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Quand l'Allemagne nazie exterminait ses malades mentaux
Claude Quétel explique comment des scientifiques racistes de l'Allemagne nazie ont théorisé des idées conduisant à l'élimination des "vies sans valeurs" et des "esprits morts". Extraits de "Histoire de la folie" (2/2).
Publié le 26 août 2012
Les historiens font commencer le XXe siècle après la Grande Guerre. En matière d’histoire de la psychiatrie, on peut se demander si ce n’est pas plutôt le lendemain de la Seconde Guerre mondiale qu’il faut choisir, lorsqu’on mesure à quel point le sort des malades mentaux pendant la guerre apparaît non comme le commencement d’une ère, mais comme la fin d’une autre. [...]
Quand Hitler arrive au pouvoir, l’eugénisme est admis à des degrés divers partout dans le monde occidental. Ce qui s’est appelé d’abord « l’eugénique » vise à améliorer et protéger la « race » (autre terme parfaitement accepté alors), de façon « positive » en favorisant la reproduction des plus aptes, mais aussi « négative » en « entravant la multiplication des inaptes ». Parmi ceux-ci, les arriérés et les malades mentaux. Les États-Unis donnent l’exemple en procédant à des stérilisations forcées, mais les barrières démocratiques, la jurisprudence, l’opinion publique en limitent beaucoup l’usage. [...]
Alexis Carrel publie en 1935 L’Homme, cet inconnu, vendu à 200 000 exemplaires à la fin de 1939. « Il y a encore le problème non résolu de la foule immense des déficients et des criminels. Le coût des prisons et des asiles d’aliénés, de la protection du public contre les bandits et les fous, est, comme nous le savons, devenu gigantesque. Un effort naïf est fait par les nations civilisées pour la conservation d’êtres inutiles et nuisibles. Les anormaux empêchent le développement des normaux. Pourquoi la société ne disposerait-elle pas des criminels et des aliénés d’une façon plus économique ? […] Un établissement euthanasique, pourvu de gaz appropriés, permettrait d’en disposer de façon humaine et économique. Le même traitement ne serait-il pas applicable aux fous qui ont commis des actes criminels ? »
L’Allemagne nazie, hantée par le spectre de « la mort de la race » (Volkstod), se lance dans une politique biomédicale qui commence par des stérilisations massives, à partir de véritables « tribunaux de santé ». 200 000 déficients mentaux et 150 000 aliénés ou épileptiques hospitalisés y sont promis, mais aussi des malformés physiques, voire des sourds ou des aveugles héréditaires. La nazification de la médecine, conjuguant enthousiasme eugénique et terreur à l’encontre de ceux et celles qui veulent garder leur poste, va permettre d’aller beaucoup plus loin, et de passer à « l’euthanasie », c’est-à-dire au meurtre médical direct. L’idée n’était pas nouvelle, puisqu’elle s’appuyait notamment sur un ouvrage de 1920, Die Freigabe der Vernichtung Lebensunwerten Lebens (« Le droit de supprimer la vie indigne de vivre »). Les deux auteurs étaient d’éminents universitaires, l’un juriste, l’autre psychiatre.
Au congrès du Parti en 1937, Hitler déclare : « La plus grande révolution réalisée en Allemagne a été la mise en œuvre d’initiatives systématiques visant à l’amélioration de la race et de la santé du peuple, jusqu’à la création de l’homme nouveau. » Il n’est cependant jamais parlé explicitement d’extermination des retardés et malades mentaux. Ni l’opinion publique, ni les médecins, ni les Églises ne sont prêts, même si les stérilisations ont été admises. À partir de 1933, toutefois, les crédits des hôpitaux psychiatriques sont radicalement diminués et leur situation devient rapidement critique. Médecins et infirmiers sont incités à ne plus soigner leurs patients. La population assiste à des projections « documentaires » où sont montrés des malades mentaux lourdement atteints. La propagande nazie entend ainsi démontrer l’inutilité de leur vie, tout comme elle leur reproche de vivre dans des « palais », comparés aux modestes logements des ouvriers qui, eux, travaillent. En même temps, les universitaires eugénistes (chaque université a sa chaire) répandent leurs sinistres thèses. Le professeur H. W. Krantz évoque la nécessité d’éliminer un million de « sujets inférieurs ».
