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  • Istres - Jet de bouteille explosive dans une classe: une attaque antisémite?

    Deux jeunes gens, de 16 et 19 ans ont été placés en garde à vue, soupçonnés d'avoir jeté mardi une bouteille remplie d'acide chlorhydrique et d'aluminium qui a explosé dans une classe d'un lycée professionnel d'Istres, faisant un blessé léger. Selon les premiers éléments, l'adolescent "voulait régler des comptes avec une enseignante" de 44 ans, professeur contractuelle d'Arts Appliqués, une enseignante déjà victimes d'insultes antisémites dans le passé. Elle a été confrontée à son jeune agresseur mercredi après-midi. Le jeune homme de 16 ans qui est soupçonné d'avoir fabriqué cette bombe, a reconnu les faits au commissariat d'Istres, mais pas l'intention antisémite.

    L'enseignante, Chantal X, déclare avoir été traitée de "feuj" par l'agresseur: "Toi la feuj, je vais te casser la bouche!"

    RTL - 12/12/12

     

  • Maréchal Pétain : sa vareuse est mise aux enchères - Triste...

     

    Des objets ayant appartenu au maréchal Pétain, une cinquantaine de lots approximativement, seront vendus aujourd’hui lors d’une vente aux enchères qui se déroulera à l’Hôtel Drouot, à Paris, à partir de 14H.

    Parmi ces « archives et souvenirs« du maréchal, on trouvera une vareuse en toile beige, datant de l’entre deux-guerres, estimée entre 1.000 et 1.500 euros. Également une paire d’épaulettes de son uniforme d’officier de chasseur. Ou encore son cahier d’histoire, lorsqu’il avait 17 ans et qu’il était interne à Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, lequel est estimé entre 1.200 et 1.500 euros.

    Selon le catalogue de la maison d’enchères Piasa qui organise la vente, ces objets proviennent de l’avocat Jean Lemaire (1904-1986), qui fut l’un des défenseurs de Pétain lors de son procès après la Libération.

    Contre-info.com

  • Signe de croix interdit à Narbonne : l’Education nationale voudrait étouffer l’affaire

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      12/12/2012 – 16h00
    NARBONNE (NOVOpress)
    – Novopress a recueilli un nouveau témoignage suite à l’affaire du signe de croix qu’un professeur du collège Cité à Narbonne (Aude), aurait interdit à des élèves alors qu’ils visitaient la cathédrale de la ville le 6 décembre. Notre lecteur, François, a contacté le collège pour en savoir plus. « Dans un premier temps, j’ai appelé la CPE du collège concerné qui m’a raccroché au nez dès ma première phrase refusant de s’expliquer sur le sujet », témoigne-t-il. Même refus de communiquer de la part de la direction selon lui.

     

    Mais pas question de se décourager. Notre lecteur a alors joint l’inspection académique du département. Selon François, son interlocuteur lui a précisé alors que le professeur aurait « interdit les signes de croix de manière ostensible et qu’il a préféré prévenir la bêtise de ses élèves de 5ème ». Une atteinte grave à la liberté religieuse sous prétexte de « prévenir la bêtise » d’élèves ? Une explication très alambiquée.

    « Pour résumer, l’inspection académique de l’Aude a mené une enquête expéditive (résolue en moins de quatre jours) et a décidé de couvrir le professeur malgré les demandes de sanctions de plusieurs associations chrétiennes qui souhaitent que cet événement, qu’elles considèrent comme réellement antichrétien, soit pris plus au sérieux par l’inspection académique », constate notre lecteur qui évoque « l’un des exemples les plus graves de christianophobie de cette année ».

    L’affaire semble bien être enterrée par les pouvoirs publics. Le principal du collège avait promis toute la lumière sur ce scandale en publiant notamment une note d’information sur le site internet du collège. Promesse envolée. Le site préfère communiquer sur une sortie ski ou une exposition sur les « progrès du téléphone ». Le fil est coupé avec ceux qui réclament la vérité. Pourtant, cette affaire a suscité une grande indignation, relayée par de nombreux médias : Sud Ouest et Le Midi Libre dernièrement. Si une telle atteinte à la liberté religieuse avait touché des musulmans ou des juifs, l’Etat aurait-il fermé les yeux ainsi ?

    Crédit photo : Nicolas Oren, via Flickr, (cc).

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopr

  • Avocate assassinée à Marseille: la thèse de l'acte crapuleux

    Selon LCI, des éléments appartenant à Me Talbot ont été retrouvés au domicile des trois hommes -un père et ses fils- interpellés mercredi dans les quartiers nord de Marseille.

    Selon LCI, des objets appartenant à l'avocate assassinée le 30 novembre à Marseille ont été retrouvés au domicile des trois hommes arrêtés ce mercredi matin dans le cadre de cette enquête. Parmi ces éléments, une carte bleue.

    Ces trois hommes, un père et ses deux fils, ont été interpellés dans la cité de La Maurelette, située dans les quartiers nord de la cité phocéenne. Toujours selon LCI, le père, âgé de 53 ans, serait le principal suspect. Ses deux fils sont âgés d'une vingtaine d'années.

     
    Une information judiciaire a été ouverte lundi "du chef d'homicide volontaire en concomitance avec le crime de vol avec arme". Deux magistrats instructeurs ont été co-désignés dans cette affaire.

    Raymonde Talbot, 66 ans avait été retrouvée par son associé, mortellement poignardée dans son cabinet de la rue Saint-Ferréol, tout près du Vieux-Port. Ce drame avait provoqué une vive émotion au sein de la profession.

    TF1 - LCI - 12/12/12

  • Israël, son armée, ses renseignements et … ses vautours espions ?

         

    Israël, son armée, ses renseignements et … ses vautours espions ?
     
     

    Le Soudan a capturé, début décembre, un vautour affublé d’un dispositif composé d’un GPS et d’un capteur d’images par satellite. Porteur d'une étiquette "Université hébraïque de Jérusalem", le rapace est soupçonné d'être "un agent" israélien.

     
    Par Marc DAOU         
     

     

    De la sophistication de son armement à la puissance de feu de son armée de l’air, en passant par la réputation de ses services secrets (Mossad et Shin Bet), l’Etat hébreu est incontestablement la superpuissance militaire du Moyen-Orient. Et ce, de l’aveu même des pays de la région et des groupes armés qui prônent sa destruction (Hezbollah libanais, Hamas palestinien, etc.). À en croire certains médias, le Soudan soupçonne les Israéliens d’avoir rajouté une nouvelle corde à leur arc en transformant de simples vautours en drones d’espionnage.
     
    Un vautour, agent israélien ?
     
    Selon des informations du quotidien égyptien, El Balad, reprises, lundi, par le journal israélien Haaretz et le britannique The Telegraph, les autorités soudanaises ont capturé, début décembre, un vautour dans la région du Darfour, dans l'ouest du pays. Affublé d’un dispositif fonctionnant à l’énergie solaire composé d’un GPS et d’un capteur d’images par satellite, le rapace est suspecté d’être un agent israélien. Et pour cause, il portait une étiquette sur laquelle est inscrit "Israel nature service" ainsi que "Université hébraïque de Jérusalem". Depuis nul ne sait ce qu’il est advenu de la volaille au bec acéré.
     
    Du côté israélien, Haaretz rapporte que des responsables ont reconnu que le vautour portait un tel équipement, et ce, dans le cadre "d’une étude migratoire" des oiseaux. Ohad Hazofe, un écologiste travaillant pour la Direction de la nature et des parcs d’Israël s’est montré encore plus précis dans un entretien accordé au site d’information israélien Ynetnews. "Il s’agit d’un jeune vautour (pouvant voler près de 600 kilomètres par jour, NDLR), qui a été bagué avec 100 autres rapaces en octobre", explique-t-il, non sans préciser qu’il n’était pas muni d’un appareil photographique.
     
    Tensions entre Khartoum et Tel-Aviv
     
     
    Toutefois, depuis plusieurs mois, le Soudan semble faire bel et bien l’objet d’une surveillance accrue par l’Etat hébreu. Ce dernier accuse Khartoum d’être une plaque tournante du trafic d’armes iraniennes vers la bande de Gaza, en passant par l’Egypte et le passage de Rafah. Fin octobre, le Soudan a accusé Israël d'avoir bombardé l'usine militaire de Yarmouk dans la capitale du pays. Un haut responsable du ministère israélien de la Défense avait réagi en qualifiant le Soudan d'"État terroriste dangereux", sans revendiquer explicitement le bombardement de l'usine. En avril 2011, l'État hébreu avait déjà été pointé du doigt après un raid aérien contre un véhicule qui avait fait deux morts à Port-Soudan. Tel-Aviv n'avait alors fait aucun commentaire.
     
    FRANCE 24 - 12.12.12
  • Cabale anti-FN: Marine et Bruno ne se coucheront pas !

