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GAELLE MANN - Page 1127

  • « Il est temps que les Français apprennent l’arabe ! »

     

     

    « Il est temps que les Français apprennent l’arabe ». Tel est le conseil prodigué par Moncef Marzouki, à l’heure où son pays, la Tunisie, entame un grand bond en arrière suite à la chute de Ben Ali et à la ré-islamisation dont il est la proie.

    En marge du Sommet de la francophonie qui se tenait à Kinshasa, le président de la Tunisie islamiste, Moncef Marzouki, invité de TV5Monde, réagissant à une remarque du journaliste de la chaîne qui décrivait une Tunisie métamorphosée sous l’influence des islamistes au pouvoir, privilégiant l’emploi de la langue arabe à celle du français, a lancé : « Moi aussi je préfère la langue arabe. Il est normal qu’en tant qu’Arabe, nous préférions notre langue ».

    « Un peuple qui ne possède pas deux, trois langues n’est pas bien dans le monde. Et je pense que les Français aussi feraient mieux d’apprendre d’autres langues que le français »; a insisté le président tunisien.

    Source

     Il y a des coups de pied au cul qui se perdent!

  • Occupation de la mosquée de Poitiers

     Publiée le 20 oct. 2012 par

    La mosquée de Poitiers (86) est occupée depuis 6 heures ce matin par des militants "Génération Identitaire". Ce mouvement d'extrême droite signe ainsi sa première action d'ampleur. Ecoutez Damien Rieu, le porte-parole de "Génération Identitaire" joint sur le toit de la mosquée qui expose leurs motivations et ensuite la réaction de Boubakeur El Hadj-Amor, le recteur de la mosquée de Poitiers.
    http://poitou-charentes.france3.fr/info/

     

    Ndb: 2012 - 732 = 1280 ans 

    C'est le 1280ème anniversaire de la bataille de Poitiers et non le 1600ème.

  • La mosquée de Poitiers occupée par des militants de Génération identitaire

    Publiée le 20 oct. 2012 par

    Depuis 6 heures, ce samedi matin 20 octobre, une soixantaine de militants de "Génération Identitaire" occupe la mosquée de Poitiers. Ils se sont installés sur le toit du bâtiment. Ces militants d'extrême droite demandent un référendum sur l'immigration extra-européenne et la construction de mosquée en France. A la mi-journée, les manifestants ont accepté de quitter les lieux.
    http://poitou-charentes.france3.fr/info/

  • Faute de maternité à proximité, une femme a perdu son bébé en accouchant au cours de son transport

     

      
     

    Une femme, domiciliée dans le Lot, et qui se rendait à la maternité de l’hôpital de Brive en Corrèze, pour y accoucher, a donné naissance à son enfant durant le trajet qu’elle effectuait avec son compagnon. Mais en arrivant, peu après 12 h 40, au niveau de la barrière de péage de Montfaucon, sur l’autoroute A 20, le Samu de Cahors, les pompiers ainsi que les gendarmes ont découvert le corps sans vie du nouveau-né.

    Ce drame pose la question de la présence des maternités sur le département. Depuis le mois de mai 2009, la maternité de l’hôpital de Figeac a fermé ses portes, après celle de Gourdon, quelques années auparavant. Cahors, au sud du département, reste donc la dernière maternité du Lot. La mère aurait rencontré, vendredi matin, son gynécologue à Figeac. Son accouchement était bien prévu à Brive, à une heure de route de Lacapelle-Marival. Bien qu’enceinte de seulement sept mois, le praticien, craignant l’arrivée imminente du bébé, lui aurait conseillé de se rendre rapidement à l’hôpital de Brive, réputé pour la prise en charge des accouchements difficiles.

    La jeune femme avait, en théorie, quatre destinations possibles pour mettre au monde son enfant : Brive, Cahors, Villefranche-de-Rouergue ou Decazeville, toutes situées à une heure de chez elle. Un délai trop long qui repose le débat de l’inégalité des chances entre les territoires pour la santé. Une récente étude montre qu’en moyenne, les femmes françaises disposent d’une maternité à 17 minutes de leur domicile, les Lotoises sont à 35 minutes C’est le deuxième département le moins bien loti de France. Une famille en a payé le prix fort.

