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GAELLE MANN - Page 453

  • La question du jour

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  • VIDEOS. Le frère de Salah Abdeslam "lui conseille de se rendre"

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/attentats-a-paris-le-frere-de-salah-abdeslam-lui-conseille-de-se-rendre-17-11-2015-5285651.php

  • « L’immigration d’aujourd’hui, c’est le terrorisme de demain »… mais aussi le danger actuel. Par Camille Galic

     15 novembre 2015 | Exclusivité Polémia

     
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    Camille Galic, journaliste, écrivain, Le Bataclan et le Casino de la corniche à Alger : autre temps, mêmes mœurs.

    Devant l’horreur, les déplorations, le deuil et les bougies allumées ne suffisent pas. Le monde politique mais aussi médiatique,, qui a si longtemps pratiqué la désinformation sur « l’immigration, chance pour la France », doit prendre conscience de ses abdications, de ses non-dits, de ses initiatives criminelles qui ont contribué à armer la main des terroristes.

    ♦ Car si la France a gagné la bataille d’Alger au début de 1958, rien ne dit qu’elle gagnera la bataille de Paris en 2016 si elle s’obstine à célébrer le culte des « valeurs républicaines » qui sont avant tout des valeurs antinationales.


    Ecoles, salles de spectacle et musées fermés. La conférence sur le climat qui devait s’ouvrir le 30novembre avec 195 délégations étrangères attendues aura-t-elle lieu ? Et quid des élections régionales prévues les 6 et 13 décembre mais dont on évoque déjà le report après les massacres du vendredi 13 à Paris et à Saint-Denis ? Près de 130 tués et 300 blessés dont 80 en « urgence absolue », expression imbécile. Comme, du reste, le titre du Point.fr sur « Un carnage commis par “M. Tout-le-Monde avec une kalachnikov” ». Sauf que les exterminateurs, dont huit sont également morts par autoexplosion ou sous les balles de la police, n’étaient pas « M. Tout-le-Monde » mais des ilotes de l’Etat islamique. Lequel, dès le lendemain, revendiquait la série d’attentats commis à Paris en précisant que l’opération avait été « soigneusement préparée » et que « la France demeurera une cible privilégiée tant qu’elle poursuivra la même politique au Moyen-Orient » – vers lequel faisait cap le Charles-de-Gaulle, le fleuron de notre marine.

    Un pays moralement désarmé

    En réponse à l’« acte de guerre », commis par « une armée terroriste, Daesh », le président de la République a convoqué ses ministres, annoncé pour le 16 novembre une réunion des Chambres en Congrès et un deuil national de trois jours mais on veut espérer qu’il ne se limitera pas à ces seules mesures. Si légitimes que soient le chagrin et la pitié devant une telle hécatombe, ce n’est pas cela qui empêchera de nouveaux « actes de guerre ».

    Mais notre pays a-t-il les moyens militaires et surtout moraux de se défendre ? Car l’écrivain marocain Tahar ben Jelloun n’a pas tort d’estimer que « c’est une guerre à armes inégales », l’Europe n’étant « pas en mesure d’affronter cette guerre que Daesh est déterminée à mener par tous les moyens » en ayant « recours à deux choses que la civilisation et les traditions européennes ne peuvent utiliser sans renoncer à leurs valeurs » :« l’instinct de mort » et l’effet de « surprise ». Si bien que « toute démarche pour prévenir se voit empêchée par la loi et le droit. Quel que soit le soupçon, quelle que soit son importance, la démocratie ne peut pas envahir une maison et arrêter ceux que la police soupçonne de préparer des attentats. »

    Un crime… contre « le vivre-ensemble » !

    Mais qui, au nom de valeurs débilitantes, nous a réduits à l’impuissance sinon la camarilla ayant naguère porté aux nues le sieur ben Jelloun dont le livre culpabilisateur, Le Racisme raconté à ma fille, fut en 1997 encensé par tous les médias et imposé dans toutes les écoles de la République ?

    Et cela continue. Maire de Paris « avec toute sa diversité », Anne Hidalgo s’est indignée, au lendemain du massacre, de ce crime commis contre « le vivre-ensemble ». Simultanément, les télés tentaient de faire diversion hors de nos frontières en insistant sur un mystérieux Allemand (d’ethnie inconnue) complice ou mentor des terroristes et sur la découverte d’un passeport syrien, « appartenant vraisemblablement à un kamikaze », trouvé sur le parvis du Stade de France cible des premières attaques (voilà qui rappelle le passeport égyptien de l’un des pilotes du 11 septembre 2001 miraculeusement retrouvé intact dans les décombres fumants du World Trade Center dont les deux tours avaient été abattues). Et de toutes parts des voix s’élèvent pour s’inquiéter de la recrudescence des contrôles « au faciès » (d’ailleurs condamnés le mois dernier par la Cour européenne des Droits de l’homme) et dénoncer « tout amalgame » entre les méchants kamikazes et nos si bons Beurs.

