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GAELLE MANN - Page 584

  • Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique

    8 avril 2015

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch

    Bruno Gollnisch

    Attaché comme je l’ai toujours prouvé à l’unité de notre mouvement, je ne souhaite pas participer à des polémiques sur des sujets qui sèment la division, dont la plupart des commentateurs n’ont au mieux qu’une connaissance livresque, et dont la discussion est de surcroît judiciairement interdite par l’effet pervers de législations liberticides.

    L’actualité politique, économique, sociale ou « sociétale» fournit un nombre plus important de sujets en phase avec les préoccupations de nos compatriotes, et en lien avec le mandat parlementaire que j’exerce.

    Le respect de la discipline de notre mouvement, la légitime et fructueuse direction de sa présidente, l’accueil de personnalités de qualité venant d’autres horizons doctrinaux me paraissent pouvoir être compatibles avec la liberté d’expression de Jean-Marie Le Pen, à qui nous devons l’existence même du Front National et sa progression au milieu de tant d’épreuves passées.

    Il n’y a aucune raison de sacrifier quelque composante de notre mouvement que ce soit en raison d’une diabolisation artificiellement entretenue, ni de maintenir un climat de tension que chercheraient à nous imposer nos adversaires, responsables du terrifiant déclin de notre pays.

    Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique, avec tous les patriotes sincères, qui, dans leurs différences, voire leurs oppositions passées, sont les bienvenus sur ce qui nous unit : la défense de la France et des Français d’abord.

    Bruno GOLLNISCH

  • Un village français

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  • Alain Jamet (FN) : «Le provocateur n'est pas Le Pen, mais Bourdin et Rivarol»

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     Home ACTUALITE Politique

     

    Alain Jamet a été conseiller régional FN dans le Languedoc-Roussillon de 1986 à 2010.                                                   

    Seul membre fondateur du Front national encore en activité au sein du mouvement, ce fidèle de Jean-Marie Le Pen est également membre du bureau politique, de la commission d'investiture et président de la commission des conflits.

     
     

    LE FIGARO.- Comment analysez-vous la situation au Front national?

    Alain JAMET.- Je la suis depuis Montpellier, je ne suis pas au cœur du Carré, le siège du FN. Je découvre les épisodes et les nouvelles positions heure par heure. L'affaire qui, à mon avis, s'est mal engagée, verra son dénouement le 17 avril au bureau politique. Sauf coup de théâtre.

    Que peut-il se passer?

    D'ici là, et particulièrement si Maître Collard y met son grain de sel, cela risque de s'infecter. J'ai constaté en vingt-quatre heures la dégradation d'un climat que je regrette car je suis proche, il est vrai, de Jean-Marie Le Pen mais également de Marine et de Marion. Ce n'est pas le cas de Gilbert Collard. Il n'est pas du Front et il n'a pas à s'occuper des affaires de la présidence d'honneur. Qu'il s'occupe de celles du Rassemblement Bleu Marine.

    Vous qui connaissez bien Jean-Marie Le Pen, comment expliquez-vous son attitude? Pourquoi va-t-il aussi loin?

    Au lendemain des élections, ce qui me semble le plus important est l'exploitation de son discours. Le provocateur n'est pas Le Pen. Il ne fait pas de déclaration personnelle pour exprimer ce qu'il pense. Les vrais provocateurs sont Jean-Jacques Bourdin, de BMFTV, et le journal Rivarol car ce sont eux qui posent les questions. A part une seule fois, au moment de l'affaire «Durafour crématoire», tous les propos reprochés à Jean-Marie Le Pen étaient des réponses à des questions. D'ailleurs, tout ce qu'il pense - parce qu'il dit toujours tout ce qu'il pense - n'a jamais figuré dans le programme du Front national. Ses propos n'engagent que lui, personnellement.

    Mais compte tenu de son statut de président d'honneur et de son expérience politique, n'est-il pas obligé de mesurer l'impact prévisible de ses réponses?

    Oui mais notez que M. Bourdin avait posé récemment la même question provocatrice à Roland Dumas. Sa question venait comme un cheveu sur la soupe. Les circonstances dans lesquelles se trouve le FN, après les départementales et avant les régionales, font que l'on y a donné une importance particulière.

    Le Pen ne cache pas la vérité. Il ne ment pas. Il dit les choses totalement. Voilà le problème.

    Alain Jamet

    Avez-vous reçu un appel de Jean-Marie Le Pen?

    Non. Il le fera peut-être ou pas mais je n'attends aucun appel.

    Vous le connaissez depuis l'université de droit, en 1951. Qu'aimeriez-vous lui dire?

    Depuis que suis au Front donc depuis 1972, je me garde de mélanger au politique mes opinions qui ne regardent que moi-même. Si je n'étais pas au FN, je parlerais différemment mais nous ne sommes pas bâtis de la même glaise. Le Pen ne cache pas la vérité. Il ne ment pas. Il dit les choses totalement. Voilà le problème.

    Selon vous, aura-t-il beaucoup de soutiens en bureau politique?

    Tout le monde reconnaît que des gens continuent à le suivre et pas seulement de vieux grognards. Mais vu ce qui s'est passé au Congrès de Lyon, Marine Le Pen a la majorité. Je ne sais pas si le vote sera secret ou à main levée. Mais nous n'en sommes qu'au début de l'affaire et d'ici le 17 avril, une évolution est possible. Il peut y avoir, comme cela s'est déjà passé, un accord, un modus vivendi ou une réconciliation plutôt qu'une catastrophe. J'attendrai la date et je serai à Nanterre ce jour-là pour prendre mes responsabilités s'il le faut.

    Jean-Marie Le Pen reste-t-il, à vos yeux, le candidat idéal du FN pour les régionales en Paca?

