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  • Italie - la Mafia calabraise fait sauter un restaurant multi-ethnique

    06/12/2012 – 14h00
    CAULONIA (NOVOpress) - Quand on commence à lire l’article de Liberazione, le quotidien du Parti de la Refondation communiste, on croit avoir affaire à une nouvelle atrocité raciste d’extrême droite, propre à saisir d’horreur toutes les consciences. « Ç’aurait dû être un laboratoire pour l’intégration et l’insertion. Un restaurant multi-ethnique, destiné à fournir du travail à quasi cinquante des presque 120 migrants et réfugiés politiques réfugiés à Caulonia [une petite ville de 7.000 habitants en Calabre] ainsi qu’à faire connaître à la population locale des pays et des cultures lointains à travers la table. Les portes – selon le Goel, la coopérative qui porte secours localement aux réfugiés et aux mineurs étrangers et qui avait loué le bâtiment à la municipalité – auraient dû ouvrir d’ici un mois. Mais tout est à refaire. Dans la nuit du 31 décembre, passé inaperçu parmi les éclats des pétards, un engin explosif a fait sauter les portes et réduit en morceaux l’auvent et le faux plafond ».

    Ce n’est pourtant pas « l’extrême droite » qui a mis la bombe, selon le maire de Caulonia, Ilario Ammendolia, comme le président de la coopérative, Vincenzo Linarello, mais bien la ‘ndràngheta, la puissante mafia calabraise, dont le chiffre d’affaire annuel avait été estimé, il y a quelques années, à 44 milliards d’euros, plus que le produit intérieur brut de l’Estonie et de la Slovénie réunies. La coopérative Goel (nommée d’après le mot hébreu qui signifie rédempteur dans la Bible) avait été créée en 2003 par l’évêque de Locri-Gerace (et actuel archevêque de Campobasso-Boiano), Mgr Giancarlo Maria Bregantini, dans le cadre de son combat courageux contre la ‘ndràngheta. Il s’agissait d’offrir une alternative aux immigrés clandestins, qui constituent la main d’œuvre de la criminalité organisée. « La ‘ndràngheta, explique le président du Goel, paie le voyage à de nombreux jeunes puis, une fois qu’ils ont débarqué, elle les contraint à rembourser en travaillant pour les affaires des boss. Nous, avec nos projets, nous avons rompu [ou tenté de rompre, NdT] ces chaînes ». Une des actions les plus importantes porte sur le commerce des agrumes : la coopérative a passé un accord avec des supermarchés et achète directement aux producteurs les agrumes à 40 centimes le kilo, alors que les clans mafieux imposent des prix de 6 à 7 centimes, fondés sur l’exploitation systématique de milliers d’immigrés clandestins réduits en esclavage.

    Depuis 2007, la coopérative, ses bâtiments et ses projets ont été attaqués pas moins de dix fois. Toujours en Calabre, cette fois dans la ville de Lamezia Terme, une bombe avait explosé devant l’entrée d’un centre pour mineurs étrangers géré par une autre communauté catholique, Progetto Sud, dans la nuit du 25 au 26 décembre : on y a également reconnu la main de la ‘ndràngheta.

    Dans un communiqué, le Goel souligne que « si la ‘ndrangheta n’est pas éliminée de manière urgente, le chemin du développement sera définitivement fermé à la Calabre ». Éliminer la ‘ndrangheta, et plus généralement les réseaux mafieux d’immigration clandestine, dont les immigrés sont victimes en même temps que les Italiens, est malheureusement plus difficile que de manifester contre le racisme ou de réclamer la fermeture de CasaPound. Il n’est pas sûr que ce soit une priorité de la Goldman Sachs…

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Les identitaires de Nissa Rebela se prononcent pour le soutien à Marine Le Pen

    06/01/2012 – 19h
    NICE (NOVOpress) - C’est à l’occasion de la traditionnelle galette des rois et de la présentation de ses vœux que Philippe Vardon-Raybaud a dévoilé ce soir le résultat de la consultation locale organisée auprès des adhérents de Nissa Rebela. En effet, en tant que mouvement associé au Bloc Identitaire mais néanmoins autonome, Nissa Rebela – au même titre qu’Alsace d’Abord – s’est vu offrir la possibilité de se positionner dans le cadre des élections présidentielles indépendamment de la consultation organisée au niveau national. Une belle démonstration de démocratie interne, de souplesse organisationnelle et de maturité politique de la part de l’ensemble du mouvement identitaire.

    Si la direction d’Alsace d’Abord a choisi de ne soutenir aucun candidat, il en sera donc tout autrement des identitaires du Pays Niçois. Ce sont 79 % des adhérents qui se sont prononcés pour un soutien à la candidature de Marine Le Pen.

