro à mon grand-père, il a pleuré et il a embrassé mon bras« , raconte-t-elle. Peu de temps après, sa mère et son oncle ont d’ailleurs décidé de faire la même chose qu’elle.
    En Israël, le poids de la Shoah est extrêmement lourd, pour ne pas dire intrinsèquement lié à la création de l’Etat hébreu. L’histoire du nazisme est enseigné aux enfants dès l’école primaire, et on trouve à Jérusalem un très grand musée consacré à cette période sombre de l’histoire, le musée Yad Vashem. »

    Contre-info.com

  • Quand Ivry lutte contre la "discrimination"...

     

    Ce soir, à 18H30, Ivry inaugure une exposition contre la discrimination et pour l’égalité des droits. La municipalité affiche en outre sa volonté de promouvoir une ville métissée. Entre autre question posée : « Qu’est-ce qu’une discrimination ? »

    Alors tentons de les éclairer rapidement. « Discriminer » partage la même racine étymologique que « discerner« , qui signifie « être en mesure de faire un choix ». Alors évidemment, faire un choix, c’est en exclure un autre. Épouser une femme, par exemple, c’est en discriminer des milliards d’autres. C’est sûr. Mais la discrimination n’est pas mauvaise en soi, au contraire. Il faut juste s’interroger sur son caractère juste : elle est injuste, en effet, toutes les fois où elle ne rend pas à autrui son dû. La vraie question est donc de savoir ce qui est dû ou ce qui ne l’est pas.

    Ériger ainsi une lutte idéologique contre la discrimination comme telle, c’est finalement refuser les choix et les considérer comme mauvais en tant que tels. Cette démarche repose nécessairement sur la vision d’un monde indistinct et uniformisé, où les différences sont nivelées, les homme indifférenciés, aussi bien asexués qu’apatride, c’est-à-dire déracinés. Magnifique !

    Contre-info.com

  • "La France est en guerre et personne ne veut le dire", par Renaud Camus

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    L’écrivain engagé Renaud Camus (photo) dit clairement que la France est en guerre et que ce que les médias appellent actes de violences ou incivilités sont en fait des actes de guerre menés contre la France et sa civilisation.

    Extraits de l’interview

    Où voyez-vous des actes de guerre en France qui rappellent le début de la guerre d’Algérie ?

    Ce qui rappelle le début de la guerre d’Algérie c’est l’extrême euphémisation du discours imposé par le complexe médiatico-politique. On disait « les événements », on dit « les affrontements ». Le caractère de conflit territorial est totalement nié.


    Pourquoi êtes-vous en colère contre les médias ?

    Parce qu’ils imposent (presque) unanimement un système de lecture du monde qui est une formidable machine à ne pas voir, à ne pas dire, à ne pas comprendre. L’antiracisme, car c’est de lui qu’il s’agit, depuis qu’il a cessé d’être une morale pour se transformer en idéologie, en endoctrinement, en instrument de pouvoir et de répression, est devenu ce que j’ai appelé, empruntant l’expression à Alain Finkielkraut, Le Communisme du XXIe siècle (éditions Xénia). Il sert, menaces à l’appui, à dissimuler ce qui survient : à savoir le changement de peuple, le Grand Remplacement, la contre-colonisation.

    [...]

    Est-ce que la France est une terre d’immigration depuis des siècles ?

    Absolument pas. C’est l’une des plus cyniques inventions de l’historiographie collaborationniste, au service du parti dévot. Entre le VIe et le XXe siècle, la France a eu une population aux composantes stables. Une première vague d’immigration se manifeste à partir de la fin du XIXe siècle, mais c’est encore une immigration d’individus, et facilement assimilables en une ou deux générations parce que de même civilisation, chrétienne et européenne : Belges, Italiens, Polonais. L’immigration de masse ne commence qu’avec le dernier tiers du XXe siècle et très vite il n’est plus question d’intégration car si la France a toujours su et pu intégrer des individus, elle ne peut pas intégrer des peuples, surtout s’ils appartiennent à des civilisations totalement étrangères à la nôtre et souvent hostiles.

    [...]

    Assistons-nous à la réécriture de l’Histoire de France ?

    Ah ça, totalement. Elle est grandement favorisée par la Grande Déculturation, l’effondrement du système d’éducation, l’enseignement de l’oubli, l’industrie de l’hébétude.

    [...]

    Est-ce que la France est comme le Kosovo avec des zones musulmanes, africaines et chrétiennes ?

