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GAELLE MANN - Page 570

  • « Voir des migrants s’installer en pleine campagne, ce n’est pas banal »

    11h31

    Pour désengorger la ville de Calais (Pas-de-Calais), une quarantaine de demandeurs d’asile venus notamment d’Afrique de l’Est ont élu domicile à Pouilly-en-Auxois, un petit village de 1 600 habitants, en Côte-d’Or. Reportage.

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    Depuis bientôt trois mois, Pouilly-en-Auxois (Côte-d’Or) vit au rythme d’une cohabitation inédite. Depuis l’arrivée début février d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, les 1 600 habitants de ce petit village bourguignon oscillent entre craintes et bonnes surprises. Il faut imaginer le choc pour cette commune rurale, qui a vu débarquer d’un coup une vingtaine de migrants, venus s’installer en bordure du village. « Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai éclaté de rire », raconte une voisine, jeudi 23 avril. « Voir des migrants s’installer en pleine campagne, ce n’est pas banal », ajoute dans un sourire la jeune femme de 34 ans.

    L’ancienne caserne de la gendarmerie, en bordure du village, accueille désormais 40 migrants. Imaginé par l’Etat pour désengorger la ville de Calais, ce nouveau foyer géré par la société Adoma peut accueillir jusqu’à 60 personnes. L’expérience est une première en la matière. Corinne Fournier, la responsable du centre, n’a pas d’autre exemple sur lequel s’appuyer pour favoriser l’intégration des demandeurs d’asile dans ce territoire rural : « Notre rôle est d’abord de leur apporter un accompagnement social et administratif. En trois mois, ils ont déjà récupéré une humanité, ils dorment, se lavent et se sentent en sécurité. » [...]

    « Ils ont des avantages que les Français n’ont pas »

    Sur la place du village, entre la boulangerie et le bureau de tabac, beaucoup d’habitants ne cachent pas leur hostilité. « Je ne suis pas raciste, mais, avant d’aider des gens à des milliers de kilomètres, la France ferait mieux de s’occuper de ses propres enfants qui crèvent dans la rue », s’énerve une habitante. « Ils ont des avantages que les Français n’ont pas, c’est une injustice criante. »

    Les demandeurs d’asile touchent l’allocation temporaire d’attente, fixée à 11,45 euros par jour (soit un peu moins de 350 euros par mois). Et si les passants reconnaissent que les migrants du centre restent « tranquilles et discrets », beaucoup pointent du doigt ces aides sociales. « J’élève mon petit garçon malade avec 420 euros par mois, et eux, on leur donne tout… », proteste Céline, 31 ans, qui explique avoir voté Front national pour la première fois aux élections départementales. A Pouilly, le FN est arrivé en tête du premier et du second tour.

    « On ne peut pas accepter toute la misère du monde »

    « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde. » La phrase de Michel Rocard revient très souvent dans la bouche des habitants. Elle est aussi inscrite sur un tract du Parti de la France. Ce mouvement d’extrême droite et ses militants se sont invités à Pouilly, début avril. « Ils sont allés dans le centre Adoma pour coller des affiches et se sont mis à boire des bières devant le bâtiment », raconte Bernard Milloir, le maire du village, sans étiquette.

    Les premières semaines, Bernard Milloir a reçu de nombreuses lettres pénibles à lire. Des insultes qui se sont multipliées après l’épisode des crêpes au château de Chailly, évoqué notamment par Le Bien public. Cet hôtel quatre étoiles a invité les migrants pour la fête de la Chandeleur. La réception et l’implication du maire, qui a accompagné les demandeurs d’asile en voiture, ont provoqué des remous.

    « Nous ouvrir un peu l’esprit »

    Les paroles échangées vont parfois loin. « A leur arrivée des migrants, une personne âgée m’a demandé si je n’avais pas peur qu’ils violent ma fille… », raconte une commerçante. Plus récemment, les travailleurs du centre d’accueil ont eu la désagréable surprise de découvrir leurs pneus crevés.