    Cette position avait été défendue par le bureau dirigeant du mouvement niçois, mettant en avant la volonté affichée par Marine Le Pen d’en finir avec le droit du sol et le regroupement familial (“de véritables mesures de salut public” selon le courrier envoyé aux adhérents) mais aussi la défense par la candidate de mesures de démocratie directe et participative. Un résultat sans appel donc, et pouvant être vu comme tout à fait significatif car Benoît Loeuillet – secrétaire général de Nissa Rebela – a indiqué que plus de la moitié des adhérents s’étaient prononcés dans le cadre de cette consultation. Parmi les autres propositions, l’alignement sur la position qu’exprimera nationalement le Bloc Identitaire a recueilli 9 % des suffrages, et le choix de ne soutenir aucun candidat 12 %. La proposition d’un soutien à Frédéric Nihous, candidat de la ruralité, n’a recueilli aucun vote. Le leader de Chasse-Pêche-Nature-Traditions payant certainement un manque de notoriété et de visibilité dans cette campagne.

    Des cadres locaux du Front National ainsi que de l’Entente Républicaine, le parti de Jacques Peyrat (le maire de Nice étant représenté par sa secrétaire générale Catherine Garcia), étaient présents lors de cette galette des rois et Philippe Vardon-Raybaud en a profité pour réaffirmer sa candidature dans la 5ème circonscription aux élections législatives, en appelant au soutien de “tout le camp anti-mondialiste” dans son duel face à Christian Estrosi.

    Ce soutien de Nissa Rebela ne préfigure pas forcément le résultat de la consultation nationale organisée par le Bloc Identitaire qui se clôturera le 17 janvier. En effet il reflète aussi une situation locale et des enjeux bien particuliers.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Michèle Teboul : "On ne peut pas écrire n'importe quoi"

     

    Le mercredi 4 janvier 2012 le quotidien marseillais « La Provence » a publié un article en première page. Le titre était : « Ces Marseillais rois de l’arnaque à la TVA. Des centaines de millions d’euros détournés sur le marché des droits à polluer. Les suspects se sont réfugiés en Israël ». Dans le corps de l’article, on pouvait lire que « l’arnaque à la TVA est devenue une spécialité du milieu juif ».
     
    A la suite de la publication de cet article, Michèle Teboul présidente du CRIF Marseille-Provence a écrit au journal la lettre ci-dessous :
     
    « Soyons clairs, si nous déplorons, condamnons avec force des comportements délinquants et inexcusables, nous ne pouvons qu'être heurtés par des parti-pris, des expressions qui confinant aux dérapages émergent tout au long de cet article.
     
    L'arnaque à la TVA "spécialité du milieu juif": de quel milieu parle t'on ici ? S’agit-il de milieu dans le sens de mafia ou bien d'un milieu ethnico religieux? L'ambigüité de cette phrase nous interpelle par la stigmatisation qu'elle peut entraîner ! Stigmatisation que d'autres avant les juifs ont eu à subir ces derniers temps!
     
    L'auteur de cet article remonte aux frères Zemmour, aux affaires du Sentier ! Est ce à dire que  la délinquance  juive est si rare qu'il faille ressortir les antiquités du crime ? Ou alors procède t'on ici à une espèce de filiation et pourquoi pas pire : une organisation inscrite dans le temps avec son pendant de ramifications, de conspirations?      Sinistre évocation afin de rassembler des délinquants et de les présenter comme une "petite communauté ". Les mots ont un sens et peuvent avoir  des effets miroir que nous rejetons!
     
    Bien sûr, les faits restent les faits mais l'ensemble des juifs marseillais et français n'ont pas à être amalgamés à des personnes qui devront rendre des comptes à la justice.
     
    Les hommes et les femmes qui forment notre communauté  comme toute autre sont des travailleurs, des employés, des retraités, des chômeurs et tout l'éventail du tissu social français y compris dans ses déviations ! Humain tellement humain!!!! ».
     
    Philippe Minard, le directeur de la rédaction a fait la réponse suivante : « J'ai lu avec la plus grande attention votre texte suite à notre article consacré à l'escroquerie à la TVA. Bien sûr les mots ont un sens, et loin de nous la pensée de désigner à la vindicte telle ou telle partie de la communauté marseillaise. La rédaction est particulièrement attentive et sensibilisée à la vie des communautés en général, à  la vôtre en particulier. A aucun moment, en racontant ce fait divers peu banal, nous n'avons amalgamé l'ensemble de votre communauté à ces délinquants professionnels. Nous avons évoqué le "milieu juif", comme nous aurions évoqué le "milieu corse", le "milieu parisien",  le " milieu russe".  Le milieu, comme le précise le dictionnaire,  est un ensemble de personnes en marge de la loi, qui vivent de trafics illicites. En ce sens, il y a de fait des milieux dans toutes les communautés, avec c'est vrai, des spécialités. J'ajoute que le journaliste qui a écrit cet article, a toujours été un fervent défenseur des droits et des libertés, et votre Conseil a pu le vérifier à plusieurs reprises. Votre texte ne peut à mon sens constituer une réponse, en ce sens que le fait dénoncé n'est pas avéré. Il pourrait devenir une précision suite à l'utilisation d'un mot que nous avons interprété différemment. Mais je crains  que cette précision attire défavorablement l'attention sur un problème non ressenti par la communauté dans son ensemble ».
     
