Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 270

  • TRUMP, HOMME DE TREMPE

    trump4-600x400.jpg Trump.jpg

    Si Donald Trump, au cours des dernières quarante huit heures et à l’issue du deuxième débat présidentiel, a prouvé quelque chose, c’est assurément qu’il a la carrure pour assumer la fonction.

    La « révélation » de propos de corps de garde tenus il y a onze ans est à la fois sans objet et lourdes de conséquences familiales et humaines.

    Elle est sans objet car ces paroles grossières et vantardes sont le fait de toute société d’hommes. Ayant eu comme chacun à fréquenter les vestiaires sportifs dans ma jeunesse, je peux témoigner de la constante vulgarité des conversations qui s’y tiennent. Combien de chirurgiens, de hauts fonctionnaires ou de célébrités deviendraient rouges de confusion si d’aventure on diffusait un enregistrement de leurs élucubrations d’après compétition ? Ces « sorties » sont consubstantielles à la gente masculine qui tremble toujours de ne pas être « à la hauteur » et de ne pas être capable de plaire, et cette terreur sous-jacente se délivre dans ces fanfaronnades sans importance.

    Il fut un temps très long où l’anonymat et un accord tacite entre mâles gardaient le secret sur ces débordements. Depuis deux décennies, des malfaisants ou des maîtres-chanteurs s’en délectent par avance, les enregistrant à l’insu des protagonistes, les sauvegardant puis les classant, en espérant qu’un jour ces « témoignages » pourront servir. Que ceci soit illégal et condamnable moralement, ils n’en ont cure. L’espionnage est partout et la sphère intime percée de toute part. Orwell avait envisagé l’œil de l’état partout, mais il n’avait pas exploré l’éventualité que l’œil du voisin serait plus redoutable.

    C’est ainsi, nous sommes à découvert dans le plus petit réduit où nous penserions ne pas l’être.

    Car en effet, Donald Trump, qui n’envisageait pas, en 2005, être un jour candidat à la présidence des Etats-Unis, se comportait comme un rugbyman après un match des cinq nations, et le milieu télévisuel dans lequel baigne l’anecdote est un terreau fertile pour cette sorte de culture du champignon vénéneux.

    Cependant, comme Donald Trump est l’homme à abattre, et que les médias de gauche, ceux-là mêmes qui ont procédé à la « libération des mœurs » et présenté la pornographie comme un outil d’accomplissement, et ce depuis 50 ans, ces mêmes boîtes à malice deviennent sourcilleuses comme des ligues de vertu contre celui qui menace le monde qu’ils ont bâti sans en dire mot aux peuples.

    Et de fait le seul enjeu de ces élections est celui de la mondialisation.

    Or, cette « révélation » n’est d’aucun secours dans le choix qui est devant les électeurs américains : mondialisation ou Etats-Unis souverains.

    Par contre, pour l’homme qui parla ainsi, sans qu’aucun membre de sa famille n’eût à en sentir les miasmes, apparaissant aux siens comme un père aimant ou un époux respectueux, être ainsi mis à nu peut entraîner des déchirements douloureux qui pourraient ne pas affecter que sa personne. Et les américains pourraient un moment oublier l’avenir en étant choqués par le passé de Donald Trump.

    Or, qu’a-t-on observé ? Que les électeurs de Trump se sont déclarés « non concernés » par ces divulgations. Ils montrent par là que leurs préoccupations sont uniquement politiques, et surtout leur détermination à culbuter la clique politique des Démocrates comme des Républicains qui détruit leur pays au nom d’un utopique gouvernement mondial.

    Enfin, il fallait à Trump une force intérieure hors du commun pour dépasser le dégoût de cette fange, et une détermination absolue quant à sa mission (C’en est une à présent) pour paraître sans ciller sur la scène du débat à Saint Louis, calme et maître de lui.

    Qui aurait pu, sans trembler, se présenter au public après une telle pelletée d’ordures ? Qui aurait su susurrer qu’Hillary serait en prison s’il était président ? Qui aurait eu l’audace de lui promettre un magistrat spécifique pour enquêter sérieusement sur l’ensemble de ses malversations, délits et crimes, coupant ainsi les ponts pour Hillary Clinton, qui sait désormais qu’elle doit vaincre ou payer ?

    Donald Trump, dans le maelström mondial qui va nous broyer, est l’homme de la situation, car il vient de prouver qu’il ne recule ni devant l’offense ni devant le danger.

