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GAELLE MANN - Page 144

  • Immigration, droit du sol, multiculturalisme: l’Italie découvre les débats français

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    Entretien avec le politiste Marco Tarchi

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    En Italie, pas un jour ne passe sans que la presse ne rapporte des faits divers impliquant des migrants. La semaine dernière, en Sicile, une contrôleuse de train s’est fait agresser par des immigrés clandestins montés sans billets ; une rixe a opposé Albanais et Nord-africains dans une prison, tandis que des migrants guinéens commettaient des déprédations près de la gare de Milan. 

    Il suffit de parcourir la botte pour constater la profusion de vendeurs à la sauvette africains, la plupart du temps paisiblement occupés à refiler leur camelote. Face à l’afflux incontrôlé de migrants (plus de 83 000 arrivées depuis le début de l’année), le gouvernement de grande coalition centriste appelle en vain l’Union européenne à la rescousse. Et propose d’instaurer le droit de sol, ce qui pourrait provoquer un nouvel appel d’air. Une révolution dans une contrée jusqu’ici préservée de l’immigration massive. Décryptage avec le spécialiste du populisme Marco Tarchi.


    Daoud Boughezala. L’Italie est en première ligne du défi migratoire qu’affronte l’Europe. Vos compatriotes souhaitent-ils majoritairement fermer leurs frontières aux migrants? 

    Marco Tarchi1. Selon les plus récents sondages, les retombées de l’immigration sont devenues la première préoccupation des Italiens et une majorité d’entre eux souhaite l’arrêt des fluxs. Cependant, une forte minorité se limite à demander la répartition des migrants – réfugiés ou immigrés pour des raisons économiques – parmi les pays de l’Union européenne.

    Bien que l’Italie reste heureusement préservée du terrorisme, sent-elle monter un sentiment d’insécurité culturelle ?

    Le phénomène n’est pas encore évident, parce que les média mainstream, le gouvernement, la plupart des partis politiques, les associations de volontariat et l’Église catholique présentent l’immigration de masse comme la simple conséquence des conflits et de la pénurie qui ravagent l’Afrique et une partie de l’Asie et assimilent tout immigré à un «désespéré» qui n’a d’autre but que de survivre et qui ne peut en aucune mesure constituer une menace à la survie de la culture et du mode de vie des autochtones. Néanmoins, dans quelques endroits, on commence à voir surgir des conflits «civilisationnels»: des communautés d’étrangers de religion musulmane qui protestent contre le son des cloches des églises, des provocations envers des femmes jugées impudiques à cause de leurs vêtements, etc.

    C’est dans ce contexte tendu que le gouvernement Gentiloni prépare un projet de loi instaurant le droit du sol (jus soli). Cette disposition est loin de faire l’unanimité puisqu’elle a provoqué la démission de deux ministres de centre-droit. Pourquoi la grande coalition italienne souhaite-t-elle adopter le droit du sol ? 

    L’argument des partisans de cette proposition est simple – et peut-être simpliste – et se résume dans cette question: «Pourquoi devrions-nous nier à des jeunes nés en Italie et qui y résident depuis au moins dix ans d’être des citoyens à part entière?». Évidemment, cette approche se fonde sur une mentalité individualiste qui, au nom des droits de l’homme, nie à un peuple la possibilité de décider quoi que ce soit au sujet de son homogénéité culturelle ou ethnique. Ceux qui s’opposent à cette façon de voir les choses sont immédiatement accusés de racisme.

    Les partisans du droit du sol se réclament-ils de l’idéal républicain français ou du multiculturalisme anglo-saxon ?

    En Italie, ce que vous appelez «l’idéal républicain» ne rencontre presque aucun écho au niveau populaire, et le débat sur le multiculturalisme et ses multiples déclinaisons est resté confiné jusqu’à aujourd’hui à une poignée d’intellectuels.

    Quelles forces politiques s’opposent au jus soli ?

    Beppe Grillo a exprimé son refus du jus soli à plusieurs reprises depuis plus de dix ans, donc même avant la création du M5S, et il a pris une position très nette contre ce projet de lui, ce qui a tout de suite attiré l’accusation aux « grillini » d’être des xénophobes ou des racistes masqués ou, dans le meilleur de cas, d’exploiter ce sujet à des fins de concurrence électorale avec la Lega Nord ou Fratelli d’Italia. Quant à la droite radicale, elle conserve une image de marque très négative auprès de la majorité de l’opinion et constamment réitérée par des attitudes ouvertement nostalgiques (défilés à bras tendu, uniformes etc.), ce qui disqualifie son opposition à ce genre de politiques.

    Autre pomme de discorde transalpine : le fédéralisme. Aux dernières élections municipales, la Ligue du nord et d’autres forces autonomistes ont-elles réussi à prospérer sur la demande d’autonomie locale et le rejet de l’immigration ?

    Les deux sujets ne sont pas liés dans le débat politique italien. Fratelli d’Italia, par exemple, qui revendique l’héritage du MSI néofasciste mais évolue dans le sens d’un plus grand souverainisme, rejette aussi bien l’immigration qu’une fédéralisation de l’État italien dans le sens souhaité par la Ligue du nord. Celle-ci, en même temps, en essayant de se propager au-delà de ses frontière nordistes, a axé sa propagande sur des sujets « nationaux », tels que la lutte contre l’immigration, la contestation des super-pouvoirs de l’Union européenne et l’abandon de l’euro, en laissant de plus en plus de côté le thème du fédéralisme, qui avait été son cheval de bataille pendant trente ans.

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    CAUSEUR
  • Lyon : un procès aux Assises après l’agression du jeune Marin par une racaille

     


    Par Mathilde Régis
     
    Publié le 15/07/2017  à 17:26
    2 réactions
     

    Le juge d’instruction chargé du dossier a demandé un renvoi aux assises. L’agression de Marin, qui avait pris la défense en novembre dernier d’un couple qui s’embrassait dans la rue, devrait être jugé sur le motif de “coups et blessures ayant entraîné une infirmité permanente”.