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Extrait de "Histoire de la folie, de l'Antiquité à nos jours", les éditions Tallandier.
ATLANTICO
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Jean-Loup Chrétien, premier Français dans l'espace , rend hommage à Neil Amstrong
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Loup_Chr%C3%A9tien
Saluant la mémoire de l'astronaute américain Neil Armstrong, disparu samedi à 82 ans, des suits d'une opération, le spationaute français Jean-Loup Chrétien se dit certain que la conquête de la Lune n'a été qu'une première étape.
«La Lune fait partie de ces jalons indispensables de l'exploration spatiale et on ira certainement plus loin, pas forcément demain, mais c'est inexorable, déclare-t-il au parisien.fr. (...) Dans nos gènes il y a le gène de l'exploration et ce n'est pas pour rien. On l'a tous en nous, il est complètement nécessaire à la survie de l'humanité».
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Il était une fois... la France - Corinne Luchaire (1921-1950)
Chanson de Charles Trenet
Extrait de Wikipédia: "Corinne suivra sa famille à Sigmaringen puis en Italie où elle est arrêtée à Merano avec son père. Elle est transférée avec lui à Fresnes; elle sera libérée quelques jours après l'exécution de Pierre Laval. En 1946, bien que n'ayant eu aucune activité politique, elle est condamnée à dix ans d'indignité nationale.
Avant sa mort prématurée de tuberculose en 1950, elle avait publié un ouvrage biographique (Ma drôle de vie, 1949) qui constitue un document intéressant sur sa situation de fille d'une personnalité influente de la collaboration."
Lire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Corinne_Luchaire -
Pour le professeur Didier Raoult, la France est un "mythe" et le Français de souche "n'existe pas" !
Gare Saint Lazare - Paris
Les créations de mots et de concepts peuvent servir à déguiser des termes dont l'usage est interdit par la loi ou par l'évolution des moeurs. Au cours de la dernière campagne électorale, la question des "Français de souche" a émergé comme une évidence pour ceux qui ont employé l'expression. Habitant à Marseille, la croisée du monde méditerranéen, et ayant eu la chance d'y voir arriver un des meilleurs spécialistes scientifiques mondiaux de l'étude génétique des origines humaines, j'ai naturellement examiné cette question du point de vue du scientifique.
Il est d'abord bien difficile de définir géographiquement ce qu'est la France. En effet, ses frontières n'ont cessé de changer au cours des siècles. Marseille pendant longtemps n'a pas été française, le comté de Nice et la Savoie n'ont rejoint la France qu'il y a peu de temps, et l'Algérie a été un département français de 1830 à 1962. L'Alsace et la Lorraine étaient allemandes pour une partie du XIXe siècle et du XXe siècle. Les habitants de Saint-Louis au Sénégal eurent un statut de citoyens français dès la Révolution française, et cette citoyenneté s'étendait à quatre communes du Sénégal en 1916 ! Qu'en est-il des Français des Comores ? Ceux de Mayotte restés attachés à la France sont français, pas ceux des autres îles devenues indépendantes. Ainsi, la France est une variable géographiquement instable, un mythe.
Le droit du sang génétiquement infondé
Concernant la génétique, les choses sont beaucoup plus complexes. Ainsi comment différencier la part de la population française vivant en Europe qui est issue des vagues d'envahisseurs celtes, germains, romains, huns, arabes (lors des grandes invasions du Moyen Âge,) Normands ou de tous les peuples méditerranéens dans le sud de la France, et la part née des migrations économiques des autres pays d'Europe, d'Afrique et d'Asie ? Il existe seulement quelques îlots ayant conservé une certaine homogénéité génétique, dont les Basques qui ne sont regroupés dans aucune nation unique.
La réalité est qu'il n'y a aucune superposition entre le territoire français et son origine génétique. D'ailleurs, les récentes études génétiques ont montré qu'on trouvait en France un mélange des trois grands groupes d'hominiens archaïques que nous connaissons actuellement : Neandertal, Cro-Magnon et l'homme de Dénisova, originaire de Sibérie, dont les gènes nous ont peut-être été apportés par les Huns. Dans tous les cas le métissage est généralisé.
Ainsi le "droit du sang" n'est pas génétiquement fondé. D'autant que l'on estime que 5 à 10 % des enfants ne sont pas du père officiel, mais d'un inconnu, dont on ne connaît pas les gènes ! La définition retenue en France et aux États-Unis du "droit du sol" dépend du périmètre du pays au moment où l'enfant naît ou de la nationalité des parents.
Je redoute que le terme "Français de souche" ne serve qu'à exclure ceux que l'on ne veut pas comme Français...
Professeur Didier Raoult: http://fr.wikipedia.org/wiki/Didier_Raoult
Le Point - 23/08/12
NdB: Les propos aberrants autant que très discutables de ce biologiste ne sont en fait qu'une insulte de plus contre la Patrie, notre seule Patrie, qui s'appelle (encore) la France.
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Martine Aubry à La Rochelle
Qu'elle est laide, comme tous ceux qui s'acharnent contre la Nation!
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Assad promet de vaincre "à tout prix" le complot étranger contre son pays
Le président syrien Bachar al-Assad a de nouveau assuré ce dimanche que le régime de Damas vaincra "à tout prix" le "complot" étranger contre son pays.
Le président syrien Bachar al-Assad a réaffirmé dimanche que son régime vaincra "à tout prix" le "complot" étranger dirigé contre son pays, a rapporté l'agence officielle Sana.
"Le peuple syrien ne permettra pas au complot de réussir et d'atteindre ses objectifs", et le vaincra "à n'importe quel prix", a indiqué le président, confronté à une révolte depuis plus de 17 mois, en recevant un émissaire iranien à Damas, selon Sana.
"La Syrie continuera dans sa stratégie de résistance"
"Ce qui se passe n'est pas seulement dirigé contre la Syrie mais contre la région toute entière", ajouté le chef de l'Etat syrien. "Parce que la Syrie est une pierre angulaire dans la région, les forces extérieures visent la Syrie en vue de faire réussir leur complot dans toute la région", a-t-il poursuivi. "La Syrie continuera dans sa stratégie de résistance (...) en dépit de la collaboration entre les pays occidentaux et certains Etats de la région pour qu'elle change de position", selon lui.
Depuis le début de la révolte, le régime Assad accuse les rebelles qui combattent ses troupes d'être des "gangs terroristes armés" à la solde de l'étranger, ainsi que des pays comme l'Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie de les financer et de les armer dans le but de semer le chaos dans le pays.
TF1 News - 26/08/12
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Comment détruire la France ?
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Le Secours islamique s’affiche dans le métro
Depuis la mi-août, le Secours islamique, ONG « française » basée à Massy (91), mène une campagne d’affichage dans le métro parisien. On y voit deux enfants sourire et on y lit le slogan suivant : « La souffrance n’a ni origine, ni religion, ni genre. La solidarité non plus ». Une bonne opération de propagande destinée à accompagner un changement de mentalité au sein de la population française afin de faire accepter l’islamisation progressive de notre pays…
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Un 18 trous à Marseille, mais ce n’est pas un golf…
Communiqué de Stéphane Ravier, conseiller du 7e secteur de Marseille, conseiller régional du Front National
Pendant que le ministre de l’Intérieur se faisait applaudir par ses groupies à l’université d’été du PS à La Rochelle ce samedi 25 août, un « jeune » recevait cinq balles dans le corps en pleine après midi dans les quartiers sud de Marseille. Il a succombé à ses blessures quelques instants après être arrivé à l’hôpital.
C’est la 18e victime des règlements de compte dans la région depuis le début de l’année et comme pour les 17 précédentes, le premier magistrat de la ville et premier responsable de la situation est à la fois muet et invisible.
Jean-Claude Gaudin ne se sent effectivement pas concerné par cette escalade de la violence dans la ville qu’il « gère » depuis 17 ans, une violence qui frappe depuis longtemps déjà les quartiers nord comme les quartiers sud. Aujourd’hui comme hier, Gaudin ne dit rien et surtout, il ne fait rien !
Enfermé dans son minaret d’ivoire, il n’a qu’une obsession, qu’une ambition, son joujou « Marseille 2013 capitale européenne de la culture » ! Il ne voit pas que Marseille est d’ores et déjà la capitale du crime et de la drogue. Et le raout de quelques cultureux ne suffira pas à masquer la réalité de la violence quotidienne que subissent les Marseillaises et les Marseillais.
Le peuple historique de Marseille aura l’occasion de le faire savoir en 2014 lors des élections municipales, en apportant son soutien au candidat Front National, le seul qui aura dénoncé sans relâche l’inacceptable et qui appliquera au niveau municipal la politique de tolérance et d’immigration zéro !
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Léonard de Vinci (1452-1519)
La Dame à l'hermine
Marie-Madeleine
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Amiens, Mulhouse, Grigny : la chasse criminelle aux flics est ouverte
Tout le monde a en mémoire la guérilla d’Amiens, où des policiers ont essuyé des tirs à balles réelles et dont 16 ont été blessés.
Désormais j’utilise le terme « guérilla » et non « émeute », puisqu’une « émeute », étymologiquement, est une « émotion » ressentie par une population contre un pouvoir tyrannique, ce qui n’est pas le cas en France.
Après Amiens, c’est à Mulhouse et sa région qu’on veut tuer du policier. Les « tensions » (euphémisme de journaliste) sont nombreuses depuis des semaines dans cette région, mais on a franchi un cap selon un article des Dernières nouvelles d’Alsace :
« À l’arrivée des renforts, un fourgon de l’UOP (Unité d’ordre publique) du commissariat a été la cible de jets de cocktails Molotov, cinq en tout. Mais un seul a atteint sa cible, embrasant le côté droit du véhicule. L’essence s’est même infiltrée dans le véhicule dont l’habitacle a commencé à brûler. Heureusement, les policiers ont pu sortir à temps du véhicule et utiliser les extincteurs. Personne n’a été blessé, souligne-t-on à la direction du commissariat, « mais la situation devient de plus en plus dangereuse et critique ». »
Incendier un véhicule de police dans lequel se trouvent des policiers, n’est-ce pas une tentative d’assassinat comme à Amiens ?
Et dernière nouvelle : deux policiers ont été blessés par balle à Grigny.
« Deux policiers ont été blessés à coups de fusil de chasse lors d’échauffourées au sein du quartier de la Grande Borne à Grigny (Essonne) dans la nuit de vendredi à samedi, sans que leurs jours ne soient en danger, a-t-on appris de source policière. »
On a donc franchi un cap important dans la « guérilla » : désormais on veut tuer des policiers à la moindre occasion d’interventions banales. Ça s’appelle de la tentative d’assassinat : on veut les éliminer physiquement de certains quartiers, en tentant de les tuer. C’est la fin de l’Etat de droit et on attend la réaction et surtout l’action du ministère de l’Intérieur et du Président de la République sur ces événements gravissimes.
Roger Heurtebise
P.-S. : la réaction du ministre de l’Intérieur : http://www.youtube.com/watch?v=GhHz5c7Kr_g. « Je suis avec eux (…) pour rétablir l’ordre républicain ». On attend des actes concrets et non des paroles, Monsieur Valls !
RIPOSTE LAÏQUE
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Trente tombes chrétiennes vandalisées en Alsace
Voici ce qu’on peut lire sur le site de France 3 Alsace :
Le cimetière d’Illkirch-Graffenstaden a été visité la nuit dernière [22 au 23 août] par des individus qui ont vandalisé des tombes. Une trentaine de tombes a fait l’objet d’actes de vandalisme la nuit dernière. Des stèles très lourdes, parfois doubles, ont été renversées et brisées. Pas de caractère raciste ou antisémite selon les policiers dépêchés sur les lieux. Cette initiative déplorable est une première dans ce cimetière. À Illkirch on ne se souvient pas de tels agissements depuis plus de 40 ans, Les policiers du commissariat central d’Illkirch-Graffenstaden ont relevé les indices sur les lieux et entendu des témoins.
Vous avez bien lu : « Pas de caractère raciste ou antisémite selon les policiers ». On sent comme un soupir de soulagement chez le rédacteur de ce papier que l’idée même du « caractère » christianophobe de ce vandalisme n’effleure pas. Ce ne sont, après tout que des tombes chrétiennes d’un cimetière chrétien. Aucun intérêt pour une chaîne de télévision d’État. Vous savez désormais à quoi sert votre redevance…
D.H.
Source : France 3 Alsace
Observatoire de la christianophobie
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Neil Amstrong a rejoint les étoiles
WASHINGTON (Reuters) - L'ancien astronaute américain Neil Armstrong, le premier homme à avoir marché sur la Lune en 1969, est mort à l'âge de 82 ans de complications liées à une opération cardiovasculaire, a annoncé samedi sa famille.
Armstrong, qui vivait avec sa femme Carol près de Cincinnati (Ohio), avait subi une opération au coeur début août deux jours après avoir fêté ses 82 ans.
Fasciné par les avions dès son plus jeune âge, Neil Alden Armstrong, né le 5 août 1930 dans l'Ohio, était devenu pilote d'essai en 1955 avant de rejoindre le programme de la Nasa en 1962.
En tant que commandant de la mission Apollo 11, il était devenu le premier homme à fouler le sol lunaire, le 20 juillet 1969. "C'est un petit pas pour un homme mais un pas de géant pour l'humanité", déclarait-il alors.
Peu après cette mission, Armstrong mettait fin à sa carrière d'astronaute et est nommé en 1970 administrateur adjoint pour l'aéronautique au siège de l'agence spatiale américaine (Nasa).
Il quittait la Nasa l'année suivante pour enseigner la technologie aérospatiale à l'université de Cincinnati.
Hissé au rang de véritable héros, Armstrong n'avait jamais réellement compris l'engouement suscité autour de sa personne, qui avait notamment conduit son coiffeur à vendre ses cheveux à un collectionneur pour 3.000 dollars.
"J'imagine que nous aimons tous être reconnus non pas pour un seul coup d'éclat mais pour l'ensemble de notre travail quotidien", déclarait-il en 2005 dans l'émission "60 minutes" diffusée sur CBS.
Prié de dire ce qu'il ressentait à l'idée que ses traces de pas resteraient imprimées sur la surface de la lune pendant plusieurs milliers d'années, il avait répondu : "J'ai l'espoir que quelqu'un ira sur place un de ces jours et les effacera."
Sandra Maler, Marine Pennetier pour le service français
Yahoo!Actu - 25/08/12
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Dans la tête d'un kamikaze japonais
25/08/2012 – 09h00
HIROSHIMA (NOVOpress) – Au Pakistan, en Afghanistan ou en Irak, des fanatiques religieux, bourrés d’explosifs, se font sauter au nom de l’islam aujourd’hui. Il y a près de 70 ans, d’autres hommes menaient des opérations suicides. Mais cette fois, à des fins patriotiques : les kamikazes japonais. Cinq mille avions contenant un ou parfois deux hommes allaient être lancés dans ces vols suicide contre les forces américaines durant la Seconde Guerre mondiale. Du jamais vu dans l’histoire. Pour comprendre ce phénomène, les Editions Jourdan éditent le témoignage de Yasuro Kuwahara, J’étais un kamikaze. A 15 ans, il entre dans l’Armée de l’Air japonaise. En août 1945, ce jeune homme devait participer à un raid sans retour, mais le bombardement atomique d’Hiroshima l’en empêcha.Son récit permet de mieux comprendre l’état d’esprit de ces hommes, hérité de la tradition « bushido », le code de chevalerie du Samouraï. « Un homme digne de ce nom devait parler de la mort en ces termes : je vais mourir pour mon pays. Je me sens rempli d’humilité à la pensée d’avoir été choisi par notre Empereur », rappelle l’auteur. Il ajoute plus loin : « Toute notre philosophie était basée sur une acceptation virile du destin ». Dans son ouvrage, Prisonniers nazis en Amérique, Daniel Costelle rappelle ces chiffres qui en disent long sur la détermination de l’Empire du soleil levant : en septembre 1943, les camps américains comptaient 163.000 prisonniers : 115 358 Allemands, 48.253 Italiens et… 95 Japonais.
Les raids américains de plus en plus meurtriers sur le territoire nippon décuplèrent l’esprit de sacrifice japonais. « L’ennemi pouvait envoyer un million d’avions. Nous serions toujours là, une poignée, prêts à combattre jusqu’au bout, décidés à en détruire le plus possible », se souvient Yasuro Kuwahara. Le bombardement d’Hiroshima le 6 août 1945 (129.558 hommes, femmes et enfants assassinés par la première bombe nucléaire américaine), ne change pas ses sentiments : « Je haïssais l’adversaire avec fureur. Si un avion américain était apparu, j’aurais tout fait pour l’abattre. Ma propre vie n’avait aucune importance pour moi à ce moment ».
Lucide sur cette cause désespérée, l’ancien militaire laisse le mot de la fin à l’un de ses officiers. Il prendra congé de ses hommes avec ces paroles : « Nous avons perdu une guerre sur le plan matériel, mais sur le plan spirituel, nous ne sommes pas vaincus. Ne perdons jamais notre sens de la fraternité et restons toujours fidèles à l’esprit de notre Japon ». C’est cette volonté identitaire qui fit de nouveau du Japon une grande puissance moins de 20 ans après Hiroshima.
Crédit photo : DR
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
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Italie : après les mosquées, les musulmans réclament une université islamique
25/08/2012 — 16h15
ROME (NOVOpress) — Toujours plus. C’est la substance du prêche de Hamza Piccardo (ci-dessus) pour la fin du ramadan à Imperia (Ligurie), tout près de la frontière française. Hamza (ex-Roberto), converti à l’Islam, est fondateur et porte-parole de l’UCOII (Union des communautés et organisations islamiques en Italie), la plus importante organisation musulmane de la péninsule, qui regroupe 122 associations et gère 80 mosquées ainsi que 300 lieux de culte non-officiels : l’idéologie est celle des Frères Musulmans. Piccardo est ancien porte-parole de l’European Muslim Network présidé par Tariq Ramadan.Dans son prêche, devant 300 musulmans, en majorité nord-africains – les Turcs ont fait bande à part –, rassemblés sur la plage, Hamza Piccardo a déclaré que « les lieux de culte actuels étaient désormais inadaptés aux exigences de notre communauté », qui, à Imperia, est « en croissance continue ». La construction de mosquées, s’est-il plaint, est entravée « par une opinion publique qui est intoxiquée depuis trop longtemps par le virus de l’islamophobie, une maladie truffée de mensonges, qui a prospéré sur la peur et que nous avons peine à combattre ». Mais « aujourd’hui, grâce à l’intervention économique de certaines fondations du Golfe [au Qatar, précise le journal local], il est possible d’acquérir des terrains ». Hamza/Roberto a donc appelé ses sectateurs à « s’activer à la recherche d’un endroit approprié ».
Hamza a conclu « en lançant une idée qui pourrait intéresser Imperia, la création d’une Université islamique: “en Italie vivent un milion et demi de musulmans qui n’ont pas même à leur disposition une université islamique, même pas une école supérieure qui prépare nos imams et les dirigeants de nos communautés : c’est un vide qui doit être comblé” ».