    Georges Clément
    Président du Comité Trump France

    NDF

  • Marseille: 300 "antifascistes" contre 80 militants de l'Action française

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Marseille-300-antifascistes-contre-80-militants-de-l-Action-francaise-41910.html

  • « Taybeh, Dernier village chrétien de Palestine ». L’Orient des camps et ses derniers chrétiens

    thumb.jpg

     
    Télécharger en PDF et imprimer
     

    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    Virginie Nguyen Hoang, 29 ans est une photographe belge de presse, membre du Studio Hanslucas. Après des études de journalisme à Bruxelles, elle était partie vivre deux ans en Belgique avant de rentrer dans la capitale belge. Depuis Octobre 2014, elle travaille à Gaza sur un sujet au long cours baptisé Gaza, the Aftermath qui devrait bientôt faire l’objet d’un livre. Virginie Nguyen Hoang est aussi l’une des rares photographes de presse à avoir couvert la guerre civile ukrainienne toujours inachevée et actuellement la bataille d’Alep en Syrie. Il faut visiter son site et parcourir avec elle Gaza, l’Ukraine, Paris sous les attentats et Alep pour saisir la stratégie du chaos en cours qui nous ramène d’ailleurs à chaque fois à BHL ou Israël mais comme l’écrivait Voltaire : « Cherchez ceux que vous n’avez pas le droit de critiquer et vous saurez qui nous gouverne ».

    Puisque nous évoquons le drame de Gaza, camp de concentration à ciel ouvert, notons que Le Prix de l’Œuvre d’Orient a été décerné cette année à l’écrivain collaborateur d’Eléments , Falk Van Gaver et Kassam Maadi pour leur livre Taybeh, Dernier village chrétien de Palestine, publié aux éditions du Rocher. Ce livre expose la vie quotidienne d’un village de 1 300 habitants, situé à une trentaine de kilomètres de Jérusalem, non loin de Ramallah. Ce lieu souvent cité dans les écritures et comme le précise l’auteur « le village refuge de Jésus et ce livre est le refuge de mémoire des chrétiens de Palestine entre un passé pacifié et un avenir d’espérance. On y découvre la foi et le témoignage de ces chrétiens vivant entre l’islam et le judaïsme ».
    Le Prix littéraire de l’Œuvre d’Orient a pour objectif de récompenser une œuvre pour son regard positif sur les Chrétiens en Orient, parmi une sélection d’ouvrages de langue française parus durant l’année. Le Prix littéraire 2016 a été remis cette année par le Cardinal André Vingt-Trois à l’issue de la messe de l’Œuvre d’Orient le dimanche 29 mai 2016. En fait à l’unanimité, le jury a voulu récompensé un livre fort, d’une grande authenticité, qui expose la vie quotidienne de ce village situé dans les fameux territoires palestiniens qui se trouvent de l’autre côté du Mur de séparation. Sa particularité ? C’est d’être le dernier village entièrement chrétien de Terre sainte et donc un vestige vivant de cette Palestine chrétienne oubliée des médias comme des tours operator.

    Falk van Gaver y a passé deux ans et avec Kassam Maaddi, un jeune catholique de Taybeh, il en rapporté ce témoignage vivant du quotidien de ces grands oubliés, les Arabes chrétiens dont la vie se déroule entre société musulmane et occupation israélienne. Le récit est palpitant car ni catastrophiste ni militant, il nous entraîne au cœur d’une petite chrétienté enracinée et vivante qui espère encore et malgré tout, attachée à ces rites et à ces cérémonies à la paix et la tolérance religieuse contre tout espoir.

    Falk van Gaver, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, est journaliste, essayiste, écrivain-voyageur mais aussi philosophe. Après avoir résidé en Polynésie, il s’installe actuellement en Guyane.

    Taybeh, Dernier village chrétien de Palestine de Falk Van Gaver et Kassam Maadi. Éditions du Rocher, 189 pages, 17,90 euros. 

    METAMAG

  • Les Mathes (17) : le préfet annonce l’arrivée d’une cinquantaine de clandestins de Calais

    1610110430060106.jpg

     

    1h01

    La nouvelle est tombée vendredi. Le préfet de Charente-Maritime Eric Jalon a annoncé au maire de la commune des Mathes, Philippe Gadreau, qu’une cinquantaine de migrants de la « jungle » de Calais allaient être logés sur sa commune, dans un centre de vacances d’EDF.

