Très intéressant, à écouter jusqu'au bout
GAELLE MANN - Page 262
-
Z00M: Jean Messiha - l'arme technocratique du Front National
-
Marion Maréchal-Le Pen dénonce une collusion entre des élus français et le Qatar
25/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Invitée de RTL, Marion Maréchal-Le Pen est revenue sur les révélations de relations troubles de ministres et d’élus avec les monarchies du Golfe, dans le livre intitulé « Nos très chers émirs ». La députée du Vaucluse évoque « des groupes de pression qataris » et « la corruption de certains élus ».Marion Maréchal-Le Pen pointe :
des groupes de pression qataris qui bénéficient de la corruption de certains élus, qui ont été révélés dans la presse, comme par exemple monsieur Le Guen qui propose d’éviter les questions gênantes à l’égard du Qatar de la part de son groupe en échange de l’argent.
-
Twitter, un outil au service de la dissidence politique
25/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
À quelques mois de l’élection présidentielle, Twitter livre une étude sur le comportement de ses utilisateurs en termes de consommation de contenus liés à la politique mais aussi, de manière plus large, sur l’importance du réseau dans un contexte d’élection auprès de l’ensemble des Français.L’information politique diffusée sur Twitter a une portée bien supérieure à l’audience présente sur Twitter.
Auprès de l’ensemble des internautes français, plus d’un sur deux (53%) déclare avoir déjà consulté ou entendu des Tweets sur le thème de la politique, que ce soit sur Twitter ou sur d’autres médias (auprès des Français sur Twitter ce chiffre monte à 85%).
Les Français utilisent Twitter à la fois pour consommer et relayer du contenu ou leurs opinions politiques :
– 58% suivent des comptes de personnalités ou formations politiques ;
– 52% recherchent des informations sur Twitter ;
– 44% Retweetent des personnalités ou formations politiques ;
– 44% Tweetent des articles ou vidéos traitant de politique ;
– 43% Tweetent à propos de leurs opinions politiques.Twitter permet également d’accéder à l’information en temps réel, de s’exprimer et confronter les points de vue, de découvrir et d’engager avec les politiques. D’après cette enquête, Twitter permet d’accéder à l’information politique plus rapidement que sur les autres médias, en ayant une information plus « authentique ».
Par ailleurs, Twitter permet de faire émerger des personnalités politiques, notamment des femmes ou des jeunes, mais également de découvrir des personnalités qui passent moins dans les médias traditionnels.
Enfin, accéder à tous ces contenus et échanger avec la communauté peut contribuer à se construire un point de vue, et parfois même amener à changer d’avis.
Pour consulter l’ensemble des résultats : https://blog.twitter.com/fr/2016/twitter-politique-%C3%A9tude-pr%C3%A9sidentielle
-
Migrants de Calais : Ils vont partout
Malgré tous les efforts des médias militants, les images des clandestins de Calais embarquant dans les bus ne mentent pas. Où sont les familles syriennes, où sont les femmes enceintes, où sont les réfugiés politiques ?
On ne voit en très grande majorité que des Africains, jeunes ou dans la force de l’âge. Des migrants économiques. Alors qu’ils devraient être expulsés, ceux qui ne relèvent pas du droit d’asile et ceux qui en ont été déboutés arrivent par bus entiers dans les villages français. Plus de 12 000 immigrés en situation illégale envoyés aux quatre coins du pays. 6 000 depuis le début octobre et 6 500 d’un coup cette fois-ci. Ou comment transformer 12 000 clandestins en 12 000 immigrés de plus, près de chez vous. La jungle de Calais est de toute façon condamnée à repousser de plus belle. Rien n’est résolu : plus de 2 000 clandestins par jour arrivent en ce moment sur les côtes italiennes.
Il y a une semaine, une interprète accompagnant des journalistes de France 5 a été violée sous la menace d’un couteau par trois clandestins à Calais. Comme le demande le Front national de Saône et Loire qui appelle à manifester samedi 29 octobre à 15 heures devant la mairie de Digoin contre l’arrivée des clandestins : « Ceux qui arrivent dans nos villes sont-ils du même tonneau ? » De ceux qui pillent, cassent et agressent et violent comme à Cologne ? Ou de ceux qui infiltrent pour le compte de Daesh ?
