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GAELLE MANN - Page 263

  • Agde (34) : agressée dans la rue à 90 ans, elle est entre la vie et la mort

     

    22h25

    Victime d’un vol à l’arraché de son sac à main, une dame de 90 ans a été grièvement blessée. Les faits se sont déroulés jeudi, alors qu’elle marchait dans la rue à Agde, face à la Promenade, à l’angle des rues Barthélémy-Rigal et du Mont-Saint-Loup.

    Violemment projetée à terre, elle a été hospitalisée en urgence à l’hôpital de Béziers. Elle est dans un état critique mais stationnaire.

    Les policiers du commissariat d’Agde ont lancé un appel à témoin. Ils disposent de la description de l’auteur de ce vol d’une grande lâcheté, un jeune homme aux cheveux bruns et courts, vêtu de bleu.

     

    Toute personne susceptible d’aider à confondre le coupable peut se manifester au 04.67.01.02.00.

    20 minutes

    Merci à marie salers

  • Entre manifestations de masse et milices paramilitaires, la Bulgarie est-elle la « forteresse de l’Europe » contre les clandestins?

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     par 23 octobre 2016

     

     

    Aux cris de “La Bulgarie aux Bulgares !”, “Clandestins dehors !” , « Étrangers dehors! »,  “La Turquie tombera!” Les Bulgares manifestent à Sofia leur volonté d’expulser les migrants. Affichant fièrement sur leur banderole (image de la vidéo ci-dessous: « дедите ни… » ) : « nos ancêtres ont accompli leur devoir… », les manifestants rappellent la reconquête du pays à partir des monastères juchés sur les montagnes, face à l’empire turc qui l’avait annexé durant cinq siècles de 1396 à 1878. Le 12 octobre c’était la ville d’Harmanli qui manifestait. Pour seulement  10 000 habitants Harmanli compte 3500 immigrés majoritairement afghans et Pakistanais. On comprend que dans le pays, Angela Merkel ne soit pas très populaire.

     La Bulgarie qui compte 7 à 8 millions d'habitant a dû accueillir 15 000 réfugiés en 2016.

    En Bulgarie, les réfugiés ne sont pas bienvenus. Près de 15 000 d’entre eux sont arrivés dans le pays cette année. Or, un Bulgare sur deux les considère comme une menace et 5 % déclarent les « détester », explique le Courrier des Balkans.

    Si en Bulgarie, les clandestins ne sont pas les bienvenus, les Bulgares semblent déterminés à faire respecter leur volonté. Selon le quotidien suisse, Le Temps, l’Union Vassil Levski-BNO Shipka, est une organisation paramilitaire et souverainiste qui traque les clandestins en Bulgarie:

    «Nous sommes les seuls et véritables gardiens de la frontière de l’Europe face à la menace islamiste», nous avait annoncé Vladimir Roussev à Varna, principale ville au nord de la mer Noire, où se trouve son QG. Plus connu sous le nom de guerre de «Walter», ce petit homme râblé à la moustache fournie, dirige d’une main de fer l’organisation regroupant essentiellement d’anciens officiers des forces de sécurité du pays et qui affiche, selon lui, pas moins de 800 membres. Lui-même est ex-colonel de l’armée de terre.

    D’après le reportage du Temps, c’est à la frontière avec la Turquie que l’organisation est sur le pied de guerre.

    « le village de Iasna Poliana, situé à quelque 30 km de la frontière, est connu pour servir de halte, ou de point de rassemblement, des migrants – ou du moins ceux qui ont réussi à échapper aux checkpoints mis en place par la police. »

    Le reporter, dont on devine une certaine malveillance et un parti-pris pro-immigrants, propre à la ligne éditoriale du Temps, prétend que le commandant du groupe est d’origine russe et a fait la guerre de Tchétchénie. Celui-ci, dont le nom de guerre est « Chamane » explique, évoquant les clandestins:

    «Il s’agit à 90% des combattants étrangers, avec une hiérarchie et des réflexes de guerriers», (…) en soulignant qu’ils ne croisent ici, dans cette région présentée comme une bifurcation de la fameuse «route balkanique», que des groupes de jeunes Afghans. Tous des hommes, avec dans leur sillage des Pakistanais, des Irakiens et, parfois, des Iraniens. Ils affirment en appréhender plusieurs par semaine, qu’ils remettent aux gardes-frontières. «On évalue d’abord la taille, puis la dangerosité du groupe avant de surgir du bois. Le plus souvent l’effet de surprise est tel que les intrus se laissent faire».

