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  • JOURNAL TVL DU 25 AVRIL 2017

  • Les Témoins de Jéhovah interdits en Russie: un sandale, vraiment?

     

     

    En lisant les statuts de cette prétendue religion, on se rend compte qu’elle est incompatible avec une certaine idée de la liberté et de la vie en société.

     
     Le Monde.fr rapporte que « la Cour suprême russe a qualifié jeudi 20 avril le mouvement religieux des Témoins de Jéhovah d’organisation “extrémiste”, l’interdisant dans tout le pays ». Et, selon Courrier international, « environ 175.000 personnes seraient concernées par la loi “sur la participation à une organisation religieuse interdite”, et pourraient encourir, à ce titre, une peine allant de deux à six ans d’emprisonnement ».

    Je vois venir d’ici les banalités anticléricales du genre « Toutes les religions se valent ; toutes sont des repères de fanatiques », en prenant bien soin d’oublier que le laïcisme le plus abouti (le communisme) a, en un temps record – un peu plus de huit décennies –, fait environ cent millions de victimes, malgré qu’en aient ceux qui protestent du contraire, notamment Mélenchon, lequel est aussi historien que moi je suis spécialiste de la mécanique quantique !

    Bien entendu, comme cela se passe en Russie, les charges contre Vladimir Poutine n’ont pas manqué : « Ce que ne supportent pas les autorités russes, c’est qu’il s’agit là de 170.000 citoyens russes qui ne votent pas, refusent de faire le service militaire, refusent de glorifier la violence d’État, l’annexion de la Crimée par exemple. Bref, ils sont considérés comme des adversaires politiques manipulés et étrangers à la culture russe. C’est donc un signal de plus du serrage de vis de la part d’un gouvernement autoritaire et de plus en nationaliste » (lejdd.fr).

     

    Pour que le tableau soit complet, il aurait fallu ajouter que les Témoins de Jéhovah avaient été persécutés par le régime nazi, ce qui aurait constitué une belle reductio ad Hitlerum du président russe, dont les médias français ont le secret quand il s’agit de dézinguer ceux qui pensent mal !

     

    Sauf qu’en lisant les statuts de cette prétendue religion, on se rend vite compte qu’elle est effectivement incompatible avec une certaine idée de la liberté et de la vie en société. Comme l’islam, elle est excluante, étant admis que les Témoins de Jéhovah ne se font pas exploser dans une foule de mécréants !

     

    Toutefois, lorsque le ministère de la Justice russe affirme qu’ils sont « une menace pour les droits des citoyens, pour l’ordre public et pour la sécurité de la société », rappelons que les Témoins de Jéhovah, vivant par ailleurs en autarcie, assimilent facilement la différence, notamment cultuelle, à « Babylone la Grande », ce qui en dit long sur leur état d’esprit.

    Maintenant, laissez-moi vous raconter une petite anecdote, du temps où j’étais animateur. Avec les enfants de toutes confessions, je décorais un sapin de Noël – à cette époque, ça ne constituait pas encore un crime de lèse-laïcité ! Là, une petite fille de sept ans me confia qu’elle n’avait pas le droit de participer à cette activité parce que ses parents le lui interdisaient : ils étaient Témoins de Jéhovah. Cela illustre exactement, selon moi, cette secte ennemie des bonheurs simples, comme fêter un anniversaire, a fortiori celui de Jésus.

    BV

  • Netanyahou reproche aux Alliés de n'avoir pas bombardé les camps de concentration en 1942

     

    Benyamin Netanyahou lors de la commémoration de l'Holocauste en 2017

    A l'occasion de la commémoration du génocide juif, Benjamin Netanyahou a reproché aux forces alliées de n'avoir pas agi contre le projet génocidaire nazi en usant de la force dès 1942. Il a également mis en garde contre l'antisémitisme aujourd'hui.

    Ce 23 avril, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou s'est livré, à l'occasion d'un discours de commémoration des 75 ans du génocide juif, à une attaque particulièrement vive de la politique des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. 

    «Si, en 1942, les puissances alliées avaient agi contre les camps de la mort – et tout ce que cela nécessitait aurait été un bombardement répété des camps – elles auraient pu épargner la vie de 4 millions de juifs et de millions d'autres personnes», a-t-il estimé. Pointant du doigt un «échec» face au nazis, Benjamin Netanyahou a tenu à souligner que «les puissances [alliées] savaient» et qu'elle n'avaient «pas agi».