Manuel Valls le sait bien puisqu’il a clairement menacé, samedi, à Tours. Il a besoin de menacer : « Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux. » Plus furibard et plus motivé que lorsqu’il s’agit d’aller déloger les assassins de flics dans les zones de non-droit. Le premier ministre vise-t-il directement ceux qui, comme Robert Ménard, refusent de livrer leurs administrés à la loi de la jungle de Calais, au danger terroriste mais aussi aux risques des affrontements entre migrants et Français ? Et tous ceux qui refusent le suicide collectif de cette invasion initiée, organisée, encouragée par ceux-là même qui la subissent ? C’est Manuel Valls qui risque de trouver le peuple français devant lui.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 26 octobre 2016
-
Journal TVLibertés DU 25 OCTOBRE 2016
L'Angleterre menace Bruxelles de dumping sur les sociétés
-
Une actrice porno américaine accuse Trump de proposition de sexe tarifé !
Elle est bien prude, cette femme qui tourne dans des films porno! C'est une copine d'Hillary?
-
MIGRANTS PARTOUT !
http://www.fdesouche.com/781833-migrants-partout
Déroulez, déroulez...
-
Nicolas Bay (FN) : « La place des clandestins, c’est dans des charters »
23h46Paris – Nicolas Bay, numéro trois du Front national, estime que « la place des clandestins c’est dans des charters ».
« Bien sûr, la place des clandestins, c’est pas dans des camps payés par les contribuables, c’est évidemment dans des charters », a déclaré mardi sur France 2, le numéro 3 du FN qui s’exprimait sur le démantèlement de la « Jungle » de Calais.
« La solution, ça n’est pas la répartition, c’est l’expulsion », « On ne fait que déplacer et amplifier le problème » a-t-il poursuivi.
Pour Nicolas Bay « Il fallait surtout les empêcher d’entrer avant de vouloir les empêcher de sortir pour aller vers l’Angleterre. Et puis il fallait surtout cesser d’organiser l’accueil de ces immigrés clandestins, massif, sur l’ensemble du territoire national ».
-
POISSON / APHATIE
NdB: La vidéo à voir!
E&R
-
LA VILLE DE BÉZIERS GAGNE SON PROCÈS CONTRE DEUX ASSOCIATIONS PRO-ISLAMISTES
Déboutées, déboutées sur toute la ligne. Les deux associations pro-immigrés et pro-islamistes, Esprit Libre et Cultures Solidaires, ont été renvoyées dans les cordes ce matin par le Tribunal administratif de Montpellier.
Alors qu’elles demandaient la suppression de plusieurs articles consacrés aux migrants dans deux éditions du Journal de Béziers, elles n’ont rien obtenu.
Quant à leur autre demande de retrait de l’affiche sur le référendum, elle n’a bien entendu pas été retenue par le juge, l’affiche en question n’étant plus en place au moment du procès !
Beaucoup d’amateurisme pour des associations qui, sous couvert de culture et d’humanitaire, s’échinent à favoriser une politique migratoire dont les Biterrois ne veulent pas. Des associations animées par des militants islamistes qui, il faut le redire, n’hésitent pas à afficher sur leur page Facebook une Marianne décapitée, dont la tête a été remplacée par un Coran… Des associations dont les militants perturbent régulièrement les séances du conseil municipal, signe de leur mépris pour la démocratie communale. Et pour la démocratie tout court.