    «Nous ne sommes pas des chasseurs de migrants, mais des citoyens responsables!», met en garde depuis Varna, Vladimir Roussev. »

    Le groupe paramilitaire serait accusé d’être les «petits hommes verts» de Vladimir Poutine, par l’opposition immigrationniste. « En juin dernier, le Comité Helsinki pour la défense des droits de l’homme a demandé au Parquet d’interdire les activités de l’organisation paramilitaire, jugées anticonstitutionnelles et dangereuses. » précise l’auteur de l’article.

    Mais le gouvernement bulgare ne semble pas du tout hostile au procédé: «Nous ne voulons pas d’une nouvelle forteresse, mais d’un endroit sûr, dans lequel nous pouvons vivre et circuler librement, » explique son premier ministre, Boïko Borissov au commissaire aux Migrations, Dimitris Avramopoulos, venu inaugurer en Bulgarie le nouveau corps de gardes-frontière européens le 6 octobre dernier. « Aujourd’hui un Bulgare porteur d’une carte d’identité européenne a plus de chances d’être contrôlé en Allemagne qu’un migrant. Vous trouvez ça normal?» a-t-il demandé au commissaire européen. Le chef du gouvernement n’est pas choqué par le rôle de « forteresse Europe » que revendiquent pour leur pays de nombreux bulgares, même s’il ne le reprend pas à son compte, préférant l’expression de «rempart à la frontière extérieure de l’Union ». Mais un terme choquant pour M. Avramopoulos, envoyé de Bruxelles, et qui aurait une connotation nazie.

    Une «clôture de sécurité» longe désormais la frontière de la Bulgarie avec la Turquie. Elle est haute de 3 mètres et composée de plusieurs couches de barbelés, au grand dam des partisans de l’ouverture des frontières. En plus de cette clôture, la frontière est surveillée par des gardes-frontière. La milice de Vladimir Roussev, décriée plus haut par Stephan Ozsvath, le reporter du Temps, ne semble pas être la seule  «milices de volontaires» en activité. Il en existerait beaucoup selon Alexandre Lévy, également reporter au Temps, certaines folkloriques mais d’autres très structurées. Des milices qui réclament le même statut que celles de leurs collègues hongrois, et donc reconnues et financées par l’Etat.

    D’abord refoulés sans autre manière, les migrants aujourd’hui atterrissent dans des centres d’accueil lorsqu’ils sont appréhendés, politique de l’Union européenne oblige. Et les centres d’accueil débordent en Bulgarie tandis que d’autres sont en construction malgré la résistance des habitants qui ne cessent de manifester leur opposition. Bien que Boïko Borissov ait repris les rênes du pouvoir en novembre 2014 grâce à une coalition centriste, en 2009 il avait formé un gouvernement populiste et nationaliste. Le premier ministre pris en étau entre sa population d’une part et la pression des immigrationnistes de l’autre, navigue à vue, soucieux de ménager Bruxelles.

    emiliedefresne@medias-presse.info

  • "Nous vous détruirons": les terrifiantes menaces du chef d'état-major des USA à la Russie et à la Chine


    "Nous vous détruirons" : Les terrifiantes... par les-crises

    • Date d'enregistrement : 04/10/2016
    • Date de publication : 19/10/2016
    • Avec sous-titres en français
  • " Métissons-nous: le blanc est sale!"

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Metissons-nous-le-blanc-est-sale-l-argumentaire-pro-migrants-42150.html

    + Très bonne vidéo

  • Calais: les "No Border" prêts à se mobiliser contre démantèlement de la "Jungle"

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    Par Paul Louis
    Mis à jour le 23/10/2016 à 11h12 | Publié le 22/10/2016 à 15h48

    Alors que l'évacuation du camp de Calais est annoncée pour lundi, les activistes entendent mener des actions pour dénoncer, voire empêcher, les opérations.

    Si la préfecture du Pas-de-Calais estime leur nombre entre «150 et 200», il demeure impossible de donner un comptage précis des militants «No Border» présents actuellement dans le camp de «la Lande» de Calais (dit aussi la «jungle»). Et c'est bien là l'une des principales inconnues des forces de l'ordre qui s'attendent à une opposition musclée avec ces activistes anti-frontières lors du démantèlement lundi.

