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GAELLE MANN - Page 269

  • "Sans-dents": Trierweiler rend public le SMS de Hollande, elle n'avait pas menti pour se venger

    http://premium.lefigaro.fr/politique/le-scan/couacs/2016/10/12/25005-20161012ARTFIG00148-sans-dents-trierweiler-publie-un-sms-attribue-a-hollande.php

     

    Ndb: Je pense qu'aucun dirigeant de notre pays ne s'était encore permis de traiter les  pauvres de cette façon dégradante et désinvolte.

  • David Rachline sur BFM TV

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/tensions-diplomatiques-franco-russe-vladimir-poutine-annule-sa-visite-a-paris-875409.html

    David Rachline répond vigoureusement aux attaques des "atlantistes"

  • Un livre qui tombe bien mal pour François Hollande !

    http://premium.lefigaro.fr/politique/2016/10/12/01002-20161012ARTFIG00365-un-livre-qui-tombe-bien-mal-pour-francois-hollande.php?a3=763-1694109-897113&een=b84427ddfaa2d3c90b463f8c30644e10&seen=6&m_i=5VZi52J5Ju%2BJFyVvdOBE7zVKN6Inodt_b6uqnCnX8MP7MfiRN9ri8di5l4itRYhWGtgAby4LnwfJqt5TbwsXQt8JhBEwTZ#xtor=EPR-300-[20h30-politique]-20161012

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  • ZOOM - Harald Vilimsky: "Nous voulons récupérer notre Autriche"

    Harald Vilimsky est député européen autrichien du FPÖ, et vice-président du groupe ENL au Parlement Européen, groupe dans lequel siège également le Front National français.

    Il répondait aux questions de Nicolas de Lamberterie, en particulier au sujet de la répétition du deuxième tour de l'élection présidentielle autrichienne. Le scrutin de mai 2016, extrêmement serré entre le candidat du FPÖ Norbert Hofer et le candidat écologiste Alexander Van der Bellen, a été annulé en raison d'irrégularités dans le dépouillement.

    Le scrutin, qui aurait du avoir lieu le 2 octobre 2016, a cette fois-ci été repoussé en raison de défauts de fabrication de la colle des enveloppes des votes par correspondance. Il devrait avoir lieu en décembre, sous réserve que la saga de la présidentielle autrichienne ne réserve pas de nouvelles surprises.

    Harald Vilimsky a également évoqué la crise migratoire en Autriche, et les relations que souhaiterait avoir son parti au pouvoir avec ses voisins d'Europe de l'Est du groupe de Visegrád.

    TVL

  • Décryptage – Une Education Nationale impartiale ?

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    11 octobre 2016

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    Il est intéressant de voir à travers ce manuel comment la question de l’accueil des migrants est traitée par l’Education Nationale.

    Sous le titre prometteur de « trouver des arguments pour débattre », il apparaît que la seule position débattue soit l’acceptation de l’accueil des migrants.

     

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    Au delà des convictions personnelles sur la question, le simple fait de former nos têtes blondes en tronquant la vérité et empêchant le débat sous couvert de former au débat est en soi un danger. L’Education Nationale est plus que jamais un lavage de cerveau, « un camp de redressement », pour reprendre Alain Finkielkraut au sujet de la démocratie actuellement pratiquée en Occident.

     

    RIPOSTE CATHOLIQUE

     

  • Visite guidée de la première "salle de shoot" à Paris, rue Ambroise-Paré


    Visite guidée de la première «salle de shoot» à... par leparisien

    Quelle déchéance! Mais quelle source de revenus pour les marchands de mort!

    Ces "salles de shoot" vont sans doute se multiplier en France.

  • Affiche sur les migrants à Béziers : La réponse magistrale de Robert Ménard

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    Migrants : Robert Ménard répond aux Grandes... par bvoltaire

     

     

    12/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    L’affiche qui annonce aux habitants de Béziers que l’Etat IMPOSE l’arrivée de migrants AU COEUR DE VILLE sans demander l’avis du maire ni du conseil municipal fait déjà grand bruit.

