Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Marseille: tué dans sa voiture d'une rafale de Kalachnikov

    Un homme de 25 ans a été tué d'une rafale de Kalachnikov mercredi soir à Marseille. Selon les informations de LCI, la victime de la fusillade, connue des services de police, avait essayé il y a deux ans de tuer un probable rival dans des conditions identiques, mais avait échoué.

    L'attaque a eu lieu mercredi soir peu après 23 heures au niveau du boulevard Casanova, dans le 14e arrondissement de Marseille. La cible des agresseurs : une Twingo noire dans laquelle circulait un couple - la femme étant au volant, l'homme assis dans le siège passager. Alors que le véhicule venait de s'arrêter à un feu rouge, les deux occupants d'une autre voiture ont ouvert le feu à courte distance sur le passager, le criblant de balles avec un fusil d'assaut de type Kalachnikov. Bilan : un mort.

    L'homme, originaire des quartiers nord, était "connu des services de police pour différentes infractions", a indiqué le procureur de la République Jacques Dallest, qui s'est rendu sur les lieux en soirée. Selon une source proche de l'enquête, il s'agit de Walid Marzouki, notamment mis en cause dans des affaires liées au trafic de drogue. Quant à la conductrice, très choquée, elle "n'a été que très légèrement blessée par des éraflures. Il est miraculeux qu'elle ait survécu", a souligné Jacques Dallest. Une trentaine de douilles ont été retrouvées sur la scène du crime.

    "La comptabilité macabre se poursuit"

    Selon les informations de LCI, si la conductrice n'a été que blessée malgré la violence de la fusillade, c'est parce que les balles ont été tirées tout près de la victime : l'agresseur a apparemment vidé un chargeur entier de son arme alors que le canon de la Kalachnikov touchait pratiquement la vitre passager de la Twingo. Ce qui montre la détermination des assaillants... Or, toujours selon les informations de LCI, l'homme pris pour cible lors de cette agression, et déjà soupçonné dans des braquages, aurait lui-même tenté, il y a deux ans, de tuer un individu qui pourrait avoir été un rival dans un trafic de drogue. Mais cette attaque avait échoué. A la suite de quoi l'homme avait été arrêté, puis s'était échappé, avant d'être arrêté de nouveau ; il était en attente d'un procès lorsqu'il a été abattu mercredi soir.

    Outre le procureur de la République de Marseille, le préfet de police Alain Gardère, le directeur interrégional de la police judiciaire Roland Gauze et le directeur départemental adjoint à la Sécurité publique, Jean-François Illy, se sont rendus sur les lieux. L'enquête a été confiée par le parquet de Marseille à la brigade criminelle de la police judiciaire, déjà en charge de plusieurs affaires du même type.

    "La comptabilité macabre se poursuit", a déploré le procureur, rappelant qu'il s'agissait du 14e mort dans un règlement de comptes depuis le début de l'année dans la cité phocéenne et du 19e sur l'ensemble de la région. C'est le deuxième au mois d'août, après le décès samedi soir à l'hôpital d'un jeune homme âgé de 25 ans, Benamar Hamidi, grièvement blessé par balles dans les quartiers sud. Condamné à six ans de prison pour association de malfaiteurs et vols avec violence, il était sorti en juillet de la prison de Tarascon.

    TF1 News - 30/08/12

  • Qui est-ce ? (nouvelle série)

    sans-titre.png

  • Inde: il est prié de changer le nom de son magasin nommé "Hitler"

    sans-titre.png enseigne H Inde.png

     


     

    Dans l'Etat de l'Ouest indien de Gujarat, un entrepreneur a ouvert un magasin de vêtements dont le nom dérange la population. Nommé "Hitler" et affichant une croix gammée en guise de point sur le "i", la boutique doit changer de nom selon la communauté juive. Mais l'intéressé veut, en contre-partie, recevoir de l'argent.

