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GAELLE MANN - Page 1540

  • BRAVO!

    La photo n° 31 était bien celle d'Alain-Fournier, auteur du Grand Meaulnes  (30 octobre 1886 - 22 septembre I914)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain-Fournier

    31 Qui est-ce.jpg

    Voici une autre photo de l'écrivain, prise elle aussi en 1913

    Félicitations à Abad et à Bogomir!

  • Il se filme en train de brûler le Coran, il est poursuivi pour incitation et provocation à la haine raciale

    Un homme, Ernesto Rojas Abbate, qui s'était filmé en train de brûler un exemplaire du Coran puis d'uriner dessus pour éteindre les flammes a été cité à comparaître devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour incitation et provocation à la haine raciale, selon le parquet. Il risque cinq ans de prison pour ces images diffusées en direct sur Internet puis sur des sites de partage de vidéo.  Cet homme de trente ans, sans emploi, "ne donne aucune explication particulière", a dit à Reuters le procureur adjoint, Gilles Delorme. 

    C'est Abdelaziz Choukri, délégué général de la Grande mosquée de Strasbourg, qui a prévenu les autorités lundi non sans avoir d'abord dialogué avec cet habitant de Bischheim, une ville de la banlieue de Strasbourg, dont les coordonnées apparaissaient sur les images.  "Il revendique son geste. Il dit qu'il n'est pas d'extrême droite mais qu'il est en France et qu'il peut brûler le Coran, comme il peut brûler le livre de Winnie l'ourson, sans être inquiété", a-t-il relaté. Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a annnoncé qu'il allait déposer plainte contre l'auteur de ce qu'il qualifie de "gestes ignobles et honteux" et de "provoocation lourde de conséquence". Le CFCM se dit dans un communiqué "profondément indigné par cet acte abject et inqualifiable qui constitue un véritable délit d'incitation à la haine, à l'intolérance et à la division, et un mépris total pour les valeurs de la République." 

    Sur cette vidéo que Reuters a visionnée, le trentenaire installé dans son salon se pare d'un masque de diable, le retire, déchire des pages du Coran, fait un avion avec l'une d'elles qu'il lance sur deux boîtes dressées comme les tours jumelles de New-York et finit par brûler le livre saint de l'Islam sur son balcon avant d'uriner dessus.
    Selon Abdelaziz Choukri, d'autres vidéos du même auteur seraient visibles sur la toile, qui s'en prennent aux gens du voyage et aux juifs. 

    La révélation de ces faits est intervenue le jour même où le maire de Strasbourg, le socialiste Roland Ries, appelait à la mobilisation après une douzaine d'actes antisémites et antimusulmans, ainsi que l'incendie d'une église protestante, qui ont touché l'agglomération depuis le début de l'année.

    Le Figaro - 05/10/10

    NDB La vidéo a été supprimée à la demande d'Abdelaziz  Choukri

  • Les élèves musulmans envahissent les écoles privées catholiques

    Musulmans école catholique 3ème.jpg

    Des élèves musulmans au collège privé catholique de Saint-Mauront à Marseille

    Le nombre d'élèves de confession musulmane est en hausse dans ces établissements privés, où ils se retrouvent même parfois en majorité. L'enseignement catholique distribue à ses enseignants un manuel de «bonne conduite».

    Dans un lycée catholique, un groupe d'élèves de Terminale refuse d'aller à la piscine pendant le Ramadan sous prétexte qu'ils risquent d'avaler de l'eau. Invoquant une raison d'ordre médical, leurs parents réclament une dispense d'activités sportives. Malaise du côté du corps enseignant : ces activités donnent lieu à une évaluation qui compte pour l'obtention du baccalauréat. Autre lieu, autre scène : une école primaire catholique accueille plus de 200 élèves. Parmi eux, environ 70% sont de confession musulmane. Or, le chef d'établissement décide d'installer une crèche dans le hall pendant l'Avent. Un parent musulman exige alors le retrait de celle-ci, «un musulman ne pouvant pas entendre que Jésus est Fils de Dieu.»