    Je ne souhaite pas vous répondre pour l'instant. Marion Maréchal Le Pen a sans doute autant de mérite à l'être mais je préférerais, en cas de changement, qu'il ne soit pas demandé par un tiers mais accepté par la personne concernée. Je veux aller dans le sens d'une réconciliation générale, au nom de la raison et du sentiment.

    Y croyez-vous?

    Aujourd'hui, non.

    De mémoire, a-t-on déjà assisté à un tel niveau de tension au sein du Front?

    Non, je ne pense pas. Mais il reste encore plus d'une semaine avant que le verdict ne tombe.

    LE FIGARO

  • Ce que peut faire le FN contre Jean-Marie Le Pen

    LE SCAN POLITIQUE- La présidente du FN a annoncé qu'elle s'opposerait à la candidature de son père en Paca. Selon les statuts du parti, une exclusion peut également être envisagée.


     

    Entre Jean-Marie Le Pen et sa fille, la rupture est consommée. Après une nouvelle série de provocations du fondateur du FN, publiées sous forme d'interview dans le journal d'extrême droite Rivarol, Marine Le Pen a annoncé qu'elle s'opposerait à la candidature de son père en région Provence Alpes Côte d'Azur (Paca) aux élections régionales de décembre prochain. Bénéficiant d'une place et d'une influence symbolique particulière au sein de son parti, il devrait être pour la première fois mis en minorité et puni par les siens. Les statuts du Front national, mis à jour en février 2015, et qui ont pu être consultés par différents médias ce mercredi, prévoient un certain nombre de possibilités d'action permettant à Marine Le Pen de donner suite à cette nouvelle polémique.

    » Refuser de l'investir candidat en Paca

    C'est le bureau politique qui détermine par vote quel seront les candidats investis pour le FN. En ce qui concerne les prochaines élections régionales, «rien n'a encore été décidé», explique au Scan Louis Aliot. Suite aux nouvelles provocations de Jean-Marie le Pen dans Rivarol, la présidente du FN a annoncé que le bureau politique du parti se réunira vendredi 17 avril, pour désigner notamment les têtes de listes des régionales. Un doute persiste sur le déroulé su scrutin: à bulletins cachés ou à mains levées.

    Marine Le Pen a annoncé qu'elle s'opposera à cette occasion à la désignation de son père, et qu'elle le lui avait signifié personnellement ce mercredi. Elle avait déjà fait savoir par le passé qu'elle préférait voir sa nièce Marion-Maréchal-Le Pen concourir en Paca en décembre prochain. Jean-Marie Le Pen a pour sa part réaffirmé de son côté sa volonté de se présenter dans une région qu'il connaît bien et où il a rassemblé 33% des voix aux dernières élections européennes. Reste à savoir s'il pourrait pousser sa volonté de nuisance jusqu'à faire cavalier seul.

    » Supprimer le poste de président d'honneur

    Marine Le Pen s'est déclarée plusieurs favorable à la suppression de cette fonction, qui est loin d'être symbolique dans les instances du parti. Le poste de président d'honneur a été taillé sur mesure pour le fondateur du parti. Il permet notamment à Jean-Marie Le Pen de siéger dans toutes les instances du parti et d'y disposer d'un droit de vote. Selon l'article 11-bis des statuts du FN, le président d'honneur est nommé par le congrès du FN qui se réunit tous les trois ans environ, le dernier ayant eu lieu en novembre dernier. Aucune précision ne vient éclairer les conditions éventuelles qui pourraient conduire à sa déchéance. Rien n'indique non plus que ce statut soit conféré à vie, contrairement à ce qu'a plusieurs fois affirmé Jean-Marie Le Pen.

    Interrogé par RTL, le secrétaire général du parti Nicolas Bay indique que ce statut ne lui permet tout de même pas de «redéfinir la ligne politique du mouvement». Les propos tenus par Jean-Marie le Pen «sont incompatibles avec une fonction de direction au sein du FN», a-t-il ajouté. Sera-t-il démis de ses fonctions, comme le souhaite le député Gilbert Collard? «Les statuts sont clairs, il faut pour cela que l'assemblée générale du parti se réunisse, et ce n'est pas facile de réunir un congrès en ce moment», explique au Scan Louis Aliot.

    » Exclure Jean-Marie Le Pen du FN

    L'article 8 des statuts du FN détaille les conditions dans lesquelles un membre du parti peut se trouver exclu: le décès, la démission ou son adhésion à un autre parti politique sont mentionnés, de même que «la condamnation à une peine afflictive ou infamante pour des faits contraires à l'honneur et à la probité». Les statuts prévoient également l'exclusion pour «motif grave», sans donner plus de précision. C'est ce dernier point qui pourrait être invoqué contre Jean-Marie Le Pen par la commission de conciliation et des conflits, l'organe disciplinaire du parti, composé de huit cadres du mouvement.

    Comme annoncé par Nicolas Bay le 19 mars dernier, la deuxième quinzaine d'avril sera justement marquée par la réunion de cette commission. Elle aura charge notamment de statuer sur le cas d'une vingtaine de candidats aux départementales ayant tenu des propos xénophobes, racistes ou homophobes sur les réseaux sociaux. Techniquement, les propos tenus sur BFM TV le 2 avril dernier et répétés dans Rivarol par Jean-Marie Le Pen dans Rivarol ce mercredi sont comparables à ceux qui ont valu l'exclusion du parti à nombre de militants depuis que Marine Le Pen a pris les commandes du parti.

    Sur BFM-TV ce mercredi midi, Steeve Briois, vice-président du FN et membre du bureau politique, explique à ce sujet: «On ne peut pas sanctionner un militant de base parce qu'il compare Taubira à un singe et laisser tout faire à Jean-Marie Le Pen sous prétexte qu'il a fondé le Front national. Est-ce que Marine Le Pen devra trembler tous les matins en s'inquiétant des déclarations de son père?», s'est interrogé le Maire de Hénin Beaumont.