     

    L’élu a demandé au représentant de l’Etat d’organiser une réunion publique sur sa commune pour répondre en sa présence aux questions des habitants.

    Sud-Ouest

    Les Mathes : environ 1800 habitants (Source)

  • Poutine à Paris: les hésitations de Hollande

    Par Solenn de Royer
    Mis à jour le 10/10/2016 à 20h44 | Publié le 10/10/2016 à 20h30

    Le chef de l'État n'ira pas à l'inauguration du centre culturel, mais pourrait recevoir Vladimir Poutine pour parler de la Syrie.

    Comment sortir du piège? Alors que la visite de Vladimir Poutine à Paris le 19 octobre, pour inaugurer un centre spirituel et culturel orthodoxe russe, se rapproche, François Hollande est confronté à un dilemme: faut-il ou non recevoir le président russe, qui vient d'opposer son veto samedi à la proposition française de résolution au Conseil de sécurité de l'ONU, réclamant un cessez-le-feu à Alep. «Je me pose encore la question», a admis le chef de l'État, samedi, dans un entretien à TMC accordé depuis les salons de la préfecture de Corrèze, en marge d'une visite dans son ex-fief électoral. L'interview était diffusée lundi soir. «Est-ce que c'est utile? Est-ce que c'est nécessaire?», s'est interrogé le chef de l'État.

    À huit mois de la présidentielle, Hollande se serait bien passé de cette délicate équation imposée par Moscou, qui a rappelé jeudi la visite prochaine de Poutine à Paris, alors que la crise syrienne est à son paroxysme. Même si cette visite - dont la date n'a toutefois pas été confirmée par le Kremlin et l'Élysée - est d'abord «privée», elle revêt un caractère symbolique fort - inaugurer une cathédrale en plein Paris pendant que l'armée russe bombarde Alep. Ce que le président russe, de plus en plus isolé sur la scène internationale, pourrait ne pas manquer de faire valoir. «Comment imaginer recevoir un dirigeant qui est le coorganisateur des bombardements d'Alep et qui a les mains pleines de sang?, interroge un proche du chef de l'État. Si le président reçoit Poutine, il faut que ça serve à la résolution de cette crise. Sinon, il ne doit pas le recevoir.»

    « S'il s'agit d'une réunion de travail constructive, alors oui, Hollande doit le recevoir. S'il s'agit de s'afficher à ses côtés pour une inauguration avec des flonflons, sûrement pas!»

    Un haut dirigeant socialiste

    Au comble de l'impopularité et alors que le volet international reste le moins attaqué de son bilan, François Hollande n'a pas droit à l'erreur. D'autant que le dilemme présidentiel a pris un tour très politique ces dernières heures en France. François Fillon a estimé que le chef de l'État devait «bien sûr» accueillir le président russe lors de son passage à Paris, tandis que Yannick Jadot, candidat à la primaire d'Europe Écologie-Les Verts (EELV), lui a demandé à l'inverse «d'annuler» cette visite. «Vous imaginez l'image, Vladimir Poutine, le boucher d'Alep, qui au fond est dans la négation de toute humanité en Syrie, venir faire inaugurer un centre culturel? L'humanité et la culture, c'est la même chose, c'est ce que détruit en permanence Vladimir Poutine», a affirmé l'eurodéputé, selon lequel Hollande «ne peut pas être dans une absolue contradiction avec les valeurs démocratiques que défend la France sur la scène internationale».

    «Ni rupture, ni complaisance»

    Fidèle à son sens de la synthèse, le chef de l'État devrait - selon nos informations - emprunter une ligne de crête: «Ni rupture, ni complaisance.» Dans un premier temps, il devrait refuser de s'afficher aux côtés du président russe pour l'inauguration du centre culturel; ce faisant, il éviterait de se voir reprocher faiblesse ou complaisance. Dans un deuxième temps: il tenterait de jouer les juges de paix en recevant Poutine pour un entretien exclusivement consacré à la Syrie. Et uniquement si Moscou donne des gages de bonne volonté dans le dossier syrien.

    «La France assume ses responsabilités et fera tout pour arrêter le massacre insupportable d'Alep, indique un conseiller. Ça ne veut pas dire couper les relations diplomatiques, ce qui n'arrange rien. Il faut voir quels échanges peuvent permettre d'arriver à une solution pour Alep. Mais il n'y aura pas d'échange hors de ce sujet.» Un haut dirigeant socialiste résume: «S'il s'agit d'une réunion de travail constructive avec Poutine, alors oui, Hollande doit le recevoir. S'il s'agit de s'afficher à ses côtés pour une inauguration avec des flonflons, ça non, sûrement pas!»