    En matière de communication, le collectif «Calais Migrant Solidarity» (CMS), présent dans la «jungle» depuis 2009, joue la carte de la discrétion et reste éloigné de la presse. Et si le flou persiste sur la forme des actions envisagées de ses militants, le CMS, intégré au réseau international «No Border», a toutefois appelé à «une journée transnationale d'actions et de manifestations le 24 octobre 2016 pour exprimer par toutes formes de solidarités créatives (son) soutien aux expulsé-e-s de Calais et à toutes les personnes sans papiers». La Coalition Internationale des Sans-Papiers et Migrants (CISPM), la Coordination de Sans Papiers 75, l'association le Réveil Voyageur, de l'Action Antifasciste Calais et des syndicats Solidaires et FSU participeront également à cette journée d'action.

    «Pas de destruction de lieux qui soit “humanitaire”»

    Sur leur blog, les activistes de CMS disent réaliser «un ensemble d'activités variées qui a pour but de construire la résistance face aux agressions policières, d'éveiller les consciences sur la situation calaisienne, de montrer (leur) solidarité avec les migrants, et tout simplement d'essayer de rendre la vie des gens un peu plus facile». Lundi, l'opération de démantèlement qui se veut «résolument humanitaire» selon les autorités s'organisera autour d'une répartition des migrants entre adultes, mineurs étrangers isolés, familles et personnes isolées. Une méthode inadmissible pour les «No Border» pour qui «il n'y a pas de destruction de lieux de vie qui soit “humanitaire”». Ils dénoncent par ailleurs «une pression policière qui augmente de jour en jour sur la zone».

    Sur place, les activistes du CMS joueraient un rôle majeur en donnant des indications aux migrants pour organiser la rébellion. Certaines associations recevraient déjà des messages d'insultes: «Nous avons quelques injures et autres, ça me fait penser aux gens qui allaient aux matchs de foot pour se battre avec la police», explique à Europe 1 Christian Salomé, président de l'association L'Auberge des migrants.

    Au vu des derniers face-à-face entre forces de l'ordre et «No Border», les responsables politiques s'attendent, au mieux, à un échange tendu entre les deux parties lors du démantèlement, au pire, à des affrontements violents. D'autant que le groupe de militants pourrait être gonflé par l'arrivée d'activistes venus d'autres pays d'Europe mais également d'une poignée de zadistes de Notre-Dame-des-Landes qui ont appelé à la solidarité. 1200 policiers, en plus des 2100 agents déjà présents sur place, seront mobilisés pour l'occasion. «Les violences, forcément il y en aura. Pas les premiers jours parce que les journalistes seront là. Je pense qu'ils (les forces de l'ordre, ndlr) vont (leur) faire un joli SAS, un joli petit parcours «regardez à gauche, regardez droite», tout se passe bien. Et quand la tension médiatique retombera, la répression va se mettre en place», lâche Arnaud, «No Border français», au micro d'Europe 1.

    De son côté, la préfète du Pas-de-Calais Fabienne Buccio, a indiqué, selon La Voix du Nord , que «toute personne qui ne sera pas munie de badge n'aura rien à faire sur le camp de «la Lande». Elle se dit prête à délivrer des OQTF (obligations de quitter le territoire français, ndlr)» aux militants qui ne seraient pas Français.

    Le Figaro

     

  • Budapest, le 23 octobre 1956

    A Budapest en 1956, il y a 60 ans, le printemps est né en octobre. Des jeunes gens. Des centaines de jeunes gens, presque des enfants, qui montent à l’assaut des bâtiments communistes. Les forces de répression qui les mitraillent. Dans le parc Staline, la statue du dictateur rouge, haute de sept mètres et érigée sur l’emplacement d’une église rasée, a été jetée à bas.

    Le 19 octobre, les étudiants avaient donné le signal du soulèvement. Le 20, dans un meeting tenu au théâtre de Györ, Lajos Simon demandent que les troupes soviétiques, qui occupent la Hongrie depuis dix ans, évacuent le pays.

    Le 23, ils sont des milliers devant la statue de Petöfi, le poète nationaliste hongrois. Une jeune fille s’avance, un drapeau hongrois à la main. Un drapeau au centre duquel il y a l’emblème soviétique. Elle lacère l’emblème honni et dresse le drapeau « libéré » au-dessus de la foule. Un cri immense : « Liberté ! Liberté ! »

    Dans un même mouvement, chantant « Debout Hongrois, votre pays vous appelle ! », la foule se rassemble devant la statue du général Bem, héros de la guerre d’indépendance. Des drapeaux rouges foulés au pied, brûlés. D’une caserne proche, des soldats hongrois applaudissent. « Arrachez l’étoile rouge de vos calots ! » crient les manifestants. Les soldats obéissent aussitôt.