     

    Après le refus (sidérant) du Conseil constitutionnel d’invalider l’élection législative dans la circonscription d’Hénin-Beaumont, nous avons appris officiellement hier que le ministère de la Justice a transmis fin novembre au Parlement européen une demande de levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. En cause les propos de Marine, en décembre 2010 lors de son passage à Lyon dans le cadre de la campagne interne, évoquant les prières de rue des musulmans. « Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça c’est une occupation du territoire (…) Certes il n y’a pas de blindés, il n’y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants », avait-elle alors déclaré.

    L’officine grassement subventionnée et dite « antiraciste » Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) avait aussitôt déposé une plainte. Une enquête préliminaire pour « incitation à la haine raciale » avait ensuite été ouverte par le parquet de Lyon en janvier 2011.

    Sur BFM TV, la présidente du Front National a dénoncé cet acharnement. « Je crois que le système ne sait plus quoi faire pour arrêter la dynamique qui me porte. Alors on m’empêche de rejouer l’élection d’Hénin Beaumont, on me persécute sur le plan judiciaire… Qu’ils soient bien conscients que tout cela me renforce et ne m’affaiblit pas », a-t-elle déclaré.

    Depuis plus de quatre ans maintenant, Bruno Gollnisch est victime lui aussi d’une (nouvelle) persécution judiciaire (une de plus !) en raison d’un communiqué datant du mois d’octobre 2008 et qui émanait du groupe FN qu’il préside au Conseil Régional Rhône-Alpes. Un communiqué critiquant l’intolérance qui prévaut dans certains pays musulmans, qui pointait notamment «l’invasion de notre patrie et la destruction de notre culture et de nos valeurs».

    Bruno avait alors précisé que même si ce texte ne fut pas rédigé par ses soins, les propos « litigieux » relevaient bien de son «expression politique». «On a le droit de critiquer l’islam dans ses manifestations agressives», «le droit d’exercer une critique aussi bien à l’encontre des voyous ou des bandes ethniques qui sévissent dans notre pays, que je ne confonds pas avec l’ensemble des musulmans de France» précisait-il.

    Bien sûr, par l’odeur alléché, la Licra avait déposé plainte pour « incitation à la haine », cette officine « aux pouvoirs exorbitants, qui, sous prétexte de lutter contre le prétendu racisme, s’arroge le droit de persécuter les patriotes qui luttent pour que les Français demeurent maîtres chez eux. »

    Une organisation antinationale à laquelle Bruno Gollnisch avait conseillé de « s’intéresser au sort des musulmans à Gaza plutôt qu’à Lyon où il est beaucoup plus enviable ». L’actuel président de la Licra, l’avocat lyonnais Alain Jakubowicz ne semble pas prédisposé à entendre cette sage demande…

    En mai 2011, nous l’évoquions sur ce blog en relatant la conférence de presse tenue alors par Bruno, celui-ci avait relevé que « les majorités automatiques du Parlement Européen, avec l’instinct grégaire et la tartufferie qu’on leur connaît, (avaient levé son) immunité sous le prétexte imbécile et hypocrite que le communiqué du groupe (FN) n’avait pas été rédigé dans le cadre de (ses) activités parlementaires. »

    Dans le cadre de cette affaire de communiqué, Bruno Gollnisch a été harcelé par le juge Campi agissant sur requête de la Licra, qui a essayé par trois fois de le faire arrêter illégalement bien que couvert par son immunité, en délivrant un mandat d’amener qui a reçu une tentative d’exécution, et dont l’illégalité a été clairement reconnue.

    Cette violation flagrante de la Constitution et des traités était qualifiée de crime de forfaiture dans l’ancien code pénal, de tentative d’arrestation et de séquestration arbitraire passible de cinq années de prison dans le droit actuel !

    Le député frontiste a donc porté cette affaire devant la Cour de justice de Luxembourg, notamment en raison de l’argument hallucinant avancé pour exiger la levée de son immunité, selon lequel les faits susceptibles de lui être reprochés ne relèvent pas de ses activités de député européen. La précédente levée d’immunité parlementaire de Bruno en 2005, fut d’ailleurs condamnée par cette fameuse Cour de Justice de Luxembourg.

    En effet, par définition, l’immunité parlementaire couvre justement des propos tenus en dehors du Parlement européen puisque, selon les textes, les déclarations d’un député dans l’hémicycle ne peuvent donner lieu à des poursuites !