    Marin, le jeune homme agressé
    © DR
    Marin, le jeune homme agressé (avant son agression)

    Tandis que l'état de santé de Marin s'était dégradé il y a peu, après de nettes améliorations, l'enquête ouverte suite à son agression est terminée. Le juge d'instruction a désormais demandé un renvoi de l'affaire aux assises, sur le motif de "coups et blessures ayant entraîné une infirmité permanente". En novembre dernier, l'étudiant de 20 ans prenait la défense d'un couple, insulté et agressé pour s'être embrassé devant le centre commercial de la Part-Dieu. Après une brève altercation, Marin était alors monté dans un bus. L'un des agresseurs était monté derrière lui et l'avait frappé violemment à coup de béquilles, engageant son pronostic vital lors des premières heures d'une hospitalisation qui n'a pas cessé depuis.

    Selon France Bleu, l'accusé, encore mineur, est actuellement détenu. Les proches de Marin, à l'origine de la création de l'association La Tête Haute, récoltent toujours des dons pour soutenir Marin, défendre les victimes d'agression dans les transports en commun et financer des programmes de recherche médicale sur le cerveau. En effet, depuis l'agression survenue en novembre, la famille de Marin n'a reçu aucun dédommagement de la part des deux assureurs de l'accusé. La semaine dernière, l'avocat de Marin réclamait une audience en urgence sur le volet civil de l'affaire pour que les soins de Marin puissent se poursuivre. Une somme de 300 000 euros était demandée pour que Marin puisse avoir un traitement neurocognitif dans un établissement spécialisé à Bâle, en Suisse. La décision de cette audience en référé est prévue pour le 3 août, date à laquelle seront également remises les expertises médicales qui établiront les séquelles du jeune Marin.

    LyonCapitale -  15/07/17

  • Marin a rejoint un centre de rééducation neurologique en Suisse

     

     

    © Je soutiens Marin
    © Je soutiens Marin

    Marin a rejoint mercredi dernier un centre de rééducation spécialisé en Suisse. Un séjour de trois mois financé pour l'instant grâce aux dons privés collectés par l'association créee après la sauvage agression dont il a été victime en novembre 2016 à Lyon.         

    Par Philippe Bette 

    Marin a donc quitté la Drôme mercredi pour rejoindre la Suisse, où il bénéficie d'une prise en charge adaptée aux graves lésions neurologiques qu'il a subies. En novembre dernier, il s'était interposé pour prendre la défense d'un couple pris à partie dans le quartier de la Part Dieu à Lyon pour un échange de baiser dans la rue. Il avait été lui -même agressé ensuite et sauvagement frappé à la tête à coups de béquilles, en guise de représailles. Son agresseur a depuis été identifié et écroué .

    Laissé pour mort, Marin a survécu miraculeusement. Opéré à l'hopital neurologique "Pierre Wertheimer"de Lyon-Bron, il a pu recouvrer une partie seulement de son autonomie au prix de gros efforts. Il garde néanmoins des séquelles neurologiques sévères qui l'ont d'abord conduit dans une clinique de réeducation de l'agglomération lyonnaise. Mais devant la gravité de son état et des complications neurologiques survenues récemment, son entourage a cherché une clinique spécialisée, pour une prise en charge mieux adaptée à son cas. Et faute de place disponible, c'est à l'étranger que la solution a été trouvée.    



    Dans son blog sur Facebook, Marin raconte lui-même  les derniers bouleversements intervenus dans sa vie  La décision a été annoncée lundi matin (le 17 juillet) de le transférer en Suisse.Un départ précipité : "TOUT s’est accéléré. Mail reçu, confirmation, et la tornade s’est mise en route…Par superstition, rien n’avait été préparé, alors en 1 jour et demi, il a fallu tout organiser, réserver, préparer …"
          
    Le début d'une nouvelle convalescence loin des siens, qu'il attend et appréhende tout à la fois : "Vous l’aurez compris, à l’heure où vous lisez ce message, je viens d’intégrer mon nouveau centre de rééducation. Les troupes autour de moi seront désormais plus clairsemées, les journées vont gagner en intensité (j’en avais hâte mais le redoute également)."

    Dans un premier temps, le séjour dans cette clinique spécialisée doit durer trois mois. Il n'a été rendu possible que grâce aux dons collectés par l' association "La Tête haute", créee justement pour venir en aide à Marin. Celui-ci en profite pour exprimer sa reconnaissance à ses généreux donateurs.

    "Cette intégration aurait été impossible sans votre générosité sans limite et sans l’incroyable travail de ma maman pour que je puisse intégrer ce centre. Pour cela, je la remercie et je vous remercie également. Je sais que de nombreuses personnes ont participé discrètement à la réalisation de ce projet, ils se reconnaîtront (...) Bref, écrit -il, je n'ai qu'un mot sur les lèvres : MERCI"  

    La famille de Marin a sollicité récemment une prise en charge des soins par la Sécurité Sociale. Cette demande va être étudiée...  
     
    Franceinfo
     
    NdB: Je soutiens Marin, nous soutenons tous Marin de tout notre coeur 
     
     
  • JOURNAL TVL DU 26 JUILLET 2017

  • Domrémy-la-Pucelle : le maire veut installer des dizaines de migrants dans le village natal de Jeanne d’Arc

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    21h03

    Un collectif d’habitants s’est réuni lundi dernier devant la mairie de Domrémy-la-Pucelle pour dénoncer la possible arrivée de migrants. (Vosges Matin)

     

    Communiqué de Jordan Grosse-Cruciani, Secrétaire départemental du FN Vosges.

    Alors que la situation économique, sociale et sanitaire en France et en Europe est explosive et d’une grande précarité, les autorités nationales et européennes n’ont que d’autres propositions que d’accueillir toujours plus de « migrants » sur notre sol et notamment dans nos campagnes.