    Il y a une dizaine de jours, un magasin de vêtements a ouvert dans la ville de Ahmedabad, dans l'Etat de Gujarat dans l'Ouest de l'Inde. Jusqu'ici rien d'anormal, excepté son enseigne qui affiche le nom d'Hitler.
    "Je ne savais pas qu'Hitler pouvait déranger les gens"
    Le propriétaire du magasin a été prié de changer le nom de sa boutique après que son nom ait fait polémique au pays et chez toute la communauté juive. Cependant, Rajesh Shah ne peut se permettre de le changer, faute d'argent.
    "Je changerai le nom uniquement si les gens me viennent en aide financièrement parce que j'ai beaucoup dépensé pour le logo, les cartes de visite, la palissade", a-t-il déclaré à l'AFP.
    Selon ses dires, il aurait besoin de 150 000 roupies (2 150 euros).
    Il faut dire que l'enseigne est assez évocatrice. "Hitler" est écrit en lettres capitales et une croix gammée est déposée au-dessus du "i" en guise de point.

    Mais, du côté de Rajesh Shah, il n'était pas question de provoquer qui que ce soit : "Je ne savais pas à quel point ce nom pourrait déranger les gens. [...] C'est uniquement lorsque la boutique s'est ouverte que j'ai appris que Hitler avait tué six millions de personnes".

    Il ajoute que le nom de Hitler était le surnom donné au grand-père de son collaborateur qui avait un côté strict.
    Mais, beaucoup de personnes ne croient pas en cette version des choses. "Les gens utilisent des noms le plus souvent en ignorant leurs significations", a déclaré Orna Sagiv, membre du Consulat Général d'Israël à Mumbai.

    Esther David, écrivain à Ahmedabad et de confession juive, se définit comme étant "perturbée et peinée" par le nom de cette boutique. Cependant, elle a précisé que pour beaucoup d'Indiens, le terme de "Hitler" a une signification spécifique. En effet, de nombreux Indiens surnomment ainsi des personnes autoritaires.
    Un problème bien plus profond
    Il est important de noter qu'Adolf Hitler n'est pas mal vu par la plupart des Indiens. Tout d'abord son livre "Mein Kampf" est très populaire au Sous-Continent et s'emprunte dans les bibliothèques, et peut être acheté dans les librairies.

    De plus, les livres scolaires de Gujarat sont édités par le gouvernement hindouiste, réputé et critiqué pour faire du dictateur allemand un personnage historique qui a donné de la "dignité et du prestige" au gouvernement allemand.

    C'est sûrement dans ce sens que plusieurs enseignes ont affiché le nom de Hitler en guise de marque. Il y a de cela six ans, un café nommé "Hitler's Cross" affichait une croix gammée sur sa façade.

    L'ambassade d'Israël, l'Allemagne et la Ligue Anti-Diffamation américaine ont porté plainte et ont obligé le propriétaire de changer le nom de son restaurant. Pour ce dernier, rien de mal avait été fait. C'est certainement dans l'éducation que les choses doivent changer !

    Source Gentside

     

     

     

  • Un train-théâtre pour lutter contre le négationnisme

    http://fr.news.yahoo.com/video/people-5213026/un-train-theatre-pour-lutter-contre-le-negationnisme-30401784.html#crsl=%252Fvideo%252Fpeople-5213026%252Fun-train-theatre-pour-lutter-contre-le-negationnisme-30401784.html

  • Chrétiens assassinés et décapités en Syrie par des terroristes islamistes

    Atroce nouvelle transmise ce jour par l’Agence Fides. Voilà ce qui attend tous les chrétiens de Syrie si par malheur les « libérateurs » y prenaient le pouvoir… D.H.