    Les écoles catholiques ne savent pas toujours quelle attitude adopter face à l'islam. Et ce d'autant qu'elles y sont de plus en plus confrontées avec un nombre d'élèves musulmans en hausse ces dernières années. Ils sont même devenus majoritaires dans certaines écoles, notamment à Villeurbanne (Rhône), Marseille ou Mantes-la-Jolie (Yvelines). Un phénomène récent sur lequel a décidé de se pencher le Secrétariat général de l'enseignement catholique (SGEC) en partenariat avec le Service pour les relations avec l'islam (SRI) de la Conférence des évêques. Pendant deux ans, des chefs d'établissements et des experts ont ainsi planché sur cette question. Résultat : un dossier intitulé «Musulmans en école catholique» et chargé d'apporter des conseils pratiques et des outils théoriques aux enseignants. La direction de l'enseignement catholique le diffuse depuis la rentrée auprès de ses équipes éducatives.

     

    «Rester ouvert sans se renier»

     

    Quelles raisons poussent aujourd'hui certains parents musulmans à se tourner vers les écoles catholiques ? La loi, déjà. Elle les y autorise depuis 1959, au motif qu'aucun établissement catholique sous contrat ne peut refuser un élève à cause de sa religion. «Ils pensent aussi que dans ce type d'établissement, au moins, on parlera de Dieu aux jeunes. D'autres y voit également une formation de bon niveau pour leurs enfants», explique Pierre Robitaille, l'animateur du groupe de travail sur les «Musulmans en école catholique» pour la SGEC. Parmi les cinquante premiers lycées du Palmarès Figaro 2010 figurent en effet 80% d'établissements privés, alors même que ceux-ci ne représentent que 20% de l'effectif général. Sans compter que le privé est un bon moyen de contourner la loi de 2004 sur les signes religieux à l'école puisque celle-ci ne s'applique qu'au public.

    Dans le dossier, seize fiches pratiques sont donc mises à disposition des enseignants pour leur permettre de mieux appréhender la religion musulmane et d'en comprendre les mécanismes : «Vocabulaire islamique élémentaire», «Fêtes et évènements en Islam», «Place traditionnelle de la femme en société musulmane» ou encore «Le voile islamique». En plus, le rapport aborde quatorze cas concrets déjà rencontrés dans des écoles et y apporte des «pistes de réflexion et d'action».

    Car le défi de l'enseignement catholique ici est bien de parvenir à rester ouvert à tous sans pour autant se renier. «La foi doit s'exprimer, mais on ne cherche pas pour autant à faire du prosélytisme, prévient Pierre Robitaille. Attention toutefois, si l'ouverture aux autres compte, les enseignants doivent aussi être prudents afin d'éviter que certaines situations ne deviennent ingérables». En témoigne ce geste d'une directrice qui a proposé à des lycéens musulmans une salle pour prier, afin qu'ils évitent de se faire mouiller par la pluie dans la cour de l'école. Ils l'ont transformée en salle de prière et y invitent parfois des personnes extérieures à l'établissement pour prier avec eux. Depuis, la directrice ne parvient plus à utiliser cette pièce pour d'autres activités.

    «L'idée est que les élèves d'autres confessions religieuses pratiquent plutôt leur religion à l'extérieur de l'école, avec des exceptions pour les internats. Dans ces derniers, on peut mettre des salles polyvalentes à la disposition des jeunes, mais elles ne doivent pas se transformer en salle dédiée à la prière, souligne l'animateur du groupe de travail sur «Les Musulmans à l'école». Nous avons une mission d'Eglise. Nous ne sommes pas un self des religions !»

    Le Figaro - 05/10/10

  • 31 - Qui est-ce?