Une décision de justice qui va dans le sens de la liberté d’expression. Une liberté qui doit également bénéficier au maire élu par la population. N’en déplaise à tous ceux qui voudraient faire taire des élus qui ont le seul tort de « mal penser » au regard de la petite caste politico-médiatique -
La Ville de Béziers gagne son procès contre deux associations pro-islamistes
-
La police ne se couche pas
NOVOpressLe mai 68 des policiers, comme l’ont titré nos confrères de Riposte Laïque, fait peur au gouvernement. Avec ce sentiment que plus personne ne contrôle la base. Assumant d’être dans l’illégalité parce qu’il n’y a plus le choix, affranchi des ordres des syndicats (le mouvement est beaucoup plus politique que social) défiant leur hiérarchie (l’image de la voiture du DGPN Jean-Marc Falcone traversant la foule sous les huées et les sifflets, aux cris de « démission », c’est du jamais vu) quelle va être la prochaine étape ?
En juin dernier, après l’égorgement à leur domicile des policiers de Magnanville et la prise d’otage de leur fils de trois ans, lors de l’hommage à Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, l’hostilité des policiers dans leur douleur, était palpable. Personne n’a oublié l’image forte de ce gardien de la paix appuyé sur des béquilles refusant ostensiblement de serrer la main de Hollande, Valls et Cazeneuve. Il a fait ce jour-là ce que tous ses collègues avaient envie de faire. Plusieurs mois après, alors que le gouvernement les a laissés se faire passer à tabac, harceler, blesser parfois grièvement en toute impunité pendant des semaines par les milices antifas en plein état d’urgence, rien n’a changé : les petits barbares issus de l’immigration brûlent les flics dans leurs voitures en bloquant les portières. Les 15 agresseurs n’ont toujours pas été retrouvés.
-
JOURNAL TVLibertés DU 24 OCTOBRE 2016
-
Jugée trop grosse, Miss Islande claque la porte d'un concours de beauté internationa !
Ce mardi à Las Vegas se tient le concours de beauté Miss Grand International. Cet événement accueille de magnifiques jeunes femmes venues de la planète entière. Parmi elles, Arna Ýr Jónsdóttir, Miss Islande 2015.Pourtant cette grande blonde aux yeux bleus a choisi de quitter la compétition ce dimanche. Des membres de l'organisation du concours lui ayant signifié qu'elle était trop grosse !
«Ne mange plus de petit-déjeuner, ne mange qu'une salade au déjeuner et ne boit plus que de l'eau jusqu'au soir de la finale» s'est vu signifier la jeune femme par des membres du staff de Nawat Itsaragrisil, célèbre présentateur de la télé thaïlandaise qui possède le concours. «Si le propriétaire du concours veut vraiment que je perde du poids et n'aime pas ma façon d'être, et bien il ne me mérite pas dans son top » a précisé la mannequin au journal The Iceland Monitor.
«Bien sûr que, j'ai des épaules plus larges que d'autres filles, c'est parce que j'ai été une membre de l'équipe nationale de gymnastique et j'en suis fière ! » a ironisé l'Islandaise. «Personnellement je pense que je suis plutôt... bien» a conclu Arna. «Je vais rester un peu à Las Vegas. Explorer la ville, bien manger, et profiter de mon séjour» s'est amusée Arna sur son compte Instagram. Jolie morale de l'histoire.
-
Il faut dire la vérité: les migrants de la jungle ne sont pas des réfugiés
Par Xavier Saincol
Mis à jour le 24/10/2016 à 14h49FIGAROVOX/TRIBUNE - L'évacuation de la jungle de Calais a commencé. Pour Xavier Saincol, le gouvernement socialiste entérine son renoncement à faire appliquer les lois sur l'entrée, le séjour et l'asile alors qu'il s'agit en l'occurrence d'étrangers en situation irrégulière.
Xavier Saincol est juriste.
