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GAELLE MANN - Page 582

  • « Agée de neuf ans et enceinte » après voir été violée par 10 pédophiles de l’Etat Islamique

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    21h00

    Des travailleurs humanitaires oeuvrant en Irak viennent de révéler que des fillettes âgées seulement de 9 ans ont été violées et torturées par les soldats de l’Etat Islamique

     

    Des milliers d’Irakiens appartenant à la communauté Yazidi vivent désormais dans des camps de réfugiés de guerre. Parmi eux des centaines de femmes et d’enfants Yazidi qui avaient été pris en otages par le brutal régime islamiste ISIS ont été relâchées cette semaine après plus de huit mois de captivité.

    Mais les bénévoles travaillant dans ces camps transitoires de fortune pour réfugiés ont déjà dénombré un nombre impressionnant de personnes traumatisées à vie par le groupe djihadiste qui mène une guerre sanglante dans la région.

    Les travailleurs humanitaires décrivent le cas d’une fillette de neuf ans, enceinte après avoir été violée par 10 hommes différents, qui risquait de mourir pendant son accouchement en raison de son jeune âge et de son état de faiblesse général.

    « Même une césarienne pourrait lui être fatale » a prédit le travailleur humanitaire canadien Daoud.

    « Les abus qu’elle a subi l’ont physiquement et mentalement traumatisé à vie »

    Les combattants de Daesh ont décidé de libérer 200 femmes et fillettes qui avaient été prises en otages l’été dernier lors d’intenses combats au nord de l’Irak. Des dizaines de milliers de Yézidis, une ethnie minoritaire habitant principalement dans le Kurdistan, avaient été attaqués en août 2014.

    Des centaines avaient été tués durant les combats mais on estime qu’il reste toujours à ce jours près de 4000 filles détenues par les militants djihadistes.

    Les travailleurs humanitaires expliquent que si ces 200 filles ont été libérées, ceci est dans le but bien précis de leur faire ressentir honte et disgrâce auprès de leurs familles respectives.

    « Si ces femmes étaient mariées avant d’avoir été capturées, il est évident que leurs maris ne les reprendront jamais et n’accepteront jamais leurs bébés non plus »

    Traduction FDS du Daily Expresset du International Business Times 

  • « Jamais sans mon voile »

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    17h56

    Dans les banlieues apparaissent des femmes dont on n’aperçoit même plus les yeux. Un phénomène qui dérange au pays de la laïcité.

     

    Mon boulanger était habitué à me voir en débardeur moulant quand je m’arrêtais, après mon jogging, pour acheter une boisson énergétique », dit Fatiha, 29 ans. Elle affirme qu’il a été heureux de la découvrir, un matin, intégralement voilée. « C’est un bon musulman », précise-t-elle. [...]

    Fatiha, qui vit à côté d’un commissariat, n’a jamais été verbalisée. Ailleurs, d’autres l’ont été plusieurs fois. La prudence règne. Personne n’a oublié qu’à Trappes, en juillet 2013, de violentes échauffourées avaient suivi le refus de Cassandra Belin, une femme intégralement voilée, de se soumettre à un contrôle d’identité…

    Ce serait pourtant une erreur de ne pas voir que le voile intégral fait débat, au sein même de la « communauté ». Beaucoup prétendent qu’il n’a pas sa place en France. Ainsi cette étudiante en biologie, couverte du hidjab, qui confie : « Le niqab me dérange, mais je respecte. » Au nom de ce même respect, personne non plus pour dire que le voile intégral est la face apparente de la radicalisation. La partie émergée de l’iceberg.

    Ces converties, qui ont choisi la clôture au cœur des villes, confient toutes que, entre la loi et les recommandations religieuses, elles ont choisi. Mais elles prétendent ne pas faire de politique. « Cette prédominance de la religion sur la citoyenneté est le résultat du travail des Frères musulmans, affirme la journaliste libanaise Nahida Nakad, auteur

    de “Derrière le voile”. Ce sont eux qui expliquent que tout musulman appartient d’abord à la Oumma, la nation musulmane. A travers le Conseil du culte musulman, leur place a été institutionnalisée en France. » [...]

    Si la plupart des terroristes se réclament du salafisme, tous les salafistes ne sont pas des terroristes. Certains ne font même pas de militantisme. « On peut néanmoins considérer qu’une femme intégralement voilée a plus de risques qu’une autre de partir pour la Syrie », soutient Nahida Nakad. C’est d’une de ces cités de Trappes où sévit l’« apartheid social », comme dit le Premier ministre, que quatre jeunes sont récemment partis pour le djihad (ils seraient deux cents, dans l’ensemble de la commune, sur le point de les rejoindre)… C’est là, aussi, que les femmes voilées ont peu à peu remplacé les autres, toutes les autres. [...]