    Ce vendredi 6 janvier 2012, le président du CRIF Richard Prasquier et Michèle Teboul ont envoyé le courrier suivant à Philippe Minard : « Votre réponse au texte qui vous a été envoyé par la Présidente du CRIF  Provence nous laisse pour le moins perplexes.
     
    Ce n’est pas seulement à Marseille que l’article incriminé, par les termes utilisés, les ambiguïtés et les sous-entendus qu’ils véhiculaient a profondément choqué le « milieu » juif. Votre recherche dans le dictionnaire sur le sens de ce mot a été bien partielle: doit-on considérer, quand on lit l’expression « dans le milieu médical » que l’on se réfère uniquement aux médecins « qui vivent en marge de la loi »? Et lorsque vous écrivez dans La Provence: « dans les milieux politiques…. », doit-on en conclure que vous ne parlez que des hommes politiques mis en examen?
     
    Evidemment non. Vous parlez alors d’éléments représentatifs de l’ensemble d’un groupe d’individus. C’est pourquoi, en lisant l’expression  de « milieu » juif, c’est la communauté juive entière qui s’est sentie pointée du doigt et stigmatisée.
     
    Ce n’est pas tout. Vous écrivez qu’évoquer le milieu juif, c’est comme évoquer le milieu corse, le milieu parisien ou le milieu russe. Pouvez-vous nous indiquer combien de corses, de parisiens ou de russes ont dans le passé été agressés, pourchassés, voire assassinés à la suite de telles allégations ?
     
    Les accusations de comportements criminels portées à l’égard des Juifs ont conduit à de multiples reprises à des pogroms et à des assassinats. Il n’y a pas si longtemps, dans notre pays même, des journaux se faisaient une spécialité de décrire la « criminalité juive ». Nous n’en sommes heureusement plus là, mais le temps n’est pas encore venu où les blagues sur les juifs auront la même saveur soi-disant (?) innocemment folklorique que les blagues sur les corses ou les belges.
     
    Vous auriez réfléchi à deux fois avant d’écrire par exemple que telle ou telle violence à l’encontre des femmes serait caractéristique du « milieu musulman » et vous auriez eu mille fois raison de vous abstenir de le faire. Car toute stigmatisation d’un groupe à partir des actions criminelles de certains des individus de ce groupe est un appel à la haine. En ce qui concerne les Juifs cela porte le nom d’antisémitisme.
     
    Sartre a écrit que quand on est volé par un fourreur qui se trouve être juif et qu’on proteste en disant que tous les juifs sont des voleurs, alors que l’on pourrait aussi bien dire que  tous les fourreurs sont des voleurs, on fait le choix de l’antisémitisme. Votre article, en incriminant le « milieu juif »  a emprunté cette direction.
    Peut-être l’a-t-il fait par mégarde, mais cela méritait alors au moins des excuses. Nous ne les avons malheureusement pas trouvées dans votre réponse. Peut-être n’est-il pas trop tard. »
     
     
    Le Crif - 06/01/12
     
  • Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n° 260

    Sommaire:

    • Retour sur les vœux de Marine Le Pen
    • Le problème des 500 signatures
    • Les déclarations de Jean-François Copé : « Le vote FN favorise la gauche »
    • Lors de ses vœux, Marine Le Pen a réclamé une taxe de 35 % (taux maximal autorisé par l’OMC) sur les entreprises qui délocalisent les prestations de services comme les centres d’appels, etc. et a plaidé pour la réindustrialisation de la France
    • L’intersyndicale de la raffinerie Petroplus a invité tous les candidats à la présidentielle à venir s’exprimer devant les employés. Tous sauf Marine Le Pen
    • Retour sur les vœux de Nicolas Sarkozy
    • Nicolas Sarkozy et Jeanne d’Arc
    • Rappel du rassemblement du FN pour Jeanne d’Arc samedi 7 janvier
    • Nicolas Sarkozy rattrapé par l’affaire Karachi ?
    • La Légion d’honneur refusée par un ancien ministre de droite, estimant qu’elle était donnée à n’importe qui.
    • Législatives : Jean-Marie Le Pen candidat ?
    • Annonce des nombreux déplacements de Jean-Marie Le Pen en janvier

    06/01/12

  • Jeanne d'Arc - Florian Philippot

    06/01/12

  • Rachid Gacem, islamiste favorable à la lapidation, nommé "Grand électeur" par la Gauche - Bientôt la lapidation en France ?

