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GAELLE MANN - Page 1148

  • Obama réitère son allégeance à Israël devant l'AIPAC - 11.09.12


    Barack Obama - Discours AIPAC 2012 par LenferMeMent

    Sous-titres en français

    AIPAC: http://fr.wikipedia.org/wiki/American_Israel_Public_Affairs_Committee

     

    Un splendide morceau de l'Opéra des Reptiles ! A écouter sans modération avant l'Apocalypse!

  • La condamnation de Harlem Désir, une épine dans le pied du PS

     

     

    Condamné en 1998 pour emploi fictif, le futur patron du Parti socialiste fait face aux critiques de l’opposition. Celle-ci rappelle la promesse de Hollande de ne pas s’entourer de personnes ayant eu des démêlés avec la justice.

    Le Parti socialiste s’est-il tiré une balle dans le pied en plaçant Harlem Désir à sa tête ? Alors que François Hollande avait assuré pendant sa campagne qu’il ne s’entourerait pas de personnes condamnées par la justice, le choix fait par l’actuelle patronne du PS, Martine Aubry, et par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, peut paraître surprenant. Le parcours de l’eurodéputé comporte en effet un volet judiciaire, dont l’opposition a déjà fait son angle d’attaque.

    Soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif de 1986 à 1987, alors qu’il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné dix ans plus tard, en décembre 1998, à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d’amende (4.573 euros). Il était accusé d’avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l’Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants (Arfem), basée à Lille.

    Acculé par les critiques de la droite, Harlem Désir s’est expliqué mardi sur ses démêlés avec la justice. « On ne découvre rien me concernant. Ces condamnations concernent des faits, il y a 25 ans, quand j’étais jeune militant. La justice a tranché et je n’ai pas de commentaire à faire », a-t-il déclaré, tout en reconnaissant « une erreur ». « Mais jamais ma probité n’a été mise en cause. Il n’y a pas eu d’enrichissement personnel », a ajouté l’actuel numéro deux du PS, concédant toutefois que cet épisode judiciaire l’avait amené à s’interroger sur sa candidature.

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    E&R

  • Gallimard: Richard Millet quitte le comité de lecture

    Richard Millet, l'auteur du pamphlet sur le tueur norvégien Breivik qui a provoqué un scandale, a remis ce soir au PDG de Gallimard sa démission du comité de lecture de la maison d'édition, a appris l'AFP auprès de l'éditeur.

    Richard Millet "n'est pas licencié" et continuera de s'occuper au sein de la maison des auteurs dont il a la charge, mais il devra "prendre du champ" et ne siègera plus au comité de lecture, précise-t-on chez Gallimard.

    Le PDG de Gallimard, Antoine Gallimard, qui s'était déjà dit fin août "choqué" par ce texte intitulé "Eloge littéraire d'Anders Breivik", a envoyé lundi à Richard Millet un courrier dans lequel il lui explique qu'"appartenir à la maison implique une forme de solidarité, et qu'en tant que membre du comité de lecture, il représente la maison".

    "Je ne saurais approuver aucune de vos thèses politiques. Cette position ne m'est pas personnelle, c'est celle de la maison depuis toujours", écrit Antoine Gallimard dans ce courrier.

    "Autant je ne suis pas prêt à me laisser dicter ma conduite par des pressions médiatiques ou par des réactions individuelles, légitimes ou non, autant je suis en droit de demander de vous le respect d'une idéologie confraternelle", ajoute-t-il.
    Antoine Gallimard laissait dans cette lettre à Richard Millet le soin de trouver une formule qui respecte sa "liberté d'écrivain" et ses propres "responsabilités de chef d'entreprise".

    Plusieurs auteurs Gallimard sont montés au créneau depuis la sortie de cet "Eloge de Breivik", dont Annie Ernaux, qui a été l'une des premières à remettre en cause la présence de Richard Millet dans le comité de lecture.

    Millet écrit entre autre dans ce pamphlet: "Breivik est sans doute ce que méritait la Norvège", c'est "un enfant de la ruine familiale autant que de la fracture idéologico-raciale que l'immigration extra-européenne a introduite en Europe depuis une vingtaine d'années".

