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Ravie de son score historique aux municipales, la présidente du Front national Marine Le Pen estime que son parti passe une nouvelle étape.
«Le FN réalise le meilleur score de toute son histoire dans une élection locale». Florian Philippot, le bras droit de Marine Le Pen, bien que battu dans son fief à Forbach, ne cachait pas sa satisfaction à l'issue du deuxième tour des municipales. Les candidats soutenus par le Front national ont remporté les élections municipales dans «dix villes» a annoncé la présidente du FN, Marine Le Pen, en plus de la mairie d'Hénin-Beaumont décrochée dès le premier tour. «Le FN sortait de 2008 avec 60 conseillers municipaux. Ce soir, il a 1200 ou 1300 conseillers municipaux élus», a-t-elle déclaré.
À Béziers, où le socialiste Jean-Michel Du Plaa arrivé troisième au premier tour s'était maintenu, provoquant une triangulaire, le candidat soutenu par le FN, l'ancien journaliste Robert Ménard, arrivé en tête dimanche dernier, obtient 46,992% des suffrages. A Fréjus, également dans le cadre d'une triangulaire, le candidat FN David Rachline obtient 45,55% des voix. À Beaucaire (Gard), Julien Sanchez a annoncé son élection avec 39,82% des suffrages, devançant le maire sortant Jacques Bourbousson (DVD) qui obtient 29,01% des voix. À Villers-Cotterêts (Aisne), Franck Briffaut s'est également imposé. La localité de Cogolin (Var) a également élu un maire Front national, avec 53,1% des voix.
Julien Sanchez, élu maire de Beaucaire (Gard)
Philippot et Aliot battus à Forbach et Perpignan
Autres villes décrochées par le parti de Marine Le Pen: Le Pontet (Vaucluse), Hayange (Moselle) et Le Luc(Var) où la liste Front national menée par Philippe de la Grance a remporté l'élection avec 42% des voix.
«Nous passons clairement à une nouvelle étape», a déclaré Marine Le Pen sur France 2, qui table sur l'élection de 1200 conseillers municipaux FN. «Il faut désormais compter avec une troisième force politique dans notre pays», a dit Marine Le Pen, qui demande à François Hollande d'«enterrer» le pacte de responsabilité, clé de voûte de sa politique de redressement.
À l'inverse, le Front national a subi deux échecs à Forbach où Florian Philippot a dû s'incliner face au maire socialiste sortant, alors qu'il était arrivé en tête au premier tour, et à Perpignan où Louis Aliot a été nettement battu.
Le 31 mars 2014, retirez les enfants des écoles publiques
Cette date vous est communiquée pour la première fois dix jours à l’avance. Vous allez donc tous être éprouvés. Le Ministère de l’Éducation Nationale va exercer sur vous de fortes pressions pour vous empêcher d’y participer. Sachez que ces menaces ne sont que des pressions psychologiques sans fondement légal, et sans réalité. Vous avez le droit légalement de garder vos enfants à la maison une journée par mois. Les parents sont seuls juges ! L’éducation de nos enfants nous appartient. Courage et gardez à l’esprit que votre action doit sauver vos enfants d’une idéologie mortifère. Je vous conseille de déposer la lettre aux chefs d’établissements le plus rapidement possible pour vous protéger de ces pressions. Voici le lien qui conduit à cette lettre. Lisez-la, signez-la et faites-la signer puis envoyez-la à chaque école de votre quartier.
Une ligne téléphonique JRE, sera mise en place prochainement sur le site : il s’agit d’une Ligne Verte JRE, ligne d’écoute pour les parents JRE. Les trolls vont venir polluer cette annonce. Ne leur répondez pas. Ils sont payés pour passer leurs journées et leurs nuits à nous démolir. Vous ne devez pas les nourrir en leur répondant. L’essentiel est notre combat pour sauver les enfants. Suivez notre actualité sur facebook ! Tous les jours jusqu’au 31 mars nous vous apporterons des informations décisives pour vous organiser. Demain samedi, nous serons à Cologne en Allemagne pour participer à une manifestation organisée par l’association « Les parents inquiets » qui se mobilise pour sauver leurs enfants du programme de sexualisation précoce à l’école. L’Italie, La Pologne, l’Angleterre nous rejoindront bientôt dans le combat… Supportons les pressions de l’Etat. Souffrons pour nos enfants avant que nos enfants souffrent à cause de nous.
