Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1149

  • Réfugiés juifs : Israël réclame réparations

     

    La diplomatie israélienne soulèvera activement la question des réfugiés juifs qui ont quitté les pays arabes à différentes époques et insistera sur la nécessité d’inscrire cette question à l’ordre du jour international parallèlement au problème des réfugiés palestiniens, a annoncé mardi le vice-ministre israélien des Affaires étrangères Danny Ayalon (photo ci-contre).

    "Le ministère des Affaires étrangères demande à toutes les représentations diplomatiques d’Israël, surtout à sa mission à Genève et à sa délégation aux Nations unies de soulever cette question devant les gouvernements et les parlements des pays d’accueil lors de toute rencontre et discussion", a déclaré M. Ayalon cité mardi dans un communiqué de la diplomatie israélienne.

    Le vice-ministre n’a pas spécifié comment il voyait la solution du problème des réfugiés juifs qui, dans leur majorité, se sont parfaitement intégrés dans la société israélienne.

    Selon les informations citées par M. Ayalon, près de 750 000 Arabes ont quitté la Palestine et Israël depuis la proclamation de l’Etat hébreu, tandis que le nombre de Juifs chassés des pays arabes s’élève à 900 000 personnes.

    "Depuis 1950, les Nations unies ont versé 13,7 milliards de dollars d’aide aux réfugiés palestiniens. Pendant cette période, les réfugiés juifs n’ont reçu que 35.000 dollars", a indiqué le quotidien israélien Haaretz, citant Stanley Urman, directeur exécutif de l’association Justice pour les Juifs des pays arabes (Justice for Jews from Arab Countries).

    Egalité & Réconciliation

     

    On en reste coi!

  • Harlem Désir ou l’idéologie antiraciste aux commandes du premier parti de France

     

     

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, députée du Vaucluse à l’Assemblée nationale

    La nomination de Harlem Désir comme premier secrétaire achève de discréditer un Parti Socialiste qui s’est progressivement éloigné de sa base populaire pour concentrer sa stratégie sur la séduction du vote des minorités.

    Symbole des années Mitterrand, où les trotskystes avaient reçus pour mission d’infiltrer les mouvements issus de la marche des beurs pour en faire un satellite du PS, Harlem Désir fut un des grands ordonnateurs de SOS Racisme, officine qui a tant contribué à culpabiliser les Français en assimilant toute politique de préférence nationale à du racisme et en poursuivant devant les tribunaux tous ceux qui doutent des bienfaits de l’immigration massive.

    La présence d’Harlem Désir à la tête du parti qui domine les institutions nationales est là pour rappeler la stratégie du PS, tristement décrite dans les études de son think tank Terra Nova : abandonner l’électorat populaire et ouvrier pour se focaliser sur les minorités, et notamment sur les français issus de l’immigration récente, dont on sait qu’ils votent à gauche pour les trois quarts voire plus.

    On notera ici que le nouveau premier secrétaire a été nommé, sans vote des militants de gauche, par la volonté du Prince. Ses condamnations pour emplois fictifs rappellent enfin la haute morale républicaine de SOS Racisme, association vivant de subventions publiques et pourtant souvent mise en cause pour sa gestion, notamment lors de l’affaire Dray.

    Il y a fort à craindre que la République exemplaire que promettait le candidat Hollande ne trouvera pas un promoteur très pugnace en la personne du nouveau premier secrétaire, laissant aux Guérini, Kucheida et à leurs émules une paix royale.

  • Le Conseil de Sécurité de l'ONU ne condamne pas le terrorisme en Syrie

     

    Une vague d’attentats a frappé plusieurs villes irakiennes, dont Bagdad, le 9 septembre dernier, faisant plus de 90 morts, principalement des agents des services nationaux de sécurité, et près de 300 blessés dont des civils.

     Le même jour, deux voitures piégées ont explosé à Alep, la deuxième grande ville syrienne, faisant 47 morts et plus d’une centaine de blessés. La Russie condamne ces attentats, pas l’Occident en ce qui concerne ceux perpétrés en Syrie.