    La France moderne s’ingénie à devenir ce que la France classique s’est évertuée des siècles durant à ne pas être, une ex-Yougoslavie, des Balkans, un autre Liban, un panier de crabes.

    Puisque nous parlons de populations différentes. Parlez-nous du traitement des statistiques sur la démographie !

    Statistiques et sociologie sont au parti dévot ce que la biologie de Lyssenko était au stalinisme.

    Avez-vous lu « Les Yeux grands fermés » de Michèle Tribalat ? Votre avis ?

    Une des rares voix clamant dans le désert, comme celle de Richard Millet en littérature.

    [...]

    Que pensez-vous du rôle des organisations humanitaires qui comme le Mrap interdisent de parler des faits ?

    Qu’elles sont les auxiliaires intéressées du Grand Remplacement.

    [...]

    Propos recueillis par Olivier Renault

    Source et interview complète sur La voix de la Russie.

    Photo : Renaud Camus aux Assises sur l’islamisation de l’Europe.

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  • Poitiers - Le Système frappe fort pour protéger l'invasion !

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    Chantier de la  grande mosquée de Poitiers

    22/10/2012 — 15h30
    POITIERS (NOVOpress) — C’est par une réaction disproportionnée et sidérante que le Système réagit contre les militants de Génération Identitaire qui avaient été en garde à vue pendant près de 48 heures depuis samedi.

    En effet, comme l’indique Philippe Vardon : “Je viens d’avoir mon frère au téléphone, il est le premier à être sorti après avoir vu la juge… Il est mis en examen pour complicité de provocation à la haine raciale (pour les slogans !) et manifestation non-autorisée. Le plus dégueulasse est le contrôle judiciaire qui lui est imposé : interdiction de sortir de son département de résidence, obligation de pointer au commissariat une fois par semaine, interdiction de côtoyer une des 73 personnes présentes, interdiction de participer à toute activité politique identitaire.”

     

    En attendant le procès, le Système – pour une action, qui, rappelons le, s’est faite sans haine ni violence – a décidé la mort sociale de quatre jeunes hommes – âgés de 23 à 26 ans, et sans antécédent judiciaire – attachés à la défense de leur identité. Un moyen pour le PS de montrer à ses électeurs musulmans que la gauche version Terra Nova, désormais au pouvoir, les entend et les défend au détriment de ceux qui constituent encore la majorité…

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    NdB: Le Grand Complot contre la France ne se cache même plus!

     

  • Manuel Valls défend au Vatican le mariage homosexuel

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    Couple homo à Paris

    PARIS (Reuters) - Le ministre français de l'Intérieur, Manuel Valls, a défendu samedi au Vatican le projet de légalisation du mariage entre personnes de même sexe, rapporte dimanche l'agence de presse catholique I.media.

    Il a précisé qu'un débat aurait lieu sur les modalités de sa mise en oeuvre mais a rappelé la détermination de son gouvernement à faire adopter cette loi, ajoute l'agence de presse spécialisée sur le Vatican.

    Manuel Valls, venu participer à la canonisation du jésuite français Jacques Berthieu, a dit aux journalistes que sa visite était le signe du "très grand respect" du président François Hollande et du Premier ministre Jean-Marc Ayrault pour "le Saint-Siège et le pape".

    Il a confié avoir expliqué au chef de la diplomatie vaticane, Mgr Dominique Mamberti, que le mariage entre personnes de même sexe était "un engagement du président de la République".

    Si le projet de loi sera présenté par le Conseil des ministres fin octobre ou début novembre, Manuel Valls a semblé exclure "un débat de principe" sur le bien-fondé de la loi mais a reconnu la nécessité d'un "débat sur sa mise en oeuvre et ses conséquences concrètes, administratives et d'ordre civil qui interrogent la conscience", souligne I.media.

    "Un débat aura lieu", a encore affirmé le ministre de l'Intérieur à propos du mariage homosexuel et de l'adoption par les couples homosexuels, ajoutant qu'il était "logique et légitime que l'Eglise expose pleinement son point de vue comme tous les autres acteurs de la société civile, qu'ils soient favorables ou opposés à ce mariage".

    Manuel Valls s'est cependant dit opposé à un référendum, soutenant que "le mariage pour tous" entrait dans les "grands choix" que doit affronter un Parlement comme, par le passé, la peine de mort ou l'avortement.

    Le projet de loi qui doit être présenté en conseil des ministres mobilise contre lui presque toute la droite ainsi que l'Eglise catholique et ne satisfait pas pleinement la communauté homosexuelle, qui dénonce un texte a minima.