    La « cinquième colonne » existe, composée de 10.000 djihadistes.

    L’ennui est que les faits sont têtus. Sur le territoire national même a été passé le cap des 10.000 (*) individus, pour la quasi-totalité allogènes et jeunes, signalés pour leur « radicalisation » et dont le nombre a triplé en trois ans.

    Premiers secours

    Premiers secours

    Bien sûr, tous ne passeront pas à l’action directe, mais pratiquement toutes les villes, y compris dans la France profonde, ont désormais leur « zone de non-droit », qui est le plus souvent une zone de droit islamique. Les viviers sont donc nombreux et la surveillance quasi impossible, sauf à regrouper les « signalés » dans des camps de rétention, ce qui horrifierait les bonnes âmes… et quelques autres. En janvier dernier, n’est-ce pas d’ailleurs la dénonciation par Aymeric Chauprade d’une « cinquième colonne » à l’œuvre dans les cités qui avait provoqué la première rupture entre Marine Le Pen et le géopoliticien dont elle avait précédemment fait son conseiller, la tête de liste frontiste dans l’Ile-de-France lors des élections européennes de mai 2014 et le chef de la délégation FN à Bruxelles ?

    Le spectre de la bataille d’Alger.

    Le vendredi 13 novembre, jour de chance maximale selon la Française des Jeux (qui a pu du reste se vanter d’un nombre record de parieurs), les voltigeurs de pointe de cette cinquième colonne ont choisi, pour tuer, le Stade de France où avait lieu un match France/Allemagne, la salle de spectacles du Bataclan et plusieurs cafés et restaurants de quartiers très festifs de l’Est parisien.

    Curieusement, de tels lieux avaient aussi été les objectifs du FLN pendant ce qu’on appela la bataille d’Alger en 1957. Le mois de février fut particulièrement sanglant. Deux stades furent durement touchés pendant des rencontres dominicales, ceux de Belcourt

    Alger, 6/06/1957 - Bombe au Casino de la Corniche

    Alger, 6/06/1957 – Bombe au Casino de la Corniche

    et d’El Biar, ainsi que le casino de la Corniche qui se transformait le dimanche en salle de bal extrêmement fréquentée et où une bombe placée sous la piste de danse fit huit morts et des dizaines d’amputés des membres inférieurs, tous très jeunes. Egalement visés : deux cafés, le Milk-Bar et l’Automatic voisins des facultés et de plusieurs collèges et lycées et donc très prisés de la faune estudiantine.

    Ces cibles avaient évidemment été déterminées en raison de leur clientèle, très majoritairement européenne. Mais c’est aussi son mode de vie « décadent » et contraire aux enseignements du Coran que visaient les fanatiques. Près de soixante ans plus tard, n’a-t-on pas assisté à Paris au même schéma ?

    Au Bataclan, où l’on a déploré le plus lourd bilan (80 tués aux cris d’Allahou Akbar lancés par les assaillants dont trois ont finalement été abattus), se produisait le groupe californien Eagles of Death Metal dont un plumitif admiratif nous disait avant le drame que « les spectacles sont empreints de lascivité dans un esprit très sexe, drogues et rock and roll ». Les Eagles venaient d’entonner leur tube « Kiss the Devil » (Embrasse Satan) quand l’enfer s’est déchaîné.

    Le « mariage gay », encouragement au fanatisme.

    De même les rades du canal Saint-Martin et de la rue de Charonne sont-ils connus pour attirer les soirs de week-end des fêtards très gays, aux postures provocatrices. A la haine raciale et au désir de punir ceux qui avaient osé s’attaquer à l’Etat islamique en Syrie (fût-ce aussi timidement et tardivement que l’a fait la France, avec ses trois séries de raids sur des camps de Daesh) s’est sans doute ajoutée la volonté de frapper le pays qui s’enorgueillit d’avoir légalisé et encouragé le mariage homosexuel, une « abomination » condamnée par tous les imams. Depuis une quinzaine, les agressions de couples gays se sont d’ailleurs multipliées, notamment à Montpellier où sept « jeunes » ont rossé deux invertis qui proclamaient leur « droit à s’aimer en public ».

    A cet égard, le chef de l’Etat, son premier ministre, son garde des Sceaux et sa majorité parlementaire pourraient procéder à leur examen de conscience : dans la société plurielle qu’est devenue la France, où l’islam est la deuxième religion, et à n’en pas douter la plus dynamique, n’ont-ils pas mis leurs compatriotes en danger en promulguant une réforme propre certes à leur procurer les faveurs d’une fraction de l’électorat mais surtout propre à aggraver la fracture civilisationnelle ? Surtout alors que l’Etat est si cruellement démuni face à « la terreur qu’il faut répandre dans le cœur de l’ennemi, une terreur qui n’aura pas de fin » comme le préconise l’émir Abou Bakr Naji, l’une des têtes pensantes d’Al-Qaïda, dans son livre Gestion de la barbarie (éditions de Paris), qui serait devenu le manuel de l’Etat islamique.