    L’Occident tolère les attentats qui lui sont profitables d’un point de vue politique, a déclaré à Astana (capitale du Kazakhstan) le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, commentant le refus de certains pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU de condamner les attentats en Syrie.

    « Quand les attentats sont politiquement utiles pour l’Occident, ils sont donc acceptables. Je serais heureux que nos partenaires dissipent mon soupçon, mais pour le moment je n’ai d’autre choix que de m’y tenir », a indiqué M. Lavrov devant les journalistes russes.

    La Russie a présenté dimanche deux projets de déclaration condamnant les attentats récemment commis en Syrie et en Irak au Conseil de sécurité de l’ONU. Le conseil a adopté la déclaration concernant l’Irak, tout en s’abstenant à dénoncer les attaques terroristes syriennes.

    L’argument selon lequel il faut examiner les attentats perpétrés en Syrie dans le contexte des violences qui secouent le pays signifie que le Conseil de sécurité a renoncé à son principe de toujours condamner le terrorisme.

    Source

  • Libye : l’ambassadeur américain tué dans un attentat à Benghazi

     

     

    L’ambassadeur des Etats-Unis en Libye, Christopher Stevens, et trois autres membres du personnel diplomatique américain ont péri dans une attaque à la roquette qui s’est produite mardi à Benghazi, dans l’est du pays. Ces décès ont été confirmés mercredi matin par le ministre de l’Intérieur libyen ainsi que par des sources chargées de la sécurité, affirme le site internet de la chaîne Al Jazeera.

    Selon les autorités libyennes, les assaillants protestaient contre le film intitulé « L’innocence des musulmans », jugé blasphématoire. Produit par un agent immobilier israélo-américain, Sam Bacile, ce film satirique diffusé sur internet a reçu le soutien de Terry Jones, un pasteur américain controversé qui avait créé la polémique en brûlant des exemplaires du Coran en avril.

    Au Caire, en Égypte, près de 3.000 personnes dont de nombreux salafistes, se sont rassemblées devant l’ambassade des États-Unis. Une dizaine d’hommes ont escaladé le mur d’enceinte du bâtiment et l’un d’eux a arraché le drapeau américain. Une fois déchiré, ce dernier a été remplacé par un immense drapeau noir sur lequel était écrite la profession de foi musulmane : « Il n’y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète » (source).

    _________

    Note NPInfo : Sous le régime de Kadhafi, aucun diplomate étranger n’avait été ne serait-ce qu’agressé. Ce régime a été renversé, il y a plus d’un an, dans le sang par une coalition islamo-atlantiste, soutenue par des dictatures wahhabites du Golfe persique, et avec l’assentiment de la classe politique US, des démocrates de la majorité de Barak Obama aux républicains dont le sénateur John McCain, candidat préféré des occidentalistes lors de la dernière présidentielle US.

    Source

  • L'aube dorée dans le ciel de Marseille

    photo.JPG aube dorée 3.JPG

    photo.JPG Aube dorée 1 XXX.JPG

    11 septembre 2012 à 7h10 du matin

    (Photos Gaëlle Mann)

     

     

  • 11 septembre : l’autre anniversaire...celui de Bachar Al-Assad

     

    Source : medea.be

     

    Né à Damas le 11 septembre 1965, Bachar Al-Assad se destinait à la carrière médicale et terminait des études d’ophtalmologie en Angleterre lorsqu’il fut rappellé par son père en 1994 pour assumer les fonctions de son défunt frère comme commandant d’une division blindée de l’armée syrienne.

    Depuis son retour au pays, les cercles dirigeants se sont attachés, par une vaste campagne de presse, à rendre Bachar Al-Assad populaire aux yeux du peuple syrien de sorte que son élection à la présidence soit garantie. L’éventuelle succession de Bachar à son père représentait, selon des cercles proches du pouvoir, « la meilleure garantie de la poursuite de la politique du Président et du maintien de la stabilité en Syrie ».

    Nommé colonel en 1999, Bachar Al-Assad a été chargé de missions de confiance. Il rendit ainsi une longue visite au Président du Liban, Emile Lahoud, au lendemain de son élection. En novembre 1999, il était également reçu en tête-à-tête à l’Elysée par le Président français Jacques Chirac.