    S'appuyant sur des documents de l'Organisation des Nations unies (ONU) récemment publiés à ce sujet et repris par la presse israélienne, le Premier ministre israélien a insisté sur le fait que les Alliés auraient été mis au courant de l'ampleur du génocide perpétré par le régime nazi contre les juifs européens dès 1942 – soit deux ans plus tôt que ce qu'estimaient les chercheurs jusqu'ici. «Cela est lourd de sens», a jugé le chef de l'exécutif israélien.

    Dans un discours aux accents particulièrement piquants, le Premier ministre israélien a estimé que le génocide s'expliquait par trois causes principales : la haine généralisée des juifs, l'indifférence aux atrocités et «la terrible faiblesse ce peuple en exil». Ce discours lui a permis de rappeler qu'il tenait l'Iran et l'Etat islamique pour de nouveaux avatars de l'antisémitisme aujourd'hui. «Il serait naïf de croire que l'antisémitisme a disparu», a-t-il prévenu. 

    Le même jour, le président israélien Reuven Rivlin a accusé la candidate du Front national (FN) à l'élection présidentielle française, Marine Le Pen, de participer à un nouveau genre de négationnisme en rejetant la responsabilité de populations ou de gouvernements dans la Shoah. Il faisait référence au propos de la candidate concernant la responsabilité de la France dans l'organisation de la rafle du Vel d'Hiv.

    Ce n'est pas la première fois que Benjamin Netanyahou fait part de sa vision de l'Histoire. En mars dernier, il avait déjà comparé l'Iran à la Perse antique, tentant ainsi de démontrer que les iraniens entretiendraient une ambition de destruction du peuple juif de manière atavique depuis des millénaires.

    Lire aussi : Le bombardement israélien d'un camp militaire en Syrie fait trois morts

    RT

  • Gérard de NERVAL (1808-1855)

    El Desdichado

    Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
    Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
    Ma seule Étoile est morte, - et mon luth constellé
    Porte le Soleil noir de la Mélancolie.

    Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé,
    Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,
    La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
    Et la treille où le Pampre à la Rose s'allie.

    Suis-je Amour ou Phoebus ?... Lusignan ou Biron ?
    Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
    J'ai rêvé dans la Grotte où nage la Sirène...

    Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron :
    Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée
    Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.

     

  • Macron fait la fête à La Rotonde avec ses proches: Attali, Cohn-Bendit, et peut-être DSK

    http://www.fdesouche.com/845435-macron-fait-la-fete-la-rotonde-avec-ses-proches-et-attali#

  • Résultats dans le sud et le nord de la France

    Emmanuel Macron et Marine Le Pen arrivent en tête du premier tour avec respectivement 23,87% et 21,43% des suffrages. François Fillon, troisième avec 19,94%, appelle à voter Macron le 7 mai. Jean-Luc Mélenchon, avec 19,6%, refuse de donner une consigne de vote.

    A VENIR : Début du direct :

    EN COURS : Mis à jour

    TERMINE : Fin du direct :

     

    En Paca, Le Pen frôle le carton plein, Mélenchon l'emporte à Marseille

    Marine Le Pen a frôlé le carton plein en Paca. La présidente du Front national en tête dans presque tous les départements de la région. Marseille se distingue avec la victoire de Jean-Luc Mélenchon, en tête, avec 24,84% des suffrages. Le leader de La France insoumise est également en tête à Avignon. Dans la cité phocéenne, Marine Le Pen s'assure la deuxième place, avec 23,62% des voix selon ces résultats partiels. Emmanuel Macron ne récolte que 20,45% des voix, tandis que François Fillon n'est que quatrième, avec 19,81% des voix.

    Dans les Alpes-Maritimes, François Fillon arrive en deuxième position (27,39%) devant Marine Le Pen (27,75%). Emmanuel Macron reste huit points derrière la candidate FN. À Nice, François Fillon parvient à s'assurer une première place (26,10%). Marine Le Pen gagne deux points par rapport à 2012, à 25,28%, et Emmanuel Macron est troisième (20,52%). Le Vaucluse met Marine Le Pen très largement en tête (30,55%).
     