Le garde des Sceaux, zombie politique d'un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci.
Après des mois d’orgie laxiste, passés à faire en sorte que le maximum de taulards puissent de nouveau humer le bon air du dehors, le festival Christiane Taubira se termine littéralement en feu d’artifice. Le garde des Sceaux, zombie politique d’un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci. Du moins, c’est à espérer, car on n’imagine pas qu’elle conserve son poste au lendemain du désastre électoral qui s’annonce !
Alors tant qu’à faire, le ministre pousse le bouchon le plus loin possible, quitte à écœurer encore un peu plus le monde judiciaire : au nom du gouvernement Ayrault, à l’aide d’une « procédure accélérée » (amendement adopté au Sénat le 24 février dernier), elle projette en effet de supprimer la garde à vue de 96 heures pour escroquerie en bande organisée !
Dans les colonnes du Figaro, le commissaire Mégret (oui, je sais, ça fait bizarre), numéro deux du Syndicat indépendant des commissaires de police, est révulsé : « Les grands truands reconvertis dans ces arnaques juteuses, où nous ramassons régulièrement des cadavres, auront droit au même traitement que le simple conducteur arrêté en état d’ivresse, soumis au mieux à 24 heures de garde à vue renouvelables une fois. C’est ahurissant! Il ne se passe pas un mois désormais sans que l’on ne tente de désarmer les acteurs de l’investigation. » Selon lui, « les affaires d’escroquerie en bande organisée sont complexes. Les 96 heures sont indispensables, par exemple, pour obtenir des réquisitions bancaires, car si nous les faisions avant la garde à vue, le système est à ce point poreux que les clients suspectés seraient alertés. » La décision de madame Taubira est donc pour le moins surprenante, surtout avec cette étrange volonté d’aller très vite, comme si ce texte devait être adopté en priorité.
On a en tout cas le sentiment qu’il faut faire vite avant la raclée. Car Christiane Taubira, devenue pour une majorité de Français un véritable repoussoir, n’a plus la cote même chez ses partisans. OK, il y aura toujours un dernier carré de bobos prêts à mourir pour elle mais, on l’a vu ce jeudi, ils sont de moins en moins nombreux… L’espèce d’icône était attendue à Grenoble pour assister au meeting du candidat écolo Éric Piolle en tête à l’issue du 1er tour. La gauche locale – nous apprend Le Point – n’a visiblement pas souhaité la venue de l’encombrante agitatrice de papiers. Christiane se serait donc pris un gros râteau à l’ancienne. « Taubira voulait se victimiser : elle sait qu’elle va être virée, elle voulait donc pouvoir dire que son soutien à Piolle était la raison de son limogeage », a déclaré Michel Destot, le maire PS sortant. Pour expliquer son étrange absence au dernier moment, la diva a eu une réponse pour le moins tirée par les cheveux : « J’ai raté mon train ! »
Pas grave, tout le monde veut qu’elle reste définitivement… à quai !
Témoignage de Dalila Hassan, mère de trois enfants et responsable des Journées de retrait de l’école (JRE) de Joué-lès-Tours, sur le cas d’un enfant de trois ans qui aurait été traumatisé par une expérience de sexualisation à l’école maternelle
Jeudi, à l’appel du CRIF, plusieurs rassemblements ont eu lieu à Paris et dans diverses villes de Province, en mémoire des victimes de la tuerie perpétrée par Mohamed Merah, il y a deux ans mais aussi en contrepoint à la manifestation du 26 janvier dernier « Jour de colère ».
