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  • Les démons

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    L'icône de Staline et de la bienheureuse Matrona de Moscou, exposée dans l'église de la Sainte Princesse Olga à Strelna, le 29 novembre 2008
    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité et pouvoir l'agrandir)

    Dans une petite église orthodoxe de la banlieue de Saint-Pétersbourg, une icône pas comme les autres a trouvé sa place, sous le regard bienveillant des fidèles : elle représente Staline, imposant, aux côtés d'une sainte.

    L'icône a été commandée par un homme d'affaires, Alexandre Evseev, qui l'a offerte en septembre à l'église de la Sainte Princesse Olga à Strelna, à quelques encablures de la résidence d'été du tsar Pierre-le-Grand dans le golfe de Finlande.

    Elle représente une rencontre de Joseph Staline avec la bienheureuse Matrona de Moscou, qui aurait eu lieu dans la capitale soviétique à l'automne 1941 quelques mois après le début de l'offensive allemande contre l'URSS.

    Selon la légende, la sainte (1881-1952) aurait alors conseillé à Staline de ne pas quitter Moscou, alors que la Wehrmacht était aux portes de la ville, et lui aurait promis la victoire du peuple russe sur l'Allemagne nazie.

    Sur cette icône, "le petit père des Peuples", vêtu d'un pardessus militaire, se tient debout devant la sainte, assise près de la fenêtre. Aveugle de naissance, Matrona Nikonova, à qui l'on attribue des miracles, fut canonisée par l'Eglise orthodoxe après sa mort.

    "J'ai commandé cette icône parce que pour moi, Staline est un grand homme politique qui a gagné la guerre contre les nazis et créé l'Union soviétique", confie à l'AFP Alexandre Evseev.

    Il affirme avoir offert l'icône à l'église de la Sainte Princesse Olga à Strelna en raison "de l'amour et du respect" qu'il porte à ce lieu de culte et à son prêtre Evstafi.

    Cette petite église, à laquelle on ne peut accéder qu'après un kilomètre de sentier à pied à travers un vieux parc, est très fréquentée. Des dizaines de personnes y affluent le samedi et le dimanche, attirées par la personnalité du père Evstafi Jakov, 67 ans, qui officie là depuis huit ans.

    "Je ne connais aucun prêtre qui soit aussi bon, simple, sensible et pur que le père Evstafi", affirme Lidia Nikolaïeva, 55 ans. "S'il a accepté cette icône, il sait pourquoi", dit-elle, tout en assurant ne pas être "du tout staliniste"...

    Viatcheslav, un homme d'affaire d'une trentaine années, affirme lui aussi être loin d'admirer Staline mais se refuse néanmoins à tout jugement négatif sur l'icône.

    "Pour moi c'est la représentation d'un épisode historique de la vie de la sainte Matrona de Moscou", dit-t-il. "Je ne peux pas juger le credo politique du père Evstafi, c'est une personnalité unique, exceptionnelle, qui fait beaucoup de bien", conclut Viatcheslav.

    "Si cela pose problème à batiouchka (père) Evstafi, je retirerai mon icône", ajoute Alexandre Evseev dans une allusion à plusieurs articles sur le sujet dans la presse.

    Le père Evstafi, un homme grand et maigre à la longue barbe grise, ne cache pas pour sa part sa sympathie envers Staline et sa surprise devant "tant de bruit autour de cette icône".

    "Il y a deux types d'icônes : celles représentant des saints et celles sur des événements liés à la vie des saints", explique-t-il à l'AFP. 'Ce n'est pas une icône de Staline, c'est une icône de la bienheureuse Matrona", dit-il.

    "En ce qui concerne Staline, pour moi c'est un vrai père du peuple, qui a créé un Etat fort et une société morale. Après sa mort, la Nation a perdu son père et est devenu orpheline. Je voudrais que Staline revienne", lance le père Evstafi.