    Notre département rural des Vosges au taux de chômage de 11% accueille déjà son lot de demandeurs d’asile, réfugiés et de migrants ou en a accueilli (Epinal, Saint-Dié, Monthureux-sur-Saône, Thaon, Darney …) et l’information de l’installation de 54 migrants à Domremy-la-Pucelle est passée inaperçue. C’est un résident et une lettre d’un collectif d’habitants de Domremy, berceau de Jeanne d’Arc, qui nous a alertés sur les agissements du Maire et des autorités sans concertation et débat démocratique avec la population.

    En effet, suite à une réunion du conseil municipal du 30 juin dernier, il a été acté la volonté d’installer 54 migrants dans les locaux du pensionnat alors même qu’il serait question d’un projet de création de logements locatifs par un habitant de Greux pour l’ensemble de la propriété. Les travaux d’accueil devant débuter mercredi 26 juillet prochain.

    […]

    Source

  • Avec la crise grecque, l'Allemagne a gagné plus d'1,3 milliard d'euros grâce à ses prêts à Athènes

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    Illustration ©Marko Djurica/Reuters
     

    A la suite d'une demande des Verts allemands, opposés à la politique intransigeante d'Angela Merkel à l'égard de la Grèce, le ministère des Finances allemand a dû rendre public les gains effectués en prêtant de l'argent à Athènes.

    Les Grecs n'ont pas fini de se mordre les doigts d'être entrés dans la zone euro et de payer le maquillage de leurs comptes public que leurs dirigeants ont confié à la banque Goldman Sachs au début des années 2000. Grâce à une demande expresse des Verts allemands, très critiques quant à l'intransigeance de la chancelière allemande Angela Merkel à l'égard de la Grèce, le ministère des Finances allemand a été contraint de livrer les chiffres des intérêts perçus sur les prêts accordés à Athènes. Selon le quotidien Süddeutsche Zeitung, les gains s'élèvent à 1,34 milliard d'euros depuis 2009, année où la Grèce, frappée de plein fouet par la crise financière de 2007, demandait l'aide de l'Union européenne, invoquant la «solidarité» entre les Etats membres.

     

    Aide conditionnée à l'obéissance

    Une solidarité sur la base de laquelle, les Européens s'étaient engagés à reverser les intérêts des prêts accordés à la Grèce afin de tenir le pays la tête hors de l'eau. Mais, depuis le bras de fer entre la Troïka européenne et le Premier ministre grec Yanis Varoufakis, et le référendum de 2015, l'Allemagne refuse de les payer. La Kreditanstalt für Wiederbau (KfW), une institution financière publique, a ainsi touché depuis 2009 quelque 393 millions d'euros d'intérêts sur un prêt consenti à Athènes de 15,2 milliards d'euros.

     

    Heurts et gaz lacrymogène à  lors d’une grève contre le nouveau plan d'austérité
    EN SAVOIR + https://francais.rt.com/international/38521-heurts-gaz-lacrymogene-athenes-greve  

     

    La Bundesbank – la Banque centrale allemande – a pour sa part a touché 952 millions d'euros dans le cadre du programme de rachat européen de titres de dette souveraine de pays dont les finances étaient exsangues ment public de banques privées.

    Moyen de pression contre les Grecs

    Dans ce qui ressemble fort à un chantage, Berlin conditionne la rétrocession des intérêts à l'assiduité avec laquelle la Grèce se conforme aux recommandations des ministres des Finances européens de l'Eurogroupe, et du Fonds monétaire international (FMI), un autre de ses créanciers dur en affaires. Et pourtant, après le baroud d'honneur de Syriza en 2015, la Grèce se montre bonne élève. En mai 2017, le Parlement grec adopte de nouvelles mesures de rigueur, afin de satisfaire ses créanciers, l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI). Et aussi dans l'espoir d'attendrir Angela Merkel et d'obtenir un allègement de sa dette, plus de 320 milliards d’euros, soit près de 180 % de son produit intérieur brut en 2017.

    Sven Christian Kindler, représentant les Verts à la commission budgétaire du Parlement allemand résume ainsi la situation : «L'approche allemande de la crise grecque peut certes sembler légale. [Mais] elle est illégitime d'un point de vue moral et en terme de solidarité.»

    Lire aussi : Grèce : accord de la zone euro pour débloquer 8,5 milliards d'euros

    RT

     

    RT

  • Une responsable du parti de Renzi crée la polémique en évoquant l’extinction de la «race italienne»

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    Source: Reuters
    Père italien avec son bébé
     

    Patrizia Prestipino, intervenant pour soutenir la politique d'encouragement de la natalité en Italie, a évoqué la «race italienne» qui serait, selon elle, menacée de s'éteindre à cause d'une faible natalité, suscitant une vive controverse.

    «Si nous voulons perpétuer notre race, pour l'appeler ainsi, il est évident qu'il faut engager un plan de soutien concret aux mères et aux familles». C'est par ces propos que Patrizia Prestipino, l'une des dirigeantes nationales du Partito democratico (PD), a déclenché une vive polémique en Italie.

    Le 24 juillet, Patrizia Prestipino intervenait au micro d'une radio locale, Radio Cusano Campus, afin de soutenir la création controversée au sein du parti de Matteo Renzi, classé au centre-gauche, d'une section chargée des questions liées à la maternité. Expliquant son positionnement, la responsable politique a estimé que l'Italie faisait «de moins en moins d'enfants». «Vous vous rendez compte que nous sommes le plus ancien pays d'Europe ?», s'est-elle inquiétée en conséquence. Selon elle, l'Italie risque tout simplement l'«extinction dans quelques décennies».

    Les réactions indignées ne se sont pas fait attendre, notamment de la part de la gauche italienne, qui s'est offusquée de l'emploi du mot «race». «Je voudrais rappeler que, comme le disait Albert Einstein, il n'y a qu'une race : la race humaine», a déclaré Nicola Fratoianni, secrétaire national du parti Sinistra italiana (classé à gauche du PD). Elisa Simoni, députée du Movimento democratico e progressista, classé au centre-gauche, a pour sa part estimé que Patrizia Prestipino, responsable de la défense des animaux au sein du PD, avait dû «confondre avec les races de chiens».