    Un groupe de jeunes nationalistes arrivent devant la Maison de la Radio, dont les portes sont solidement cadenassées. Les gardes les interpellent :

    — Que voulez-vous ?

    — Parler au micro !

    — Pour quoi dire ?

    — Que nous voulons une Hongrie libre !

    — Mais… vous êtes devenus fous !

    Caché dans son bureau, le directeur de la radio, Valéria Benke, n’en mène pas large. Il appelle le Comité central : « Ils deviennent menaçants. Que dois-je faire ? » Réponse : « Occupez-les, on vous envoie des renforts. » Pour gagner du temps, Benke annonce : « Nous sortons vous interviewer. » Un camion de prise de son sort du bâtiment. Un journaliste régimiste tend son micro aux étudiants. Il n’est pas déçu : « Vive la Hongrie libre ! » « A bas le communisme ! A bas les Russes ! »

    Un des manifestants demande alors à des Hongrois qui assistent à la scène depuis leur appartement : « Vous nous entendez à la radio ? ». « Pas du tout ! » « Comment ? Mais nous parlons en direct ! » « C’est impossible ! La radio retransmet en ce moment un discours d’Erno Gerö… »

    Gerö est le secrétaire général du parti communiste hongrois. Il est haï par tout le pays. Pendant que les étudiants parlent devant un micro mort, les forces de répression prennent position autour de la Maison de la Radio. Un jeune homme saute dans le camion de prise de son, frappe le chauffeur, le jette dehors, embraye, accélère et fonce sur le portail du bâtiment. Des rafales, puis des grenades explosives partent de l’intérieur, couchant sur le sol des dizaines de manifestants désarmés. Nous sommes le 23 octobre. Il est 20 h 10. La révolution nationaliste hongroise vient de commencer. Dans le sang. L’Occident, vautré, assistera au massacre…

    Alain Sanders – Présent

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  • Orbán : un appel pour aider les chrétiens en priorité, couler les navires illégaux et lutter contre le nihilisme

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    Le 20 septembre 2016

     

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    Hongrie, Budapest – Viktor Orbán a fait des déclarations fortes pour le début de la nouvelle année parlementaire. Il a dénoncé le nihilisme comme l’ennemi, a exprimé vouloir contrôler la mer Méditerranée en coulant les bateaux illégaux et veut aider les chrétiens avant les musulmans.

    Viktor Orbán est un habitué des déclarations choc. Et ce qu’il a dit après les vacances d’été n’a pas tardé à faire grand bruit. Pour le premier ministre hongrois, tout d’abord, ce que ses «ennemis représentent aujourd’hui n’a rien à voir avec les pensées et les idées des grands penseurs libéraux du passé. Cela est du nihilisme pur, et ce point de vue nihiliste est parvenu furtivement à se répandre sur le monde et dans les institutions de l’Union européenne ».

    « Aujourd’hui, la naïveté est la norme à Bruxelles »

    Parlant des migrants, et affirmant que la faute ne leur appartient pas, il a tôt fait de désigner Bruxelles pour responsable. « Nous autres Européens n’avons même pas encore décidé ce que nous voulions faire ». « S’ils invitent ces malheureux, ils vont venir. Nous avons la possibilité maintenant d’utiliser le référendum pour faire dérailler les efforts de l’UE, et nous espérons que notre exemple fera écho à travers l’Europe et que commencera une vague, de sorte qu’après le printemps prochain une direction différente soit installée à la tête des institutions de l’Union. Il ne faut pas oublier que l’élite nihiliste pense l’Europe centrale comme une région ayant besoin de changement, d’une dilution de la population, » a souligné Viktor Orbán.

    Le chef de l’exécutif hongrois a résumé ensuite les questions fondamentales à poser selon lui. « Nous devons répondre à ceci : voulons-nous des nations, ou voulons-nous une Europe unie ? Voulons-nous la famille et les enfants, ou ne pourrions-nous pas même décider de qui est un homme et qui est une femme ? Alors que le soixantième anniversaire du traité de Rome arrive au printemps prochain, nous devons répondre à ceci : avons-nous vraiment des valeurs communes à tous ? » a déclaré Viktor Orbán.