Hamza Piccardo est l’auteur d’une traduction commentée du Coran en italien, parue en 1994, et qui avait été vivement critiquée, en particulier par Magdi Allam, toujours musulman à cette date (il croyait encore à la distinction entre l’islam et l’islamisme). En 2005, dans le Corriere della Sera, Allam avait rangé Piccardo parmi « les mauvais maîtres du Coran, qui enseignent à haïr les Juifs et les chrétiens ». Dès la Fatiha, la sourate d’ouverture (« Guide-nous dans le droit chemin, Le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés »), Hamza Piccardo explique ainsi que « ceux qui ont encouru Ta colère » sont les juifs, et les « égarés » les chrétiens, qui « en acceptant le dogme trinitaire se sont éloignés de la pureté monothéiste ». Tout le reste du commentaire est à l’avenant.
Une nouvelle édition a atténué les notes antijuives : « Les reproches de Mahomet, dit désormais Piccardo, ne concernent pas tous les fils d’Israël mais seulement certains groupes de juifs ». Le commentaire continue néanmoins à expliquer que « dans leur pratique commerciale, les juifs considéraient, et considèrent encore, la tromperie et l’escroquerie comme parfaitement légitimes ».
Envoyée en Arabie Saoudite pour révision par les oulémas, la traduction du Coran par Piccardo est actuellement en cours d’impression à l’imprimerie royale de Médine, pour devenir la version italienne officielle. « Par rapport au texte qui a déjà été vendu à plusieurs milliers d’exemplaires en Italie, avait expliqué Piccardo à l’agence Adnkronos, le texte saoudien aura beaucoup moins de notes et sera accompagné de l’original en arabe. Il y a eu des corrections et des révisions auxquelles j’ai travaillé moi-même en faisant de longs séjours à Médine ». L’édition sera envoyée en septembre à toutes les mosquées – construites et en construction – d’Italie.
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Barbarie de l’ASL : l’omerta n’est plus tenable pour certains journaux
24 août 2012Lu sur Infosyrie : Les spectres des suppliciés d’al-Bab, jetés du haut d’un toit par la racaille islamo-qataro-atlantiste, hantent les salles de rédaction françaises, et empêchent les journalistes de digérer tranquillement leur bouillie gaucharde et pro-OTAN. Peut-on dire que ce homme n’ont pas souffert, ne sont pas morts pour rien ?Est-ce devenu un exercice obligé pour des médias français un peu inquiets quant à leur crédibilité résiduelle ? Il semble que depuis une ou deux semaines l’omerta sur les crimes et actes de barbarie commis par la rébellion syrienne ait été levée. Sans doute l’ »effet Berri », du nom de cette famille sunnite d’Alep dont plusieurs membres ont été roués de coups avant d’être exécutés par un groupe islamo-ASL. Ou des vidéos pour une fois assez largement diffusées d’égorgement et de défenestration.Quand l’ASL invente le kamikaze involontaireToujours est-il que le site du Nouvel Observateur relaie un reportage de la BBC, diffusé le 22 août, qui montre comment des insurgés syriens ont essayé de se servir d’un prisonnier pour commettre un attentat suicide. C’est un reporter du New York Times qui a filmé la scène, « édifiante » quant à l’humanisme des guerriers de la liberté syrienne.Les faits : une groupe ASL dispose une bombe à l’arrière d’une voiture. Laquelle doit foncer sur un barrage de l’armé. Qui mais qui va conduire ? Eh bien un de leurs prisonniers, présenté comme un partisan de Bachar, détenu dans une belle villa à piscine dont on voit profiter nos « syriens » (hum) libres. Sortis de leurs ablutions non rituelles, les ASL s’emparent de cet homme, lui bandent les yeux, l’installent dans le véhicule et lui explique qu’il devra ensuite conduire le camion jusqu’à un check-point » selon le commentaire de la BBC. « Ce qu’il ne sait pas, souligne le journaliste, c’est qu’à l’arrière du véhicule, sont installés 300kg d’explosifs qui doivent être actionnés à distance ». Par chance, ou par la grâce de Dieu, cette fois-là, le mécanisme ne fonctionnera pas…Il n’en demeure pas moins que le prisonnier a tout simplement été utilisé comme kamikaze, à l’encontre de toutes les règles internationales concernant le traitement des prisonniers. Et le Nouvel Obs de conclure, avec un étonnement douloureux, professionnellement accablant s’il est sincère, qu’ »il semblerait que certains rebelles aient décidé de faire dans le crime de guerre ». Il semblerait…Et ci-dessous, le lien vers le reportage de la BBC :Arte découvre les tortionnaires ASLContre-info.com -
25 août 1270: mort de Saint Louis
Saint Louis en route vers l'Egypte
Le roi de France Louis IX était âgé de 56 ans.
C’était au cours de la 8e croisade (sa seconde). Il espérait convertir le sultan de Tunis au christianisme et le dresser contre le sultan d’Égypte. Les Croisés s’emparèrent facilement de Carthage mais l’armée fut victime d’une épidémie. Louis IX mourut le 25 août sous les remparts de Tunis, de dysenterie vraisemblablement (de peste selon certains). Son corps fut étendu sur un lit de cendres en signe d’humilité, et les bras en croix à l’image du Christ.
Considéré comme un saint de son vivant, Louis IX fit l’objet d’une vénération dès sa mort. Des miracles étaient réputés avoir lieu sur le passage de sa dépouille et un service d’ordre dut être mis en place près de son tombeau pour canaliser la foule de ceux qui venaient implorer son intercession.
Le XIIIe siècle reste dans l’histoire comme le « siècle d’or de Saint Louis ».
La France, centre des arts et de la vie intellectuelle, y atteint son apogée aussi bien économiquement que politiquement, mais aussi quant au degré de perfection de sa civilisation, dont nous sommes à présent loin…
Saint Louis commandait la plus grande armée et dirigeait le plus grand royaume d’Europe. Sa réputation de sainteté et de justice était déjà bien établie de son vivant et on le choisissait régulièrement comme arbitre pour régler les querelles entre grands d’Europe. Le roi était considéré comme le primus inter pares (le premier parmi ses pairs).Saint Louis est le modèle du prince chrétien.
Quelques livres à son propos ici.
Contre-info.com
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La cérémonie de clôture des J.O. symbolisait-elle un rituel satanique de l’OTO ?
25 août 2012C’est ce qu’affirme l’article ci-dessous, extrait de ce site, avec quelques images en effet « étonnantes ».
« Les JO sont terminés et il a fallu prendre un peu de temps pour comprendre tout ce qu’ils ont voulu signifier pour l’humanité toute entière. Les JO à Londres ne pouvaient être anodins en ces temps troublés inspirant la fin des temps. Londres dont l’on sait qu’elle est une très importante capitale occulte dans l’organigramme mondial Illuministe et qui a voulu dignement jouer son rôle de nouvelle Jérusalem. Il fallait donc que les cérémonies d’ouverture et de clôture aient un impact émotionnel fort sur l’humanité pour l’infiltrer de l’intérieur et faire passer son message satanique.
Lire la suiteContre-info.com
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François Hollande prive John Galliano de sa Légion d'honneur...
Directeur artistique de la maison Dior pendant près de douze ans, le créateur britannique John Galliano, 51 ans, est désormais persona non grata en France. En février 2011, après la plainte d'une cliente d'un bar parisien faisant état d' insultes antisémites de la part du couturier, John Galliano, qui a longtemps démenti les faits et porté plainte pour diffamation , a été suspendu de ses fonctions chez Dior. La maison de couture française n'avait attendu que quelques jours pour officialiser son licenciement , malgré ses excuses . L'affaire avait alors été portée devant le tribunal correctionel de Paris qui avait condamné John Galliano à 6.000 euros d'amende avec sursis pour injures raciales.
Alors qu'il avait été nommé chevalier de la Légion d'Honneur en 2009, John Galliano vient d'être à nouveau puni par les autorités françaises. Le créateur britannique ne pourra en effet plus porter son insigne qui lui a été retirée par François Hollande dans un décret daté du 20 août et publié au Journal Officiel mercredi. Une sanction certes symbolique mais qui ne devrait pas arranger son image et sa réputation dans l'Hexagone.
Retrouvez cet article sur PuremediasYahoo!Actu
25/08/12