Le premier ministre Jean Marc Ayrault accompagné du président du Parlement européen Martin Schultz se sont rendus à Toulouse, Manuel Valls était lui au Trocadéro. « Les actes antisémites sont en progression depuis quelques années » et ils sont le fait « d’une partie de l’extrême droite française » a-t-il déclaré.
Vendredi, la presse nous rapporte q’un enseignant de 59 ans a déposé plainte pour agression antisémite. Il affirme avoir été traité de « sale juif, sale fils de pute », et frappé par trois hommes qui lui ont dessiné une croix gammée sur la poitrine. Il a aussi entendu « mort aux juifs » ainsi que des expressions en langue arabe qu’il n’a pas comprises. Des faits qui semblent donner raison aux manifestants, « aux expressions en langue arabe » près, peu usitées par l’extrême-droite française…
Il en ressort bien que les actes à caractère antisémite représentent une goutte d’eau – moins de 3% – des crimes et délits dont sont victimes les juifs.
Mais voyons ce qu’il en est exactement. D’après le Service de protection de la population juive (SPCJ), organisme crée en 1990 par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et qui publie chaque année un rapport sur l’antisémitisme en France, le nombre d’actes antisémites en 2013 s’est élevé à 423 contre 614 en 2012 et 389 en 2011. Ce chiffre de 423 comprend 105 actions dont un homicide (ou tentative d’homicide) et 318 menaces (1). Comparons ces chiffres au total des crimes et délits commis en France(2).
Pour la seule France métropolitaine, le nombre de crimes et délits s’est élevé à 403 433 (chiffre à comparer à 129 en 2011 et 105 en 2013 recensés par le SPCJ) dont 2 117 homicides et tentatives d’homicides (à comparer à 0 en 2011 et 1 en 2013 recensés par le SPCJ). Les menaces ou chantages se sont élevés à 84 942 (contre 260 en 2011 et 318 en 2013 recensés par le SPCJ). Rapportons ces données au nombre de juifs en France (3). En 2012, selon les éléments fournis par le CRIF, il y avait 530 000 à 550 000 juifs en France. Bref, les actes d’antisémitisme représentent 0,03% du total des crimes et délits tandis que la population juive représente 0.9% de la population française. Bien évidemment, les membres de la communauté juive sont aussi victimes d’agression hors caractère antisémite, probablement ni plus ni moins que les autres français, ce qui donne environ 3 600 crimes et délits.
Il en ressort bien que les actes à caractère antisémite représentent une goutte d’eau – moins de 3% – des crimes et délits dont sont victimes les juifs. Sur le plan quantitatif donc, la disproportion entre les chiffres et les discours est manifeste, C’est donc l’aspect qualitatif et seulement celui-là qui est mis en avant par les pouvoirs publics.
Nul ne saurait nier qu’agresser un être humain pour le seul motif qu’il est né ceci ou cela est doublement odieux, mais pourquoi plus un juif qu’un arabe ou un chrétien, et pourquoi plus l’appartenance ethnique que l’apparence physique ? Combien de citoyens ordinaires sont agressés du seul fait qu’ils ont une tête qui ne revient pas à leur agresseur, qu’ils sont vieux ou handicapés et donc des proies faciles, qu’ils s’habillent comme des bourgeois ou pour les jeunes filles en tenue légère, pour un simple regard ou encore une cigarette refusée ?
Alors, fléau national ou instrumentalisation d’un mythe, c’est à vous de juger.
L'élégant musée Neue Galerie de New York consacre une fascinante et terrifiante exposition à l'une des plus célèbres et infâmes expositions d'art du XXe siècle, celle organisée en 1937 par le régime nazi à Munich pour diaboliser l'art dit «dégénéré». En juillet 1937, deux expos ouvrent coup sur coup à Munich.
L'une, intitulée "La grande exposition de l'art allemand", présente des pièces approuvées par le régime nazi. L'autre, intitulée "Art dégénéré", propose des oeuvres considérées comme impures. Environ 600 oeuvres d'art moderne, dont des pièces d'Otto Dix, Marc Chagall, Wassily Kandinsky, Max Ernst et Paul Klee, y sont entassées les unes contre les autres, à la façon d'un freak show.