    Un attentat terroriste a frappé hier, 28 août, des fidèles chrétiens et druzes innocents dans le quartier de Jaramana, un faubourg de Damas. A 14 h, une bombe placée à bord d’une automobile a explosé au passage d’une foule de fidèles – familles, personnes âgées, femmes et enfants – qui se dirigeait vers le cimetière pour procéder à la sépulture de deux jeunes. Ces derniers étaient morts la veille, 27 août, victimes eux aussi d’une bombe artisanale. Alors que la foule, une fois célébrées les obsèques, accompagnait les corps vers le lieu de la sépulture, un taxi a explosé causant 12 morts – d’autres sources parlant même de 27 – dont 5 enfants et plus de 50 blessés graves. A Jaramana, vivent environ 600 000 personnes, presque toutes appartenant aux minorités religieuses. Y vivent en effet 250 000 chrétiens (assyriens, arméniens, chaldéens, melkites, orthodoxes et d’autres confessions) outre à des druzes et à quelques 120 000 réfugiés irakiens ayant fui en Syrie au cours de ces dernières années.
    Ainsi que l’indiquent des sources de Fides à Damas, les chrétiens subissent une forte pression de la part de groupes armés djihadistes dans les faubourgs de Jaramana (dans le sud-ouest de Damas) et de Zamalka (dans le sud-est de la cité). Aujourd’hui, à Zamalka, une famille de chrétiens arméniens a été retrouvée massacrée, tous les membres de la famille ayant été horriblement décapités. L’exécution fait penser à l’action de radicaux islamiques salafistes.
    De tels actes, qui frappent des innocents, ont provoqué l’indignation et le trouble au sein de la communauté chrétienne. Un responsable de la communauté catholique latine de Damas, qui demande à conserver l’anonymat, déclare à Fides : « Il s’agit d’actes terroristes. Nous ne savons pas qui se cache derrière. Dans tous les cas, il s’agit de groupes qui veulent détruire la Syrie. Des bandes armées djihadistes ont commencé à semer la terreur. Le fait est qu’en Occident aussi les chrétiens sont souvent représentés comme des amis du régime ou des collaborateurs de la répression mais il n’en est rien. Les chrétiens vivent avec la population syrienne et veulent seulement la paix. Mais cette propagande fournit aux groupes terroristes, infiltrés parmi les rebelles, un prétexte pour nous attaquer ».

    Source : Agence Fides

    Observatoire de la christianophobie

    29/08/12

  • Une élue marseillaise veut une intervention de l’armée contre les dealers

     

     

     

     

    L’entretien que Madame Samia Ghali, sénateur (NDLR : Parti Socialiste) des Bouches-du-Rhône et maire d’arrondissement de Marseille, a accordé au quotidien Le Parisien le 26 août dernier était passé inaperçu. Enfin presque car il n’a pas échappé à la vigilance des animateurs du Lab d’Europe1.

    Dans un premier temps, l’élue marseillaise a évoqué une situation pour le moins alarmante des quartiers Nord de la cité phocéenne, où les vendeurs de produits stupéfiants prolifèrent.

    “Aujourd’hui, le premier employeur des jeunes à Marseille, c’est le trafic de drogue. Et je n’ai pas peur de le dire. Il y a mêmes des filles qui dealent. Ici, la délinquance s’est professionnalisée. Le trafic fait vivre des familles entières. Je pense que les autorités ne mesurent pas la gravité de la situation” a-t-elle expliqué.

    Pour y mettre un terme, Samia Ghali avance plusieurs pistes. D’abord, il faudrait “commencer par casser les barres d’immeubles pour désenclaver les cités”. Mais pas seulement car la parlementaire “prône le recours à l’armée pour bloquer l’accès des quartiers aux clients des dealers”.

    “Comme en temps de guerre, avec des barrages. Et même si cela doit durer un an ou deux, il faut tenir”, a-t-elle ajouté, expliquant que “combattre les dealeurs revient à combattre une fourmilière. Vous en arrêtez dix, dix autres se présentent aussitôt pour les remplacer.”

    Autre proposition faite par madame le sénateur : le rétablissement (rien de moins) du service militaire, afin “d’obliger les jeunes qui arrêtent l’école trop tôt à sortir de leur quartier et à apprendre la discipline.”

    Cette idée de faire intervernir l’armée pour rétablir la sécurité dans des quartiers sensibles avait déjà été exprimée en 2011 par le maire de Sevran, Stéphane Gattignon (Europe Ecologie – Les Verts), qui avait alors demandé le déploiement dans sa ville de “forces d’interposition, des casques bleus, comme ceux qu’on envoie à l’étranger pour empêcher les belligérants de s’entre-tuer” afin de protéger ses administrés des bandes et autres trafiquants de drogue.

