Je m'aperçois que mes commentaires postés hier en réponse aux vôtres (08.12.12) n'ont été pas enregistrés ni envoyés sur la messagerie: il y a dû y avoir un dysfonctionnement, que je viens de signaler à Hautetfort.
J'en suis désolée.
Gaëlle Mann
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Gaëlle Mann
La ministre de la Justice a annoncé qu'un texte de loi allait supprimer la rétention de sûreté.
C’était une des promesses de campagne du candidat François Hollande : supprimer les peines plancher, les tribunaux correctionnels pour mineurs, ainsi que la loi sur la rétention de sûreté. Christiane Taubira s’y attelle.
>> L’info. À l'occasion de la journée Prison-Justice du Genepi (Groupement étudiant national d'enseignement aux personnes incarcérées), Christiane Taubira a annoncé samedi, à Palaiseau (Essonne), qu'un texte de loi était en préparation pour supprimer la rétention de sûreté. "Je le confirme, elle sera supprimée, comme les tribunaux correctionnels pour mineurs seront supprimés, comme les peines plancher seront supprimées", a déclaré la garde des Sceaux.
>> Qu’est-ce que la rétention de sûreté ? Cette mesure été votée en 2008 par la droite, mais n’a quasiment jamais été appliquée. Elle prévoit notamment de maintenir enfermés des criminels condamnés à au moins 15 ans (pour viols aggravés notamment) s'ils sont jugés dangereux une fois leur peine purgée. Elle est également applicable à des personnes qui violeraient les obligations de leur "surveillance de sûreté".
>> Le tacle de Fillon. Après l'annonce de la garde des Sceaux, l’ancien Premier ministre a fustigé les "signaux de laxisme" envoyés. "Madame Taubira persiste aujourd'hui à affaiblir l'efficacité de la répression en revenant de manière systématique sur des dispositions essentielles telles que la rétention de sûreté ou les peines plancher", a écrit le député de Paris dans un communiqué. "Alors que notre société est de plus en plus violente et qu'elle a besoin d'autorité, la politique pénale du gouvernement est à l'opposé des impératifs de sécurité et de protection de nos concitoyens", a-t-il conclu.
Europe1
L'Allemagne s'apprête à lancer une procédure d'interdiction du parti néonazi NPD. Les patrons des Länder allemands ont décidé jeudi 6 décembre 2012 à l'unanimité de suivre l'avis des ministres régionaux de l'Intérieur et d'engager une procédure devant la Cour constitutionnelle de Karlsruhe. Cependant, l'échec d'une précédente tentative et la peur de donner au parti des crânes rasés un coup de projecteur avant les législatives continuent d'attiser les réticences, notamment au sein du gouvernement fédéral.
Après la décision des ministres-présidents, le Bundesrat (la Chambre haute du Parlement, où siègent les représentants des États régionaux) pourrait lancer la procédure dès le 14 décembre. «Nous pouvons établir avec des preuves très complètes et accessibles au public que le NPD est un parti hostile à la loi fondamentale», affirme le ministre de l'Intérieur du Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, Lorenz Caffier (CDU). «Les chances de pouvoir faire interdire ce parti sont très claires, ajoute son collègue de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Ralf Jäger (SPD). Le moment est arrivé pour la démocratie et les organes de protection de la Constitution de se prononcer.»
Crif - 08/12/12
Damas, 8 décembre - RIA Novosti
La Syrie a envoyé samedi des lettres au Conseil de sécurité de l'ONU et au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon garantissant qu'elle ne ferait pas recours aux armes chimiques, a annoncé l'agence syrienne SANA.
"La Syrie ne ferait en aucun cas usage des armes chimiques, même si elle en disposait, pour défendre son peuple contre les terroristes qui bénéficient d'un soutien de plusieurs pays dirigés par les Etats-Unis", est-il indiqué dans les lettres citées par l'agence.