    Robert Ménard, Maire de Béziers, à l’origine de cette campagne de communication, répond aux Grandes Gueules.

     

  • Pour se protéger, les policiers sont appelés à rester à l’abri dans les commissariats

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    12/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Après la violente agression de policiers à Viry Châtillon. Déplorant une situation catastrophique, Alliance – le syndicat majoritaire de la profession – a appelé les policiers à ne sortir des commissariats qu’en cas d’urgence. Dans d’autres départements, la plupart des gardes statiques ont déjà été supprimées car devenues trop dangereuses.

    Le communiqué est très clair et va à l’encontre du discours aveugle du gouvernement. Alliance Police Nationale exige notamment la révision des textes sur la légitime défense et une réplique sans concessions de la police et de la justice.

    Elle demande aussi « un renfort d’effectifs conséquent afin d’assurer la reconquête du territoire » et de dire « stop aux zones de non droit » tolérées » et à l’impunité installée ».

  • Pleyel interdit de musique classique!

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     La musique classique est désormais contractuellement interdite à la Salle Pleyel. Conçue dès son origine en 1927 pour la musique symphonique, elle est désormais dédiée aux variétés. En effet elle entre en concurrence avec les nouvelles salles de la Philharmonie de Paris installées à La Villette qui sont aussi des propriétés de l’Etat. Elle a vu se produire les plus grands noms du classique, mais aussi du jazz, plus rarement du rock ou des variétés. En renvoyant les mélomanes à la périphérie de Paris, pour tenter de rentabiliser une salle qui a coûté beaucoup trop cher, l’Etat innove. Comment ne pas remarquer que cette décision totalitaire a un aspect idéologique : renvoyer les bourgeois parisiens écouter leur musique dans les « quartiers populaires » ? Tout cela aux frais du contribuable et sans aucun souci de la rentabilité, c’est-à-dire de la réalité.

    La nouvelle programmation débute par un récital de Benjamin Biolay, le « militant socialiste » qui avait appelé à voter Hollande en 2012. Pendant ce temps, Jacques Dutronc et Joey Starr animent un « show » de lingerie à la « Fashion Week de Paris » (c’est comme ça qu’on dit !). Le rappeur, qui collectionne les condamnations pour violences conjugales, est aussi très demandé pour les promotions de sous-vêtements féminins… Pour faire simple, taper sur les femmes c’est bien, voter à droite c’est mal. Quand la musique rend compte de l’état d’un peuple. Car la musique sert aussi à entretenir un rêve : les Beatles, groupe emblématique des années 60 — la génération qui a connu la bombe atomique et la pilule, la société de consommation et Vatican II —, les Beatles, le 9e album du groupe, s’est récemment vendu 620 000 euros aux enchères, le record absolu pour un vinyle. Comme pour maintenir l’illusion de ce qui est pour certains le souvenir d’un mythique âge d’or construit sur les ruines du vieux monde. Là encore, la musique rend compte au quotidien de l’état de la société.

    Le chœur Montjoie vient de sortir un nouveau CD consacré aux chants traditionnels des parachutistes. Il vient heureusement compléter l’enregistrement du premier album en 1983, dédié aux paras qui avaient péri dans l’attentat du Drakkar. La particularité de ce nouveau pressage est qu’il propose des chants méconnus et pour certains jamais enregistrés. Essentiellement des chants régimentaires, notamment celui du 13e régiment de dragons parachutistes, le chant des commandos marine ou encore Para au rouge béret, remontant à la guerre d’Algérie mais jamais gravé. Une œuvre de mémoire, préfacée par le général Dary. Chants traditionnels des para tome II, SDCMSD 266 avenue Daumesnil 75012 Paris, 23€ port compris.

    Nanon Bertrand, organiste et musicologue, donne un concert d’orgue dimanche 9 octobre à 16h dans la chapelle Saint-Louis de la Pitié-Salpêtrière (47 bd de l’Hôpital, Paris 13e). Au programme : Buxtehude, Boëly, Chauvet, Bossi, Vierne, Reger, libre participation aux frais.