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  • "Extrême-droite sarko-compatible: la preuve par Galinier"

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    Souvenons-nous. Le 5 août dernier, René Galinier, un paisible retraité de Nissan-lez-Ensérune, tire, en état de légitime défense, sur deux jeunes romanichelles qui cambriolaient sa demeure.

    Son arrestation et son incarcération soulèvent une vive et légitime émotion dans le village dont il est une personnalité appréciée et respectée. Immédiatement, ses amis constituent un comité de soutien qui est, de manière significative, domicilié à la mairie de Nissan.

    Le site Nations presse info – considéré habituellement comme un média proche du FN – ne tarde pas à donner au tragique fait divers une audience nationale. Marine Le Pen est la première personnalité politique à prendre position dans cette affaire et à s’étonner du sort réservé au malheureux retraité. La conséquence de cela est que les adhésion au comité de soutien affluent de toute la France et que René Galinier devient pour beaucoup l’incarnation tant de l’échec de la politique sécuritaire de Nicolas Sarkozy que du parti pris de certains magistrats que Marine Le Pen dénoncera comme « guidés par des motivations politiques » et rendant « une justice partisane qui se montre impitoyable envers certains citoyens et indulgente avec les criminels. »

    Il y a donc péril pour l’UMP tant locale que nationale et une nécessité d’agir pour mettre un terme à la colère populaire qui gronde, à défaut de pouvoir étouffer l’affaire.

    C’est ce qui a été fait et il est piquant de constater que les dirigeants de l’Union des maquereaux et des pourris, en bon libéraux qu’ils sont, ont externalisé l’affaire en la confiant à un groupuscule d’extrême droite qui s’est reconverti, depuis quelques temps, en société de service spécialisée dans ces bases besognes.

    Ainsi, les responsables du comité de soutien à René Galinier ont bientôt vu se présenter à eux, Richard Roudier, un individu qui, lors des dernières régionales, était à la tête d’une petite liste d’extrême droite - la Ligue du Midi - dont le but avoué était de faire chuter celle dirigée par France Jamet sous la barre fatidique des 10 %. L’homme fut éconduit. C’était malheureusement peine perdue, sorti par la porte l’individu rentra par la fenêtre ! Ainsi, de sa propre initiative, quelque jours plus tard il créait un « Comité Galinier » concurrent et, avec une demi-douzaine de membres du Bloc identitaire - une organisation qui n’hésite plus à vanter dans ses communiqués et sa presse les mérites de députés qui, comme Christian Vanneste ou Lionnel Luca, ont en charge au sein de la mission d’endiguer le renouveau électoral du Front National - organisait une manifestation devant la prison où René Galinier est incarcéré. La manipulation était engagée… Allait suivre plusieurs papiers dans Minute, un hebdomadaire connu pour ses liens étroits avec l’aile droite de l’UMP, et un buzz incessant sur le net relayé par une pseudo-agence de presse Novopress, liée à cette mouvance, le tout avec un but unique, faire oublier le comité officiel de soutien à René Galinier et imposer l’idée que le seul groupe de soutien au retraité était le « Comité Galinier » créé par ces harkis de la droite umpiste.

    C’est donc en toute logique que ce fameux comité organisait une visite de Richard Roudier au retraité prisonnier avec un député UMP, « issu de l’immigration », Élie Aboud, par ailleurs président de l'antenne de Béziers du club « Génération France » fondé par Jean-François Copé.

    L’affaire était bouclée et Nicolas pouvait dormir tranquille, l’affaire Galinier était sous contrôle des siens.
    Christian Bouchet - Editorial
     
     
    VOXNR - 05/10/10 
  • "La petite mosquée dans la prairie" débarque sur le service public

    VIDEO http://www.youtube.com/watch?v=P3f9fPfRAsE

    « La petite mosquée dans la prairie » fait son retour sur les petits écrans français dès ce lundi 4 octobre. Du lundi à vendredi à partir de 17h, les téléspectateurs pourront suivre les saisons 1 et 2 de la série canadienne sur France Ô.