    « Nous avons besoin de zones sous contrôle en dehors de l’Union européenne ! Nous devons décider qui peut entrer et qui ne le peut pas ! »

    Sur les migrants encore, le premier ministre hongrois a dit les choses clairement. Les nihilistes dont il avait parlé précédemment veulent la destruction de l’Europe telle qu’elle a été jusqu’à présent. « Pour eux c’est une occasion unique de pouvoir détruire l’Europe qui est fondée sur la Chrétienté et l’identité nationale afin de complètement modifier les fondations ethniques de l’Union européenne. Ils savent que les musulmans ne voteront jamais pour des partis avec des racines chrétiennes, et donc qu’avec une masse importante de musulmans, ils pourront écarter à jamais du pouvoir les partis conservateurs traditionnels. Mais la guerre est également une très grande opportunité pour les nations ayant des racines chrétiennes. Notre grande opportunité est de résoudre les discussions sur les migrants en dehors du politiquement correct. Notre stratégie porteuse d’espoir est avec le V4, et peut-être bientôt avec l’Autriche, de contraindre les élites à retirer ces décisions de leurs mains et les placer dans les mains des gens grâce aux référendums« .

    Enfin, Viktor Orbán a déclaré que les dirigeants européens doivent aider les chrétiens d’abord avant tout autre. « Si nous voulons aider, nous devrions aider à la racine du problème, et d’abord, nous devons aider les chrétiens. Si l’Europe sait ce qui est bon pour elle et veut une armée commune, alors elle doit dominer la mer Méditerranée et ses côtes, tout comme les anciens chefs militaires romains l’ont fait. Ils ont coulé tous les navires vides et non autorisés. Bien sûr, il faut sauver les migrants avant cela et les ramener en Afrique dans un camp de migrants conçu pour environ deux à trois millions de personnes, quelque part en Libye ».

    VALEURS ACTUELLES

  • Manuel Valls menaçant : « ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux »

     

  • Les Européens ont un système immunitaire différent des Africains, un héritage de Néandertal

     

    23h36

    Le système immunitaire des Africains et Européens n’est pas identique, révèle une équipe de recherche française. En cause, la rencontre de ces derniers avec l’homme de Néandertal, il y a 50 à 60.000 ans.

     

    Européens et Africains répondent différemment aux infections. C’est la conclusion de quatre ans de travaux menés par des chercheurs de l’Institut Pasteur et du CNRS, publiés dans la revue Cell. Une différence liée notamment à l’héritage que les Européens tiennent de l’Homme de Néandertal.

    « Ce résultat permet de mieux comprendre la sensibilité de certaines populations à des maladies comme le lupus, dont l’incidence est plus importante en Afrique qu’en Europe »

    Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont décodé l’ensemble des gènes de la réponse immunitaire de 200 individus Européens et Africains. Plus précisément, ils ont séquencé la totalité de l’ARN (acide ribonucléique, macromolécule support de l’information génétique comme l’ADN) de ces individus pour caractériser la manière dont des cellules actrices de la réponse immunitaire innée, les monocytes, répondaient à l’attaque de bactéries ou virus (tel le virus de la grippe). Premier constat : Européens et Africains diffèrent dans l’amplitude de leur réponse immunitaire, notamment pour certains gènes impliqués dans les réponses inflammatoire et antivirale. Ces différences sont en grande partie dues à des mutations génétiques, différemment distribuées entre Africains et Européens, qui modulent l’expression des gènes de l’immunité. « Ce résultat permet de mieux comprendre la sensibilité de certaines populations à des maladies comme le lupus, dont l’incidence est plus importante en Afrique qu’en Europe », explique l’Institut Pasteur dans un communiqué.

    (…) Sciences Et Avenir

  • Avignon (84) : en colère Yacine lance un galet de 2,5 kg et défigure un enfant

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    20h04

    Jugé devant le tribunal correctionnel d’Avignon, Yacine a assuré n’avoir pas visé et pas eu l’intention de faire de mal à la jeune victime.

     

    Après un parcours sans tache, la vie de Yacine, un Sorguais âgé de 28 ans, a basculé, après la perte de son emploi dans une entreprise de dératisation. Au fil des semaines, son état psychologique s’est dégradé et la non-reconnaissance en maladie professionnelle de ses problèmes pulmonaires, a été la goutte d’eau de trop.

    Le 26 janvier 2015, en fin d’après-midi, après une visite chez le médecin de la Sécurité sociale, il a laissé éclater sa colère, en rentrant au domicile familial de Sorgues. Il a brisé une cafetière et s’en est pris à son père qu’il aurait frappé. [...] Dans le jardin, Yacine s’est emparé d’un galet décoratif de 2,5 kg, a franchi le portail, et l’a lancé sur la route.

