GAELLE MANN - Page 776
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Musée juif de Bruxelles: une vidéo du suspect évoque l'attentat
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VIDEO - Hollande: "Tout pour empêcher les jihadistes de nuire"
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Fusillade de Bruxelles: du braquage au jihad, parcours de Mehdi Nemmouche, le tireur présumé
Un profil jihadiste, un casier criminel, une enfance difficile. Le voile se lève peu à peu sur la personnalité et la vie de Mehdi Nemmouche, un Français de 29 ans arrêté vendredi à Marseille, et soupçonné d'être le tireur qui a abattu quatre personnes au Musée juif de Bruxelles le 24 mai dernier.
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L'arrestation de Nemmouche «montre la réalité de la menace jihadiste», pour Guéant
Impossible, en découvrant la parcours de ce délinquant présent sur les radars du renseignement français depuis plusieurs mois, de ne pas penser à Mohamed Merah, l'auteur des tueries de Toulouse et Montauban en 2012.
Accablé mais silencieux. Arrêté à la gare routière Saint-Charles à Marseille par les douaniers, lors d'un simple contrôle, alors qu'il se trouvait dans un autocar en provenance d'Amsterdam, via Bruxelles, cet homme originaire de Roubaix (Nord) se présente pour l'instant aux policiers comme un sans domicile fixe, et a gardé le silence durant les 24 premières heures de sa garde à vue. Les éléments semblent pourtant accablants : il était en possession d'armes du même type que celles utilisées à Bruxelles, ainsi que d'une caméra GoPro et d'une casquette correspondant aux images de vidéosurveillance du Musée juif, où un couple d'Israéliens, une bénévole française et un employé belge, ont été tués par balles le 24 mai dernier. Plus accablant encore, il revendique dans un film saisi sur lui l'attaque de Bruxelles.
Un profil de jihadiste à la «Merah». Lors d'une conférence de presse, le procureur de la République François Molins s'est étendu sur le parcours de ce délinquant multirécidiviste, qui «s'est radicalisé lors de sa dernière détention», suite à une condamnation en 2009 à deux ans de prison pour vol aggravé. «Il a fait preuve de radicalisme religieux et s'est rapproché de groupes jihadistes», ce que l'administration pénitentiaire a immédiatement signalé aux services de renseignement. Mais, trois semaines après sa libération en décembre 2012, Mennouche quitte la France pour la Syrie via Bruxelles, Londres, Beyrouth et Istambul. S'il n'a jamais été localisé durant cette période, le Renseignement français assure qu'«il a passé plus d'une année en Syrie, où il a rejoint les groupes combattants de l'Etat islamique en Irak et au Levant» avant de revenir en Europe «en brouillant les pistes», selon les mots du procureur qui a notamment évoqué un séjour d'un mois en Malaisie. Repéré dans un aéroport allemand en février 2014, il disparaît une nouvelle fois des radars...avant d'être interpellé en France.
Un parcours qui n'est pas sans rappeler celui de Mohamed Merah, jeune délinquant radicalisé dans ses convictions islamistes qui avait séjourné en Afghanistan et au Pakistan avant de tuer trois parachutistes puis trois enfants et un enseignant juifs à Toulouse et Montauban en mars 2012.
Des condamnations pour vols et braquages. Délinquant notoire, le suspect avait déjà été condamné à 7 reprises pour conduite sans permis, vols et braquage, entre 2004 et 2009. En 2009, il avait notamment été condamné avec deux autres prévenus à deux ans de prison pour le braquage le 13 août 2006, d'une supérette de Tourcoing (Nord), le «Penny Market». Au total, Mehdi Nemmouche a passé plus de 5 ans en prison.
Un homme «vif et intelligent» mais «pas religieux». Pour son avocate, Mehdi Nemmouche «n'avait aucune pratique religieuse. Cela ne correspondait pas à sa personnalité». «Ce ne serait pas étonnant qu'en maison d'arrêt des jeunes hommes finissent par, malheureusement, dévier, notamment quand ce sont des jeunes gens en déshérence», a toutefois ajouté l'avocate sur BFMTV, évoquant un «grand gâchis». «Pour quelqu'un qui s'est retrouvé seul à la rue à 17 ans, qui était intelligent et vif d'esprit, je ne crois pas que la prison soit la meilleure solution», a-t-elle expliqué, se souvenant d'un homme «qui voulait s'en sortir».
Une enfance difficile, sa famille «choquée» «On est très choqués. On n'est pas bien et on ne s'y attendait pas», a déclaré à la presse une des tantes de Mehdi Nemmouche, interrogée devant la maison d'un quartier résidentiel de Tourcoing (Nord), où il a vécu quelque temps. «On l'a appris ce matin aux infos», a-t-elle ajouté, décrivant son neveu comme «quelqu'un de gentil, d'intelligent, scolarisé, qui avait fait une année d'université», mais aussi «très discret» et qui «ne se confiait pas facilement». Elle a rappelé qu'il avait été placé peu après sa naissance avant d'être hébergé par sa grand-mère à l'âge de 17 ans. La famille n'a «plus eu de contact avec lui» à partir du milieu des années 2000, alors qu'il était en détention.
«Apparemment, il était dans une prison dans le sud. Nous, on ne savait plus rien. Il ne voulait pas donner de ses nouvelles, il ne voulait pas nous causer de problèmes», a expliqué un autre proche requérant l'anonymat. A sa sortie de prison, fin 2012, la famille a «eu la surprise de le revoir. Il est venu faire un petit bonjour, pour nous rassurer, puis on ne l'a plus jamais revu», a témoigné sa tante. «Il ne fréquentait pas la mosquée, il ne parlait pas de religion (...). C'est forcément en prison (qu'il a pu se radicaliser)», a-t-elle ajouté. Un autre membre de sa famille, qualifiant la tuerie de Bruxelles d'«acte horrible, odieux», ressent son arrestation comme «un fossé».Le Parisien 01 06 14
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Qui connaît Christophe Rambour, torturé et séquestré durant des semaines ?
Le 30 mai 2014Le meneur de cet autre gang des barbares, Narin Bun, est semble-t-il tout aussi effroyable que son prédécesseur, l'immonde Youssouf Fofana.Christophe Rambour est mort à 27 ans, au début de l’année 2012. Il a fallu sept mois d’enquête aux gendarmes d’Amiens dans la Somme, pour découvrir l’atroce vérité. Les meurtriers n’ont été arrêtés qu’il y a quelques jours comme l’a révélé Le Courrier Picard, les parents de la victime ont appris à cette occasion les terribles conditions de sa mort.
Le jeune homme était un maître-chien sans histoire, sans emploi depuis peu, et n’ayant jamais eu d’ennuis avec la justice. Il était gentil et serviable, rapporte Le Courrier Picard. Ses derniers jours furent un calvaire inhumain. Torturé et séquestré durant plusieurs semaines, par une fratrie de cinq personnes âgées de 25 à 31 ans (dont deux femmes) motivées par l’appât du gain et incapables d’empathie.
Le meneur de cet autre gang des barbares, Narin Bun, est semble-t-il tout aussi effroyable que son prédécesseur, l’immonde Youssouf Fofana.
Les voisins des tortionnaires n’ont rien remarqué. Encore sous le choc, ils témoignent, toujours dans Le Courrier Picard : « Je suis retournée. Nous n’avons rien vu, rien entendu. Ils ont même dû nous surveiller pour être sûrs que l’on ne s’apercevait de rien.» Provocateur, agressif, propriétaire de chiens dangereux,Narin Bun intimidait le voisinage et les agents de l’état par ses regards agressifs et ses menaces. Croulant sous les dettes, il aurait décidé de capturer Christophe Rambour afin de profiter de son argent, notamment en l’obligeant peut-être à vendre sa voiture. Une fois rassasié et Christophe Rambour mort, lui et ses complices se sont débarrassés du corps en le découpant puis en le brûlant.
Cette affaire illustre le caractère barbare et aveugle des faits divers actuels, toujours plus violents, toujours plus incompréhensibles. Combien faudra-t-il de martyrs pour que la prise de conscience soit réelle et que la lutte soit efficace ? La victime était d’un milieu simple, un brave garçon, il n’avait pas mérité un tel sort et doit susciter notre compassion et celle des milieux politiques et médiatiques.
En effet, ce cas est tout à fait semblable à celui d’Ilan Halimi qui a beaucoup fait réagir, à juste titre. Christophe Rambour doit être traité sur un pied d’égalité, car pour l’instant son histoire n’a été abordée que dans la presse régionale. Pas d’émissions spéciales, pas même à ma connaissance d’entrefilet sur une chaîne nationale.