    Malgré les oppositions, le principe du mariage homosexuel recueille une approbation assez nette au sein de l'opinion, 61% des Français s'y déclarant favorables, selon un récent sondage Ifop pour Le Figaro.

    Gérard Bon

    Yahoo! Actu - 21/10/12

     

     

  • 45 députés ont signé un appel à la démission de Vincent Peillon

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    Un ministre de l’Education nationale favorable à la dépénalisation du cannabis

    Alors que les scientifiques ont démontré, sans aucune contestation possible, l’effet désastreux du cannabis sur le développement cognitif des adolescents, Vincent Peillon souhaite engager la discussion sur la dépénalisation du cannabis…

    Cela ne pourrait être qu’une aberration supplémentaire d’un élu de gauche, mais en l’occurrence, il s’agit du Ministre de l’Éducation Nationale en charge de nos enfants.

    Le Premier Ministre doit immédiatement exiger la démission de Vincent Peillon s’il ne veut pas une révolte des familles qui en ont plus qu’assez de cette succession d’inconséquences politiques.

    La responsabilité du gouvernement est d’engager au contraire, immédiatement, une véritable campagne nationale d’information au sujet des ravages provoqués par cette drogue.

    *Philippe Meunier, député du Rhône – Jean-Frédéric Poisson, député des Yvelines – Yves Albarello, député de Seine et Marne – Véronique Besse, députée de Vendée – Xavier Breton, député de l’Ain – Dino Cinieri, député de la Loire – Marie-Christine Dalloz, députée du Jura – Gérald Darmanin, député du Nord – Jean-Pierre Decool, député du Nord – Lucien Degauchy, député de l’Oise – Nicolas Dhuicq, député de l’Aube – Jean-Pierre Door, député du Loiret – Virginie Duby-Muller, députée de Haute-Savoie – Sauveur Gandolfi-Scheit, député de Haute-Corse – Bernard Gérard, député du Nord – Franck Gilard, député de l’Eure – Philippe Gosselin, député de la Manche – Christophe Guilloteau, député du Rhône – Guénhaël Huet, député de la Manche – Laure de la Raudière, députée d’Eure-et-Loir – Charles de la Verpilliere, député de l’Ain – Patrick Labaune, député de la Drôme – Elisabeth Lamure, Sénatrice du Rhône – Marc Le Fur, député des Côtes d’Armor – Lionnel Luca, député des Alpes-Maritimes – Véronique Louwagie, députée de l’Orne – Alain Marc, député de l’Aveyron – Philippe Marini, Sénateur de l’Oise – Olivier Marleix, député d’Eure-et-Loir – Thierry Mariani, député des Français établis hors de France – Damien Meslot, député du Territoire de Belfort – Alain Moyne-Bressand, député de l’Isère – Jacques Myard, député des Yvelines – Yves Nicolin, député de la Loire – Bérangère Poletti, députée des Ardennes – Didier Quentin, député de Charente-Maritime – Bernard Reynes, député des Bouches-du-Rhône – Eric Straumann, député du Haut-Rhin – Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône – Michel Terrot, député du Rhône – Dominique Tian, député des Bouches-du-Rhône – Patrice Verchère, député du Rhône – Philippe Vitel, député du Var – Michel Voisin, député de l’Ain

    source: NdF

    ALTERMEDIA FRANCE 

  • Israël : 9 militants pro-palestiniens arrêtés sur "Estelle" expulsés 21/10/2012

     
    Israël : 9 militants pro-palestiniens arrêtés sur "Estelle" expulsés




     Israël a expulsé dimanche 9 des 27 militants étrangers pro-palestiniens arrêtés la veille après l'arraisonnement par sa marine du "Estelle", un navire finlandais qui voulait briser l'embargo maritime de la bande de Gaza, a indiqué une porte-parole israélienne.

    "Neuf militants ont été expulsés dont cinq Grecs, 3 Espagnols et un Italien après avoir renoncé par écrit à faire appel de leur expulsion par un juge israélien", a précisé Sabine Hadad, porte-parole des services de l'Immigration au ministère de l'Intérieur.

    En tout, 30 personnes ont été arrêtées à bord du navire, dont 3 ressortissants israéliens et 27 étrangers. Trois femmes se trouvent parmi ces derniers, a encore affirmé Mme Haddad.

    Elle a précisé que les 18 étrangers encore détenus ont été incarcérés "pour 72 heures à la prison Guivon de Ramla, près de Tel-Aviv, jusqu'à ce qu'un juge se prononce sur leur expulsion d'ici sans doute mercredi".