    Enfin, rapportons encore quelques autres remarques de Bruno Gollnisch. D’abord « aucune preuve de publication de ce communiqué n’existe dans le dossier. La personne habilitée à représenter la Licra, Mme Macha Pariente, directrice des affaires juridiques de cette officine, déclare qu’elle n’a pas eu connaissance de ce communiqué, si ce n’est par les comptes-rendus d’une conférence de presse postérieure d’une semaine tenue (par B. Gollnisch, NDLR) le 10 octobre. Conférence qui n’était pas la reprise pure et simple de ce communiqué, tant s’en faut. Cela vicie évidemment toute la procédure : en matière de presse, c’est la publication qui fait le délit. »

    Nous ne cachons pas non plus notre surprise de ce qu’«une simple polémique puisse donner lieu à un tel acharnement, au moment même où toute la classe politique, Garde des Sceaux en tête, organisations anti-racistes incluses, prenaient fait et cause pour le journal Charlie-Hebdo dans l’affaire des propos et dessins parfaitement injurieux envers l’Islam publiés par ce magazine. »

    Enfin, il ne serait pas aberrant de « demander le dépaysement du dossier, Alain Jakubowicz à l’origine de la plainte, a été élu lyonnais. » Bruno Gollnisch l’est toujours. Il s’agit donc d’une « affaire politique ». En outre, « la justice lyonnaise a été désavouée dans une précédente affaire contre le député frontiste, » où avait été bafoué son droit à la liberté d’expression.

    Last but not least, en cas de refus du dépaysement, et de traduction de cette affaire devant le tribunal correctionnel, il est loisible de s’interroger sur la nécessité de récuser « les magistrats franc-maçons et/ou membres du Syndicat de la Magistrature (SM). Les premiers sont mis en cause dans le texte incriminé ; ils seraient juges et parties. Les seconds ont pris position officiellement contre le FN. »

    Bruno Gollnish

  • Kate Middleton à nouveau hospitalisée

    La duchesse de Cambridge, enceinte de son premier enfant, a de nouveau été prise de nausées sévères dimanche. Le prince William, a donc préféré annuler ses engagements.

    Quatre jours après sa sortie de l'hôpital (voir notre article : Bouquet de fleurs à la main, Kate Middleton sort de l'hôpital), Kate Middleton est à nouveau souffrante d'après US Weekly. Un porte-parole du Palais St James déclare au magazine : "c'est bien connu, l'hyperémèse gravidique récidive", ajoutant que le prince William a annulé sa participation à un défilé militaire pour rester auprès de Kate.

    Samedi pourtant, le prince William avait fait sa première apparition publique depuis l'annonce de la grossesse de sa femme. Présent au "Winter Whites Gala" de Londres, mais sans Kate Middleton, il aurait confié que les nausées de son épouse n'avait rien de matinales (voir notre article : le prince William s'est rendu à un gala... mais sans Kate, au repos).

    C'est lundi dernier que la grossesse de Kate Middleton a été annoncée via un communiqué officiel. Le même jour, la duchesse de Cambridge était hospitalisée à l'hôpital londonien King Edouard VII pour des nausées sévères (voir notre article : de quoi souffre exactement Kate Middleton ?). Le Prince William avait tenu à être à son chevet de jour comme de nuit (lire notre article : le prince William au chevet de Kate hospitalisée).

    TF1 News - 10/12/12

  • Marion Maréchal Le Pen invitée de "La Matinale" sur Canal +

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

  • Le mythe de la bataille des Glières

    Lire: http://www.lepoint.fr/societe/la-bataille-des-glieres-a-t-elle-eu-lieu-19-03-2012-1442712_23.php

     

    NdB: Que de mensonges dans l'histoire contemporaine!

  • Une dame âgée agressée et secourue par un jeune homme à Verdun

     

    Le courage d’un jeune homme a permis à une Verdunoise de 78 ans de se tirer sans trop de mal d’une agression qui aurait pu mal tourner.

          
     
     

    Le courage d’un jeune homme a permis à une Verdunoise de 78 ans de se tirer sans trop de mal d’une agression qui aurait pu mal tourner.

    Il est 14 h 30 ce mercredi 5 décembre lorsque cette dame tente de traverser l’avenue du Luxembourg en direction du parc Japiot à Verdun, mais juste avant de quitter le trottoir, un jeune homme l’agresse et essaie de lui voler son sac à main qu’elle porte en bandoulière.

    Une des lanières cède, mais dans l’agression, elle chute en avant. Ce qui entraîne le sac à main quelques mètres plus loin.

    C’est à ce moment-là qu’un jeune automobiliste qui a assisté à la scène et s’est arrêté, est sorti de son véhicule et s’est interposé entre l’agresseur et cette personne âgée.