    On prévoyait généralement que Bachar Al Assad devienne membre du « commandement régional » (syrien) du parti Baath lors de son prochain congrès général programmé pour le 17 juin 2000.

    Ce processus de préparation au pouvoir a été brusquement accéléré avec le décès inopiné d’Hafez El Assad le 10 juin. Le jour même, le Parlement syrien, dès l’annonce de la mort du Président, amendait la disposition constitutionnelle qui fixait à 40 ans l’âge minimum pour devenir Président, abaissant cette limite à 34 ans.

    Deux jours plus tard, Bachar était nommé général en chef des forces armées syriennes par le Vice-Président Abd al Halim Khaddam, qui assurait dans l’intérim les fonctions de Chef de l’Etat. Le 25 juin, le Parlement l’a proposé comme Chef de l’Etat, choix qui a été confirmé, pour un mandat de sept ans, par le référendum qui s’est tenu le 10 juillet de la même année.

    E&R

  • Syrie: Paris songe à renforcer son soutien aux terroristes !

    Alors que les massacres se poursuivent en Syrie, la ne reste pas inactive sur le plan diplomatique. Dans l’entourage du chef de l’Etat et du ministre des Affaires étrangères, , la possibilité d’aider davantage les rebelles est à l’étude.

    Une aide financière aux « zones libérées » en Syrie. Le clan Al-Assad ne contrôle plus qu’une partie du territoire syrien.

     

    Environ la moitié du pays, peut-être moins. Dans certaines localités, notamment dans le Nord et le Sud, il n’y a plus de ou de soldats du régime depuis des semaines, voire des mois. Ce sont des chefs locaux qui ont pris les commandes et administrent ces régions tant bien que mal. La France, qui plaide pour que l’aide humanitaire soit affectée en priorité à ces « zones libérées », a envoyé un émissaire pour superviser le projet. Il s’agit de remettre en état certaines infrastructures, l’accès a l’eau potable ou encore le réseau de ramassage des ordures pour éviter les risques sanitaires. De l’argent a déjà été distribué à des responsables de cinq localités syriennes dans les provinces d’Alep, d’Idleb et Deir Ezzor. Une des enveloppes servira, par exemple, à reconstruire une boulangerie industrielle détruite par un bombardement. La contribution française a été portée de 3,6 millions à 8,6 millions d’euros.

    La question des livraisons d’armes toujours en suspens. Sur le terrain, certaines unités rebelles sont cruellement démunies, ne disposant que de kalachnikovs et de lance-roquettes face aux tanks et aux avions des unités régulières. « La supériorité mécanique du régime est flagrante, reconnaît un diplomate français. Sans un coup de pouce de la part des Occidentaux, le statu quo peut encore durer des mois et des mois. » Faut-il livrer des armes aux rebelles? A cette question la France a toujours répondu non. D’abord parce qu’elle ne « veut pas » violer l’embargo qu’elle a elle-même signé. Ensuite parce qu’elle redoute que du matériel sensible ne se retrouve aux mains de groupes jihadistes qui opèrent en Syrie aux côtés des insurgés. « Il y a un précédent fâcheux en Libye, s’inquiète Fabius. Aqmi a récupéré une partie de l’arsenal de Kadhafi et menace de s’en servir un jour contre nous. Il faut être prudent. » Cependant, la position de la France et d’une partie de ses alliés pourrait évoluer si la situation s’enlise. « Paris étudie au cas où la possibilité de livrer des armes antiaériennes pour limiter les bombardements admet une source diplomatique. La question est sur la table. Mais il faudrait un accord international et pour l’instant nous en sommes loin. » Dans cette hypothèse, la France se renseigne sur la fiabilité des commandants rebelles syriens et a dépêché quelques experts militaires dans la région.