    Face à la polémique, Patrizia Prestipino a présenté ses excuses le 25 juillet, comme le rapporte La Repubblica. «Le choix du terme de "race" n'avait rien à faire dans la discussion au cours de laquelle il a été employé», a-t-elle regretté. Avec 1,37 enfants par femme en moyenne, l'Italie connaît l'un des taux de natalité les plus faibles de l'Union européenne.

    Lire aussi : «On ne fera pas renaître notre civilisation avec les bébés des autres» : la polémique enfle aux USA

  • JOURNAL TVL DU 25 JUILLET

  • VIDEO - Nicolas Hulot fait un malaise à l'Assemblée nationale

    http://premium.lefigaro.fr/politique/2017/07/25/01002-20170725ARTFIG00270-nicolas-hulot-a-fait-un-malaise-a-l-assemblee-nationale.php

  • Face au burkini, le bikini a perdu la bataille

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    Les filles vont-elles encore dans les piscines pour s’exhiber et les garçons pour être éblouis par leur beauté ? De moins en moins. L’ambiance frivole et érotique qui y régnait s’est dissipée comme par désenchantement. Le Sida dans les années 80, Internet et islamisme par la suite ont mis un terme à la parenthèse magique des années soixante où d’adorables nymphes bronzaient en lisant Les Cahiers du Cinéma et où il était possible de les aborder en leur demandant ce qu’elles pensaient de Lord Henry dans Le portrait de Dorian Gray. Elles veillaient à ne pas passer inaperçues, ni incultes.

    Burkinisation des esprits

    Nous assistons aujourd’hui à une burkinisation des esprits pire encore que celle des corps. Ne pas se faire remarquer, telle semble être la règle. Aussi bien en politique que sur les plages. La liberté est encore là, mais on s’en détourne, comme si chacun aspirait à un univers réglementé – et les règlements s’affichent de plus en plus insolemment à l’entrée des piscines – voire à un goulag mou. Le bikini, symbole de liberté pour les femmes, devient presque indécent. Et la drague si commune autrefois sur les plages s’apparente à du harcèlement sexuel. Les hommes veillent à ne pas apparaître comme des prédateurs et les femmes comme des proies faciles. Mieux vaut se dissimuler sur un réseau social spécialisé dans les rencontres ou se laisser aller dans des beuveries.

    Princesses saoudiennes en bikini

    Je me souviens de princesses saoudiennes en bikini à Ryad et d’étudiantes en mini-jupe à Téhéran : l’idée de porter un burkini ne leur aurait pas traversé l’esprit. L’islam n’est pas seul en cause dans cette course à l’esclavage. Ce qui s’est produit à l’aube du XXI siècle, personne n’est en mesure d’en décerner les causes. Mais les piscines et  les plages sont des lieux idéaux pour observer ces mutations. La liberté absolue qui y régnait et qui en faisait tout l’attrait ont laissé place à une anesthésie générale. Le regard lui-même est devenu chaste : admirer la perfection du corps d’un adolescent ou d’une adolescente crée un malaise. Le narcissisme régresse : le boudin n’a plus honte d’être un boudin. Le raffinement érotique appartient à une ère révolue.

    La piscine Deligny ne reviendra plus

    Le burkini ne signifie pas seulement que l’islamisation gagne du terrain, mais que la grâce féminine s’estompe. Le même phénomène s’observe au cinéma. Il semble irréversible. Il y a certes encore des exceptions et des combats d’arrière-garde. Mais l’époque où des jeunes filles graciles plongeaient nues dans la piscine Deligny, ne reviendra plus. D’ailleurs, elle aussi a coulé dans la Seine à la fin du vingtième siècle, emportant avec elle beaucoup du glamour parisien et un peu du souffle libertaire qui nous animait.

    Soumission et dépression

    Ne nous reste plus maintenant qu’à nous comporter en enfants sages, en adultes précautionneux et à feindre une joie factice. Le prix à payer sera soit l’asservissement à une religion qui nous est étrangère et ne veut pas nécessairement notre bien, soit une dépression généralisée. Et plus vraisemblablement encore les deux ensemble !

    CAUSEUR

  • Des adhérents LREM saisissent la justice contre les statuts du parti

    Les perdreaux de l’année dénoncent "un manque de démocratie"

     

    Vent de fronde à La République en marche. Un collectif d’adhérents vient de saisir la justice pour faire annuler la convocation à l’assemblée générale où doivent être adoptés les nouveaux statuts du parti politique qu’ils jugent trop peu démocratiques.

    Ces dizaines de partisans et animateurs de comités locaux ont déposé un recours en référé devant le tribunal de grande instance de Créteil, dans le Val-de-Marne. pour tenter d’obtenir l’annulation du scrutin. Le vote pour adopter les nouveaux statuts a débuté ce dimanche et doit s’achever le 30 juillet.

    La quarantaine de requérants estime que La République en marche penche vers les travers des « vieux » partis politiques qu’a dénoncé à maintes reprises le président de la République.

    Lire la suite de l’article sur bfmtv.com

  • Le bassin de la Villette fermé à la baignade après la découverte de bactéries fécales

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    Après seulement quelques jours d'ouverture à la baignade, le bassin de la Villette a été fermé jusqu'à nouvel ordre après un prélèvement révélant une forte concentration de bactéries entérocoques.

     

    C'était «le rêve» d'Anne Hidalgo, tel qu'elle l'avait elle-même décrit : l'expérience estivale largement médiatisée aura pourtant été de courte durée. Alors que la Mairie de Paris venait d'ouvrir à la baignade le bassin de la Villette, dans le XIXe arrondissement, la présence d'une bactérie dans l'eau a contraint les autorités à fermer le site.

     

             Ce que a Mairie de Paris décrivait comme «le premier espace de baignade urbaine de la capitale» a été fermé jusqu'à nouvel ordre ce 24 juillet. La raison de cette décision subite : la présence d'une bactérie entérocoque dans l'eau, comme le rapporte France Bleu Paris. L'analyse quotidienne de l'eau a révélé une forte concentration de cette bactérie habituellement présente dans l'intestin, les selles ou les parties génitales des êtres humains. Ces bactéries peuvent également provenir des égouts ou des écoulements d'eaux usées. 