    Source

    Pour le Front National, l’accès aux soins sur tout le territoire doit être une priorité politique pour assurer la présence de centres hospitaliers ou médicaux pluridisciplinaires dans chaque bassin de population et éviter ainsi la désertification médicale, particulièrement dramatique en milieu rural.

  • Gaza: le navire d'aide humanitaire "Estelle" bloqué par des commandos israeliens 20/10/2012

     

    Gaza: un navire d'aide humanitaire bloqué par des commandos israeliens




    Des commandos israéliens encagoulés ont débarqué samedi sur le navire finlandais Estelle transportant une aide humanitaire à la bande de Gaza malgré les interdictions de l'Etat hébreu, ont rapporté des médias grecs.

    Un membre de l'expédition humanitaire a annoncé par téléphone au site news247 que six vedettes de la Marine israéliennes avaient encerclé le bateau.

    Les militaires israéliens chargés d'arraisonner le navire finlandais Estelle transportant une aide humanitaire à la bande de Gaza n'ont pas fait usage de la force, a déclaré samedi une porte-parole de l'armée israélienne.

    "Les soldats sont montés à bord sans faire usage de la force" après que le navire transportant une trentaine de militants pro-palestiniens a refusé de se dérouter et a ignoré un avertissement de la Marine israélienne lancé par radio, a indiqué la porte-parole.

    "Nos militaires contrôlent le bateau qui fait route vers le port israélien d'Ashdod où il passera un contrôle", a-t-elle ajouté.

    Le navire a été arraisonné à 30 milles de la bande de Gaza. Les Israéliens transporteront sa cargaison humanitaire par route à la bande de Gaza et reconduiront les militants à la frontière après le contrôle à Ashdod.

    Selon les médias grecs, cinq Grecs dont deux parlementaires, trois Israéliens, des parlementaires suédois, norvégien et espagnol, ainsi que des Finlandais, des Italiens et des Canadiens se trouvent à bord du bateau qui a quitté la Suède il y a deux mois et a fait des escales dans 12 ports d'Europe avant d'arriver à Gaza.

    Décrété en juin 2006 en réaction à l'enlèvement du caporal israélien Gilad Shalit, le blocus israélien de Gaza a été renforcé au milieu de 2007 suite à la prise de contrôle du territoire par le mouvement islamiste Hamas. L'Etat hébreu a également bloqué les frontières maritimes de l'enclave.

    Les organisations de défense des droits de l'homme considèrent le blocus israélien comme illégitime et envoient régulièrement des navires d'aide humanitaire à la bande de Gaza. En 2010, des commandos de la marine israélienne ont arraisonné la Flottille de la liberté, un convoi de huit navires qui transportaient des cargaisons humanitaires pour la population de la bande de Gaza. L'attaque a fait 9 morts et 28 blessés parmi les militants turcs qui se trouvaient à bord des cargos. Cet épisode a amené Israël à alléger le blocus de Gaza sous les pressions de la communauté internationale.
     

    http://fr.rian.ru/world/20121020/196372045.html http://fr.rian.ru/world/20121020/196372045.html    

    ALTERINFO. NET

    Encore un acte de piraterie à peine déguisé, mais les grandes consciences universelles se moquent bien du camp  deGaza et de ses réfugiés, pris en otages par Israël.

    Ce blocus terrestre, aérien et maritime est un scandale international.


     

  • Serge de Beketch et le Docteur Plantey : petite histoire de l’esclavage en Angleterre

     

    Flamby, en déplacement en Afrique, n’a pu s’empêcher d’aller se repentir sur l’île de Gorée. Bernard Lugan démontre aisément que cette « île de l’esclavage » est une légende contemporaine (voir ici).

     En complément cette intervention de Serge de Beketch qui révise l’histoire de l’esclavage en Angleterre (la liste de noms des propriétaires de bateaux négriers témoigne de l’origine des tenants du trafic) .