    A l’époque, le maire de Sevran avait pu se prévaloir du soutien de Ségolène Royal mais les foudres de Claude Guéant, alors ministre de l’Intérieur et de celles de Jean-Jacques Urvoas, le spécialiste des affaires de sécurité au Parti socialiste. “Dans un Etat démocratique, c’est à la police républicaine, sous le contrôle de la justice, de rétablir la sécurité” avait fait valoir le premier pendant que le second estimait qu’il s’agissait d’une “très mauvaise idée” qui “traduirait l’impuissance de l’Etat” et “s’inscritait en sus dans une stratégie de tension qui ne peut que desservir la population.”

    Le recours aux forces armées pour rétablir l’ordre public est encadré par les articles D1321 du Code de la Défense. Ainsi, “pour leur emploi au maintien de l’ordre, les forces armées sont classées en trois catégories”, la première étant la gendarmerie départementale et la seconde étant la gendarmerie mobile. Les forces terrestres, maritimes, aériennes et les services communs ainsi que les formations de la gendarmerie mises sur pied à la mobilisation ou sur décision ministérielle “constituent les forces de troisième catégorie”.

    Ces dernières sont destinées à “des missions tendant à renforcer les unités de première et deuxième catégories ainsi que les forces de police” (comme par exemple en Guyane, avec la mission Harpie), à “des missions de protection” et, en dernier ressort, pour “opérations de force nécessitant des mesures de sûreté exceptionnelles”

    Enfin, si certains brandissent la menace de faire intervenir les militaires dans ce type d’opérations, comme par exemple lors des émeutes de 2005 dans les banlieues, d’autres estiment au contraire que ce n’est pas le métier, ni le rôle de ces derniers.

     

    E&R

  • Syrie: quand l'ASL profane les corps de ses victimes

    http://french.irib.ir/galeries/videos/item/209130-syrie-quand-l-asl-profane-les-corps-de-ses-victimes-images-sensibles

    IRIB- Attaché avec une corde à une voiture, le corps nu d'un soldat syrien est promené à travers la ville.....but de la manoeuvre : terroriser une population de plus en plus partisane de son armée ...humilier celle-ci.....et dire que M. Hollande demande à ces terroristes de créer un gouvernement de transition....

     

    29/08/12

  • Soutien à Marie-Neige Sardin, devant la mairie du Bourget : une solidarité patriotique

     

    Dans un texte publié ce mardi dans Riposte Laïque, j’annonçais ma volonté de soutenir Marie-Neige Sardin, après la 31e agression, qui faillit lui coûter la vie, dans sa librairie du Bourget.

    Comme prévu initialement, je me suis donc rendu ce mercredi 29 août 2012 sur le marché du Bourget avec Cyril afin de distribuer nos tracts de soutien. L’accueil a été bon et de nombreuses personnes ont alors découvert la situation de Marie-Neige. Nous avons eu droit à la visite d’un officier en civil de la DCRI (ex RG), afin de vérifier si le site Riposte Laïque disait vrai. Il faut dire que depuis l’affaire Merah, la DCRI est sur les dents et sait-on jamais, un travailleur social défendant une femme victime d’extrêmes violences pourrait déposer un colis piégé remplis de bisous. C’est dans cet esprit bon enfant qu’une patrouille pédestre de la police nationale est venue relever nos identités sur ordre de la DCRI. On notera, comme je le lui ai fait remarquer, que c’est une femme policière qui a noté les noms de deux hommes militant pacifiquement contre la violence envers les femmes.

    Vers 13h45, je suis arrivé devant la mairie où une quinzaine de bourgetains, une dizaine de sympathisants de Riposte Laïque et deux représentants FN (venus spontanément sans idée de prosélytisme) nous ont rejoints. Les forces de l’ordre étaient elles aussi présentes.

    Notre petit groupe, composé de personnes retraitées, de jeunes et d’actifs s’est alors dirigé vers la mairie qui nous a bloqué l’accès pendant trente minutes. Et oui, l’Hôtel de Ville, le symbole de l’Etat a été fermé pendant une demi-heure pour empêcher un groupe pacifiste comprenant des personnes âgées avec des béquilles de rentrer.