    Elle laisse loin derrière Jean-Luc Mélenchon, François Fillon et Emmanuel Macron, entre 18% et 19% des suffrages. À Fréjus, dirigée par son directeur de campagne David Rachline, elle est nettement en tête (33,50%, 7 points devant François Fillon). Elle améliore son score par rapport à la présidentielle de 2012 (+7 pts). À Cogolin (Var) et au Pontet (Vaucluse), Marine Le Pen arrive également première avec respectivement 33,43% et 34,05% des voix. Marignane et Vitrolles placent également la fille de Jean-Marie Le Pen en tête, avec 42,47% et 33,79% des voix.

    Dans le reste de la région, Marine Le Pen arrive en tête dans les Alpes-de-Haute-Provence (24,53% des voix, 4 points de plus qu'en 2012), devant le chef de file des Insoumis (22,51%). À Forcalquier, Emmanuel Macron n'a pas profité du soutien du député-maire Christophe Castaner, l'un de ses porte-paroles nationaux: le candidat d'En marche! (22,45%) est deuxième, surclassé par Jean-Luc Mélenchon (26,98%). Les Hautes-Alpes sont le seul département de la région à offrir la pole position à Emmanuel Macron (21,80% des voix) et une deuxième place à Jean-Luc Mélenchon (21,62%). Marine Le Pen est troisième (21,25%), en-dessous de son score national.

    » Les résultats commune par commune

    Le Pen creuse encore son sillon dans son fief des Hauts-de-France

    Marine Le Pen a confirmé un peu plus dimanche son ancrage dans les Hauts-de-France, l'une de ses places fortes, arrivant en tête sur l'ensemble des cinq départements, devant Jean-Luc Mélenchon. La présidente du FN ratisse près 31,03% des voix, soit près de dix points de plus que sa moyenne nationale et 220.000 bulletins de plus qu'en 2012. La poussée du FN se manifeste sur tout le territoire. D'abord dans ses bastions du bassin minier comme Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), ville conquise en 2014 (46,50%, contre 35,48% au premier tour de 2012) ou dans l'Aisne à Villers-Cotterêts, seconde municipalité frontiste de la région (34,26%). C'est dans ce dernier département que Marine Le Pen atteint son plus haut régional avec 35,67% des voix.

    Elle progresse aussi dans le Nord, terreau historique de la gauche et département le plus peuplé de France, où elle était encore nettement distancée au premier tour de 2012 (21,91%), derrière François Hollande (27,97%) et Nicolas Sarkozy (24,70%). La bascule est cette fois impressionnante: elle y totalise 28,22%, loin devant Jean-Luc Mélenchon (21,28%) et Emmanuel Macron (19,85%). Marine Le Pen fait également course en tête dans la Somme (30,37%). L'autre candidat estampillé Hauts-de-France, son adversaire du 2e tour Emmanuel Macron, arrive loin derrière dans ce département, avec 21,75%. À Amiens même, il se taille en revanche la part du lion, avec 28%, devant Jean-Luc Mélenchon (24,87%) et Marine Le Pen (18,42%).

    Occitanie: Le Pen en tête, juste devant Macron et Mélenchon

    Marine Le Pen a décroché la première place en Occitanie, région traditionnellement à gauche, confirmant l'ancrage local du FN, juste devant Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Les trois candidats sont dans un mouchoir de poche à l'issue du premier tour de la présidentielle: la candidate du FN avec 22,98%, suivie par M. Macron (22,32%) et M. Mélenchon (22,14%), qui est en tête à Toulouse, Montpellier et Nîmes. Loin devant François Fillon (17,07%) et surtout Benoît Hamon (6,52%).

    Mme Le Pen arrive en tête dans 6 des 13 département que compte la région, en réalisant son score le plus élevé dans les Pyrénées-Orientales (30,05%), loin devant M. Mélenchon (21,14%). À Perpignan, Marine Le Pen est en tête (25,86%). Juste derrière les Pyrénées-Orientales, c'est dans le Gard que le FN fait son meilleur score (29,30%) devant l'Aude (28,26%). Les électeurs du Tarn ont aussi placé la candidate d'extrême droite en tête (de justesse avec 22,42% contre 22,14% pour M. Macron) tout comme, plus largement, ceux du Tarn-et-Garonne (26,69%), ancien fief du ministre PRG de l'Aménagement du territoire Jean-Michel Baylet.

    Dans l'Hérault, deuxième département le plus peuplé, les électeurs ont placé Mme Le Pen en tête avec 25,70% des voix. À Béziers, Robert Ménard, Marine Le Pen progresse (31,23% contre 25,70% en 2012). Autre ville héraultaise emblématique: à Lunel, le FN atteint 30,48%. À Montpellier, le candidat de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon (31,46% contre 15,69% en 2012) devance très largement M. Macron.
     
    Le Figaro
     
    NdB: N'oublions pas le vote "etnique" dans certaines villes notamment à Marseille.
  • VIDEO - Réaction de Marine Le Pen après les résultats du 1er tour de la présidentielle

    Fillon votera pour Macron! C'est-à-dire contre la France, la culture et la civilisation française! Il n'a pas honte?

  • Dernier message - Du bureau de Marine Le Pen

    Mes chers amis,
    Cette fin de campagne de premier tour est sombre, elle souligne à quel point les enjeux sont immenses.
    Je veux rendre hommage à nos forces de l’ordre, à nos courageux policiers et en particulier à Xavier Jugelé, lâchement assassiné dans la force de l'âge hier soir par un terroriste. Qu'il repose en paix, après avoir servi la Nation jusqu'au sacrifice ultime, et que sa famille, ses proches, soient assurés de notre immense solidarité.
    Ce drame épouvantable nous rappelle combien la situation est grave, à quel point le cauchemar continue.
    J’ai souvent rappelé les mesures que je propose pour lutter contre le terrorisme et l’islamisme. J’en ai beaucoup parlé, seule et dans le désintérêt général de mes concurrents, dans chacune de mes réunions publiques, parce que je considère que c’est un sujet crucial pour l’avenir de notre pays, de nos enfants. La menace est réelle, constante, les politiques, de droite comme de gauche, sous les deux derniers quinquennats, n'ont rien fait. Cela doit changer. Il est temps d'agir. Nous devons prendre conscience de l’importance des enjeux et décider les mesures qui s'imposent. Je le ferai, sans faiblir, en accord avec vous.
    Dimanche, je vous appelle solennellement à aller voter et à faire voter tous ceux que vous connaissez. C'est important. Le vote est bien plus qu’un droit pour les citoyens, c’est un devoir. Et, dans la situation où se trouve notre pays, c’est un devoir vital. Chaque bulletin de vote a un poids immense. Chacun doit sentir la mission dont il est investi et l’importance du choix que notre peuple est amené à faire. Aucune voix patriote ne doit manquer à la seule candidature utile pour la France. Plus que jamais, les Français doivent s’unir pour défendre et protéger leur pays, leur modèle social, leur identité.
    Courage, restez unis, fiers, courageux, je compte sur vous comme vous pourrez compter sur moi, et bon vote !
    Marine Le Pen

     
     

     

  • A Chelles, des habitants sonnés par les révélations sur le djihadiste des Champs-Elysées

    http://www.leparisien.fr/chelles-77500/chelles-les-coudreaux-sonnes-par-les-revelations-sur-le-tireur-des-champs-elysees-21-04-2017-6875394.php

    89b4cfbe-26b0-11e7-8682-4e0099aeac80_1.jpg Chelles.jpg

     

  • Karim Cheurfi n'était pas fiché S (vidéo)

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/attaque-des-champs-elysees-le-tireur-n-etait-pas-fiche-s-936959.html

  • Marine Le Pen: «il faut attaquer le fondamentalisme islamiste, idéologie qui arme ces terroristes»


    Marine Le Pen: «il faut attaquer le... par rfi

  • Isaure, Léa, Eve, Albane, Manon... Elles ont entre 18 et 24 ans et voteront Front national, dimanche 23 avril, au premier tour de la présidentielle. Témoignages.

     

     
       
     

    Fin mars, une étude du Cevipof décryptait les intentions de vote des primo-votants de 2017. D'après l'analyse, Marine Le Pen obtiendrait 29% de leurs voix rien qu'au premier tour. «Ils abordent l’élection présidentielle dans un climat de profonde déception envers l’exécutif», justifiait alors Anne Muxel, directrice de recherches CNRS à Sciences Po, au Figaro Étudiant.

    Toujours selon l'étude du Cevipof, parmi les jeunes votants français, 34% des hommes et 25% des femmes pourraient voter Front national (FN). Ce sont justement ces jeunes femmes à qui nous nous sommes intéressées, à quelques jours du premier tour. Pourquoi, à moins de 25 ans, se tournent-elles vers ce parti aux idées radicales ? Leurs motivations, leurs espoirs, leurs regrets, la réaction de leur entourage... Cinq d'entre elles, âgées de 19 à 24 ans, ont accepté de nous confier avec leurs mots engagés, parfois virulents, parfois candides, leur position politique.

    Albane, 20 ans, étudiante en orthophonie

    Albane, 20 ans, jeune votante Front national

    Albane, 20 ans, jeune votante Front national.

     

    Primo-votante, sympathisante Front national, Versailles (78).

    Qu’est-ce qui vous incite aujourd’hui à voter Marine Le Pen ?
    Une réelle envie de changement. Même si je ne suis pas en accord avec la totalité de ses idées, c’est elle qui me semble la plus apte à redresser le pays. Depuis des années, les politiques arrivent au pouvoir avec des belles idées et des changements en tête mais rien ne se passe. Je vois en Marine Le Pen le candidat qui pense le plus au bien commun des Français ; elle semble très libre d’agir car elle n’est pas liée par différents mouvements ou par le regard des autres. Je m’identifie particulièrement à Marion Maréchal qui est l’exemple même de la jeunesse qui veut défendre son pays : on sent une sincérité et un goût pour la vérité chez cette jeune femme qui est capable de sacrifier, quelque part, sa vie de famille et ses années de jeunesse à la défense de la France.

    Qu’est-ce qui va changer, selon vous, si Marine Le Pen est présidente ?
    On aura enfin à la tête de la France quelqu’un qui tient ses engagements. J’attends aussi plus de sécurité dans le pays : par de nouvelles places dans les forces de l’ordre, une justice plus ferme… Je veux un dirigeant qui s’attaque fermement aux problèmes de chômage, de retraite, d'islamisme, etc.

    Que pensez-vous de l’image du FN dans les médias ?
    Elle s'améliore mais il existe quand même un réel manque d’objectivité de la part des journalistes, qui déteint sur les gens. Hier encore j’ai rencontré une dame dans la rue qui me disait "Marine Le Pen est raciste, elle veut mettre tous les étrangers dehors". Jamais Marine Le Pen ne prendra une décision pareille, elle parle des étrangers fichés S. Quand vous accueillez un invité chez vous, vous imaginez qu’il se tiendra bien, sinon vous lui demanderez de partir ; et cet invité vous vous en occuperez bien, jusqu’au bout. En France, c’est pareil, les étrangers qui ne veulent pas respecter le pays et les règles qui y sont établies sont priés de partir, et j’ai du mal à comprendre pourquoi la France continue à accueillir des personnes si c’est pour leur offrir du chômage et une place à la rue ! Je ne crois pas que ce soit du racisme.

    Votre entourage est-il au courant de vos opinions politiques ?
    Cela ne me dérange pas de les partager avec mon entourage. Bien sûr, on est montrés du doigt car voter FN n’est franchement pas politiquement correct, mais on apprend à la longue à se détacher du qu’en-dira-t-on. Je repense à l’étonnement d’une serveuse dans un bar quand je lui ai dit que je revenais du meeting de Marine Le Pen : la désinformation est tellement énorme que les gens se font une idée diabolique de ce parti qui cherche simplement à faire l’unité du pays. Ma première réaction est de parler avec eux, cela m’intéresse beaucoup de comprendre pourquoi ils pensent différemment, et quelle idée ils ont de Marine Le Pen.

    Léa, 22 ans, étudiante en sciences politiques

    Léa, 20 ans, encartée FN

    Léa, 22 ans, encartée FN

     

    Primo-votante, encartée Front national depuis 2016, Vendée (85).

    Qu’est-ce qui vous incite aujourd’hui à voter Marine Le Pen ?
    La question de l'identité est la principale raison qui me pousse à voter Marine Le Pen aujourd’hui. J’ai grandi dans la région de Mantes-la-Jolie, j’ai vu au fur et à mesure la montée du communautarisme et de l’islamisme. De plus, je viens d’une famille d’agriculteurs et c’est en voyant les problèmes auxquels ils sont confrontés que j’ai commencé à m’intéresser à la politique. La sortie de l’Union européenne est le meilleur choix pour eux, et c’est bien pour cette raison que le vote FN chez les agriculteurs est majoritaire. Marine Le Pen est la personnalité politique la plus compétente aujourd’hui, elle est sincère, cohérente et très bonne oratrice.