    Déjà diffusée sur Canal + et en Belgique, les aventures de la petite communauté musulmane, installée à Mercy, ville rurale des prairies canadiennes.

    NPI - 05/10/10

  • René Galinier reste en prison

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    Prison de Béziers

     Par crainte de troubles à l'ordre public et pour sa sécurité personnelle, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Montpellier a refusé, ce après-midi, la demande de remise en liberté de René Galinier, emprisonné à Béziers. Le 5 août dernier, ce retraité de 74 ans avait tiré sur deux cambrioleuses entrées par effraction dans son domicile à Nissan-lez-Enserune.

    Pour la cour d'appel, « le maintien en détention est l'unique moyen de mettre fin au trouble exceptionnel et persistant de l'ordre public, provoqué par la gravité de l'infraction, les circonstances de sa commission et l'importance du préjudice ».

     Autre argument invoqué par les magistrats montpelliérains à l'appui de leur décision : « Une mise en liberté pourrait aussi susciter l'incompréhension dans l'ethnie d'origine des victimes et faire craindre des représailles à l'égard du mis en examen. »

    Cette décision a fait l'effet d'une bombe au sein du comité de soutien local qui attendait avec impatience la sortie de prison du retraité. « Nous sommes  abasourdis pour ne pas dire atterrés, confie Jean Pons, le président. Ils le maintiennent en prison malgré un état de santé fragile et bien que l'avocat général ait requis sa libération. René Galinier est devenu un otage de l'Etat. Jusqu'à présent, on nous avez demandé de rester calme. Mais là, les limites ont été atteintes et dépassées. L'heure de l'action a sonné.  »  Une manifestation pourrait être organisée samedi à Béziers.

    Un fait divers qui a mobilisé tout un village

    Le cas de René Galinier a suscité une vive émotion dans la région. Alors qu'il faisait la sieste dans son pavillon, le retraité entend du bruit. Selon son avocat, dans une interview accordée à Midi Libre, « il a vu une main passer et s'est levé sans bruit ». Le propriétaire aurait alors tenté d'appeler les secours mais aurait d'abord téléphoné aux pompiers. « Il leur a dit : appelez vite les gendarmes, on va commettre une infraction chez moi ». Pendant ce temps, l'effraction est commise, un volet est crocheté et des personnes entrent chez lui. « Il prend alors le fusil qui est dans la penderie, va chercher des vieilles cartouches dans un tiroir et rappelle la gendarmerie. » Ne voyant venir personne, il aurait selon son défenseur « paniqué et tiré », blessant les deux cambrioleuses âgées d'à peine plus de 15 ans et originaires des pays de l'Est.

    Un comité de soutien, particulièrement actif, s'était monté à l'occasion. Il n'a cessé de faire parler de lui depuis.

    Le Midi Libre - 05/10/10

  • Les Facs s'attaquent aux fautes d'orthographe - Que de perles!

    C’est un constat unanime : trop d’étudiants sont fâchés avec l’orthographe et, plus globalement, avec le français. Une vingtaine d’universités proposent désormais des cours de rattrapage.

    Retour aux fondamentaux! Accents oubliés, phrases sans verbe, participes passés massacrés… Les lacunes des étudiants sont telles que 19 universités (sur 84) lancent en cette rentrée des programmes de remise à niveau. A Amiens, Brest, Dijon, Le Havre, Nanterre, -XI (Orsay) ou Grenoble, ces dispositifs permettent aux 1re année de reprendre les bases de français pendant une trentaine d’heures, par petits groupes.

      
    n’hésite pas à parler de « bataille de l’orthographe ». « La communication écrite et orale est une des conditions nécessaires pour réussir son cursus et trouver un bon travail. Or le niveau des étudiants est très hétérogène. On constate pour certains de vraies difficultés à l’écrit et un manque d’autonomie à l’oral », analyse la ministre de l’Enseignement supérieur, qui appelle toutes les universités à se lancer dans des « programmes de consolidation ».

    Eviter d’amères désillusions sur le marché du travail

    Ce rattrapage commence généralement par un diagnostic. Beaucoup de facs organisent des tests, comme l’UBS (Bretagne-Sud) à partir d’aujourd’hui. « C’est une petite dictée de dix minutes, que passeront les 700 néo-étudiants inscrits en lettres et en sciences humaines. Les 150 qui ont fait le plus de fautes bénéficieront de notre dispositif de remise à niveau. » D’autres s’appuient sur les résultats du bac. A Paris-VI (Pierre-et-Marie-Curie), ceux qui ont eu moins de 7/20 à l’écrit et de 10 à l’oral de français (200 étudiants cette année) sont envoyés dans les ateliers d’expression écrite et orale. « Ça ne sert à rien de se lamenter, il faut agir. Depuis quinze ans, c’est une vraie dérive », plaide Patrick Porcheron, vice-président de la meilleure fac scientifique de France. « Si encore ce n’était qu’un problème d’orthographe ! Mais cela va bien au-delà : les mots sont employés de travers et les phrases construites sans queue ni tête. Un bêtisier permanent ! »
    Comme lui, de nombreux universitaires prennent le taureau par les cornes pour éviter à leurs étudiants d’amères désillusions sur le marché du travail. « A ce niveau d’études, les lacunes que nous constatons ne sont plus acceptables, s’étonne Bruno Sire, patron de Toulouse-Capitole, qui dispense des cours de culture générale aux 1re année de droit. Notre but, c’est d’en faire des juristes capables de rédiger des contrats. Que diront les entreprises de nos étudiants s’ils sont illisibles? »

    Les perles!

    Être xénophobe, c’est quoi ? L’an dernier, un quart des étudiants de -XIII n’ont pas su répondre au quiz proposé par la fac. Et un homicide ? « Pour beaucoup, c’est un meurtre à domicile », soupire Michel Mathieu-, qui y enseignait les lettres jusqu’à l’an dernier. Sporadique ? Un « drogué du sport », ont jugé les adeptes de l’anglicisme.

    Quant à la gérontologie, certains l’ont définie comme l’étude des... fossiles. « On peut en rire, mais au fond, c’est très grave pour leur avenir car au-delà de l’orthographe, on parle de compréhension de mots évidents », poursuit le prof retraité. Les principales lacunes des jeunes adultes ont trait à la grammaire et à la conjugaison. « Cette génération ne connaît pas le participe passé. Pour les livres que j’ai lus, c’est rare d’avoir le s », constate Bernard Fripiat, coach en orthographe . Les accords, mal maîtrisés, leur font mélanger futur et conditionnel, écrire « rosent » au lieu de roses au pluriel, mettre un s à mille... « Comme ils ont du mal à conjuguer envoyer, ils biaisent et écrivent plutôt je vous fais parvenir », poursuit-il.

    Le Parisien - 04/10/10

    

     

     

     

     

     

  • Le Vatican critique le choix du Nobel de médecine

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    Robert Edwards, 85 ans

    Le président de l'Académie pontificale pour la vie, qui s'occupe pour le Vatican des questions éthiques et de défense de la vie, a vivement critiqué le choix de Robert Edwards, "père" de la fécondation in vitro, pour le Prix Nobel de médecine 2010.

    "Sans Edwards, il n'y aurait pas un marché où sont vendus des millions d'ovocytes" et "il n'y aurait pas dans le monde un grand nombre de congélateurs remplis d'embryons", a déclaré à l'agence Ansa Mgr Ignacio Carrasco de Paula.