    Au même moment, une dame qui venait de récupérer ses deux petits-enfants à l’école, est passée devant la maison au volant de son véhicule Citroën DS4. La pierre a brisé la vitre arrière et percuté en plein visage son petit-fils. L’enfant, âgé de 8 ans, va être défiguré et devra ensuite subir une intervention chirurgicale pour retirer les morceaux de verre et réparer le fracas facial. [...]

    Pour la partie civile, il n’y a pas de place au hasard : « Le projectile a été lancé volontairement sur le véhicule. Un geste délibéré qui aurait pu tuer l’enfant » [...]

    La Provence

    Merci à marie salers

  • La Courneuve: ils évacuent un bus et l'incendient

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    Plusieurs individus ont incendié un bus de la RATP ce samedi, vers 21 h 30, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), sans faire de blessés. Selon les premiers éléments connus, recueillis par leparisien.fr, trois personnes munies d'un bidon d'essence seraient montées dans ce bus de la ligne 302 (La Gare du Nord-La Courneuve/Les Six Routes), rue Saint-Just, tout près de la cité des 4 000, à La Courneuve. Le trio a ensuite menacé la conductrice qui a réussi à descendre avec les deux seuls passagers présents à ce moment. Les trois hommes auraient ensuite mis le feu au bus. Une voiture a également été brûlée. Selon les témoins, les malfaiteurs étaient cagoulés. Des renforts de police ont été envoyés sur place.

    Le Parisien

  • Présidentielles US : élections manipulées et si Trump avait raison ?

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    Jean Bonnevey, journaliste ♦

    Cette démocratie mondialiste est elle donc inattaquable ?

    Donald Trump affirme que l’élection est truquée et qu’il pourrait- ce qu’il ne fera pas – ne pas reconnaître sa défaite. Horreur et abomination, crime contre la démocratie.

    Mais a-t-il vraiment tort de mépriser cette démocratie ? Cette démocratie, c’est l’autre nom du système qu’il prétend combattre. Or que veut le système ? Il veut imposer aux américains, une femme à la présidence après un président noir ou presque. Le féminisme politique gauchisant a trouvé le macho idéal : Trump. Comme une caricature bien utile pour disqualifier politiquement l’homme blanc mâle et qui entend le rester.

    Trump, c’est la promotion canapé, le raciste, l’homophobe, tout ce que le système dénonce au nom des valeurs démocratiques. Mais ces valeurs sont celles d’une presse partisane et d’une femme artificielle fausse et au bilan politique catastrophique. Trump met en cause, l’objectivité de la compétition électorale américaine. Il a parfaitement raison. Tout est faussé même si rien n’est truqué. Et ce qu’il dit pour les Usa est vrai pour ailleurs.

    Il parait que Poutine se serait ingérée dans la campagne Us. Possible certes. Ce qui est certain en revanche, c’est que les Usa s’ingèrent dans toutes les élections en Ukraine et ailleurs et ne reconnaissent pas les résultats qui ne plaisent pas à sa conception de la démocratie mondialiste.

    Tout ce que dit Trump est donc retourné contre lui et Hillary Clinton, plus fade tu meurs, bénéficie d’une protection médiatique quasi complète.
    Pourtant, elle a été une actrice politique majeure, grâce au comportement sexuel  « inapproprié » de son mari qui s’est excusé en pleurant. La femme humiliée par les actes et non par les paroles, elle sait ce que c’est. Elle devrait la jouer plus modeste comme féministe irréprochable.

    Elle porte la responsabilité de la guerre aux côtés d son sympathique mari contre la Serbie, au profit des islamistes albananophones, puis aux cotés d’ autres foudres de guerres de la catastrophe arabo-musulmane qui a permis la destruction d’états.

    Mais ce qui menace le monde ce sont bien sûr les grivoiseries de vestiaire de Donald Trump. Il a l’air de penser que certaines femmes sont attirées par le pouvoir ou l’argent. Heureusement Hillary est là pour prouver le contraire.

    Difficile de savoir si Trump au pouvoir serait dangereux. Une chose est sûre Hillary, elle, sera une catastrophe.

  • Au Nevada les prostituées votent pour Hillary

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    Par Julie Connan
    Mis à jour le 22/10/2016 à 19h00 | Publié le 22/10/2016 à 18h52

    #EUROPEGOESUS - Dans le seul Etat américain à autoriser la prostitution, l'avenir politique du pays est âprement débattu par les prostituées, qui ont décidé d'y prendre part, à leur manière.