    Voir en complément : Fatima Orsatelli, conseillère régionale PS et trésorière de la Grande mosquée de Marseille
    ___________________________________

    Rachid Gacem, défenseur de la lapidation et de l’instauration de la charia en France, a été nommé Grand Électeur le 17 juin 2011 par la liste Roubaix-Ensemble composée d’élus socialistes, centristes du MoDem, communistes et radicaux.

     Rachid Gacem

    Rachid Gacem, qui avait défendu la lapidation devant les caméras de John-Paul Lepers l’an dernier a voté aux sénatoriales en tant que « grand électeur » investi en tant que tel par la gauche.

    Ceux-ci ne sont pas élus au suffrage universel, mais sont choisis par un collège de grands électeurs composé principalement d’élus locaux. Principalement mais pas seulement. Dans les plus grandes villes, non seulement tous les conseillers municipaux sont électeurs, mais de plus ils nomment des grands électeurs supplémentaires qu’ils choisissent dans leur entourage.

    Pour l’extrême droite, Rachid Gacem est devenu le symbole de la «menace islamiste». (…) C’est le moment d’accuser la gauche de sympathie avec les intégristes musulmans.
    (Nord Éclair)

    C’est ainsi que Rachid Gacem, jusqu’à l’an dernier trésorier et chargé de communication dans une mosquée de Roubaix, a été rajouté et, sans jamais avoir été élu lui-même, a participé à la désignation des sénateurs.

     

    L’inscripton de Rachid Gacem comme grand électeur

    Les circonstances de cette inscription sont relatées par Nord Eclair dans un article du 3 juillet 2011 intitulé Un « grand électeur » qui provoque des remous. On peut y lire ces explications d’André Renard, qui a participé à l’élaboration de la liste :

    « Chaque élu devait fournir un ou deux noms de personnes disponibles pour l’élection sénatoriale le 25 septembre. Chacun a puisé dans le cercle de ses relations personnelles et c’est ainsi que le nom de Rachid Gacem est apparu ».

    André Renard qualifie de « tempête dans un verre d’eau » les protestations suscitées par la nomination de M. Gacem, et ajoute :

    « En tout cas, les réactions à l’encontre de Rachid Gacem sont complètement déséquilibrées. Il Lire la suite…

    Défrancisation - 05/01/12

  • Laurent Ruquier doit recevoir Marine Le Pen

    Laurent Ruquier ne voulait pas recevoir la candidate du Front national et Marine Le Pen répugnait à se rendre dans On n'est pas couché. Comme Michel Drucker ou Anne Sinclair, en son temps, l'animateur n'a jamais voulu que son émission serve de tribune pour promouvoir des idées qui le révulsent. « Tant que rien ne m'y oblige, je choisis les invités politiques que je reçois comme bon me semble .. Je ne souhaite pas livrer mon audience aux idées du Front national ...C'est ma vision du service public. » La présidente du Front national n'avait pas du tout apprécié une séquence diffusée en novembre dernier, dans ce talk-show, où l'arbre généalogique de sa famille était représenté sous la forme d'une croix gammée. Persuadée que sa présence chez Laurent Ruquier va faire grimper l'audience de son émission et, par conséquent, la conforter, Marine Le Pen ne voulait pas lui faire ce cadeau.

    Les deux personnalités auraient dû continuer de s'ignorer si la loi ne les obligeait pas à cette rencontre cathodique. Rémy Pflimlin, président de France Télévisions, a, en effet, informé Laurent Ruquier qu'il devrait convier, au nom du pluralisme, tous les candidats à l'élection présidentielle ou leurs soutiens s'il veut continuer à faire de la politique dans son émission. Comme le précise la règlementation âprement défendue par le CSA. L'animateur pouvait alors prendre l'option d'Anne Sinclair qui s'était fait représentée par Gérard Carreyrou dans 7 sur 7 quand le CSA l'avait contrainte à inviter Jean-Marie Le Pen. Laurent Ruquier aurait donc pu céder son fauteuil à un autre intervieweur dans son émission, mais cela aurait créé un précédent dans son émission et peut-être accréditer l'idée qu'il n'était pas techniquement et moralement capable de mener ce débat. Après réflexion, l'animateur n'a pas refusé l'obstacle et il s'est résolu à inviter Marine Le Pen qui a, dans un premier temps, repoussé l'invitation.

    La présidente du Front national aurait pu décider de se faire représenter par un autre représentant de son parti, mais Laurent Ruquier a maintenu son agenda assez ouvert. Or, le CSA peut difficilement sanctionner un média qui ne reçoit pas un homme politique si celui-ci a reçu une invitation en bonne et due forme. À l'impossible, nul n'est tenu. Le principe de substitution a ses limites car une chaîne ne peut pas être tenue pour responsable du contenu éditorial d'une émission si elle n'en maîtrise pas le contrôle. Si nul ne sait encore comment ce débat (enregistré le 16 février et diffusé le 18) sera organisé, il apparaît, en revanche, certain qu' On n'est pas couché (1,8 million de téléspectateurs en moyenne, 23 % de PDA en moyenne) devrait, à cette occasion, exploser son record de fréquentation.