    « Perdre son âme » ou la vie ?

    Si la bataille d’Alger fut finalement gagnée, c’est parce que les despérados s’étaient concentrés sur une seule ville, que les populations n’étaient guère imbriquées alors que, grâce à la fameuse « mixité sociale », les terroristes potentiels sont partout « chez eux chez nous », et parce que sur place existaient des troupes d’élite, paras et légion, surentraînées après deux ans de guerre. N’empêche qu’il fallut aux quatre régiments de la Xe Division parachutiste, assistée par le XIe Choc et des commandos marine, près d’une année pour démanteler les réseaux FLN et mettre fin aux attentats – en recourant parfois à des méthodes que la morale républicaine réprouve désormais et en prenant ainsi le risque de « perdre son âme ».

    Pour éviter de nouvelles boucheries, l’opinion émolliée par des décennies de paix et la tympanisante religion des Droits de l’homme est-elle prête à accepter un état d’urgence vraiment coercitif, des contrôles discriminatoires, voire le recours à la torture tant vilipendée si la vie d’innocents est à ce prix ?

    Le chef de l’Etat a promis de « nouvelles inflexions » de la politique sécuritaire. Il est permis de douter de leur efficacité s’il garde comme ministre de l’Intérieur un Bernard Cazeneuve qui déclarait le 5 août 2014 sur RTL que « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad », prêchait la mise au pas d’Internet aux fins essentiellement d’y pourchasser le révisionnisme et l’islamophobie et, tout récemment, condamnait le sénateur Jean-Louis Masson qui, le 13 octobre, lors du débat sur le nouveau droit des étrangers, avait lancé cet avertissement : « L’immigration d’aujourd’hui, c’est le terrorisme de demain. »

    L’attitude face à l’actuel tsunami migratoire donnera la mesure de la prise de conscience annoncée. En effet, Mehdi Ben Nasr n’est sûrement pas le seul chef d’Al-Qaïda ou de quelque autre groupe islamiste à s’être introduit clandestinement en Europe (plus précisément en Sicile, le 4 octobre) en se faisant passer pour « réfugié ». Par tous les moyens, l’Europe doit donc s’ériger en « forteresse » et la France doit donner l’exemple, refusant l’accès à tous les migrants politiques ou économiques et renvoyant chez eux, manu militari, tous les demandeurs d’asile déjà installés. En matière de terrorisme, la main-d’œuvre naturalisée est déjà suffisamment nombreuse sans faire appel à des supplétifs étrangers.

    Certes, pour le pape François qui s’en est ouvert à Jacques Gaillot, « les migrants sont la chair de l’Eglise ». Mais, devant les chairs meurtries des victimes d’une terreur aveugle, il faut faire un choix.

    Camille Galic
    14/11/2015

    (*) Chiffre annoncé par Manuels Valls sur TF1, au 20 Heures du 14/11/2015.

    Correspondance Polémia – 15/11/2015

     

  • VIDEO : Premières secondes de l’attaque au Bataclan

    http://www.bvoltaire.fr/videos/video-premieres-secondes-de-lattaque-au-bataclan,219351?mc_cid=2f59b4dbae&mc_eid=0b0d8f3739

     

    Cette vidéo est terrible, malgré sa brièveté, ou peut-être à cause de sa brièveté.

    Nous sommes en plein concert. Un amateur filme. Soudain, un bruit que beaucoup sur place ont pris pour des effets pyrotechniques. Mais sur scène, un guitariste comprend immédiatement ce qui se passe – ou peut-être le voit-il – et s’enfuit de scène.

    Le moment où tout bascule.

    (pas de code d'intégration)

  • Entretien avec Robert Ménard

         

    « On ne peut pas accepter qu’on nous refasse le coup de Charlie une deuxième fois »

    Robert Ménard, maintenant, on fait quoi ?

    François Hollande a dit hier soir que la France allait être « impitoyable ». J’aimerais que ce soit le cas. Qu’on ne reste pas dans le commentaire, dans le pathos. Un chef d’État, lorsqu’il parle à la nation au lendemain d’un massacre comme celui d’hier, n’a pas le droit de tromper ses concitoyens.

    Alors, que faire ? D’abord, nous avons des services secrets. Il faut leur donner le feu vert : élimination systématique n’importe où dans le monde des islamistes directement mêlés aux attaques d’hier soir. Il ne faut pas « neutraliser » ces gens. Il faut les abattre.