    Les deux hommes s’empoignent avant que finalement l’agresseur prenne la fuite. Le jeune homme qui a secouru la vieille dame, court après l’individu, mais quelques dizaines de mètres plus loin, à la hauteur du rond-point de la rue de Souville, un complice attend le voleur. Lequel monte rapidement dans la voiture qui prend la direction du carrefour du pont de la Galavaude.

    Choquée, la victime est ensuite prise en charge par son sauveur. Qui l’emmène au commissariat de la ville où elle a pu déposer plainte : « C’est la preuve qu’à côté de ceux qui filent un mauvais coton, il y a des jeunes très serviables et courageux capables de réagir lorsque quelqu’un se fait agresser dans la rue et je tenais à remercier cette personne. » affirme la victime de cette triste affaire.

    À noter qu’un quart d’heure avant ces faits, une autre personne a été agressée par un individu devant le cinéma Majestic, mais là aussi, celui-ci n’est pas parvenu à atteindre son objectif, c’est-à-dire lui dérober son sac à main qu’elle tenait également solidement en bandoulière.

    Pascal ISCH

    L'Est Républicain - 05.12.12

  • Michel Slitinsky, à l'origine de l'affaire Papon, est décédé

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    (1910-2007)

    Figure emblématique de l'affaire Papon, qu'il avait contribué à dévoiler à force de ténacité, l'ancien résistant bordelais et fils d'immigrés juifs ukrainiens Michel Slitinsky s'est éteint samedi 8 décembre 2012 à l'âge de 87 ans.

     

    Né en 1925 à Bordeaux de parents juifs originaires d'une petite ville d'Ukraine dont ils ont fui les pogroms tsaristes en 1912, facilement reconnaissable à son épaisse chevelure blanche et à ses larges lunettes, Michel Slitinsky a grandi dans le quartier de Meriadeck où ses parents, qui parlaient l'ukrainien et le yiddish, tenaient un surplus américain. Le 19 octobre 1942, à Bordeaux, il s'échappe par les toits alors que des policiers français étaient venus l'arrêter à son domicile. Il entre en clandestinité, caché par des amis, puis dans la Résistance, des maquis du Puy-de-Dôme et du Cantal jusqu'aux combats en Forêt-Noire (Allemagne).

     

    Son père mort à Auschwitz

     

    À partir de 1947, Michel Stilinsky entame la quête de sa vie, passant des années dans la poussière des archives à amasser des documents et à ferrailler pour retrouver les responsables de la déportation d'une partie de sa famille : son père Abraham, notamment, arrêté en octobre 1942, est mort à Auschwitz. Sa mère et sa soeur, elles, échapperont à la déportation.

     

    Tellement de résistants de la dernière heure

     

    Pendant ces années de recherches, les seules attaques reçues sont venues "des milieux de la Résistance", expliquait-il à l'AFP à la veille du procès Papon, en 1997. "Il y en a eu tellement qui ont mis deux fers au feu et sont devenus résistants en août 44. Ils ont voulu se racheter, c'est humain", relatait cet ancien communiste. En 1979, cet ancien directeur commercial (il sera aussi inspecteur du travail et journaliste) découvre les dossiers familiaux des Juifs ayant fait l'objet d'enquêtes administratives ou de police en Gironde, sous l'occupation.

     

    L'organigramme de la préfecture découvert par hasard

     

    "Dans toute la France, ces dossiers étaient passés au pilon, mais à Bordeaux, ils n'étaient même pas classés", relevait-il. Restait une pièce pour que le puzzle soit complet. Elle sera découverte par hasard aux puces bordelaises de Saint-Michel, en 1980 : l'organigramme de la préfecture de la Gironde en juillet 1942. Le nom de Maurice Papon y figure, ainsi que sa fonction, accablante : secrétaire général, chargé des questions juives.

     

    Premières révélations dans le Canard enchaîné

     

    Le 6 mai 1981, le Canard enchaîné publie les premiers documents compromettants à l'encontre de l'ancien haut fonctionnaire de Vichy. Persuadé que Papon est "allé au-delà des instructions allemandes pour faire de nouvelles victimes, dont des enfants", Michel Slitinsky, avec son ami d'enfance Maurice-David Mattisson et l'avocat bordelais Gérard Boulanger, ont porté "l'affaire Papon" devant les tribunaux, en déposant fin 1981 et début 1982 les premières plaintes pour crimes contre l'humanité.