«Les deux expos se déroulaient à proximité et pouvaient se visiter dans la même journée», indique Rebecca Lewis de la Neue Galerie. Si le musée new-yorkais s'intéresse principalement à la genèse du show Entartete Kunst (Art dégénéré), il dédie toutefois une salle aux contrastes entre les deux expositions munichoises de 1937. D'un côté de la salle, on retrouve quelques pièces «officielles» plébiscitées par Hitler, notamment le triptyque Les quatre éléments d'Adolf Ziegler montrant quatre nymphes, blondes, nues, idéalement proportionnées. De l'autre, on peut voir des pièces d'art moderne comme le triptyque Le départ de Max Beckmann, montrant des scènes torturées, peintes à la manière expressionniste… Lire la suite.
28/03/2014 – CAMBRIDGE (NOVOpress) – Trouvez l’intrus à Cambridge : les étudiants ou la mosquée ? Si c’était une question pour jeu de société un dimanche de pluie, on vous dirait sûrement qu’elle est idiote. Trop facile.
Les monuments les plus anciens de la ville sont des églises : la tour saxonne de St Benet’s, juste après l’an mille, et l’église ronde, construite au retour de la Première Croisade, sur le modèle du Saint Sépulcre à Jérusalem. L’université, arrivée un siècle plus tard, est, tout comme son aînée et rivale d’Oxford, fille de l’Église médiévale.
Les collèges ont préservé jusqu’à nos jours le modèle du cloître monastique, avec le réfectoire et la chapelle. Celle de King’s College (photo ci-contre depuis la cour), chef-d’œuvre du gothique perpendiculaire, est le monument emblématique de Cambridge, photographié (photo en Une) chaque année, depuis les Backs, par des millions de touristes, tandis que les mélomanes, croyants ou non, font une heure de queue pour entendre la chorale chanter l’Evensong. Alors, une mosquée géante…
L’incongruité n’est pas moindre du point de vue laïque, dans l’université de Newton, de Byron et de Darwin, de Keynes et des Apostles – qui n’avaient pas rejeté le joug, intolérable à leurs yeux, de la doctrine et de la morale chrétiennes traditionnelles pour les remplacer par l’Islam. Le biologiste athée Richard Dawkins avait fait scandale, l’été dernier, en rappelant sur Twitter que « tous les musulmans du monde ont moins de prix Nobel qu’un seul collège de Cambridge, Trinity » – dix contre trente-deux. Il avait expliqué ensuite qu’il avait écrit « par exaspération d’entendre des vantardises sur (a) le grand nombre de musulmans dans le monde et (b) le haut niveau de leur science».
Cambridge, pourtant, va avoir sa mosquée-cathédrale, approuvée par la municipalité en 2012, pour un coût prévisionnel de 17,5 millions de livres (20,5 millions d’euros).
Les tentatives pour s’opposer au projet, notamment de la part de l’English Defence League, ont échoué. Aucun compte n’a été tenu des témoignages des riverains de la mosquée existante, qui ont décrit la situation comme « intolérable », particulièrement lors de la prière du vendredi et durant le ramadan, et ont raconté comment ils étaient régulièrement insultés et menacés quand ils tentaient de se plaindre du tapage ou du stationnement sauvage. Selon un scénario classique, les nuisances de l’actuelle mosquée, « trop petite », ont au contraire servi d’argument pour justifier la construction de la mosquée géante.
Maintenant qu’ils ont définitivement obtenu leur permis de construire, c’est au tour des musulmans de faire opposition, contre un projet de résidence étudiante non loin de la future mosquée. L’association islamique « considère qu’une concentration de logements étudiants sur le site adjacent n’apporterait pas le plus d’agrément, et ne serait pas l’option la plus profitable pour les habitants ou pour les usagers de la mosquée ». Elle réclame que l’on construise à la place des « logements pour des familles et de jeunes couples », se disant convaincue « que le voisinage du bâtiment prestigieux de la nouvelle mosquée attirera de nouveaux acquéreurs ».