    LE FIGARO

  • Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

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       Communiqués / 8 avril 2015 / Mots-clés : /   

    Jean-Marie Le Pen semble être entré dans une véritable spirale entre stratégie de la terre brûlée et suicide politique.

    Compte-tenu de cette situation, j’ai informé Jean-Marie Le Pen que je m’opposerai, lors du bureau politique du 17 avril prochain qui doit investir les têtes de listes pour les élections régionales, à sa candidature en Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    Son statut de Président d’honneur ne l’autorise pas à prendre le Front National en otage, de provocations aussi grossières dont l’objectif semble être de me nuire mais qui, hélas, portent un coup très dur à tout le mouvement, à ses cadres, à ses candidats, à ses adhérents, à ses électeurs.

    C’est avec une profonde tristesse que je suis contrainte de réunir rapidement un bureau exécutif afin d’envisager avec lui les moyens de protéger au mieux les intérêts politiques du Front National.

  • Les salles de shoot adoptées à l'assemblée

     

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    Sur 74 députés présents ce soir, seuls 24 ont votés contre 

     

    Le détail des votes est consultable ici.

    Michel Janva

  • Quand le FN se revendiquait de droite

    Posté le 7 avril 2015 à 17h34 | Lien permanent | Commentaires (14)

      

    Jean-Marie Le Pen a été interrogé dans le prochain numéro de Rivarol. Extraits :

    "Etes-vous favorable comme l’actuelle direction du FN à la retraite à soixante ans ?

    J’ai essayé d’expliquer à Marine Le Pen et à ses conseillers que c’était une erreur. C’est ridicule de demander la retraite à 60 ans alors que moi, à la tête du FN, pendant des décennies, je l’ai demandé à 65 ! J’étais en avance, encore que les Allemands sont aujourd’hui à 67 ans ! L’équilibre démographique désastreux de l’Europe boréale, c’est-à-dire celle qui va de Brest à Vladivostok, est suicidaire et implique de reculer l’âge légal de la retraite. En politique on ne doit jamais sombrer dans la facilité ni faire de la démagogie. Il ne faut pas tomber dans le ridicule de paraître défendre le système de retraite à 60 ans parce que même si l’on y apporte des amodiations (comme les 40 ans d’annuités), elles ne sont pas audibles politiquement. Pourquoi s’accrocher là-dessus ? Je leur ai dit : « Rectifiez le tir ». En vain pour le moment. [...]

    Je crois que l’origine politique de certains actuels dirigeants du Front a plus d’importance que leur comportement personnel. Je pense à l’influence nocive d’un homme que je trouve pour ma part tout à fait détestable : Jean-Pierre Chevènement. Il a les apparences d’un patriote alors qu’il est au fond un marxiste. L’influence chevènementiste, si elle continue de s’exercer, est nuisible. Cette tournure d’esprit m’est totalement étrangère. [...]

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    Je m’honore aussi d’avoir rétabli l’honneur d’être de droite. Pendant un long moment les gaullistes ne voulaient pas être de droite. Ils méprisaient le terme. L’un des premiers livres du FN qui n’est pas assez connu et que je vais faire rééditer, c’est Droite et démocratie économique. Un livre qui est l’exaltation de la libre entreprise comme moyen économique et politique d’équilibre de la nation. Nous revendiquions cette étiquette de droite qui ne nous était pas accordée. Alors qu’il n’y avait pas de droite, nous étions déjà qualifiés d’extrême droite. Or ce choix sémantique n’est pas innocent. Car extrême gauche, cela donne gauchiste, mais extrême droite, cela ne donne pas droitiste mais extrémiste de droite. C’est très subtil mais très vicieux en même temps. La sémantique est aussi un terrain de bataille qu’il ne faut pas négliger. Plus que jamais aujourd’hui nous devons avoir conscience que se joue l’avenir de notre pays, de notre peuple, de la vie individuelle de chacun d’entre nous et de nos descendants. La France et même l’Europe ont-elles encore la capacité et la volonté d’exister dans le monde alors qu’elles en ont tracé le cadre civilisationnel depuis 2 000 ans ? Le torrent démographique mondial conjugué à la volonté délibérée de nos élites de ne pas assurer la reproduction de nos familles au nom d’un individualisme et d’un hédonisme qui seraient les parangons de la vertu moderne vont-ils conduire au suicide de notre nation, de notre continent, de notre civilisation ? Nous voulons croire que l’instinct de vie sera plus fort que les forces mortifères. Sur le papier c’est un défi certes aussi invraisemblable que celui de David contre Goliath. Et pourtant au final c’est David qui a gagné. C’est là qu’il nous faut être habile dans le choix de l’arme et de son maniement. Quand nous faisons la comparaison des forces en présence et que nous constatons leur disproportion, il y a de quoi être terrifié. Mais nous devons croire en notre capacité à gagner et à survivre car dans la longue histoire de notre pays il y eut des moments comparables à celui-ci, où il apparaissait qu’il n’y avait plus de chances pour la France. Et grâce à l’action de la Providence et à celle d’une poignée d’hommes résolus et courageux, la France est repartie. En ces fêtes pascales où la vie triomphe sur la mort, l’espérance sur le désespoir, nous devons plus que jamais croire aux Pâques françaises tant il est vrai que c’est la nuit qu’il est beau de croire en la lumière."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • GÉNOCIDE DES CHRÉTIENS : PAS UN POINT DE DÉTAIL

    GÉNOCIDE DES CHRÉTIENS : PAS UN POINT DE DÉTAIL - L’anachronisme médiatique minimise les horreurs d’aujourd’hui

    L’anachronisme médiatique minimise les horreurs d’aujourd’hui



    Jean Ansar
    le 07/04/2015
    Jean-Marie Le Pen est un Breton à la tête dure. Il a les défauts de ses qualités et peut s’entêter même quand il sait que cela aura des conséquences fâcheuses dans les médias. Cela étant,il n’aurait pas repris ses propos sur le « détail » si, comme chaque fois, un journaliste ne lui avait posé avec une insistance proche de l’interrogatoire de police ou de l'inquisition, la question. Mais pourquoi ceux qui veulent le faire taire sont-ils ceux qui lui donnent sans cesse la parole ?