    Pour nombre de Russes, Staline reste avant tout l'artisan de la victoire sur les nazis, source d'une immense fierté nationale, et de l'empire soviétique, de Berlin-Est à Vladivostok, aujourd'hui défunt.

    Près de la moitié des Russes (47%) ont une perception positive de Staline, contre moins d'un tiers (29%) d'avis négatifs, selon un des derniers sondages sur la question publié en février 2006 par l'institut d'opinion russe FOM...

    AFP. 02.12.08

    Curieux, ce père Evstafi Jakov!

     

  • Le racisme antiblanc au collège expliqué par les "rites de passage"- un article ignoble pour les jeunes victimes

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    Grégory Michel  ne prononcera jamais le mot "racisme" quand il s'agit du lynchage d'un jeune Blanc

    INTERVIEW - Grégory Michel est psychothérapeute en pédopsychiatrie. Spécialiste des conduites à risques et des comportements violents, il réagit pour lefigaro.fr sur l'affaire du jeune Yvane, 12 ans, victime du «petit pont massacreur» dans son collège du Havre.

    lefigaro.fr : Comment expliquer le fait que les enfants s'adonnent à de tels jeux dangereux ?

    Grégory Michel : Selon une étude menée auprès des jeunes en milieu scolaire, 10 à 15% d'entre eux ont déjà participé à ces jeux. Ces jeux comme celui du foulard par exemple ont "toujours existé", ils sont en expansion, touchent les enfants de plus en plus tôt parfois à l'école primaire et sont de plus en plus violents. Les motivations sont différentes selon les jeux en question, mais il y a souvent un effet de groupe, avec quelques leaders charismatiques et plusieurs suiveurs. A chaque fois, l'effet recherché est celui de l'éprouvé intense et du franchissement de l'interdit. D'où la difficulté de la prévention : plus ces jeux sont interdits, plus les enfants peuvent vouloir franchir l'interdit.

    lefigaro.fr : Les jeunes ont-ils conscience de la dangerosité de leurs jeux ?

    Grégory Michel : A partir du collège, je crois que les enfants ont en effet conscience du danger, puisque c'est précisément ce qu'ils recherchent dans ces jeux. On note d'ailleurs que c'est entre 11 et 12 ans que se manifestent la plupart de ces pratiques. Ces jeux violents peuvent donc s'apparenter à des "rites de passage", entre l'enfance et l'adolescence.

    lefigaro.fr : Quel est l'impact psychologique chez les victimes ?

    Grégory Michel : Les victimes sont généralement des enfants timides, ou alors des jeunes qui suscitent des convoitises, comme les têtes de classe ou les enfants issus d'origines sociales supérieures par exemple. L'impact relève d'un vrai traumatisme, d'autant plus fort pour l'enfant que ces violences ont lieu à l'école, lieu censé le protéger. Ses relations avec ses camarades sont brisées, ses copains devenant ses persécuteurs. D'où une honte chez l'enfant, d'autant qu'il a pu être auparavant agresseur, lui aussi, dans une partie précédente.

    lefigaro.fr : Des sanctions pénales, aujourd'hui interdites pour les mineurs de moins de 13 ans, pourraient-elles être utiles pour les agresseurs ?

    Grégory Michel : Les mesures éducatives sont déjà fortes. Les responsabilités pénales, sauf s'il y a déjà eu des comportements très violents par le passé, ne sont sans doute pas nécessaires. Elles pourraient même être contre-productives, en enfermant l'enfant dans un statut de délinquant qu'il n'est la plupart du temps pas. L'agresseur a plus un besoin de compréhension que de répression.

    lefigaro.fr : Comment peut-on prévenir la généralisation et la banalisation de ces jeux violents ?

    Grégory Michel : Les adultes doivent accepter le fait que les jeunes ont besoin de prendre des risques, et ont envie d'intensité. Or, la prise de risque peut être positive si elles est raisonnée et encadrée dans certaines activités, notamment physiques. Je pense aux activités sportives par exemple. Et puis il faut échanger avec les parents, plus qu'avec les enfants eux-mêmes qui risquent, je le répète, de vouloir franchir un peu plus un interdit, si on leur interdit un peu plus ces jeux.