    Auteur d'une cinquantaine de livres, Richard Millet, 59 ans, a notamment été l'éditeur de Jonathan Littell, prix Goncourt 2006? et d'Alexis Jenni, Goncourt 2011.

    Le 24 août, Anders Breivik a été condamné à 21 ans de prison, peine qui peut être prolongée tant que le coupable du massacre de 77 personnes le 22 juillet 2011 est considéré comme dangereux.

    Le Figaro - 13/09/12

  • Israël envisage d'utiliser une bombe électromagnétique contre l'Iran


    Israel - bombe électromagnétique contre l'Iran par zapataguevara

     

    E&R  13/09/12

  • Espagne: hommage à l'octogénaire qui a défiguré le Christ

    http://fr.euronews.com/2012/08/25/hommage-a-l-octogenaire-qui-a-defigure-le-christ/

    VIDEO

     

    NdB: Est-ce l'info du jour la plus nulle ou la plus triste ?

  • Bordeaux: un prof roué de coups par un élève - Normal!

    Battu par l'un de ses élèves mardi, l'enseignant de 36 ans souhaite discuter avec le ministre de l'Education des enjeux de l'école, à la lumière de son incident.

    Il est "totalement indemne" physiquement mais "très amer" moralement. Le professeur de Bordeaux, agressé mardi par un de ses élèves, a indiqué jeudi qu'il allait solliciter un entretien "constructif et courtois" avec le ministre de l'Education, Vincent Peillon, pour discuter des enjeux de l'école, à la lumière de son incident.

    Selon le jeune homme de 36 ans prénommé Christophe, son agression est due essentiellement à un "raidissement" momentané de son élève, en proie à des difficultés familiales et personnelles. "Il ne m'a pas cassé la gueule, mais il m'a brisé le coeur", a déclaré l'enseignant, qui dit éprouver un "sentiment de trahison" de la part d'un élève qu'il apprécie particulièrement, et qui en plusieurs occasions par le passé l'avait même aidé à "tenir la classe".

    "Je ne suis pas de nature à me laisser abattre"

    L'enseignant d'histoire-géographie et lettres, au lycée professionnel Trégey de Bordeaux, a reçu plusieurs claques et coups de poings, ainsi qu'un coup de tête, de la part d'un élève de 18 ans, après une altercation lors d'un cours. (Lire : un professeur roué de coups par un élève). L'élève a été interpellé et doit faire l'objet d'une comparution dans les prochains mois devant le tribunal correctionnel pour "violences sur personne chargée d'une mission de service public et dégradations".

    Le désaccord entre l'élève et l'enseignant est intervenu au détour d'une référence au système politique du Maroc, dont la famille de l'élève est originaire, lors d'un cours sur le "fait religieux en France depuis 1880". Mais, assure Christophe X., "cela a éclaté sur cela, cela aurait pu éclater sur n'importe quoi d'autre", tant il avait senti son élève "plus tendu, plus susceptible, plus agressif" ce jour-là. Le détonateur, selon l'enseignant, est lorsqu'il a indiqué à l'élève qu'il saisirait ses parents. Le professeur a dit avoir revu son élève à l'issue de la garde-à-vue de ce dernier, et lorsque celui-ci lui a présenté ses excuses, il a eu "l'impression de voir Dr Jekyll et M. Hyde" par rapport à l'agresseur.

    Pour autant, l'enseignant a indiqué ne vouloir "ni minimiser, ni exagérer" l'importance du sujet du cours, c'est-à-dire le fait religieux. Cela renvoie selon lui à des "problématiques complexes": "la croyance et le savoir", "l'autorité", la "laïcité" à l'école, qu'il souhaiterait aborder avec le ministre, et provoquer si possible un débat, a-t-il ajouté. "Je ne suis pas de nature à me laisser abattre", a-t-il dit, affirmant aussi vouloir "éviter à tout prix une récupération politique" de son incident.

     

    TF1 News - 13/09/12

  • Clash à l'Assemblée ! Gilbert Collard: "Mais que vous ont fait les Français?"

    Posté par le 13 septembre 2012

     

    Hier, Gilbert Collard, député du Gard, a fait le terrible constat : alors qu’il présentait un amendement à l’Assemblée Nationale, afin de faire figurer de nouveau dans les textes « la préférence nationale », il s’est aperçu qu’il était désormais impossible de parler de « préférence nationale » devant les députés de tous bords. Cette idée pourtant soutenue et défendue en son temps par Jean Jaurès.