    Peu ragoutantes, ces explications ne sont pas mises en avant par la Mairie de Paris, qui préfère évoquer les pluies de ce week-end, pourtant peu importantes. Elle annonce en outre qu'une nouvelle série de prélèvements sera effectuée le 25 juillet, afin de déterminer si et quand le bassin pourra de nouveau accueillir les baigneurs. 

    L'ouverture à la baignade du bassin de la Villette faisait figure de gageure de la part de l’exécutif parisien, notamment en raison de la réputation d'insalubrité des eaux de la capitale. En 1988, c'est dans la Seine que Jacques Chirac avait promis de se baigner d'il était élu président de la République, mettant en avant un plan d'assainissement du fleuve, qui n'aboutit jamais.

    RT

  • Cédric Herrou et José Bové conduisent deux cents immigrés clandestins à Nice

    https://francais.rt.com/france/41312-cedric-herrou-jose-bove-escortent-migrants-nice

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  • Le couple Macron en récupération politique ?

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    Il y a un an, le père Jacques Hamel était assassiné en l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) par deux jihadistes se réclamant de Daech.

    Le président de la République et son épouse assisteront mercredi matin à 9 heures à la messe en l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), là où il y a un an jour pour jour le père Jacques Hamel était égorgé par deux jihadistes se réclamant de Daech.

     

    Le conseil des ministres reporté à vendredi

     

    Par conséquent, le Conseil des ministres, qui a lieu d’ordinaire le mercredi matin, a été déplacé à vendredi matin. Aux côtés d’Emmanuel et de Brigitte Macron prendra également place dans l’édifice, Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur chargé des cultes. La cérémonie présidée par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, sera sous très haute surveillance puisque 130 à 150 policiers seront mobilisés.

     

    Au cours de l’office, quatre compositions florales comportant une fleur du jardin du prêtre égorgé seront déposées par un enfant et un adulte devant la croix de procession, le cierge pascal, l’autel et la statue de Marie qui, tous, avaient été profanés il y a un an. A 10h30, une « stèle républicaine » en hommage à l’ecclésiastique, érigée par la commune aux abords de l’édifice, sera inaugurée. A 18 heures, les vêpres (prière du soir) seront célébrées en la basilique Notre-Dame de Bonsecours située en périphérie de Rouen avant un temps de recueillement au cimetière voisin, sur la tombe du martyr devenue un véritable lieu de pèlerinage.

     

      leparisien.fr

  • Emmanuel Macron sera à Saint-Etienne-du-Rouvray mercredi pour l'hommage au père Hamel

     

    INFO LE FIGARO - Le président a finalement décidé de participer à cette cérémonie, qui n'était pas inscrite à son agenda. Du coup, le Conseil des ministres est reporté à vendredi.

    Sa présence, mercredi matin, était entourée d'un halo d'incertitudes. Après quelques jours de cogitation, le chef de l'Etat a décidé de se rendre mercredi à Saint-Etienne du Rouvray, en banlieue de Rouen, pour assister à la messe en hommage au père Hamel, égorgé il y a exactement un an par deux terroristes se réclamant de l'organisation Etat islamique.

    Cette décision chamboule le calendrier institutionnel. Ainsi, le Conseil des ministres est reporté à vendredi. Le Conseil de défense, qui se tient traditionnellement le mercredi matin, sera programmé à une autre date.

    Le chef de l'État sera accompagné du premier ministre Édouard Philippe et du ministre de l'Intérieur, chargé des Cultes, Gérard Collomb. À cette occasion, des médailles seront remises à des membres des forces de l'ordre.

  • Le père Hamel a-t-il été assassiné pour les Droits de l'Homme ?

     

    Témoignage d'un lecteur :

    1

    "De retour de St Etienne du Rouvray, un sentiment ambiguë m'habite, alors que va être célébré le 1er anniversaire de la mort du père Jacques Hamel, sauvagement assassiné.

    Celui d'un côté d'une admiration pour ce prêtre qui a vécu fidèlement son sacerdoce pendant toute sa vie : il nous renvoie à la fidélité de nos petits actes du quotidien, ceux qui ont fait couler tant de belles rivières pour notre Eglise universelle à travers le monde.

    Celui d'une colère sourde de l'autre de voir ce lieu transformé en une année en temple du laïcisme mais aussi du relativisme à l' égard de la communauté musulmane.

    Pour preuve, voici en PJ la stèle qui sera inaugurée mercredi prochain, lendemain de la St Jacques - martyre du 1er siècle, sur la place de l'église avec ces articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.

    D'autre part, une peinture (certes de qualité) trône quant à elle à l'intérieur de l'église avec le message suivant : Peint et offert par Moubine, croyant musulman à St Etienne du Rouvray le 28 juillet 2016. Nous ne demandons qu'à croire que tous les musulmans ne sont pas aussi violents, mais ce n'est pas le lieu pour en débattre.

    Le message évangélique se suffit à lui même, nul besoin d'en rajouter. Son annonce a conduit de très nombreux témoins au témoignage ultime de l'Amour, celui du martyre  : Aimer,simplement Aimer toujours plus."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Mur "anti-migrants" dans les Hautes-Pyrénées : "Les résidents ont peur de la dévaluation de leurs biens immobiliers"

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    Un collectif de riverains a construit un mur de 18 mètres de long et de 1,80 mètre de hauteur, dans la nuit du dimanche à lundi, pour condamner l'accès à un futur centre d'accueil pour 85 migrants.