    Le professeur Grégory Michel est l'auteur de « La prise de risque à l'adolescence » (éd. Masson, 2001).

    Le Figaro - 01.12.08

  • Ariel Sharon toujours dans le coma

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    Fin décembre 2005, Ariel Sharon, alors Premier ministre d’Israël, est victime coup sur coup de deux attaques cérébrales. Il est hospitalisé d’urgence à l’hôpital Hadassah de Jérusalem. Il est placé dans un coma profond sous respiration artificielle. Le 28 mai 2006, il est transféré au centre médical de longue durée de l’hôpital Tel Hashomer à Tel-Aviv.


    Presque trois ans plus tard, la situation n’a pas beaucoup évolué. Les communiqués de l’hôpital affirment pourtant qu’Ariel Sharon, 80 ans, n’est plus dans un coma profond et qu’il réagit à des stimuli. De quoi donner un espoir à ceux qui estiment que son départ de la scène politique a laissé un vide. Ehud Olmert, qui a pris la relève, devait passer cet automne le témoin à Tzipi Livni. Mais il faudra des élections législatives générales, le 10 février 2009, pour résoudre la crise politique.
     En Israël, certains regrettent toujours le général à la poigne de fer, mais tout le monde ne déplore pas sa disparition de la scène. En effet, si son prénom signifie « le lion de Dieu », certains préfèrent utiliser le surnom de Bulldozer, voire de Boucher en raison des accusations de crimes militaires qui pesaient sur lui, de sa responsabilité dans le massacre de Sabra et Chatila ou de son rôle controversé dans le déclenchement de la deuxième Intifada. L’année 2005 avait pourtant été celle du revirement avec le lancement par Sharon du désengagement de Gaza et ses déclarations contre la poursuite de la colonisation. Fauché en plein virage « centriste », Sharon a laissé son nouveau parti, Kadima, au milieu de ses contradictions. Ses proches attendent encore son réveil, mais plus personne ne croit à son retour politique.

  • Omar Raddad va plaider sa cause auprès de Rachida Dati

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    «OMAR M’A TUER ».
    Les lettres de sang avaient désigné le meurtrier de Ghislaine Marchal, tuée, à 65 ans, dans la cave de sa maison de Mougins (Alpes-maritimes), le 24 juin 1991.

     Omar Raddad, le jardinier marocain, avait été reconnu coupable du meurtre et condamné en février 1994 à dix-huit ans de réclusion criminelle, puis partiellement gracié par Jacques Chirac.

    Il sera reçu ce matin pour la première fois à la Chancellerie et plaidera pour que la justice se penche à nouveau sur son dossier, en espérant qu’elle s’engage sur le chemin de la révision de son procès, après un premier échec en 2002.

    « J’attends lundi avec impatience », confiait samedi soir celui qui a recouvré la liberté en 1998 et vit depuis à Toulon. « Cela fait dix ans que je suis libre. Mais dans ma tête, je suis toujours derrière les barreaux de ma cellule. Aujourd’hui, c’est la vérité qui est importante pour moi. Je ne laisserai jamais tomber. »

    Me Sylvie Noachovitch, sa nouvelle avocate, sera à ses côtés aujourd’hui pour réclamer de la justice qu’elle prenne en compte les deux empreintes ADN relevées sur la porte de la chaufferie de la maison de Mougins. Des empreintes génétiques masculines dont on sait juste qu’elles n’ont pas de rapport avec Omar Raddad.