Traduisons en clair : l’association islamique veut faire de sa mosquée géante le centre d’un quartier islamique. Pas d’infidèles à côté de la mosquée, leur voisinage la souillerait. Des logements « familiaux », que les musulmans pourront acheter ou racheter à vil prix, car qui d’autre osera s’y installer et qui supportera d’y rester ?
Pour l’association islamique, une résidence étudiante à côté de la mosquée serait « une incongruité spatiale et stylistique ». Ce sont bien, désormais, à Cambridge, dans une des universités les plus anciennes et les plus prestigieuses d’Europe, les étudiants – non-musulmans – qui n’ont plus leur place. Nous en sommes là.
« Laissez-leur prendre un pied chez vous, Ils en auront bientôt pris quatre. »
Flavien Blanchon pour Novopress
Crédit photo en Une : Christian Richardt. Crédit photo dans le texte : Dmitry Tonkonog. Toutes deux via Wikipédia, (cc).
Combien d’électeurs auront dimanche le bon goût, la sagesse, l’intelligence, le courage aussi, de résister aux pressions, diverses et variées du microcosme et des potentats locaux, pour élire un maire FN? Sans se livrer au jeu des pronostics, bien hasardeux puisque lesdites victoires dépendent largement d’une inconnue , la mobilisation des abstentionnistes parmi lesquels le FN peut aussi trouver des réserves de voix non négligeables, l’opposition nationale a d’ores et déjà réussi son pari. Ces élections municipales resteront comme une étape déterminante de la fin de la bipolarisation inique de la vie politique française, comme une brèche ouverte dans le mur que le Système a érigé pour contenir l’alternative portée par le FN. L’arrivée au pouvoir des idées nationales est désormais évoquée comme une possibilité sérieuse par beaucoup de commentateurs, et mieux encore, comme un scénario envisageable par un nombre croissant de nos compatriotes.
Un des enjeux des municipales pour le FN était de faire élire un grand nombre d’élus municipaux pour asseoir son enracinement local, se constituer un vivier de futurs cadres et prouver (à terme) ses capacités de gestion dans les communes qu’il emporterait. Il s’agissait aussi de se servir de ce scrutin comme d’une caisse de résonnance, un tremplin, afin de créer une dynamique favorable pour les élections européennes.
Placé au centre de la vie politique française du fait des excellents résultats engrangés le 23 mars, qui devraient être confirmés voire amplifiées dimanche prochain, nous pouvons affirmer sans trop nous avancer, que ces objectifs ont été atteints (ou sont en passe de l’être) par le FN. Pour peu que nous ne relâchions pas nos efforts et notre vigilance car nous devons nous attendre notamment à une intense propagande, à des coups bas, des partis euromondialistes pour empêcher le Mouvement national de virer en tête au soir du 25 mai.
Lors de la réunion d’entre deux tours tenue mercredi soir à Hyères, Bruno Gollnisch a appelé les abstentionnistes à prendre le chemin des urnes, à ne pas faire de cadeaux aux partis des copains et des coquins. Il a aussi jugé, et ce constat vaut bien sûr dans les autres municipalités où les manœuvres sont identiques, que les fusions de listes exécutées pour enrayer la progression et/ou la victoire du Front, «reposent sur une tromperie des électeurs ».
La tête de liste Hyères Bleu Marineet candidat aux élections européennes dans le Sud-Est a tenu également à préciser que dans cette ville comme ailleurs, les candidats de l’UMP, du PS et leurs partis alliés condamnent leurs électeurs à «une erreur tragique en laissant entendre que les problèmes peuvent se régler dans le seul cadre municipal. C’est faux !».
François Fillon en a fait l’aveu implicite dans un entretien accordé au Figaro et publié hier. Reprenant les éléments de langage de la boutique UMPS, l’ex Premier ministre a réaffirmé mensongèrement que la gestion des précédentes mairies FN avait été un « désastre ». Mais il a été plus loin : « Moi j’ai toujours combattu le Front National, et je combattrai toujours le FN. Je me suis toujours battu pour qu’il n’y ait pas d’alliances entre mon parti et le FN, et je constate qu’aux municipales c’est ce qu’il s’est produit. Mais il ne faut pas raconter n’importe quoi, il ne faut pas brandir en permanence l’épouvantail de la République en danger ». « Si demain il y avait à la présidentielle ou aux législatives un danger de voir le FN prendre le pouvoir, bien sûr alors que la question du front républicain se poserait, mais elle ne se pose pas quand il y a 3 ou 4 communes qui sont en cause. »
Comprendre par là que si les élections municipales sont une étape importantedansnotre longue marche, pour les raisons évoquées plus haut, les européennes un rendez-vous crucial pour ébranler de l’intérieur la dictature des soviets européistes, ce sont bien évidemment à l’Elysée et à l’assemblée nationale que sont les vrais leviers qui permettront de stopper la course vers l’abîme.
Oui, nous pouvons rompre avec la politique euromondialiste, projet mortifère qui sert de mauvaise boussole à la quasi totalité des adversaires du FN ; oui le déclin n’est pas une fatalité, nous pouvons redonner un avenir d’espoir, rétablir la prospérité et la souveraineté de nos compatriotes.
N’ayons pas peur de l’affirmer haut et fort, nous avons d’autres ambitions pour notre pays au potentiel et aux atouts formidables que la France déclinante , sous tutelle, vidée de sa substance, étriquée, rabougrie, frileuse, moisie ,que cherchent à nous fourguer comme un avenir indépassableles spécialistes payés par les banques qui squattent les plateaux médiatiques, les médias sous contrôle des patrons du Siècle, les Sarkozy, Ayrault, Copé, Désir, Borloo, Juppé, Aubry, Valls, Fillon, Hollande…
L’insurrection démocratique, la Révolution patriotique que nous appelons de nos vœux elle se poursuit dimanche prochain, elle développera son élan le 25 mai, elle devra aboutir en 2017 ! Aux urnes !
Washington préparait depuis 20 ans la venue de forces pro-occidentales au pouvoir en Ukraine, a déclaré vendredi l'ancien agent du renseignement américain Scott Rickard dans une interview accordée à la chaîne de télévision RT.
"Depuis 20 ans, Washington œuvrait à élargir, voire à pousser l'Otan du côté de l'Ukraine (…). Le renseignement américain travaillait en Ukraine, mais la Crimée, peuplée essentiellement de Russes, représentait un théâtre des opérations plus difficile pour les Américains qui s'y faisaient remarquer tout de suite", a indiqué M.Rickard.
Et d'expliquer qu'en règle générale, les Américains coopèrent avec de petits groupes éditant des journaux locaux à de faibles tirages pour conditionner les gens.
"C'est ainsi qu'ils arrivaient à rassembler pour des actions de protestation plus d'un demi-million de personnes à Kiev (…), mais ils n'ont réussi que deux fois à mobiliser quelque 500.000 manifestants, alors que la population de l'Ukraine approche 50 millions d'habitants", a fait remarquer M.Rickard.
Et de conclure que ce résultat n'était pas fameux, compte tenu du fait que 20 ans avaient été mis à la préparation de ces actions de protestation et près de 5 milliards de dollars avaient été dépensés rien que par l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID).
Un changement de pouvoir s'est opéré le 22 février en Ukraine. La Rada suprême a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions, nommé le président du parlement Alexandre Tourtchinov chef de l'Etat par intérim et réformé la Constitution. M.Ianoukovitch a qualifié ces événements de "coup d'Etat". Moscou conteste également la légitimité des décisions de la Rada.
La Crimée, république autonome à majorité russophone située dans l'est de l'Ukraine, n'a pas reconnu les nouvelles autorités de Kiev. Elle a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et la réunification avec la Russie au terme d'un référendum du 16 mars où 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie le 18 mars dernier.
L'OTAN et les Etats-Unis devraient envoyer des armes à l'armée ukrainienne au plus vite. Il faut empêcher une invasion russe dans l'est du pays, ont réclamé vendredi deux influents élus américains, dont l'interventionniste John McCain.
"Nous appelons le président Obama, en coopération avec nos alliés de l'OTAN, à répondre immédiatement à la demande d'assistance militaire lancée par le gouvernement ukrainien", ont écrit John McCain et son collègue Lindsey Graham dans un communiqué.
L'aide devrait inclure "des armes légères, des munitions, des armes défensives comme des systèmes antichars et anti-aériens", ainsi que des équipements de protection et une coopération en matière de renseignement, selon eux.
"Historique de mensonges"
"Les événements en Crimée et la menace croissante posée par la Russie en Europe orientale doivent servir de coup de semonce pour l'OTAN", ont plaidé les deux parlementaires républicains. "Etant donné l'historique de mensonges et d'agressions du président Poutine, il est prudent de s'attendre au pire".
Le Pentagone a envoyé des rations alimentaires en Ukraine, où elles devraient arriver d'ici ce week-end, selon le porte-parole du département de la Défense John Kirby. Mais l'envoi d'armes n'est pas à l'ordre du jour, a-t-il prévenu.
Lituanie inquiète
Parallèlement, la Lituanie, où la crise ukrainienne suscite des inquiétudes, va porter son budget de défense de 0,8 à 2% de son produit intérieur brut (PIB). L'Etat balte suit ainsi les recommandations de l'OTAN, a annoncé vendredi le gouvernement.
L'initiative reste toutefois symbolique, dans la mesure où la Lituanie ne représente que 0,4% du budget de défense cumulé des Etats membres de l'OTAN. Sa sécurité repose en revanche quasi totalement sur l'organisation.
Elections municipales. Nos confrères de l’hebdomadaire l’Express révèlent que la puissante loge maçonnique appelle à voter contre le parti de Marine le Pen. Explications.
Un communiqué sans ambiguïté
L’hebdomadaire révèle qu’un communiqué a été envoyé par le Grand-Orient de France –première obédience maçonnique- le mercredi 26 mars dernier, à plus de 1200 loges maçonniques. Bien que dans ce communiqué, le terme « Front National » n’est jamais directement employé, on devine que le Grand-Orient y fait référence.
On parle ainsi d’un «parti de l’amertume et de la désillusion (…) de l’abstention ou de la protestation» tout en insistant sur l'importance de «répandre les vérités que nous avons acquises à l’intérieur du temple» avec un vote «citoyen et républicain responsable».
Le Grand Maître du Grand-Orient de France confirme
Contacté par l’Express, Daniel Keller, le Grand Maître du Grand Orient de France, a expliqué que le communiqué cherchait à convaincre «les abstentionnistes que la République n’existe que par l’engagement citoyen de chacun» et que «nos valeurs ne peuvent se confondre avec celles du FN». Si le communiqué était implicite, les propos de M. Keller, eux, le sont moins.
VALEURS ACTUELLES
NdB: Ce n'est pas un scoop! Mais le déchaînement de haine des "Frères" contre la France est confirmé.
28/03/2014- VENISE (NOVOPress via le Bulletin de réinformation) Organisé entre le 16 et le 21 mars derniers sur Internet par un comité baptisé Plebiscito.eu, un référendum sur la sécession de la Vénétie du reste de l’Italie a obtenu 89 % de votes favorables, soit environ 2.100.000 « oui » contre 250.000 « non ». En Italie, 500.000 signatures, sont nécessaires pour un référendum d’initiative populaire. Cette barre légale a donc été largement franchie.