    Il dérape certes pour les gardiens des dogmes mais il faut dire qu’on le pousse largement sur les bords de la route. Est-il d’ailleurs fâché de ce harcèlement ? Ce n’est pas sûr. Il ne supporte pas la ligne de dédiabolisation Marine-Philippot, considérant qu’il ne sert à rien de se renier pour participer finalement à un système que l’on prétend vouloir abattre.

    Mais l’essentiel est ailleurs. Les propos du président d'honneur du Fn ont occupé dans les médias 10 fois plus de place que le massacre des chrétiens du Kenya ou l’appel pascal du pape. Les propos sur le passé sont en France plus importants que les horreurs du moment.

    Quand les chrétiens émergent dans l'actualité médiatique, c’est autour d’une censure honteuse de la RATP sur un spectacle. Cela est en train de changer, mais jusqu’à maintenant le génocide culturel et humain des chrétiens d’orient et les crimes contre l’humanité vis à vis de chrétiens dans le monde entier est traité par nos médias de la mémoire comme un point de détail de l'actualité. Mais l’actualité c’est bien sûr l’histoire de demain. On ne changera pas ce qui a été mais on devrait pouvoir agir sur ce qui est.

    Les médias sont en fait viscéralement anti-chrétiens et le resteront tant que le pape n'aura pas désigné des évêques pour pratiquer un avortement et n’aura pas marié lui-même des couples homosexuels. C’est cela la vérité.

    Certains valeurs chrétiennes gênent les idéologues médiatiques et moins on  parle de chrétiens mieux ça vaut, les musulmans, c’est autre chose. Leur conception de la laïcité est une conception anti identité française, anti France canal historique. Encore une fois, nous sommes dans une laïcité de discrimination positive en faveur des musulmans car principalement issus de l’immigration.

    Alors que Daesh brûle les églises des origines de cette religion qui fait partie de nos racines aux côtés des apports gréco-romains, ce qui préoccupe les médias c’est le confort religieux des musulmans en France.

    Quand on réclame deux fois plus de mosquées et qu’on trouve cela normal, c’est confirmer une réelle islamisation de la société française avec une communauté musulmane issue de l'immigration forte, on ne saut plus très bien, de 4 à 7 millions de personnes ce qui n’est pas la même chose. Quand on pose une question sur ce sujet à un responsable du Fn, c’est qu’on espère un  dérapage, c’est à dire  une vérité non  conforme au totalitarisme sémantique.

    Qui menace les juifs et les chrétiens en France, au Proche orient ou au Kenya…. Certes pas les déviances d’un Jean-Marie Le Pen, mais les crimes contre l’humanité de fanatiques se réclamant de l’islam.

    L’islam de France qui réclame des mosquées est dans l’échec total et ça c’est un vrai problème. 


    METAMAG

     

     
  • Hervé Gattegno : “Construire des mosquées n’est pas un risque mais une chance pour la France”

     

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    07/04/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Hervé Gattegno a donné son point de vue suite aux déclarations de Boubakeur appelant à construire plus de mosquées en France. Il estime que si on veut que l’islam sorte d’une forme de clandestinité, il faut que les musulmans aient plus de lieux de culte.

    Mais le journaliste va plus loin en déclarant ceci :

    Construire des mosquées n’est pas un risque mais une chance pour la France

    Jean-Jacques Bourdin rappelle que favoriser la construction d’édifices religieux est susceptible de constituer une violation de la loi de 1905. Mais Hervé Gattegno s’inscrit en faux :

    Non. Ce n’est pas du tout vai. Cet argument-là, c’est souvent l’argument un peu pervers de ceux qui veulent – non pas défendre la laïcité – mais empêcher le développement de l’islam. Ce qui est un combat d’arrière-garde. Puisque la moitié des musulmans dont on parle, ils sont Français. Et qu’il y a bien longtemps que l’islam est la 2ème religion de France. Qu’on le veuille ou non.

    Hervé Gattegno est journaliste, rédacteur en chef du Point

  • L’UMP maintient la subvention de 2,5 millions pour la mosquée de Tours, décidée par Jean Germain (PS) suicidé aujourd’hui

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    21h40

    Alors que l’ancien maire socialiste de Tours  vient de se suicider pour échapper à son procès dans l’affaire des mariages chinois, nous rappelons son projet de Grande Mosquée soutenu aujourd’hui par l’UMP.

     

    « Fin 2013, malgré le fort endettement, le maire Jean Germain a annoncé une subvention de 2,5 millions d’euros, en coopération avec la région, censée alimenter les activités culturelles et non cultuelles de la mosquée. L’arrivée d’un maire UMP, Serge Barbary, n’indique aucun revirement. Selon Chérifa Zazoua-Khames, adjointe au nouveau maire UMP en charge de la politique de la ville : « la subvention a été décidée en accord avec Philippe Briand, président UMP de la communauté d’agglomération et sera sans doute maintenue »

    (…) Islamisation.fr

    FDS

  • La République, Pétain, le «monde blanc», Valls : Jean-Marie Le Pen dérape encore

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    LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO -Le président d'honneur a accordé une interview à Rivarol, un hebdomadaire d'extrême-droite. Un condensé de prises de positions sulfureuses, loin de l'image dédiabolisée que cherche à entretenir sa fille.