    En adoptant cette position d'équilibriste, Hollande cumulerait les avantages, veulent croire ses proches. «Un: il prend de la hauteur et reste fidèle à l'appel au monde à la tribune de l'ONU le mois dernier (il avait lancé un «appel» solennel pour que cesse les bombardements à Alep, NDLR), analyse un proche de l'Élysée. Deux: il enfonce un coin entre les pro-Poutine de droite et d'extrême droite, tout en coinçant Mélenchon sur son registre de la gauche morale. Bref, il coche toutes les cases.»

    À l'Élysée, on indique que des négociations avec Moscou ne font que commencer. «Il reste neuf jours pour faire en sorte que cette visite de Poutine en France puisse servir de levier pour la paix», conclut un diplomate.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 11/10/2016

  • Allemagne: le Syrien arrêté visait un aéroport berlinois

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/allemagne-le-syrien-arrete-visait-un-aeroport-berlinois-10-10-2016-6191849.php

  • Union européenne : Soros conseille un emprunt de 30 milliards par an pour financer le Grand remplacement

    g_soros.jpg

    George Soros, né György Schwartz le 12 août 1930 à Budapest, puis György Soros, est un financier milliardaire américain d'origine hongroise. Wikipédia

     

     

    10/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Après avoir financé l’invasion migratoire à hauteur de 500 millions de dollars, le milliardaire George Soros enjoint l’Europe à emprunter 30 milliards par an afin de finaliser son suicide.

    Déplorant le Brexit ainsi que la réapparition sur la scène politique de mouvements nationalistes, le financier américain tend à présenter aux peuples européens vieillissants, l’immigration de masse comme la solution aux problèmes économiques et sociaux. Manipulation ou optimisme béat, l’Europe réelle n’en reste pas moins présente pour témoigner de l’hécatombe socio économique que représente l’arrivée massive de peuples non européens.

  • Viry-Châtillon : «Je me suis mis sur lui pour l’éteindre», raconte un collègue du policier brûlé

     

    >Faits divers|Nicolas Goinard|10 octobre 2016, 20h08 | MAJ : 10 octobre 2016, 20h14|4

    Viry-Châtillon (Essonne), samedi. Vers 15 heures, deux voitures de police, qui étaient en faction en face de la cité sensible de la Grande-Borne, ont été assaillies par une quinzaine d’individus encagoulés. 

    DR
     
     
    Nicolas Goinard
     
    Faits diversSébastienJuvisyEssonneGrande Borne
     

    « J’appréhende de retourner sur le terrain. Depuis 12 ans que je suis affecté à Juvisy (Essonne) et je n’avais jamais vu ça… » Sébastien, 38 ans, est l’un des quatre policiers blessés samedi après-midi alors qu’ils surveillaient, au niveau du quartier de la Grande Borne à Viry-Châtillon (Essonne), une caméra qui avait fait l’objet de tentatives de destructions ces dernières semaines.  Son collègue de 28 ans,  aujourd’hui toujours plongé dans un coma artificiel, doit la vie à Sébastien. « C’est un héros », a réagi ce lundi matin Manuel Valls, le Premier ministre, en visite dans les locaux de la police à Juvisy-sur-Orge.

     

    « Je l’ai sorti de la voiture et je me suis mis dessus pour l’éteindre, raconte le policier. Je le connais un peu ce collègue, nous avons l’habitude de travailler ensemble dans ce quartier ».

     

    Des coups de poing pour les empêcher de sortir

     

    Samedi après-midi, Sébastien était installé côté passager dans une Peugeot 308 sérigraphiée, pour avoir un œil sur un carrefour de la D445 réputé pour ses vols à la portière. « On n’a pas vu les jeunes arriver », explique-t-il. « Ils ont été malins, c’était bien préparé. On était stationnés devant la (cité de la) Grande Borne, mais ils ont fait un grand tour en traversant devant le magasin Leclerc puis ils ont longé le mur de la caserne de pompiers pour nous surprendre. » Les deux voitures étaient stationnées côte à côte à 5 m d’intervalle.

     
     
     
        

    Les assaillants sont d’abord arrivés par l’arrière de la Renault Kangoo où se trouvait l’adjoint de sécurité du commissariat de Savigny-sur-Orge le plus grièvement blessé et sa collègue d’Athis-Mons. « Ils ont cassé les vitres, leur ont donné des coups de poing pour les empêcher de sortir et leur ont jeté les cocktails Molotov sur les genoux... »

    Le Parisien

    NdB: C'est que Cazeneuve appelle des "sauvageons"...