    Ensuite, il faut vider l’eau du bocal. Que les commandos islamistes ne soient pas comme des poissons dans l’eau. Arrestation immédiate de tous les islamistes fichés S. Pas de places en prison ? Ce n’est pas le sujet. Nous sommes en guerre. Création de camps de prisonniers.

    Fermeture immédiate de toutes les mosquées mêlées à l’activité islamiste radicale. Expulsion des imams et des fidèles étrangers liés à ces mosquées radicales. Surveillance ou arrestation de ceux naturalisés ou convertis.

    Expulsion effective et immédiate des immigrés provenant de régions en guerre qui n’auront pas obtenu le statut de réfugié. Cesser d’importer la guerre. Là encore, ne pas renforcer de milieux où les islamistes peuvent être comme des poissons dans l’eau.

    Sur un plan municipal, le maire que je suis constate qu’une fois encore les polices municipales ont été appelées en renfort hier soir. On ne peut pas exposer nos hommes sans leur donner des moyens de riposte identiques à leurs collègues nationaux : pistolets-mitrailleurs, pouvoir d’investigation. C’est un minimum.

    Ce sont des mesures très dures…

    Il en faudra sans doute d’autres. Mais que veut-on ? Attendre un autre attentat pour les prendre ? Pour autant, ces mesures ne sont pas suffisantes en elles-mêmes. Il faut réarmer mentalement le peuple français. Il faut des chefs à la tête de notre pays. Il faut cesser de parler cette novlangue qui tue l’instinct de combat. Je le redis : parler, comme le font tous les officiels depuis hier soir, de « neutralisation », c’est se moquer du monde. Avoir peur des mots est indécent au regard des morts d’hier soir.

    Commençons par nommer l’ennemi : l’islamisme. Cet islamisme qui, aux yeux de centaines de millions d’individus dans le monde, est le vrai islam. On ne parle pas d’un groupuscule de 5.000 types fanatiques. On parle d’un courant fondamentaliste, majoritaire à certains endroits, dans l’islam. Avez-vous entendu dire cela depuis hier ? Non. C’est donc la preuve que la classe politique comme les médias n’ont rien appris.

    Dans ce contexte, faites-vous confiance à François Hollande ? Que pensez-vous de l’unité nationale demandée par la classe politique ?

    Unité dans le combat, oui. Unité pour masquer les responsabilités, pour anesthésier les consciences, non ! On ne peut pas accepter qu’on nous refasse le coup de Charlie Hebdo une deuxième fois.

    Si le gouvernement prend des mesures comme celles que j’évoque plus haut, alors, oui, on pourra aller vers l’unité. Nous en avons besoin car nous sommes en guerre. Mais parce que nous sommes en guerre, nous ne pouvons pas accepter une unité du mou, du flou et de la sidération. Rassembler le Congrès lundi. Pour quoi faire ? Quel ordre du jour ?

    Il se tient aujourd’hui une grande réunion internationale sur la Syrie. Pensez-vous que ces attentats vont infléchir notre diplomatie ?

    Je ne le sais pas. En tous les cas, ils fournissent à Laurent Fabius un prétexte pour enfin changer de position. Cela fait deux ans que je dis qu’il faut aider Bachar el-Assad à écraser les islamistes. Tous les idiots utiles de la bien-pensance médiatique s’y refusaient. Bachar fait la guerre à ceux qui nous font la guerre.

    Face à nos ennemis, nous ne devons plus hésiter et rejoindre la Russie dans une alliance pour liquider le plus possible d’islamistes là-bas. Avant qu’ils ne viennent ici.

    BdVoltaire

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Congrès de Versailles : le coup de gueule de Stéphane Ravier




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    Sur Facebook, le sénateur-maire FN de Marseille écrit :

    Aujourd’hui en congrès de Versailles, c’était opérette et mesurettes. Un discours musclé de François Hollande qui a du mal à cacher la réalité :

    – Aucune mesure pour lutter contre l’endoctrinement islamiste sur notre sol.
    – Le terme « islamiste » n’a pas été employé une seule fois !
    – Rien sur les mosquées et imams salafistes.
    – Rien sur la politique d’immigration en général et les « réfugiés » en particulier d’où un terroriste au moins est issu.
    – Aucun recrutement pour nos armées.
    – 5.000 policiers et gendarmes supplémentaires pour 2017 pour atteindre le niveau de 2007 !

    Le tout enveloppé dans le papier cadeau d’une réforme constitutionnelle dont la pertinence reste encore à démontrer.

    NDF

  • L'accident du TGV reste inexpliqué: 11 morts, plusieurs blessés

    http://www.levif.be/actualite/international/l-accident-de-tgv-reste-inexplique/article-normal-434081.html?utm_source=Newsletter-16/11/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

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    Ce ne serait pas un attentat...