    Au XXIème siècle, défendre les droits des femmes, le lien social et l’accès à la culture semble suffisant pour faire fermer un bâtiment d’état.

    Il s’est donc passé une chose extraordinaire : le peuple a demandé des comptes et il a été rejeté pendant trente minutes. Voilà la vraie menace : le peuple qui ne veut plus de violences contre une libraire essayant de faire vivre un lieu de culture, au Bourget. Aucune communication, personne n’est venu nous proposer un rendez-vous pour une date ultérieure. Nous avons donc décidé d’attendre à l’ombre sous le regard des forces de l’ordre.

    Passé ce temps, Yves, un proche de Marie Neige, est venu me chercher pour me dire que nous allions être reçus par Monsieur le Maire, son directeur de cabinet ainsi que le chef de la police.

    Rapidement, le Maire nous a fait part de tout ce qu’il avait entrepris pour Marie Neige : installation de caméras de vidéo surveillance, passages plus fréquents de la police municipale, interventions auprès du procureur etc. Il nous a expliqué que Mme Sardin l’avait souvent critiqué sur son blog, en dépit de ses efforts.

    Nous lui avons rappelé que nous ne remettions pas en cause ce qu’il avait fait mais que force était de constater que cela était vain puisque les agressions et destructions n’ont fait que progresser sans la moindre condamnation.

    Notre constat était clair : Marie-Neige a subi trente et une agressions et c’est, à notre connaissance, la seule dans ce cas, en France. Chose surprenante, de mystérieux acheteurs se présentaient parfois après l’une d’entre elles, pour tenter de la convaincre de vendre. Partant de là, notre demande est simple : Mme Sardin semble isolée et une proie facile. La mairie peut elle se positionner ouvertement en la soutenant officiellement devant les médias ?

    Pour finir, nous n’avons pas demandé d’engagement ferme de la mairie. J’ai juste posé cette question à chacun des participants avant de partir :

    « Si vous aviez été violé, agressé trente fois avec des jets d’acide, des coûteaux ou autre, Messieurs, vous en seriez où aujourd’hui ? Personnellement, je ne suis pas persuadé que j’aurais eu le même courage que Mme Sardin pour faire face à la vie».

    Par la suite, nous avons retrouvé le groupe qui nous attendait et nous sommes partis retrouver notre héroïne dans sa boutique.

    En conclusion, je dirais que nous avons vécu une sacrée aventure : contrôle de police et de la DCRI pour avoir diffusé des tracts contre la violence faite aux femmes, rencontres avec des militants et des citoyens inquiets de l’évolution de la société, fermeture d’un bâtiment public pendant une demi-heure face à des gens du peuple, rencontre avec le Maire et temps d’échange avec Marie Neige.

    C’est ainsi que nous ferons bouger les choses : pas à pas, de manière démocratique, mais avec détermination.

    Stéphane Bornat

    « Si vous avez l’impression que vous êtes trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique… et vous verrez lequel des deux empêche l’autre de dormir.”

    Le dalaï Lama

  • Syrie: interview de Bachar Al Assad le 29 août 2012

    Lire: http://allainjules.com/2012/08/30/syrie-bachar-al-assad-droit-dans-ses-bottes-et-plus-serein-que-jamais/

  • Le Journal de la Syrie 29 août 2012

  • Affiches honteuses de la CAF !

    sans-titre.png affiche CAF.png

     

    La Caisse d’Allocations Familiales stigmatise les Blancs à propos des fraudes massives qu’elle subit.

     

     

    Contre-info.com

     

  • "Emplois d'avenir" : un cautère sur une jambe de bois

    Quinze ans après les "emplois-jeunes" de l'ère Jospin, le Ayrault a présenté mercredi ses "emplois d'avenir" pour les jeunes non qualifiés. Le texte sera soumis aux députés le 10 septembre avec l'objectif de signer les premiers contrats avant même le 1er janvier. Une mesure d'urgence, au moment où le nombre de chômeurs frôle les trois millions, qualifiée d'"ambitieuse et rapide" par le Premier ministre, "d'insuffisante" par les et de "nouvelle forme de précariat" par Jean-Luc Mélenchon.