    "Dans le meilleur des cas, ceux-ci attendent d'être transférés dans des utérus mais plus probablement ils finiront par être abandonnés ou par mourir", a ajouté Mgr Carrasco de Paula, en estimant que "c'est un problème dont est responsable le nouveau Prix Nobel",  Le président de l'Académie pontificale a aussi déclaré à l'agence italienne que "sans Edwards la procréation assistée ne serait pas dans l'état de confusion dans lequel elle se trouve, avec des situations incompréhensibles d'enfants nés de grand-mères et de mères porteuses".

    Une déclaration écrite plus nuancée de Mgr Carrasco a ensuite été diffusée dans laquelle il reprend certains passages de ses déclarations à l'Ansa mais pas tous, en particulier celui où il rend Edwards responsable de la mort de millions d'embryons. Mgr Carrasco a en outre souligné s'être exprimé à titre personnel, pas au nom du Vatican, et en réponse aux sollicitations des médias.

    Le Figaro - 04/10/10

     

     

  • VIDEOS Visite du Maréchal Pétain aux confréries musulmanes - Edouard Drumont

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    Entrevue de Montoire-sur-le-Loir le 24 octobre 1940 - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    http://www.ina.fr/video/AFE85000991/visite-du-marechal-petain-aux-confreries-musulmanes.fr.html

     

    http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/AFE86001467/hommage-a-drumont-a-l-institut-des-questions-juives.fr.html

     Vidéos publiées par Le Figaro le 04/10/10

    Le Figaro - 04/10/10

  • Tramway suisse!

    Tramway-suisse.PNG

    (Cliquez sur la photo)

  • BRAVISSIMO

    à tous ceux qui ont donné les bonnes réponses!

    27 - Lewis Carroll  (1832-1898) http://fr.wikipedia.org/wiki/Lewis_Carroll

    28 - Nicolas Copernic (1473-1543) http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Copernic

    29 - Henri de La Tour d'Auvergne, viconte de Turenne (1611-1675 -mort au combat), Maréchal général des camps et armées du roi. 

     http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_La_Tour_d'Auvergne,_vicomte_de_Turenne

    30 - Michel-Ange (autoportrait) - 1475-1564 -

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel-Ange

    Toutes mes félicitations et tous mes remerciements à ceux qui ont participé à Qui est-ce?

    Les visages oubliés doivent sortir de l'ombre.

    J'espère que ce jeu vous a divertis.

    Je l'arrête momentanément pour ne pas vous lasser!

     

     

     

     

  • Bettencourt: découverte d'un aide-mémoire pour lui apprendre à mentir

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/liliane-bettencourt-une-femme-sous-influence-1501153

    Nouvelles découvertes dans l'affaire Bettencourt : la juge Isabelle Prévost-Desprez, qui instruit un supplément d'information sur l'accusation d'"abus de faiblesse" contre le photographe François-Marie Banier, détient un document de trois pages, daté du début de l'année 2008, qui se présente comme un aide-mémoire destiné à Liliane Bettencourt afin de préparer son audition par la police et la justice. Saisie au domicile de la milliardaire lors d'une perquisition, cette note comporte les réponses que la milliardaire devait fournir, dans la perspective de questions délicates sur ses relations avec François-Marie Banier et sur les donations consenties en sa faveur, dont le total avoisine un milliard d'euros.

    Le document, qui semble constituer la synthèse de réunions tenues dans l'hôtel particulier de Neuilly, les 6 février, 8 février et 15 avril 2008, accrédite le sentiment que l'octogénaire se trouvait alors sous l'influence de plusieurs membres de son entourage - ce que les fameux enregistrements de son maître d'hôtel ont corroboré depuis lors. À ces dates, la plainte de sa fille, Françoise Bettencourt Meyers, venait d'être déposée, mais Liliane Bettencourt n'avait été ni sollicitée ni convoquée par la justice. L'identité de l'auteur de la note n'est pas précisée, mais il est certain que ce n'est pas Mme Bettencourt, puisque celle-ci y a ajouté en marge certaines annotations manuscrites, reconnaissables par l'écriture et par l'utilisation, habituelle chez elle, d'un feutre vert.