    Mais c’est la seule comparaison qui a été faite jusqu’à présent, souligne le détective privé Roger-Marc Moreau, qui travaille sur le dossier depuis plusieurs années. L’avocate va demander demain que ces deux empreintes soient enfin comparées aux milliers d’autres figurant dans le FNAEG (Fichier national des empreintes génétiques). « Les deux traces ADN ont été retrouvées mêlées au sang de Ghislaine Marchal », indique l’agent de recherche, qui affirme, sans les nommer, avoir identifié des suspects connus de la justice à l’issue de sa contre-enquête. Selon lui, elles peuvent toujours être exploitées.

    Cette affaire d’empreinte génétique sera peut-être le premier pas vers la révision de son procès. « On verra ce qui se passera, mais j’ai beaucoup d’espoirs », concluait hier Omar Raddad. « Il faut un peu de courage pour chercher la vérité. J’espère que la justice aura ce courage. »
  • A 12 ans, il se fait massacrer dans son collège au Havre

    "Mon fils ne dort plus, il est traumatisé, très choqué" dit ce lundi au Post le père d'Yvane, 12 ans, violemment frappé par ses camarades de classe il y a 10 jours au collège René Descartes du Havre, en Seine-Maritime.

    "Il n'a pas voulu participer au jeu du "petit pont massacreur" et s'est fait littéralement "massacrer" explique son père Sébastien au Post.

    Bilan: "un traumatisme crânien, des bleus dans le dos, la lèvre coupée", 10 jours d'ITT, et un "très gros choc psychologique" dixit son père.

    Le lendemain de l'agression, ses parents ont porté plainte contre X pour "violences volontaires en réunion."

    Sur Le Post, Sébastien, le père d'Yvane, livre son inquiétude:


    Comment va votre fils?
    "Pas très fort. Il est à la maison, soit devant l'ordinateur -il est sur le blog de sa mère-, soit avec nous. Depuis que c'est arrivé, on ne le laisse plus sortir seul."

    Pourquoi?
    "On a peur des représailles. Dans un quartier comme le nôtre (celui du Montgaillard, au Havre ), quand quelqu'un porte plainte, ça se sait, et je ne veux pas que mon fils ait d'autres problèmes. Je m'inquiète aussi pour mon autre fils, Théo, qui a 9 ans."

    Comment avez-vous su pour l'agression d'Yvane?
    "C'est l'infirmière du collège qui m'a appelé pour me dire que mon fils avait fait "un malaise". Dès que je suis arrivé sur place et que j'ai vu Yvane, j'ai tout de suite compris que ce n'était pas un malaise."

    Que vous a raconté votre fils?
    "Il dit qu'il n'a pas voulu jouer au jeu du "petit pont massacreur", et que, du coup, ses "camarades" l'ont tabassé quand même, ce qui est le principe de ce jeu. Ça s'est passé dans les vestiaires du collège. Après, Yvane n'a pas pu nous donner tous les détails."

    Pourquoi?
    "Il a un gros trou noir, à partir de ce moment-là jusqu'à dimanche soir. Il ne se souvient de rien. Chaque fois que quelqu'un lui pose des questions sur ce qu'il s'est passé, il répond qu'il ne sait pas."

    D'autres camarades ont assisté à la scène?
    "Oui. Un en particulier, qui a rendu visite à mon fils quand il était à l'hôpital. Il lui a raconté la journée de l'agression. A priori on lui a fait un croche-pattes, sa tête a frappé un banc de bois et il a fait un malaise. Là, les autres collégiens n'ont pas vu qu'il avait fait un malaise, lui ont mis sa capuche et ont continué à le frapper."

    Quand va-t-il retourner au collège?
    "Il ne retournera pas dans ce collège. Là, il a 10 jours d'ITT, et ne veut pas y retourner. Moi non plus d'ailleurs. J'ai trop peur pour lui."

    Qu'allez-vous faire?
    "Je commence des démarches à la mairie pour le faire changer de collège. S'il faut aussi changer de ville, nous le ferons. En fait c'est ce que nous aimerions: quitter la ville au plus vite."

    Vous souhaitez déménager?
    "Oui. On veut partir et oublier cette histoire. C'est un gros choc pour mon fils. Je me dois d'assurer sa sécurité et celle de ma famille."