     

  • Florian Philippot sur LCP

    http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-lcp-49/

    La culpabilisation de la France qui  manque de "générosité" dans l'accueil des "réfugiés"!

    A voir absolument!

  • JAC

    Jac_dessin_Kadhafi_sarkozy_financement-140a1-6a659.jpg

  • Zones de non-droit en France : l'incroyable déni du gouvernement !

     

    Jordan Bardella.jpg

      

    Communiqués / 10 octobre 2016 / Étiquettes : /
     

    Communiqué de presse de Jordan Bardella, Conseiller régional d’Île-de-France et Président du Collectif Banlieues Patriotes

    « Il n’y a pas de zones de non-droit. » a déclaré en toute indécence le Premier ministre Manuel Valls lors d’un déplacement dans l’Essonne ce lundi 10 octobre.

    Alors qu’un fonctionnaire de police est entre la vie et la mort après une tentative de meurtre au cocktail Molotov par des criminels (qualifiés de simples « sauvageons » par Bernard Cazeneuve), que des journalistes ont été agressés à Sevran pour « ne pas s’être présentés » aux milices locales et à l’heure où des centaines de quartiers en France vivent sous la pression des trafics et de l’islamisme radical, ce déni de réalité confirme l’incapacité totale de ce gouvernement à assurer l’ordre et la sécurité de tous.

    « Mal nommer les choses, c’est ajouter du malheur au monde » : à minimiser et euphémiser constamment la réalité, nos dirigeants se condamnent à ne jamais régler les maux qui touchent notre pays.

    Quand la France ne subit pas les assauts des islamistes, elle subit ceux des racailles. Oui, des quartiers vivent aujourd’hui en France hors de la République. Le Front National décrit la réalité telle que la vivent nombre de nos compatriotes et de nos forces de l’ordre, légitimement indigné e​ s par ces dernières déclarations sidérantes du Premier Ministre.

    Le Front National souhaite réaffirmer urgemment l’autorité de l’État et son monopole de la violence légitime. N’ayons pas peur d’agir !

  • La presse mondiale relaye la vidéo de Trump aux propos jugés obscènes sur les femmes

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-presse-mondiale-relaye-la-video-de-Trump-aux-propos-juges-obscenes-sur-les-femmes-41877.html

    NdB: La consigne est mondiale: il faut absolument empêcher Donald Trump de devenir président. Un cousin de Bush a retrouvé cette vidéo vieille de 11 ans! Qui "horrifie" Hillary Clinton et 150 Républicains dont la pruderie n'a d'égale que l'hypocrisie.

    Le Huffington Post se réjouit! 

     

  • VIDEO - Isère: Des coups de feu tirés sur un futur centre d'hébergement pour clandestins

    http://www.ndf.fr/nos-breves/08-10-2016/isere-des-coups-de-feu-tires-sur-un-futur-centre-dhebergements-pour-clandestins/

  • Critiquer l’avortement sera puni. Voici pourquoi. Par Guillaume Faye

     

    9 octobre 2016 par Guillaume Faye

    Le 17 septembre, Mme Laurence Rossignol, ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes (1) a prévenu que mettre en garde contre le recours à l’avortement et, de fait, critiquer l’IVG allait devenir un délit, en particulier pour les sites Internet. Un nouveau pas restreignant la liberté d’expression vient d’être franchi. Quelle raison ? Le droit des femmes ? La protection de la ”maîtrise de leur corps” ? Nullement. Il s’agit d’une nouvelle arme dans l’arsenal ethnocidaire étatique. L’objectif dissimulé

    ici, pas forcément inconscient, est de favoriser l’avortement des Françaises autochtones ; et ce, en interdisant de divulguer à l’intention de celles qui hésitent à avorter des informations sur les dangers et les conséquences de cet acte.

    Rappelons ces chiffres inquiétants : il y a 220.000 avortements par an en France, dont 15.000 mineures ; et 35% des femmes ont eu recours au moins une fois à un avortement. Voilà qui entame sérieusement la natalité des Françaises.