Le gouvernement devrait donc se prononcer sur cette affaire et faire la pleine lumière sur les tortionnaires, à la suite des grand médias cruellement silencieux jusque lors. Par exemple, Narin Bun et ses sœurs étaient-ils de nationalité française ? Sont-ce des récidivistes ? Etaient-ils connus des services sociaux et de police ?
La mort de ce jeune homme, dramatique et choquante, n’est pas à oublier. Il faudra s’en souvenir et honorer sa mémoire à la mesure de la gravité des faits.
Gabriel ROBIN
BOULEVARD VOLTAIRE
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Affaire "Bornand" : le Parquet fait appel des contrôles judiciaires
Marseille / Publié le Samedi 31/05/2014 à 11H12Une caution de 50 000 €, l'interdiction de se rendre à son cabinet, d'exercer sa profession et de rencontrer les protagonistes du dossier : le strict contrôle judiciaire auquel est soumis l'avocat marseillais, Maître Antoine Béraud, depuis jeudi, sur décision du juge des libertés et de la détention, ne satisfait pas le parquet de Marseille.
À l'issue de la mise en examen de l'avocat pour des faits de "corruption active et d'escroquerie en bande organisée", le parquet avait requis un mandat de dépôt. N'ayant pas été suivi dans ses réquisitions, il a, hier, interjeté appel de cette décision, réclamant qu'il soit placé en détention provisoire. "Ce sont des faits financiers pour lesquels il n'y a aucun risque de déperdition de preuve", a réagi, surpris, Maître Perez, un des conseillers de l'avocat. "Par ailleurs, son sort professionnel est entre les mains du conseil de l'Ordre. La détention provisoire n'a aucun intérêt dans ce dossier".
Un des deux inspecteurs des impôts mis en cause devrait comparaître à ses côtés devant la chambre de l'instruction dans les prochains jours. Le parquet conteste aussi sa remise en liberté sous contrôle judiciaire. Pour l'heure, une seule personne a été écrouée dans ce dossier, Patrick Sitbon, le gérant de la bijouterie Bornand, située rue Paradis. La justice cherche à savoir d'où proviennent les 450 000 € retrouvés dans le coffre de la bijouterie et pourquoi ils n'ont pas été déclarés aux impôts.
La Provence
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Photo du jour: contagion ?
#ultimora #marenostrum Nave Euro con a bordo 530 migranti soccorsi ieri dirige verso Porto Empedocle
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Pas d’école maternelle musulmane en Suisse
dans Europe, International / Par Pierre-Alain Depauw / le 31 mai 2014 à 11:25 /
Le canton de Zurich s’est prononcé le 27 mai contre l’ouverture de ce qui s’annonçait comme la première école maternelle musulmane de Suisse. Le département de la formation zurichois a notamment mis en avant la proximité de l’association Al Huda, porteuse de ce projet, avec le Conseil central islamique suisse (CCIS) classé radical. La vice-présidente d’Al Huda et responsable administrative du projet d’école serait membre du CCIS.
Les autorités zurichoises ont diffusé un communiqué : « En raison des objectifs du Conseil central, un danger subsiste que les enfants soient éduqués selon des valeurs partiales, qui seraient incompatibles avec les préceptes de l’école obligatoire, tels que la tolérance, l’ouverture et le dialogue. Ce qui contrevient à la loi », explique Martin Wendelspiess, le responsable du département de formation. « Nous doutons, de plus, que le jardin d’enfants puisse remplir les objectifs du programme scolaire zurichois », ajoute-t-il.
Al Huda avait déposé sa demande en juin 2013. Son projet de jardin d’enfants avec enseignement de l’arabe et du Coran prévoyait d’accueillir entre 15 à 25 élèves âgés de 4 à 6 ans dans un appartement d’un centre islamique situé à Volketswil.
MPI
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Chroniques de l’Europe assiégée (suite) : des djihadistes arrêtés à Melilla (Espagne)
31/05/2014 – MELILLA (NOVOpress) - Sept personnes ont été arrêtées à Melilla (Espagne) dans le cadre d’une opération conjointe de la gendarmerie et de la Police espagnoles, qui ont démantelé un réseau international de recrutement djihadiste pour le compte d’organisations islamistes installées au Mali et en Libye. Parmi les personnes arrêtées figure le premier djihadiste “espagnol” tout juste rentré du Mali. Melilla est une petite ville espagnole située sur la côte Nord-Ouest de l’Afrique, et formant une encoche dans le territoire marocain. À l’image de Lampedusa en Italie, Melilla sert de point de passage aux africains subsahariens pour rentrer illégalement en Europe : rien que cette semaine, près de 500 d’entre eux sont parvenus à rejoindre Melilla.