     

     
    A la différence des "emplois-jeunes" version Jospin, ces nouveaux contrats seront destinés aux 16-25 ans sans diplôme ou peu qualifiés issus "des zones urbaines sensibles" ou de zones rurales où le des jeunes est supérieur à la moyenne. L'Etat subventionnera (à hauteur de 75% du Smic), pendant un à trois ans ces CDD ou CDI, généralement à temps plein et concentrés "dans des activités d'avenir ou dont l'utilité sociale est avérée": filière verte, secteur social, aide aux personnes, filières numériques, tourisme, etc. Seront éligibles les employeurs du secteur non-marchand et à la marge ceux du privé (avec une subvention moindre). Le gouvernement vise 150.000 contrats en 2014. Dans le budget 2013, 2,3 milliards d'euros seront inscrits pour la mesure, dont le coût est estimé à 1,5 milliard par an "en rythme de croisière".

    Pour l'ancien Premier ministre François Fillon, ces emplois d'avenir ne représentent "ni" un "véritable emploi", "ni" un "véritable avenir", en regrettant que "la France multiplie les contrats aidés depuis 30 ans". Selon lui, le dispositif annoncé mercredi "n'offrira aux jeunes sans diplôme, aucune vraie solution en termes de formation professionnelle ou d'accompagnement vers un emploi stable". En revanche deux députés de droite, Yves Jégo (Radical) et Lionnel Luca (UMP) voteront le texte, car "il vaut mieux un pansement contre le chômage que rien du tout", selon Yves Jégo.

    Le Parisien- 29/08/12

     

     

  • Russie: des reliques de 13 saints volées à Saint-Petersbourg

    sans-titre.png reliques.png

    SAINT-PETERSBOURG, 29 août - RIA Novosti
     

    Des reliques de 13 saints dont celles de saint Nicolas et de saint Alexandre Nevski ont été volées dans l'église Sainte-Catherine située sur l'île Vassilievski, dans le centre historique de Saint-Pétersbourg, a appris mercredi RIA Novosti d'une source policière.

    "Un représentant de l'église a alerté mardi la police. Selon lui, des inconnus ont pénétré au rez-de-chaussée par la fenêtre dans la nuit de lundi à mardi. Ils sont entrés dans le cabinet du prêtre doyen de l'église et ont volé les reliques", a indiqué le responsable.

    "Les malfaiteurs ont également volé un calice eucharistique en métal blanc sur un pied en métal jaune, représentant des saints, ainsi que cinq croix", a ajouté le représentant de la police.

    Les personnes reconnues coupables d'un tel délit risquent d'écoper six ans de prison selon le Code pénal russe.

  • AZF: la thèse officielle mise en cause

    A un mois du jugement, une nouvelle hypothèse remet en cause les raisons de l’explosion de l’usine AZF à Toulouse en 2001. Selon le journal Sud-Ouest une fuite de carburant, émanant de l’usine de la SNPE, voisine du site, aurait déclenché l’accident.

    Melissa Collado
    Le 29/08/2012 à 8:45
     
     
     

    Le journal Sud-Ouest s’appuie sur l’expertise d’une revue spécialisée dans le droit du danger et le management du risque. Selon elle, il y a eu deux explosions. La première explosion serait due à une fuite d’ergol, le carburant des fusées. Elle aurait provoqué des vibrations qui ont déclenché deux bombes dormantes situées sous le hangar 221 de l'usine. Des bombes de la Seconde Guerre mondiale, dont l’existence était connue.

    La catastrope a entrainé la mort de 31 personnes le 21 seprtembre 2001.

    BFM TV

  • Budapest : slogans antisémites au cours d'une manifestation de l'extrême-droite

    Revue de presse
    Publié le 29 Août 2012

     

     

    Des manifestants de Jobbik, le parti d'extrême-droite, ont scandé des slogans antisémites au cours d'une manifestation à Budapest, dimanche 26 août 2012, en l'honneur du cinquième anniversaire de la création de la Garde Hongroise (Magyar Garda), l'organisation d'extrême-droite, xénophobe, qui a été déclarée hors la loi en Hongrie.

     

    sans-titre.png Budapest.png

    Gabor Vona, le dirigeant de Jobbik, et le co-fondateur de la Garde Hongroise, a prononcé un discours nationaliste face à 200 manifestants. Plusieurs d'entre eux ont scandé des slogans antisémites face à quelques dizaines de contre-manifestants. La manifestation s'est déroulée en fonction d'un arrêt du tribunal, bien qu'elle ait été interdite par la police.

    Crif

  • Syrie: L’ALS affirme avoir découvert un arsenal chimique

     

    Publié le 29/08/2012 à 02h42

    Des missiles à charge chimique et biologique découverts par l’ALS près de Damas?

    C’est le Conseil Supérieur de l’Armée libre de Syrie qui a validé, et délivré l’information. Une de ses unités aurait, suite à l’attaque et la conquête d’une base militaire près de Damas découvert un « lot » de missiles non conventionnels, à tête chimique et biologique. une découverte de missiles chimiques, faisant partie d’un stocks impressionnant de toutes sortes d’autres missiles conventionnels, eux, et dont l’ALS prétend qu’il y avait là, de quoi semer la mort et la destruction « en quantité industrielle ».

    Les hommes de l’Unité ayant mené cette opération visant une base de stockages de missiles et roquette en tout genre, ont fait parvenir des photos précises au Conseil supérieur de l’ALS, photos qui permettraient d’aboutir à une conclusion sans ambiguité. Ces missiles provenantes stocks de l’armée régulier et ovale à Bachar el-Assad seraient bien porteurs de têtes chimiques et biologiques.

    Allant plus loin, Le Conseil supérieur de l’ALS en déduit que le régime de Bachar el-Asssad pourrait utiliser des missiles de ce type contre des villes de Syrie… Mais selon un militaire libanais, expert en analyses stratégiques, » Assad dit-il n’aurait aucun intérêt à puiser dans les ressources d’un arsenal chimique. Eu égard à la maîtrise aérienne totale et la diversité d’armes puissantes (artilleries, missiles classiques, etc..) qui sont des cartes essentielles dans son « jeu de guerre « , Bachar serait fou de recourir à des armes dont l’utilisation provoquerait des massacres de masse, dont des images parviendraient certainement en Occident via Internet ou des réseaux sociaux. Par delà l’indignation que cela susciterait, le président syrien serait alors confronté à la « red ligne », la ligne rouge fixée par Barack Obama quant à un éventuel recours à des armes chimiques« .

    Le haut-militaire libanais, fin connaisseur de la Syrie,estime qu’une telle affirmation relève plus de l’ordre d’une tentative de pression politique sur l’Occident, et les pays arabes opposés au régime syrien. D’ailleurs dans un communiqué, le conseil supérieur de l’ALS en appelle à la communauté internationale et aux pays « frères » arabes d’agir immédiatement en soutien des insurgés, pour éviter des crimes aux conséquences incalculables dans la région ».

    L’expert libanais précise qu’à l’heure ou lia appris la nouvelle, aucune source d’information indépendante n’a été en mesure de confirmer la « prise de guerre » de missels non conventionnels, ni de dire qu’elle avait eu accès aux photos desdits missile et donc d’avaliser les affirmations de l’ALS. « Dans l’attente de preuves, irréfutables conclut l’officier supérieur, en l’état, c’est avant tout un pas dans la guerre psychologique qui a été franchi. Mais nous saurons bientôt si ‘information est fiable.

    Reste qu’une telle information serait une première dans la guerre civile qui fait rage en Syrie, mais pas forcément de nature à changer la donne. » Que Bachar possède des stocks d’armes chimiques est parfaitement vraisemblable, et quasiment acquis selon divers services de renseignements militaires, qu’il soit prêt à s’en servir, est une toute autre affaire, pour laquelle nous n’avons aucune confirmation » conclut l’analyste militaire libanais

    Frédéric Helbert, à Beyrouth

    Frédéric Helbert - le blog