    Stratégie anti-nataliste et pro–avortement

    Les sites ivg.net, sosgrossesse.net, sosbebe.org, accusés de ”propagande” par le gouvernement, proposent des solutions alternatives à l’avortement. Ils sont menacés par la ministre d’interdiction et de sanctions pénales. Du jamais vu. On se rapproche doucement des méthodes soviétiques. Le « délit d’entrave numérique à l’IVG » préparé par le gouvernement est pour beaucoup de politologues, dont le Pr. Dominique Reynié, une menace gravissime contre la liberté d’expression, qui ne cesse en France, de reculer. Sauf, à mon sens, pour le racisme anti-Français et anti-Blancs et sauf aussi pour la propagande islamique pro-terroriste, antisémite, christianophobe qui se déversent librement sur le web et ailleurs. 

    « Fournir des raisons de ne pas avorter est donc en train de devenir un délit », écrit l’auteur précité dans un article intitulé «  IVG : Laurence Rossignol veut transformer l’appel à la réflexion en délit » (Le Figaro, 27/09/2016). Il ajoute : « loin des précieux enjeux de santé, loin du légitime droit des femmes, le projet de créer un délit d’entrave numérique n’est que l’expression d’une radicalisation idéologique. C’est une nouvelle menace pour la liberté de penser ». Ce nouveau délit sera puni de trois ans de prison et 30.000 euros d’amende.

    Le « délit d’entrave numérique à l’interruption volontaire de grossesse » qui vise les sites Internet, mais pas seulement, s’inscrit dans une stratégie plus large, anti-nataliste et secrètement ciblée contre les femmes d’origine européenne. L’idéologie est : critiquer l’avortement doit devenir un délit réprimé au même titre que le ”racisme”, l’homophobie”, etc.

    Mensonges d’État sur l’avortement

    Mensonger et cynique, le site gouvernemental officiel (ivg.gouv.fr) parle des « soi–disant complications et traumatismes liés à l’IVG » évoqués par les sites incriminés qui informent des femmes tentées par une IVG ou forcées à le faire (souvent par les hommes qui ne veulent pas reconnaître un enfant) des dangers psychologiques et physiques ; ces sites, accusés de ”propagande” (terme stalinien) sont désormais menacés de poursuites judiciaires.

    Ce qui veut dire que l’avortement ne comporterait aucun risque. Mensonge éhonté. Un gynécologue d’opérette est mobilisé sur le site étatique pour affirmer que l’avortement se passe généralement comme une lettre à la poste. Totalement faux. Chacun sait, n’est-ce pas, qu’un avortement n’est pas plus traumatisant que l’extraction d’une dent cariée ? Quant au meurtre pur et simple que constitue l’élimination d’un fœtus, silence radio. Le délit puni sera donc, dans la loi, d’inciter à ne pas commettre ce meurtre. Cas unique au monde : il est interdit de dissuader les femmes de ne pas tuer, en avortant, les enfants qu’elles portent. 

    Or un avortement peut avoir des conséquences dramatiques, comme le cas de la jeune Priscilla, amputée des quatre membres suite à une IVG qui s’est mal passée (cf. Le Figaro, rubrique ”Sciences”, 07/09/2016).

    Le sens de l’idéologie abortive

    Le but dissimulé de l’État n’est donc pas du tout la défense des ”droits des femmes”, ni du féminisme. Dans un premier temps, on autorise l’avortement pour simple convenance ; dans un deuxième temps, il est libre et gratuit ou remboursé, puis autorisé en 2001 jusqu’à douze semaines de grossesse au lieu de dix et, dans un troisième temps, il est interdit et puni d’avertir les femmes des risques de l’avortement et de le critiquer. Être anti-avortement sera donc puni comme être ”raciste” (sauf racistes anti-Blancs évidemment), ”islamophobe” (malgré les attentats musulmans), ”homophobe” ou, peut-être bientôt gauchophobe ou écolophobe ? La logique totalitaire est bien installée en France. L’ombre de Robespierre veille.

    L’interdiction de la critique de l’avortement fait partie d’une politique globale répressive visant, depuis assez longtemps, à décourager la fécondité des Françaises de souche. L’idéologie abortive utilise évidemment le ” féminisme”, comme faux nez. Mais ce féminisme fallacieux est cyniquement instrumentalisé comme un prétexte grossier, d’autant plus que l’idéologie dominante flatte l’islam, qui est fondamentalement misogyne, homophobe et contre l’avortement. Mais, eux, ils en ont le droit, vous comprenez, il ne faut pas les stigmatiser. Contradiction ridicule et insurmontable.