    De notre envoyée spéciale dans le Nevada

    Pour qui n'a pas l'habitude, entrer dans un «brothel» - littéralement un bordel - est en soi une expérience. Dans le Nevada, seul Etat américain où la prostitution est légale et réglementée (mais pas dans tous ses comtés), ces établissements ont pignon sur rue. A Carson City, la petite capitale méconnue de l'Etat, située en plein pays cow-boy, la plupart de ces «maisons de joie», desservies par une petite piste d'hélicoptère, sont la propriété du septuagénaire Dennis Hof, également connu pour son émission de téléréalité, Cathouse.

    » Près de la zone 51, on croit plus aux ovnis qu'à la présidentielle

    » «Le Nevada, un endroit difficile à sonder»

    Du Moolite Bunny Ranch au SageBrush, ces établissements, qui ressemblent à des motels ornés de panneaux à l'humour douteux, sont à peine dissimulés par quelques entrepôts. Le tout en bordure d'une route très fréquentée, dont le va-et-vient automobile est quotidiennement interrompu par la traversée de bétail et de chevaux laissés en liberté, à l'état plus ou moins sauvage. 

    Sable Renae et Ondine Desire. CRÉDITS LE FIGARO/JULIE CONNAN
    Sable Renae et Ondine Desire. CRÉDITS LE FIGARO/JULIE CONNAN

    Et s'il est interdit de faire la publicité de ce commerce charnel, les filles de joie ont trouvé un moyen de faire parler d'elles dans un tout autre registre, à travers le mouvement «Hookers for Hillary» (les prostituées pour Hillary), à la faveur des primaires, puis de la campagne présidentielle. «J'ai été élevée dans un foyer républicain en Oklahoma, mais je vais voter Hillary, annonce Sable Renae, 45 ans, dans sa petite chambre aux murs ornés de cravaches de toutes sortes et d'un chapeau de cow-boy. Trump veut continuer à faire des reaganomics (la politique économique prônée par Ronald Reagan), on sait très bien que cela ne marche pas. J'ai vraiment pris ma décision de voter pour elle après le premier débat. Elle est intelligente et sait écouter», précise cette ancienne employée en recouvrement chez HSBC. «J'ai fait des études d'histoire alors quand les filles me le demandent, je leur explique le système politique américain», ajoute cette jeune grand-mère de quatre petits-enfants, intarissable sur le fonctionnement des institutions. 

    Ces partisanes de Clinton affirment aussi qu'elle défendra mieux le régime de santé, et leurs droits en tant que travailleuses du sexe. Dans le Nevada, elles sont soumises à un examen médical par semaine, à des tests HIV réguliers et le port du préservatif est obligatoire. 

    «Les filles, vous avez de la visite». La voix du barman retentit dans la petite chambre de «Sable» à travers un interphone, situé au-dessus du «Panic button». Cet appel exhorte chaque prostituée à venir se présenter au prochain client, qui fera ensuite son choix, après avoir fait le tour de l'établissement. Les "gentlemen" parlent en général très peu de politique entre ces murs, contrairement aux hôtesses.

    Le patron, candidat au Sénat, comme libertarien

    «Les filles critiquent beaucoup Trump et son côté mâle blanc dominant, raconte Ondine Desire, 30 ans. J'étais plutôt pour Bernie Sanders, mais avec Clinton, je pense que je serai en sécurité en tant que femme, explique cette travailleuse sociale venue de Chicago pour «tenter l'expérience» de la prostitution. Trump voit les femmes comme des objets, mais moi, je décide quand j'ai envie d'être traitée comme un objet». 

    Dans l'obscurité du SageBrush et du Bunny Ranch, toutes les voix ne vont pas dans le même sens. Le propriétaire des lieux se présente au Sénat du Nevada sous l'étiquette libertarienne, après avoir soutenu la candidature de Ron Paul à la présidentielle en 2008 et en 2012. Dennis Hof a même déclaré qu'il voterait pour Donald Trump, tout en encourageant ses «filles» à continuer leur campagne pour sa rivale démocrate. «Mais toutes celles qui font campagne n'iront pas voter», déplore Sable. Comme Ondine, elle se rendra au bureau de vote le 8 novembre, et si sa petite chambre n'a pas de télévision - seule la suite est équipée d'un écran géant à côté d'une barre de pole dance - Sable a d'ores été déjà prévu de suivre l'élection sur son ordinateur portable.