    Qu’est-ce qui va changer, selon vous, si Marine Le Pen est présidente ?
    Beaucoup de choses vont changer. Ce sera un vrai retour à la démocratie, avec notamment l’instauration de la proportionnelle pour les législatives et du référendum d’initiative populaire. Tous les Français pourront être enfin représentés et entendus. La France retrouvera ses différentes souverainetés, notamment ses frontières et son économie. Emploi, sortie de l'Union européenne, insécurité, laxisme judiciaire, terrorisme... Nous pouvons appliquer des mesures, mais il faut du courage en politique. Marine Le Pen l’a et c’est pour cette raison que je lui fais entièrement confiance.

    Que pensez-vous de l’image du Front national dans les médias ?
    Elle est scandaleuse. Je suis outrée par le manque de partialité de ce service public, financé par l’argent du contribuable, dont les 30% de Français qui votent FN. Aujourd’hui, ils veulent éviter le débat de fond avec le FN alors ils utilisent des mots absurdes pour essayer de discréditer ce parti politique. Mais au vu des derniers sondages et des derniers scrutins, les Français se méfient de plus en plus des médias et votent de plus en plus FN. Nos adversaires nous disent "intolérants, haineux" mais nous insultent violemment et nous menacent toute la journée.

    Votre entourage est-il au courant de vos opinions politiques ?
    Ma famille est au courant de mon engagement et soutient ma démarche car il lui paraît important que les jeunes s’engagent en politique. Nous discutons toujours sans problème, nous partageons beaucoup de points de vue. Il peut m’arriver d’être montrée du doigt, et quand le dialogue est possible, j’aime beaucoup débattre pour aller au bout des choses.

    Manon, 24 ans, étudiante en histoire

    Manon Bouquin, jeune votante FN

    Manon, 24 ans, militante du Front national.

     

    Militante FNJ (Front national de la jeunesse), Paris (75).

    Qu’est-ce qui vous incite aujourd’hui à voter Marine Le Pen ?
    J'ai grandi en banlieue, je connais les ravages du communautarisme et de l'islamisme, j'ai vu à quel point la France avait reculé dans ces territoires perdus de la République. Marine Le Pen était seule, à l'époque, pour oser braver la chape de plomb que le politiquement correct faisait peser sur la question migratoire. Ça me plaisait. Aussi, le premier acte citoyen que je fis dans ma vie fut de voter pour cette femme que je trouvais si courageuse. Depuis, je n'ai cessé d'être confortée dans ce premier choix - qui fut, à l'époque, sans doute un peu hésitant. Je le referai en 2017, non par esprit de contestation, mais bel et bien par adhésion. Adhésion à une «certaine idée de la France» : libre, indépendante, souveraine, fière de ses racines et confiante en l'avenir.

    Qu’est-ce qui va changer, selon vous, si Marine Le Pen est présidente ?
    Il ne s'agit en aucun cas, bien sûr, d'affirmer que Marine Le Pen présidente, telle une magicienne, parviendra à relever le pays du jour au lendemain. Je dis simplement qu'il existe des choix politiques meilleurs que d'autres. La tâche est considérable car les gouvernements qui se sont succédé depuis quarante ans ont mis la France bien bas. En plus de retrouver notre souveraineté législative, budgétaire, territoriale et monétaire confisquée par Bruxelles, il faudra aussi éradiquer l'islamisme qui a, hélas, profondément gangréné une partie de notre pays, fermer les mosquées radicales, briser les logiques communautaristes qui fragmentent le pays, imposer fermement, sur chaque parcelle du territoire national, les valeurs de la France et de la République. Et non, impossible n'est pas français !

    Que pensez-vous de l’image du FN dans les médias ?

    Les médias donnent souvent une image exécrable du Front national, et ce n'est pas nouveau. Rares sont ceux qui aiment les idées sortant des sentiers battus. Je ne compte même plus le nombre d'"Envoyé Spécial" que France 2 a fait contre le parti de Marine Le Pen depuis le début de l'année ! Mais je ne pense pas que les Français soient dupes. Donald Trump a été élu notamment grâce à la haine que la presse lui vouait. En sera-t-il de même pour Marine Le Pen ?