     

    Le Figaro - 06/01/12



  • Une épidémie de Morano ?

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    (Cliquez sur le dessin pour l'agrandir)

    Depuis quelques semaines, les médias n'en finissent plus de parler de Nadine Morano. La sniper de Nicolas Sarkozy, dans les médias ou directement sur Twitter, s'exprime à tour de bras, que ce soit sur sa marionnette des guignols ou encore le ""sale mec"" de François Hollande...

     

    Le Post- 06/01/12

     

     

  • Sarkozy célèbre Jeanne d'Arc "sans aucune arrière-pensée électoraliste"

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    (Cliquez sur la photo)

    Une petite maison un peu biscornue, dans le tout petit village de Domrémy (Vosges), 300 âmes: c'est là qu'est née il y 600 ans Jeanne d'Arc, même si la date de sa naissance divise encore les historiens. C'est donc là que Nicolas Sarkozy s'est rendu vendredi pour célébrer la Pucelle, à moins de quatre mois de la présidentielle. Sans la moindre arrière-pensée électorale, jure-t-on dans son entourage.

    Cliquez ici !

    Serré de près par la ministre de l'Apprentissage Nadine Morano, régionale de l'étape, le chef de l'Etat a ensuite visité la petite chapelle de Vaucouleurs (Meuse) où Jeanne d'Arc est venue se recueillir avec de se lancer dans son épopée contre les anglais, pour porter le dauphin Charles jusqu'au trône. Le dernier chef d'Etat à s'être rendu en ces lieux était Charles de Gaulle en 1961. Mais le passage de Sarkozy a été express, à peine 5 minutes. « Il faut y aller pour des raisons symboliques, mais ce n'est pas nécessaire de s'éterniser ! », lance le ministre de la Défense Gérard Longuet à son voisin alors que, déjà, le cortège présidentiel, s'éloigne. « C'est quoi ce tilleul ? », s'interrogera juste Sarkozy devant un arbre classé monument historique parce que.. le cheval de Jeanne d'Arc en aurait mangé quelques feuilles en 1429.

    "Une fille du peuple"

    Bien que célébrée chaque année par le Front national, cette figure historique « appartient à tout le monde », insiste le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand. En tout cas, « elle n'appartient à aucun parti », renchérit Patrick Buisson. Pour ce 600e anniversaire, « élection ou pas, Nicolas Sarkozy serait venu ici aujourd'hui. Il n'est pas dans une démarche électoraliste », jure le très droitier conseiller du chef de l'Etat, exceptionnellement présent pour ce déplacement sur un lieu de mémoire de l'histoire de France. Jeanne d'Arc, c'est une « fille du peuple qui en a remontré aux politiques et aux docteurs de la Sorbonne », poursuit-il, une figure qui « incarne l'esprit de résistance » aussi. Une vision très politique, finalement.  

     

    De notre envoyée spéciale Christine Ollivier
     
    France-Soir - 06/01/12
  • Eva Joly: "Jeanne d'Arc est un symbole qui ne fait pas sens"

     

    06/01/12

  • Suicide de Pauline, victime de harcèlement au collège: la mère porte plainte contre le principal de l'établissement

    Pauline, 12 ans, s'est suicidée lundi avec le fusil de chasse de son père. Sa famille, qui estime que leur fille était victime de harcèlement au collège, a déposé plainte contre le principal de l'établissement.

    C'était une adolescente «polie», «souriante» mais un peu «timide». Mais pourtant, lundi soir, Pauline, 12 ans, s'est donnée la mort avec le fusil de chasse de son père, dans la maison familiale d'Éleu-dit-Leauwette, près de Lens (Pas-de-Calais).

    Depuis, proches, camarades de classe et professeurs tentent de comprendre les raisons du passage à l'acte de cette jeune fille. Celui-ci serait peut-être lié, selon différents témoignages, à des brimades subies par Pauline, scolarisée en 6e dans un collège de Lens classé en ZEP (Zone d'éducation prioritaire). C'est ce que soupçonne la famille de Pauline, qui a indiqué avoir déposé une plainte contre le principal du collège Jean-Jaurès.

    Un appel pour que les enfants harcelés parlent

    Brigitte Lamy, procureur de la République à Béthune, a quant à elle déclaré que la mère de famille, entendue mercredi par les enquêteurs de la brigade des mineurs, avait effectivement fait part de son désir de porter plainte.