    Comment va votre femme?
    "Elle a peur de tout. Elle se retourne sans arrêt dans la rue, elle sursaute dès qu'un téléphone sonne, elle est complètement stressée."

    Que pensez-vous de cette histoire?
    "J'avais déjà entendu parler du jeu du foulard à l'école, mais pas de celui du "petit pont massacreur"au collège. Avec ma femme, on a décidé de porter plainte pour alerter les gens de ce qu'il se passe et dont on n'est pas forcément informés."

    Le Post - 01.12.08

  • STATS NOVEMBRE 2008

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  • VIDEO Elle a élevé l'enfant métissé d'une autre femme - erreur à la maternité

    Bébés inversés à la clinique.jpg

     Dramatique conséquence d’un échange accidentel de nouveau-nés, survenu il y a quatorze ans, dans une maternité de Cannes : Sophie Serrano, 32 ans, mère de trois enfants pour l’état civil, mais « de quatre dans son coeur », a décidé de révéler les détails du « cauchemar » qu’elle vit depuis quatre ans.


    « Tout commence le 4 juillet 1994, raconte Sophie, le jour où j’ai mis au monde une petite fille, arrivée deux semaines avant terme. Elle présentait une jaunisse, un ictère du nourrisson. C’est ce qui explique que l’on a dû nous séparer, pendant plus d’une semaine, pour la soigner avec des rayons dans une pièce spécialisée. Ce problème étant résolu, nous sommes rentrées à la maison. J’ai alors eu un certain doute. Il me semblait bien qu’elle avait beaucoup plus de cheveux qu’à la naissance. Toutefois, médecin et pédiatre m’ont répondu que c’était normal. C’était des professionnels. J'avais 18 ans. Je leur ai fait confiance. J'ai cru que cela pouvait être dû à l’exposition aux rayons…»

    Plus aucune question ne se pose alors pour Sophie, qui élève "sa fille" avec amour. Celle-ci est métissée, mais Sophie attribue ce fait à ses propres origines espagnoles.

    Entre-temps, il y a quatre ans, le père de la fillette, entré en conflit avec Sophie, exige un test ADN. Coup de massue quand tombe le résultat incontestable de cet examen. Ni Sophie ni son géniteur ne peuvent être les parents de cet enfant.

    L'enquête de gendarmerie met rapidement au clair les faits: les bébé ont été échangés à la maternité de Cannes. Elle a depuis rencontré son enfant naturel. Mais elle n'en est pas "proche". La faute à une éducation différente, croit savoir Sophie Serrano. Mais cette épreuve a permis de renforcer les liens entre Sophie et celle qu'elle croyait être son aînée, à qui elle a tout raconté.

    Les deux familles vivent sur la Côte d'Azur.

     14 ans après les faits, il y a prescription. Elle ne peut plus être la mère de sa vraie fille. Du coup, son avocate, Me Carole Ghibaudo a dû se retourner vers la justice pour obtenir la condamnation de la clinique: "La seule voie pour Melle Serrano est d'engager une action civile pour obtenir un dédommagement..."

    "Je veux aussi que la clinique, qui ne s’est jamais excusée ni n’a montré la moindre compassion, reconnaisse sa faute", conclut Sophie Serrano.
    Elle annonce son intention de déposer une plainte au civil « pour prévenir les parents et faire en sorte que ce genre de situation ne se reproduise plus, grâce à un encadrement renforcé dans les maternités ».

    (sources: Le Parisien- Le Post- France-info - 30.11.08)

    Quant à la fausse mère, elle ne s'était aperçue de rien depuis 14 ans?

    On peut se demander aussi pourquoi les nouveaux-nés de cette clinique ne portaient pas de bracelet en plastique avec leur nom au poignet, comme cela se fait depuis longtemps dans toutes les maternités. Cette affaire comporte des zones d'ombre...