  • Economie: sus aux retraités !

     Posté par le 13 septembre 2012

     

    Reposant de moins en moins sur les cotisations, le financement de la Sécurité sociale est fragilisé, estime la Cour des comptes. Alors les magistrats préconisent de supprimer certains avantages fiscaux et sociaux dont bénéficient les retraités.

    Les cotisations sociales restent la principale ressource pour payer les retraites, les prestations de santé ou les allocations familiales. Ces recettes sont dynamiques parce qu’elles sont assises sur les salaires, qui progressent toujours beaucoup plus vite que l’inflation. Instaurée il y a plus de vingt ans, la CSG sur les revenus d’activité assure elle aussi une grande stabilité aux finances de la Sécurité sociale. Mais la part de ces cotisations dans les recettes a nettement reculé, notamment en raison des allégements de charges patronales sur les bas salaires

    Pour mieux financer la Sécu, la Cour recommande en priorité de raboter les avantages fiscaux et sociaux dont bénéficient les retraités. Un sujet ultra-sensible. Les magistrats recommandent de supprimer l’abattement fiscal de 10 % sur les pensions, ce qui rapporterait 2,7 milliards d’euros. Soumettre à l’impôt les majorations de pensions dont bénéficient les parents de trois enfants permettrait d’engranger 800 millions. Et aligner le taux de CSG des pensions les plus élevées (6,6 %) sur celui des salaires (7,5 %), apporterait 1,2 milliard. Soit près de 5 milliards d’euros au total.

    Mais ces décisions seraient très impopulaires auprès d’une grande partie de l’électorat, ce qui explique que le gouvernement avance prudemment sur ces sujets.

    Le Front National ne peut que réprouver ces éventuelles mesures qui réduiraient encore le pouvoir d’achat des retraités. Le parti de Marine Le Pen préconise au contraire une revalorisation des pensions de retraite, ainsi que des pensions de réversion versées au conjoint de la personne décédée, et une augmentation du point d’indice pour les petits salaires de la fonction publique.

    Source

  • 17 tombes catholiques profanées à Goussainville (95) : où sont donc passés les professionnels de l’indignation ?

     

     

    Communiqué d’Alexandre Simmonot, secrétaire départemental du Val-d’Oise

    17 tombes ont été profanées la semaine dernière dans le vieux cimetière catholique de Goussainville (Val-d’Oise). Les croix de ces tombes ont été abattues et brisées.

    Si ces tombes avaient été musulmanes, cette information serait reprise par tous les médias, et elle provoquerait immédiatement le grand émoi des professionnels de l’antiracisme. Mais là il ne s’agit que de tombes catholiques alors cela n’intéresse personne.

    Où sont donc passés les professionnels de l’indignation ? Où sont les ministres avec leurs traditionnelles têtes d’enterrement ? Où est le communiqué de Manuel Valls ? Qu’ont déclaré SOS Racisme, la LICRA, le MRAP et la LDH ?

    Ce silence scandaleux démontre combien la laïcité des socialistes s’exerce à sens unique : tout pour les islamistes et rien pour les autres !

  • Eglise profanée à Cormery - Vol d'un ciboire et d'hosties consacrées

     

    Dans l'église de Cormery en Indre-et-Loire, en milieu de semaine dernière, des actes de vandalisme et de profanation ont été commis dans l'église. Un paroissien témoigne :

    « La porte de la sacristie était ouverte. La porte du tabernacle avait été arrachée, tout était saccagé à l'intérieur. Dans la sacristie, tout était sens dessus dessous ».

    Dans le tabernacle, le ciboire et les hosties qu'il contenait ont été emportés. Différents objets (burettes, couteau…) ont aussi été volés dans la sacristie. L'abbé Gilles Meunier, curé de la paroisse, déclare :

    « C'est un sacrilège pour nous. Le tabernacle, c'est le lieu où se trouve le corps du Christ. C'est très grave pour tous les paroissiens. »

    Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. Une messe dite de réparation a déjà été dite samedi.

    Posté le 12 septembre 2012 à 11h09 par Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Le milliardaire Berezovski accusé d’être derrière la prière des Pussy Riot contre Poutine

     

     

     

    L’homme d’affaires Boris Berezovski (photo ci-contre), opposant au Kremlin et exilé à Londres, serait « derrière » la prière anti-Poutine chantée par les Pussy Riot dans une cathédrale de Moscou, selon une télévision d’état russe, des allégations démenties et dénoncées mercredi par tous les intéressés.

    Dans une émission diffusée par la chaîne Rossia 1, un certain Alexeï Vechniak, se présentant comme ex-conseiller du milliardaire russe, déclare que M. Berezovski lui a montré en 2011 des images de Nadejda Tolokonnikova (l’une des Pussy Riot aujourd’hui en prison) et de son mari Piotr Verzilov, annonçant qu’ils allaient bientôt « passer à l’action » contre l’Église.

    « Regarde Verzilov, regarde Tolokonnikova, nous allons bientôt passer à l’action contre l’Église », aurait dit M. Berezovski lors d’un entretien en février 2011, en montrant sur son iPad des images de Tolokonnikova et de Verzilov, membre du groupe artistique contestataire Voïna, selon M. Vechniak.

    « Qui se trouve derrière ces femmes coupables de sacrilège ? D’après moi une de ces personnes est Boris Berezovski », a ajouté M. Vechniak, en affirmant que le milliardaire russe voulait ébranler le pouvoir de l’Église orthodoxe russe et les forces de sécurité.

    Interrogé par la radio Écho de Moscou, M. Berezovski a nié ces allégations.

    « Je n’ai aucun lien avec les Pussy Riot et je n’ai discuté d’aucun projet avec lui », a-t-il déclaré, faisant référence à M. Vechniak.

    L’homme d’affaires a cependant ajouté qu’il aurait été « fier, s’il avait imaginé » l’action des Pussy Riot, qu’il a qualifiée de « très créative ».

    Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, Ekaterina Samoutsevitch, 30 ans, et Maria Alekhina, 24 ans, ont été condamnées en août à deux ans de camp chacune pour « hooliganisme » et « incitation à la haine religieuse » après avoir chanté en février une « prière punk » dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou, demandant à la Sainte Vierge de « chasser Poutine » du pouvoir.

    Réagissant à la diffusion de cette émission, Piotr Verzilov a indiqué envisager de porter plainte contre son présentateur Arkadi Mamontov, dénonçant un sujet fondé sur des affirmations « fantasques ».

    « Nous n’avons jamais discuté avec de telles personnes », a-t-il souligné sur les ondes de la radio Écho de Moscou.

    Les avocats des Pussy Riot ont également qualifié cette émission « d’absurde ».

    « Tout le studio est fou », a écrit sur son compte Twitter l’avocate Violetta Volkova.

    L’émission, intitulée Provocateurs 2, a été diffusée alors que l’appel des trois jeunes femmes contre leur condamnation doit être examiné le 1er octobre. Elle n’incluait aucune interview de M. Berezovski ou de partisans des jeunes femmes.

    Les critiques se sont multipliées mercredi contre l’émission. Le père Andreï Kouraïev, professeur à l’Académie de théologie et un des blogueurs orthodoxes les plus connus, a émis de nombreux doutes sur sa véracité.

    « Il est peu probable que Berezovski se soit confié à une personne ayant de telles opinions », a-t-il écrit sur son blog. « Je ne soutiens pas les Pussy Riot ni Berezovski. Mais pourquoi mentir ? », a-t-il ajouté.

    Une émission du même présentateur, diffusée en avril, avait déjà accusé M. Berezovski d’être impliqué dans l’affaire des Pussy Riot, en se basant sur le fait que l’opposant exilé avait envoyé une lettre au patriarche russe avant la présidentielle, l’appelant à soutenir un changement de régime.

    M. Berezovski, 66 ans, éminence grise du Kremlin à l’époque du président Boris Eltsine et tombé en disgrâce peu après l’arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir en 2000, est visé par de nombreuses enquêtes en Russie.

    Exilé depuis 2000 au Royaume-Uni, où il a obtenu l’asile politique trois ans plus tard, il reste très impopulaire en Russie.