    Par ailleurs, la mère de Pauline a déclaré vouloir lancer un «appel pour que les enfants qui ont eu ce problème-là en parlent, n'aient pas peur d'en parler» pour que plus jamais pareil drame ne se reproduise.

    Saisie, la brigade des mineurs de Liévin a prévu d'auditionner les proches de la jeune fille. Mercredi après-midi, c'était ainsi le tour de l'équipe éducative du collège Jean-Jaurès, un établissement de 600 élèves «pas particulièrement violents», selon ses responsables.

    La direction du collège avait indiqué que la jeune fille ne s'était jamais plainte de harcèlement, ce que la famille de la jeune fille conteste. Sa mère a affirmé que l'encadrement du collège avait été alerté à «cinq ou six» reprises . «C'est un drame familial», commente sobrement de son côté le parquet de Béthune.

    Violences à la cantine

    Dans la cité de la rue Camphin, les riverains le jour du drame ont d'abord cru que des enfants s'amusaient encore à fêter la nouvelle année à coups de pétards. Pauline, une enfant sans histoires du quartier, se promenait régulièrement avec ses copains dans cette rue tranquille.

    «Elle était venue il y a trois semaines pour jouer à la console avec mon fils, explique au Figaro Nathalie Hembert, une voisine. Je lui avais demandé si cela se passait bien à l'école. Elle m'avait alors confié être embêtée par un groupe de filles».

    Pauline décrit alors à sa voisine des scènes de brimades à la cantine ou à la récréation. «Elles lui mettaient la tête dans son assiette, ou lui faisaient des croche-pieds quand elle tenait son plateau», précise cette mère de famille. A son fils, l'adolescente assure «qu'un jour, elle se vengera».

    Visiblement, au collège, l'équipe éducative n'a rien vu. «Il n'y avait pas de signes particuliers, rien ne laissait présager un tel drame», souffle-t-on, encore sous le choc de la disparition de l'élève.

    Pauline n'était pas perçue comme une élève victime de harcèlement. Mais dans le dos des adultes, des camarades sont plus précis. «Pauline était moquée à cause de son physique de garçon manqué: elle aimait bien les joggings et les baskets, précise ainsi une élève scolarisée elle aussi en 6e. Elle s'était déjà fait frapper par de plus grands qu'elle».

    Avant de se suicider, Pauline a laissé une lettre témoignant de son amour pour ses proches. Mais selon France 3, elle y évoquerait également ses problèmes à l'école. L'enquête permettra peut-être de savoir si c'est bien ces problèmes qui ont conduit la jeune fille au suicide.

    Le Figaro - 05/01/12

  • "Sarkozy court après moi "

    La présidente du FN a mis en doute la sincérité de l'hommage qui sera rendu vendredi à Jeanne d'Arc.

    "Jeanne d’Arc appartient à tous les Français". Pour Marine Le Pen, invitée du journal télévisé de France 2 jeudi soir, la guerre des symboles n'aura pas lieu. Du moins, en apparence. Alors que le président de la République a annoncé qu'il rendrait hommage à la pucelle d'Orléans vendredi lors d'un déplacement dans la Meuse et dans les Vosges, la présidente du Front national n'a pas manqué d'accuser Nicolas Sarkozy de braconner sur ses terres.

    "Je vois bien que Nicolas Sarkozy court après moi", a accusé la candidate à l'élection présidentielle. "Il faut qu'il sache que j'ai des convictions plus fortes, que j'ai un cœur plus pur et que j'ai des jambes plus longues. Par conséquent, il va avoir beaucoup de mal je crois à me rattraper", a encore ironisé Marine Le Pen.

    Un président "vendu"

    Et, comme pour s'accaparer un peu plus cette figure de l'histoire longtemps associée au Front national, la leader frontiste s'est drapée de l'aura de la sainte politique pour bouter un président sans foi, ni loi.

    "Je crois à l’honnêteté en politique, je crois à la sincérité des convictions. Nicolas Sarkozy démontre chaque jour aux Français qu'il est dans une vision électoraliste, d’intérêts personnels et qu'il a totalement oublié l'intérêt supérieur du peuple français. On l'a vu d'ailleurs avec cette TVA patronale qu'il va mettre en oeuvre. Il vend son âme aux marchés financiers. Il vend son âme aux agences de notation. Le pire, c'est qu'il vend aussi son peuple", a conclu la candidate à l’élection présidentielle.

    La présidente du Front national honorera quant à elle samedi la mémoire de Jeanne d'Arc, née il y a 600 ans, mais à Paris.

    Jeanne d'Arc est-elle un symbole dont vous êtes fier ?

    • 53%
      Oui
    • 26%
      Non
    • 21%
      Sans opinion

    2818 votants

     
    euronews - 05.01.12
  • La France survivra-t-elle à l'invasion migratoire ?

     

    La France survivra-t-elle à l'invasion migratoire ? Une conférence d'Yvan Blot
     
     
     

    Yvan Blot, contributeur régulier de la fondation Polémia, donnera une conférence sur le thème “La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ? “  le 16 janvier 2012, à 19h30 à l’Hôtel Néva, 14 rue Brey 75017 Paris.

    AGIR POUR LA DEMOCRATIE DIRECTE
    73, rue de la Faisanderie 75116 PARIS. Courriel : atheneion@free.fr
    site web : www.democratiedirecte.fr

    Conférence d’Yvan Blot

    La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire

    Le lundi 16 janvier 2012 à 19h30

    à l’Hôtel Néva (rez-de-chaussée)

    14 rue de Brey – 75017 Parie (près de l’Etoile)

     

    Un livre d’avertissement est paru aux Etats-Unis et vient d’être traduit en français : Une révolution sous nos yeux ; comment l’Islam va transformer la France et l’Europe de Christopher Caldwell avec une préface de la démographe Michèle Tribalat.

    Ce livre traite surtout de l’immigration musulmane et fait un sombre pronostic sur l’avenir de la civilisation européenne. Il met en valeur le profond fossé entre les élites dirigeantes auto-satisfaites et moralement pharisiennes et le peuple qui se situe sur « le front de l’immigration » dans la vie quotidienne.

    Il est vrai que l’immigration de populations culturellement non européennes est un problème très grave que les élites négligent quand ils ne s’en font pas complices. On est censé être en démocratie mais quand avons-nous été consultés pour accepter une immigration de masse dans notre pays ? Jamais (à la différence ses Suisses).

    Et pourtant, celle-ci pose des problèmes économiques, politiques, culturels et religieux.

    L’économie et les migrations

    Dans ce domaine, il y a beaucoup de fausses idées : on prétend que l’immigration est nécessaire mais c’est un raisonnement à très court terme caractéristique des oligarques au pouvoir qui méprisent le long terme. Elle a été traitée comme si les hommes étaient des matières premières interchangeables et son coût a été négligé. De plus, comme l’a montré l’économiste libertarien Hans Hermann Hoppe, le libre échange vaut pour les biens et services mais non pour les hommes. Un échange économique repose sur la volonté d’un vendeur et d’un acheteur exprimés dans un contrat. Ce n’est pas le cas de l’immigration où l’avis des receveurs n’est pas pris en compte. Un produit ne viendra pas en France de lui-même mais avec les hommes c’est différent. Le résultat est que la liberté des citoyens est bafouée par une immigration forcée.

    La politique et les migrations

    Nous verrons l’impact de l’immigration de masse sur notre politique étrangère dans un contexte de perte de souveraineté. Puis nous verrons son impact sur la politique intérieure, occasion de voir comment l’oligarchie trahit tout simplement les intérêts du peuple français. De plus, cette oligarchie s’est attaquée à la liberté d’expression afin que le débat sur l’immigration soit étroitement encadré.

    Aspects culturels de l’immigration

    Notre culture nationale est discréditée par la repentance alors que les immigrés culturellement non européens forment peu à peu des sociétés parallèles avec des privilèges particuliers. Certes, cette société parallèle demeure minoritaire mais l’histoire est pleine de minorités qui ne se sont pas contenté d’habiter un pays mais qui l’ont remodelé. Les bolcheviks en 1917 étaient une minorité à Saint-Petersbourg mais leur détermination leur a permis de prendre le pouvoir. On est aujourd’hui face à un processus de colonisation culturelle et non de simple immigration d’individus prêts à se fondre dans la nation. Face à l’agressivité des lobbies immigrés qui réclament toujours plus de privilèges de l’Etat, notre culture est en pleine dérive et ne permet pas de présenter un modèle qui permettrait l’intégration. Celle-ci ne se fait que marginalement. Il ne faut pas alors s’étonner des hauts taux de criminalité de la population étrangère et des émeutes qui éclatent ça et là dans les banlieues.

    Aspects religieux de l’immigration

    La France espère éviter la formation d’un islamisme extrémiste sur notre sol grâce à son héritage laïc. C’est là encore une illusion. Beaucoup de djihaddistes sont prêts à sacrifier leur vie pour leur religion islamique : qui est prêt à sacrifier sa vie pour la laïcité ? La laïcité est un sabre de bois face à un Islam conquérant. Le dynamisme islamique s’oppose au déclin du christianisme protestant et catholique. Un vide religieux se créé et menace ainsi notre identité. Une société peut-elle survivre à la disparition de son socle religieux ? On peut en douter. En Europe, seule la Russie pratique, tout en étant laïque, une promotion de l’Eglise orthodoxe considérée comme inséparable de l’identité nationale. La Pologne a montré comment une religion forte permettait de s’opposer au marxisme. Le sociologue Jules Monnerot a qualifié l’islam de « communisme du 21e siècle ». Si c’est le cas, nous devons revoir aussi la place de la religion dans la société française. Sur le sujet de l’Islam, on constate encore une fois que les élites ont une opinion très différente du peuple. Ce dernier a peur. En fait, à tout moment de l’histoire, lorsqu’une invasion étrangère s’est produite, une grande partie des élites dirigeantes, les oligarques, ont pris le parti de la collaboration.