    Merci à Frédérik

    Contre-info.com

  • Les catholiques défendent l’église saint Eloi du Berry

     

    Les catholiques du Berry ont monté un comité pour préserver l’église saint Eloi, menacée d’être transformée en mosquée.
    Le comité lance une « pétition contre la transformation de l’église St Eloi de Vierzon en mosquée« .

    Voici par ailleurs les coordonnées de l’archevêché de Bourges:
    4 Avenue du 95e de Ligne
    18000 Bourges
    tél. : 02 48 23 12 90
     
    Contre-info.com
     
  • Italie : Des « réfugiés » nord-africains rançonnent une petite ville du Latium

     

    19/10/2012 — 08h00
    ROME (NOVOpress) — Pourquoi changer une tactique qui marche ? Il y a un mois, une centaine d’immigrés nord-africains, hébergés à l’hôtel dans la petite ville de San Giovanni Incarico (région du Latium), « en attente du statut de réfugiés politiques », avaient occupé la mairie pour exiger de toucher une allocation journalière.

    Le maire, Antonio Salvati, avait vainement tenté de leur expliquer qu’une allocation n’était pas prévue pour eux, puisqu’ils sont déjà intégralement pris en charge (logement, repas, vêtements, service de blanchisserie, tout cela payé par le contribuable italien). Les immigrés n’avaient rien voulu entendre et avaient édifié une barricade devant la mairie en arrachant les grilles des bouches d’égout.

     

    Finalement, lors d’un sommet à la Préfecture, le maire avait cédé et accepté de verser à chaque immigré 5 euros par jour : 150 euros par mois. Multiplié par cent, ce n’est pas léger pour le budget d’une commune de 3.500 habitants, et alors que le gouvernement Monti ne cesse de réclamer des sacrifices supplémentaires aux Italiens.

    « Nous avons pris cette décision, avait déclaré le maire, uniquement pour nous accorder avec leurs demandes et pour éviter des problèmes d’ordre public, mais il doit être clair que c’est la dernière fois que nous cédons. Ils devraient avoir plus de respect pour les lois italiennes ».

    Ces fortes paroles ont eu l’effet auquel on pouvait s’attendre. Avant-hier, les immigrés sont retournés à la mairie « pour se plaindre, cette fois, dit délicatement le journal local, d’une manière plus animée ». Ils entendaient « manifester leur mécontentement pour le caractère précaire de leur logement ». C’est vrai qu’un hôtel, c’est un logement provisoire…

    Les Maghrébins se sont armés de pavés arrachés à la chaussée et ont menacé les employés municipaux. Les carabiniers ont dû intervenir. Douze « réfugiés » ont été inculpés et devront répondre des chefs d’« interruption de service public », « menaces à employé d’un service public », « dommages aggravés ». En attendant, ils ont été laissés en liberté. Dans leur hôtel en pension complète.

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Beyrouth frappée par un attentat à la voiture piégée - 8 morts dans le quartier chrétien

    sans-titre.png Beyrouth.png

    Un général des renseignements a été tué dans l'explosion d'une voiture piégée, qui a fait 8 morts dans le quartier chrétien.

    Une voiture piégée a explosé en plein cœur de Beyrouth, vendredi vers 15 heures, tuant le chef de la section des renseignements des Forces de sécurité intérieure (FSI). Le général Wissam al-Hassan circulait dans une voiture banalisée dans une ruelle de l'un des centres les plus animés de la capitale. Le quartier de la place Sassine, à Achrafié, à la fois résidentiel et commercial, fourmille de monde à cette heure qui correspond à celle de la sortie des écoles. Le bilan est lourd: au moins huit morts et 86 blessés.

    L'identité de la cible de la voiture piégée a été connue plus de quatre heures après l'explosion. Proche de l'ancien premier ministre Saad Hariri, le général Wissam al-Hassan était un homme clé dans le paysage politico-sécuritaire et confessionnel qui oppose alliés et rivaux libanais de la Syrie. Il était pressenti pour prendre la tête des Forces de sécurité intérieure, un poste réservé à la communauté sunnite.