    Photo : Pline Wikipedia

    Thierry Bouzard – Présent

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  • VIDEO - Trump: Anne Sinclair, ex-femme de DSK, n'a jamais vu une telle "vulgarité"!

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-Anne-Sinclair-Trump-est-le-symbole-du-refoule-raciste-de-l-Amerique-41930.html

    Il faut absolument voir cette vidéo! C'est renversant!

  • Vous êtes blond ? Vous portez des nattes ? Vous êtes nazis !

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    Matthias Iken, journaliste

    ♦ En Allemagne la reductio ad hitlerum bat son plein pour interdire toute critique de la politique d’invasion migratoire.
    Dans cet article, paru dans le Hamburger Abendblatt (170.000 exemplaires) un journaliste – centriste – arrive à s’inquiéter de cette dérive.

    Un document éclairant sur la situation en Allemagne, traduit par François Stecher, correspondant de Polémia.
    Polémia


    Désormais, même les feuilles de chou des pharmaciens deviennent hystériques : elles considèrent les filles en jupe comme politiquement suspectes.

    Comme c’est bon qu’il y ait des revues pour pharmaciens ! Ils ne se contentent pas de donner des conseils pour toutes les circonstances de la vie en augmentant au passage leur chiffre d’affaires avec pilules, pâtes et pastilles, mais ils s’engagent dans le « combat contre l’extrême droite ». Compte tenu de la xénophobie choquante qui règne, on voudrait saluer cet engagement, n’est-ce pas ?

    Celui qui a pris en main le magazine Baby und Familie, ce catalogue maquillé en travail de journaliste, chez son pharmacien de confiance, a dû être surpris : cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu quelque chose d’aussi raciste dans un journal allemand. Sur cinq pages y était évoqué le « danger de l’extrême droite » – pas en la personne de crânes rasés ultra-violents ou d’arriérés indécrottables et remplis de haine, mais bien dans la figure d’une mère blonde et de son enfant blond, la nouvelle extrême droite. D’étranges experts, provenant d’univers parallèles plus étranges encore, y susurrent quels désagréments menace le quotidien des jardins d’enfants. « Il est difficile de situer la limite entre ce qui est extrémiste et ce qui ne l’est pas », vaticine une certaine Michaela Köttig, professeur de sociologie à Francfort. « Le fait est que cette manière de penser trouve sa source au sein de la société. »

    Le fait est que ceci pourrait être une stupidité confirmée. Cela va encore plus loin dans la bêtise. Heike Radvan, directrice du département « Gender & Extrémisme de droite » à la Fondation Amadeu Antonio, donne des indications pertinentes afin de dépister les déviances. « Les enfants de parents d’extrême droite ne sont pas nécessairement différents des enfants d’autres parents. Parfois, on ne les détecte qu’après un temps assez long, par exemple parce qu’ils sont très sages ou très obéissants. »

    Une assistante sociale berlinoise peut affirmer que les filles d’extrême droite peuvent être repérées « à leurs nattes très exactement tressées et à leurs longues jupes », les garçons « à leur apparence traditionnelle, et au fait, par exemple, qu’ils ne portent aucune inscription américaine sur leurs vêtements ». Et Kötter de trouver suspects « les parents gentils et engagés ». Oui, chers lecteurs, si vos enfants portent des nattes ou des chemises aux armes de Hambourg, saluent poliment le voisin et ne courent pas comme des dératés dans le jardin d’enfants, ils relèvent de la surveillance du Verfassungsschutz, dans ce joli nouveau monde.

    Même le simple lecteur de Baby und Familie, bien qu’il ne soit diffusé qu’à 711.900 exemplaires au sein du peuple des suspects, apprend vite où le danger menace. Sur cinq pages, on peut identifier les extrémistes de droite à leurs nattes et à la couleur de leurs cheveux : le Mal a le cheveu blond. Le site « Stern.de » en arrive à ce jugement définitif : « Ils sont aussi mauvais que les racistes, qui se comportent et s’expriment de manière xénophobe, tous ceux qui condamnent globalement les êtres humains ».