Le drame de la Jungle de Calais n'a rien de nouveau, même s'il s'est considérablement aggravé en quatre ans. Il remonte à la fin des années 1990, lié au fonctionnement de l'espace Schengen: la France a ouvert ses frontières européennes et s'est engagée à protéger par tous les moyens celles de la Grande-Bretagne, transformant, le Calaisis en cul-de-sac, réceptacle des migrants qui ont traversé une partie de la planète dans le but de se rendre outre-Manche. L'aggravation soudaine du chaos renvoie au démantèlement de la frontière extérieure européenne, intervenu en 2015, à la suite des déclarations intempestives de plusieurs dirigeants européens, dont Mme Merkel, la chancelière allemande, et M. Junker, président de la Commission: «ouvrons leur les bras!». Le flux migratoire sans précédent historique, ne cesse de s'amplifier: après un million d'entrées en 2015, sans doute le même nombre en 2016 alors que plusieurs millions de personnes se pressent aux portes de l'Europe, dans l'impuissance d'une Union européenne qui ne parvient pas à s'organiser pour combattre les trafics criminels et se décompose alors qu'elle devrait au contraire unir ses forces.
Le phénomène auquel nous assistons dans le Calaisis signe l'échec de l'État de droit dans la République française. Il est incompréhensible que l'État ait laissé se mettre en place une zone de non droit de cette ampleur. Pis: la solution qui consiste à évacuer de force la jungle et à répartir les migrants dans des centres d'accueil dans les régions est symptomatique du renoncement à faire appliquer les lois sur l'immigration irrégulière.
Il faut dire la vérité: les migrants de la jungle ne sont pas des réfugiés. Le principe même du droit d'asile s'applique à des personnes qui fuient des persécutions et s'installent dans le premier pays assurant leur protection, où ils se trouvent en sécurité le temps nécessaire. Les migrants du Calaisis ne sont pas dans cette logique. Ils tentent de gagner le Royaume-Uni à tout prix dans un objectif de travail. Ce n'est que faute de pouvoir se rendre en Grande-Bretagne qu'ils devront se «contenter» de la France. De fait, ils sont des étrangers en situation irrégulière, qui n'avaient pas le droit d'entrer sur le territoire et auxquels les lois de la République interdisent d'y séjourner. Ce sont de jeunes célibataires pour la plupart. Ils ont laissé leur pays qui pouvait avoir besoin d'eux, soit pour son développement économique et social, soit pour combattre la tyrannie. Face à cette situation, l'État a un devoir: appliquer les lois de la République et les raccompagner dans leur pays dans le respect de leur dignité et sauf raison humanitaire spécifique.
En organisant leur dispersion dans les régions, le gouvernement socialiste entérine son renoncement à faire appliquer les lois sur l'entrée, le séjour et l'asile. Paralysé par l'idéologie, la peur du regard des médias et des militants, le pouvoir politique cède sur toute la ligne et renonce au principe de l'État de droit. Au sommet d'une situation absurde, nous voyons des fonctionnaires français qui demandent à des étrangers en situation irrégulière d'accepter de rester en France alors qu'ils devraient en repartir. Ils les incitent même à demander l'asile en France tout en sachant qu'ils ne sont pas des réfugiés et que, en tout état de cause, le droit européen écarte la responsabilité de la France dans l'examen de leur demande d'asile, qui incombe au seul pays d'entrée dans l'Union européenne (règlement Dublin). Le drame du Calaisis est celui d'un État démissionnaire, impuissant, incapable d'assumer ses responsabilités et sa mission fondamentale: faire respecter le droit.
En procédant de la sorte, l'État aggrave le chaos et la confusion ambiante. Il n'est pas incompréhensible que les maires renâclent à ouvrir des centres d'accueil de personnes qui ont bafoué les lois pour entrer et rester en France. Mais pour l'État, il est plus facile de contraindre des élus locaux et les populations - sous la menace de les faire passer pour racistes - que d'imposer le respect les règles de l'État de droit. À terme, ce mode de gestion de la crise migratoire est désastreux. Il donne une image négative de l'immigration comme résultat de l'impuissance publique et comme source de chaos. Une immigration organisée, régulée, maîtrisée, négociée avec les pays d'origine, pourrait être une vraie chance pour notre pays sur le plan économique, démographique, culturel, comme pour l'Europe dans son ensemble. Avec sa politique de répartition régionale forcée des migrants en situation irrégulière, le pouvoir politique enterre de facto le principe de maîtrise du flux migratoire et de lutte contre l'immigration illégale. Il bafoue l'idée d'une immigration positive, maîtrisée, comme atout pour la France. Cette situation chaotique, à l'évidence, fait le jeu des courants extrêmes et des partis nationalistes et anti-immigration, en France comme partout en Europe. À terme, en montrant l'impuissance de l'État, elle favorise la xénophobie. La future majorité en 2017, si elle veut éviter un cataclysme électoral en 2022, devra avant toute autre considération reprendre en main la politique migratoire de la France et renouer avec les fondamentaux: une politique raisonnable sur l'immigration régulière et ferme sur l'immigration illégale.