     

    Sa sortie, jeudi, sur la Shoah (une nouvelle fois considérée comme «un détail de l'histoire») n'était donc qu'une première étape vers une autre interview qui devrait être bien plus commentée. Jeudi, l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol publiera une longue interview de Jean-Marie Le Pen. Le président d'honneur du Front national se lâche sur plusieurs domaines, une nouvelle fois à rebours de la ligne politique de sa fille.

    ● Pétainisme

    Jeudi, il assurait à BFM-TV et RMC qu'il y a au sein du Front national «d'ardents pétainistes». Dans Rivarol, il ajoute: «J'ai toujours oeuvré à la réconciliation des Français. (...) Pour ma part, comme je l'ai déjà dit, je n'ai jamais considéré le maréchal Pétain comme un traître. L'on a été très sévère avec lui à la Libération. Et je n'ai jamais considéré comme de mauvais Français ou des gens infréquentables ceux qui ont conservé de l'estime pour le Maréchal». «Selon moi ils ont leur place au Front national comme l'ont les défenseurs de l'Algérie française, mais aussi les gaullistes, les anciens communistes et tous les patriotes qui ont la France au coeur», explique le fondateur du FN.

    ● La shoah

    Jean-Marie Le Pen revient sur la polémique réouverte jeudi suite à ses propos sur la Shoah, toujours considéré à ses yeux comme «un détail de l'histoire». Des propos condamnés par les ténors du FN. «L'on est jamais trahi que par les siens», s'agace-t-il. «Je ne suis pas homme à changer d'avis ni à ramper», lance Jean-Marie Le Pen qui tient ces propos sur l'Holocauste depuis 1987. «J'ai sur cette question une opinion que je crois justifiée. Ceux qui s'appuient sur ce genre d'opérations pour porter jugement ont le plus grand tort. J'ai cessé de marcher à quatre pattes depuis l'âge de 18 mois. Je ne suis pas l'homo a plat ventrus», explique l'eurodéputé.

    ● Les homosexuels

    Interrogé sur la présence d'homosexuels dans son mouvement, le président d'honneur confirme: «Il se trouve qu'il y a en effet un assez grand nombre d'homosexuels au FN, comme il y en a d'ailleurs dans les autres partis, et ceci pour une raison somme toute assez simple: c'est que ce sont des gens qui sont beaucoup plus libres de leur temps que d'autres». L'octogénaire poursuit: «En général ils n'ont pas de responsabilités familiales. Et donc ils sont beaucoup plus disponibles. Comme de surcroît ils ont le sentiment d'être un peu en marge de la société, ils ont tendance à se regrouper, même s'ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté.»

    «Je crois que l'origine politique de certains actuels dirigeants du Front a plus d'importance que leur comportement personnel», nuance-t-il. Et d'adresser un tacle au vice-président du FN, Florian Philippot, ancien chevènementiste: «Je pense à l'influence nocive d'un homme que je trouve pour ma part tout à fait détestable: Jean-Pierre Chevènement. Il a les apparences d'un patriote alors qu'il est au fond un marxiste. L'influence chevènementiste, si elle continue de s'exercer, est nuisible».

    ● Le «monde blanc»

    Le fondateur du FN appelle à se rapprocher de la Russie «pour sauver l'Europe boréale et le monde blanc». «L'Europe boréale intègre les Slaves mais aussi la Sibérie donc je crains que les Russes puissent la garder seuls». S'il aborde l'immigration musulmane, Jean-Marie Le Pen juge que la menace vient aussi d'Asie: «Il y a un million de Chinois en France. Ce sont des gens intelligents, actifs, discrets mais néanmoins puissants et redoutables», lance-t-il.

    ●«Nous sommes gouvernés par des immigrés»

    «Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d'immigrés à tous les niveaux», déplore Jean-Marie Le Pen. Premier ciblé: Manuel Valls. «Valls est Français depuis trente ans, moi je suis Français depuis mille ans. Quel est l'attachement réel de Valls à la France? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout? Qu'a-t-il apporté à notre pays? (…) Valls n'est pas un caballero, c'est un très petit monsieur. Le président d'honneur du FN vise également des députés UMP du sud de la France: «Estrosi et Ciotti à Nice, Mariani, ce sont des gens dont les parents étaient italiens…», pointe-t-il.

    ● La République

    Jean-Marie Le Pen s'agace des multiples références à la République faites par Manuel Valls. «Ils commencent à me gonfler tous avec la République! Je ne suis pas royaliste mais cette référence n'est faite d'évidence que pour gommer la référence à la nation», lance-t-il.

    ●Candidature aux régionales

    Dès jeudi, ses propos sur la Shoah ont remis en cause la légitimité de sa candidature aux élections régionales dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. A Rivarol, il dit vouloir conserver la tête de liste: «Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes. Je rappelle que j'ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d'un an, plus de 33 % des voix dans la région PACA». En cas de victoire du Front national, il assure qu'il briguera bien la présidence de la région.


    Comment Jean-Marie Le Pen a pris le FN de court

    Après la polémique suscitée par ses propos sur les chambres à gaz, Jean-Marie Le Pen, recadré par son parti, a voulu frapper fort et montrer son indépendance vis-à-vis de l'appareil du Front national. L'interview-choc qu'il livre à Rivarol a donc été préparée en catimini par le président d'honneur du FN.

    «Seul son majordome et sa femme (Jany Le Pen, ndlr) étaient au courant», confie au Scan le directeur de la publication Jérôme Bourbon, qui se dit lui-même «étonné» par le caractère «sulfureux» de l'interview. Même son directeur de cabinet, lui aussi contacté, n'était pas informé de l'interview au moment où Rivarol communiquait dessus. «Maintenant, il fait ça en cachette», s'agace-t-on à la direction du FN.