    Justificatif de générosité

    Le document atteste que les conseils de la milliardaire l'incitaient alors à mettre en avant "une question de jalousie" pour expliquer l'initiative de sa fille. "Mme Bettencourt regrette que sa fille ne comprenne pas que son amitié pour M. Banier n'enlève rien à son affection pour elle, indique encore le texte préparé à l'intention de la vieille dame. Ils ne sont pas en concurrence. En outre, elle a donné à sa fille pratiquement tout son capital de L'Oréal, pour un montant qui n'a aucune commune mesure avec les donations faites à M. Banier, qui n'ont jamais été faites qu'en prélevant sur ses revenus." Autre mention conçue pour justifier la générosité hors norme de la milliardaire envers le photographe : "M. Banier est à la fois un ami, dont la présence lui est précieuse, une ouverture sur le monde artistique et un artiste vis-à-vis de qui elle joue un rôle de mécène. Elle a souhaité qu'il soit à même de réaliser son oeuvre sans souci matériel."

    Le ou les auteurs de ce travail préparatoire ont, en outre, suggéré plusieurs interrogations à anticiper. Ainsi, à la question : "Pourquoi des sommes aussi importantes ?", il est suggéré à Liliane Bettencourt de répondre : "Elles sont proportionnées à ma fortune ; elles n'ont été prélevées que sur mes revenus." Cette double affirmation n'est pas tout à fait exacte, mais elle correspond à ce que déclarera la milliardaire le 13 mai suivant, au cours de ce qui reste à ce jour son unique audition dans cette affaire. Face à la mention Questions autour de l'état de santé, il est écrit : "J'ai eu des problèmes physiques qui n'ont jamais altéré mes facultés intellectuelles."

    "Je n'ai pas de compte à l'étranger"

    D'autres demandes sont anticipées, et les réponses attendues dictées à Mme Bettencourt. "Avez-vous des comptes à l'étranger ?" Réponse : "Non" - on sait aujourd'hui qu'elle en détenait deux en Suisse. "A-t-elle donné directement ou indirectement l'île d'Arros ?" Réponse : "Non, je n'en suis que locataire..." Il est acquis que la milliardaire avait acheté cette île aux Seychelles via une société-écran immatriculée au Liechtenstein et l'enquête a montré qu'elle la destinait à Banier...

    Autre question révélatrice de l'état d'esprit de l'entourage de l'octogénaire : "Est-ce qu'on ne vous présenterait pas des actes [de donation] tout préparés, des lettres que vous ne faisiez que recopier ?" L'intéressée est priée de répondre en ces termes : "J'ai toujours vérifié soigneusement leur portée et je n'ai signé que quand j'étais d'accord sur leurs termes." Les enregistrements clandestins du maître d'hôtel - révélés par Le Point - ont pourtant montré que Mme Bettencourt avait oublié avoir signé un testament désignant François-Marie Banier comme légataire universel, ou encore qu'elle ne se souvenait aucunement d'avoir voulu offrir son île aux Seychelles à son ami si cher. Récemment, elle a révoqué ce testament et chargé ses avocats de récupérer l'île d'Arros afin de pouvoir en déclarer au fisc la propriété.

    La note retrouvée par la police comporte enfin un passage troublant. L'auteur - qui pourrait être Patrice de Maistre, l'homme de confiance de Liliane Bettencourt - y indique ceci : "Me Goguel [avocat de la milliardaire] prépare une note que je pourrai remettre au directeur adjoint du cabinet du ministre de la Justice, de façon à ce qu'il puisse nous dire où en sont les choses, quel est l'état d'esprit du juge et quelle est la position du parquet." Aucun détail ne permet de savoir si une telle note a effectivement été remise au cabinet de Rachida Dati, alors garde des Sceaux, mais cette mention renforce l'impression d'une procédure particulièrement suivie en haut lieu depuis l'origine, ce que plusieurs extraits des fameux enregistrements ont également corroboré, évoquant notamment les contacts entre l'Élysée et Patrice de Maistre.