    En conclusion, nous verrons si la problématique de l’immigration ne doit pas être réexaminée en termes de collaboration et de résistance. En l’absence de résistances nationales, Caldwell pense que les pays européens disparaîtront, comme Byzance a disparu devant l’Empire ottoman. La France est une des plus concernée dans cette marche vers l’auto-destruction. Nous parlerons de tout cela le 16 janvier. D’ici là je vous adresse mes meilleurs vœux pour 2012.

    Yvan Blot
    02/01/2012

    Photo : Broadsheet

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  • Marine Le Pen: " Je risque de ne pas pouvoir être candidate"

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    a-t-elle vraiment toutes les difficultés du monde à boucler les 500 signatures nécessaires des maires pour se présenter à l'élection présidentielle ? Lors de sa cérémonie des voeux à la presse au siège du parti frontiste à Nanterre (Hauts-de-Seine), la candidate a lancé un appel solennel aux élus locaux, vu le peu de signatures que le aurait pour l'instant recueilli selon elle.

     
    «Nous sommes loin du compte pour les parrainages, explique-t-elle. Je risque de ne pas pouvoir être candidate au mois de mai prochain» Une menace agitée depuis le début de la campagne par Marine Le Pen, comme son père, également candidat à l'élection suprême l'avait fait lors des précédents scrutins. Pourtant, elle le jure, la difficulté est bien réelle. Elle l'a d'ailleurs confirmé en début de soirée aux 20 heures de 2. 

    Le PS et l'UMP accusés de «cadenasser le système»

    Selon elle, en comparant le nombre de signatures avec les précédentes élections présidentielles, la situation est très inquiétante pour sa candidature. «En 2012 la situation est encore plus difficile qu'en 2007,assure-t-elle. Le risque existe» La faute selon elle à «la caste politique au pouvoir», aussi bien le PS et l'UMP qui veulent «cadenasser le système». «Si ne je pouvais pas concourir nous ne serions plus en démocratie et le Président (élu, ndlr) ne serait plus légitime», a-t-elle lancé. Sans toutefois vouloir répondre à la question sur le nombre exact de signatures obtenues, Marine Le Pen, invitée de France 2, a précisé à David Pujadas qu'elle «en avait moins qu'à la même époque en 2002» Si elle n'arrive pas à se présenter, elle a assuré que «la France apparaitra comme ayant tourné la page de la démocratie».
     
     
    Le Parisien - 05/01/12


     
  • Saint-Flour: tabassé chez lui parce qu'il se plaignait du bruit

    Durant la nuit du réveillon, cet habitant de Saint-Flour avait demandé à trois jeunes gens de faire moins de bruit. En réponse, ils ont défoncé sa porte pour le tabasser.

    Deux jeunes Sanflorains ont écopé de peines de prison ferme, hier soir, en comparution immédiate, pour violences en réunion ayant entraîné une ITT de plus de huit jours.

    Les faits se sont produits durant la nuit du réveillon de la Saint-Sylvestre. Il est environ 0 h 30 lorsqu'un habitant de la rue des Ecoles, dans le centre ancien de Saint-Flour, est incommodé par des passants très bruyants. Le Sanflorain, un homme d'une quarantaine d'années, ouvre ses fenêtres et demande aux trois jeunes gens, toujours dans la rue, de se faire plus discrets.

    Frappé au visage à coups de pied et de poing

    Cette remarque est très peu appréciée par le petit groupe. Tous les trois décident de monter à l'étage du petit immeuble et défoncent la porte à coups de pied. L'occupant du domicile doit alors faire face à un déferlement de violences. Ses agresseurs le frappent au visage, à coups de pied et de poing. Une chaise, retrouvée endommagée, pourrait également avoir servi " d'arme ".

    Transporté à l'hôpital de la ville, où il se trouvait encore hier soir, le quadragénaire devra subir des interventions de chirurgie réparatrice au visage. Identifiés puis interpellés par les gendarmes, les trois agresseurs, des Sanflorains âgés, pour deux d'entre eux, de 18 ans, ont été présentés devant le tribunal d'Aurillac.

    L'un d'eux, en situation de récidive légale, a été condamné à deux ans de prison, dont un ferme, avec mandat de dépôt à l'audience. Le deuxième a écopé de six mois ferme et le troisième de six mois avec sursis.

    Olivier Rezel

    La Montagne - 05/01/12

  • Voeux de Marine Le Pen à la presse

    05/01/12