    Le Parisien - 11/09/12

  • Le n°2 de la diplomatie russe au Figaro : « Bachar ne partira que s’il est battu à la présidentielle »

    sans-titre.png Bachar et Bogdanov.png

    Bachar al-Assad et Mikhaïl Bogdanov à Damas le 29 août dernier

     

    Par Louis Denghien,

     

     

    « Le président Bachar al-Assad quittera son poste si son peuple choisit un autre candidat lors de l’élection présidentielle (prévue pour 2014) » C’est ce qu’a déclaré lundi au Figaro Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre russe des Affaires étrangères. Encore un point russe sur les « i » occidentaux, qui confirme que pour Moscou – et pas mal d’autres – Bachar a d’ici là une totale légitimité politique.

    « Important soutien » de la population à Bachar

    « Bachar al-Assad nous a clairement déclaré que si le peuple ne voulait plus de lui, et s’il se choisissait un autre leader lors d’une élection présidentielle, il partirait » a précisé Bogdanov. Voilà qui devrait, si l’opinion française n’est pas trop lobotomisée par 18 mois de propagande quasi-totalitaire, « retoucher » un peu le portrait du « dictateur » accroché au pouvoir contre son peuple, peint avec application sinon talent par tous les éditorialistes et présentateurs de France et de Navarre.

    Le vice-ministre ajoute logiquement dans son entretien que ce n’est ni aux Russes ni aux Français « de décider du sort du président syrien« . Bogdanov n’a pas précisé si Bachar serait le candidat préféré des Russes à la présidentielle à venir, mais il a estimé dans les colonnes du Figaro que le régime syrien était « encore stable » et qu’il jouissait « d’un soutien important de la population« . Soutien, précise Mikhaïl Bogdanov, « qui n’est pas motivé par l’amour des Syriens pour Bachar al-Assad, mais plutôt par la crainte de ceux qui lui succéderaient« .

    Ce disant, Bogdanov est en conformité avec ce qu’on pourrait appeler une « coquetterie diplomatique » russe, qui a toujours fait dire aux dirigeants de Moscou qu’ils ne soutenaient pas Bachar en particulier, mais la souveraineté de la Syrie, et les plans de paix. Pour autant, Moscou n’a pas d’autre candidat sérieux au poste de dirigeant syrien. Et il est évident que Bachar est devenu, par sa résistance à la gigantesque pression internationale et aux bandes sectaires et sanguinaires de l’insurrection, un véritable homme d’État, sans doute plus populaire aujourd’hui qu’hier. Le diplomate russe ne s’est pas fait faute de rappeler aux lecteurs du grand quotidien atlantiste français qu’une chute brutale du régime conduirait à une « somalisation » de la Syrie, avec toutes les effroyables conséquences qu’on imagine pour la population.

    Par ailleurs Bogdavov a proposé, par delà les les lecteurs du Figaro, l’organisation d’une conférence réunissant « tous les acteurs du conflit » aux Occidentaux. Cette conférence pourrait réunir en effet des représentants du gouvernement et des oppositions, mais aussi des diverses communautés religieuses et ethniques.

    InfoSyrie

  • Henri Poincaré, véritable fondateur de la théorie de la relativité

     

    Vérités médiatiques et vérités historiques ne se confondent pas toujours. Pas plus que les vérités médiatiques et les vérités scientifiques. Il en va de même pour l’histoire des sciences. L’opinion médiatique commune voit en Einstein, le père de la relativité. Un point de vue que l’analyse des textes et de la chronologie infirme totalement. Les vrais découvreurs de la relativité furent Hendrik Lorentz et Henri Poincaré.
    Le centenaire de la disparition d’Henri Poincaré, en juillet 1912 est l’occasion pour Antraigues, polytechnicien et disciple de Maurice Allais, de rappeler que le véritable acte fondateur de la théorie de la relativité est sa note à l’Académie des sciences du 5 juillet 1905 ; et non l’article du 26 septembre 1905 d’Albert Einstein dans la revue Annalen der Physik, qui n’avait fait que reproduire, aux notations près, les formulations de Poincaré, et devint pourtant par la suite le point de départ de l’une des plus fabuleuses carrières médiatiques de tous les temps.