    C’est le site Web « tichyseinblick.de » qui a découvert cette perle du journalisme. L’exemple parfaitement grotesque issu de la pharmacie montre que le combat antiraciste déraille, pour s’en prendre maintenant au cœur de la société. Sur Internet, des « privés » de la police de la pensée battent la forêt des réseaux sociaux à la recherche de messages de haine ; les discussions s’interrompent, parce que ceux qui expriment des doutes, par exemple sur la politique des migrants, sont immédiatement soupçonnés d’être des nazis ; le reproche d’une appartenance à un parti populiste apparaît comme argument définitif dans le moindre débat.

    Jusque dans les pages culturelles on agite l’argument-massue de l’AfD, pour assener l’interdiction de penser. Le dernier récital de chant Wittenbrink, au théâtre de Sankt Pauli, a reçu du site « Zeit.de » le label « Hambourg a maintenant sa première comédie musicale pour sympathisant de l’AfD ». La nécessaire séparation d’avec la droite extrême menace de se perdre en un rejet du centre, avec des conséquences fatales ; cela ne contribue qu’à une chose : pousser des gens dans les bras des populistes de droite.

    Les antifascistes auraient en principe suffisamment à faire avec les vrais racistes, comme par exemple le responsable AfD Kay Nerstheimer, qui s’en est pris aux migrants, les taxant de « vermine répugnante ». Il est simplement idiot que ceci n’ait été vraiment rendu public qu’après que les Berlinois eurent voté, dimanche – Nerstheimer a remporté un mandat direct. Antifascisme et antiracisme étaient, il fut un temps, des positions issues d’une pensée éclairée. Entretemps, par leur caractère impitoyable et radical et leur hystérie, certains responsables professionnels de la lutte contre l’extrême droite rappellent plutôt l’antifascisme d’Etat de la RDA. On peut encore voir aujourd’hui où cela a conduit.

    Matthias Iken
    24-25/09/2016

     Matthias Iken, 38 ans, est rédacteur en chef adjoint au Hamburger Abendblatt

    Source : Hamburger Abendblatt

    Correspondance Polémia- 6/10/2016

    Image : Deux jeunes filles aux nattes blondes !!! Heidi, la bavaroise et Monika, la berlinoise.

  • DEUX FRANCE

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    Oui, deux France : celle de Vincent, 28 ans, qui était fier de porter l’uniforme et qui le paye de sa vie. Et celle de la Grande Borne, l’un des endroits les plus dangereux du pays, 3 600 logements pour environ 12 000 habitants, le quartier d’enfance d’Amédy Coulibaly, notamment, le tueur de l’Hyper Cacher.

    Vincent est entre la vie et la mort. Brûlé à 30 % au visage, aux mains et aux poumons, ce jeune adjoint de sécurité a été grillé vif dans son véhicule de police samedi par des assaillants de la cité de la Grande Borne qui ont bloqué les portières tandis qu’il hurlait à l’intérieur. Ces tueurs hyperviolents, aux mœurs de barbares, Cazeneuve les a qualifiés de « sauvageons », il est dans les aventures de Fripounet et Marisette. Toujours cette volonté de minimiser, ce déni, ce handicap à ne jamais nommer ni identifier l’ennemi et finalement à ne jamais le combattre à la hauteur de ce qu’il est. Que fait-on de « sauvageons » ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ?

    Vincent travaillait chaque jour pour passer son concours de gardien de la paix. Ses collègues disent qu’il était particulièrement fier de porter l’uniforme de la police française. Face à lui une autre France : celle des cités, gangrenées par les trafics et l’islamisme. La France de la Grande Borne.

    « Ces individus ont voulu tuer vos collègues, je vous l’atteste », a déclaré Manuel Valls sur les lieux de l’agression, comme pour contrebalancer l’effet désastreux des déclarations de Cazeneuve. Avant d’avancer cette réplique digne du Père Noël est une ordure : « Il n’y a pas de zone de non-droit, il y a des territoires particulièrement difficiles » (cf. : « Thérèse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile. »)

     

    Si vraiment il n’y a pas de zones de non-droit, pourquoi plutôt que de surveiller une caméra de surveillance régulièrement attaquée à la meuleuse, la police en force (et avec des ordres clairs) n’est-elle pas allé chercher les racailles qui frappent et dépouillent les automobilistes à ce carrefour depuis des années ? Puis qui foncent se réfugier dans la cité avec leur butin sans qu’il n’y ait jamais d’interpellation. « Aucune interpellation » a rappelé la mairie centriste. Pourtant tout le monde sait qui ils sont.

    Mais pour cela il faudrait entrer dans les quartiers et déranger les trafiquants de drogue de la Grande Borne parfaitement connus des services de police, qui dealent des centaines de kilos de stupéfiants chaque semaine. A tel point qu’on nous prévient que malgré la gravité des faits, la tâche des enquêteurs de police « s’annonce d’ores et déjà délicate », dans un quartier « sensible », « où prévaut la loi du silence ».

    Les deux syndicats policiers affiliés à la CFDT, le SCSI et Alternative-Police rappellent qu’« il existe toujours des zones de non-droit en France, aux mains de gangs délinquants et criminels ». Eux-mêmes se demandent « si les forces de l’ordre ont vraiment les moyens de pénétrer ces quartiers pour y rétablir la sécurité ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 11 octobre 2016

  • Trump, transfiguré, vitrifie Clinton !

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    Consultant stratégique
     
     
     
     

    Ce devait être son exécution. Ce fut sa résurrection.

    Alors que plus de 40 républicains notoires quittaient le navire pendant le week-end, allant jusqu’à exiger le remplacement de Trump par son partenaire Mike Pence, ce dernier faisait retraite, priant pour Trump. Après le débat, Pence envoya un message de fierté et de soutien irrévocable à un Donald Trump sorti grandi de l’épreuve. La force tranquille.

    Les conseillers politiques de Trump, ceux du « dernier carré des catholiques », ont été efficaces : Kellyanne Conway, sa chef de campagne, Rudy Giuliani et Chris Christie, ainsi que la poignée des femmes à poigne des réseaux de Fox News ainsi que du Washington Times, comme Monica Crowley ou Laura Ingraham. Tous ont rejoint la chaloupe de sauvetage afin de faire entrer dans la tête du candidat de rester calme, et que les attaques menées contre lui visaient en fait un peuple américain en quête d’une deuxième révolution.

    Bref, Trump devait se présenter comme le représentant du gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple, face aux tuniques rouges de la contre-révolution ploutocratique incarnée par 46 années de clintonisme. Il ne manquait plus qu’une dose de Church of England, versée par le bretteur Nigel Farage qui est discrètement intervenu auprès de Trump pour lui donner une certaine acuité visuelle…

    Ça a marché. Après un premier quart d’heure dans les cordes, sur ses histoires de starlettes, Trump a su remarquablement pivoter dans un puissant « crescendo ».

     Champion de la guerre psychologique, il avait organisé quelques heures avant une conférence de presse avec plusieurs victimes sexuelles présumées de Bill Clinton. Puis il les amena, témoins silencieux, au débat présidentiel en rappelant à tous leur présence dans la salle. Cette dissuasion « nucléaire » a neutralisé les modérateurs, qui n’ont pas pu, comme prévu, criminaliser ses propos. Car c’est Bill Clinton qui risquait de devenir le Bill Cosby de la farce… La juge Jeanine relevait après l’émission : « Ce soir, j’ai vu la peur dans les yeux de Bill Clinton, comme dans ceux de Hillary. »

     Pour le reste, d’une voix calme, il a d’abord pivoté en affirmant qu’une fois président il ferait nommer un procureur ad hoc, comme cela aurait déjà dû être fait dans l’affaire Clinton, qu’il a impitoyablement résumée dans toutes ses dimensions, fraudes et suppressions de preuves incluses. Puis il l’a enfoncée sur son double langage, révélé par WikiLeaks. Il l’a ridiculisée sur sa référence à Abraham Lincoln pour justifier sa conduite, et l’a campée comme l’employée des lobbies de la porte ouverte.

    Ensuite, Trump l’a affrontée en politique étrangère et en matière de terrorisme ou de sécurité, en ne se déjugeant pas sur la Russie. Et quand elle a eu l’inconscience d’affirmer qu’elle reviendrait sur le financement des partis politiques, il l’a plaquée : « Vous avez bien vécu avec la politique… en faisant 250 millions de dollars grâce à vos responsabilités au sein de l’État. Moi, je finance ma campagne. Vous avez l’argent… pourquoi vous ne mettez pas 30 millions dans la caisse ? Autant de moins que mettraient les lobbies ! » Hillary était tétanisée.

    Il suffisait de voir les réactions à chaud de CNN dans les minutes suivant le débat pour constater aussi la peur dans le regard des animateurs. Trump attend maintenant la contre-attaque… des caciques républicains.

    BV

     

     

  • Le musulman Aurier mime un égorgement, mais l’apologiste, c’est Zemmour !

     

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    Source : Boulevard Voltaire – « Le musulman Aurier mime un égorgement, mais l’apologiste, c’est Zemmour ! « 

    Comment mieux résumer la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, où tout est bon, même le grotesque, pour se livrer à la chasse au patriote…

    Décidément, Serge Aurier est un bon client ! J’avais, dans un texte récent, signalé les récentes prouesses du seul joueur ouvertement musulman du PSG : insulte à arbitre sur les réseaux sociaux, vidéo injuriant son entraîneur et quelques équipiers à la veille du match de l’année, quatre flagrants délits de conduite sans permis, agression d’un policier à Paris, qui vient de lui coûter deux mois de prison ferme…

    Actuellement, il joue la Coupe d’Afrique pour la Côte d’Ivoire. Il vient de se distinguer à nouveau en mimant, après un but de son équipe, un égorgement, ce qui, dans le contexte actuel, et du fait de la religion assumée du joueur, pourrait, en France, passer pour de l’apologie du terrorisme. Surtout dans un pays où un prêtre a été égorgé dans son église aux cris d’Allah Akbar, et où Hervé Gourdel et Hervé Cornara ont été tous deux décapités par des coreligionnaires de Serge Aurier.

    Pourtant, à ce jour, l’explication qui est véhiculée est fort différente. Il paraîtrait que le défenseur du PSG aurait mimé le gorjaï, geste de nombreux jeunes Ivoiriens, qui se voudrait symbole de force et de virilité !

    Donc, quand un musulman simule un égorgement sur un stade de football, cela n’aurait rien à voir avec une incitation à la violence contre les non-musulmans, comme le réclame la sourate 8, verset 12. « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants.
    Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez (avec une épée) donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts.
    »

     

    Bien évidemment, tout le monde, en France, cherche à étouffer l’affaire, histoire de ne pas heurter nos bons amis du Qatar. Aucune campagne de presse contre Aurier, aucune menace de plaintes d’associations dites antiracistes.

    De son côté, la Franco-Tunisienne Samia Maktouf, qu’on dit avocat de quelques victimes d’attentats terroristes, n’a pas jugé bon de réagir. Il est vrai que cette femme, très proche de l’épouse de l’ancien président Ben Ali, et qui défendait les sans-papiers tunisiens au lendemain des prétendus printemps arabes, a trouvé un autre os à ronger. Déposer plainte contre Éric Zemmour en personne, l’accusant d’apologie du terrorisme – rien de moins. Il fallait oser, mais les avocats en quête de notoriété, cela ose tout, c’est à cela qu’on les reconnaît.

    Le crime d’Éric ? Avoir osé dire qu’il avait « du respect pour les gens qui sont prêts à mourir pour ce en quoi ils croient », tout en ajoutant, bien évidemment, qu’il fallait combattre impitoyablement les djihadistes. Il n’a en aucun cas approuvé les attentats, mais il a expliqué que les guerriers musulmans étaient des combattants qui avaient un vrai projet politique – nous éliminer ou nous imposer l’islam – et qu’il était inopérant de les traiter comme des fous.

    Naturellement, les camarades de la société des journalistes de RTL, montrant leur amour de la liberté d’expression, ont condamné les propos de leur confrère.

    Voilà donc la bête noire de Plenel et de tous les porteurs de valises des disciples d’Allah, l’homme qui ose dire que l’islam est incompatible avec la France, accusé d’être un apologiste du djihad, c’est-à-dire du terrorisme musulman.

    Aucune plainte contre le geste d’Aurier, mais Zemmour encore traîné devant les tribunaux !

    Comment mieux résumer la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, où tout est bon, même le grotesque, pour se livrer à la chasse au patriote…

    Pierre Cassen

  • Hollande: «La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.»

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    Par Tristan Quinault-Maupoil
    Mis à jour le 11/10/2016 à 20h34 | Publié le 11/10/2016 à 19h48

    LE SCAN POLITIQUE - L'opposition se saisit - d'une partie - de cette confidence faite par le chef de l'État à deux journalistes, dans un livre à paraître jeudi, pour le dépeindre en responsable communautariste.

    «La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.» La formule, choc, est signée François Hollande et est rapportée par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre Un président ne devrait pas dire ça (Editions Stock). Une phrase qui est déjà largement commentée par l'opposition ce mardi soir... «On aimerait avoir mal lu!», s'étrangle Brigitte Kuster, la porte-parole des Républicains dans un communiqué de son parti. L'élue sarkozyste estime que François Hollande «serait bien inspiré d'expliciter le fond de sa pensée» car «une telle déclaration met à mal la République dont il est censé être le garant».

    En réalité, la précision est déjà faite. Quelques lignes plus loin, le chef de l'Etat développe son propos: «D'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal.» «Finalement, poursuit François Hollande, quel est le pari que l'on fait? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement.» «Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société», note encore le président de la République.

    «Je pense qu'il y a trop d'arrivées, d'immigration»

    Des paroles que n'ont pas lu bon nombre de responsables politiques. «Hier comme demain, Marianne ne sera jamais voilée!», tonne Bruno Le Maire sur Twitter. Le député LR Lionnel Luca dénonce «un aveu de renoncement». «Clientélisme, communautarisme, mépris de l'égalité homme-femme et laïcité... Hollande se dévoile et voile Marianne», assène Lydia Guirous. «Les Françaisent apprécieront...», grince Valérie Debord. Le député Guillaume Larrivé ajoutant: «Non, Marianne ne sera pas voilée: en France, refusons la soumission des femmes à la régression.»

    Si l'on poursuit la lecture des confessions de François Hollande, c'est la gauche qui aurait pu être la plus critique. «Je pense qu'il y a trop d'arrivées, d'immigration qui ne devrait pas être là», concède le chef de l'Etat, loin de la ligne traditionnelle de sa famille politique. Le président de la République admet même «un problème avec l'islam (...) Parce que l'islam demande des lieux, des reconnaissances». «Ce n'est pas l'islam qui pose un problème dans le sens où ce serait une religion qui serait dangereuse en elle-même, assure François Hollande, mais parce qu'elle veut s'affirmer comme une religion dans la République.» «Après, dit-il, ce qui peut poser un problème c'est si les musulmans ne dénoncent pas les actes de radicalisation, si les imams se comportent de manière antirépublicaine.» Certains à droite s'y retrouveraient aisément.

    LE FIGARO

  • Syrie: Poutine annule sa visite à Paris

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    Poutine a pris Hollande de vitesse pour lui infliger un camouflet

     

    >Politique|J.Cl.|11 octobre 2016, 11h33 | MAJ : 11 octobre 2016, 18h28|65

    Istanbul (Turquie), lundi 10 octobre. Vladimir Poutine ne souhaite plus venir à Paris le 19 octobre.

    (Reuters/Osman Orsal.)
     
     
    J.Cl.
     
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    Pour une fois, Vladimir Poutine pourrait arranger tout le monde. Le président de la Fédération de Russie « souhaite reporter » sa visite à Paris le 19 octobre prochain, a affirmé en milieu de matinée l'Elysée à l'AFP. «Il y a eu un contact entre l'Elysée et le Kremlin pour faire savoir» à Moscou «qu'une réunion de travail avec (le président russe) Vladimir Poutine était possible sur la Syrie, à l'exclusion de tout autre événement pour le président de la République. La Russie a fait savoir qu'elle souhaitait reporter la visite», a-t-on indiqué à la présidence de la République.


    Le Kremlin, de son côté, a annoncé que la visite était annulée. Le président russe rencontrera son homologue français « quand celui-ci se sentira prêt », a ajouté Moscou. Prêt, François Hollande affirme l'être. «Je suis prêt à tout moment à rencontrer» Poutine à condition que cette rencontre puisse «faire avancer la paix», a déclaré le président français à Strasbourg devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe . «Le dialogue est nécessaire avec la Russie mais il doit être ferme et franc.»
     

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    François Hollande était très embarrassé par cette venue destinée à inaugurer le centre culturel orthodoxe installé dans la capitale. Une occasion bien futile compte-tenu de la situation à Alep, en Syrie, où la France et d'autres membres du conseil de sécurité de l'ONU accusent Moscou de participer aux crimes de guerre perpétrés par le régime de Bachar al-Assad. Paris a ainsi fait savoir à Moscou que François Hollande était prêt à recevoir son homologue russe pour une réunion de travail sur la Syrie mais pas à inaugurer avec lui centre culturel.

     

    Ce mardi matin, l'ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov, estimait pourtant qu'il fallait « bien sûr » maintenir ce déplacement. « Il faut que le dialogue continue, on est là pour parler, surtout à des moments difficiles », a-t-il estimé sur Europe 1.

     

    Et de défendre la position russe : « on bombarde une partie d'Alep parce que Al Nosra bombarde d'autres quartiers de la ville, tue des femmes et des enfants. C'est Al Nosra qui se bat contre le gouvernement légitime de Syrie », a martelé le diplomate, qui a assuré un peu plus tard que la Syrie et la Russie avaient « créé des corridors humanitaires pour que les civils puissent sortir de cette ville. Des dizaines et des dizaines de civils sont sortis, et ils nous ont raconté qu'ils avaient été empêchés de partir parce que Al Nosra se sert des civils comme boucliers humains. C'est ça le crime de guerre ! »

    «A la guerre, malheureusement, il y a toujours des civils qui meurent»

    Alexandre Orlov, ambassadeur de Russie à Paris

     

    « Ça me fait mal comme à vous, mais à la guerre, malheureusement, il y a toujours des civils qui meurent », a-t-il insisté, interpellant sans les nommer la coordination internationale qui lutte contre Daech et le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian : « Vous êtes en train de préparer une offensive contre Mossoul en Irak, vous pensez qu'il n'y aura pas de pertes civiles ? »
     

    Pour Fillon, Hollande «vient de se faire ridiculiser par le Kremlin»


    Ces soubresauts diplomatiques n'ont pas manqué de susciter des critiques de la part de l'opposition. Nicolas Sarkozy voit dans l'annulation de la visite de Vladimir Poutine une «très mauvaise chose» : «J'ai des désaccords avec M. Poutine, mais je considère que le devoir et l'intérêt de la France et de l'Europe, c'est qu'elles dialoguent avec la Russie. (...) Comment va-t-on arranger la situation si on ne parle que par communiqués interposés, si on se fait la tête, si on entre dans une nouvelle guerre froide ? C'est irresponsable.»


    Autre candidat à la primaire de la droite, François Fillon estime que «le président de la République vient de se faire ridiculiser par le Kremlin». «On peut contester et réprouver la stratégie russe mais il ne servait à rien d'humilier la Russie», poursuit l'ancien Premier ministre dans un communiqué. «De Gaulle discutait et s'alliait avec Staline pour abattre le nazisme. Hollande, lui, esquive Poutine alors que tout devrait être entrepris pour juguler le totalitarisme islamique et trouver une issue à la guerre.»


    Hervé Mariton n'est en revanche pas de cet avis. Selon le député Les Républicains de la Drôme, cette annulation est la «bonne réponse aujourd'hui». «Dans le contexte actuel (...), on ne pouvait pas, comme le dit le ministre des Affaires étrangères, simplement ."partager des mondanités"»,  a-t-il déclaré sur i-Télé. 

    Le Parisien

     

  • Robert Ménard nous informe

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