    Ethnophobie anti– française et anti –européenne

    La maternité, voilà l’ennemie, essentiellement celle des Françaises de souche, si possible provinciales et catholiques. Tout est fait pour la décourager par une sorte d’ethnophobie symbolique. En revanche, la maternité prolifique des immigrées extra-européennes est la bienvenue. C’est l’encouragement au ”remplacement de population”, souhaité par les idéologues de gauche collaborateurs de l’islamisation. Et si cette maternité se passe dans le cadre d’une famille nombreuse hétérosexuelle catholique pratiquante (style La Manif pour Tous), on est soupçonné d’un comportement subversif.

    Une logique cohérente s’est mise en place avec ce gouvernement socialiste ; la pénalisation des critiques de l’avortement est associée à d’autres mesures qui forment un projet d’ensemble : la baisse des allocations familiales pour les classes moyennes de souche – qui a logiquement abouti à un recul des naissances –, le matraquage fiscal pour ces mêmes populations, les hausses de charges pour les aides familiales à domicile. La figure de la mère de famille autochtone au foyer est dévaluée et culpabilisée.

    Laurence Rossignol, qui est tout sauf respectueuse de la vraie laïcité, met en garde contre « le retour des intégrismes religieux », en désignant, comme sa collègue ministre Najet Valllaud–Belkacem, non pas le salafisme meurtrier (ce serait islamophobe) mais le catholicisme (!), celui de la Manif pour Tous contre le mariage homosexuel et l’officialisation à l’école de la délirante et calamiteuse ”théorie du genre”– niée officiellement mais bien réelle. La propagande et la déconstruction sociale opérées auprès des enfants (déviriliser les garçons, déféminiser les filles, dénaturer et déculturer tout le monde) s’inscrivent dans le même projet que la nouvelle restriction de la liberté d’expression précitée.

    Nouveaux projets de l’État contre la Nation

    Ce recul de la liberté d’expression – pour les Français de souche – ne cesse de s’aggraver en France, comme ont le voit avec le projet de loi « égalité et citoyenneté » actuellement en discussion, qui vise à renforcer – encore une fois !– tout l’arsenal répressif ”antiraciste”, ”islamophobe”, ”homophobe”, etc. et d’abolir pratiquement la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Ce projet, qui supprime le délai de prescription pour les textes publiés sur Internet, vise aussi à accroître les punitions pour les communes qui ne respectent pas les quotas de ”logements sociaux” – c’est à dire réservés aux immigrés non Européens, comme le rappelle le géographe Christophe Guilluy – imposés aux populations autochtones. La « mixité sociale » signifie en réalité ”mixité ethnique” imposée aux Français de souche, coupables de vouloir ”rester entre eux” et ne pas cohabiter avec certaines populations. Cette stratégie s’inscrit dans le même projet : miner, harceler, désespérer, déraciner le peuple français (européen) de souche, décourager les familles et leur reproduction.

    Concernant l’avortement, ma position n’est évidemment pas de l’interdire dans tous les cas, mais reprend celle que prône Marta Kaczynska, juriste et fille de l’ancien président Lech Kaczynski, dans une interview au JDD (09/10/2016) : « l’interdiction totale de l’avortement est illusoire et parfois dangereuse pour la femme. Il n’y a aucune situation dans laquelle les femmes ne devraient pas avoir le choix. Elles doivent pouvoir décider si elles gardent ou non l’enfant ». Les seuls trois cas où, selon elle, l’IVG doit être autorisée sont : un danger pour la vie de la mère, le diagnostic d’un futur enfant lourdement handicapé et peu viable et une grossesse suite à un viol.       

    (1) La qualification ”ministre des Familles” vise à affirmer que la famille hétérosexuelle traditionnelle est remplacée, pour l’État, par les familles ”recomposées”, les couples homosexuels, les familles monoparentales, voire (tolérance scandaleuse envers les musulmans) les familles polygames. Bref, le but est la destruction, même symbolique, de la famille française. Aucun pays au monde n’accepterait cela. 

  • Allemagne : Noël interdit dans une maternelle de Kassel

    5g8a28352.png Kassel.png

       

    Les autorités municipales de la ville de Kassel (Land du Hesse) ont averti la direction de l’école publique maternelle Sara-NußbaumHaus, que cette année on n’y installera pas d’arbre de Noël, qu’on n’y entonnera pas de chants de Noël et que tout ce qui pourrait rappeler l’esprit de Noël devra en être banni. La “raison” c’est que la maternelle accueille un grand nombre d’enfants musulmans et qu’il convenait donc de respecter la “diversité”. Un respect de la “diversité” pourtant mis à mal dans cet établissement puisque les petits Allemands sont privés de porc à la cantine… Environ 12 % des habitants de la ville de Kassel sont des étrangers ou d’origine étrangère.