    Votre entourage est-il au courant de vos opinions politiques ?
    Je ne fais jamais mystère de mes convictions politiques. Peu de mes connaissances m'en ont fait le reproche, même mes amis de gauche. Ils savent que je ne suis pas le cliché qu'ils se font de l'électeur frontiste. Personne ne devrait avoir honte d'être pour Marine Le Pen. Ce n'est pas une honte d'avoir «soif de France». Plus on sera nombreux à le dire haut et fort, plus il sera facile, pour ceux subissant des pressions, notamment dans leur vie professionnelle, d'assumer au grand jour leurs convictions, voire leur engagement politique.

    Isaure, 19 ans, étudiante en BTS Management des unités commerciales

    Isaure, 19 ans, jeune votante Front National

    Isaure, 19 ans.

     

    Primo-votante, sympathisante FN, Sartrouville (78).

    Qu’est-ce qui vous incite aujourd’hui à voter Marine Le Pen ?
    Elle est la seule à avoir un programme solide, la seule qui fera fermer véritablement nos frontières et les mosquées salafistes. Elle seule peut mettre un frein à l’invasion migratoire. On nous dit souvent que l’immigration italienne, espagnole, portugaise ou encore polonaise a été bénéfique pour la France. C’est vrai. Mais leur culture était au fond très proche de la nôtre.

    Qu’est-ce qui va changer, selon vous, si Marine Le Pen est présidente ?
    Les frontières nous protègeront enfin et on en finira avec l’immigration incontrôlée. L’unité de la France sera défendue ainsi que son identité nationale. Son indépendance vis-à-vis de l’Europe sera enfin assurée et les enfants connaîtront une réelle transmission des connaissances par le renforcement des apprentissages fondamentaux à l’école, comme le français et l’histoire.

    Que pensez-vous de l’image du FN dans les médias ?

    L’acharnement des médias contre Marine Le Pen et le FN de manière générale est surréaliste. Ils ne font preuve d’aucune objectivité et sont des militants plus que des journalistes. Ils se sont toujours basés sur des clichés et ne veulent pas en sortir : racisme, fascisme, extrémisme, antisémitisme… Marine Le Pen et son parti ont d’autant plus de mérite dans leur campagne.

    Votre entourage est-il au courant de vos opinions politiques ?
    Je ne me cache pas de mes opinions politiques. La présidentielle est au cœur de l’actualité et j’en parle aisément avec ceux qui partagent mes idées ou non. Les débats étaient effectivement compliqués il y a quelques années, beaucoup me montrent encore du doigt, mais je passe au-dessus. Je suis malgré tout contente de voir que les gens se posent de plus en plus de questions et respectent mes choix et mes valeurs.

    Eve, 20 ans, étudiante en droit

    Eve, 20 ans, jeune votante FN

    Eve, 20 ans.

     

    Primo-votante, militante Île-de-France.

    Qu’est-ce qui vous incite aujourd’hui à voter Marine Le Pen ?
    En tant que jeune femme de banlieue, j'ai été très tôt confrontée à l'insécurité, que ce soit dans la rue ou encore dans les transports en commun. En tant que jeune, je vois les difficultés qui sont les nôtres pour trouver un premier emploi ou pour nous loger. Face à ces différentes problématiques, la seule personnalité à pointer du doigt les maux de notre société et à proposer des solutions pour y remédier est Marine Le Pen. «Au nom du peuple» est bien plus qu'un slogan de campagne ; je ressens la sincérité de Marine Le Pen lorsque qu'elle prononce ces mots et j'y perçois un réel engagement, une profession de foi.

    Que pensez-vous de l’image du FN dans les médias ?
    Je suis lasse des médias partisans-militants qui ne cachent plus leur prise à partie et leur haine à l'égard des frontistes. Les Français n'en peuvent plus, les Français veulent nourrir, loger et soigner leurs enfants ; ils n'ont que faire des polémiques médiatiques complètement stériles.

    Votre entourage est-il au courant de vos opinions politiques ?
    J'appartiens à une famille nombreuse où l'on retrouve évidemment différentes opinions politiques. Et bien que tous ne partagent pas mes idées, je suis soutenue pour la force de mon engagement. Je pense que peu importe ses convictions, il est nécessaire d'agir pour les défendre c'est pourquoi je salue chaque jeune qui s'engage pour ses idées, peu importe le parti choisi. Coïncidence ou pas, la jeunesse se tourne aujourd'hui massivement vers Marine Le Pen.

    Le look anti-système de Marine Le Pen