    E&R

  • L'ambassadeur américain tué à Benghazi par les "démocrates" libyens

    12.09.2012

    L’ambassadeur américain tué en Lybie

    par ceux que les Etats-Unis ont soutenu contre Kadhafi.
    Protestant contre un film produit par un « Israélo-américain » qui décrit l’islam comme un cancer, des manifestants ont attaqué mardi le consulat américain, puis l’ont pillé et brûlé.
    Ils ont tué quatre citoyens américains, dont l’ambassadeur J. Christopher Stevens.

     

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    Les assassins s'amusant avec le cadavre de l'ambassadeur. Une coutume locale ?

    Dans la vidéo visible ici (en anglais), on voit l’ambassadeur se présenter et pérorer sur les bienfaits de la révolution libyenne fomentée et soutenue par les Etats-Unis.

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  • Libye : l’arroseur arrosé

    Mercredi, 12 septembre 2012    
     
    Claude Bourrinet
    Éditorial
    Libye : l’arroseur arrosé
    Décidément, l’Histoire court vite. Tel croit la tirer derrière lui, sûr de la maîtriser, et voilà qu’elle lui écrase les orteils. L’attentat qui a coûté la vie, dans la nuit de mardi à mercredi 12 septembre, à l’ambassadeur américain en Libye et à trois autres membres du personnel diplomatique, dans cette même Benghazi, qui a été le berceau, quelque peu trafiqué, de la prétendue révolution libyenne, ne manque pas d’ironie macabre. Les photographies du cadavre brinquebalé par une horde hystérique bardée des inévitables portables valent bien en horreur celles du corps martyrisé du colonel Kadhafi, qui connaît là une sorte de revanche posthume.

    Nous ne nous réjouissons pas de la mort si piteuse de cet homme, mais nous ne le pleurons pas. L’Amérique ne fait que pâtir par là où elle a péché. Tous les responsables « alliés », Obama, Hillary Clinton, les gouvernements européens, les représentants de l’Otan, ont beau jeu de s’émouvoir et de condamner un acte qu’on ne manque pas de qualifier, comme il est coutume, de « lâche » et d’ « abject ». Répugnant et vil, il ne l’est pas moins que les attentats islamistes, les égorgements et décapitations, les voitures piégées, les exécutions sommaires, les massacres d’innocents, que des mercenaires salafistes et takfiris, venus de Libye, d’Egypte, de Tunisie, du Maroc etc. perpétuent pour instaurer la charia en Syrie, pays encore laïc et tolérant. Ces mêmes groupuscules, stipendiés et armés par l’Occident, règnent en maîtres à Benghazi. L’ambassadeur le paye de sa vie. Le cynisme des colonialistes occidentaux, qui ont mis au pouvoir ces bandes de fanatiques, serait risible si ne se dessinait une menace pour l’Europe. A ce jeu, ce n’est pas une Somalie qui bordera notre continent, mais plusieurs. Nos gouvernants manipulent, comme des apprentis sorciers, afin de façonner un Moyen Orient chaotique et plus acceptable pour la puissance israélienne, des explosifs puissamment destructeurs. Complaire à une Amérique relativement bien protégée (le 11 septembre étant, comme l’on sait, un cas assez singulier), et prendre sciemment le risque de voir, peu à peu, les événements s’emballer, voire, comme l’affaire Mehra en donne les prémisses, déborder sur notre sol, est une attitude pour le moins inconsciente, sinon criminelle. Et nous savons que les frontières sont poreuses, inefficientes.