-
Nicolas Bay invité des 4 Vérités sur France 2
-
Florian Philippot débat avec NKM sur BFM TV (23/10/16)
-
« Trumpisation » de l’information, « azoulaysation » de la langue française !
Ce n’est pas Trump qui rend les médias vulgaires mais les médias qui créent l’homme public vulgaire Trump.
L’affaire Morandini n’en finit pas chez i>Télé : entre déontologie et grève, la crise couve dans la rédaction d’une des premières chaînes d’information de France. Même Audrey Azoulay, ministre de la Culture s’il vous plaît, y va de son petit grain de sel contre la venue du journaliste. Elle dénonce même une « trumpisation de l’information ». Qu’èsaco ?
Même si le terme n’est pas très heureux, on peut comprendre par « trumpisation » une forme de vulgarité qui sied au personnage et qui atteindrait, comme un mal violent, la caste médiatique.
Ainsi, il faudrait moraliser un peu tout ce beau monde afin que le débat s’élève – passez-moi l’expression – « au-dessus des pâquerettes »… Cependant, c’est prendre la cause pour la conséquence et vice versa. Ce n’est pas Trump qui rend les médias vulgaires mais les médias qui créent l’homme public vulgaire Trump. Toute l’élection américaine a atteint des summums de vulgarité durant cette campagne dans les deux camps, justement parce que les médias sont omniprésents : société de spectacle oblige, « the show must go on » !Cette mise au point faite, parlons deux minutes de Cyril Hanouna : madame Azoulay semble avoir le cœur mieux accroché quand il s’agit de laisser les Français s’abrutir devant des émissions débiles et abêtissantes, où plus on choque, plus on créé le scandale et plus on fait parler de soi. Une dame (vulgairement vêtue) se fait embrasser la poitrine par un homme vulgaire, dans une émission qui s’enorgueillit d’être vulgaire (c’est ce qu’on appelle, aujourd’hui, la liberté de ton) : des pâtes crues dans le slip d’un chroniqueur, se ramener à poil sur un plateau – l’imagination n’a jamais eu de limite, l’image non plus, maintenant. Et pourtant, on ne parle pas d’« hanounanisation » de la société alors que cet animateur fait beaucoup plus pour la vulgarité à la télévision que Trump dans la société française.
D’ailleurs, en parlant d’« hanounanisation » – car ce n’est pas le sujet principal -, cela commence à bien faire de créer des mots à partir des noms de famille : « trumpisation » est censé décrire quel phénomène sociétal ? Qu’un ministre de la CULTURE s’abaisse à décrire un phénomène qui pourrait trouver des millions de nuances dans la langue française par « trumpisation », c’est proprement scandaleux.
C’est fascinant de voir comment une seule petite phrase peut concentrer en elle-même tant de critiques. En voulant y aller de son petit mot sur Trump, et voulant paraître à la fois amazone et savante, Audrey Azoulay a tenté lamentablement de décrire un phénomène de paupérisation intellectuelle à la télévision (ce n’est pas le meilleur terme, je vous l’accorde, mais au moins il veut dire quelque chose) sans pour autant y arriver avec son barbarisme.
La décadence intellectuelle française n’est pas l’œuvre de Trump mais plutôt celle des prédécesseurs de madame Azoulay : le temps qu’elle s’en rende compte, on aura une émission de naturiste à la télévision… Pardon ? Oui ? Ah, ils l’ont déjà fait…
BV
-
Tous unis contre Doanald Trump
Lire!
-
Marion twitte: