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L’Alfred E. Smith Memorial Foundation Dinner est un diner annuel de charité new-yorkais au profit de la Catholic Charities, une œuvre catholique américaine de bienfaisance. Lors des années d’élection présidentielle, c’est généralement le dernier événement avant l’élection où les deux candidats, démocrate et républicain, se retrouvent réunis publiquement et il est d’usage qu’ils fassent un discours humoristique.
Le discours de Donald Trump – impressionnant de maîtrise, d’ironie et de subversion – le 20 octobre 2016 - restera incontestablement une performance de haut niveau.
(merci à Dirk)
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NdB: Nous partageons devant ces images la grande tristesse de nos frères italiens
Par Emmanuel Galiero
Mis à jour le 30/10/2016 à 18h05
INTERVIEW- Avant que le Conseil d'État ne rende, le 3 novembre, sa décision sur les crèches dans les édifices publics, le fondateur du Mouvement pour la France (MPF) a écrit une lettre à l'Institution. Il a expliqué le sens de sa démarche au Figaro.
LE FIGARO. - Dans quel but avez-vous écrit à la présidence du Conseil d'État?
Philippe de VILLIERS. - J'attends du Conseil d'État une décision qui fasse le choix, non pas d'une laïcité du vide, qui serait un appel d'air à l'islamisme mais d'une laïcité vivante, qui s'accorde à nos traditions.
Un certain malaise s'est exprimé au sein du Conseil sur la question des crèches. Comment l'analysez-vous?
Le malaise vient du fait que les conseillers d'État, pour beaucoup d'entre eux, ne comprennent pas qu'il n'y a qu'une seule issue raisonnable pour que la laïcité ne soit pas une aspiration du vide: se référer, en passant par-dessus le cultuel et le culturel, à la notion de prééminence que légitiment l'antériorité historique mais aussi la supériorité morale de la civilisation occidentale fondée sur la condamnation de la violence, la liberté personnelle et l'égale dignité des êtres humains. Nombre de conseillers d'État sont, comme nos élites, submergés, pénétrés, imprégnés de laïcisme et de multiculturalisme.
Cet été, le Conseil d'État s'est prononcé contre les arrêtés municipaux anti-burkini. Ne vous attendez-vous pas à une réponse semblable concernant les crèches?
Hélas, oui. C'est pourquoi j'ai écrit cette lettre, dans une démarche insolite mais qui me paraît nécessaire. Les conseillers d'État ont dit «oui» au burkini. S'ils disent «non» aux crèches, le Conseil d'État changera de nature dans le cœur des Français. Il ne sera plus le Conseil d'État de la France qui nous protège mais le Conseil d'État islamique.
Pour quelle raison la séparation entre le cultuel et le culturel vous semble-t-elle «dépassée», voire contraire à la laïcité?
Parce qu'une crèche est à la fois de l'ordre du culturel et du cultuel. Les personnages de la crèche (Jésus, Marie, Joseph) appartiennent à une histoire religieuse relevant du cultuel alors que la crèche appartient à une tradition ancienne, qui relève du culturel.
En quoi notre laïcité, que vous qualifiez de «rempart contre l'islam», est-elle menacée?
Si la laïcité consiste, d'une part, à ne plus faire de distinction entre le normatif et le religieux, pour l'islam qui est un système global politico-religieux et que, dans le même temps, sous prétexte de neutralité, elle interdit les symboles de notre civilisation, comme les crèches, demain les cloches ou les fêtes religieuses, alors il s'agit d'une laïcité renversée, servant de cheval de Troie à la conquête.
L'une des deux crèches placées au centre de ce débat fut celle que vous aviez installée au sein du conseil départemental de Vendée, lorsque vous présidiez cette collectivité. Le referiez-vous aujourd'hui, dans le contexte français actuel de tensions avec certains musulmans?
Oui, bien sûr, je recommencerais. Il s'agissait pour moi d'un «acte de ressourcement patrimonial et identitaire», comme je l'avais dit à l'époque, afin de faire vivre les racines chrétiennes de la Vendée et de la France. Nous sommes devant une entreprise de colonisation. Il ne faut rien céder à l'islam, pas un pouce de terrain de notre civilisation. Oui aux crèches, non aux djellabas. Oui aux cloches, non aux muezzins.
Ne vous accusera-t-on pas d'exacerber les tensions?
Ceux qui exacerbent les tensions et qui préparent la guerre civile sont les tenants du paradis diversitaire du multiculturalisme. Ils installent, face à face, une société et une contre-société, une mémoire et une contre-mémoire, une civilisation et une contre-civilisation. Jamais, nulle part, le multiculturalisme n'a apporté la paix.
À l'approche de Noël, que dites-vous aux maires qui seraient tentés d'installer des crèches comme vous l'aviez fait en Vendée?
Au-delà des maires, j'invite tous les détenteurs d'autorité à affirmer, sans relâche, nos traditions, nos lois et notre mode de vie. L'islam est incompatible avec notre civilisation. Le djihad, la charia, l'oumma, cela veut dire une seule humanité soumise à Allah, une seule loi, la loi islamique, une seule nation, l'islam. La décision du Conseil d'État sur les crèches est à haute portée symbolique.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 31/10/2016.
Par Philippe Gélie
Mis à jour le 30/10/2016 à 17h20
VIDÉO - La police fédérale s'immisce spectaculairement dans la campagne en relançant l'affaire des emails d'Hillary Clinton. Donald Trump y voit une chance inespérée quand la candidate démocrate reproche au FBI d'alimenter des rumeurs sans fondement.
De notre correspondant à Washington,
La réouverture d'une enquête du FBI sur l'un des deux candidats à la Maison-Blanche, à onze jours à peine du scrutin, sort de la catégorie classique des «surprises d'octobre». C'est une «bombe politique» jetée sur le brasier de la campagne la plus violente depuis des décennies.
En l'absence d'éléments tangibles, fort improbables d'ici au scrutin, le public aura du mal à établir la nature exacte du lien entre Anthony Weiner, ancien élu démocrate de New York poursuivi pour une sordide affaire de textos à une adolescente, son épouse - séparée - Huma Abedin, bras droit d'Hillary Clinton, et la question complexe de savoir si cette dernière a utilisé une messagerie privée pour recevoir ou envoyer sciemment - donc illégalement - des documents confidentiels du temps où elle était secrétaire d'État.
Samedi, Trump a tenté d'exploiter de rebondissement quand Clinton a attaqué le chef du FBI. «C'est sans précédent et c'est profondément inquiétant, car les électeurs méritent les faits dans leur ensemble. Nous avons donc appelé le directeur Comey à expliquer tout et tout de suite, à tout mettre sur la table», a-t-elle dit.
Quoi qu'il en soit, les Américains encore indécis - s'il en reste - ont devant eux un choix cornélien: un républicain provocateur et controversé ou une démocrate dans le viseur de la police.
Le directeur du FBI, James Comey, a fait un choix audacieux, sinon hasardeux, en s'immisçant dans un face-à-face déjà tendu si près de la présidentielle. Peut-être n'avait-il d'autre option, comme il le soutient, que de rendre publique une information que les électeurs sont en droit de connaître. Mais le langage utilisé dans sa lettre au Congrès laisse planer le doute. Il y souligne être incapable «d'apprécier l'importance» des nouveaux éléments, ni même savoir s'ils sont «pertinents» au regard de l'enquête sur Hillary Clinton conclue en juillet.
Cette formule aurait parfaitement pu justifier la décision inverse, fréquente dans la pratique des «Feds»: enquêter discrètement et communiquer les résultats de ses découvertes. En l'espèce, Comey sait parfaitement qu'il entérine le discours extrême du candidat républicain sur la «corruption» de son adversaire, sans verser aucune nouvelle pièce au dossier. Pour ce directeur très politique, ce peut être une façon habile d'assurer sa survie: Trump, qui le disait «corrompu» comme les autres, fait maintenant l'éloge de sa vertu; Clinton, même si elle est élue, ne pourra se débarrasser de lui sans être accusée de népotisme.
Trump n'est plus qu'à deux points de Clinton dans le dernier sondage du Washington Post (45% contre 47%), réalisé avant l'annonce de vendredi. Déjà en train de rattraper son retard par rapport à la semaine précédente, il a accueilli la décision du FBI comme une aubaine. Elle valide ses accusations tendant à faire passer sa rivale pour un parrain de la mafia. Et elle détourne l'attention de ses propres problèmes - des polémiques avec des accusatrices de harcèlement sexuel au refus de dévoiler sa situation fiscale en passant la dénonciation non démontrée de fraudes électorales massives.
Toute la question est de savoir si cela peut suffire à inverser la tendance ou s'il est un peu tard. Plus de 10 millions d'Américains ont déjà voté de manière anticipée et le nombre d'indécis se réduit comme peau de chagrin. Les enquêtes d'opinion montrent que la quasi-totalité des électeurs de Trump et de Clinton ont une idée arrêtée depuis longtemps sur l'affaire des courriels de l'ancienne secrétaire d'État. Les premiers y voient la preuve qu'elle n'est pas digne de gouverner le pays, les seconds considèrent que c'est une erreur pardonnable - a fortiori lorsque l'alternative est Trump.
Même si le candidat républicain ne profite que de façon marginale de l'annonce du FBI, celle-ci, au minimum, relance le suspense. En particulier quand les sondages restent dans la marge d'erreur ou s'ils se trompent sur l'ampleur réelle du soutien à Trump, comme au Royaume-Uni sur les partisans du Brexit.
Ce «scandale», amorcé comme une vulgaire erreur technique, a transformé un sparadrap déplaisant sous sa chaussure en véritable boulet accroché à sa cheville. Elle y est pour beaucoup, ses dénégations et ses mensonges avérés n'ayant fait qu'aggraver son cas. Donald Trump a parfaitement exploité cette faiblesse, notamment la destruction de 33.000 courriels après que le Congrès l'eut citée à comparaître - potentiellement un crime fédéral.
Quoi qu'il arrive le 8 novembre, Hillary Clinton n'est pas près de se débarrasser de cette affaire. Si elle remporte l'élection, les républicains, en position de garder le contrôle de la Chambre des représentants, voire celui de Sénat, promettent de ne pas la lâcher. Cela pourrait finir par une procédure d'«impeachment» comme celle qu'avait difficilement surmontée son mari après l'affaire Monica Lewinsky. Et si elle perd, Donald Trump a annoncé la nomination d'un procureur spécial avec l'intention affichée de «la mettre en prison».
VIDEO
Deux femmes ont été agressées sexuellement par un groupe comptant jusqu’à 17 hommes, qui seraient des "demandeurs d’asile". Les deux femmes, âgées de 21 et 29 ans, étaient dans le square d’une église à Fribourg, dans le sud-ouest de l’Allemagne, lorsque le gang les a attaquées. Trois Africains ont été arrêtés puis libérés sous caution pendant que l’enquête se poursuit.
Les hommes, décrits comme d’apparence africaine, ont encerclé leurs victimes avant de toucher leur poitrine et leurs parties génitales. Et quand un passant innocent a voulu aider les femmes, le gang l’a également attaqué.
Un porte-parole de la police a déclaré que « les hommes avaient touché les femmes d’une façon inappropriée sur leur estomac, leur poitrine et leurs parties génitales. Certains des hommes ont aussi essayé d’embrasser les femmes. Un homme qui a voulu aider les femmes a été attaqué physiquement par le groupe.«
Les victimes traumatisées ont réussi à échapper à leurs agresseurs et à donner l’alerte. La police a accouru sur les lieux et a procédé à trois arrestations un peu plus tard. Les suspects, âgés de 17, 19 et 20 ans, sont des Gambiens arrivés en Allemagne entre novembre 2015 et février 2016, dont deux avaient vu leur demande d’asile rejetée.
Cette dernière agression sexuelle s’est déroulée près de la gare centrale de Fribourg et rappelle la série d’incidents violents du Nouvel An à Cologne, lorsque des femmes ont été victimes de harcèlement sexuel et agressées de la même manière. (…)
Merci à (3r8èr3 pour l’info et la traduction
Quelque 500 agents se sont rassemblés à l'Évêché
Un vent d'amertume doublé de colère flottait hier soir devant l'hôtel de police de Marseille (2e arrondissement). Une trentaine de policiers avaient été convoqués par leur hiérarchie, ce qui s'est traduit par un rassemblement, salle Biancardini, de près de 500 policiers, les collègues étant venus soutenir les convoqués.
Les policiers en colère qui ont manifesté ces derniers jours à Marseille, notamment sur le Vieux-Port, et encore hier après-midi, avaient rendez-vous hier soir, à 19 h, à l'hôtel de police. Certains d'entre eux craignaient une mise à pied ou des sanctions.
Très remontés contre les initiatives qui pourraient être prises à leur encontre, ils déploraient notamment les méthodes employées par leurs supérieurs. D'autant qu'il se racontait que les vidéos municipales avaient relevé les numéros des véhicules les plus participatifs au mouvement.
Finalement, les autorités policières se sont limitées à "un rappel à la règle". Les policiers sont autorisés à manifester comme tout citoyen mais dans des conditions particulières : hors service, sans véhicule de police, sans brassard ni gyrophare.
Les policiers ont expliqué qu'ils n'étaient plus ni entendus ni soutenus par les syndicats. D'où ce mouvement qui est parti de la base policière, celle qui se collette tous les jours à la douloureuse vie du terrain. Les policiers ont aussi fait valoir, hier, l'idée que c'est pour un meilleur service public qu'ils manifestent, pour que soit mieux assurée la sécurité des citoyens.
De son côté, le préfet de police Laurent Nuñez rappelle que des efforts significatifs ont été consentis par le ministère de l'Intérieur et qu'une démarche de concertation a été engagée, qui doit d'ailleurs se poursuivre la semaine prochaine.
Les policiers devraient poursuivre leur mouvement tous les soirs à partir de 23 h mais sans les sirènes, soucieux de la paix auditive de leurs concitoyens. Au terme de la "convocation" d'hier, une délégation des policiers en colère a été invitée mercredi à 16 h à rencontrer le préfet de police.
La Provence
Thomas Beatie
Par Agnès Leclair
Mis à jour le 27/10/2016 à 21h03
Avec la nouvelle procédure de changement de sexe à l'état civil pour les personnes trans, une personne née femme mais reconnue comme un homme par l'administration pourrait accoucher.
Un homme enceint? Cet incroyable scénario pourrait se produire en France. Avec la nouvelle procédure de changement de sexe à l'état civil pour les personnes trans, sans obligation de stérilisation, une personne née femme mais reconnue comme un homme par l'administration pourrait accoucher. L'enfant aurait alors deux pères dont l'un lui aurait donné le jour.
Ce cas de figure s'est déjà présenté à l'étranger. Aux États-Unis, Thomas Beatie a eu trois enfants. Né femme, il est devenu homme en 2002 après des démarches administratives en conservant ses organes reproducteurs féminins. Marié à une femme qui ne pouvait pas avoir d'enfant, il a suspendu son traitement hormonal et bénéficié d'une insémination artificielle pour enfanter. En 2013, c'est en Allemagne qu'un homme autrefois femme a donné la vie. Sa volonté de ne pas être considéré par l'administration comme la mère du bébé mais comme son père avait engendré un imbroglio juridique.
En France, depuis la loi Taubira, deux personnes mariées de même sexe peuvent déjà devenir parents mais uniquement en passant par un jugement d'adoption. «Hors adoption, le Code civil ne rend pas possible l'établissement d'une double filiation paternelle car l'une viendrait en concurrence avec l'autre. Il en va de même pour l'établissement d'une double filiation maternelle. Il faudrait contester la première pour établir la seconde, explique le juriste Philippe Reigné, spécialiste des questions de genre. Ce nouveau texte sur les droits des trans pourrait-il bousculer le droit de la filiation? «Il faudrait sans doute une décision de justice, mais il ne serait pas pour autant nécessaire de modifier le Code civil», estime Philippe Reigné. Du côté des associations LGBT qui militent pour faciliter le changement de sexe à l'état civil, cet «accroc» au droit de la filiation apparaît comme accessoire en regard de «la barbarie de l'exigence de la stérilisation pour les personnes trans». «Les questions qui se posent sont avant tout celle de la lutte contre les discriminations, de la protection de ces familles et des enfants. Faudrait-il pour cela interdire aux personnes trans de fonder une famille?», lance Clémence Zamora-Cruz, porte-parole de l'Inter-LGBT (Interassociative lesbienne, gay, bi et trans). Du côté des parlementaires qui ont planché sur cet amendement, on balaie d'un revers de la main ces cas «hypothétiques» et «marginaux». «Les personnes trans ne sont pas dans cet état d'esprit. Il ne faut pas oublier que quand elles prennent leurs hormones, elles ne sont pas fécondes, et beaucoup effectuent l'opération de changement de sexe bien qu'elles ne veulent pas y être obligées par un juge», pointe le député PS Erwan Binet, rappelant que cet amendement était nécessaire pour être en conformité avec la Cour européenne des droits de l'homme.
«Avec un tel scénario, à quoi peuvent bien servir les cases “homme” ou “ femme” à l'état civil? Son rôle n'est pas de relayer un “ressenti”», prédit pour sa part Aude Mirkovic, maître de conférences en droit privé et proche de la Manif pour tous. Au-delà d'un méli-mélo de la filiation, elle estime que ce texte pourrait précéder la disparition de l'état civil tout court… «Si quelqu'un considère qu'il y a un décalage entre sa date de naissance et son âge, pourquoi ne pourrait-il pas la changer? pointe la juriste. Si l'on veut mettre son état civil en conformité avec son image sociale, toutes ces données ont vocation à être bouleversées.»
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 28/10/2016. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
29/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Lorant Deutsch, comédien et grand amateur d’histoire de France, était invité il y a quelques jours dans un lycée à Trappes pour effectuer une de ses prestations. Il l’a annulée devant le refus de deux professeurs d’histoire de cet établissement qui ont protesté : « nous ne sommes pas là pour faire aimer la France à nos élèves ».
Il est vrai que Lorant Deutsch, s’il est un passionné d’histoire, ne se revendique pas historien, et que quelques erreurs se glissent dans ses livres, dont le fameux Métronome, vendu à plus d’un million et demi d’exemplaires.
Certains ont trouvé exagéré de vouloir empêcher des élèves d’accéder à une de ses conférences au motif que cela pourrait leur faire aimer la France.
Cette affaire et la polémique qui en a découlé, doublée pour Lorant Deutsch d’une autre polémique à propos d’un compte Twitter, met en relief la réticence qu’ont certains professeurs à transmettre aux élèves issus de l’immigration le goût de la culture et de l’histoire de France.
C’est la première visite présidentielle sur le site de cet ancien camp d’internement. François Hollande est attendu ce samedi à Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) pour rendre un hommage très attendu aux Tsiganes internés par le régime de Vichy.
« L’esprit de ce déplacement est de rendre hommage à tous ces hommes, ces femmes et ces enfants, Tsiganes internés par le gouvernement de Vichy en 1940 et jusqu’en 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale », a expliqué l’Elysée.
Soixante-dix ans après la libération des derniers Tsiganes internés en France, leurs descendants et les associations attendent une reconnaissance officielle de leurs souffrances.
François Hollande, a-t-on précisé à l’Elysée, « reviendra aussi sur la discussion en cours au Parlement dans le cadre de la loi ‘Egalité et citoyenneté’, [le député PS] Dominique Raimbourg ayant proposé l’abrogation de la loi de 1969 qui avait créé un livret de circulation pour les gens du voyage ».
Toujours selon la présidence, cette visite « s’inscrit dans le travail de mémoire que le chef de l’Etat a engagé depuis le début de son quinquennat pour réconcilier toutes les mémoires et n’en constituer qu’une seule, celle de la France ».
Outre le chef de l’Etat, des membres du gouvernement, des élus et des représentants d’associations, une dizaine d’anciens internés à Montreuil-Bellay doivent assister à la cérémonie.
Montreuil-Bellay était le plus grand des 31 camps gérés par les autorités françaises jusqu’en 1946, dans lesquels furent internés entre 6000 et 6500 nomades.
Plus de 2000 nomades – des Tsiganes mais aussi des sans domicile fixe de Nantes – y furent internés de novembre 1941 à janvier 1945. Une centaine y périrent.
L’Etat avait franchi un premier pas vers la reconnaissance de la participation de la France dans cet internement familial en juillet 2010, par la voix de l’ancien secrétaire aux Anciens combattants Hubert Falco, en l’évoquant lors d’une « Journée nationale de la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français ».
BV
28/10/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Les francs-maçons du Grand Orient de France veulent naturaliser tous les migrants de Calais ! Oui, vous avez bien lu : ils veulent que tous ceux-ci, qui ont été répartis à travers toute la France – et sans doute aussi tous ceux qui se sont échappés vers Paris – se voient attribuée la nationalité française !
Dans un communiqué publié aujourd’hui, le GODF, « attentif depuis longtemps à la situation des réfugiés de Calais », écrit : « Notre devoir moral et civique nous enjoint à l’exercice immédiat et concret de la solidarité au nom de la Fraternité et de l’Humanisme. Désormais, pour les réfugiés qui souhaitent s’installer durablement en France, la seule voie qui convient est celle de l’intégration et de la citoyenneté. Le Grand Orient de France encouragera toutes les initiatives grâce auxquelles, demain, les réfugiés deviendront des citoyens à part entière, avec les droits et les devoirs qui s’appliquent à tous au sein de la communauté nationale. »
Cinq policiers ont été placés en garde à vue après qu’un forcené a été abattu de cinq balles vendredi soir par les forces de l’ordre à Échirolles, près de Grenoble, en Isère, a annoncé ce samedi le parquet.
« Il s’agit de mener une enquête objective, indépendamment de la polémique actuelle liée aux questions de police », a indiqué Jean-Yves Coquillat, le procureur de la république de Grenoble joint par Le Dauphiné Libéré.
Les forces de l’ordre intervenaient pour un différend familial vers 20 heures. Au moment de leur arrivée, l’homme âgé de 52 ans, « excité » semble-t-il sous l’effet de l’alcool, se trouvait dans le jardin de son habitation. Le quinquagénaire aurait menacé les policiers avec une machette, puis avec une « arme sortie de derrière son dos ».
Ceux-ci ont alors fait feu avec « un fusil d’assaut et au moins un pistolet automatique », a précisé le parquet de Grenoble.
BV
Florian Philippot: «Il y a une proximité... par Lopinionfr
Que de questions stupides au lieu de poser les vraies questions!
Attentif depuis longtemps à la situation des réfugiés de Calais, notamment à travers l’action de sa Fondation, le Grand Orient de France se félicite du démantèlement de la « jungle ». Les conditions d’hébergement et de vie des réfugiés n’étaient pas dignes d’une grande démocratie. Il convient donc de saluer la décision qui permet à ceux d’entre eux susceptibles de demeurer en France d’être accueillis sur la totalité du territoire national.
Les efforts déployés par les élus locaux, les fonctionnaires, les associations, les citoyens individuellement, afin de faciliter l’accueil des réfugiés illustrent la tradition d’accueil et d’hospitalité de notre République. Tradition qui doit d’autant plus s’appliquer aux populations meurtries qui ont dû fuir la guerre, la barbarie et le fanatisme.
Notre devoir moral et civique nous enjoint à l’exercice immédiat et concret de la solidarité au nom de la Fraternité et de l’Humanisme.
Désormais, pour les réfugiés qui souhaitent s’installer durablement en France, la seule voie qui convient est celle de l’intégration et de la citoyenneté.
Le Grand Orient de France encouragera toutes les initiatives grâce auxquelles, demain, les réfugiés deviendront des citoyens à part entière, avec les droits et les devoirs qui s’appliquent à tous au sein de la communauté nationale.
Merci à Stormisbrewing