    Elles s’étaient reconnues, ce qui était pourtant difficile : l’une avait les yeux dissimulés derrière le tissu, l’autre portait des lunettes de soleil par-dessus la fente habituelle. L’une est née catholique, l’autre musulmane, mais, à leur manière, toutes deux – Laure*, la trentaine, d’origine française, mariée, trois enfants, et Sofia*, la cinquantaine, d’origine maghrébine, une fille, divorcée – sont des converties. [...] Il y a douze ans, en cachette de ses parents, elle a fait seule son premier ramadan. Une révélation qui lui a fait instantanément décider de changer de religion. Peu de temps après, elle épousait Etienne, musulman lui aussi.

    [...] Laure se souvient d’avoir été contrôlée, juste une fois, après la promulgation de la loi. « Je ne suis pas une voleuse, je ne fais de mal à personne, pourquoi une amende ? » Elles confient fièrement qu’elles se maquillent, mais chez elles… pour ceux qui y ont droit. « A la maison, on est comme vous ! »

    Aucune des deux ne travaille. Et pour leurs filles, de quoi rêvent-elles ? Dans une ruelle de la cité du Bois de l’Etang, à la Verrière, nous avons vu une gamine au corps enseveli sous le voile noir. Qu’y avait-il de plus étrange ? Qu’elle ait été vêtue de ce voile ou qu’elle ait tenté de jouer au foot ? Ses pieds se sont pris dans la longue robe et elle a manqué chuter. Elle n’avait pas 8 ans.

    * Les prénoms ont été changés.

    Source

    FDS

  • Robert Badinter honoré par la franc-maçonnerie

    in Société / by / on 11 avril 2015 at 16 h 58 min /         

      

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    Depuis ce samedi matin, le Grand Orient de France est en réunion pour ses « Utopiales Maçonniques ».

    Mais hier déjà, cette obédience maçonnique festoyait autour de Robert Badinter, ancien Garde des Sceaux, qui a reçu le prix Marianne 2015 du GODF.

    Le vieux briscard laïciste a remercié Daniel Keller, « grand maître du Grand Orient de France » par ces mots : « La Laïcité, qui implique l’interdiction de toutes les discriminations en raison de la foi ou d’un credo philosophique ou politique, est un bien légué par des générations de Républicains… et de francs-maçons. Soyons fiers de la Laïcité, car elle est une valeur fondamentale de la République française. »

    « Les francs-maçons du GODF ont été les bâtisseurs acharnés de la Laïcité. », a répondu Daniel Keller qui  a rendu la politesse à Robert Badinter : « À une époque où nous manquons de référents, vous êtes une figure majeure de notre République. Vous êtes un Maçon sans tablier… ce qui est mieux que de porter un tablier sans être Maçon ! »

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    Autre personnalité maçonnique venue entourer Robert Badinter pour l’occasion, Jean-Paul Delevoye, président du Conseil économique, social et environnemental, ex-ministre UMP, a joué le couplet de la démocratie en danger : « Le confort de notre insouciance nourrit la hardiesse des ennemis de la Démocratie. Chaque fois que vous baissez les bras, ils avancent d’un pas. »

     

    Souvenons-nous que Robert Badinter, né de parents juifs originaires de Bessarabie, est le principal artisan de l’abolition de la peine de mort en 1981.

    Il était aussi intervenu pour supprimer la disposition légale pénalisant les relations homosexuelles avec un mineur de plus de 15 ans.

    A l’époque Robert Badinter avait notamment déclaré : « Il n’est que temps de prendre conscience de tout ce que la France doit aux homosexuels« .

    Sa seconde épouse, Elisabeth, militante féministe pro-avortement, est la fille de Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de Publicis.

    Médias-presse-info 11 04 15

  • Jean-Marie Le Pen : "Si je n'étais pas candidat, je ne vois que Marion"

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    Jean-Marie Le Pen et sa petite-fille Marion, lors de la campagne de cette dernière pour les législatives de 2012. (Reuters)

     

    Le président d'honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen, dira lundi s'il renonce à être candidat aux régionales dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur - sachant que le parti ne lui accordera pas son investiture. "Si je n'étais pas candidat, je ne vois que Marion", dit-il au JDD.

                          
    En pleine crise politico-familiale, Jean-Marie Le Pen pourrait renoncer à sa candidature aux régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Marine Le Pen, présidente du Front national, lui refuse l'investiture du parti. Le fondateur et président d'honneur, en cas de retrait, entend adouber sa petite-fille, députée de Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen. "Si je n’étais pas candidat, je ne vois que Marion. Il n’y a aucune autre personnalité qui ait autant de notoriété et de particularité au sein du Front national pour cette région", dit-il au JDD.

    Une réunion du bureau politique à huis clos doit désigner, vendredi, les chefs de file frontistes au scrutin local de décembre. Ce rendez-vous s’annonce, à ce stade, comme un paroxysme de la crise en cours. Jean-Marie Le Pen ménage un certain suspense, semblant se satisfaire de cet entre-deux. "Dans l’amour, le plus important, c’est le moment où on monte les escaliers!", plaisante-t-il.

     

    Nicolas Prissette - Le Journal du Dimanche

     

  • Sétif (mai 1945) : encore une provocation socialiste – Par Bernard Lugan

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    Du 19 au 21 avril 2015, M. Jean-Marc Todeschini (photo ci-dessus), Secrétaire d’État français chargé des Anciens combattants effectuera un “voyage mémoriel” en Algérie. Une mémoire sélective puisqu’il est prévu un déplacement à Sétif, repentance oblige…, mais pas à Oran où des centaines de Français furent massacrés et enlevés le 5 juillet 1962 (de Ternant, 2001 ; Jordi, 2011 ; herodote.net / 5 juillet 1962 ; Mathias, 2014 et Pervillé, 2014). Le secrétaire d’État français n’ira pas davantage à la mine d’El Halia où, le 20 août 1955, 132 Européens furent assassinés ; ni d’ailleurs sur l’un des nombreux lieux de supplice des Harkis.

    Bernard Lugan

    Bernard Lugan

    Le déplacement du secrétaire d’État français à Sétif s’effectuera à la veille des cérémonies du 70° anniversaire des évènements sanglants qui marquèrent la ville et sa région. Plus qu’un symbole, c’est un gage que François Hollande donne là au noyau dur de son électorat. Les porteurs de valises et leurs héritiers demandent en effet depuis des années que la France “reconnaisse sa responsabilité dans la répression” de Sétif. Une telle reconnaissance serait d’ailleurs la suite logique de la politique définie le 17 octobre 2012 par François Hollande quand il rendit un hommage plus que déplacé aux prétendues « victimes » de la manifestation interdite du 17 janvier 1961 à Paris [1].

    La visite à Sétif d’un membre du gouvernement français est à la fois une insulte à l’histoire et une faute politique car, pour les autorités algériennes, la “répression de Sétif” est l’emblématique exemple de la “barbarie coloniale française”. Retour sur les faits.

     

    Le 8 mai 1945, à Sétif, dans le Constantinois, des militants du PPA (Parti du peuple algérien), interdit depuis 1939 et maintenu dans la clandestinité, décidèrent de profiter des commémorations de la capitulation allemande pour tenter un coup de force (Benmebarek, 2010). Pour maintenir l’ordre, les autorités disposaient de 40 policiers dont environ un tiers d’indigènes, de 20 gendarmes et de 4 compagnies militaires d’instruction composées de recrues locales (Jauffret, 1987, Benmebarek, 2010). Quand la police décida de faire retirer une bannière réclamant l’indépendance de l’Algérie, un coup de feu fut tiré et la manifestation dégénéra. Les civils français furent pourchassés et massacrés, non par une foule hystérique comme cela est trop souvent dit, mais par des commandos de tueurs très mobiles et très organisés qui commirent des meurtres à travers la ville. Le bilan fut de 21 Européens tués et de 36 blessés. Au même moment, et donc sans lien avec la manifestation de Sétif, d’autres massacres se déroulèrent dans la région, à Périgotville, Amouchas, Kerrata, Chevreul, Sillègue, Canrobert, Lafayette, Ampère, Davoust, ainsi que dans les maisons forestières isolées de Tamsout, Aïn Settah et Tamentout où 81 victimes européennes furent à déplorer. Parmi elles, les administrateurs Rousseau et Bancel enlevés et assassinés sur la route Sétif-Bougie et l’abbé Navarro abattu dans le village d’El Ourica, à 12 kilomètres de Sétif. Au total, 102 Européens furent assassinés (Vétillard, 2008; Benmebarek 2010).

    Des renforts arrivèrent de Constantine et de Philippeville. Si 10 000 hommes furent déployés dans tout le Constantinois, seulement 3700 – dont des tirailleurs algériens – le furent dans la subdivision de Sétif, la plus vaste, la plus difficile d’accès et la plus touchée de la Division territoriale de Constantine.

    Aussitôt la nouvelle des tueries connue, le communiste Maurice Thorez, vice-président du Conseil de gouvernement présidé par le général De Gaulle, lança de véritables appels au meurtre et à la répression. Le 12 mai, le Parti communiste distribua un tract dans les villes d’Algérie dans lequel il demandait de “passer par les armes les instigateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l’émeute. Il ne s’agit pas de vengeance ni de représailles. Il s’agit de mesures de justice. Il s’agit de mesures de sécurité pour le pays”.

    Heureusement, l’armée garda raison et la répression, réelle, n’eut pas l’ampleur que lui donnèrent par la suite les nationalistes algériens. Ces derniers avancèrent un bilan de 40 000 victimes, chiffre lancé sans vérification par une source diplomatique américaine favorable aux indépendantistes (Vétillard, 2008). Le FLN alla ensuite jusqu’à parler de 70 000 morts… Certains historiens avancent quant à eux le chiffre de 6000 à 6500 morts tout en soulignant qu’il s’agit là d’une estimation « haute » (SHD, 1990 ; Vétillard, 2008). Quant au préfet Benmebarek (2010), il estime que le nombre des morts serait d’environ 2500.

    Comme il n’y eut pas de ratissages en raison des faibles moyens dont disposait l’armée, l’on voit mal comment 3700 hommes dispersés sur de vastes territoires auraient pu tuer des dizaines de milliers de personnes. Et où les corps auraient-ils été enterrés? Nul doute que si des charniers avaient existé, les actuelles autorités algérienne se seraient empressées de les montrer…

    Ce qui s’est passé à Sétif est donc à la fois bien connu des historiens et très éloigné de cette histoire officielle algérienne si complaisamment relayée par la gauche française. Le préfet Benmebarek qui a vécu dans la région et qui a donné une excellente analyse des événements (2010) explique que nous sommes en réalité en présence d’un soulèvement raté qui devait être suivi d’une insurrection dans toute l’Algérie, mais, comme la coordination fut mal assurée, seule la région de Sétif fut touchée. Ce fut en quelque sorte une répétition des évènements de la Toussaint 1954 que la IV° république fut incapable d’anticiper.

    Dès 1962, les autorités algériennes s’engagèrent dans une entreprise d’écriture de l’histoire officielle de la lutte pour l’indépendance présentée comme le soulèvement d’un peuple unanimement dressé contre le colonisateur français[2]. Puis, durant la terrible décennie 1990, quand l’Algérie, alors en pleine guerre civile, fut au bord de l’implosion, ses dirigeants recherchèrent des thèmes d’union nationale qu’ils trouvèrent dans la dénonciation des “crimes” commis par la France. Dénonciation d’autant plus facile qu’en France même, des relais culpabilisateurs existaient. La manœuvre eut son point d’orgue en 1995 avec la célébration du cinquantenaire des évènements de Sétif. Une campagne fut alors orchestrée autour de la projection sur la chaîne Arte d’un film de Mehdi Lallaoui et Bernard Langlois intitulé Le massacre de Sétif.

    Depuis, et je viens de le dire, Roger Benmebarek (2010) a publié une étude fondamentale qui met un point final à la question. Pour les historiens, et dans l’état actuel des connaissances, le sujet est donc clos.

    Voilà pourquoi la décision de François Hollande d’envoyer un membre de son gouvernement à Sétif est une provocation. Ce faisant, le président de la République montre à la fois son aveuglement historique et son sectarisme politique puisqu’il cautionne la re-écriture de l’histoire faite par les autorités algériennes. Au prix d’une nouvelle humiliation de la France.

    Bernard Lugan
    09/04/2015

  • Des milliers de combattants de l’Etat islamique infectés par la leishmaniose

     

    Vont-ils eux aussi venir en France se faire soigner à nos frais ?!

    « Faute d’hygiène et parce qu’elles ne peuvent ou – dans le cas des combattants de Daesh – ne veulent accéder aux soins, des milliers de personnes dans les zones contrôlées par l’Etat islamique sont, selon des sources britanniques, actuellement infectées par la leishmaniose, une maladie de peau parasitaire transmise par des moucherons. La maladie est potentiellement mortelle si elle n’est pas soignée, et elle peut causer de graves dommages à des organes internes comme le foie. L’Express de Londres affirme que de nombreux combattants de Daesh sont atteints par le parasite.

    Elle se manifeste par des plaies ouvertes qui s’étendent alors que les parasites protozoaires « mangent » la peau. Des parasites qui se multiplient d’autant plus vite que la collecte des ordures n’est guère assurée dans les villes contrôlées par l’Etat islamique.

    Quelle est l’importance de l’épidémie ? La maladie est extrêmement virulente et certaines sources parlent de 100.000 personnes infectées, notamment dans les camps de réfugiés, en raison de l’effondrement du système sanitaire en Syrie.


    Qu’elle soit très présente à Raqqa, capitale auto-proclamée de l’Etat islamique, semble acquis : dans le nord-est de la ville déjà fortement endommagée par des bombardements, 2.500 cas ont été répertoriés.

    L’Etat islamique compterait actuellement entre 3.000 et 5.000 hommes à Raqqa.

    Les djihadistes ayant bloqué l’accès à tous les soignants étrangers dans les zones qu’ils contrôlent, ils ont de facto exclu non seulement les populations sur place mais également les militants de l’Etat islamique de l’accès aux soins, relativement aisés en début d’infection mais bien plus incertains une fois la maladie installée.

    Le premier cas de leishmaniose a été découvert en septembre 2013, selon l’Express, et s’étend d’autant plus rapidement que les médecins locaux ne sont pas armés pour combattre la maladie et que les organismes tels Médecins sans frontières ont dû fuir la région. La moitié des hôpitaux de Syrie ont fermé leurs portes ou sont gravement endommagés : selon The Independent, qui cite le doyen de la faculté de médecine tropicale du Baylor College of Medicine, la propagation de la leishmaniose est aujourd’hui « hors de contrôle ». »

    Anne Dolhein (source : reinformation.tv)

  • L'un des derniers SS danois est mort en homme libre à 93 ans

     Home CULTURE Culture

    Soren Kam était le cinquième nazi le plus recherché de la liste de Simon Wiesenthal.

    Soren Kam était le cinquième nazi le plus recherché de la liste de Simon Wiesenthal. Crédits photo : FREDERIKSEN JOHNNY

    DISPARITION - Soren Kam, numéro cinq de la liste des criminels de guerre établie par le célèbre chasseur de nazis Simon Wiesenthal, est décédé à Kempten. L'Allemagne a toujours refusé son extradition au Danemark.

     
     
     

    Soren Kam, ancien volontaire de la division SS «Viking» et considéré comme l'un des plus haut gradé nazi du Danemark, est mort la semaine dernière en Allemagne. Il s'était réfugié en Allemagne en 1956 et en avait obtenu la nationalité par la suite. L'Allemagne a refusé son extradition au Danemark à plusieurs reprises, rapporte Reuters.

    Efraim Zuroff, directeur du centre Simon Wiesenthal dédié à la traque des nazis a souligné: «Le fait que Soren Kam, un meurtrier nazi absolument pas repentant, soit mort en homme libre à Kempten est un échec terrible pour les autorités judiciaires bavaroises. Il aurait dû finir sa misérable vie en prison, que ce soit au Danemark ou en Allemagne. L'échec à le mettre face à ses responsabilités ne peut qu'encourager les héritiers contemporains du nazisme à lui emboîter le pas».

    La cour de justice danoise l'avait jugé coupable du meurtre de l'éditeur danois anti-nazi Henrik Clemmensen, mais Kam s'était enfuit en Allemagne avant d'être puni. Ses complices ont en revanche été exécutés en 1946.

  • Vincent VAN GOGH

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    La sieste ou la méridienne  (1889-1890)

  • Montpellier, haut-lieu de la parfumerie rom

    Quotidiennement, des familles roms quittent leur bidonville du quartier de Grammont, près du Zénith de Montpellier, pour se rendre dans le centre-ville, afin de s’y livrer à diverses activités de loisirs en plein air.

    Les usagers de la TaM (Transports de l’agglomération de Montpellier) qui côtoient ces individus sont indisposés par la fragrance qui se répand dans le bus. D’après Dominique Granier, délégué syndical FO :

    « Les Roms de la ligne 9 constituent un danger sanitaire. C’est une véritable infection. »

    L’odeur dégagée par les Roms qui empruntent ce transport a poussé des membres du syndicat Force ouvrière de la TaM à saisir le CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) afin qu’ils constatent la réalité et la puissance du bouquet.

    Parmi les représentants du CHSCT, Djamel Boumaaz, conseiller municipal Front national, qui a fait savoir que le problème serait d’une telle ampleur que cette ligne de bus fera l’objet d’un nettoyage spécial plus approfondi que pour les lignes du réseau. Il affirme aussi qu’une autre compagnie a été approchée pour assurer la sous-traitance du tronçon problématique et que l’idée de supprimer la ligne 9 est même envisagée par la direction. M. Boumaaz enfonce le clou :

    Certains n’acceptent plus de toucher les pièces de monnaie qui leur sont données par les Roms pour payer leurs titres de transport. Plusieurs bus ont été changés avant d’assurer la poursuite du service.

    Conscient du problème et désireux de faire cesser le martyre olfactif de ses concitoyens, M. Granier, délégué Force ouvrière, a émis l’idée de « créer une navette spécialement pour eux » [les Roms].

    Une idée abominable pour les associations de défense des Roms, qui voient d’un mauvais œil qu’on puisse priver les Montpelliérains des précieuses effluves répandus par la communauté nomade. Ainsi, d’après Marie-Françoise Combaz, responsable de l’association ATD Quart-Monde en Languedoc-Roussillon :

    « Un bus spécial pour les Roms ? Ce serait de la pure discrimination. Chacun a droit à sa place dans la société, et à une place digne ! Qu’il y ait des difficultés, on ne peut pas le nier. Mais on ferait mieux de construire pour eux des points d’eau et des sanitaires plutôt que de se focaliser sur les conséquences de ce manque d’hygiène. La France ne respecte pas ses engagements concernant l’accueil des populations roms. Ils ont le droit d’être là. »

    Craignant de ne plus pouvoir jouir des précieuses effluves roms, mais aussi d’être taxé de xénophobie, les autres syndicats se sont désolidarisés de l’initiative de FO. À l’image de la CGT, syndicat majoritaire au sein de la TaM, qui affiche sur sa page Facebook :

    « Ce ne sont pas des lépreux, ils sont suivis sur le plan sanitaire ! Luttons contre la pauvreté, pas contre les pauvres ! »

    Et de dénoncer « une stigmatisation des pauvres gens » par FO et le frontiste Jamel Boumaaz...

    FO a réagi en déclarant « ne pas avoir proposé quoi que ce soit » et avoir « simplement alerté sur les problèmes d’hygiène », laissant à son délégué Dominique Granier le soin de se justifier :

    « Mes propos ont été un peu déformés par la presse. Moi je ne fais pas de politique et je ne prends pas les décisions, la balle est dans le camp de la direction, voire de l’agglomération. »

    Jugeant les déclarations de M. Garnier « inqualifiables », Jean-Luc Frizot directeur général de la TaM, rappelle qu’au nom des « valeurs républicaines », il n’y aura jamais de « navette spéciale »

  • LE VENT N'EST PAS ÉCOLOGIQUE !

     

    LE VENT N'EST PAS ÉCOLOGIQUE ! -


    Michel Gay
    le 10/04/2015 

    Qui l'eut cru : la production d'électricité par les éoliennes n'a rien d'écologique !

    Les éoliennes ne poussent pas sous le soleil en les arrosant. Ce moyen de production d'électricité dit "écologique" nécessite des matériaux ainsi que des travaux industriels et d'entretien. Il ne suffit pas juste de récupérer l'énergie produite… quand il y a du vent.

    Une éolienne récente de puissance 2 mégawatts (MW) mesure environ 150 m de haut en bout de pale (environ 100 m pour le mât) et sa durée de vie est de 20 ans. Sa construction nécessite 425 mètres cubes (m3) de béton et 40 tonnes d'acier . Le poids total des matériaux de construction atteint presque 1200 tonnes .(Rotor (moyeu et pales) 50 T, nacelle 90 T, mât 180 T, fondation 800 T). Des "composites" entrent dans la fabrication des pales (3 fois 7 tonnes, soit 21 tonnes par hélice), des métaux (dont le cuivre) et des "terres rares" composent la nacelle et le générateur, ainsi que 300 à 400 litres d'huile de lubrification et de refroidissement.
    En étant optimiste, son facteur de charge, en moyenne en France, est de 23% (temps de fonctionnement en équivalent pleine puissance), soit environ 2000 heures par an .(Un an = 8760 heures).
    Sur sa durée de vie, cette éolienne produira donc 80 gigawattheures.(2 MW x 20 ans x 2000 h/an = 80.000 MWh = 80 gigawattheures). 

    Or, la durée de vie d'un réacteur nucléaire EPR de 1650 MW est de 60 ans (minimum prévu). Sa construction nécessite  85.000 m3 de béton et 40.000 tonnes d'acier . Son facteur de charge prévu est de 85%, soit environ 7500 heures/an. 
    Pendant sa durée de fonctionnement, ce réacteur produira donc au minimum… 9000 fois plus que l'éolienne (742.500 GWh) En d'autres termes, il faudrait 9000 éoliennes de 2 MW pour produire autant d'électricité que l'EPR, mais de manière beaucoup plus erratique puisqu'il n'y a pas toujours du vent, et pas forcément corrélé avec le besoin.

    Ainsi, chaque GWh produit par une éolienne de 2 MW nécessite environ 0,2 m3 de béton et 0,5 tonne d'acier tandis qu'un réacteur nucléaire de 1650 MW n'en nécessite respectivement que… 0,12 m3 (soit presque deux fois moins de béton) et 0,05 tonne (soit.. 10 fois moins d'acier) ! 

    Qui a dit que produire de l'électricité avec du vent était écologique et minimisait l'impact sur la nature ?
     
    METAMAG
  • Actualité du Front national : Aymeric Chauprade sur France 24

     

     

     

    09/04/2015 – VIENNE (NOVOpress) - Dans un entretien télévisé accordé à la chaîne France 24 hier soir, le député européen Aymeric Chauprade s’est exprimé sur l’actualité récente du Front national et l’opposition de Marine Le Pen à son père. S’il confirme son admiration pour Jean-Marie Le Pen, Aymeric Chauprade parle d’un “mauvais combat, contre productif pour le Front national, qui ne correspond pas à tout ce qu’il a apporté” pour qualifier les propos récents de Le Pen père. “Il est parti dans des querelles inutiles, qui n’est pas ce pourquoi nos militants se battent”.

    “C’est la grandeur de Marine Le Pen que de faire prévaloir la raison du parti sur le cœur, je crois que c’est sa force, et c’est ce qui prouve que demain elle saura faire prévaloir la raison d’État sur toute autre considération”.

  • VIDEO - Crise au Front National: choisir le pragmatisme politique ET la radicalité idéologique

    Par Boris LE LAY 

    A écouter jusqu'au bout: sans doute une des meilleures analyses de la crise que traverse actuellement le FN.

    (merci à Dirk)

     

     

  • Pour 91% des Français, Le Pen devrait prendre sa retraite

    http://www.leparisien.fr/politique/sondage-pour-91-des-francais-jean-marie-le-pen-devrait-prendre-sa-retraite-10-04-2015-4682009.php

    BIOGRAPHIE DE Jean-Marie Le Pen sur Wikipédia:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen

  • Marion Maréchal-Le Pen tient à réagir après la diffusion d’un reportage dans le magazine « Complément d’enquête » sur France 2

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       Communiqués / 10 avril 2015    

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, député de Vaucluse

    De très graves allégations sont portées à son honneur et à sa probité. Ces accusations voudraient la rendre complice d’un détournement de fonds publics autour du contrat de son assistant parlementaire. France 2 n’a pas jugé nécessaire de prendre en compte les documents prouvant la totale régularité de la situation de son assistant parlementaire. Alors même que l’administration du Parlement européen a changé plusieurs fois de versions et n’a jamais apporté le moindre document, Marion Maréchal-Le Pen est obligée aujourd’hui de se justifier pour un délit imaginaire.

    En diffusant un témoignage audio affirmant que les documents étaient des « faux », les journalistes du service public laissent à penser que l’élu de Vaucluse aurait pu bénéficier indûment de sommes du Parlement européen pour l’exercice de son mandat national. Elle a donc décidé de saisir son avocat afin que toute la clarté soit faite sur cette affaire. Il est temps de rétablir la vérité et de pointer le manque de déontologie des auteurs de cette « enquête ».

    Marion Maréchal-Le Pen ne laissera pas passer la machination mise en place par Martin Schultz visant à salir et à dénigrer le travail des élus du Front National, seule opposition à l’Europe de Bruxelles.

  • En Autriche aussi, certaines opinions sont passibles de prison

     

    Un an avec sursis pour un médecin révisionniste

    Pour avoir écrit dans des courriers que l’Holocauste était « un mensonge du gang des banksters sionistes », Josef K., un médecin autrichien âgé de 71 ans, a été condamné à 1 an de prison avec sursis le 26 mars dernier par le tribunal régional de Linz (Haute-Autriche).

    Dans des lettres adressées à la mairie, au conseil municipal de sa ville ainsi qu’à l’administration du mémorial du camp de concentration de Mauthausen, le médecin remettait notamment en cause l’existence de chambres à gaz au camp de Mauthausen. Pendant le procès, le procureur lui a posé la question suivante : « Y-a-t-il eu des chambres à gaz à Mauthausen ? » « Oui », a répondu le malicieux septuagénaire avant de préciser : « Mais je ne vous dirai pas ce que je pense. »

    Un brin provocateur, le médecin avait également écrit dans ses multiples courriers que l’Holocauste doit « être un mensonge de ces Khazars, ce groupe de banksters sionistes, qui se trouve actuellement en Israël. Et le “printemps arabe” est aussi un de leurs méfaits […] Avec cette massue de l’Holocauste, nous serons indéfiniment exploité jusqu’à la Saint-Glinglin. »

    Évidemment, le tribunal avait commandé un rapport psychiatrique, qui n’a rien donné, et la bonne santé mentale du septuagénaire a été certifiée. Pendant son procès, le médecin a plaidé non-coupable et a expliqué être « seulement à la recherche de la vérité ».

    E&R

  • Florian Philippot invité de Guillaume Durand sur LCI et Radio Classique - 10 avril 2015


    Florian Philippot, invité de Guillaume Durand... par radioclassique

    A écouter jusqu'au bout

  • Le FN s'installe dans une guerre sans merci

               

      • Par Emmanuel Galiero
      • Mis à jour le 10/04/2015 à 18:44
      • Publié le 10/04/2015 à 17:40

     

    Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national, n'a pas écarté l'hypothèse d'une dissidence aux régionales en Paca. Sa fille reste ferme tout en jouant l'apaisement.

     
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    Au Front national, nul ne sait jusqu'où ira le choc de deux personnalités inflexibles. La guerre totale, lancée sur les cimes du parti entre la présidente et le président d'honneur, a atteint une intensité spectaculaire vendredi, après une semaine de tensions et de rebondissements.

    Vendredi matin, Jean-Marie Le Pen a répondu, sur RTL, aux déclarations de sa fille Marine, tenues la veille sur TF1. Comme des millions de Français, il l'a entendue dévoiler son intention d'ouvrir une procédure disciplinaire à son encontre, a appris qu'il serait convoqué par un bureau exécutif et compris qu'elle souhaitait finalement son retrait de la vie politique. Une incroyable provocation, à ses yeux.

    Si Marine Le Pen avait pris soin de trouver certains mots pour dire tout cela, en évoquant par exemple «l'admiration» des militants pour le fondateur du FN ou en exprimant son espoir d'un retour à la «sagesse» le concernant, Jean-Marie Le Pen ne l'a pas entendu de cette oreille. Pour lui, la déflagration du Front n'est que le résultat d'un complot ourdi par des forces extérieures au mouvement.

    «J'irai me défendre, évidemment, et probablement attaquer aussi»

    Jean-Marie Le Pen

    Dans sa réponse matinale, sur un ton fatigué, il a commencé par noter qu'elle se trompait «tout à fait» sur l'instance autorisée à mener une telle procédure disciplinaire. Selon lui, la responsabilité incomberait au bureau politique et non au bureau exécutif. Le premier compte quarante-quatre membres, le second neuf, largement acquis à Marine Le Pen.

    Jean-Marie Le Pen a ensuite expliqué qu'il répondrait à la convocation. «J'irai me défendre, évidemment, et probablement attaquer aussi», a-t-il prévenu, en avouant que l'action engagée par sa fille le laissait «pantois», «médusé» et «ébaubi». Renvoyant à sa fille la responsabilité de cette rupture, aux conséquences «inéluctables et tragiques», le député européen n'a pas hésité à prédire la fin du Front national. «Mme Le Pen est en train de dynamiter sa propre formation», a-t-il jugé en prétendant que la présidente du mouvement passait à côté d'une opportunité politique. «Elle a en face d'elle des partis en difficulté, elle avait la chance d'avoir une unité et des résultats conquérants, a-t-il relevé, et d'elle-même, de sa propre initiative, elle crée une difficulté majeure avec le président d'honneur, fondateur de son parti et qui, de surcroît, est son père.»

    Jean-Marie Le Pen n'a «plus d'ambition politique de grande dimension»

    À ce stade d'affrontement implacable, le dernier point de convergence entre le père et la fille semble être celui de l'incompréhension. Mais Jean-Marie Le Pen en a profité aussi pour partager son analyse sur les évolutions d'un parti qui lui échappe. Il affirme croire à une «manœuvre délibérée» et même à un «sabotage» de la part de sa fille qui, en l'évinçant, chercherait à s'attirer les «sympathies» de ce «système» qu'il n'a cessé de vilipender tout au long de sa carrière. Pour lui, Marine Le Pen est instrumentalisée par «une pièce rapportée récente», Florian Philippot, ce vice-président venu de «Chevènement», l'ennemi juré.

    «Mme Le Pen est en train de dynamiter sa propre formation»

    Jean-Marie Le Pen

    Concernant sa candidature aux régionales en Paca, le président d'honneur a confié enfin qu'il la défendrait devant le bureau politique, mais «sans trop d'illusions» compte tenu de la composition de cette instance, choisie par sa fille. Laissant enfin le mystère sur son éventuelle dissidence aux régionales, il a aussi lâché: «Je n'ai plus d'ambition politique de grande dimension. Ce n'est pas moi, c'est elle qui se suicide.»

    Vendredi, au FN, malgré les braises incandescentes de cette tragédie filiale, certains voulaient croire à un apaisement mais sans savoir cependant jusqu'où, dans l'affrontement, le président fondateur serait capable d'aller. Les marinistes souhaitaient éviter au moins deux écueils: apparaître comme les provocateurs d'une éventuelle rupture définitive et donner l'impression d'en tirer profit.

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    Le même jour, évoquant sur Twitter un «moment douloureux pour le FN», Marine Le Pen a appelé chacun «à l'unité, à la décence et au respect mutuel». À Marseille aussi, le sénateur et maire de secteur Stéphane Ravier lançait un appel à la «modération» quand, sur RMC, Louis Aliot, vice-président et ancien directeur de cabinet du «Menhir», disait n'être pas «favorable à une exclusion» de Jean-Marie Le Pen.

    LE FIGARO

  • Un site pour dénoncer le racisme

    FDS