    Cinq députés européens étaient à bord de l'"Estelle", - Ricardo Sixto Iglesias (Espagne), Sven Britton (Suède), Aksel Hagen (Norvège), Vangelis Diamandopoulos et Dimitris Kodelas (Grèce)-, ainsi que l'ancien député canadien Jim Manly.

    Les trois ressortissants israéliens devaient pour leur part être interrogés par la police.

    Le "Estelle", une goélette, est arrivé samedi soir au port d'Ashdod après avoir été arraisonné dans la matinée par la marine israélienne dans les eaux internationales au large de la bande de Gaza.

    Un avocat israélien de ces militants Me Gaby Lasky a pour sa part accusé l'armée d'avoir utilisé durant l'abordage des Taser, un pistolet à impulsion électrique, contre les passagers durant l'abordage.

    "Ils (les soldats) ont utilisé ces pistolets à un point tel qu'il est possible de parler de "torture électrique" sur certains des militants", a affirmé l'avocat en précisant qu'un moins d'un d'entre eux est un des députés européens.

    La porte-parole de l'armée Avital Leibovich a démenti que les soldats aient eu recours à la "violence" durant l'abordage.


     

    http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/783864/Israel_%3A_9_militants_pro-palestiniens_arretes_sur_%22Estelle%22_expulses.html http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/783864/Israel_%3A_9_militants_pro-palestiniens_arretes_sur_%22Estelle%22_expulses.html    

     

    ALTERINFO.NET


     

  • Fabius : "Probable" implication de la Syrie dans l'attentat de Beyrouth 21/10/2012

     

    Fabius : "Probable" implication de la Syrie dans l'attentat de Beyrouth




        Laurent Fabius a jugé ce dimanche "probable" l'implication de Damas dans l'attentat à la voiture piégée qui a tué huit personnes vendredi à Beyrouth dont le chef des renseignements de la police Wissam al-Hassan.

    "C'est probable, tout indique que c'est le prolongement de la tragédie syrienne ce qui rend nécessaire le départ d''Assad", a déclaré M. Fabius, accusant le président syrien Bachar el-Assad "d'essayer d'élargir la contagion du conflit dans les pays voisins de la Syrie".


    Agences. 
      
    ALTERINFO.NET

  • "Changer un peuple en moins de deux générations ? Facile !"

     

    On mettra l’évocation des pratiques islamistes pour imposer leur loi en France en rapport avec les videos où l’on voit le Russe Youri Bezmenov expliquer comment on peut changer tout un pays en deux générations. Hallucinant mais imparable. Il suffit d’entendre Français au lieu de Américains et« pro-islam au lieu de « communistes, marxistes ou révolutionnaires »…

    Propagande, désinformation, manipulation… c’est notre quotidien. Ecoutez Youri Bezmenov et vous comprendrez pourquoi et comment nos gouvernants depuis 40 ans (bientôt deux générations) ont investi tous les champs, éducatif, médiatique, culturel, politique, pour ne pas parler de la justice, de l’économie, de la défense, bref, des secteurs clé afin de changer le peuple de France en moins de 2 générations. La clique Hollande accélère le processus, comme Pierre Cassen l’a expliqué dans le Journal des Résistants du 19 octobre. La clique Hollande ne sait pas gérer un pays, mais elle connaît le ba-ba des gauchistes pour changer un peuple.

    La recette inratable du Big brother pro-islam ? Démoralisation, déstabilisation, insurrection, « normalisation ».

    Un espoir tout de même, Yuri Bezmenov donne la solution à la fin de la vidéo, à partir de 15.29.

    NdB: Cette interview date de 1985


    YouTube

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=uHxyII04iWM

    Christine Tasin

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Marisol Touraine: "Beaucoup de questions autour de cette affaire"

    "C'est une situation dramatique, il est insupportable de voir un couple perdre un enfant dans de telles circonstances, c'est inacceptable", a déclaré Marisol Touraine dimanche 21 octobre dans l'émission "BFM Politique/LePoint/RMC" à propos de l'accouchement dramatique d'une femme sur une autoroute du Lot.

    Pour autant, "il y a beaucoup de questions dans cette affaire et je ne veux pas apporter de réponses trop rapidement", a ajouté la ministre de la Santé. "Cette femme, qui avait manifestement une grossesse à risques, a-t-elle été prise en charge dans de bonnes conditions ? Cet enfant était très prématuré et de très petite taille", a-t-elle énuméré. "La maternité de Brive n'était pas la plus proche du domicile des parents", a complété la ministre. L'enquête administrative "se poursuit et répondra à ces questions".

     

    FTVi