    Mur construit par le "collectif Séméac" pour bloquer l'accès d'un futur centre d'accueil pour migrants.  (Collectif Séméac)
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    Louise HemmerléfranceinfoFrance Télévisions

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    Ils ont utilisé les grands moyens. A Séméac dans les Hautes-Pyrénées, un collectif de riverains a construit un mur de 18 mètres de long et de 1,80 m de hauteur, dans la nuit du dimanche 23 au lundi 24 juillet, pour condamner l'accès à un futur centre d'accueil pour migrants. Objectif de cette opération coup de poing, menée par les membres du "collectif Séméac" : signifier leur mécontentement face à l'ouverture d'un centre qui doit accueillir, courant août, 85 migrants dans un ancien hôtel Formule 1 dans un quartier résidentiel dans la banlieue de Tarbes. 

    Cet hôtel, appartenant au groupe AccorHotels, fait partie des 62 établissements premier prix de l'enseigne rachetés par la SNI (filiale de la Caisse des dépôts) pour devenir des structures d'hébergement et d'accueil, gérées par Adoma (ex-Sonacotra). Les membres du collectif dénoncent le choix de l'emplacement du centre, situé dans un quartier résidentiel, mais aussi le manque de concertation avec les collectivités locales pour la mise en place de la politique migratoire nationale. 

    Un collectif soutenu par la mairie

    Le collectif de riverains, tout comme la mairie, tiennent toutefois à préciser qu'ils ne sont pas opposés à l'accueil de migrants. "On est favorables à l'accueil de migrants sur notre commune, explique à franceinfo le premier adjoint au maire Philippe Baubay. Mais pas dans ces conditions." Il déplore que la mairie ait "été mise devant le fait accompli, sans aucune concertation". 

    Il souligne que "la localisation est hors de toute structure, à plus d'un kilomètre du centre du bourg, sans aucun bus". Le député LREM Jean-Bernard Sempastous regrette aussi qu'il n'y ait aucune animation autour du bâtiment, et souhaiterait rapprocher les migrants du centre. Mais un responsable du collectif admet aussi que "les résidents ont peur de la dévaluation de leurs biens immobiliers"

    Le "collectif Séméac", la mairie et le député s'accordent également quant aux conditions dans lesquelles la commune va pouvoir assurer l'accueil et l'insertion des familles de migrants, avec leurs enfants. Les deux écoles maternelles et deux écoles primaires "ne sont pas adaptées aujourd'hui pour les accueillir", estime Jean-Bernard Sempastous, qui doit se rendre au ministère de l'Intérieur demain pour trouver une solution. 

    Un mur construit "en toute légalité" 

    Le "collectif Séméac" assure avoir érigé le mur "en toute légalité, avec toutes les autorisations nécessaires". Pour ce faire, il a loué une parcelle de terrain par lequel passe le chemin d'accès à l'hôtel Formule 1, car la servitude de passage n'aurait pas été notifiée, explique un responsable du collectif. Il a ensuite déposé une demande d'autorisation de travaux auprès de la commune, qui l'a validée en seulement 24 heures. 

    Il appartiendrait maintenant au groupe SNI, nouveau propriétaire des lieux, de faire valoir son droit de passage sur le terrain de son voisin, en tant que parcelle enclavée. "Le temps que la justice soit saisie et intervienne, cela nous fait gagner du temps", raisonne le responsable du collectif Séméac. "On est mobilisés pour mettre fin à cette situation de blocage le plus vite possible et dans les meilleures conditions, précise de son côté la préfecture. Pour le moment, le trouble à l'ordre public n'est pas constitué puisque l'hôtel est vide."

    Jean-Bernard Sempastous, qui savait qu'une opération coup de poing allait avoir lieu, a tout de même été désarçonné en se rendant sur place lundi matin. "Ce qui m'a surpris, c'est surtout la symbolique du mur, ce n'est pas quelque chose de très positif", reconnaît-il. "C'est compliqué, dans le contexte de crise migratoire actuelle il faut bien accueillir ces gens. Ce qu'il nous faut, c'est trouver une solution pour les accueillir au mieux sur notre territoire". 

    La remise de clés du bâtiment à Adoma, l'association d’insertion par le logement, qui aura en charge l’accompagnement des migrants une fois installés, doit avoir lieu demain. 

  • JOURNAL TVL DU LUNDI 24 JUILLET 2017

  • Pourquoi ? Questions subversives . Par Guillaume Faye

     

    23 JUILLET 2017 PAR GUILLAUME FAYE

    Bien poser la question est souvent plus important que formuler la réponse, qui vient d’elle-même.  Poser les bonnes questions aide à mieux comprendre les choses. Surtout les questions causales qui se formulent par ”pourquoi ?”. Voici plusieurs questions sur des sujets sensibles que l’on ne pose jamais dans les médias car la réponse serait trop choquante et politiquement incorrecte (explosive), quoique et parce que parfaitement vraie.

    Islam, immigration, criminalité

    Tarik Ramadan, islamiste soft et vrai fanatique dissimulé,  a tenu des propos très ambigus sur la lapidation des femmes adultères ainsi que sur l’excision (clitoridectomie, la pire des mutilations sexuelles) des jeunes filles, pratiques barbares coutumières de l’islam. Il n’a jamais été critiqué par les associations gaucho–féministes ni poursuivi pour incitation à la haine sexiste. Pourquoi ?   

    La majorité des musulmans d’origine maghrébine et africaine ne sont pas des terroristes mais la totalité des terroristes sont des musulmans de cette origine. Pourquoi ?

    La majorité des personnes issues de l’immigration extra-européenne ne sont pas des délinquants mais l’immense majorité des délinquants sont issus de cette immigration. Pourquoi ?

    La totalité des djihadistes musulmans impliqués dans des attentats terroristes ou fichés S sont aussi des délinquants ou criminels de droit commun. Pourquoi ? 

    Les auteurs de viols et d’agressions sexuelles, en hausse constante en France, ne voient jamais leurs prénoms mentionnés dans les médias. Pourquoi ? 

    Politique de la ville

    Des milliards d’euros de subventions, d’aides en tous genres, de travaux ont été dépensés – et continuent de l’être – dans les ”cités” peuplées d’immigrés depuis 40 ans, largement privilégiées par rapport aux petites villes périphériques peuplées de Français de souche. Or les zones de non droit prolifèrent –déjà plus de 500–, le trafic de drogues explose, les émeutes, les agressions de policiers en patrouille, de postiers, de pompiers, les incendies, les pillages, les dégradations de biens et bâtiments publics sont devenus quotidiens et s’amplifient chaque année. La ”politique de la ville” est un échec complet mais continue, payée par vos impôts. Pourquoi ?   

    Économie

    Les pays (France en premier lieu) où les chômeurs sont le plus aidés sont ceux où le taux de chômage est le plus fort. Pourquoi ?

    Les pays qui ont le plus de millionnaires sont ceux où il y a le moins de pauvres. Et l’inverse est vrai. Pourquoi ?

    Les pays où la fiscalité est la plus forte sont ceux où le déficit des comptes publics et l’endettement sont les plus élevés. Pourquoi ?

    Le Code du Travail de la Suisse est dix fois plus léger que celui de la France, le chômage y est cinq fois moins important, le PIB par tête 30% supérieur, le nombre de pauvres et de SDF dix fois moins élevé qu’en France. Pourquoi ? 

    La fonction publique des collectivités locales (communes, départements, régions) ne cesse de croître, en nombre d’agents et en masse salariale, alors que la qualité des services publics dans les petites villes et zones rurales ne cesse de se dégrader. Pourquoi ?

    La France  a reculé de plus d’une dizaine de places est passée en 30 ans de la 5e à la 28E place des pays dans l’ordre du PIB par habitant (niveau de vie et pouvoir d’achat) Pourquoi ?

    Les grands groupes français du CAC 40 créent plus de 60% de leurs emplois hors de France. Pourquoi ?

    L’ISF (Impôt de solidarité sur la fortune) a fait baisser les recettes fiscales de l’État et coûte donc plus qu’il ne rapporte. Pourquoi ?

    L’expatriation de Français, surtout jeunes et diplômés à l’étranger, s’intensifie chaque année. 51% des 25–35 ans ont déclaré vouloir quitter la France s’ils le pouvaient. Pourquoi ?  

    Un grand nombre de ”migrants” économiques sont des Nigérians qui fuient leur pays, ce pays pétrolier potentiellement très riche mais rongé par la misère, les violences et le djihad anti chrétien. Le Nigéria était jadis une colonie britannique, gouvernée par des Européens, tout comme la Malaisie en Extrême–Orient. Avant l’indépendance, il y a soixante ans, le Nigéria était un pays prospère et pacifié au niveau de vie supérieur à la Malaisie. Aujourd’hui, alors que les deux pays sont indépendants et depuis longtemps dirigés par leurs nationaux – Nigérians et Malais – le niveau de vie de la Malaisie est bien supérieur à celui du Nigéria et aucun Malais ne songe à fuir son pays. Pourquoi ?

    La préférence étrangère et ethnique : un racisme d’État 

    Un Français de souche retraité modeste qui a travaillé et cotisé toute sa vie ou sa veuve qui perçoit une pension de réversion gagnent environ deux fois moins qu’un (faux) réfugié (on dit ”migrant”) subventionné, aidé, logé, originaire d’Afrique ou d’Asie, même débouté de sa demande d’asile.  Pourquoi ?

    L’immense majorité des SDF que vous voyez dans les rues en train de mendier sont d’origine européenne. Pourquoi ?

    Dans les entreprises ”citoyennes”, selon le vocabulaire du jargon officiel, obligées de pratiquer des quotas ethniques qui ne disent pas leur nom (”diversité” et discrimination positive) on embauche prioritairement en fonction de critères raciaux ( donc racisme pratiqué au nom de l’”antiracisme” !) pour dire les choses clairement. Ces  grandes entreprises ont souvent l’État comme actionnaire. La performance professionnelle de ces recrutements ethniques, racialistes n’a jamais été évaluée mais tout indique qu’elle est mauvaise. Elle est couverte par une chape de silence soigneusement protégée mais qui commence à se fissurer. Pourquoi ?

    Les ”logements sociaux” que les communes sont obligées de  prévoir et de construire sous peine d’amende et qui sont  quasi gratuits sont en réalité des ”logements ethniques” uniquement réservés aux personnes d’origine immigrée extra–européenne. Les Français de souche, même très pauvres, n’y ont pas accès. Fait objectif vérifiable dans toute la France. Pourquoi ?  

    Dans l’Est de la France, une centaine d’ouvriers et d’employés, tous Français de souche, ont été licenciés de leur entreprise industrielle en liquidation. Les tribunaux leur demandent de rembourser une grande partie de leur indemnité de licenciement économique, suite à une prétendue surévaluation, soit plus de 10.000 euros par employé. Il n’y a plus de recours possible car la Cour de Cassation a confirmé le jugement. Ces familles populaires sont rigoureusement incapables de rembourser, toutes vivant déjà difficilement avec à peine 800 euros par mois. Beaucoup ne mangent pas à leur faim pour réserver la nourriture à leurs enfants. Leur seule perspective est la saisie et la vente forcée de leurs biens et, pour certaines, d’être expulsées et jetés à la rue. Pendant ce temps, des milliers de ”migrants”, tous clandestins, et de déboutés du droit d’asile, en provenance d’Afrique et du Moyen–Orient, tous musulmans et jeunes, sont hébergés, nourris et soignés gratuitement  et perçoivent des aides financières égales ou supérieures  aux revenus de ces familles françaises. Pourquoi ?   

    Un homme de 21 ans, proche de l’”ultradroite” menaçait sur les réseaux sociaux de s’en prendre à des « migrants », à des «djihadistes » , à des « racailles » et à des « Blacks ». Interpellé le 27 juin dans les Bouches–du–Rhône, il a été mis en examen pour délit ”d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ”, (alors qu’il a agi seul et n’a jamais mis à exécution ses menaces infantiles) et placé en détention provisoire. À côté de cela, des centaines de ”Fichés S”, musulmans se revendiquant du djihadisme, multipliant les menaces sur Internet, pratiquement tous délinquants au lourd casier judiciaire, entretenant des relations avec des réseaux terroristes ou proches de Dae’ch avérés, sont soit en simple contrôle judiciaire, très laxiste, soit libres de tous leurs mouvements, y compris de voyager. Pourquoi ? Les internautes musulmans, pléthoriques, qui prônent le djihad et félicitent les terroristes ne sont que très rarement poursuivis ou mis en examen et, en tout cas, jamais incarcérés. Pourquoi ? 