    L'interview, menée par l'ancien député FN Robert Spieler, qui a quitté le parti en 1989, s'est déroulée en deux temps: une rencontre dans l'entre-deux-tours des départementales à Montretout, puis un entretien par téléphone après les propos de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz. Selon Rivarol, l'interview a été relue et validée ce mardi matin par le fondateur du FN.

    LE FIGARO

  • Galeries Lafayette : la nouvelle affiche choc de Robert Ménard

     

    07 Avril 2015, 18h23 | MAJ : 07 Avril 2015, 19h51

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    Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, a entrepris mardi une campagne d'affichage dans sa ville pour dénoncer l'attitude de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise. Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, a entrepris mardi une campagne d'affichage dans sa ville pour dénoncer l'attitude de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise. DR

    «Cette femme possède deux milliards d'euros mais elle en veut encore plus!», «2015: elle ferme son magasin de Béziers... 2016: elle en ouvre un au Qatar», «Galeries Lafayette: Le fric vit plus fort» : voici les slogans que les habitants de Béziers ont découvert ce mardi sur 130 affiches placardées partout en ville, autour d'un portrait peu flatteur de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise.

     

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    A l'origine de cette campagne d'affichage, nul autre que le maire de Béziers soutenu par le FN, Robert Ménard.

    Alors que le groupe Galeries Lafayette a en effet fait part de sa volonté de fermer son magasin bitterois qui est dans une «situation financière précaire» et qui enregistre «des pertes récurrentes» depuis 5 ans, Robert Ménard a lancé cette campagne ce mardi lors d'une conférence de presse : il a également  menacé de prendre d'autres mesures de rétorsions, son «imagination étant sans limite». En novembre dernier le maire avait déjà annoncé le rachat par la mairie des murs du grand magasin, pour 2,3 millions d'euros, afin d'«éviter que n'importe quoi soit fait» si la fermeture venait à se confirmer.



    Ménard et les affiches...


    «Les Galeries Lafayette se présentent comme un groupe aux valeurs familiales, ils sont tout le contraire. Quitter Béziers pour aller au Qatar, c'est peut-être bien sur le plan économique. Mais au niveau social et humain, c'est un scandale», a estimé l'ex-président de Reporters sans Frontières, qui n'en est pas à sa première polémique depuis son élection à la mairie en mars 2014. Il a d'ailleurs utilisé plusieurs fois l'affichage, notamment la photo d'un énorme pistolet, «nouvel ami» de la police municipale de sa ville.

    Les magasins de Thiais -127 salariés et 80 démonstrateurs (personnels employés par des marques)- et Béziers -50 salariés et 30 à 40 démonstrateurs- sont condamnés à fermer à la fin 2015. Celui de Lille -151 salariés et environ 70 démonstrateurs, selon la CGT- est en suspens. Les Galeries Lafayette comptent 64 magasins, dont 59 en France -incluant le navire amiral du Boulevard Haussmann à Paris- et 5 à l'étranger (Berlin, Casablanca, Dubaï, Jakarta, Pékin), selon le site du groupe.

    Outre une ouverture sur les Champs-Élysées, de nouveaux magasins sont annoncés à Milan, Marseille, dans le quartier du Prado, et en Seine-et-Marne, au centre commercial Carré Sénart.
     
    Le Parisien
  • Jean-Marie Le Pen à Rivarol: "Nous sommes gouvernés par des immigrés à tous les niveaux"

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     |  Par                                                                              

    Publication: 07/04/2015 18h39 CEST Mis à jour: Il y a 1 heure

        

        

    POLEMIQUE - Jean-Marie Le Pen a ses petites habitudes. Et lorsqu'il se brouille avec sa fille Marine, c'est dans les colonnes de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol que le président d'honneur du Front national aime régler ses comptes. Un choix hautement symbolique puisque le journal est ouvertement hostile à la stratégie de dédiabolisation portée par Marine Le Pen.

    Dans un entretien exclusif et "à coeur ouvert" à paraître ce jeudi et dont des extraits ont été adressés à la presse ce mardi 7 avril, Jean-Marie Le Pen revient donc sur sa dernière dispute avec sa fille à propos des camps de concentration dont il réaffirme qu'ils sont "un point détail" de l'histoire de la Seconde guerre mondiale.

    "On n'est jamais trahi que par les siens", se désole-t-il à propos du désaveu de la présidente du FN, tout en maintenant sa position: "Je ne suis pas homme à changer d'avis ou à ramper".

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    Candidat même contre l'avis de Marine Le Pen

    Alors que son précédent dérapage pourrait lui coûter son investiture à la tête de la liste FN en PACA pour les prochaines élections régionales, Jean-Marie Le Pen persiste et signe: "Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes."

    Pas question donc de céder la place à sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen ou à quiconque d'autre. "Je rappelle que j'ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d'un an, plus de 33% des voix dans la région Paca. Je suis donc légitime pour conduire la liste du Front national dans cette région où de surcroît, je suis conseiller régional et président du groupe FN depuis 1992", poursuit-il.

    Quant à la rumeur selon laquelle, en cas de victoire, il cèderait la présidence de la région à son fidèle Bruno Gollnisch, Jean-Marie Le Pen oppose un démenti sans ambiguité: "Je suis candidat à la présidence de la région Paca par la logique des choses."

     

    Pétainistes, immigrés, homosexuels

    La suite de l'interview s'apparente visiblement une longue série de provocations destinées à embarrasser sa fille et à gêner sa stratégie de normalisation du FN. Ce dernier prend d'ailleurs la défense de l'ex-candidate FN Anne-Sophie Leclère, exclue du parti et poursuivie en justice pour avoir partagé sur Internet une caricature de Christiane Taubira grimée en singe.

    Toujours sur la Seconde guerre mondiale: "je n'ai jamais considéré le Maréchal Pétain comme un traître". Sur les homosexuels au FN: "Ils otn tendance à se regrouper même s'ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté". Sur les immigrés: "Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d'immigrés à tous les niveaux. [...] Quel est l'attachement réel de Valls à la France? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout?"

    Jean-Marie Le Pen va même jusqu'à prendre ses distances avec la République française et le jeu démocratique. "Ils commencent à me gonfler tous avec la République!", s'agace-t-il avant d'estimer comprendre "que l'on mette en cause la démocratie, qu'on la combatte".

    En politique internationale, Jean-Marie Le Pen prône une alliance avec la Russie "pour sauver l'Europe boréale et le monde blanc".

    Quand Le Pen traitait Rivarol de "taliban hystérique"

    Ce n'est pas la première fois que le président d'honneur du FN s'épanche ainsi dans l'hebdomadaire d'extrême droite. Au lendemain de la polémique qui l'avait opposé à sa fille sur l'emploi du mot "fournée", Jean-Marie Le Pen y avait attaqué la stratégie de dédiabolisation de la présidente du Front national en ces termes: "Si la diabolisation dépendait d'attitudes extravagantes, extrémistes nous ne serions pas du tout diabolisés, ce qui n'est pas le cas."

    Avant cela, un autre entretien accordé à l'hebdomadaire lui avait valu une condamnation à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende pour y avoir déclaré que l'Occupation allemande n'avait pas été "particulièrement inhumaine".

    Pendant la campagne interne pour la présidence du FN, Rivarol avait ouvertement pris partie contre Marine Le Pen, désignée comme une "ennemie" de la cause nationaliste face à son adversaire Bruno Gollnisch. Jean-Marie Le Pen avait alors volé au secours de sa fille en qualifiant l'hebdomadaire de "taliban hystérique". Les voilà réconciliés.

  • De l’impertinence institutionnelle : Depuis Lisbonne et Maastricht, la France n’a plus de Constitution

     

    L’Union européenne contre l’Europe

    Alors que la plupart des citoyens et contribuables français pensent encore être sous le régime de la Vème République, il n’en est rien. Non seulement nous ne sommes plus en Vème République, mais plus en République ni même sous un régime politique français dûment accepté par le peuple.

    Depuis les traités de Maastricht et surtout de Lisbonne, le régime politique français a disparu pour laisser la place à un régime européen autoritaire, technocratique et tout entier tourné vers la satisfaction des intérêts privés au détriment de l’intérêt commun, lequel n’existe pas dans les pays européens pris comme un tout. Chaque pays de l’Union a une histoire, une langue, un référentiel culturel, politique, juridique, économique et social différent et autonome.

    Certes, les traités européens ne se sont pas ouvertement, officiellement, substitués à l’ordre politique intérieur des pays membres de l’union européenne ; union artificielle et sous commandement américain. Toutefois, de façon détournée, officieuse, mais très efficace, l’ordre européen s’est peu à peu substitué à l’ordre français. Aujourd’hui, on estime que plus de 80% des lois et décrets en vigueur en France sont issus de la transposition des directives européennes ; transposition obligatoire car sanctionnée par de fortes indemnités financières depuis que la Cour de l’Union (forcée) a décidée, en 2005 conformément à la mission que lui imposait les traités (faire appliquer le droit européen issu des traités), de condamner à de lourdes amendes financières les États réticents à traduire, « transposer » en jargon européen, dans leur ordre intérieur les directives européennes.

    Or, il n’est un secret pour personne que le programme politique des traités européens est ultralibéral, c’est-à-dire tourné vers le libre-échange commercial au bénéfice des plus forts via la concentration des capitaux qu’il suppose. C’est ainsi que l’ordre public et le bien commun ont été discrètement remplacés par un ordre sociétal purement commercial tout entier dévolu à la satisfaction d’appétits privés.

    Les traités européens, écrit dans le silence des bureaux par des gens tout acquis à la cause oligarchique, dont un ancien président français fait partie, ont subrepticement remplacé ce qui servait de régime politique à la France. Comment cela est-il possible demanderez vous ? Rien de plus simple : les traités européens sont tout à la fois une constitution en ce qu’ils créent et organisent des institutions et un programme politique.

    Le régime politique européen s’est ainsi peu à peu substitué au régime politique français, avec l’aide sourcilleuse et efficace des dirigeants et des représentants du peuple français qui ont constitutionnalisé le droit européen en modifiant notre constitution à chaque fois que cette dernière était susceptible de contrarier l’application du droit européen. Le régime français, ses institutions et les votes sur lesquels il reposait, n’est plus désormais qu’une coquille vide. Il en va ainsi pour tous les Etats membres de cette fumeuse Union européenne. C’est pourquoi monsieur Juncker ne faisait que « dire le droit » lorsqu’il a rappelé à la Grèce qu’un changement politique au sein d’un Etat membre ne modifiait en aucun cas les traités européens applicables, de droit, à tous. Seule une modification des traités, laquelle suppose une unanimité impossible à réaliser puisque chaque Etat a adhéré à l’Union pour des raisons différentes, pourrait modifier le programme politique inclus dans les traités. Les jeux sont faits ! La seule issue pour les peuples est de plier (voire de rompre) ou de sortir de cette union contre-nature.

    Les régimes que l’Europe de l’ouest et l’occident avaient traditionnellement adoptés depuis, grosso modo, le siècle des lumières étaient tournés autour d’institutions politiques organisées dans un souci de séparation, d’indépendance et d’équilibre des pouvoirs. En Union Européenne au contraire, les institutions sont créées et organisées dans le seul objectif de remplir le plus efficacement possible le programme politique issu des traités européens, la séparation des pouvoirs y apparaissant comme un trouble fête.

    La séparation des pouvoirs étant de facto battue en brèche par le nouvel ordre politique européen, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 (article 16) nous apprend que les français n’ont plus en réalité de constitution : « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »
    La Déclaration de 1789 (qui n’est plus respectée dans aucun de ses articles) invite les citoyens qui ont perdu toute souveraineté, et à qui les institutions nouvelles contestent jusqu’à leur Etat nation par l’imposition d’une fédération de régions, à ne pas respecter l’ordre politique ploutocratique bruxellois puisque « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. » (article 3).

    > Cyril Brun anime le site Cyrano.net.

    NDF

    NdB: C'est le Front National qui a raison! Une fois de plus!

  • Angleterre: le plus gros lapin du monde bientôt détrôné par son fils

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    Thibaut Le Gal

    Le plus grand lapin du monde risque bientôt de perdre son titre, rapporte The Mirror. Avec ses 1 mètre 30 et ses 22 kg, Darius tient toujours la forme. Mais son fils Jeff atteint déjà 1 mètre 10 et n'a pas encore fini sa croissance.

    Leur propriétaire, Annette Edwards, 63 ans pense qu’il le dépassera bientôt. «Darius a toujours été le plus gros, mais Jeff est énorme si on considère que c’est encore un bébé», indique au tabloïd britannique cette habitante de Worcester en Angleterre. «Je m’attends à ce qu’il devienne plus gros que son père. Dès que ce sera le cas, je l'emmènerai se faire peser par le vétérinaire et le Guinness Book des records validera le fait que Jeff est le plus grand lapin du monde», poursuit-elle.

     

    2.000 carottes et 700 pommes par an

    Les deux animaux appartiennent à la race de lapin géant des Flandres. Chaque année, Annette Edwards dépense 6.800 euros pour les nourrir. Les lapins avalent en moyenne 2.000 carottes et 700 pommes par an.

    «Même s'ils sont énormes, ce sont les meilleurs animaux que je pouvais demander. Ils sont tous les deux très calmes. Ils s'entendent bien avec les enfants et sont mêmes amis avec d'autres animaux, comme le boxer d’un ami», développe-t-elle.

    20minutes

  • Gaz de schiste: le rapport enterré par Hollande !

     

      

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    Le Figaro dévoile le contenu d'un rapport sur l'exploitation des gaz de schiste commandé en 2012 à des experts par Arnaud Montebourg, alors ministre du Redressement productif.

    Le document, achevé en 2014, recommandait l'expérimentation, en France, d'une technologie de prospection à base de fluoropropane. Une alternative propre à la technique controversée de la fracturation hydraulique.

    Le rapport souligne, en détail, comment la France pourrait en tirer parti en termes de croissance, d'emplois, de compétitivité industrielle et d'indépendance énergétique. Le gouvernement s'est empressé d'envoyer ce document aux oubliettes.

                                     

  • Légitime défense et défense immunitaire : tout peuple qui se renie disparaît

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    La légitime défense est rarement reconnue en France au motif que le citoyen ne doit pas se substituer à l’État dans ses fonctions régaliennes. Mais si l’État est défaillant ?
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    Dura lex, sed lex, mais pas pour tout le monde.

    Un violeur multirécidiviste ayant déjà écopé de 29 ans de prison depuis 1991 vient d’être relaxé pour sa dernière incartade : il avait coupé son bracelet électronique et comptait passer en Espagne. Donc, il n’était déjà plus en prison. Pauvres Espagnoles !

    Fin mars, un octogénaire malade a été condamné à deux ans de prison ferme et 6.500 euros de provision pour préjudice pour avoir tiré sur trois jeunes qui s’étaient introduits chez lui de nuit et avoir légèrement blessé l’un d’eux. Que se passera-t-il pour ce vieil homme ? Finira-t-il comme « Mamie loto », morte peu après avoir été condamnée à une amende de 120.000 euros ?

    Le 1er avril, un buraliste du Tarn a été condamné à sept ans de réclusion par un jury populaire, passant outre l’avis de l’avocat général de retenir la légitime défense pour l’homicide de l’un de ses agresseurs.

    Les services judiciaires disposent d’une armée de psychologues qui viennent longuement expliquer l’enfance malheureuse des multidélinquants. Se sont-ils manifestés dans ces deux procès où, par une habituelle inversion des valeurs, c’est la victime qui se retrouve coupable de s’être défendue ?

    La légitime défense est rarement reconnue en France au motif que le citoyen ne doit pas se substituer à l’État dans ses fonctions régaliennes. Mais si l’État est défaillant ?

    Car l’État, inconstant et inconsistant, semble tout faire pour que les citoyens perdent tout repère moral et logique tout en instaurant une batterie d’obligations visant à restreindre la liberté des honnêtes citoyens : théorie du genre, saccage de l’instruction publique, disparition programmée des professions indépendantes, stigmatisation et démoralisation de la police, interdiction de faire du feu, à l’intérieur, à l’extérieur, pour le paysan de produire ses semences, etc.

    Les remparts de sagesse que nos pères ont patiemment élevés s’écroulent par pans entiers dans le magma de nos peurs et de nos renoncements.

    Tout ceci ne vise-t-il qu’à détruire une société traditionnelle ? Quand on est sans repères, on est sans immunité, vulnérable et malléable, à la merci de tous les prédateurs.

    Quel peuple digne de ce nom peut accepter de courber ainsi l’échine et d’en redemander ? C’est ce que l’essayiste Guillaume Faye appelle l’ethnomasochisme.

    Dans la dernière affaire judiciaire, un jury populaire, au lieu de défendre un membre de la communauté nationale, le condamne contre l’avis même de l’avocat général.

    Il n’y a que deux lieux en France où le peuple peut exercer sa souveraineté : les urnes et les prétoires. Pour les urnes, les dernières élections ont montré que rien n’a fondamentalement changé ; quant aux prétoires, ceux qui nous y représentent ont décidé que nous n’étions pas encore assez soumis.

    En arabe, ce qui nous attend s’appelle la dhimmitude.

    Tout peuple qui se renie disparaît.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE