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  • Australie : Asha, le bébé migrant hospitalisé sera finalement expulsé avec sa famille (Màj)

    https://youtu.be/cgLUL-TJ9AA

    LIEN VIDEO

    19h31

    22/02/2016

    Son nom signifie « espoir » en népalais, mais pour Asha, ce sera bientôt le retour à la case départ. Cette petite fille d’un an avait été admise dans un hôpital australien, fin janvier, après avoir été brûlée à l’eau bouillante lorsqu’elle vivait avec ses parents dans un camp de migrants sur l’île de Nauru. Malgré la pression des manifestants, elle et sa famille seront prochainement renvoyées sur la petite île.

  • Hollande prépare les Français à une arrivée massive de migrants

     

    Entre Brexit, Merkel et Schengen

    François Hollande se livre en ce moment à un exercice tout à fait passionnant : il donne la démonstration, en grandeur et en temps réels, de la mécanique du gouvernement profond à l’œuvre en France. Les simagrées auxquels les dirigeants européens se livrent autour d’un possible « Brexit » lui en donnent l’occasion parfaite.

     

    Hollande et la doxa du gouvernement profond

    Au fondement de la mécanique hollandaise, on trouve l’inlassable énumération d’une doxa qui s’entretient toute seule à partir de quelques piliers dont toute remise en cause est taxée de populisme, de poujadisme ou de démagogie. Dans ce salmigondis de certitudes toutes démenties par la plus évidente des réalités, l’idée de base est encore et toujours le principe générique selon lequel l’Europe comme construction communautaire, quelle qu’en soit la forme précise (et généralement la plus fantasmée), est une bonne chose. La conséquence immédiatement tirée de cette certitude est qu’il faut forcément plus d’Europe, plutôt que moins d’Europe, et plus d’Europe au lieu de mieux d’Europe.

    Sur France Inter, ce vendredi soir, François Hollande n’a pas dit autre chose :

    « Je fais ce qu’il faut pour que nous puissions garder le Royaume-Uni dans l’Europe, mais à condition que l’Europe puisse avancer. » (…)

    « Que la Grande-Bretagne reste ou non, l’Europe devra prendre des décisions au lendemain du référendum. » Le président français dit ainsi s’être rapproché de l’Allemagne pour ne « pas attendre la rupture, le Brexit  » mais « prendre l’initiative ». Il rappelle son projet de s’appuyer sur un « noyau dur » européen.

    Alors que la zone euro est économiquement malade, que les décisions agricoles et diplomatiques européennes mettent nos éleveurs à genoux, que la désaffection populaire pour l’Europe est visible et forte, François Hollande fore droit : il faut plus d’Europe.

    Hollande et sa logique européenne oblique

    Ce principe étant posé, il emporte tous les autres.

    Première conséquence de la prémisse du raisonnement : il faut conserver la Grande-Bretagne coûte-que-coûte ou presque dans l’Union. Personne ne juge bien entendu utile de souligner que la Grande-Bretagne menace de quitter l’Union à cause d’un afflux d’immigrés qu’elle souhaite pouvoir endiguer. Face à cet afflux, la Grande-Bretagne reproche à l’Europe d’être impuissante… mais oublie de dire que l’élargissement à marche forcée de l’Union a toujours trouvé un soutien massif auprès des gouvernements britanniques successifs, qui se réjouissaient de l’impuissance européenne que ce mouvement artificiel engendrerait.

    Donc, pour garder la Grande-Bretagne dans l’Union, il faut lui concéder le droit de mener une politique migratoire dérogatoire et exorbitante du droit commun.

    Deuxième conséquence de la même prémisse : il faut sauver Schengen, car remettre Schengen en cause, c’est aller vers moins d’Europe, et nous, nous voulons plus d’Europe. Le maintien de Schengen, comme le dit François Hollande, permet de ne pas noyer ni torpiller la Grèce qui reçoit des dizaines de milliers de migrants chaque mois.

    « Si les frontières intérieures ferment, si Schengen n’est plus appliqué, ces réfugiés vont rester en Grèce, un pays qui a déjà des difficultés économiques considérables, qui va en faire quoi ? »

    Lire la suite de l’article sur eric-verhaeghe.fr

  • Calais: Cazeneuve promet aux associations une évacuation "progressive" du sud de la "Jungle"

    http://www.leparisien.fr/societe/calais-guy-bedos-agnes-b-et-d-autres-personnalites-contre-le-demantelement-de-la-jungle-22-02-2016-5568457.php

    + VIDEOS

  • Polynésie française: Père Auguste, le curé qui bouffe de l'atome

    http://www.leparisien.fr/societe/video-polynesie-francaise-pere-auguste-le-cure-qui-bouffe-de-l-atome-22-02-2016-5568319.php

  • Quand Fox News invente les propos de Marion Maréchal-Le Pen

    http://www.fdesouche.com/702863-quand-fox-news-invente-les-propos-de-marion-marechal-le-pen

    23h46

    Dans un portrait réalisé dans le cadre de l’émission «Full Measure», diffusée notamment sur Fox News, un entretien avec la nièce de la présidente du Front National a fait l’objet d’une traduction surréaliste.

     

    Le passage complet diffusé sur Fox News

    Source

     

     

  • Moselle : sauvé des flammes par son chat

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    Pussy a juste 6 mois

     

    | MAJ :

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    «Pas spécialement fan des chats», il va peut-être changer d'avis. Un homme de 34 ans, habitant d'Ottange, doit la vie sauve à son chat qui l'a sauvé d'un incendie, tôt dimanche matin, raconte "Le Républicain lorrain"

     
      

    Après ce qu'il qualifie lui-même de «bonne» soirée, Emmanuel rentre chez lui dans la nuit de samedi à dimanche. Ayant faim, il allume son barbecue électrique pour se faire cuire des saucisses et s'installe dans le canapé le temps qu'elles soient prêtes. Mais il s'endort. 

    Il est réveillé par des coups de patte de son chat Pussy, un cadeau fait par la mère de son fils, dont il est séparé. «Le chat m’a carrément secoué. Il me donnait des coups au visage, sur les joues, mais sans les griffes», explique Emmanuel, qui se trouve alors dans une pièce remplie de fumée. Cet ancien pompier de Paris essaye, tant bien que mal, d'éteindre les flammes avant d'appeler les secours. 

    Les analyses montrent qu'Emmanuel est passé tout près d'une intoxication au monoxyde de carbone. «Sans le chat, j’y restais. Je me dis que j’aurais pu m’endormir comme ça, tranquillement, définitivement». Rétrospectivement, ce père de famille est pris d'une certaine peur : « D’habitude, j’ai mon fils avec moi. Exceptionnellement, comme j’avais prévu de sortir, il dormait chez ses grands-parents.»
     
    Le Parisien
  • En Europe, la chasse aux anti-migrants a commencé

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    Immigration, islamisation ? On ne pourra peut-être bientôt plus rien écrire de non élogieux sur le sujet. Dans aucun pays d'Europe.

    Immigration, islamisation ? On ne pourra peut-être bientôt plus rien écrire de non élogieux sur le sujet. Dans aucun pays d’Europe.

    C’est un Écossais de l’île de Bute, 7.000 habitants et bientôt 1.000 migrants (neuf familles déjà sur place), qui vient d’en faire les frais. Le motif de son arrestation ? Avoir posté sur Facebook « des commentaires jugés offensifs » à propos de leur arrivée prochaine. L’inspecteur de la police de Dunoon assume pleinement sa décision et « espère que l’arrestation de cet individu va résonner comme un message clair : la police écossaise ne tolérera aucune forme d’activité qui pourrait inciter à la haine […] ». Menaces, intimidations, interdiction de tout esprit dissident : si cela ne signifie pas l’entrée en régime totalitaire…

    Aux Pays-Bas, un porte-parole de la police nationale a révélé l’existence de dix unités de « détectives digitaux en charge de la surveillance, en temps réel, de Facebook et de Twitter diffusant des messages qui vont trop loin ». Par exemple ? Les tweets d’un jeune Hollandais tel celui sur « la proposition du conseil municipal de Sliedrecht de prendre 250 réfugiés au cours des deux prochaines années : quelle mauvaise idée ! » Mark a reçu la visite de policiers à son travail, lui intimant l’ordre de « surveiller [son] ton », semblables propos étant jugés « séditieux ».

    En Suède, c’est l’Expressen, l’un des plus grands journaux du pays, qui fait appel aux hackers pour se livrer à la chasse aux blogueurs qui « dérapent ». Descente à domicile pour les « interviewer », publication de leur nom et parfois même de leur photo, avec pour conséquence, pour l’un d’eux, la perte de son emploi. La Suède, supposée être la panacée de la démocratie, adepte des méthodes des pires régimes totalitaires. Qui l’eût cru ?

    Le Danemark, en août 2015, a condamné à une amende de 893 euros un ancien politicien, « pour délit à caractère raciste », qui avait osé dénoncé, dans un tweet en 2014, « l’antisémitisme musulman ».

    Et chez nous ? On a www.internet-signalement.gouv.fr qui encourage, comme au bon vieux temps de la Révolution française ou de la Collaboration, la dénonciation de « contenus ou comportements illégaux punis par une loi française » (en ligne de mire, évidemment, les lois Pléven, Gayssot et Compagnie). Mais existe aussi denoncerlahaine.org, site créé par quatre avocats pour pallier « l’inaction des réseaux sociaux » en ce domaine, expliquait l’un d’eux, Maître Bensaid, en février 2015.

    Idée reçue 5 sur 5 par Mutter Merkel qui, en septembre dernier, se rendit à New York tirer les oreilles de Mark Zuckerberg. Et depuis décembre, Facebook, Twitter et Google se sont unis pour faire appliquer, en 24 h chrono, la loi allemande visant à supprimer « les discours de haine ». Ce dispositif s’appelle : « Initiative pour le courage civil »…

    On comprend alors pourquoi, depuis ces derniers mois, la chasse aux antimigrants – aux patriotes, en fait – a pris pareille tournure. Et dire qu’on se plaignait déjà de ne plus pouvoir rien dire ! Ça promet…

     
    B.V.
  • Près de 1000 «home-jackings» en France durant l'année 2015

     

     

     

    INFO LE FIGARO - Ces agressions au domicile des particuliers ont touché en 2015 beaucoup de personnes vulnérables en pavillon.

    «Home-jacking»: ces agressions hyperviolentes varient au gré des pulsions de l'auteur. Le malfaiteur s'introduit dans la résidence de sa victime, qu'il choisit de préférence vulnérable, lui vole sa voiture dans le parking, puisqu'elle détient les clés, mais aussi son argent liquide et sa carte bancaire, dont le code aura été révélé sous la contrainte. Le phénomène est connu. En apparence, ce sont de simples faits divers, brièvement relatés dans les éditions de la presse régionale. Mais voilà: mis bout à bout, sous le prisme de l'analyse criminelle, c'est une menace qui se dessine.

    Cliquez ici pour agrandir l'infographie

    Le Figaro a reconstitué la carte de ces «vols à main armée contre des particuliers à leur domicile» qui ont bondi en 2015 de presque 20 %! Près d'un millier d'agressions de ce type ont ainsi eu lieu en une seule année. Les départements les plus touchés sont, par ordre décroissant, les Bouches-du-Rhône, la Seine-Saint-Denis, Paris, le Val-de-Marne, le Nord, sans oublier les départements ultramarins de la Guyane et de la Guadeloupe, qui explosent souvent les scores des faits de criminalité violente par rapport au nombre d'habitants. Le home-jacking aura été, l'an dernier, l'infraction grave qui a connu la plus forte inflation, avec les séquestrations, qui elles-mêmes ont dépassé le seuil des 4000 faits en douze mois, soit une hausse de plus de 40 %.

  • « Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ? »

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    C'est ce qui est sorti de la bouche d'une commentatrice de CNN, sur le plateau des commentateurs suite à l'élection en Caroline du Sud.

    « Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ? » C’est ce qui est sorti de la bouche d’une commentatrice de CNN, sur le plateau des commentateurs suite à l’élection en Caroline du Sud. Les « pressetituées » à la solde des néo-cons et du nouvel ordre mondial se lâchent ouvertement. Leur candidat, Jeb Bush, s’est fait laminer et, larmoyante, la commentatrice continue: « Une dynastie vient de s’éteindre. » Quelle dynastie ! Celle de va-t-en-guerre ! Restent, désormais, dans la course Cruz, Rubio, Trump.

    Contre l’avis des « spécialistes », lesquels, comme chez nous, depuis le premier débat des GOP (Grand Old Party), enterraient six pieds sous terre Trump, je croyais en sa candidature. Il tuait à lui seul le politiquement correct. Il exprimait les exaspérations des Américains, face aux politicards corrompus de l’establishment. Il cassait tous les codes établis. Il déclarait même avoir fait partie de ce système, qu’il estime aujourd’hui contre-productif et qui doit disparaître. Il se finance seul, ce qui lui permet des libertés d’expression qu’aucun autre candidat ne peut se permettre, fût-ce du côté démocrate. Je l’ai intitulé « Tsunami Trump » puis je l’ai comparé à Gargantua. Gargantua, une nouvelle fois, vient de s’asseoir sur l’establishment avec une belle avance sur ses concurrents. Ils vont désormais se déchaîner pour briser sa popularité. Ils le disent sans fard. « Désormais, nous allons l’observer à la loupe, ce que nous avons négligé de faire jusqu’à présent. »

    Tout est une question de pognon pour eux, les commentateurs de l’establishment. Jamais un mot sur le peuple qui vote. Le peuple reste encore, dans leur tête, une masse informe, puante, suintante, dont on ne sait que faire. La majorité silencieuse que l’on méprise et à laquelle Trump ne cesse de s’adresser. Qu’ils ne s’inquiètent pas, le peuple saura quoi faire des représentants du « nouvel ordre mondial » dont ils ne veulent plus. Ce qu’ils veulent, c’est un chef qui leur rende la fierté d’être américains. Qui restaure les infrastructures, limite l’immigration, combat l’islam radical, ramène du boulot au pays, arrête ces guerres meurtrières, écrase l’organisation État islamique, rétablisse des règles, révise le TAFTA et, enfin, parle avec le président Poutine, conscient que le monde n’est pas unipolaire mais multipolaire.

    Je crois qu’il faut se rendre compte de la montagne face à laquelle se trouve Donald Trump : face à 6 groupes mondiaux qui possèdent 90 % de la presse américaine : General Electric, News Corp, Disney, Viacom, Time Warner et CBS ! Tous membres du Bilderberg, présidé par le Français Henri de Castries, PDG d’Axa ! Ils vont mettre le rouleau compresseur en marche pour lui barrer la route, à ce Gargantua. S’il sort vainqueur, ce sera grâce aux oubliés, au peuple américain, qui aura pour une fois montré qu’il est plus fort que les quelques tenants du « nouvel ordre mondial » qui fait et défait les présidents, lors des réunions secrètes du groupe Bilderberg.

    Pour nous, Européens, l’espoir, c’est Donald Trump, car aucun des autres candidats n’est prêt à parler avec la Russie, qui ne demande qu’une chose : un bon partenariat avec l’Amérique. Et nous, Européens, nous suivrons, pour le bon sens et l’intérêt général.

     
    B.V.
  • VIDEO - Florian Philippot invité de Jean-Jacques Bourdin (22 02 2016)

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/florian-philippot-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-760777.html

  • Les observateurs de la vie politique

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  • Ces Français extraordinaires : Albert Séverin Roche, « le premier soldat de France »

     

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    Albert Séverin Roche naît à Réauville dans la Drôme le 5 mars 1895, troisième fils dans une modeste famille nombreuse de cultivateurs. En 1914, à 19 ans, lors de la mobilisation, le conseil de révision le refuse car l’estimant trop chétif pour servir, à la grande joie de son père: on a besoin de bras pour faire tourner la ferme.

    En 1920,  Albert Séverin Roche fait partie des 11 braves désignés pour choisir le Soldat Inconnu puis porte avec 7 de ses camarades le cercueil de celui-ci lors de la cérémonie à l’Arc de Triomphe.

    Albert veut cependant coûte que coûte se battre. Devant l’opposition de son père, il fait son sac et se sauve. Il se présente au camp d’instruction d’Alban qui l’affecte au 30e Bataillon de Chasseurs. Cependant son incorporation se passe mal: mal noté, mal-aimé, il s’énerve et s’enfuit. Aussitôt rattrapé, il est envoyé en prison pour désertion.

    Il se défend en ces termes : « Les mauvais soldats, on les expédie là-haut, et moi je veux aller où l’on se bat. » Il est alors envoyé le 3 juillet 1915 au 27e bataillon de Chasseurs Alpins engagé dans l’Aisne, bataillon surnommé « diables bleus » par les Allemands.

    Il se porte volontaire pour aller détruire un nid de mitrailleuses. Rampant jusqu’aux tranchées ennemies, il parvient à proximité de la cible, atteint le tuyau de cheminée du poêle autour duquel se pressent les Allemands pour se chauffer et y fait tomber une poignée de grenades. La position est neutralisée: il y a plusieurs morts et les survivants se rendent, croyant être attaqués par un bataillon entier. Albert revient à sa base avec les mitrailleuses et 8 prisonniers.

    Régulièrement en première ligne, il se retrouve un jour être le seul survivant de sa position, une tranchée à Sudel en Alsace, tous ses camarades ayant été tués. Il positionne alors tous les fusils des morts avec lesquels il tire alternativement faisant croire à l’ennemi à la résistance d’une garnison, mettant ceux-ci en déroute.

    Régulièrement volontaire pour des missions de reconnaissance, il est un jour fait prisonnier avec son lieutenant blessé. Isolé dans une casemate lors d’un interrogatoire, il parvient à maîtriser et tuer son interrogateur à qui il a subtilisé le pistolet. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il ramène 42 nouveaux prisonniers et son lieutenant blessé sur son dos.

    Lors d’une offensive de la bataille du Chemin des Dames, son capitaine est grièvement blessé et gît entre les lignes. Il rampe alors sous le feu au péril de sa vie pendant six heures pour le rejoindre, puis encore quatre heures pour le ramener avant de le confier aux brancardiers.

    Épuisé, il s’endort dans un trou de guetteur. Il est réveillé par une patrouille qui le prend pour un déserteur. « Abandon de poste sous le feu, fusillé dans les 24 heures ». Malgré ses dénégations, sans témoin et en période de mutinerie, il est envoyé au cachot en attente de l’application de la sentence. Il écrit alors à son père « Dans une heure je serai fusillé, mais je t’assure que je suis innocent. ». Il est emmené au peloton d’exécution qui s’apprête à faire sa besogne lorsqu’une estafette l’interrompt : le capitaine est sorti juste à temps de son coma et apporte son témoignage disculpant Albert.

    Au cours du conflit, il est blessé neuf fois, fait 1.180 prisonniers à lui tout seul. À la fin du conflit à 23 ans il est toujours deuxième classe.

    Le 27 novembre 1918, il est présenté au balcon de l’hôtel de ville de Strasbourg par le généralissime Foch devant une immense foule en liesse en ces termes : « Alsaciens, je vous présente votre libérateur Albert Roche. C’est le premier soldat de France ! ». Peu de temps auparavant, Foch avait découvert avec étonnement les états de service d’Albert devant lesquels il s’était écrié : « Il a fait tout cela, et il n’a pas le moindre galon de laine !».

    Il reçoit la croix de la Légion d’honneur des mains du commandant de l’armée des Vosges, le général de Maud’huy. Il est invité à la table du général Mangin. En 1920, il fait partie des 11 braves désignés pour choisir le Soldat Inconnu puis porte avec sept de ses camarades le cercueil de celui-ci lors de la cérémonie à l’Arc de Triomphe.

    Il fait ensuite partie de la délégation française conduite à Londres en 1925 par le général Gouraud pour assister aux obsèques du Field Marshall Lord French. Il est convié à la table du roi George V avec cinq représentants de l’Armée.

    Wikipédia

    (Merci à T. pour l’idée et l’inspiration)

  • Le patron d’Europol estime que 3000 à 5000 terroristes entraînés par Daech sont déjà entrés en Europe

    1602201716460088.jpg Europol.jpg

     

    12h47

    Le patron d’Europol Rob Wainwright a mis en garde sur le nombre de djihadistes.
    Il a estimé entre 3.000 et 5.000 les combattants entrés en Europe après avoir été formés par ISIS au Moyen-Orient et a averti que l’Europe est actuellement confrontée à la menace la plus élevée depuis 10 ans.

     

    (…) DailyMail

  • La Pologne dit ne pas pouvoir cohabiter avec des gens du Moyen-Orient

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    12h54

    Varsovie s’oppose toujours au système de répartition des migrants par quotas. Un diplomate assure que son peuple ne peut cohabiter avec des ressortissants du Moyen-Orient.

     

    La présidence néerlandaise du Conseil, appuyée par l’Italie, la Grèce et l’Allemagne, tente de convaincre les États d’Europe de l’Est de participer au projet de redistribution de 160 000 réfugiés partout en Europe.

     

    « Les pays d’Europe centrale et de l’Est n’ont pas l’habitude de cohabiter avec des citoyens d’Afrique du Nord ou du Moyen-Orient », a assuré un diplomate polonais contacté par EurActiv.

    « Depuis le début de la crise des réfugiés, les différences sociales dans ces pays ont été sous-évaluées. Avant d’accueillir et de redistribuer [des réfugiés], il faut communiquer avec les peuples d’Europe », a estimé ce diplomate, qui a préféré conserver l’anonymat.

    (…) Selon un autre diplomate de haut niveau, jusqu’à 50 millions de migrants arriveraient en Europe dans les années à venir, un bouleversement démographique et culturel « changera l’Europe » pour toujours et que les pays de Visegrád ne sont pas prêts d’accepter.

    Lors de leur « mini-sommet » du 15 février à Prague, les quatre pays se sont accordés sur un plan B en cas d’effondrement de l’espace Schengen, si la Grèce sort ou est expulsée de l’espace sans frontières.

    Les dirigeants polonais, slovaques, hongrois et tchèques veulent la fermeture des frontières entre la Grèce, la Bulgarie et la Macédoine, afin de limiter drastiquement l’afflux d’immigrants qui arrivent de Turquie.

    Varsovie a déclaré « comprendre le fait » que certains pays avaient des difficultés à protéger leurs frontières externes, mais estime que « ces pays devraient également comprendre que d’autres pays européens n’ont pas appris à vivre avec des personnes originaires du Moyen-Orient ».

  • Projet de loi El Khomr sur le droit du travaili : la régression pour tous

    Communiqués / 19 février 2016 / Étiquettes : /
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    Communiqué de presse de Marine Le Pen

    Le projet de loi El Khomri sur le droit du travail ne réglera en rien les difficultés économiques des TPE et des PME, une nouvelle fois grandes oubliées de cette réforme. Elle rendra en revanche possibles de lourdes régressions sociales pour les salariés, ainsi qu’un renforcement des dérives communautaristes au sein des entreprises.

    En effet, ce projet révèle une méconnaissance aiguë des problèmes et attentes des chefs d’entreprise et notamment des patrons de TPE. Il faudrait d’abord leur permettre de remplir leur carnet de commandes, via un retour de la croissance. Il s’agit aussi de leur permettre l’accès au crédit et de les soulager d’une complexité administrative et d’une inflation de normes paralysante.

    En réalité, les conditions posées dans le projet de loi pour la signature d’un accord font que seules les grandes entreprises, qui disposent d’une représentation syndicale, pourront appliquer cette dérégulation du code du travail, leur accordant ainsi un avantage concurrentiel au détriment des petites entreprises qui représentent pourtant l’essentiel du tissu économique du pays.

    On est en outre frappé par l’incroyable blanc seing que donne le projet de loi aux revendications religieuses et communautaristes qui posent pourtant déjà d’énormes problèmes à beaucoup de chefs d’entreprise confrontés à des demandes inacceptables dans un pays supposé laïc. Au contraire il faut affirmer beaucoup plus solidement la laïcité dans l’entreprise.

    Pour toutes ces raisons, il est du devoir de tous les défenseurs de la vitalité économique et de la justice sociale, de s’opposer à ce projet de loi.

    Ce projet est clairement d’inspiration bruxelloise, s’inscrivant dans la feuille de route d’austérité édictée par une Union Européenne aux abois qui cherche à imposer comme seule voie possible la précarité générale.

    L’idée déjà avancée que le gouvernement puisse avoir recours au 49.3 laisse perplexe tant il semble évident que cette procédure va engendrer un surcroît de tensions alors que le pays est déjà secoué de multiples crises, sociale, migratoire, agricole,…

  • Robert Ménard au secours de Donald Trump, critiqué par le pape François

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    LE SCAN POLITIQUE - Fervent catholique, le maire apparenté FN de Béziers ne partage pas les prises de positions du pape en faveur de «la miséricorde» envers les réfugiés du monde entier, ni ses critiques contre Donald Trump.

     
     
     

    Depuis son arrivée en mairie en mars 2014, on a pris l'habitude de voir Robert Ménard en fervent défenseur de la chrétienté et de ses valeurs qu'il juge menacées. Catholique revendiqué, l'édile apparenté FN de Béziers a même plusieurs fois déclenché la polémique par des actions dénoncées comme des accrocs à la laïcité : on retiendra par exemple l'ouverture des férias de sa ville par une messe publique ou encore l'installation d'une crèche dans les locaux de sa mairie à l'occasion des fêtes de Noël. Une foi catholique qui ne l'empêche pas de critiquer ce vendredi le pape François quand ce dernier s'exprime sur le terrain de l'immigration pour dénoncer les prises de positions radicales du candidat aux primaires du Parti républicain américain, Donald Trump.

    Jeudi 18 février, le souverain pontife a eu des mots très durs envers Donald Trump. «Une personne qui veut construire des murs et pas des ponts n'est pas chrétienne», a jugé l'héritier du trône de Saint-Pierre, pour évoquer la situation à la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Une saillie qui n'a guère plu au prétendant à la Maison-Blanche : «Je suis fier d'être chrétien et, en tant que président, je ne permettrai pas que la chrétienté soit constamment affaiblie et attaquée», a-t-il répondu dans un communiqué. Avant de juger encore «qu'un responsable religieux mette en doute la foi d'une personne est honteux».

     

    Dans ce débat-là, on ne verra pas Robert Ménard prendre le parti du Saint-Père: «Les chrétiens attendent du pape qu'il défende la Chrétienté, pas sa submersion par l'immigration...», lâche l'édile sur Twitter ce vendredi matin. Contacté par le Scan, il développe: «Le pape devrait s'occuper un peu plus des prérogatives qui sont les siennes. Je ne crois pas à l'infaillibilité papale». «On peut aussi être catholique pratiquant comme je le suis, et ne pas être d'accord avec toutes les positions prises par le pape», estime Robert Ménard.

    Ménard veut voir Trump rencontrer Le Pen

    «Je pratique ma foi catholique et je suis favorable à l'accueil des personnes en danger, mais sans pour autant trouver normal que des réfugiés se soient installés dans des logements de ma ville à coup de pied de biche. Le pape doit comprendre ça. Et aussi que des gens s'inquiètent quand des vagues de migrants menacent de nous submerger. Cette année est placée sous le signe de la miséricorde. Et bien la miséricorde, ce n'est pas ouvrir toutes les frontières, c'est une attention à l'autre. Quand une petite rivière arrive au fleuve, elle y est facilement assimilée. Mais quand une vague géante menace de tout submerger, on est obligé de s'en défendre», tranche-t-il.

     

    L'occasion pour l'ancien président de Reporter sans Frontières de dire tout le bien qu'il pense par ailleurs de Donald Trump. «Il dit avec les mots des gens ce que les gens ressentent, c'est important. Son côté iconoclaste est salvateur. Ses questions brutales, sans langage technocratique, font du bien», estime Robert Ménard. De quoi en faire un modèle à suivre pour la classe politique française? «Un modèle, je ne sais pas, les situations sont différentes. Mais il est certain que nous partageons une même angoisse migratoire avec les États-Unis. En tout cas je pense que Marine Le Pen devrait le rencontrer, car ses constats et sa sensibilité sont très proches de ceux de la droite patriote».

    Le Figaro

  • Verdun: Courage, on les aura!

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    L'Ossuaire de Douaumont

    Il y a un siècle commençait l’une des plus grandes batailles de la France : pour arrêter l’envahissement de ceux que l’on appelait barbares.

    Ingénieur BTP
    Petit-fils du Colonel Adrien Henry (Combattant, résistant, Grand-officier de la légion d’Honneur, 13 fois blessé, prisonnier, évadé, condamné à mort par la milice)
    Il y a un siècle, la bataille de Champagne14-18 : les prémisses de la destruction de la famille vécue aujourd’hui ?

    Il y a un siècle commençait l’une des plus grandes batailles de la France : pour arrêter l’envahissement de ceux que l’on appelait barbares. Le courage et l’abnégation des soldats français vont éviter la rupture du front.

    Ce 21 février 1916 à 7 h 15 du matin, un bombardement d’une violence inouïe s’abattait sur le bois des Caures au nord de Verdun. Pour résister, quelques bataillons de chasseurs. Quatre jours plus tard, le fort de Douaumont sera pris ; la bataille s’étendra ensuite rive gauche de la Meuse au Mort-Homme et à la cote 304. Face aux divisions allemandes commandées par le Kronprinz et Falkenhayn, l’armée française va s’organiser avec les généraux de Castelnau et Pétain, puis Nivelle et Mangin ; et les soldats français vont répondre à cette agression par leur courage et leur sens du devoir.

    Pour illustrer ces faits, voici quelques exemples qui honorent la mémoire des morts et des blessés. D’abord le lieutenant-colonel Driant, qui va résister au premier choc à la tête des 56e et 59e bataillons de chasseurs à pied. Voici un député cohérent, droit dans ses guêtres, qui a mis ses convictions au service de son pays. Il avait quitté les bancs de l’Assemblée nationale pour rejoindre les soldats au fond des tranchées boueuses. Il va y laisser sa vie, mais grâce à la détermination de ses hommes et malgré leur sous-effectif, ce sacrifice permettra de gagner de précieuses heures pour faire monter en ligne les renforts français.

    Ensuite, des aumôniers brancardiers dont on ne parle pas souvent. Leur rôle est d’aller chercher les blessés entre les premières lignes, l’endroit le plus dangereux. C’est le cas du jésuite Paul Doncoeur, qui sauvera de nombreuses vies par son abnégation ; après la guerre, il exigera de la IIIe République que l’on reconnaisse le sang versé des catholiques. Regardons aussi le père Daniel Brottier, aumônier catholique, protégé par sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et qui donnera une nouvelle vie aux apprentis orphelins d’Auteuil.

    Enfin, pensons aux soldats. Le sous-lieutenant Adrien Henry, convalescent de trois blessures en Champagne, avancera son retour au 361e régiment d’infanterie pour participer aux contre-attaques sur les flancs de Douaumont, du côté de la carrière d’Haudromont. Il sera enterré vivant suite à la percussion d’un obus de 77 tombé sur la sape. Il s’en sortira puis sera blessé gravement à une jambe et fait prisonnier un soir du mois de mai. Il s’évadera et repassera de nuit au travers des lignes avec une jambe sous attelle, au prix de fatigue, de soif et de peur, pour continuer le combat dans sa Lorraine natale. Quant à son ami d’enfance, l’adjudant Tronville, il sera mitraillé sur les barbelés en sortant des tranchées, alors qu’il encourageait ses hommes en s’écriant « En avant ! En avant ! » Son nom est sur le monument aux morts de son village, Lacroix-sur-Meuse.

    Aujourd’hui, que nous disent ces hommes ? Courage, abnégation, sens du devoir pour leur patrie. L’Histoire de France a ses grands moments, ses victoires gagnées dans la douleur, ses héros méconnus. On peut en être fiers aujourd’hui.

     
    B.V.
  • 21 février 1916 : l’enfer de Verdun s’allume

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    En ce lundi 21 février 1916, au petit matin, c’est un déluge de feu et de sang, un Orage d’acier, comme l’a si bien décrit Ernst Jünger, qui s’abat sur la cour du palais épiscopal de Verdun.