Par ailleurs, la Syrie a mis en garde contre les déclarations sur la prétendue intention des autorités syriennes d'utiliser des armes chimiques. Ces affirmations pourraient pousser les rebelles à faire usage de telles armes, selon Damas.
Le chef du Pentagone Leon Panetta a récemment déclaré que les Etats-Unis avaient reçu des informations selon lesquelles les autorités syriennes pourraient faire usage des armes chimiques. Le représentant permanent de la Russie auprès de l'OTAN Alexandre Grouchko a pour sa part indiqué que la Russie ne disposait pas de données attestant que les dirigeants syriens s'apprêtaient à utiliser les armes chimiques contre l'opposition.
Alain Soral / E&R : octobre 2012, partie 2 par ERTV
Partie 2 :
Les antifas, Rouillan, tout ça… – Le « mariage pour tous » – Vers une destruction de notre civilisation – Mariage pour tous, pour toutes et pour n’importe quoi – L’adoption homoparentale : qui la veut ? Pourquoi ? – Disparition de Stan Maillaud – La pédocriminalité d’élite.
Ni hagiographie, ni pamphlet, Le Pen, une histoire française a déclenché une belle polémique. Ses auteurs, Pierre Péan et Philippe Cohen, s’écartent de la doxa officielle. Pour eux, la diabolisation du Front national est moins due aux « dérapages » de son président qu’aux manœuvres machiavéliques de François Mitterrand créant SOS Racisme en même temps qu’il rétablissait la proportionnelle et se prêtait avec Pierre Joxe à la manipulation de Carpentras. Le Pen, une histoire française est un livre où les auteurs ne prennent pas vraiment parti mais accumulent des faits, des témoignages étayés, parfois des ragots, et exposent, sur chaque sujet, les différentes thèses en présence. Il leur arrive d’être sévères avec le président honoraire du Front national, notamment dans la description de ses rapports avec son parti et surtout avec l’argent, sans parler de leur hypothèse sensationnaliste sur une éventuelle expérience homosexuelle, bien dans l’air du temps il est vrai, qui a conduit Jean-Marie Le Pen à annoncer des poursuites en diffamation. Observatrice affutée de la scène nationale, Camille Galic présente pour nos lecteurs le livre de Péan et Cohen.
Polémia
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Après celle qui suivit l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle 2002, la France a connu une nouvelle « quinzaine de la haine », celle qui, dès la mi-novembre, s’est déchaînée dans la presse française contre les auteurs de Le Pen, une histoire française. Mais cette cabale ne repose-t-elle pas sur un malentendu ? En dépit – ou en raison – de son objectivité affichée, ce livre ambigu, en rupture avec les thèses établies depuis des décennies, est aussi, en effet, un SCUD contre le président honoraire du Front national.
Matraquage contre Cohen-Péan
C’est Nicolas Poincaré qui attaqua le premier sur Europe 1 : comment Philippe Cohen et Pierre Péan ont-ils pu aborder « sans haine » (sic) le président honoraire du Front national ? Sur la même antenne, propriété d’Arnaud Lagardère et désormais aussi de l’émir du Katar Alexandre Kara, nouveau chef du service politique d’Europe 1, et Benjamin Bonneau renchérissent : « Le Pen doit attendre ce livre avec le sourire, [car] les deux journalistes d’investigation se livrent en effet à une véritable entreprise de dédiabolisation, voire de banalisation, de l’homme qui a réinventé l’extrême droite française. »
Pensez donc (c’est toujours Alexandre Kara et Benjamin Bonneau qui parlent) : « Concernant la guerre d’Algérie, un pan obscur de la carrière de Jean-Marie Le Pen, les auteurs en arrivent en effet à cette conclusion : “Si Le Pen a sans doute brutalisé des Algériens, il n’a pas pratiqué la torture institutionnelle telle qu’elle a été employée pendant le conflit”… » et les auteurs osent le définir « non comme un Mussolini français mais plutôt comme le fils de Céline et de Séguéla ».