    Dès l'annonce de sa mort, des manifestations de colère ont eu lieu dans les régions à majorité sunnite du Liban: coups de feu, routes barricadées, pneus brûlés, faisant craindre une flambée incontrôlée de violence alors qu'une tension extrême règne dans le pays en raison de la guerre qui se déroule en Syrie voisine. Dans la soirée, l'opposition libanaise appelait à la démission du gouvernement, alors que les condamnations les plus fermes émanaient de Washigton, Paris, ou du Vatican, en même temps que des appels au calme.

    Hassan enquêtait notamment sur l'affaire Michel Samaha, du nom de l'ancien ministre libanais, l'un des principaux relais du régime syrien à Beyrouth, arrêté en août alors qu'il s'apprêtait à commettre des attentats, selon ses propres aveux. C'est assez aux yeux d'un grand nombre d'analystes pour y voir la signature de Damas, même si le ministre syrien de l'Information a été l'un des premiers à dénoncer l'attentat. Dans une intervention télévisée vendredi soir, Saad Hariri a ouvertement accusé le président syrien Bachar el-Assad d'avoir ordonné l'assassinat.

    Scènes de chaos

    Cet attentat est le plus meurtrier depuis des années à Beyrouth. Le dernier remontait à janvier 2008 et avait coûté la vie à Wissam Eid, un officier des mêmes services de renseignements libanais qui enquêtait sur la série d'assassinats ayant secoué le Liban, depuis celui de l'ancien premier ministre Rafic Hariri en février 2005. Wissam al-Hassan était alors le chef de la sécurité de Hariri père.

    La déflagration très puissante a été entendue à des kilomètres à la ronde. Les images diffusées par les télévisions libanaises montrent la carcasse complètement calcinée d'une voiture et des immeubles détruits dans la ruelle adjacente à la place Sassine. Les secouristes ont accouru pour évacuer les blessés. Des corps ensanglantés étaient extirpés des décombres, tandis que les pompiers tentaient de maîtriser les flammes dans les appartements donnant sur la rue d'où s'élevait une épaisse fumée noire. Le correspondant d'une radio locale affirme avoir vu des parties de corps humains dans les débris. Les hôpitaux ont lancé des appels au don de sang. Des scènes de chaos que Beyrouth espérait ne plus revivre après la fin de la guerre de 1975-1990.

    C'est un même sentiment d'écœurement qui dominait vendredi parmi les Libanais incrédules de devoir éprouver une nouvelle fois la peur panique de perdre un proche. «S'assurer que les autocars ont ramené les enfants sains et saufs. Appeler son mec, sa sœur, son frère, son père, sa mère, ses amis… Se dire Dieu merci je l'ai échappé… Une énième fois. Jusqu'à quand?», s'indigne Lina Zakhour sur Facebook. Le réseau social a été aussitôt pris d'assaut en raison de la saturation des réseaux téléphoniques après l'attentat.

    LIRE AUSSI:

    » EN IMAGES - Panique et désolation à Beyrouth après l'attentat

     

    Le Figaro - 19/10/12

  • Attentat contre les chrétiens du Liban

     

     
     
     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’attentat qui a frappé un quartier chrétien de la capitale libanaise faisant au moins huit morts et des dizaines de blessés illustre de façon dramatique la montée des violences à l’encontre des minorités religieuses et particulièrement chrétienne.

    Cette escalade dans la terreur frappant les populations civiles est la conséquence prévisible de la montée de l’islam radical qui a prospéré au Maghreb tout comme au Proche-Orient au lendemain des « Printemps arabes », soutenus par les puissances occidentales au nom de la démocratie et des droits de l’homme.

    Ceux qui ont délibérément armé le fascisme vert portent aujourd’hui une lourde responsabilité dans ces violences qui alimentent les conflits inter-religieux et menacent la stabilité de toute une région.

    Le Front National enjoint la communauté internationale qui a pris le risque insensé de s’immiscer dans des guerres civiles de faire respecter le principe de protection des minorités religieuses et d’assurer la liberté de croyance, droit fondamental et universel.

  • Mariage homosexuel, homoparentalité, adoption : ce que l'on oublie souvent de dire

    Tribune
    Publié le 19 Octobre 2012

     

      Par Gilles Bernheim, Grand Rabbin de France

     

    Un grand nombre de nos concitoyens ne perçoit dans la revendication du mariage homosexuel qu’une étape supplémentaire de la lutte démocratique contre l’injustice et les discriminations, dans la continuité de celle engagée contre le racisme.

    C’est finalement au nom de l’égalité, de l’ouverture d’esprit, de la modernité et de la bien-pensance dominante qu’il nous est demandé d’accepter la mise en cause de l’un des fondements de notre société. Et d’ailleurs, sondages à l’appui, cette mise en cause serait déjà acceptable par une majorité de nos concitoyens et son inscription dans la Loi n’appellerait, de ce fait, aucun débat à la mesure des enjeux.

     

    Je pense, au contraire, qu’il est de la plus haute importance d’expliciter les véritables enjeux de la négation de la différence sexuelle et de débattre publiquement sur ces bases – plutôt que sur des principes, comme l’égalité, qui flattent ceux qui s’en font les porte-étendards, mais dont l’invocation, ici, ne résiste pas longtemps à l’analyse.

     

    Dans cet essai, je propose de décrypter le discours des partisans d’une Loi, de passer au crible leurs arguments et de mettre en lumière les effets négatifs des dispositions qu’ils revendiquent. Mon objectif est de contribuer à l’émergence d’un véritable débat sur la place publique, car le sujet mérite mieux que le tribunal des bonnes consciences, où ses partisans entendent le maintenir jusqu’au vote de la Loi, à coup de caricatures disqualifiantes contre ceux qui chercheraient à questionner leur projet et leurs motivations.

     

    L’enjeu qui me mobilise est le risque irréversible d’un brouillage des généalogies, des statuts (l’enfant-sujet devenant enfant-objet) et des identités – brouillage préjudiciable à l’ensemble de la société et perdant de vue l’intérêt général au profit de celui d’une infime minorité.

     

    L’essai est organisé en deux parties. J’analyse, tout d’abord, les arguments des partisans d’une loi :

    - Le mariage homosexuel au nom de l’égalité ?

    - Le mariage homosexuel au nom de la protection du conjoint ?

    - L’homoparentalité au nom de l’amour ?

    - L’homoparentalité au nom de la protection de l’enfant ?

    - L’adoption au nom du droit à l’enfant ?

    - L’adoption au nom des enfants attendant d’être adoptés ?

    - De nouvelles formes d’homoparentalité au nom de l’égalité ?

    - La Loi et l’intérêt général à l’épreuve des chiffres.

     

    Puis, je présente la confrontation des deux visions du monde, qui se joue derrière les arguments :

     

    - La volonté des militants LGBT de nier la différence sexuelle

    - La vision biblique de la complémentarité homme-femme.

     

    Quelle que soit votre opinion aujourd’hui sur ces sujets, je vous invite à consacrer dix à trente minutes au texte en pièce jointe, selon que vous pratiquez la lecture zapping ou intégrale, puis à passer vos propres arguments et motivations au crible des analyses et des théories que je présente dans cet essai. Il n’existe aucune fatalité à ce que notre société fasse des choix qui lui seraient préjudiciables.

     
  • Homoparentalité: Marinette Pichon bientôt en "congé de paternité" car sa compagne va accoucher...

    sans-titre.png Pichon.png

    Si bébé est à l’heure, elle sera le 20 novembre en « congé de paternité ». Marinette Pichon, ancienne internationale de féminin, emblème de l’équipe de où elle évolua de 1994 à 2007, va bénéficier de onze jours de congés pour accueillir le petit garçon que sa compagne va mettre au monde.

     


    Le conseil général de l’Essonne vient d’accorder à l’ancienne capitaine des Bleues, qui travaille depuis huit ans au service sport de l’institution départementale, ce congé parental. Une démarche extrêmement rare. Ce n’est que la 2e fois en (après la décision du conseil général PS de Seine-et-Marne début octobre) qu’une collectivité accorde à une personne homosexuelle ce droit, normalement dévolu aux pères.

    « Ça peut paraître tout bête mais c’est déjà tellement difficile d’arriver à construire ou agrandir une famille quand on est homosexuel que, quand on vous refuse en plus des jours à la naissance de votre enfant, c’est moralement dur. Là, mon congé a été tout de suite accepté. Cela me permet de préparer sereinement, sans prise de tête et sans mauvais jugement, l’arrivée de mon bébé. Franchement, je suis vraiment heureuse », sourit Marinette Pichon, 37 ans. Future maman pour la 2e fois grâce à une fécondation in vitro réalisée en Belgique, la compagne de Marinette est également agent au conseil général de l’Essonne. Pacsé ensemble depuis sept ans, c’est le couple qui a directement sollicité Jérôme Guedj, président PS du département et député. « J’ai tout de suite dit oui. C’est tellement naturel. A l’heure du mariage pour tous, il m’a semblé essentiel d’aller au bout de la démarche », explique-t-il. Partant du « cas » de Marinette, le député est même allé plus loin en proposant un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Adopté mardi en commission, il sera en vigueur le 1er janvier. Comme Marinette et sa compagne, tous les couples homosexuels auront alors le droit à un congé « d’accueil à l’enfant ».

    « J’ai toujours assumé d’aimer les femmes »

    « S’il avait dit non, je me serais battue pour mes droits. Ça n’a rien à voir avec du féminisme ou un plaidoyer pro-homo, c’est juste le respect des valeurs et de la non-discrimination. » Pas étonnant de la part de cette ancienne attaquante aux 112 buts marqués en équipe de France, fer de lance de la promotion du football féminin et de l’égalité pour tous.

    Aujourd’hui consultante pour France Télévisions, Marinette Pichon n’a jamais caché son homosexualité. « Je n’ai pas fait de coming out car j’ai toujours assumé d’aimer les femmes. Ce n’est ni une maladie ni une tare mais je me rends bien compte que dès qu’il s’agit d’enfants, les gens ont plus de mal à accepter », raconte la jeune femme, qui aimerait que la loi l’autorise maintenant à se marier.


    Le Parisien - 19/10/12 

     

    NdB: Ce n'est ni une maladie ni une tare: qu'en sait-elle au fond ? Quant à l'enfant, il ne saura jamais qui est son père. Un papa, ce n'est pas une seringue de sperme!    

    Quelle tristesse...                             

  • Mises en examen pour racisme anti-blanc: réaction de l'Agrif et précisions du Bloc identitaire

    19/10/2012 — 11h00
    PARIS (NOVOpress) —
    Suite à un communiqué du Bloc Identitaire dont nous rappelions les termes principaux avant-hier soir, Bernard Antony et l’Agrif (Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de l’Identité Française et chrétienne) ont une fois de plus violemment réagi, allant jusqu’à accuser le Bloc Identitaire de “récidive de récupération mensongère” : “La simple objectivité aurait justifié de mentionner que ces mises en examen l’ont été du fait de la seule action judiciaire de l’AGRIF sans laquelle rien ne serait advenu.”

    Dans une réponse datée du 18 octobre, le Bloc Identitaire précise : “Comme l’a relevé avec justesse l’AGRIF, le Bloc Identitaire n’a pas assigné en justice Houria Bouteldja (…) Il s’agit d’une erreur malheureuse et regrettable dû à une rédaction (trop) rapide. En revanche, tout aussi regrettable et lassante est la réaction de l’AGRIF qui n’a de cesse de veiller avec un soin jaloux sur ce qu’elle pense être son pré carré.”


    Le Bloc Identitaire ajoute : “en aucune manière, l’ensemble de ses résultats sur le terrain depuis 20 ans ne l’autorise à des réactions aussi excessives que ridicules. À l’époque du combat contre le groupe de rap Sniper, Bernard Antony avait pris soin de ne jamais citer le mouvement identitaire alors même que celui-ci était à l’origine de cette action. Le Bloc n’en avait pas fait un communiqué de presse pour autant, considérant que ces petites réactions égotiques ne méritaient qu’un silence méprisant. La lutte contre le racisme anti-blanc nécessite l’union de tous et non des rivalités de chapelles, misérables à l’aune des menaces qui pèsent sur la France et l’Europe. Il serait bien que, de temps à autre, l’AGRIF et Bernard Antony se rappellent qui sont leurs vrais ennemis.”

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Eric Zemmour condamne l'attitude de Hollande à l'égard de l'Algérie


    "La Chronique d'Eric Zemmour" : Hollande et... par rtl-fr

    Posté par le 19 octobre 2012

     

    Dans sa chronique désormais bihebdomadaire (mardi et vendredi) sur RTL, Eric Zemmour a fustigé ce matin l’hommage rendu par le président de la République aux morts de la manifestation du FLN du 17 octobre 1961.

  • Manuel Valls veut faciliter les naturalisations et accroître le nombre de "Français"...

     

     
    18/10/2012 à 11:26 / Mis à jour le 18/10/2012 à 11:26
     
     
     
    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a annoncé jeudi à Toulouse la suppression des critères de naturalisation les plus discriminatoires pour augmenter le nombre de personnes qui pourront acquérir la nationalité française. /Photo d'archives/REUTERS/Eric Gaillard

    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a annoncé jeudi la suppression des critères de naturalisation "les plus discriminatoires" pour accroître le nombre de personnes qui pourront acquérir la nationalité française.

    En déplacement à Toulouse, il a dit avoir envoyé aux préfets une circulaire prévoyant l'abandon immédiat du questionnaire à choix multiples (QCM) de connaissance de la culture française, très décrié, ainsi que la prise en compte des contrats précaires dans l'évaluation de l'insertion professionnelle.

    L'opposition de droite a réagi en estimant que le gouvernement socialiste voulait "brader" la nationalité française.

    Prônant à la fois une "maîtrise" de l'immigration et des "parcours d'intégration réussis", Manuel Valls a critiqué la politique de la précédente majorité en matière de naturalisations et a dit vouloir procéder en deux temps.

    "L'urgence, d'abord, (c'est) redresser la courbe du nombre de naturalisations en revenant sur les critères les plus discriminants qui sont à l'origine de près de 70% des refus", a-t-il déclaré à Toulouse lors d'une cérémonie de naturalisation.

    Dans une deuxième phase, qui devrait aboutir début 2013, une circulaire cadre "remettra à plat tous les critères et leurs conditions d'appréciation" en prenant en compte le résultat d'une concertation et le rapport de la mission parlementaire dirigée par le député socialiste Patrick Mennucci.

    "DISPOSITIF PLUS TRANSPARENT"

    Manuel Valls a insisté sur le fait que le précédent gouvernement avait "entravé" l'accès à la nationalité française ces deux dernières années en prenant des "consignes de durcissement". Le nombre de naturalisations a baissé de 30% entre 2010 et 2011, et de 45% entre 2011 et 2012, a-t-il indiqué.

    Selon l'Insee, 88.509 personnes ont été naturalisées en 2010 et le nombre total de personnes ayant acquis la nationalité française (par mariage, déclaration anticipée ou acquisition sans formalité) s'élevait à 143.275.

    "La nationalité française ne peut être ni bradée-il ne peut y avoir de Français au rabais-, ni réservée à quelques-uns, à une élite", a ajouté le ministre, lui-même d'origine espagnole et naturalisé français.

    "Je ne veux pas ouvrir de nouveaux débats en bouleversant l'ensemble du dispositif d'accès à la nationalité. Il s'agit, simplement, sereinement, de prendre toutes les mesures afin de rendre ce dispositif plus transparent, plus juste, plus efficace."

    Cette réforme du processus de naturalisation doit notamment permettre, selon le ministre, de réformer le dispositif d'information, d'améliorer l'accueil des postulants en préfecture ou encore d'encourager la préparation des candidats.

    La circulaire envoyée jeudi aux préfets prévoit en particulier de prendre en compte les contrats à durée déterminée ou le travail intérimaire, et plus seulement les CDI, dans l'appréciation de l'insertion professionnelle du candidat à la naturalisation.

    "Je refuse l'idée que seuls les détenteurs d'un CDI puissent devenir Français", a souligné le ministre de l'Intérieur,

    Le document ordonne également l'abandon du QCM qui prévoyait de tester le niveau des connaissances sur la culture et l'histoire de France.

    "Dès à présent, la méthode du questionnaire à choix multiple relatif à la connaissance de l'histoire de la culture française est abandonnée par décision du Premier ministre", a poursuivi Manuel Valls.

    Pour Eric Ciotti, député UMP proche de l'ancien Premier ministre François Fillon, "ne peut pas être Français qui veut".

    "La nationalité française doit se mériter et doit supposer un certain effort en ce qui concerne l'assimilation de l'histoire, de la culture et de la langue françaises", a-t-il dit. "Vouloir la brader, comme le souhaitent les socialistes ainsi que leurs partenaires communistes et écologistes, est totalement irresponsable et dangereux."

    Jean Décotte, édité par Yves Clarisse

    Yahoo!Actu

     

    Pour contourner la polémique sur le vote des étrangers !

  • Le Journal de Syrie 18 octobre 2012

  • Claude MONET (1840-1926)

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    Impression,  soleil levant  (1872)

    Lever du soleil sur le port du Havre

  • Menacé d'une taxe, Google envisage de ne plus référencer les médias français - 18/10/2012

    Menacé d'une taxe, Google envisage de ne plus référencer les médias français



     Le géant américain de l'internet Google a menacé dans un courrier au gouvernement français de ne plus référencer les médias français s'il devait s'acquitter d'une taxe voulue par les éditeurs de presse.

    Les éditeurs français ont demandé en septembre au gouvernement un projet de loi pour que les moteurs de recherche, comme Google, les rétribuent via le versement de droits voisins, une sorte de prolongation des droits d'auteur, en cas d'utilisation indirecte de leurs travaux.

    Google "ne peut accepter" que l'instauration d'un tel droit "mette en cause son existence même et serait en conséquence contraint de ne plus référencer les sites français", écrit le groupe dans un courrier adressé en octobre à plusieurs cabinets ministériels et dont l'AFP a obtenu une copie

    Cela reviendrait pour Google à payer pour chaque lecture d'un article vers lequel il aura redirigé l'internaute.
    Il rappelle qu'il "redirige quatre milliards de 'clics' par mois vers les pages internet des "éditeurs" français.

    La ministre française de la Culture, Aurélie Filippetti, s'était exprimée en faveur de ce type de taxe. "Parmi les outils qu'il me semble important de pouvoir développer, je pense qu'il y a cette idée de créer un droit voisin pour les éditeurs de presse - ce que l'on a appelé un peu facilement la 'Lex Google' - qui me semble extrêmement pertinente", a déclaré mercredi Mme Filippetti devant la Commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale.

    Pour Google, "en réalité, l'ambition de ce texte est d'interdire le référencement non rémunéré. Une telle loi aboutirait à limiter l'accès à l'information, à réduire le nombre de sites français référencés sur internet, mais aussi à freiner l'innovation".

    Le projet de texte actuel, "en soumettant le référencement à rémunération et punissant le défaut de versement de celle-ci de trois ans d'emprisonnement et de 300.000 euros d'amende, ne ferait que multiplier les conflits et ralentir l'internet", écrit-il encore.


     

    http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/783364/Menace_dune_taxe%2C_Google_envisage_de_ne_plus_referencer_les_medias_francais.html http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/783364/Menace_dune_taxe%2C_Google_envisage_de_ne_plus_referencer_les_medias_francais.html    

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  • 19 octobre 1783: premier vol habité en montgolfière

    sans-titre.png 19 oct 1783 montgolfière.png

    Ascension captive d'une montgolfière (Jean-François Pilâtre de Rozier) dans les jardins de la papeterie Réveillon, le 19 octobre 1783.

    Dessin de Claude-Louis Desrais (1746-1816)

    Lire:  http://fr.wikipedia.org/wiki/Montgolfi%C3%A8re

    Le 19 octobre à la Folie Titon, aujourd'hui située rue de Montreuil à Paris, à l'époque encore bourg de Saint-Antoine, le premier vol humain dans l'espace eut lieu, effectué par Jean-Baptiste Réveillon, Jean-François Pilâtre de Rozier et Giroud de Villette. Le ballon est alors relié au sol par un cordage.