    Auteur : J. Antraigues - le 09 Septembre 2012

    Polémia

  • Raymond Barre sur le Lobby juif

    Ajoutée par le 22 juil. 2010

    L'âge semble offrir un privilège rare. Celui de s'affranchir des convenances et de la langue de bois. Homme carré dans un corps rond que l'impopularité n'a jamais affecté, Raymond barre ancien Premier ministre est au centre d'une polémique suscitée par ses propos tenus dans un entretien à France Culture diffusé jeudi 1er mars et, réitéré dans l'émission "Les Grosses Têtes" de RTL, diffusée jeudi 8 mars 2007. L'ancien maire de Lyon, en fin d'interview, incrimine notamment "le lobby juif capable de monter des opérations indignes" et défend, à sa façon et, dans une certaine mesure, Maurice Papon et Bruno Gollnisch..

    "Sur cette affaire, je considère que le lobby juif est capable de monter des opérations indignes." "Je vous ai parlé franchement. Que l'on me fasse passer pour un antisémite, cela m'est complètement égal."

     

    Raymond Barre, né le 12 avril 1924 à Saint-Denis (La Réunion) et mort le 25 août 2007 à Paris, est un économiste et homme politique français. (Wikipédia)

  • L'info du jour la plus nulle!

    sans-titre.png Dessus se marie.png

    Jacques Chirac va devoir se tenir à carreaux s’il croise de nouveau Sophie Dessus. Sa blonde va épouser son compagnon le week-end prochain.

    Il a toujours été un grand séducteur et les années ne l’ont pas changé. Il n’y a pas si longtemps, Jacques Chirac a plusieurs fois été pris en flag en train de draguer, et ce, en présence même de Bernadette. Deux séquences ont d’ailleurs été popularisées par Le petit journal de Yann Barthès.


    Souvenez-vous, en 2009, l’ancien président de la République faisait des pieds et des mains pour faire asseoir à ses côtés Sophie Dessus, une jeune femme blonde, élue PS de Corrèze. Et pendant le discours de Bernadette, Jacques dragouillait, gentiment, avant de se faire prendre en flag par sa femme. Oups… Deux ans plus tard, rebelote. Jacquot a recommencé son petit manège : il a lui fait des blagues, des clins d’œil. Mais quand François Hollande a appelé Sophie pour travailler, Jacques s’est fâché tout rouge : « Tu es en train d’essayer de séduire ma copine. Pfiou… Il n’y a plus d’amis. »

    Eh bien, on est désolés pour Jacques Chirac, mais Sophie Dessus a annoncé qu’elle allait se marier le week-end prochain à Uzerche. « J’ai invité François Hollande et Jacques Chirac, mais je pense que ce dernier ne viendra pas pour des raisons de santé », a confié la députée de Corrèze récemment élue au Parisien. Bernie, elle, devrait être de la partie. Pauvre Jacquot…


    Retrouvez cet article sur voici.fr

     


     

  • De Bruxelles à Strasbourg : comment les médias s'efforcent de nous faire prendre des vessies pour des lanternes

    Le  11 Septembre 2012

        

    « Ras le bol d'être réduite à une paire de jambes arpentant le macadam, à une paire de fesses ondulant au-dessus du trottoir. Marre d'être prise pour de la chair fraîche prête à être consommée. C'est une clameur qui monte du web, le débat qui anime les dîners en terrasse : les femmes seraient harcelées dans la rue. » C’est le thème d’un documentaire tourné par une étudiante belge à l’aide d’une caméra cachée. Michel Geoffroy a vu le documentaire et exprime ci-après ses doutes sur l’universalité des séquences et surtout leur réel objectif.
    Polémia

    ________________________________________________________________________________________

     

    Les méchants sexistes bruxellois  ont révélé qu’à Bruxelles la police pourrait désormais dresser des amendes aux « Bruxellois » qui se livreraient à des injures dans la rue, sans passer par le parquet. Et tout le monde de se réjouir que « toute forme d’insulte sexiste, homophobe ou raciste ou autre est dorénavant réprimée par une amende de 75 à 250 euros » (leFigaro.fr du 5/9/2012). On va enfin faire reculer le sexisme en Belgique ! On nous dit aussi que la décision résulterait d’un documentaire « Femmes de la rue » dans lequel avaient été filmées en caméra cachée les injures dont la réalisatrice, Sofie Peeters, avait été victime « dans les rues d’un quartier populaire ».