    Le bourreau et l’assassin de Mme Sarah Halimi, juive pratiquante de 65 ans, suppliciée chez elle à Paris une heure durant puis défenestrée sans que la police, présente, n’intervienne en urgence (une heure d’attente, pourquoi ? N’est-ce pas de la non–assistance à personne en danger ? ), Kada Traoré, d’origine malienne, repris de justice, islamique radicalisé, connu pour ses injures et imprécations antisémites contre Mme Halimi, n’a pas été mis en examen sous l’accusation aggravante de racisme et d’antisémitisme. Pourquoi ? D’autre part, le motif retenu par la justice a été simplement ”homicide volontaire” et non pas ”tortures suivies d’homicide volontaire” (Le Figaro, 19/07/2017). Pourquoi ? L’assassin n’a pas été conduit en prison mais, comme ”déséquilibré”, à l’hôpital psychiatrique en attendant une expertise, avant même d’être entendu, alors qu’il n’a jamais été considéré comme dément lors de ses nombreux passages en prison. Pourquoi ? Oui, pourquoi toute cette mansuétude judiciaire ? Et pourquoi les grands médias nationaux –mis à part Le Figaro et bien sûr la presse de la communauté juive– écrits ou audiovisuels, ont–ils été silencieux sur ce meurtre d’une abominable barbarie ? Pourquoi les autorités musulmanes n’ont-elles pas condamné de manière tonitruante ce crime et cette barbarie d’un de leur coreligionnaire et sont–elles restées d’une discrétion étonnante ?

    Imaginons qu’une femme musulmane ait été semblablement torturée et assassinée par un ”islamophobe” en France, l’événement aurait fait le tour du monde. Pas là. Pourquoi ?

    Éducation

    Plus la ”diversité  (ethnique) augmente à l’école primaire et secondaire publique, plus le niveau baisse et plus les violences se multiplient. Pourquoi ?

    Le seuil de réussite des enfants sortis du système éducatif privé est de 30% supérieur à celui de l’Éducation nationale alors que ce rapport était l’inverse jusque dans les années 70. Pourquoi ?

     Jusque dans les années 70, 30% des candidats reçus aux concours des Grandes Écoles étaient issus de milieux modestes ou pauvres, contre moins de 5% aujourd’hui. Pourquoi ?

    Un élève issu d’une famille aux faibles revenus qui fréquente l’école publique gratuite sans discipline ni sélection, a 70% moins de chances d’accéder à une profession de cadre qu’il y a cinquante ans. Pourquoi ?   

    Le pourcentage de jeunes de moins de 20 ans qui ne savent ni lire, ni écrire, ni compter correctement ne cesse d’augmenter tous les ans, (près de 30%, comme au milieu du XIXe siècle) alors qu’il était nul dans les années soixante.  Pourquoi ?

    Front national

    Une grande partie de la direction du Front national a compris que le programme de sortie de l’euro et la ligne économique socialo–étatiste, inspirés par Philippot, étaient la cause majeure du dernier échec électoral retentissant avec une hémorragie phénoménale d’électeurs. Un sondage Ifop confirme que le FN ne perdrait pas de voix, bien au contraire, s’il abandonnait ces positions économiques et remusclait son discours sur l’identité et l’immigration. Pourtant, Florian Philippot,  qui se veut le vrai patron du FN,  refuse d’infléchir la ligne du parti sur l’abandon de l’euro et le programme économique socialo–étatiste, bien que cette position fasse perdre des millions de voix au Front national. M. Philippot défend donc avec détermination une position qui fait plonger le Front national et il doit parfaitement le savoir.  Pourquoi ?    

    Énergie

    Depuis que l’Allemagne a abandonné l’énergie nucléaire au profit des ”énergies renouvelables”, elle pollue plus et diffuse dans l’atmosphère davantage de gaz à effets de serre.  Pourquoi ?      

    Depuis que les lobbies écolos ont imposé à Paris une politique anti-automobiles avec interdictions de circulation multiples et fermetures des voies sur berges,  la pollution a augmenté. Pourquoi ?

    Les écolos ou Verts, d’abord antinucléaires obsessionnels (bien que le nucléaire soit une source d’énergie non polluante), n’ont jamais fait campagne contre les richissimes lobbies des pétroliers, charbonniers et gaziers. Pourquoi ?  

    Macron

    L’UOIF (Union des organisations islamiques de France) a appelé à voter Emmanuel Macron et son parti LREM. Pourquoi ?

    Emmanuel Macron, en visite en Algérie, pendant sa campagne électorale a accusé la France colonialiste de ”crimes contre l’humanité”. Pourquoi ?

    Emmanuel Macron parle de ”terrorisme”, sans jamais préciser la religion ni l’origine des auteurs, ce que même Hollande faisait. Pourquoi ?

    Aucune enquête médiatique sérieuse, aucune autorité judiciaire ne se sont penchées sur le financement totalement opaque de l’énorme campagne d’Emmanuel Macron et de son parti start–up LREM pour parvenir au pouvoir.  Pourquoi ?

    On a éliminé François Fillon (Macron à la manœuvre dans ce torpillage, voir article précédent de ce blog) de la présidentielle parce qu’il employait et rémunérait sa femme et ses enfants, de manière légale ; on va faire voter des lois hypocrites pour interdire aux politiques de faire travailler des proches. Mais, Brigitte Macron bénéficie à l’Élysée, à un niveau jamais vu auparavant, d’une équipe, de bureaux, d’un budget, de frais, plus qu’aucune ”Première Dame”.  Pourquoi ?  

    NdB: A lire jusqu'au bout!

  • LA BONNE MERE

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    (Photos EB - Soir du 23 juillet 2017)