    En ce lundi 21 février 1916, au petit matin, c’est un déluge de feu et de sang, un Orage d’acier, comme l’a si bien décrit Ernst Jünger, qui s’abat sur la cour du palais épiscopal de Verdun. Après avoir pilonné l’artillerie française, les Allemands viennent d’envoyer un obus de 380 mm (entre 400 et 750 kg). Ces premiers tirs lancent l’une des plus grandes batailles et, surtout, l’un des plus inhumains affrontements de l’Histoire. Cette bataille n’aura pas usurpé le nom qui lui a été donné par Guillaume II : l’opération Gericht, c’est-à-dire Tribunal. Et c’est bien devant le tribunal de Dieu que plus de 300.000 soldats vont se retrouver : 163.000 Français et 143.000 Allemands. Pas moins de 400.000 autres (220.000 Français et 190.000 Allemands) seront blessés au cours de combats. Ils en garderont des séquelles à vie.

    Mais pourquoi Verdun ? Les historiens s’accordent sur le fait qu’en ce début de 1916, les Allemands ont besoin d’une victoire militaire marquante. Verdun est à la fois un enjeu stratégique et une question d’honneur pour les Français. Par deux fois la ville a été assiégée et prise par les Prussiens, en 1792 et surtout 1870. Le saillant de Verdun est difficile à défendre : la Meuse coupe le champ de bataille en deux et la ville n’est pas ravitaillée par une ligne de chemin digne de ce nom. Le général allemand Erich von Falkenhayn, commandant en chef du front de l’Ouest, songe donc à frapper un grand coup. D’autant qu’il sait que ses ressources (hommes, matériels) ne sont pas inépuisables. Les Allemands ont besoin d’une victoire pour remonter le moral des troupes et de la population qui se lasse de cette guerre. Elle a aussi besoin d’un élément de négociation pour imposer sa paix.

    Ce 21 février, 1.140.000 soldats français dotés de seulement 281 pièces d’artillerie font face à 1.250.000 soldats allemands qui possèdent 1.257 pièces d’artillerie (mortiers et canons), dont beaucoup de gros calibre, notamment des 76 mm, 150 mm, 305 mm, 380 mm et 420 mm. L’objectif affiché de l’Empire allemand est de « saigner à blanc l’armée française ». Guillaume II met les moyens : deux millions d’obus tombent sur les positions françaises les deux premiers jours de la bataille les 21 et 22 février. C’est sous ce déluge d’acier que meurt glorieusement le lieutenant-colonel Driant, député de la Meurthe-et-Moselle. Le 25 février, le général Joffre décide d’envoyer la IIe armée en renfort et le général Pétain est nommé commandant du secteur de Verdun. Ce dernier, sur une idée du capitaine Joseph-Aimé Doumenc (1880-1948), réorganise la défense et surtout la logistique en créant ce que Maurice Barrès appellera « la Voie sacrée ». Il circule, sur cette piste de 56 km qui relie Bar-le-Duc à Verdun, un camion toutes les quinze secondes. Chaque semaine, ce sont 90.000 hommes et 50.000 tonnes de munitions qui sont ainsi transportés. C’est une des clés de la résistance française aux assauts allemands, et qui permet aux Français de remporter cette sanglante bataille le 18 décembre 1916.

     
    B.V.
  • Allemagne : l’insupportable persécution des musulmans contre les migrants chrétiens

     

     

     

     

    Le magazine britannique Catholic Herald a signalé, dans un article d’hier, la préoccupation croissante des autorités catholique et protestante quant à la persécution dont les migrants chrétiens souffrent de la part des migrants musulmans en Allemagne. S’exprimant lors d’une réunion œcuménique à Düsseldorf samedi 13 février, son archevêque, le cardinal Rainer Woelki, a déclaré : « La crainte augmente que les politiciens et les autorités ne prennent pas suffisamment au sérieux de telles menaces [contre les chrétiens dans les centres de réfugiés]. La persécution des chrétiens n’est pas une chose des âges révolus ». Il a exigé que l’Allemagne défende de manière plus forte la liberté religieuse. De son côté, le pasteur Gottfried Martens a déclaré que les « harcèlements » contre les migrants chrétiens dans les centres de réfugiés en Allemagne, augmentaient. Il a affirmé que les chrétiens y étaient obligés de regarder des vidéos de décapitations, étaient interdits, car “impurs”, d’utiliser les cuisines communes, battus et qu’on leur arrachait les croix qu’ils portaient au cou. Le pasteur suggère que chrétiens et musulmans soient hébergés dans des centres d’accueil différents : « Quand j’en parle aux politiciens, ils me répondent que les églises n’estiment pas nécessaires que les hébergements soient séparés et j’ai l’air ridicule (…) Nos efforts pour être tolérants, ce qui est en soi digne d’éloges, ne doivent pas pour autant nous autoriser à laisser les chrétiens devenir des sortes de cobayes ».

    Source : Catholic Herald, 19 février

    L'Observatoire de la christianophobie

  • VIDEO - Primaires républicaines : victoire de Donald Trump en Caroline du Sud

    http://www.france24.com/fr/20160221-primaires-republicaines-victoire-donald-trump-caroline-sud