    Source : HNA, 7 octobre 2016

    L'Observatoire de la christianophobie

  • Éric Zemmour est-il un apologiste du terrorisme ?

    zemmour-1498x660.jpg Zemmour.jpg

     

     

    Éric Zemmour a raison de considérer l’ennemi pour ce qu’il est. Il a tort de trop le considérer, d’en faire un égal.

    Juriste

    SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM

     
     
     

    Éric Zemmour est-il un apologiste du terrorisme ? La réponse est évidemment non. Toujours prêts à tomber sur Éric Zemmour, médias, politiques et juges ont encore saisi une occasion de faire un mauvais procès au polémiste. En cause, un entretien accordé au magazine Causeur dans lequel l’ennemi public numéro un affirmait « respecter les djihadistes prêts à mourir pour ce en quoi ils croient ». Si cette phrase n’a rien d’une déclaration d’amour au terrorisme, elle pose toutefois un autre problème, à mon sens tout aussi grave. Par ailleurs, elle s’inscrit dans un air du temps dit « néo-réac » qui montre de plus en plus ses limites. Dans un même ordre d’idées, Madeleine de Jessey, de Sens commun, écrivait immédiatement après les attentats du Bataclan : « Nos enfants ne résisteront aux sirènes de l’islamisme qu’à la condition d’être intégrés à une civilisation qui réponde à l’exigence de leurs aspirations. Il est temps de leur donner un idéal. »

    Ces deux situations illustrent l’impuissance d’une partie de la droite à appréhender correctement les phénomènes qui nous affligent. Non, des gens capables de se faire sauter le caisson au milieu d’une foule d’innocents un soir de 14 Juillet ne sont pas respectables. Ils ont envie de mourir parce qu’ils n’aiment pas la vie terrestre. Leur idéal est ailleurs. Le vrai courage consiste à affronter la mort en ayant peur de ce qui peut advenir. Le reste tient de l’inconscience. Éric Zemmour a, néanmoins, raison de prendre au sérieux les motivations des djihadistes. Contrairement à ce qu’affirment quelques psycho-sociologues gauchistes, les terroristes sont mus par des croyances politiques et religieuses. Ils servent un idéal et ne sont en rien des « paumés ».

    Mais cela ne devrait pas les rendre plus respectables, car cet idéal n’est pas bon. C’est là l’erreur majeure de l’auteur, qui bascule dans le relativisme sans même s’en apercevoir.

     Quant aux fameux idéaux alternatifs invoqués par des dames patronnesses en mal de sensations fortes, ils ne valent pas mieux que les discours victimaires propres à la deuxième gauche. Le terrorisme islamiste en France prospère sur le terreau fertile d’une jeunesse qui hait la France, qui la méprise et la pense faible. Il maquille le ressentiment d’ignares en romantisme postmoderne et martial. L’invocation du mantra républicain n’y pourra pas grand-chose de plus que les discours « néo-réacs » et « déclinistes ». En respectant ce qui n’est pas respectable, on ne fait pas œuvre de compréhension mais de fascination.

    Négation de la condition humaine, l’islamisme inverse la proposition d’Antonin Artaud pour qui « toute humanité veut vivre, mais elle ne veut pas payer le prix et ce prix est le prix de la mort ». Les djihadistes ne veulent pas vivre. C’est ce qui les éloigne irrémédiablement du domaine des vivants et fait d’eux des zombies. Doublement, parce qu’ils sont aussi les produits des errements présents de nos sociétés que décrivait Louis Pauwels dans son Monôme des zombies. Laxistes, les pouvoirs publics se sont montrés incapables de châtier ceux qui le méritaient quand il était encore temps de les redresser.

    Éric Zemmour a raison de considérer l’ennemi pour ce qu’il est. Il a tort de trop le considérer, d’en faire un égal. Toutes les cultures ne se valent pas. Toutes les guerres ne sont pas aussi légitimes moralement. Quand nous refusons d’admettre que les sains préjugés fondent les grandes civilisations, nous perdons. Chaque parcelle de notre âme collective est supérieure à la leur. Il est même inutile de s’abaisser à le prouver.

    BV