    « La bêtise vient d’une méconnaissance des migrants et de leur situation », veut croire un habitant. Si une partie de la population reste sur ses gardes, certains se sont fortement mobilisés pour accueillir les nouveaux résidents avec le concours des associations caritatives. Marylin, une mère de famille de 39 ans, porte un regard bienveillant sur leur arrivée : « Ça peut nous faire du bien, nous permettre de nous ouvrir un peu l’esprit. » Dans cette optique, Adoma a prévu vendredi 24 avril une soirée de rencontres avec les habitants pour laquelle chaque demandeur d’asile a préparé des plats de son pays.

    « Avec un ballon, on parle tous la même langue »

    Dans le foyer, seuls deux migrants comprennent bien le français. Pour améliorer la communication, les résidents suivent des cours dispensés par 23 bénévoles du centre social. Bernard Van Vlaenderen, un vétérinaire à la retraite, vient deux fois par semaine pour transmettre quelques bases à un groupe d’une dizaine de personnes.

    « En France, on roule à droite, à droite. » Dans un mélange de français et d’anglais, Bernard fait un point sur la sécurité routière. Le centre vient de recevoir une donation de huit vélos et la responsable s’inquiète pour la sécurité des migrants.

     

    Mercredi, le club de football de Pouilly a accueilli pour la première fois une douzaine de demandeurs d’asile lors de son entraînement. Un match amical a été organisé entre deux équipes mélangeant joueurs du club et migrants. « Ce soir, pendant au moins deux heures, vous faites partie du club de foot de Pouilly, tout le monde vous accueille les bras ouverts », lance Samuel Charreau, l’entraîneur, avant d’être traduit en arabe par l’un des migrants.

    Le club de foot de Pouilly souhaite désormais leur proposer de revenir chaque semaine à l’entraînement et d’intégrer éventuellement l’équipe en septembre. « Avec un ballon, on parle tous la même langue, et j’espère que cette initiative permettra de changer un peu le regard des habitants », confie Samuel Charreau.

    France TV Info

  • Viols en Centrafrique : des soldats du Tchad et de Guinée équatoriale incriminés (MàJ)

    21h05

    30/04/15

    Viols en Centrafrique : des soldats du Tchad et de Guinée équatoriale incriminés

    Des soldats tchadiens et de Guinée équatoriale sont également accusés par un rapport de l’ONU d’abus sexuels sur des enfants en Centrafrique, où des militaires français sont déjà mis en cause, selon une ONG jeudi. Il s’agit de trois soldats tchadiens et deux équato-guinéens, a précisé à l’AFP la codirectrice de l’ONG américaine AIDS-Free World, Paula Donovan, qui a consulté le rapport et l’a communiqué au journal britannique The Guardian.

    (…) Le Point


    Viols en Centrafrique : l’enquêtrice de l’ONU interrogée par la justice française

    L’immunité de cette fonctionnaire des Nations-Unies n’a pas été levée comme le réclamait le parquet de Paris. Mais elle a témoigné par écrit pour confirmer ses accusations.

    (…) Nouvel Obs


    29/04/15

    Les faits se seraient produits entre décembre 2013 et juin 2014, à Bangui, la capitale de la République Centrafricaine. Dans un camp de réfugiés près de l’aéroport, où des milliers de personnes ont fui les combats. Au printemps 2014, l’ONU lance une enquête : des militaires français sont soupçonnés d’abus sexuel sur une dizaine d’enfants. Les faits sont tus, et l’ONU garde le silence sur l’affaire. Jusqu’à l’intervention d’une responsable humanitaire, qui a contacté le Guardian pour révéler le dossier au grand jour.

  • La citation du jour (Julius Evola)

     

    Philippe Delbauvre

     

    Varia
    La citation du jour (Julius Evola)
    « Il est important, il est essentiel que se constitue une élite, qui, dans un recueillement soutenu, définira, avec une rigueur intellectuelle et une intransigeance absolue, l’idée en fonction de laquelle il faut s’unir, et affirmera cette idée sous la forme, surtout, de l’homme nouveau, de l’homme de la résistance, de l’homme debout parmi les ruines. S’il devait nous être donné de surmonter cette période de crise et d’ordre vacillant et illusoire, c’est à cet homme, et à lui seul, qu’appartiendrait l’avenir. Mais quand bien même le destin que le monde moderne s’est créé, et qui maintenant est en train de l’emporter, ne pourrait-il être contenu, grâce à de telles prémisses les positions intérieures seront tenues : en quelque circonstance que ce soit, ce qui devra être fait sera fait, et nous appartiendrons à cette patrie qu’aucun ennemi ne pourra jamais occuper ni détruire. »

    Julius Evola
     
    VOXNR
  • NAUFRAGES DE CLANDESTINS ET FALSIFICATION DE LA GEOGRAPHIE

     

    NAUFRAGES DE CLANDESTINS  - Quand les immigrationnistes falsifient la géographie

    Quand les immigrationnistes falsifient la géographie



    Jean Pierinot
    le 28/04/2015
    modifié le 28/04/2015 à 16:32h
    Les immigrationnistes mentent. Le site italien Voxnews a relevé qu'après le dernier naufrage de clandestins, tous les médias italiens avaient évoqué à l’unisson « un massacre dans le canal de Sicile ». La presse française a fait de même. 

    « Le décompte macabre des morts dans le canal de Sicile se poursuit », c’est ainsi que Le Monde a commencé son article à faire pleurer dans les lofts. « Naufrage meurtrier dans le Canal de Sicile », ont ensuite titré Les Échos. « Canal de Sicile » encore dans Le Parisien et dans Libération. Le Figaro a remporté la palme en expliquant avec assurance que le bateau avait fait naufrage « en plein milieu du canal de Sicile ». 

    Or il suffit de regarder une carte pour constater que le naufrage a eu lieu à 60 milles nautiques des côtes libyennes, 100 milles de la Tunisie (qui n’a pas levé le petit doigt) et … 250 milles du canal de Sicile, lequel sépare la Sicile de la Tunisie.

     

    On veut bien faire la part de l’ignorance des journaleux. Mais, comme le souligne Voxnews, la distorsion est tout sauf innocente. Le message qu’il s’agit en effet de faire passer est clair : « C’est arrivé dans le canal de Sicile, donc ça doit être de notre faute. Parce que “ça doit l’être”. Parce que vous devez vous sentir coupables : ceux qui commandent comptent là dessus ». Et de fait, les mêmes médias qui redessinent allègrement la géographie titrent aussi sur « l’Europe démunie », « l’Europe sommée d’agir », « l’Europe au pied du mur ». 


    Si les médias se contentaient de parler, conformément à la vérité, de « naufrage au large de la Libye », l’effet serait tout autre et puis surtout, cela nous amènerait en France forcément à parler du responsable : Nicolas Sarkozy. 
     
    METAMAG
  • Israël fait sa propagande au Népal tout en laissant Gaza en ruines

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Israel-fait-sa-propagande-au-Nepal-tout-en-laissant-Gaza-en-ruines-32628.html

  • VIDEO. Rafale : le Qatar signe un contrat de 6,3 milliards d'euros pour 24 appareils

    http://www.leparisien.fr/economie/rafale-le-qatar-s-apprete-a-signer-pour-36-appareils-30-04-2015-4736621.php

  • Centrafrique: Hollande sera "implacable" si des militaires se sont "mal comportés"

    http://www.leparisien.fr/international/centrafrique-hollande-sera-implacable-si-des-militaires-se-sont-mal-comportes-30-04-2015-4736799.php

    + VIDEO

  • Un tweet de Damien RIEU

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  • SOS Education

  • Quand Marcel Pagnol parlait de l’enseignement des humanités


    Marcel Pagnol et le latin par tverny

      

     

    Extrait :
    « – On dit que […] le latin est une triste chose bien inutile, qu’en pensez-vous ?
    - Il serait très dangereux de supprimer ce que l’on appelle les humanités ». […] Tous mes camarades qui étaient en latin-sciences sont passés devant ceux qui
    n’avaient pas fait de latin. […] Il me semble qu’il y a deux sortent de gens : ceux qui savent le latin et ce qui ne le savent pas.
    […]
    Croyez-vous que les études latines donnent une vision du monde plus large ?
    Plus large, et surtout plus humaine, ce n’est pas pour rien qu’on les appelait les humanités. Le latin, c’est la base de la culture générale, surtout pour nous autres,
    latins. Je pense que ce qui a fait la supériorité et le renom de l’Italie, de la France, de l’Espagne, c’est parce que c’était des peuples latins et on connaissait le latin encore beaucoup mieux autrefois grâce à l’énorme influence de l’église.
    - En supposant qu’on diminue le nombre d’heures du latin, vous croyez que l’esprit même de notre civilisation basculera ?
    - Sans aucun doute !

    NDF

  • Islam : stop aux accoutrements prosélytes !

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    Faut-il être crédule ou de mauvaise foi pour s’obstiner à croire que des jupes noires qui traînent jusqu’au sol et des robes de type abaya sont des tenues neutres ?
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    Il y a vingt-six ans déjà, Lionel Jospin, alors ministre de l’Éducation, avait commis l’erreur de ne pas légiférer sur le port du voile lors du conflit opposant deux collégiennes de Creil à leur établissement scolaire. Il fallut attendre 2004 pour qu’un texte ambigu interdise les signes religieux ostentatoires à l’école. Mais le mal était fait. Les femmes voilées se multipliaient, allant jusqu’à arborer des vêtements emblématiques de l’islam radical, telle la burqa, proscrite de l’espace public en 2010. Chacun sait que la loi n’est pas respectée dans certains quartiers, et contournée dans d’autres.

    Sarah est une élève de quinze ans, scolarisée à Charleville-Mézières. Elle porte depuis un an le hijab, qu’elle enlève avant de se rendre en classe. Mais elle arbore également une longue jupe noire que la direction du collège a jugée « non laïque » et qui lui a valu d’être exclue de cours à deux reprises. Colère des parents, qui contestent le bien-fondé de la décision. Fausse naïveté de l’adolescente, qui feint d’ignorer la polémique sous prétexte qu’elle a acheté le vêtement incriminé chez Kiabi pour deux euros. Parti pris de la presse, qui diffuse un visuel ne montrant pas la jupe en entier. Temporisation du rectorat, qui affirme tenter de nouer un dialogue avec la famille. Crétinisme des réseaux sociaux, qui bêlent au racisme et à la discrimination en balançant sur Twitter des photos de NKM et Marine Le Pen en robes longues, comme si elles avaient quoi que ce soit de comparable avec l’accoutrement de cette jeune fille. Depuis 2014, plusieurs dizaines de musulmanes ont été rappelées à l’ordre, pour des faits similaires, par des proviseurs dont il convient d’applaudir le courage.

    Faut-il être crédule ou de mauvaise foi pour s’obstiner à croire que des jupes noires qui traînent jusqu’au sol et des robes de type abaya sont des tenues neutres ? Elles sont le signe d’une appartenance communautaire, d’un marquage identitaire, d’une revendication à la fois religieuse et culturelle, d’un rejet de l’Occident et d’une transgression insidieuse des lois républicaines. C’est une annexion progressive du territoire par l’importation de codes, de modes de vie et de pensée qui prétendent empiéter sur les nôtres pour mieux les phagocyter. Un habit qui évoque fatalement l’Arabie saoudite est le reflet d’un état d’esprit et non un effet de style. C’est, le plus souvent, un acte de prosélytisme et, au minimum, un signe d’adhésion à une autre civilisation. C’est ce qui nous définit et ce qui nous positionne dans – ou hors de – la société. Se voiler et se vêtir comme les femmes des pays islamistes n’est pas anodin ; y succomber dès l’adolescence suggère un refus précoce et durable d’assimilation.

    L’aveuglement doit cesser. Pour ce faire, l’habituation, la banalisation doivent cesser. L’islam s’infuse peu à peu dans la rue, dans les commerces, dans les programmes scolaires, dans l’alimentation, dans le calendrier, sur les lieux de travail. Il est sanctifié par les mêmes politiques et médias qui dédaignent le christianisme et l’Histoire de France. Il bénéficie de traitements de faveur expiatoires. Résister n’est pas de la xénophobie mais de l’instinct de survie. Une partie des Français l’a bien compris. Mais certaines cervelles de colibri n’ont pas encore pris la mesure du cataclysme sociétal en gestation. Combien de millions de voiles et de longues jupes noires faudra-t-il pour dissiper l’épais brouillard du déni ?

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Trop vrai

    En ce moment, j’essaie de me faire des amis en dehors de Facebook tout en appliquant les mêmes principes 
     

     Alors, tous les jours, je descends dans la rue et j’explique aux passants ce que j’ai mangé, comment je me sens, ce que j'ai fait la veille, ce que je suis en train de faire, ce que je vais faire ensuite …

     

     J’écoute aussi les conversations des gens et je leur dis «j’aime ! ». ou "je n'aime pas"
    Et ça marche !
      

    Résultat : j’ai déjà trois personnes qui me suivent : deux policiers et un psychiatre. 

     

  • Une collégienne musulmane interdite de collège à cause d'une jupe trop longue

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    L'histoire a été révélée par le journal «L'Ardennais». - Capture d'écran Twitter

    Charlotte Murat

    On connaissait le problème des jupes trop courtes, moins celui des jupes trop longues. Sarah K., une jeune fille de 15 ans scolarisée en 3e au collège Léo-Lagrange de Charleville-Mézières (Ardennes), s'est vue refuser l'accès à l'établissement scolaire les 16 et 25 avril à cause de sa jupe jugée trop longue, rapporte L'Ardennais. L'élève, de confession musulmane, porte le voile, mais elle l'enlève «tous les matins avant d’entrer au collège», précisent ses parents.

    La directrice du collège estime que sa jupe ne respecte pas la loi sur la laïcité datant de 2004. Elle explique aux parents de l'adolescente en colère dans une lettre que ce texte «interdit ce port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse. La poursuite de cette tenue provocante interdira son accueil en classe.»

    Laïcité: Ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas dans l'espace public

    Une jupe achetée «chez Kiabi pour deux euros»

    La loi sur la laïcité à l'école n’interdit pas en revanche «les accessoires et les tenues qui sont portés communément par des élèves en dehors de toute signification religieuse». «Cette jupe n’a vraiment rien de particulier, elle est toute simple, elle n’a rien d’ostentatoire. Il n’y a aucun signe religieux du tout», a répliqué Sarah dans les colonnes de L'Ardennais, précisant qu'elle l'avait achetée «chez Kiabi pour deux euros».

    «Quelques élèves portent également des tenues jugées ostentatoires et nous sommes en train de discuter avec certains parents pour que la charte de laïcité puisse s'exprimer pleinement», a précisé à l'AFP Patrice Dutot, l'inspecteur académique des Ardennes. Selon le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), 130 cas de lycéennes ou collégiennes interdites de cours pour des tenues «jugées abusivement ostentatoires» ont été recensés en 2014.

    20minutes

     

     

     

  • Le FN Stéphane Ravier souscrit à la théorie du «grand remplacement»

    arton68528.jpg Stéphane Ravier.jpg

     

    Arthur Berdah

     

    Intérieur
    Le sénateur-maire de Marseille a déploré, lors d'un conseil d'arrondissement capté par les caméras de France 3, «un problème économique, social et identitaire».

    «Je ne participe pas de cette vision complotiste». Interrogée en novembre dernier sur le concept de «grand remplacement», théorisé par l'écrivain Renaud Camus, la présidente du Front national Marine Le Pen s'était clairement désolidarisée de cette doctrine, pourtant chère à l'extrême-droite. À l'instar de sa nièce, Marion Maréchal-Le Pen, qui a quant à elle épousé en février dernier cette crainte de voir disparaître «les Français de souche». De même que Stéphane Ravier, sénateur-maire FN de Marseille, qui considère pour sa part qu'il y a, à Marseille et en France, «un processus de remplacement, de grand remplacement».

    Une considération à laquelle s'est livré l'édile lors d'un conseil d'arrondissement, soulevée à l'époque par La Marseillaise et captée par les caméras de France 3 lors du film Marseille à l'épreuve du FN, visionné par le Scan avant sa diffusion ce jeudi soir. «C'est un problème économique, social et identitaire», dénonce ainsi le parlementaire, regrettant que son opposition municipale lui «conteste aujourd'hui de pouvoir mettre des crèches chez (lui)» pendant qu'ils «subventionnent la construction de mosquées». «C'est vous qui êtes en dehors de la République, ce n'est pas moi. Moi je ne fais qu'appliquer la loi», a-t-il encore lancé.

    «Je t'en foutrai du vivre ensemble»

    S'il assure se «plier à la loi sur la laïcité», il se dit «emmerdé» par les «ayatollah de la laïcité», des «laïcards de merde» qui «commencent à les lui briser». Il regrette également l'organisation d'une «énième semaine de lutte contre le racisme qui va nous coûter les yeux de la tête et ne fera pas avancer le Schmilblick». Des prises de position radicales au sujet desquelles le Marseillais, contacté par le Scan, a refusé de s'expliquer.

    Le documentaire réalisé par Christophe Lancellotti dépeint un élu qui semble éprouver une véritable répugnance à l'égard de la notion de «vivre ensemble». Ainsi, alors qu'il relit dans son bureau le discours écrit par l'un de ses collaborateurs pour ses vœux de nouvelle année, Stéphane Ravier bute sur cette fameuse expression. «C'est pas trop mon vocabulaire ça, le ‘bien vivre ensemble'. Je ne vais pas pouvoir m'empêcher de faire la grimace», estime-t-il alors, avant de tout bonnement supprimer la formule. Et de finalement conclure: «Vivre ensemble. Je t'en foutrai du vivre ensemble».

    source

    Le Figaro lien

    VOXNR

  • Djihad : Valls annonce la création d'une structure pour "prendre charge des jeunes de retour de zones de conflit"

  • Les subventions délirantes de la région Lorraine

    10h20

    « Les élus du Front national, emmenés par Thierry Gourlot, n’en ont pas cru leurs yeux quand ils ont découvert, début avril, la liste des subventions qu’il leur était proposé de voter au conseil régional de Lorraine présidé par le socialiste Jean-Pierre Masseret. Thierry Gourlot, président du groupe FN et membre du comité central du parti, a beau faire de la politique depuis quelques décennies, il a frôlé l’émerveillement !

    - 2 500 euros à une école d’arts martiaux pour un projet intitulé : « J’apprends à me défendre (1re année) » dont le but, c’est écrit noir sur blanc sur le document en notre possession, est de « favoriser le développement de la pratique des sports de combat pour les mères de famille d’origine étrangère » !

    - 4 000 euros en faveur du Printemps algérien de Villerupt – commune de Meurthe-et-Moselle et non du Constantinois –, une « manifestation intercommunale valorisant le patrimoine culturel, artistique et artisanal, ainsi que les us et coutumes de l’ensemble des ethnies formant l’Algérie » ! Quel rapport avec la Lorraine ? Mystère.

    - 10 000 euros ont été accordés à un centre culturel turc basé à Metz pour rémunérer un « ombudsman ». Un quoi ? L’ombudsman, qui est un mot suédois, désigne une sorte de médiateur qui intervient pour régler les litiges entre le citoyen et l’Etat. Il semblerait qu’entre les Turcs et l’administration française, il y avait des différends à éclaircir, qui nécessitaient l’intervention d’une tierce personne.

    - le même centre culturel a encore bénéficié de 10 000 autres euros l’action « Pour l’émancipation des femmes par l’expression ». On n’est pas certains qu’il s’agisse du développement de l’expression de langue française.

    - 4 000 euros versés à l’Association meusienne pour l’accueil des travailleurs migrants (Amatrami) pour une opération de « soundpainting ». Le soundpainting, explique l’Amatrami, est « le langage gestuel permettant la composition spontanée et pluridisciplinaire de création artistique collective »

    Le Salon Beige

  • Christiane Taubira, une absence remarquée aux obsèques d'Aurélie Châtelain

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    800 personnes ont pu pénétrer dans l'église, les autres se sont recueillies à l'extérieur.                                                   

    Plus de 1000 personnes sont venues rendre un dernier hommage à la victime du terrorisme. Manquait la ministre de la Justice Christiane Taubira qui avait annoncé sa venue.


     

    Vive émotion aux obsèques d'Aurélie Châtelain ce mercedi à Caudry, sa ville. La cérémonie s'est tenue au sein de la basilique Saint-Maxellende. La jeune femme de 32 ans aurait vraisemblablement été tuée il y a une semaine par Sid Ahmed Ghlad, qui voulait lui dérober son véhicule pour mener un projet d'attentat contre des églises à Villejuif. Environ 1.200 personnes, selon France 3 Nord Pas de Calais, ont ainsi assisté aux obsèques de la professeur de danse et conseillère municipale. Dimanche, 3.000 personnes avaient déjà défilé en son hommage. La presse locale raconte que le discours de Blandine, la petite soeur d'Aurélie, a particulièrement ému l'assistance.

    La fille d'Aurélie Châtelain pupille de la nation

      En revanche, la ministre de la Justice Christiane Taubira n'était pas présente, contrairement à ce qu'elle avait annoncé la veille. Dans la matinée, ses services de sécurité étaient déjà sur zone, à baliser le terrain, mais la ministre n'est finalement pas venue. Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports était lui présent mais a refusé de commenter l'absence de Christiane Taubira.

    Toujours selon les informations de France 3 Nord Pas de Calais, François Hollande a contacté les proches d'Aurélie Châtelain dans la journée pour leur adresser ses condoléances. Il leur a également annoncé que Juliette, la fille de la victime, serait pupille de la nation. Ce statut, hérité de la première guerre mondiale, signifie que l'on est «adopté par la nation» et que l'Etat verse à l'enfant de quoi financer ses études, ses frais de logement, d'habillement, ses soins, ses vacances, etc.

    LE FIGARO

  • HUMOUR ?

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  • Une fidèle de Jean-Marie Le Pen dénonce une opération «téléguidée» contre «son» président

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    LE SCAN POLITIQUE- Marie d'Herbais de Thun, qui a claqué ce jeudi la porte du parti, croit savoir que «ce qui arrive au président d'honneur du FN a été téléguidé» par Gilbert Collard, Gilles-William Goldnadel et Louis Aliot. Ce dernier annonce au Scan qu'il va porter plainte en diffamation.

     
     
     

    Elle entend sortir par la grande porte. Marie d'Herbais de Thun, présentatrice historique du blog vidéo de Jean-Marie Le Pen, a annoncé ce mercredi soir aux Inrocks sa décision de quitter le Front national. «Il n'y aura pas de 400e journal de bord. J'ai choisi de m'auto-exclure du FN comme ça je ne leur laisse pas l'opportunité de me virer sans ménagement», a-t-elle ainsi lâché à l'hebdomadaire. Avec, dans son viseur, l'avocat Gilles-William Goldnadel, le député RBM (Rassemblement Bleu Marine) du Gard, Gilbert Collard, ainsi que le vice-président du Front national, Louis Aliot.

    Car tous trois sont coupables, selon celle qui est aussi l'amie d'enfance de Marine Le Pen, d'avoir organisé la chute du président d'honneur du parti, depuis l'épisode de la «fournée» de l'année dernière, jusqu'à celui, plus récent, de l'interview à Rivarol. «J'en ai marre de voir mon président se faire marcher dessus sans pouvoir répondre. Tout le monde se tait au FN mais ce qui arrive aujourd'hui à Jean-Marie Le Pen a été téléguidé, j'en ai la preuve», assure-t-elle ainsi au magazine.

    «Appeler d'urgence un spécialiste des thérapies complotocomportementales»

    Avant de détailler le déroulé de la fameuse opération: «Le lendemain de la diffusion de la vidéo, Louis Aliot et Gilbert Collard ont dîné avec l'avocat Gilles-William Goldnadel proche de nombreuses associations antiracistes afin de déclencher une polémique autour du mot ‘fournée'. La direction du FN veut se débarrasser de Jean-Marie Le Pen et tous les prétextes sont bons», estime-t-elle encore. Regrettant de n'avoir pour l'heure «pas réussi à (le) prévenir. Je ne sais pas comment il réagira (...) mais je ne pouvais pas tolérer d'avantage qu'on l'humilie».

    «C'est du délire, de l'affabulation et de la connerie pure! Mais elle est coutumière du fait...», s'emporte Louis Aliot, joint par le Scan, et qui assure déjà vouloir déposer une plainte en diffamation. «Il faut contacter d'urgence un spécialiste des thérapies complotocomportementales», s'amuse quant à lui Gilbert Collard. «J'ai immédiatement appelé un centre hospitalier pour demander son internement», moque-t-il ainsi auprès du Scan, assurant n'avoir «pas vu ni eu Gilles-William Goldnadel depuis environ un an».

     

    LE FIGARO