L’offensive continue sur France Inter où, malgré sa répugnance à parler de « mauvais livres » (mais il faut en parler « justement par respect pour les bons »), Patrick Cohen éructe dans sa tranche matutinale contre son homonyme Philippe et contre Pierre Péan, qui « banalisent » Le Pen et, traitant de l’affaire du « détail » (1987), omettent d’y voir la preuve irréfutable que Le Pen, « ce jour-là patraque », est un antisémite invétéré.
Si l’on ajoute à ces charges celles, tout aussi virulentes, de Maurice Szafran, directeur de Marianne (dont, pourtant, Philippe Cohen est toujours rédacteur après en avoir été l’un des cofondateurs), et de Serge Ulisky qui, sur le site Mediapart dirigé par Edwy Plenel, s’indigne de voir « un Le Pen réhabilité, sorti du purgatoire par la grande porte… celle qui mène au paradis, à la droite du Père », il faut bien admettre que l’on a assisté à une fameuse démonstration de « Cohen-Péan bashing ».
Boulevard à ragots
La chose est d’autant plus surprenante que le livre, d’ailleurs souvent fondé sur des sources anonymes et entaché d’erreurs (François Brigneau y est confondu sur une photo avec Hubert Massol, Jean Mabire assimilé page 156 à Bernard Antony comme chef des catho-tradis, etc. sans parler des confusions de prénoms), est sans doute le réquisitoire le plus dommageable – du point de vue, essentiel, celui du militant de base – jamais écrit sur l’homme Le Pen. Péan et Cohen le présentent comme un opportuniste politique, taxé d’homosexualité avec le feu député-maire de Pau André Labarrère, accusé d’avoir été un mauvais père et un président de parti peu scrupuleux. A l’évidence, ces auteurs ne ressentent visiblement aucune empathie pour lui, au contraire de leurs confrères de Libération Gilles Bresson et Christian Lionet, auteurs de la première biographie (1) consacrée au président du Front national car ces gauchistes ne pouvaient en effet se défendre d’une certaine fascination pour le turbulent et inclassable Le Pen. L’intéressé ne s’y est d’ailleurs pas trompé qui, qualifiant le livre de Cohen et Péan de « boulevard à ragots », s’estimait « calomnié » et annonçait le 29 novembre son intention de porter plainte.
Malentendu
Comment expliquer ce malentendu ? Sans doute, parmi les plumitifs qui ont dénigré Le Pen, une histoire française dès sa parution, bien peu en avaient lu chacune des 540 pages. Mais la principale raison de leur vindicte est celle avancée par Patrick Cohen sur France Inter : « Ce qu'il y a de plus insupportable dans [c]e Le Pen, c'est la façon dont les auteurs font la leçon à tous ceux qui les ont précédés », y compris lui-même, qui avait commis au printemps 2003 un livre à charge (2).
En effet, si Péan et Cohen ne ménagent pas le Le Pen intime, caractérisé selon eux par « un narcissisme exacerbé et un égocentrisme de tous les instants » ainsi que par « une propension à tout détruire » et « une relation trouble à l’argent », ils font litière des accusations justifiant la « légende noire » entretenue à plaisir depuis près de trente ans par des journalistes aussi suivistes que négligents dans la recherche des preuves. Ils jugent ainsi, on l’a vu, invraisemblable que le jeune député engagé au 1er REP ait torturé en Algérie (qui imagine d’ailleurs l’armée confiant une pareille tâche à un civil, de surcroît député, fût-il provisoirement enrôlé dans la Légion ?). Ils reconnaissent aussi que les témoins FLN convoqués aux différents procès intentés par Le Pen à Michel Rocard et au Monde notamment (diffamateurs relaxés en raison de leur « bonne foi ») étaient de faux témoins et que la très tardive exhibition d’un « poignard SS » avec lequel le jeune député aurait soumis ses supposées victimes à la question relève du montage. De même, s’ils soulignent sa fidélité aux « vaincus de l’histoire », ils n’y voient pas la preuve d’un antisémitisme viscéral et primaire (qui, ainsi que son racisme tant de fois incriminé, « relève de la provocation plus que de l’intime conviction »). Enfin, ils exonèrent aussi celui qui était alors le président du Front national de toute responsabilité dans la profanation de Carpentras ainsi que dans la rixe qui se produisit en 1995 en marge d’un défilé du FN et à l’issue de laquelle le Marocain Bouarram, jeté, ou tombé, dans la Seine, s’y noya. En revanche, ils sont très sévères pour la gauche en général et François Mitterrand en particulier qui, tout en instituant la proportionnelle qui devait mécaniquement amener le Front national à la Chambre, instrumentalisait simultanément SOS Racisme pour sataniser Le Pen et interdire ainsi toute entente entre les « fascistes » et la « droite républicaine » dont François Léotard, l’une des têtes d’affiche, était l’un des parrains de SOS Racisme. Cette stratégie, ou plutôt cette tactique réussit parfaitement puisque ses effets perdurent aujourd’hui encore.
Le boomerang de la diabolisation
En somme, Péan et Cohen prennent sur les plans historique et politique l’exact contrepied des confrères qui ont si longtemps, et qui pour la plupart persévèrent, à colporter des contre-vérités, avec pour seul résultat de « congeler » autour de Jean-Marie Le Pen ceux de ses compatriotes qui refusent la bien-pensance, et donc de « faire de lui une sorte d’épicentre de la vie politique récente ».
Ce cruel constat de son aveuglement sectaire et de son propre échec, c’est bien ce que notre moutonnière mais arrogante gent journalistique reproche le plus aux auteurs de Le Pen, une histoire française, même si leur livre est un mauvais coup porté au Front national et plus largement au mouvement national.
Camille Galic
3/12/2012
Philippe Cohen et Pierre Péan : Le Pen, une histoire française, éd. Robert Laffont 2012, 540 pages.
Notes :
(1) Patrick Cohen avec Jean-Marc Salmon, 21 avril 2002 : Contre-enquête sur le choc Le Pen, Denoël 2003, 356 p.
(2) Gilles Bresson et Christian Lionet, Le Pen, biographie, Ed. du Seuil 1994.
Correspondance Polémia – 7/12/2012
Journal de Syrie 08.12.2012 par MyriamBloch
* Yurt: Des éléments d'al-Qaïda fabriquent des gaz toxiques à Gaziantep et menacent de les utiliser contre le peuple syrien video (http://youtu.be/VBSMgHvW8Ac)
* Dans une nouvelle démonstration sur son soutien aux terroristes en Syrie, le Qatar envoie des Pakistanais pour joindre les gangs terroristes
* Le Figaro: Les terroristes d'Al Qaeda visent à établir un Emirat islamique en Syrie
* Attentat terroriste près de la mosquée de Qoba' dans le quartier d'al-Incha'at à Homs, faisant nombre de victimes
* Armes et munitions saisies et des terroristes d'al-Nosra liquidés dans plusieurs régions syriennes
Enregistré de officielle syrienne Tv Channel, par https://www.syrianfreepress.net , https://www.facebook.com/Tg24Siria
Source :
http://www.youtube.com/watch?v=HpPkCY3YA0o&feature=g-subs-u
Regardez la vidéo jusqu'à la fin
08/12/2012 – 10h00
PARIS (NOVOpress/Site de Lionel Baland) – Le président du FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs, Parti autrichien de la liberté), Heinz-Christian Strache a visité ce vendredi 7 décembre 2012, avec une délégation de son parti, l’Assemblée nationale à Paris.
Le FPÖ, qui a été dirigé dans le passé par le défunt Jörg Haider, est arrivé en deuxième position lors des dernières élections présidentielles autrichiennes en 2010 et a été aussi la deuxième force politique lors des dernières municipales à Vienne, également en 2010.
Sur la photo ci-dessus : le Député européen FPÖ Franz Obermayer, le président du FPÖ Heinz-Christian Strache, le Député Front national Marion Maréchal-Le Pen, le chef de file des élus FPÖ au sein du Parlement du Land de Vienne Johann Gudenus.
Crédit photo : DR.
[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
«Nous n'attendrons plus». Alors que le droit de vote aux étrangers a du plomb dans l'aile, 150 personnalités, chanteurs, acteurs, intellectuels, interpellent le président François Hollande, qui avait fait de ce droit une promesse de campagne.
Yannick Noah, Jeanne Moreau, Bernard-Henri Lévy, Emmanuelle Béart ou encore Renaud ont signé cette pétition lancée par SOS-Racisme et rendue publique samedi sur le site du Huffington Post. Ils y réclament que «tous les citoyens» puissent «voter aux élections locales de 2014» au nom du principe d'égalité.
«Notre idéal républicain, fondé sur l'égalité de tous les citoyens de la République, quelle que soit leur nationalité, ne souffre d'aucun compromis», insistent les signataires. Selon eux, la reconnaissance «de ce droit constituera un signal fort d'intégration», et devrait permettre de faire reculer «le racisme et la xénophobie qui tirent leur force de cette infériorité de statut maintenant les résidents étrangers en marge de la démocratie».
La France, soulignent-ils encore, «est à la traîne puisqu'elle fait partie des 10 pays qui n'accordent aucun droit politique aux nationaux des Etats - tiers, sur les 27 Etats-membres que compte l'Union Européenne».
Les élus de gauche mobilisés
Face au débat suscité dans l'opinion et tandis que l'opposition appelle le gouvernement à renoncer au projet, des élus de gauche se mobilisent. Une pétition nationale, lancée fin octobre par le député PS Jean-Christophe Cambadélis, presse le président de la République de concrétiser la proposition n°50 de son programme de campagne. Avant cette pétition, 75 députés socialistes avaient déjà lancé en septembre un appel solennel François Hollande dans une tribune du «Monde» intitulée «Le droit de vote des étrangers aux élections, c'est maintenant».
Car depuis l'élection présidentielle, la promesse a viré au casse-tête pour l'exécutif. Beaucoup, dans l'entourage du chef de l'Etat, estiment en effet que la mission est impossible car la loi nécessite une retouche dans le marbre constitutionnel, et donc un vote des trois cinquième du Parlement. Ce qui signifie le soutien d'une trentaine de députés de droite, alors même que le centriste Jean-Louis Borloo, partisan de la mesure, vient de faire volte-face.
Mi septembre, François Hollande avait expliqué qu'un projet de loi serait présenté en 2013, pour les élections municipales de 2014. Un calendrier sur lequel Najat Vallaud Belkacem a émis des doutes. «Aujourd'hui il est prématuré de parler d'un calendrier, y compris pour répondre sur la question de 2014», faisait savoir la porte-parole du gouvernement un mois plus tard.
LeParisien.fr - 08/12/12
Quelle HAINE de la France !
Un homme de 44 ans a été condamné vendredi à Berlin à trois ans et trois mois de prison pour avoir tué son compagnon puis fait bouillir sa tête.Les deux hommes s'adonnaient de manière consentante à des jeux sexuels sadomasochistes.
Il a tué son partenaire lors de jeux sexuels sadomasochistes puis fait bouillir sa tête. Cet homme de 44 ans a ainsi été condamné vendredi à Berlin à trois ans et trois mois de prison, selon l'agence de presse allemande dpa.
Le parquet avait réclamé la prison à vie contre ce chômeur, poursuivi pour la mort de son compagnon, un employé de banque de 37 ans. Les juges se sont montrés cléments dans la peine prononcée, estimant que les deux hommes s'adonnaient de manière consentante à des pratiques dangereuses.
Les restes du cadavre découverts 4 semaines plus tard
Selon le juge Peter Faust, cité par dpa, les deux hommes qui s'étaient connus sur internet, s'aimaient. Le 5 janvier 2012, le Berlinois avait attaché son partenaire consentant à un lit et lui avait notamment scotché la bouche et le nez.
A la suite de la mort de l'employé de banque, dont la cause n'est pas spécifiquement détaillée, le Berlinois avait découpé le corps en morceaux et fait bouillir le crâne. Les restes du cadavre avaient été découverts quatre semaines plus tard par la police, après que le meurtrier eut tenté de se suicider.
Les deux hommes avaient par le passé déjà pratiqué ces jeux sadomasochistes qui avaient alors seulement entraîné la perte de conscience de l'employé de banque. Les juges ont estimé que l'accusé avait apparemment mal évalué la situation le soir du décès, alors que son partenaire se trouvait dans un état inconscient. L'accusé, qui était coutumier de ces pratiques, avait des partenaires qui ne s'étaient jamais plaints qu'il eut dépassé la limite, ont relevé les juges.
TF1 - 08/12/12
Lire: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-chandelier-geant-pour-Hanouccah-a-Paris-15296.html
Lire également les commentaires
Contre le mariage homosexuel, le collectif des «manifs pour tous» a organisé ce samedi des défilés à Reims, Lille, Nancy, Bordeaux et Le Mans, avant une manifestation nationale prévue à Paris pour le 13 janvier. Cette association, qui se proclame «apolitique et aconfessionnelle», dénonce le projet de loi Taubira de «mariage et d'adoption pour tous, qui instaure une filiation sociale (.
LeParisien.fr - 08/12/12
Une religion chasse l’autre…
A l’heure où les marchés de Noël sont rebaptisés « Marchés d’Hiver », où les sapins sont supprimés, un chandelier à sept branches va être installé dimanche soir, sur le Champ de Mars, pour lancer les célébrations de Hanoucca, la « fête juive des lumières » qui se poursuit jusqu’au 16 décembre. Alors même que le maire de Paris refusait les années précédentes les crèches de Noël sur les marchés, sous le prétexte de la laïcité. On espère juste qu’avec cette précision nos con-citoyens ne confondront pas avec la fête des lumières lyonnaise qui est dédiée à la Vierge Marie…
Ce chandelier sera allumé par le grand rabbin de France, Gilles Bernheim « en présence de personnalités communautaires et nationales« . Laïcité, quand tu nous tiens !
Contre-info.com
07H23
Les faits se sont déroulés mardi soir à proximité de Nantes, en Loire-Atlantique.
Aux environs de 23H30, une jeune femme en fauteuil roulant est sortie dehors pour prendre l'air, lorsqu'elle a subi une violente agression.
Selon Presse Océan, deux individus ont surgi et l'on fait tomber, avant de lui demander une cigarette.
Devant le refus de cette dernière, les deux agresseurs l'ont roué de coups.
La victime, âgée de 34 ans, s'est vue prescrire 15 jours d'ITT.
En juin 1936, la première maternité du Lebensborn ouvre à Steinhöring, un village de Bavière. Jusqu'en 1945, une vingtaine de nurseries fonctionnèrent en Allemagne puis dans certains pays occupés, notamment en Norvège, berceau supposé de la "race germanique nordique". Près de 20 000 SS-Kinder (enfants SS) sont ainsi nés dans ces établissements. Leur naissance était inscrite dans un registre secret et leur véritable identité était effacée. Les Nazis considéraient les Français comme un peuple "abâtardi" et "racialement non valable". Mais, ils vont changer d'opinion, du fait nombre croissant d'enfants nés d'un père allemand et d'une mère française. Le 29 mai 1942, Leonardo Conti écrit à Himmler (document): "A mon avis, les enfants (français) ne sont pas mauvais, pas plus mauvais que ceux (...) nés en Norvège. (...) Je propose que le Lebensborn s'en occupe énergiquement." Le 6 février 1944, une maternité SS ouvrira à Lamorlaye, dans l'Oise. Le 6 février 1944, "Westwald" (forêt de l'ouest), l'unique maternité SS en France, est inaugurée à Lamorlaye, à 40 kilomètres au nord de Paris. Vingt-trois enfants "de race nordique" verront le jour dans ce manoir réquisitionné depuis 1940 par l'occupant. En Belgique, dès mars 1943, le château de Wégimont, près de Liège, accueille une maternité du Lebensborn: le foyer "Ardennes". Entre 40 et 50 enfants, nés d'un père SS belge ou allemand, y ont vu le jour. Comme tous les établissements de ce genre, le lieu est sévèrement gardé. Le 1er septembre 1944, à l'approche de la 3e division blindée américaine, les SS évacuent les lieux et emmènent tous les enfants. Ces derniers sont tout d'abord dirigés vers Wiesbaden, en Allemagne. Gisèle Niango, née le 11 octobre 1943, fut confiée par sa mère au foyer de Wégimont. Emmenée comme les autres petits pensionnaires vers l'Allemagne, elle sera finalement retrouvée par les Américains, en mai 1945, dans la " maison mère " du Lebensborn, à Steinhöring, en Bavière. Elle n'a retrouvé l'identité de sa mère qu'en 2010. Celle de son père reste inconnue.
Été 1945. Les enfants abandonnés ou kidnappés par le Lebensborn sont recueillis par une équipe spécialisée des Nations-Unies. Ils sont soignés dans un couvent à Indersdorf, en Bavière. Certains, identifiés après de longues recherches, seront rendus à leur mère. Les autres seront rapatriés vers leur pays d'origine, confiés à l'assistance publique. Certains seront adoptés par une nouvelle famille.
Novembre 2012. Dans les archives d'une association catholique d'aide à la jeunesse de Munich, L'Express retrouve des livrets d'épargne ouverts à l'époque par les SS pour les enfants allemands du Lebensborn. Cet argent était destiné à assurer leur avenir. Mais, après guerre, la quasi-totalité des bénéficiaires n'a jamais été informée de l'existence de ces livrets. Ils sont périmés de puis 1978. Les anciens enfants du Lebensborn sont les dernières victimes - vivantes - du nazisme à n'avoir jamais été reconnues officiellement.
Cliquez ici pour visionner le diaporama.
Crédit photo : Boris Thiolay/L'Express
Crif
Le 23 novembre dernier, un drame abominable a eu lieu, gare de Yerres, sur la ligne du RER D. Une jeune fille en a poussé une autre, volontairement, quand la rame entrait en gare. La victime a eu les deux jambes sectionnées.
http://www.fdesouche.com/334756-yerres-91-une-adolescente-poussee-sous-un-rer
Au-delà de ce révoltant fait divers, le traitement médiatique qui a suivi cette affaire mérite qu’on s’y arrête, tant il nous rappelle celui opéré lors d’un autre fait divers, en Bretagne, en juin dernier
A Yerres, on nous a d’abord présenté la chute de la victime comme la conséquence d’une bagarre. Tout comme on nous raconte que les chrétiens égorgés par les islamistes, au Nigeria, sont la conséquence de conflits inter-religieux, ou comme on nous a d’abord présenté la mort du jeune Kilian comme la conséquence d’une bagarre qui aurait mal tournée.
Ensuite, on a nié la différence d’âge entre la victime et le bourreau. A Yerres, on nous a longtemps expliqué que la première avait 17 ans, et la seconde 15 ans. Il s’avère que c’est le contraire. A Rennes, on nous a longtemps caché que la victime n’avait que 13 ans, et le coupable 17 ans, et que loin d’être une bagarre qui aurait mal tournée, ce fut une strangulation mortelle d’un jeune adulte contre un jeune garçon.
Le coup des prénoms modifié offre, lui aussi, des similitudes intéressantes, mais surtout crapuleuses, quant aux méthodes des journaleux. A Rennes, Le Monde a appelé le coupable, par ailleurs d’origine tchetchène, Vladimir. Ce n’est pas neutre, Vladimir, c’est le prénom de Poutine, la bête noire de nombre de plumitifs de la presse française, qui se pâment devant la provocation des Pussy Riot, en plein culte orthodoxe, contre le chef de la Russie, mais lynchent Génération Identitaire pour une simple visite de chantier sur le toit d’une mosquée en construction, à Poitiers. Pour le drame de Yerres, les plumitifs du Parisien ont fait mieux dans le prénom : Marine. Naturellement, donner ce prénom à une personne qui pousse une jeune femme sous une rame de RER, qui se trouve être celui de la présidente du FN, autre bête noire de prétendus journalistes vendus au système, serait le fruit d’un pur hasard. Or, si Vladimir s’appelait Souleymane, Marine s’appelle Fatou.
Reste à s’interroger sur plusieurs choses, au-delà des minables manœuvres de larbins qui ne trompent plus grand monde, pour cacher à nos compatriotes que les assassins sont souvent issus de l’immigration post-coloniale, et que les victimes sont souvent des Européens d’origine. Imagine-t-on ce qu’aurait été le cirque de Libération, du Monde, du Nouvel Observateur, de Médiapart ou de Rue 89 si Jessica avait poussé Fatou, si Kilian avait étranglé Souleymane ?
Est-ce vraiment un malheureux hasard, ou le fruit de la haine véhiculée, dès le berceau, à des centaines milliers de jeunes personnes, nées en France, français de papier, à qui on raconte que les non-musulmans sont des êtres inférieurs aux musulmans, que la France deviendra un jour Terre d’Islam, et que tout est bon pour parvenir à cet objectif. Hasard malheureux que ces centaines de milliers d’autres jeunes personnes, nées en France, françaises de papier, à qui on raconte que les « face de craies » sont les descendants des colonialistes qui sont les uniques responsables de la détresse du pays de leurs ancêtres, et qu’on consolide dans une haine raciste des Français d’origine ? Hasard si l’assassin de Toulouse et Montauban s’appelait Mohamed Merah ? Hasard si, en toute impunité, des nés musulmans peuvent se permettre de traiter leurs camarades de classe de « Sales kouffars », ou de « sales juifs » en toute impunité, ou que d’autres « jeunes issus de la diversité » peuvent les traiter de « Sales blancs » sans le moindre risque, voire les agresser quotidiennement ? Hasard si la majorité de nos prisons sont remplis majoritairement de détenus issus de l’immigration post-coloniale ?
Cela commence par les insultes, les coups et le racket, cela finit par l’étranglement de Kilian par Souleymane, ou par la poussée criminelle sous une rame de RER de Jessica par Fatou.
Kilian est mort, pas de chance, il a croisé la route de Souleymane, et a refusé de baisser les yeux. Toujours pas de chance, il était en sport études, n’avait que 13 ans, et espérait devenir professionnel de football. Jessica n’avait que 15 ans, pas de chance, elle a croisé la route de Fatou. Elle avait été placée dans une famille d’accueil, et était en train de réussir sa vie, malgré un début difficile. Si elle survit, elle sera privée de ses jambes toute son existence. Imagine-t-on la vie d’une gamine privée de mobilité, à la fleur de l’âge, à cause d’une agression gratuite ? Souleymane et Fatou, eux, ont toute leur vie devant eux, une fois qu’ils se seront fait tirer les oreilles par Taubira et des militants politiques déguisés en juges.
Un jour, et le plus tôt sera le mieux, il faudra demander des comptes à ceux qui, en niant le racisme anti-blancs et anti-Français, portent la responsabilité de la mort de nombre de Kilian, et des agressions souvent gratuites de trop de Jessica. Il faudra surtout juger ceux qui, en militant ouvertement pour une immigration de masse, sans intégration, en période de chômage, se sont rendus coupables de non-assistance à peuple français en danger.
Paul Le Poulpe
RIPOSTE LAÏQUE
Lire: http://www.tribunejuive.info/communaute/marseille-est-une-ville-formidable
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