    On ne savait pas jusque-là que les Belges étaient particulièrement réputés pour leurs injures ou leur manque de galanterie à l’encontre des femmes, même si le Manneken-pis montrait son zizi à Bruxelles depuis fort longtemps.

    Mais les quelques séquences (rares car vite censurées) de ce documentaire qui ont été diffusées en France nous éclairent sur l’identité de leurs auteurs : on y a vu en effet une femme, tête nue et en robe légère, se faire insulter ou poursuivre de leurs assiduités par des gens qui, malgré le floutage politiquement correct des visages, ne paraissaient ni wallons ni flamands. Quand on sait en outre que Bruxelles comporte une forte proportion de population d’origine extra-européenne et de religion non chrétienne, on commence à se douter de quelque chose.

    Cacher la vraie information

    Mais la fonction véritable des médias aujourd’hui n’est pas de nous « informer », ce qui impliquerait au moins de mettre en perspective les faits pour leur donner un sens. Elle consiste, au contraire, à essayer de dépeindre d’une couleur la plus aimable possible la cruelle réalité, à défaut de pouvoir la censurer.

    La réalité n’est pas qu’on ait trouvé un nouveau moyen de lutter contre les « stéréotypes sexistes » en Belgique. Non, la véritable information, c’est qu’à Bruxelles comme dans beaucoup de « quartiers populaires », une femme européenne – donc impudique aux yeux de leurs nouveaux habitants – ne peut plus se promener tranquillement sans se faire insulter ou draguer outrageusement, puisque assimilée à une personne de petite vertu.

    Mais cette information-là, taboue pour le Système, doit donc se trouver diluée dans un pathos destiné à faire croire que le problème viendrait d’un « sexisme » indéfini, alors qu’il résulte d’une situation bien identifiée mais politiquement incorrecte : le choc des civilisations sur le sol de l’Europe. Alors les journalistes, salariés du Système, font de leur mieux pour tourner autour du pot.

    Une curieuse faculté

    On nous a annoncé aussi l’ouverture d’une « faculté » de théologie musulmane à Strasbourg, destinée à la formation des imams turcs et mise en place avec le concours de la municipalité socialiste : une première en France, souligne le journaliste de service, chargé de saluer ce remarquable progrès vers un islam à la française (Le Monde du 31/8/2012, article de Guillaume Perrier).

    Le pauvre s’y prend cependant bien mal, qui nous dit quand même que ce projet a été soutenu par la Turquie, que l’établissement a d’ailleurs été visité par le ministre turc des Affaires étrangères, que l’enseignement se fera en turc et que le diplôme sera délivré par le département de théologie de l’Université d’Istamboul. Les formateurs viennent aussi de Turquie. Le journaliste nous dit également que le projet a été défendu à la municipalité par un élu dont le nom a plutôt une consonance anatolienne et que ce dernier aurait d’ailleurs obtenu le jumelage de Strasbourg avec un sympathique village islamiste. Enfin, on comprend que les gentils Ottomans se sentent si soutenus qu’ils souhaitent désormais ouvrir à Strasbourg un établissement secondaire de même nature, calqué sur les lycées d’enseignement religieux, et des centres de formation d’imams dans plusieurs villes de France.

    Curieuse « faculté », quand même, qui n’enseigne en turc qu’à des Turcs et se place sous le patronage du gouvernement turc. On ne voit pas très bien en quoi cela va faciliter la francisation de l’islam ou l’intégration des Turcs. Mais apparemment cela n’est pas un problème pour Guillaume Perrier.

    L’info pour cacher la vérité

    Le journaliste n’entre pas, bien sûr, dans ces considérations, même s’il se croit quand même obligé d’écrire le mot « faculté » entre guillemets. Il ne nous indique pas non plus l’importance de la communauté turque en Alsace, ni pour quelles raisons elle s’y est installée ni si elle « s’intègre » bien. Il n’aborde pas la nature des facilités offertes par la municipalité de Strasbourg.

    Non. Ce serait là sans doute sortir de « l’info » pour aborder les rivages dangereux de l’opinion ! Surtout pas : le salarié du Monde a pour seule mission de nous faire croire que former en turc des imams turcs sur le sol français nous fait progresser collectivement dans la voie de la « laïcité positive ». La seule question qui semble le préoccuper, et qui conclut d’ailleurs l’article, est d’ailleurs de regretter que le diplôme délivré ne le soit pas en français.

    « L’info » passe comme toujours à côté de l’essentiel. C’est même sa véritable fonction : submerger le lecteur, et plus encore le téléspectateur, sous un déluge d’insignifiance.

    Les médias vous « informent » . Dormez, braves gens !

    Michel Geoffroy
    6/09/2012

    Correspondance Polémia – 11/09/2012

    Image : Sophie Peeters, réalisatrice de « Femmes de la rue »

  • KONK

    sans-titre.png Konk.png

  • Lens : il y a 70 ans, la rafle méconnue du 11 septembre 1942

    Publié le 11 septembre 2012

     

    À Lens, le 11 septembre 1942, à l'aube, 528 Juifs, soit à peu près la moitié de leur population, ont été arrêtés et déportés. Pour lutter contre l'oubli, la communauté israélite locale a décidé de commémorer de façon officielle le 70e anniversaire de cette rafle trop peu connue.

     

    Ils s'appelaient Samuel, Marthe, Rachel, David... Portaient les noms de Morgenstern, Glikman, Goldberg, Steiner... Le plus jeune, Chaïm Ajchenbaum, avait 3 mois. Le plus âgé pas loin de 80 ans. Seule trace de leur existence : une immense plaque de marbre noir, fixée au mur de la petite synagogue de Lens, où chacun de leurs 528 patronymes a été gravé.

     

    « Notre communauté est très réduite aujourd'hui, mais très ancienne et nous tenons à la maintenir en vie et à entretenir sa mémoire. Ce qui s'est passé le 11 septembre 1942 ne doit jamais tomber dans l'oubli pour que ça ne se reproduise pas », souligne Alain Tajchner, le président de la communauté juive de Lens, qui ne compte plus qu'une vingtaine de familles désormais. Avant la rafle, ils étaient environ un millier de Juifs, très majoritairement d'origine polonaise et très fervents, installés dans la capitale du bassin minier (lire leur histoire ci-dessous). La moitié, donc, n'est pas revenue des camps d'Auschwitz et Birkenau... « Proportionnellement à leur population, c'est énorme ! Nous ne sommes pas là pour obtenir un triste record, mais imaginez si la moitié de la communauté juive de Paris avait été raflée au Vel'd'Hiv... », remarque Jean-François Gintzburger (photo), directeur adjoint de Télés Nord - Pas-de-Calais, qui coproduit un documentaire pour Wéo, Les vies oubliées des Juifs de Lens, diffusé ce soir en avant-première, au Colisée de Lens.

     

    De nombreux autres rendez-vous sont prévus ces trois prochains jours commémoratifs, avec des rescapés des camps, des conférenciers, des écrivains, mais aussi un invité de marque : Gilles Bernheim, le Grand Rabbin de France. « On est à Lens, ici. On n'est pas à Cracovie, ni même à Lille. Sa présence est un signe fort, non ? Avec la médiatisation que ça va susciter, on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas ce qui s'est passé le 11 septembre 1942 », estime Henri Dudzinski, président de Millenium 2000. Association de l'église catholique polonaise de Lens, elle a aidé, comme le consulat de la République de Pologne à Lille, la communauté juive de Lens à préparer ce 70e anniversaire.

     

    « À 5 h du matin, on a tapé très fort à notre porte »...