     

    Condamné à dix ans de prison, Papon en a fait trois

     

    Elles aboutiront au procès-fleuve, long de huit mois, qui s'ouvrira le 8 octobre 1997 devant les assises de la Gironde, "soulagement" et point final à des années de recherches obstinées. En avril 1998, Maurice Papon sera condamné à dix ans de prison pour "complicité de crimes contre l'humanité" pour son rôle dans la déportation de 1 690 juifs de Gironde. "Nous sommes soulagés, mais sans triomphalisme. Le combat continue, car ce que nous recherchons, c'est l'incarcération de Maurice Papon", avait alors réagi M. Slitinsky.

     

    Responsable de 1 600 arrestations, dont 250 enfants

     

    Maurice Papon a purgé trois ans de prison avant d'être libéré en septembre 2002 pour raisons de santé. Il est mort en février 2007. "Il a payé. Malheureusement il n'est resté que trois ans en prison, dans une prison dorée. Maurice Papon porte sur ses épaules la responsabilité de 1 600 arrestations, dont 250 enfants. Pour les enfants, il aurait pu faire un effort, dissimuler les listes dans son tiroir. Il ne l'a pas fait. Il est allé à l'extrémité de ses possibilités", avait lâché celui qui restera comme le "tombeur" de Papon. Michel Slitinsky était marié et père de deux enfants.

     

    Crif - 11.12.12

  • HC Strache trouve grotesque que le prix Nobel de la paix soit accordé à l’UE

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    11 décembre 2012

     

    11/11/2012 – 10h00
    VIENNE (NOVOpress via Lionel Baland) – Le président du FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs, Parti autrichien de la liberté), Heinz-Christian Strache, trouve grotesque au vu des problèmes rencontrés par la zone euro que le prix Nobel de la paix soit décerné à l’Union européenne et que la plupart des dirigeants des pays de l’Union européenne soient fêtés dans ce cadre à Oslo. Heinz-Christian Strache estime que le Premier ministre britannique David Cameron et le président tchèque Vaclav Klaus ont eu raison de boycotter la cérémonie.

    On peut rappeler que des pays membres de cette organisation ont bombardé la Libye du Colonel Kadhafi et la Serbie de Slobodan Milosevic.

    Les 950.000 euros qui accompagnent le prix Nobel de la paix seront offerts par l’UE à une cause humanitaire en dehors de l’Union européenne.

    Photo : Herman Van Rompuy, José Manuel Barroso et Martin Schulz reçoivent le prix Nobel de la paix décerné à l’Union européenne. Crédit : European Parliament, via Flickr, (cc).

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Métissolâtrie : la gauche exalte « la révolution génétique irréversible » de la Grande-Bretagne

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    11 décembre 2012

     

     11/12/2012 — 12h00
    LONDRES (NOVOpress) —
    « Progressiste de gauche, antiraciste, féministe, musulmane, à moitié Pakistanaise », c’est ainsi que se définit Yasmin Alibhai-Brown (photo ci-dessus), née Yasmin Damji, grande conscience du plus politiquement correct, et moins vendu, des quotidiens britanniques, The Independent.

     

    Yasmin Alibhai-Brown est née en Ouganda d’une mère ougandaise et d’un père Indien musulman. Elle a émigré définitivement en Grande-Bretagne en 1972, lorsque le président Idi Amin Dada a donné aux Asiatiques d’Ouganda 90 jours pour quitter le pays, « afin que les Ougandais ordinaires soient maîtres de leur propre destin ». En Grande-Bretagne, elle a épousé Colin Brown, « directeur du service consommateurs de l’Autorité des marchés financiers ». Monsieur Brown, c’est sa femme qui l’affirme, « étant un homme de gauche, fait beaucoup d’investissements éthiques ». Son antiracisme est, bien sûr, patenté, « ses idées sur la race venant d’une vie entière de militantisme et d’enquêtes minutieuses. Dans les années 1980, il a publié des recherches fondatrices sur les discriminations, qui ont influencé les politiques gouvernementales ».

    Yasmin Alibhai-Brown a l’habitude de se lamenter sur « le racisme blanc », qui, selon elle, est « un fléau toujours présent » en Grande-Bretagne. Pour une fois, cependant, sa dernière chronique de l’Independent est optimiste et même triomphale. Un vrai chant de victoire que cette musulmane ne craint pas d’ouvrir en parodiant le vieux cantique de l’Avent (God rest ye merry, gentlemen) : « J’apporte des nouvelles de réconfort et de joie (tidings of comfort and joy), mais peut-être pas pour le British National Party et Compagnie ». Ces nouvelles, ce n’est plus la venue du Messie mais « l’ADN changé de la nation – une révolution génétique tranquille et irréversible ».