     

  • Eric Zemmour: "May et Poutine écoutent leur peuple et défendent leur pays"

    Par Eric Zemmour
    Mis à jour le 21/10/2016 à 17h03 | Publié le 21/10/2016 à 09h01

    CHRONIQUE - Theresa May et Vladimir Poutine sont les deux mauvais élèves d'une petite classe européenne qui ne jure que par le droit et le marché.

    Ils hantent tous deux les nuits d'Angela Merkel et de François Hollande. Ils n'ont pourtant pas grand-chose en commun. Ils s'affrontent même durement autour de l'Ukraine ou de la Syrie. Vladimir Poutine ne connaît pas encore Theresa May ; et celle-ci considère qu'elle en connaît déjà assez sur celui-là.

    Mais si tous deux sont devenus les têtes de Turcs favoris des grands médias internationaux et des principaux dirigeants de l'Union européenne, ce n'est pas un hasard. Avec Poutine, c'est désormais une vieille histoire. Géorgie, Ukraine, Syrie, on sait ce que reprochent les Occidentaux au Président russe. On connaît aussi les arguments de Poutine.

    C'est au fond à chaque fois la même chose: il défend les intérêts de son pays à ne pas voir les forces de l'Otan aux portes de la Russie d'une part, à conserver des alliés fidèles et à lutter, à l'intérieur comme à l'extérieur, contre l'offensive djihadiste venue du monde musulman.

    Avec Theresa May, c'est plus récent. Le nouveau premier ministre britannique a décidé de se soumettre à la volonté de son peuple, manifestée lors du référendum sur le Brexit. C'est peut-être ce que ne lui pardonnent pas les élites médiatiques, politiques et financières européennes.

    «Theresa May, ce sera le dirigisme de l'État dans l'économie, le protectionnisme, la préférence nationale, l'arrêt de l'immigration, la réduction des inégalités»

    Mais, désormais, elle va plus loin. Elle fait du Margaret Thatcher à l'envers. C'est-à-dire avec la même détermination, mais pour conduire une politique exactement opposée. Thatcher, c'était le libéralisme, le libre-échange, la baisse des impôts, l'ouverture des frontières, les inégalités sociales, l'individu roi.

    Theresa May, ce sera le dirigisme de l'État dans l'économie, le protectionnisme, la préférence nationale, l'arrêt de l'immigration, la réduction des inégalités, la dénonciation «des élites cosmopolites et des citoyens du monde, qui ne sont de nulle part». Ce sera aussi la préférence donnée à l'industrie sur la finance.

    «Theresa May et Vladimir Poutine n'ont rien de commun, sauf d'assumer pleinement la souveraineté de leur nation. Et cela change tout»

    Et, last but not least, le rejet de la tutelle des grands juges européens, Cour de justice de l'Union européenne et Cour européenne des droits de l'homme.

    Theresa May et Vladimir Poutine n'ont rien de commun, sauf d'assumer pleinement la souveraineté de leur nation. Et cela change tout.

    Aux deux extrémités du continent européen, ils sont les deux mauvais élèves d'une petite classe européenne qui ne jure que par le droit et le marché. Une petite classe européenne convaincue que l'origine des deux guerres mondiales du XXe siècle provient du déchaînement des nationalismes ; et que la disparition des nations assurera la paix.

    C'est cette illusion postnationale que ne partagent pas les Anglais et les Russes. Peut-être parce qu'ils furent les seuls à ne pas avoir été vaincus par l'Allemagne nazie ; les seuls à ne pas avoir été «libérés» de l'occupation allemande par les armées américaines.

  • Cazeneuve a préféré protéger une bouffe privée de Hollande que les Niçois : 86 morts !

    http://ripostelaique.com/cazeneuve-a-prefere-proteger-une-bouffe-privee-de-hollande-que-les-nicois-86-morts.html

    VIDEOS

    La réponse à la question sur le pourquoi de la suppression impérative, précipitée et totale des vidéos sur le massacre de Nice sur le lien ci-dessus.
    Autre hypothèse, y avait-il des personnes sur ces vidéos qu'il ne fallait pas voir ? 

    (merci à Dirk)

  • Maltraitance animale : vidéo et plainte contre le rituel juif Kapparot

    http://www.l214.com/maltraitance-animale-video-et-plainte-contre-le-rituel-juif-kapparot

    NdB: Oiseaux et poulets sont égorgés à vif selon le rituel d'un autre monde...