Depuis le mois de mars, les polices espagnole et marocaine ont porté un coup dur à la cellule djihadiste la plus active en Espagne, responsable du recrutement de volontaires pour les djihad notamment à destination de la Syrie et du Mali.
En France, le Bloc identitaire et le député Jacques Bompard militent pour la suppression de la nationalité française aux djihadistes : près de 300 Français issus de l’immigration se battraient actuellement dans des groupes terroristes musulmans en Syrie. Le cocktail explosif immigration/islam, dont Mohamed Merah et sa famille sont la plus parfaite illustration, ne fait que commencer en Europe…
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Les chiffres effarants de l'austérité en Grèce (cliquez sur le lien)
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-chiffres-effarants-de-l-austerite-en-Grece-25707.html
E&R
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Italie : 3 000 migrants secourus en 24 heures en Méditerranée
- Publié le : samedi 31 mai 2014
- Source : midilibre.fr
La marine italienne a annoncé samedi avoir secouru en 24 heures près de 3 000 migrants qui tentaient la dangereuse traversée de la Méditerranée en bateau.
Environ 1 300 ont été secourus samedi dans le cadre d’une opération importante destinée à sauver les vies de milliers d’immigrants qui sont à bord d’embarcations de fortune surchargées.
Près de l’île de Lampedusa
Vendredi, des bateaux de la Marine se sont portés au secours de 1 443 personnes et de 200 migrants près de l’île de Lampedusa, où plus de 400 personnes avaient trouvé la mort l’an dernier. Dans le courant du mois, 14 personnes avaient trouvé la mort dans un naufrage entre la Libye et l’Italie.
Le journal La Repubblica, qui parle d’un « exode sans fin vers les côtes de la Sicile », avait rapporté que les migrants étaient principalement des Syriens et Egyptiens.
Lire la suite de l’article sur midilibre.fr/
E&R
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Publicité: deux femmes sur le point de s'embrasser, la mairie censure sur plainte des habitants
La dernière publicité du bijoutier Chaumet, où l'on voit deux femmes sur le point de s'embrasser, a apparemment choqué les habitants du Pecq, selon la mairie qui a décidé de censurer l'affiche.
Capture d'écran de la publicité du bijoutier Chaumet censurée par la mairie de Le Pecq. Les deux femmes ne sont en fait qu'une seule personne: l'actrice Marine Vacth du film Jeune et Jolie, représentant le mythe de Narcisse.
Censure sur demande. La dernière publicité du bijoutier Chaumet, où l'on voit deux femmes sur le point de s'embrasser, a été censurée par la Mairie UMP du Pecq, rapporte Le Parisien.
La maire de cette commune des Yvelines, Laurence Bernard, aurait demandé à l'entreprise JC Decaux de retirer les affiches de la ville après plusieurs plaintes d'habitants.
"Ils nous ont dits que cela les gênait que les enfants soient soumis à cette image, que ça les choquait et les embêtait aussi de répondre à des réflexions des enfants à ce sujet", explique la mairie, citée par Le Parisien, qui rappelle que "le rôle de la municipalité est de faire régner l'ordre public".
"Retirer ces affiches est d'une violence grave contre les personnes homosexuelles. On ne va pas gommer notre existence, notre quotidien, sous prétexte que ça ferait peur à certains parents", explique de son côté Flora Bolter, coprésidente du centre Lesbien Gay Bi Trans (LGBT) Ile-de-France.
Attaquant l'argumentation de la mairie, Flora Bolter explique que "la nation est censée être garante du vivre ensemble. La mairie aurait plutôt dû demander aux habitants ce qui les choquait dans cette affiche pour en discuter et apaiser les angoisses".
Marine Vacth de Jeune et Jolie
Même son de cloche du côté de SOS Homophobie pour qui "supprimer cette publicité, c'est donner raison à ceux qui sous-entendent qu'un baiser entre deux femmes est moins bien qu'un baiser entre homme et femme".
Les deux femmes sur la photo ne sont en fait qu'une seule et même personne: l'actrice Marine Vacth du film Jeune et Jolie de François Ozon. La campagne, baptisée Double Je, joue avec le mythe de Narcisse, explique encore le Parisien.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/publicite-deux-femmes-sur-le-point-de-s-embrasser-la-mairie-censure_1547240.html#8o7xY1hioessodrt.99 -
Une fonctionnaire tunisienne demande à ses collègues qui ont voté FN de ne plus lui dire bonjour!
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Christophe Rambour, 27 ans, martyr de l'invasion
http://jeune-nation.com/2014/05/christophe-rambour-martyr-de-linvasion/
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Réforme pénale: Taubira se fait recadrer par Hollande
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Coupe du monde de football : le Bloc identitaire veut en finir avec les violences
À l’approche du début de la Coupe du monde de football, le Bloc identitaire tire le signal d’alarme face aux risques d’incidents graves entraînés par les supporteurs algériens et demande à l’État d’appliquer à leur encontre l’arsenal législatif existant. Depuis le tristement célèbre match entre la France et l’Algérie en 2001, pratiquement chaque rencontre de l’équipe algérienne entraine des débordements violents.
À Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Roubaix, et dans plusieurs centaines de villes françaises, on ne compte plus les affrontements avec les forces de l’ordre, les incendies volontaires de voitures et les dégradations de mobiliers urbains, les pillages de magasins et de boutiques, les agressions anti-françaises et les insultes, provoqués par les supporteurs algériens. Pourtant, le gouvernement socialiste n’a rien prévu face à cette bombe à retardement de violence qui a de fortes chances d’exploser dans deux semaines, comparable aux émeutes de 2005, envoyant les policiers et gendarmes colmater les brèches de leur lâcheté.
Le Bloc identitaire demande aux pouvoirs publics, afin de préserver la paix civile, d’appliquer aux supporteurs algériens les lois existantes et déjà mises en place avec fermeté à l’encontre des fans de football français.
DOSSIER DE PRESSE COMPLET : bloc-identitaire.com/docs/CoupeduMonde_Supporters-Algerie.pdf
L’intégralité du communiqué du Bloc identitaire est disponible en cliquant ici : bloc-identitaire.com
Publié le 30 mai 2014
NOVOPRESS
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Les révélations de la fille adoptive des Chirac
La "fille de coeur de Jacques et Bernadette Chirac", comme elle se définit elle-même, n'a pas vu ses parents adoptifs depuis bientôt deux ans, indique Le Figaro. Dans un livre à paraître le 5 juin, Chirac : une famille pas ordinaire. Les confidences de leur fille de coeur, Anh-Dao Traxel a choisi de régler ses comptes avec le clan Chirac, et plus particulièrement avec Bernadette et Claude, qu'elle accuse de "faire barrage" pour l'empêcher de voir l'ex-chef d'État.
Débarquée en France à 21 ans, en 1979, la jeune femme faisait partie des milliers de "boat people" vietnamiens qui fuyaient leur pays dans l'espoir de trouver un avenir meilleur. C'est dans une salle de l'aéroport de Roissy qu'elle croise Jacques Chirac, alors maire de Paris, qui s'émeut de son sort. La jeune femme restera deux ans chez Jacques et Bernadette, avant de prendre son envol.
Mais, depuis, ses relations avec sa famille adoptive ne sont pas vraiment au beau fixe, comme elle l'a confié au Parisien Magazine. Avec la parution de cette seconde autobiographie, elle espère exorciser "cette blessure qui ne guérit pas et ne pas la laisser sans explication". Sans contact avec les Chirac depuis novembre 2012, Anh-Dao Traxel a du mal à accepter cette mise à l'écart.
"L'amour de mon père me manque"
"Je veux dire que je fais encore partie de cette famille, que je n'oublie pas ce que j'ai vécu avec eux. L'amour de mon père me manque." Cette éviction, la fille adoptive des Chirac l'attribue à l'ascension politique de son père, et déplore d'avoir été utilisée pour servir la carrière de Jacques Chirac. "J'étais considérée comme un membre de leur famille quand Bernadette et Claude avaient besoin de moi pour amadouer la communauté asiatique ou l'opinion publique."
"Elles m'ont demandé d'assister à des réveillons chinois, de faire des photos pour Gala en pleine présidentielle", ajoute-t-elle. "J'ai le sentiment d'avoir été utilisée à des fins électorales. J'étais une image à qui on demandait ensuite de rentrer dans sa boîte." Après la victoire de Jacques Chirac à la présidentielle, on fait en effet comprendre à Anh-Dao Traxel qu'elle n'était plus la bienvenue.
"Le soir de la victoire de 1995, le président m'a promis de m'emmener avec lui, mais son entourage m'a ensuite fait comprendre qu'il n'était plus un chef de clan mais le président des Français." "Il avait 1 000 personnes à son service, et pas une petite place pour moi ?" s'interroge-t-elle.
"La politique ne fait pas bon ménage avec les sentiments"
Par la suite, elle ne verra jamais son père adoptif à l'Élysée. "Peut-être que ma famille de coeur avait honte de moi parce que j'étais femme de service dans un foyer pour retraités", ajoute-t-elle, avant de constater, amère, que "la politique ne fait pas bon ménage avec les sentiments".
Mais les griefs de l'ancienne "boat people" ne s'arrêtent pas là. Anh-Dao Traxel reproche également à Bernadette Chirac de ne pas l'avoir plus soutenue dans son éducation. "Michel Drucker, Philippe Douste-Blazy ont eux aussi adopté des "boat-people" et les ont encouragés à faire des études. On ne m'a même pas laissé le temps d'apprendre le français !" déplore-t-elle.
Ce n'est pas la première fois qu'Anh-Dao Traxel s'en prend à sa famille adoptive. Dans une interview accordée à Var Matin en 2011, elle reprochait déjà à Bernadette Chirac de ne pas lui avoir "tendu la main en 1979" et accusait Claude d'être "la reine des coups tordus" qui a toujours voulu lui "donner des leçons de morale".
Le Point 30 05 14
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« L’Islam est un produit de l’Enfer » : le sermon-choc d’un pasteur irlandais, soutenu par le Premier ministre
30/05/2014 – BELFAST (NOVOpress) – C’est un sermon comme on n’en entend plus beaucoup, même chez les calvinistes d’Irlande du Nord. Mais le pasteur James McConnell, fondateur de la Whitewell Tabernacle Metropolitan Church de Belfast, est un protestant évangélique, qui ne mâche pas ses mots.
Dimanche 18 mai, devant sa congrégation, le pasteur McConnell a vigoureusement dénoncé l’Islam et ceux qui le présentent comme une simple « variante du christianisme et du judaïsme ». « Ce n’est pas vrai, a-t-il protesté. Les idées de l’Islam sur Dieu, sur l’humanité, sur le Salut, sont très différentes de ce qu’enseignent les saintes Écritures. L’Islam est païen, l’Islam est satanique, l’Islam est une doctrine née de l’Enfer ».
Mettant en garde contre « les cellules musulmanes dans toute la Grande-Bretagne », le pasteur McConnell n’a pas craint de se référer au plus célèbre député unioniste d’Ulster, feu Enoch Powell. « Les gens disent qu’il y a de bons musulmans en Grande-Bretagne, c’est peut-être le cas, mais je ne leur fais pas confiance. Enoch Powell avait raison et sa carrière a été ruinée pour cette raison. Enoch Powell était un prophète : il nous a dit que le sang coulerait dans les rues, et c’est arrivé ».
Les propos du pasteur ont évidemment fait scandale et la police a ouvert une enquête pour « incitation à la haine ». Mais il a obtenu le soutien du Premier ministre d’Irlande du Nord, Peter Robinson, qui a souvent fréquenté son temple et a annoncé qu’il continuerait à le faire. Dans une interview à Irish News, Peter Robinson a déploré que le pasteur McConnell soit « diabolisé » alors qu’il « a donné sa vie pour le Christ » et qu’il « prêche l’Évangile ». « C’est le devoir de tout prédicateur chrétien de dénoncer les fausses doctrines, il a donc parfaitement le droit de le faire, c’est parfaitement approprié pour un pasteur. Cela s’est fait pendant des générations ».Le site internet de l’église a été victime d’une attaque par déni de service. Au nom de la liberté d’expression sans doute ! Copie d’écran par Novopress (cc).
Quant à la « confiance » envers les musulmans, le Premier ministre a déclaré que lui-même ne ferait pas « confiance aux musulmans qui ont été impliqués dans des activités terroristes. Je ne leur fais pas confiance s’ils adhèrent entièrement à la charia. Je ne leur ferais pas confiance pour ma direction spirituelle ». « La confiance, a-t-il plaisanté, ne relève pas de l’incitation à la haine. Sinon, je vais aller voir la police et dénoncer tous ceux qui disent qu’ils ne font pas confiance aux hommes politiques ».
L’indignation politico-médiatique a immédiatement changé de cible pour se concentrer contre le Premier ministre, accusé de « promouvoir la haine » et de « donner l’impression au reste du monde que l’Irlande du Nord est une société fermée et pas accueillante ». Le vice-Premier ministre et ancien chef d’état-major de l’IRA, Martin McGuinness, a appelé Robinson à « reconnaître et embrasser la diversité sociale, culturelle et religieuse de notre société. J’apprécie, a-t-il dit, la diversité et la nature multiculturelle de notre société, et la précieuse contribution que la communauté musulmane apporte quotidiennement à cette société ».
À Londres, le secrétaire d’État à l’Irlande du Nord, Theresa Villiers, a condamné le sermon du pasteur McConnell, puisque, selon elle, « l’Islam est une religion pacifique ». Amnesty International, qui a cru bon de se mêler de l’affaire, a reproché à Peter Robinson « d’abandonner les victimes de crimes racistes ».
Dans une déclaration publiée vendredi, Peter Robinson a tenté de faire valoir que ses propos avaient été « interprétés contre son intention ». Tout en maintenant que le pasteur McConnell « avait droit à la liberté d’expression », le Premier ministre a assuré qu’il « respectait la contribution apportée à notre société par les membres de la communauté islamique ».
Le pasteur McConnell a expliqué quant à lui que son sermon lui avait été inspirée par l’histoire de Meriam Yehya Ibrahim, la jeune chrétienne condamnée à mort au Soudan pour « apostasie », au nom de la loi islamique en vigueur. « Je ne me courberai pas, a-t-il promis dans un nouveau sermon, devant les pouvoirs des ténèbres ».
Publié le 30 mai 2014 - Modifié le 30 mai 2014 -
Les services postaux otages du lobby LGBT ?
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-services-postaux-otages-du-lobby-LGBT-25311.html
La Finlande fait pire que le timbre Femen...
Le mondialisme est satanique !
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Le 30 mai 1431, Jeanne d'Arc est brûlée vive sur la place du vieux marché à Rouen
Jeanne d'Arc est condamnée à mort comme "relapse", c'est-à-dire retombée dans l'hérésie, sur la place du Vieux-Marché, à Rouen. Jeanne a réussi à délivrer Orléans assiégée par les Anglais et à faire sacrer Charles VII à Reims. Mais elle a été capturée par les Bourguignons à Compiègne et vendue aux Anglais pour 10 000 livres et confiée à Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et leur allié. Le Roi ne fait pas un geste en sa faveur. Cauchon la condamne à être brûlée vive lors d’un procès inique en 1431.
Elle est brûlée vive, le 30 mai 1431, place du Vieux-Marché à Rouen par le bourreau Geoffroy Thérage, après avoir été condamnée pour hérésie par un tribunal ecclésiastique.
« Ah! Rouen! Rouen! s'écrie-t-elle, j'ai bien peur que tu n'aies à souffrir de ma mort. » Soudain elle pousse un cri : « Maître Martin, prenez garde, descendez…, le feu. »
Le bourreau venait d'allumer les fagots par en bas. Ladvenu rejoint Ysambard au pied du bûcher, et ils ne cessent tous deux de parler à Jeanne à travers les flammes, de tenir le crucifix devant ses yeux. Cependant la fumée s'élève, le bois crépite
« Saint Michel! Saint Michel! Non, mes voix ne m'ont pas trompée, ma mission était de Dieu, Jésus! Jésus! » La douleur lui arracha un dernier cri d'angoisse : « De l'eau! De l'eau bénite! » Mais bientôt elle redit avec une énergie nouvelle : « Jésus! Jésus! Jésus! » Et elle meurt en criant : « Jésus! » »
Elle est réhabilitée en 1456, canonisé en 1920.
Le Salon Beige
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"Il est de retour", le best-seller allemand qui ressuscite Hitler
http://www.20minutes.fr/culture/1377297-il-est-de-retour-le-best-seller-qui-ressuscite-hitler