    Dans le recensement de 2011, en effet, environ un million de Britanniques sont identifiés comme « métis ». « Le vrai chiffre pourrait être deux fois plus élevé car beaucoup préfèrent se définir comme Noirs (puisque c’est ainsi qu’ils sont vus et traités par la société) et un certain nombre se font passer pour Blancs (parce qu’ils le peuvent et pour avoir la vie plus facile) ». « La miscégénation, le mélange des sangs, fait partie de l’identité nationale ».

    Yasmin Alibhai-Brown attribue en partie ce merveilleux progrès aux médias, qui ont mis en avant des athlètes, des vedettes et des présentateurs métis. Mais elle exalte surtout le rôle des « femmes britanniques blanches » dans « le sabotage des frontières raciales et nationales ». « Les femmes britanniques blanches ont été à l’avant-garde de cette résistance, tenant tête aux gardiens de la pureté nationale, subvertissant leur idéologie par le désir sexuel et l’amour. Il faut écrire une autre histoire de la Grande-Bretagne, sur les réponses féminines, souvent pleines d’humanité et de chaleur [ !], à ceux qui arrivaient dans ce pays, et la manière dont les femmes furent punies pour ces transgressions ».

    Yasmin Alibhai-Brown cite avec jubilation les propos « dégoûtés » du planteur jamaïcain, Edward Long, en 1772 (dans un obscur pamphlet en faveur de l’esclavage, Candid reflections upon the judgement lately awarded by the Court of King’s Bench, que les antiracistes d’aujourd’hui ne se lassent pas de recopier) : « Les classes inférieures de femmes en Angleterre ont un remarquable amour pour les Noirs, pour des raisons trop brutales pour qu’on puisse les mentionner… Les Noirs ont généralement une progéniture abondante de ces femmes. Ainsi, en l’espace de quelques générations supplémentaires, le sang anglais sera irréversiblement contaminé par ce mélange » (irréversiblement est une addition de Yasmin Alibhai-Brown, qui aime décidément beaucoup ce mot, note de Novopress).

    « Même dans les années soixante, ces couples étaient confrontés à une haine monstrueuse. Mais regardez-nous maintenant » – car Yasmin Damji se donne volontiers en modèle, avec son Brown de mari. « Ma famille est complètement métisse, et n’est nullement inhabituelle ». « En 1990, la moitié de la population blanche désapprouvait les relations interraciales. À présent, selon un nouveau sondage du think tank British Futures, elles ne gênent plus qu’environ 15%. Dans mes propres recherches approfondies, j’ai trouvé que l’essentiel de l’opposition aujourd’hui venait des Britanniques noirs, asiatiques, musulmans et juifs, pris dans de hideuses politiques identitaires ».

    Conclusion (même s’il reste bien sûr beaucoup à faire dans la lutte contre le racisme) : « Les Britanniques blancs peuvent à juste titre être fiers de leur ouverture et de leur capacité d’accueil ». Ce ne sont pas les Américains – ou les Ougandais, mais Yasmin Damji oublie de les mentionner – qui en feraient autant.

    Crédit photo : New Writing North via Wikipédia (cc).

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  • Pour le Cran, Miss France incarnerait un communautarisme blanc

     

    11 décembre 2012

     

    Extrait audio réalisé par les contributeurs de Fdesouche.

    11/12/2012 — 16h00
    PARIS (NOVOpress) — Officine communautariste financée par des fonds publics, le Conseil représentatif des associations noires (Cran) a un vrai problème avec le concours Miss France. Malgré l’action xénophile et prométissage de l’ancienne présidente du comité, Geneviève de Fontenay, le Cran a violemment critiqué le dernier concours qui a vu la victoire de Miss Bourgogne.

     

    Dans une tribune publiée sur le site Slate, le Cran – associé à Fred Royer, journaliste et créateur de l’élection Miss Black France, pour le moins très communautariste – a ainsi affirmé que les minorités extra-européennes avaient disparu du concours : « Alerte enlèvement ! Samedi soir, plusieurs millions de personnes ont disparu de France. Ce que certains partis extrémistes appellent de leurs vœux depuis des décennies, TF1 l’a réussi: lors de l’élection Miss France, les Français d’origine africaine étaient totalement absents. » Pire, toujours selon le Cran : « Quant aux Français originaires du Maghreb, ils étaient “représentés” par une seule candidate, vite éliminée. Peut-être était-elle trop musulmane ? » Sans oublier le « jury, constitué de personnalités semblant sortir tout droit du casting d’un film de Christophe Barratier (réalisateur des Choristes, note de Novopress) ».

    Cette officine montre ainsi son vrai message : le communautarisme c’est bien, sauf pour la population qui reste encore majoritaire en France. Population qui semble préférer celles et ceux qui lui ressemblent… A l’image du concours Miss Black France !

    Intervenant lors de l’émission les Grandes Gueules de RMC, Louis-Georges Tin, le président du Cran, a tenté de justifier les exigences raciales de son association vis-à-vis de Miss France (extrait audio ci-dessus).

    Il est vrai que le Cran et Fred Royer semblent se réjouir dans leur tribune du grand remplacement que les Français de souche européenne subissent pour justifier leur attaque contre le concours Miss France : « Aujourd’hui pourtant, en 2012, les personnes d’origine africaine (noirs et arabes du Maghreb) représentent une part importante des Français de l’hexagone, évaluée par certains à 8 millions de personnes. »

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  • Pour la cinquième édition de “Lugdunum Suum”, plus de 500 personnes répondent à l’appel des Petits Lyonnais

     

    11 décembre 2012

      

     

    11/02/2012 — 19h30
    LYON (NOVOpress) — Depuis plus de 150 ans, tous les 8 décembre, le peuple lyonnais rend hommage à la Sainte Vierge Marie, protectrice de la ville. Froid, intempéries, épidémies, guerres, aucune calamité n’a jamais empêché la cité de s’enflammer de milliers de lampions pour l’honorer.

    Cependant, l’actuelle mairie a dénaturé cette fête. C’est la raison pour laquelle la marche “Lugdunum Suum” a lieu, pour rappeler la vraie raison d’illuminer la ville de Lyon. Et cette année, pour la cinquième édition,plus de 500 personnes ont rendu hommage à la Sainte Vierge, à l’appel de l’association les Petits Lyonnais.

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  • Florian Philippot invité de I>TELE

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  • Prières de rue : le système gêné par la liberté de parole de Marine Le Pen

     

    Communiqué du Front National

    La demande de levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen suite à la plainte d’une association communautariste sur ses propos dénonçant les prières de rue, alors que le parquet l'avait classée sans suite, révèle la crainte du système face à sa première opposante.

    Parce qu’elle a osé décrire et dénoncer des faits illégaux et une réalité inacceptable dans une République digne de ce nom, Marine Le Pen est poursuivie.

    On s’étonnera au passage de l’incrimination retenue, incitation à la discrimination, à la violence ou à la haine envers un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une religion, qui laisse supposer que le parquet amalgame les fondamentalistes qui prient illégalement dans la rue avec l’ensemble des musulmans de France.

    Marine Le Pen, elle, a toujours su clairement faire la distinction, ainsi que les Français qui très majoritairement selon les enquêtes d’opinion soutiennent ses déclarations.

    Cette plainte légitime de surcroît les comportements illégaux d’un certain nombre de fondamentalistes.

    Ce procès sera l’occasion pour nos compatriotes de se rendre compte de l’effondrement de la liberté d’expression dans notre pays. Il permettra aussi de reposer la question des dérives communautaires, qui à l’instar des prières de rue continuent de s’aggraver sans que personne à part le Front National n’ose en parler.

    NdB: Taubira est-elle musulmane?

  • Il y a de l'argent pour les drogués !

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    Alors que la France compte de plus en plus de pauvres, le conseil de Paris a adopté à la majorité une subvention à l’association Gaia qui travaille à l’ouverture d’une salle de consommation de drogue dans la capitale. La première du genre devrait ouvrir à proximité des gares du Nord et de l’Est.

    Les drogués devraient avoir leur lieu de consommation officiel. Lundi soir, le Conseil de Paris a en effet voté l’attribution d’une subvention de 38.000 euros pour l’ouverture d’une salle de « shoot ». La subvention a été accordée à l’association Gaia qui, selon les dires de la mairie de Paris, « œuvre dans le domaine de la réduction des risques sanitaires et sociaux en direction des usagers de drogues en appliquant les principes de la réduction des risques et des dommages liés à l’usage de drogues » (sic).

    La première salle de « shoot » devrait ouvrir entre les deux gares du Xe arrondissement. Dès le 19 octobre 2010, le Conseil de Paris s’était prononcé en faveur de l’expérimentation d’au moins une salle de consommation supervisée de drogues dans la capitale. Si l’expérience est concluante, plusieurs salles pourraient ouvrir dans la capitale et en banlieue. A quand un rayon « stupéfiants » dans les grandes surfaces ?!

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