  • Auteurs des attentats : des « jeunes », des fichés « S » et des « migrants » !

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    16/11/2015 – FRANCE (NOVOpress) Attentats de Paris : l’enquête avance et plusieurs assassins ont été identifiés. Parmi eux, plusieurs « jeunes » porteurs de papiers français, dont certains résidaient en Belgique, des individus fichés « S », dont un bien connu des forces anti-terroristes et deux « migrants ». Le commanditaire, résident en Belgique, aurait aussi été identifié.

    Bernard Cazeneuve, lors de sa conférence de presse déclarait : « Les attentats abjects qui nous ont frappés vendredi ont été préparés à l’étranger et ont mobilisé une équipe d’acteurs situés sur le territoire belge, qui ont pu bénéficier de complicités en France. » Il était en deçà de la vérité, puisqu’au moins quatre « Français » ont déjà été identifiés parmi les terroristes qui ont semé la mort vendredi soir à Paris.

    Le premier à avoir été identifié est Omar Ismaël Mostefaï, 29 ans, né en banlieue parisienne et fiché pour radicalisation, qui s’est fait exploser lors de l’attaque du Bataclan. « Il s’est radicalisé à Chartres », où la police l’a « repéré » en 2010, a déclaré le maire LR de Chartres, Jean-Pierre Gorges, précisant que le jeune homme avait quitté la ville en 2012. Il y vivait de petits trafics de drogue.
    Ismaël Mostefaï aurait par ailleurs effectué un séjour en Syrie. Son passage a été attesté en Turquie, porte d’accès traditionnelle au territoire syrien, à l’automne 2013. Des sources proches des services de renseignements assurent que le jeune homme est ensuite rentré en France. En avril 2014, il a été observé en compagnie d’un petit groupe de salafistes de Chartres. Sa fiche S avait été renouvelée le 12 octobre 2015.
    Six personnes de l’entourage d’Omar Ismaël Mostefaï ont été placées en garde à vue ce week-end et leurs domiciles, situés respectivement à Romilly-sur-Seine (Aube) et Bondoufle (Essonne), ont été perquisitionnés.

    Un autre « Français », Bilal Hadfi, né le 22 janvier 1995, est impliqué dans l’un des attentats-suicides commis à proximité du Stade de France. Et un troisième, Ibrahim Abdeslam, né le 30 juillet 1984, a actionné sa ceinture d’explosifs lors de l’attaque du Comptoir Voltaire. Ces deux derniers résidaient en Belgique.
    Comme souvent dans les cellules terroristes, les membres étaient très proches afin de garantir un haut degré de confiance et de secret. Ainsi, trois frères « français » sont impliqués dans les attentats. Deux d’entre eux sont directement impliqués dans les attentats sont Ibrahim Abdeslam, mort lors des attaques, Mohamed Abdeslam, qui est en garde à vue en Belgique et Salah Abdeslam.
    Ce dernier est activement recherché et un appel à témoins ainsi qu’un mandat d’arrêt international ont été lancés. Il est âgé de 26 ans, mesure 1m75 et a les yeux marron. Il est né le 15 septembre 1989 à Bruxelles.

    Salah Abdeslam est activement recherché dans le cadre de l'enquête sur les attentats du 13 novembre.

    Salah Abdeslam est activement recherché dans le cadre de l’enquête sur les attentats du 13 novembre.


    Un autre terroriste du Bataclan vient d’être identifié. Il s’agit de Samy Amimour, un Français, né en 1987 à Paris et originaire de Drancy. Un homme qui est déjà bien connu de la justice antiterroriste. Il a « été mis en examen le 19 octobre 2012 pour association de malfaiteurs terroristes et placé sous contrôle judiciaire », a indiquant le parquet précisant qu’il s’agissait alors d’un « projet de départ avorté vers le Yémen ».

    Le passeport syrien, qui a été retrouvé près du corps de l’un des sept assassins morts vendredi avait déjà été identifié comme appartenant à un « migrant » enregistré en Grèce au mois d’août, selon Athènes. Le titulaire de ce document d’identité et entré le 7 octobre en Serbie où il a demandé l’asile. « L’un terroristes présumés, auquel s’intéressent les services de renseignement français, a été enregistré le 7 octobre de cette année au poste de douane de Presevo où il a formellement demandé l’asile », indique dans un communiqué le ministère serbe de l’Intérieur. « Il n’y avait pas de mandat d’arrêt d’Interpol à l’encontre de cette personne », ajoute-t-il. Ahmad Al Mohammad, né en septembre 1990 en Syrie, serait inconnu des services de police. Selon M6, il aurait passé 38 heures sur l’île grecque de Leros, à partir du 3 octobre, avant de rejoindre la France. Il avait été inscrit en tant que « réfugié ».

    Le passeport syrien retrouvé près du cadavre de l'un des terroristes du Bataclan.

    Le passeport syrien retrouvé près du cadavre de l’un des terroristes du Bataclan.

    Selon une source policière grecque citée par l’AFP, un deuxième homme recherché par les autorités dans le cadre des attaques d’hier a été enregistré en Grèce. il pourrait s’agir de Abbdulakbak. B.
    La chaîne de télévision Mega ajoute que cet homme était passé par l’île de Leros, au mois d’août. Enfin, un passeport égyptien a en outre été retrouvé près du corps d’un des kamikazes du Stade de France, selon les informations de France 2.

    Contrairement à ce que beaucoup de porte-parole officiels et d’homme politiques affirmaient, les responsables de la sécurité en Europe redoutent depuis longtemps que des jihadistes puissent s’être glissés parmi les centaines de milliers de personnes en provenance de Syrie qui sont arrivées dans l’Union européenne cette année, notamment via les îles grecques.

    Enfin, un homme de 27 ans, Abdelhamid Abaaoud, a été désigné par les enquêteurs comme étant le contact privilégié des kamikazes. Ce Belge d’origine marocaine, qui a grandi à Molenbeek près Bruxelles, aurait supervisé la série d’attaques menée à Paris, en lien direct avec l’un des terroristes. C’est d’ailleurs vers la Belgique que les hommes en cavale auraient pu se rendre, et c’est à Molenbeek que la police a procédé à sept interpellations ce week-end. Cette banlieue de la capitale belge est connue pour être un « fief islamiste ». L’auteur présumé de la tuerie du musée juif de Bruxelles, Mehdi Nemmouche, y aurait séjourné.

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    Abaaoud est considéré comme l’un des pires bouchers de Daesh en Syrie. Abou Omar Soussi (son nom de guerre) s’était fait connaître lorsque, dans une vidéo postée en mars 2014, il est apparu au volant d’un 4×4, traînant quatre corps martyrisés d’hommes tués par l’État islamique. Il est également connu pour avoir enrôlé au sein de Daesh son petit frère, alors seulement âgé de 13 ans. Par ailleurs, le nom d’Abdelhamid Abaaoud était déjà apparu dans l’enquête sur une série d’attaques déjouées en Belgique au mois de janvier dernier. Il avait déjà été identifié comme le cerveau de ces attaques, celui qui dictait les ordres et qui finançait l’opération. Suite au démantèlement de sa cellule jihadiste belge, il aurait fui et se cacherait dans un autre pays, peut-être la Grèce. Son téléphone portable avait lors de l’enquête en janvier été localisé en Grèce. Il se trouve que c’est également en Grèce que le passeport syrien retrouvé près d’un kamikaze du Stade de France a été enregistré. La suite de l’enquête dira si un lien est à établir entre ces deux informations.

  • Attentats de Paris : la responsabilité écrasante de l’exécutif français

    Le 16 novembre 2015

     

      ...La république française, comme le révèle le président François Hollande dans un entretien avec le journaliste Xavier Panon, a en effet fourni des armes aux « rebelles » syriens dés 2012. Par l’intermédiaire de la DGSE, ce sont des canons de 20 mm, mitrailleuses, lance-roquettes, missiles anti-chars qui auraient été livrés aux rebelles dits « modérés », en violation de l’embargo mis en place l’été 2011 par l’Union Européenne.

    Un conseiller de l’Elysée admet également auprès de Xavier Panon :

    « Oui, nous fournissons ce dont ils ont besoin, mais dans la limite de nos moyens et en fonction de notre évaluation de la situation. Dans la clandestinité, vous ne pouvez agir qu’à petite échelle. À moyens limités, objectifs limités. »...

     

    Au moins 3 terroristes seraient arrivés en tant que « réfugiés »

     

     Le journal grec Protothema publie les noms et les billets de traversée des deux terroristes recherchés Ahmed Almuhamed et Mohammed Almuhmed, passés par la Grèce avant de se rendre en Serbie. Ils sont arrivés en Grèce le 3 octobre, ont rejoint l’île grecque de Leros les 3 et 4 octobre....

    TERRE ET PEUPLE

     

  • GLON

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  • Le drame parisien soulève le problème des cellules djihadistes "dormantes"

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    Des attentats à Paris (novembre 2015) (81)
    556861

    L’existence des cellules islamistes radicales en Belgique est connue depuis longtemps, et les gens qui y sont impliqués ont été considérés comme "dormants" jusqu’à présent, soit jusqu'aux attaques terroristes à Paris le 13 novembre. Que doit faire l'Etat pour protéger ses citoyens?

     

    Suite aux attentats meurtriers perpétrés à Paris vendredi dernier, beaucoup s'interrogent sur des moyens pour éviter une tragédie pareille à l'avenir et réfléchissent au problème des cellules djihadistes "dormantes", a estimé l'ex-rédacteur du journal Libre-Belgique Michel Rosten. 

    "L’existence des cellules islamistes radicales au sein de la Belgique, notamment dans les environs de Bruxelles, c’est quelque chose d’avéré depuis assez longtemps. Le problème qui se pose est que les gens qui y sont impliqués à l’heure actuelle étaient "dormants" jusqu’à présent", a déclaré le journaliste à Sputnik. 

    Et d'ajouter qu'il y avait quelques commanditaires qui étaient connus, et on avait pu les arrêter à la suite des attentats, notamment à Verviers. 

      

    "Pour la plupart, les gens qui sont impliqués dans l’affaire à Paris étaient des gens qui étaient connus pour leur radicalisation et qui n’étaient pas connus pour des agissements hautement répréhensibles, comme ce qui vient de se produire", a indiqué M.Rosten. 

    Selon ce dernier, il n'est toutefois pas facile de trouver le moyen de faire face à cette situation.  

    "Déchoir de la nationalité française+, comme l’a demandé (le premier ministre français) Manuel Valls, est un problème extrêmement complexe compte tenu de la situation sociale dans les pays occidentaux, de l’Europe occidentale", relève le journaliste. 

    Il explique que l’Etat est d’une certaine manière démuni face à ce problème, dans la mesure où certaines prescriptions constitutionnelles doivent rester en application en toute circonstance. 

    "Sauf maintenant, en France, où l’état d’urgence permet à la police de procéder à des investigations à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit", relève l'ex-rédacteur de Libre-Belgique. 

    Le journaliste rappelle que l’Etat est tenu de respecter ses propres règles et ne peut pas notamment déchoir de la nationalité les gens qui n’en ont pas d'autre. On ne peut pas en faire des apatrides. 

    Pour M.Rosten, la radicalisation se produit très rapidement à partir du moment où les individus se sentent rejetés.  

    "Il s'agit des gens qui se trouvent marginalisés, qui, forcément, n’ont pas de formation nécessaire pour occuper des fonctions au sein de la société, des fonctions respectables. Ce sont des gens qui sont rejetés, qui se sentent rejetés, et qui se radicalisent donc", a constaté le journaliste en conclusion.  

    Par ailleurs, le Comité P (la police des polices) a déploré dans son rapport en octobre dernier d'énormes lacunes existant en Belgique concernant le suivi des présumés djihadistes "dormants".

     

    Le 13 novembre au soir, plusieurs fusillades et attentats-suicide quasi simultanés ont visé six points de Paris et sa proche banlieue. Trois kamikazes ont notamment actionné leurs charges explosives près du Stade de France, à Saint-Denis. L’attaque la plus meurtrière a frappé la salle de concert du Bataclan, où les terroristes ont tiré à bout portant sur la foule. 

    Selon le dernier bilan, on déplore au moins 132 morts et 352 blessés. Une centaine de personnes hospitalisées sont toujours dans un état critique.



    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151116/1019571214/cellules-djihadistes-radicalisation-belgique.html#ixzz3rggLlBFn

  • Pour 23, "ce n'est pas l'islam" !

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    Ce n’est pas l’islam ?

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    C’est ce qu’a déclaré le cardinal André Vingt-Trois ce soir à Notre-Dame de Paris: "Je suis pour le moins sceptique."

    Le cardinal serait-il imam pour juger de ce qui est et de ce qui n’est pas musulman ? Bon nombre de spécialistes du Coran savent bien que l’islam enseigne la conquête par la force. D’ailleurs, c’est ainsi que l’islam s’est répandu. Pourquoi ce besoin pressant de masquer la vérité ?

    RIPOSTE CATHOLIQUE

  • Trois tweets

    Capture.PNG Elysée.PNG

    Capture.PNG Sarkpzy.PNG

    Capture.PNG migrant.PNG

     

  • Nicolas Bay sur RFI

    Note : la version vidéo publiée par RFI n’est pas complète (3 minutes manquantes)
    Nicolas Bay, Secrétaire Général du Front National, était l’invité de la matinale de RFI.
    Autres invités : Pascal Cherki (PS) et Georges Fenech (LR)

  • EN DIRECT. Hollande devant le Congrès : «La République détruira le terrorisme»

    http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-attentats-de-paris-francois-hollande-va-s-adresser-au-congres-16-11-2015-5281665.php

    NUL !

  • Deux autres "kamikazes" identifiés

    16 Nov. 2015, 10h20 | MAJ : 16 Nov. 2015, 15h38

     
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    Samy Amimour a été identifié comme l'un des kamikazes du Bataclan.
    Samy Amimour a été identifié comme l'un des kamikazes du Bataclan.
    DR

    Deux nouveaux kamikazes responsables des attentats de Paris ont été identifiés. L'un est né en Syrie, l'autre est un Français déjà mis en examen dans un dossier terroriste, selon un communiqué du procureur de la République, diffusé ce lundi

    Le premier terroriste identifié est un des trois kamikazes du Stade de France, près duquel un passeport syrien avait été retrouvé.

     Ce passeport est au nom de Ahmad Al Mohammad, né le 10 septembre 1990 à Idlib (Syrie). Son authenticité reste à vérifier, indique le parquet, mais il existe une concordance entre les empreintes papillaires du kamikaze et celles relevées lors d’un contrôle en Grèce en octobre 2015.

    Selon les autorités grecques, Ahmad al Mohammad avait été enregistré sur l'île de Leros, en face des côtes turques, le 3 octobre dernier. Il a quitté la Grèce à une date inconnue et a été repéré pour la dernière fois en Croatie quelques jours plus tard.

    Toutefois, le ministre allemand de la Justice, Heiko Maas, s'est montré très prudent concernant ce passeport. «Nous savons que EI (est connu) pour laisser de telles fausses pistes pour politiser et radicaliser la question des réfugiés en Europe», a-t-il déclaré à la chaîne de télévision publique ARD. Il faut «faire preuve d'une très, très grande prudence jusqu'à ce que les choses soient claires», a-t-il ajouté. «Il n'y a aucun lien prouvé entre le terrorisme et les réfugiés sinon peut-être un seul : les réfugiés fuient en Syrie les mêmes personnes que celles qui sont responsables des attentats à Paris», a-t-il dit.

    Le second terroriste identifié par les enquêteurs français est un des kamikazes du Bataclan. Samy Amimour, né le 15 octobre 1987 dans le XIVe arrondissement à Paris, dont nous dévoilons la photo en exclusivité, originaire de Drancy (Seine-Saint-Denis), était connu des services de renseignement. Il avait été mis en examen le 19 octobre 2012 pour association de malfaiteurs terroriste «après un projet de départ avorté vers le Yémen» avant d’être placé sous contrôle judiciaire, selon le parquet de Paris. Il «avait violé son contrôle judiciaire à l’automne 2013 et un mandat d’arrêt international était délivré contre lui», a encore précisé la même source.

    Selon iTélé, il était conducteur de bus à la RATP. La Régie a confirmé qu'il avait quitté l'entreprise en 2012 après y avoir travaillé quinze mois.

     

    Une de ses sœurs, âgée de 22 ans, pourrait faire partie des personnes interpellées, ce lundi matin, en France. Trois personnes de son entourage familial se trouvent en garde à vue depuis ce lundi matin. Amimour s'était rendu il y a environ deux ans en Syrie après s'être radicalisé en France, selon sa famille rencontrée il y a quelques semaines lors d'un reportage en Seine-Saint-Denis. Il y était encore au moins à l'été 2014, et sa famille a expliqué que ses espoirs de le voir rentrer en France s'étaient récemment encore amenuisés, Samy Amimour s'étant marié sur place.

    A ce stade, cinq terroristes tués ont donc été identifiés. Les trois premiers identifiés sont  :
    - Bilal Hadfi, 30 ans, un des trois kamikazes du Stade de France
    - Brahim Abdeslam, 31 ans, qui s'est fait exploser boulevard Voltaire, sans faire de victime sauf lui. 
    - Omar Ismaïl Mostefaï, 29 ans, qui a participé à l'attaque du Bataclan

    Le parquet indique que les identifications se poursuivent.
     
    LE PARISIEN
  • Bataclan : Manuel Valls interpellé par un père de famille en colère (Màj : Sa fille au nombre des victimes )

    WGCX8gM.png Nathalie Jardin.png

     

    23h03

    Une jeune femme originaire de Marcq-en-Baroeul, Nathalie Jardin, se trouvait au Bataclan le vendredi 13 novembre, le soir du concert des Eagles of death metal. Sa famille, qui n’avait pas de nouvelles d’elle jusqu’à ce dimanche, vient d’apprendre son décès.

     

    Nathalie Jardin travaillait ce soir-là à la salle de concert qui accueillait le groupe de rock américain Eagles of Death Metal. Régisseuse lumière au Bataclan depuis novembre 2011, elle était très appréciée des milieux musicaux lillois et de la région. [...]

    La Voix du Nord

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    Alors qu’il se rendait Gare du Nord, le Premier ministre Manuel Valls a été interpellé par un père de famille, encore à la recherche de sa fille qui était au Bataclan, deux jours après l’attentat qui a fait au moins 89 morts dans cette salle de spectacles parisienne. « Je peux même pas avoir de nouvelles de ma fille, (…) je ne sais même pas où elle est, c’est inadmissible dans ce pays. Personne n’est capable de me donner des nouvelles de ma fille« .