    Le problème, avec les Américains, c’est qu’ils sont tellement imbus de leur prétendue supériorité, ils sont tellement persuadés de la sainteté de leur cause, de leur élection divine, et tellement aveuglés par une ignorance abyssale, qu’ils sont incapables de se mettre à la place d’autrui et voir, sentir et penser comme lui. Leurs partisans européens, à imiter comme des singes leur maître, ont adopté ce pli, comme la dérive diplomatique européenne ne le dévoile que trop, dans sa propension imbécile à un manichéisme puéril. Il est évident que les islamistes, en Tunisie, en Egypte, dans les pays du Golfe, en Syrie, demain, en Algérie, n’allaient pas faire la fine bouche devant l’aide logistique, matérielle, propagandiste que lui apportaient l’Oncle Sam et ses larbins. Mais à malin, malin et demi. S’il n’y a guère que ces sombres abrutis de journalistes pour croire aux vertus démocratiques de ces barbares sanguinaires, les services secrets, les militaires et les décideurs de haut rang ne doivent pas avoir beaucoup d’illusion. Aussi ce contrat entre les impérialistes US, Israël d’un côté, les salafistes et les frères musulmans de l’autres, sous l’égide du Katar et de l’Arabie Saoudite, a-t-il été un donnant-donnant. Toutefois, pour un musulman fanatique, un chrétien reste, dans de nombreux cas (j’excepte les croyants respectueux de la religion d’autrui) un porc, surtout s’il se fait prosélyte et provocateur. Et pour un chrétien américain, aussi obtus et méprisant, aussi inculte et exalté que son frère ennemi, tous ceux qui ne sont pas comme lui sont destinés à l’enfer. Chez les deux prospère la haine des traditions différentes, de la culture de ce qui n’est pas soi : je mets sur le même plan les destructions de tombeaux soufis en Libye et au Mali, et le bombardement absurde, mais, à mon sens, plein de signification, du Monte Cassino, berceau monastique de l’Europe, par l’aviation US en 1944.

    On a beau calculer, prévoir, contrôler tout, les tueries, les manipulations, les crimes, on ne peut pas régir les tripes et les cœurs. Le film intitulé « Innocence of Muslims », stupide, blasphématoire, digne d’arriérés mentaux, qui parodie les actes du prophète Mohamed, reflète, par sa bassesse, sa vulgarité, celui qui l’a produit, un agent immobilier israélo-américain, Sam Bacile, aidé par un pasteur particulièrement dérangé, Terry Jones. Que cherchait-il ? A mettre le feu aux poudres ?


    Il est évident que les Américains vont se venger, aidés par leurs collaborateurs au pouvoir à Tripoli, notamment Mohamed al-Megaryef, qui a lui-même beaucoup de sang sur les mains. Mais après ? Une réaction en chaîne ne va-t-elle pas se produire ? La victoire impérialiste en Libye ne va-t-elle pas s’avérer une victoire à la Pyrrhus ? Cette histoire de fous ne projette-t-elle pas, dans les médias, bien involontairement, quelque vérité sur ce qui se passe vraiment en Syrie ?
     
    VOXNR

  • Efficace et radical

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    Altermedia France - 12/09/12

  • François Mitterrand et le lobby juif

  • Une justice parallèle: les réseaux maçonniques


    Une justice parallèle - Réseau maçonnique par JaneBurgermeister

    • Publié le : mardi 11 septembre 2012

    En savoir plus sur la Franc-maçonnerie, avec Kontre Kulture :

     
    E&R
     
  • Café, chocolat... les prisons cassent les prix !

    Deux cents articles de première nécessité sont désormais vendus moins cher aux prisonniers qu’en supermarché. A tel point que certains postent des colis à leur famille !

    Les détenus ne se sont jamais autant bousculés pour faire leurs courses à la cantine, le « commerce de proximité » présent dans chaque prison française. Ce succès fou est la conséquence inattendue d’un texte qui unifie à l’échelle nationale le prix de produits vendus aux détenus.

    En juillet 2010, la Cour des comptes avait en effet épinglé l’Etat, dénonçant, au chapitre des conditions de vie dans les prisons, les abus de la « cantine », ce magasin où les détenus se procurent de quoi améliorer leur quotidien : café, eau minérale, chocolat, compléments alimentaires, articles d’hygiène… Le rapport pointait des marges sur les produits vendus « d’au moins 22% », avec des écarts de prix de « 50% d’une prison à l’autre ».

     
     
    Du coup, une réforme a été lancée et une liste de 200 produits prioritaires sont depuis le peu à peu proposés à des tarifs très avantageux dans les lieux de détention, à commencer par et Strasbourg. Là, le pot de Nutella est passé de 3,13 € (prix public) à 1,11 € en prison. Le paquet de riz de 500 g de 2,70 € à 0,36 €. Le pot de confiture de fraise de 450 g est descendu de 1,45 € à 0,67 €, et la Ricoré, l’un des best-sellers, a diminué de 4,82 € à 3,45 €.
    « Nous avons effectivement constaté un effet d’aubaine, confirme la direction de l’administration pénitentiaire. Des détenus se sont précipités sur ces denrées. » Selon l’administration, « ces tarifs bas sont à la fois le fruit d’une volonté politique mais aussi le résultat d’achats groupés au niveau national qui permettent de les négocier au mieux ».
    « Pas à ce point : la différence de prix, c’est l’Etat, et donc le contribuable, qui la paie », dénonce pour sa part le syndicat du personnel pénitentiaire Ufap-Unsa. Les gardiens de prison n’apprécient pas en effet ces nouvelles cantines low-cost. « Il faut gérer un trafic de marchandises bien plus important, cela nous prend du temps », explique Pascal Schreck, de l’Ufap-Unsa.
    Mieux, une nouvelle tendance est apparue : « Avant, les familles apportaient de la nourriture aux détenus, ce qui est interdit mais toléré dans les faits. Maintenant, c’est le contraire! Certains prisonniers ont écrit à leur directeur d’établissement pour que leur famille profite aussi de ces prix bas et ils se mettent à poster des colis. »
    Pour l’Ufap-Unsa, cette politique discount coûterait environ 20 M€ par an, à raison de 296,68 € par an et par détenu (ils sont 67000 en ). « On est vraiment loin de cette somme, tempère la direction de l’administration pénitentiaire. Toutes les denrées ne subissent pas de baisse de prix et d’autres produits sont vendus avec une marge qui équilibre les comptes des cantines. »
    Mais pour les surveillants, dont le salaire débute à 1 416 € net pour finir à 2 072 € en fin de carrière, cet argent aurait pu permettre d’augmenter les salaires… « Cela me fait mal de voir ma femme payer beaucoup plus cher au supermarché les mêmes produits que ceux réservés aux détenus », reconnaissait même, anonymement, un gardien de prison.

     

    Le Parisien - 27/06/12

  • Brigitte Bardot ne veut plus séduire "ni rien ni personne"

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    Brigitte Bardot s'est confié au Vogue Hommes International, à paraître jeudi. L'ancienne actrice a déclaré ne plus vouloir "séduire, ni rien ni personne".

    Evoquant son passé d'actrice, BB, qui fêtera le 28 septembre ses 77 ans, affirme "qu'elle se trouvait moche". "J'essayais de me faire la plus jolie possible et même comme ça, je me trouvais moche. J'avais un mal fou à sortir, à me montrer.J'avais peur de ne pas être à la hauteur de celle qu'on attendait que je sois. Aujourd'hui à mon âge, je n'en ai rien à foutre. Je ne veux plus séduire, ni rien ni personne", dit Brigitte Bardot.

    La star "n'aspire aujourd'hui qu'à la solitude" : "comme je suis de nature contemplative, ça me va très bien. Le monde d'aujourd'hui ne me plaît pas. S'il était différent, je vivrais peut-être moins retranchée". BB affirme "avoir été littéralement écrasée par la célébrité". "Personne ne peut s'imaginer à quel point c'était épouvantable. Un calvaire. Je ne pouvais plus vivre comme ça", ajoute-t-elle.

    Interrogée sur son quotidien, Brigitte Bardot qui refuse de se faire opérer de la hanche, dit "qu'(elle) a du mal à marcher". "Je ne peux plus me balader, je ne peux plus nager. Mais j'ai de la chance quand je vois ce que subissent les animaux. Du coup, je trouve que ne suis pas à plaindre, et ça me donne un punch du tonnerre", affirme-t-elle. "J'ai toujours fait ce qui m'a plu (...) Je sais que j'ai plus de couilles que beaucoup d'hommes. Ils pourraient prendre exemple sur moi. J'ai toujours assumé ce que j'ai fait ou ce que j'ai dit", dit encore BB.

    Ce qui la séduit désormais ? "Les petits miracles que sont l'éclosion d'une fleur, la danse d'une abeille, l'immensité de la mer, les animaux évidemment pour leur pureté, leur courage et leur fidélité".

    TF1 News - 12/09/12