     

    Avant sa diffusion télé en octobre, « Les vies oubliées des Juifs de Lens », le documentaire de Carine Mournaud, est projeté en avant-première, ce lundi 10 septembre, au Colisée, à Lens. Une plongée dans le quotidien d'une communauté laissée de côté. Fuyant la misère et l'antisémitisme dans leur pays, ils sont arrivés dans les années 20 à Lens, où travaillaient déjà à la mine nombre de leurs compatriotes catholiques. Les Juifs de Pologne commencent par vendre des tissus dans les corons, puis sur les marchés, et certains d'entre eux finissent par ouvrir leur propre commerce. « La ménagère catholique polonaise des cités minières peut négocier avec eux dans sa langue natale, alors globalement ils sont plutôt bien accueillis », raconte dans le film Danielle Delmaire, historienne et professeur émérite à Lille 3. Peu d'images témoignent du quotidien de cette communauté d'un millier de personnes, mais le récit d'une poignée de rescapés de la rafle du 11 septembre 1942 replonge le téléspectateur dans le contexte. Et montre à quel point les Juifs de Lens étaient implantés. « Il y avait une école juive, un café juif, un boucher kasher, un bain rituel. C'était une communauté véritablement installée dans le tissu social », souligne Jean-François Gintzburger, de Télés Nord - Pas-de-Calais, qui coproduit ce film-documentaire de 52 minutes. Mais c'est aussi une communauté nouvelle et jeune, qui a confiance en la République française et accepte facilement de se faire recenser. « On est allé de nous-mêmes se faire enregistrer à la mairie », témoigne une rescapée... Et une communauté beaucoup moins importante qu'à Paris par exemple et qui n'a donc pas ou peu de réseaux de renseignements et de possibilités de se cacher. Après ce « recensement transmis par l'administration française aux Allemands, première étape de la persécution », selon l'historien Yves Le Manner, tout est allé très vite. Le 11 septembre 1942, « à 5 h, on a tapé très fort à notre porte », se souvient une survivante. Rassemblés place du Cantin, 528 Juifs de Lens sont ensuite emmenés en gare de Lens, sous les yeux des habitants, dont ils auraient reçu très peu d'aide. En tout cas, selon Danielle Delmaire, il n'existe aucun témoignage d'enfants sauvés au moment de cette rafle. « Nous avons pris un train en direction de Lille, où nous ont rejoints d'autres convois venant de Douai, Valenciennes et Bruay, poursuit la rescapée. Ce n'était pas encore les wagons à bestiaux, on avait des wagons de voyageurs. Et puis nous avons été emmenés à Malines, le Drancy belge, et Auschwitz-Birkenau. »

     

     

    Source : http://www.nordeclair.fr/Actualite/2012/09/10/il-y-a-70-ans-la-rafle-des-juifs-de-lens.shtml

     

  • Les militants identitaires sur le terrain contre les partisans de l'immigration

    sans-titre.png identitaires.png

    11/09/2012 — 18h00
    PARIS (NOVOpress) — Ces jours derniers, les militants identitaires se sont mobilisés contre le partisans de l’immigration.

    A commencer par Rouen, où une section locale de Patrons sans frontières (photo ci-contre) a manifesté bruyamment son soutien à la reprise des Cercles du Silence dans la ville normande. S’inspirant de leurs homologue parisiens, les militants de Vague Normande ont “organisé cette action humoristique et ironique afin de mettre en avant la bêtise de cette utopie humaniste d’un monde sans frontières. Un monde ne profitant en fin de compte qu’aux esclavagistes modernes sans moral, aux multinationales et grandes entreprises avides de bénéfices. Ceux-ci profitant de cette catastrophe humaine qu’est l’immigration, encouragée par les associations de gauche.”

    C’est ensuite dans la région lyonnaise qu’une centaine de militants ont répondu à l’appel de Rebeyne pour signifier aux participants du festival “Meltin-Potage” (sic !) que : “Votre rêve est africain, le nôtre est européen”, comme l’indique clairement la banderole (photo en Une) derrière laquelle les militants se seront rassemblés. But de ce rassemblement ? Dénoncer le dangereux discours propagé par les organisateurs de cet évènement politique et les subventions scandaleuses qui lui sont accordées chaque année. Face au discours tenus par le organisateurs de ce festival (des militants du NPA et des bobos lyonnais), les Identitaires demandent :
    “1°/ l’arrêt immédiat des subventions d’initiatives faussement antiracistes qui ne visent qu’à détruire notre identité lyonnaise, française et européenne ;
    2°/ la mise en avant et la valorisation (à l’école, dans la presse, dans nos rues, etc.) de nos cultures ancestrales et de nos véritables racines.”

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]