    Me Metzner (avocat de la fille de Mme Bettencourt) affirme parallèlement que l'interview récemment accordée par Mme Bettencourt à Paris-Match est "de la fabrication, de la construction". "Il y a des mensonges, on a orchestré cela, organisé cela, on sait le prix qu'a payé Paris-Match pour obtenir cette interview".

    "Pas un mot n'a été orchestré, une telle déclaration revient à remettre en cause l'honnêteté du journaliste", a répondu Me Kiejman.

    Le Point - 04/10/10

  • 30 - Qui est-ce?

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  • 29 - Qui est-ce?

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  • 28 - Qui est-ce?

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  • Le projet de loi sur le statut des Juifs en 1940

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    On aimerait savoir qui a remis ce document à Serge Klarsfeld 70 ans après les faits? Et qui sont les experts qui l'ont authentifié?

    Est-ce une pièce originale ou une copie?

     Comment peut-on affirmer qu'une rature au crayon est de la main même du Maréchal Pétain?

    Beaucoup de questions se posent face à ce document présenté comme authentique par la presse.

  • Attentat de la rue Copernic le 3 octobre 1980: le lapsus de Raymond Barre

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    Plaque apposée au 24 de la rue Copernic, Paris 16e, siège et synagogue de l'Union libérale israélite de France.

     

    Le Premier ministre, Raymond Barre, choque le 3 octobre en déclarant sur TF1 : « Cet attentat odieux voulait frapper les israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic... », lapsus que ses propos du 8 octobre à l'Assemblée nationale, assurant ses « compatriotes juifs » de la « sympathie de l'ensemble de la nation », n'effaceront pas des mémoires. Peu avant sa mort en août 2007, Raymond Barre a imputé cette campagne de protestations au « lobby juif»

    (Wikipédia)

  • Des banques françaises victimes d'une vaste escroquerie portant sur 100 millions d'euros

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    Mécanisme de l'escroquerie - (Cliquez sur l'image pour agrandir le texte)

    Plusieurs grandes banques dupées via leurs sociétés de crédit-bail, des dizaines de mis en examen dont le frère de Malik Oussekine, ce jeune étudiant tué par des policiers en 1986 en marge d’une à , une enquête fleuve de trois ans et près de 100 millions d'euros  de préjudice... C’est, en résumé, les principaux éléments de la vaste escroquerie en bande organisée mise au jour par les gendarmes de la section de recherches (SR) de Paris.

      Les militaires, soutenus par les enquêteurs du groupe d’intervention régional (GIR) de Seine-Saint-Denis, ont patiemment démêlé les fils de cette arnaque à dimension internationale, mise sur pied par des escrocs, spécialisés dans l’achat de matériel de chantier.

     Le dossier bouclé, fort de soixante volumes, est désormais entre les mains du juge d’instruction, Jean-Christophe Hullin, en poste au pôle financier de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Paris. « C’est une des plus importantes affaires d’escroquerie révélée au cours de ces dernières années, indique un proche de l’affaire.

    Le préjudice est colossal et a été supporté par des filiales de crédits de grandes banques françaises. Les commanditaires ont profité d’une faille dans le système de l’achat en crédit-bail. Ils ont été mis hors d’état de nuire mais d’autres escrocs ont déjà copié cette pratique et sont en train de la reproduire un peu partout en France. »

    Les aigrefins ont notamment mis à profit un mécanisme juridique légal, la transmission universelle de patrrimoine (TUP). Une procédure qui leur a permis de faire disparaître des sociétés-complices, implantées en France, en transférant leur patrimoine vers des entreprises basées à l’étranger. «Quelques rares biens immobiliers achetés avec une partie de l’argent détourné ont été saisis, ajoute la même source. Mais la quasi-totalité des fonds ne sera jamais récupérée...»

    Le Parisien - 03/10/10