Mais ce référendum, non reconnu par l’Etat italien, n’aura aucune conséquence juridique ou politique. Pour rentrer dans les faits, l’indépendance de la Vénétie devrait encore recueillir l’approbation du conseil régional, celle du Parlement national et enfin celle du gouvernement. La Vénétie, mais aussi la Catalogne, ou encore l’Ecosse, sont travaillées par de puissantes forces séparatistes. La crise économique de la zone euro, conséquence d’une monnaie unique mortifère, semble avoir durablement réveillé les vieilles identités régionales.
Dans une vidéo postée vendredi en fin d’après-midi, Dieudonne s’en prend violemment à Christiane Taubira qu’il traite (entre autre) de « traîtresse », de « guenon », de « honte des noirs de ce pays » et de « négresse de maison » avant de lui parler « en singe ». Selon l’humoriste, « elle aurait chopé un cancer », « incontestablement ce qu’elle aura fait de mieux depuis qu’elle est ministre ». Son dernier livre dans lequel elle consacre un chapitre à Dieudonné ? Une « nullité sans nom » avec un « style ampoulé de négresse de maison complexée qui connaît trois mots compliqués et qui va les mettre à la fin de chaque phrase ».
Au second tour, Dieudonné appelle à s’abstenir, « excepté peut-être où le vote peut contribuer à la destruction définitive du Parti socialiste et de l’UMP ». Un soutien aux candidats frontistes pour ce second tour des municipales.
En Allemagne, le baron von und zu Guttenberg, ministre de la Défense d’Angela Merkel, avait dû démissionner à la suite d’un scandale lié à un prétendu doctorat.
Ce n’est pour le moment qu’une « rumeur ». Mais vous avez remarqué, ces derniers temps, comme les « rumeurs » portent la poisse au gouvernement. Et Christiane Taubira, puisque c’est elle dont il s’agit, aurait intérêt à tordre rapidement le cou à celle-ci… avant que, de « rumeur », elle ne se mue en grosse farce nationale.
Christiane Taubira est-elle, oui ou non, titulaire d’un doctorat d’économie et d’un doctorat d’ethnologie, comme on le lit de façon récurrente dans les journaux, et surtout comme l’a affirmé David Pujadas dans une petite notice biographique en préambule de l’émission « Des paroles et des actes », devant l’intéressée et sans que celle-ci ne sourcille ?
Philippe Bilger, que l’on ne présente plus sur Boulevard Voltaire, évoque le sujet dans son dernier livre Contre la justice laxiste aux Éditions l’Archipel, écrivant au sujet du doctorat d’économie (obtenu, selon un CV du ministre, à Paris II Assas), avec la précision et la sage prudence qu’on lui connaît : « Les recherches à ce sujet sur le site des thèses et au bureau des doctorats n’en confirment pas l’existence. » Allons, bon ! Sur les réseaux sociaux et dans la presse, le doute enfle, les langues vont bon train.
Il se dit même qu’à la faculté de droit de Guadeloupe, en 2004, Christiane Taubira n’aurait pu être maître de conférences, comme elle le briguait, faute d’avoir pu finalement produire les diplômes ad hoc… Vrai ou faux ? On attend le « choc de clarification ». Si tout cela est infondé et relève de la médisance, il faut que Christiane Taubira frappe du poing sur la table.
Et qu’elle ne prétende pas, cette fois, avoir été « imprécise » (Pujadas a dit « doctorat » ? Elle aurait mis sa main au feu que c’était « troisième cycle » !), qu’elle s’est « trompée de date » (on ne va pas, non plus, l’enquiquiner avec des histoires de calendrier ? Il s’agit évidemment d’un doctorat qu’on ne peut pas retrouver, vous êtes drôle, puisqu’il n’a pas encore été passé : elle s’y attellera dès qu’elle ne sera plus ministre, autant dire très bientôt, ça l’occupera. A confondu 2018 et 1978, peut-être pas très grave, si ?), ou qu’elle ne brandisse pas sur un plateau de télévision en lieu et place dudit document son BEPC brillamment réussi en 1966, un bougre de journaliste plus vicieux que les autres serait capable de zoomer.
Et qu’est-ce que cela peut bien changer ? Bardée ou non de diplômes, elle reste le même ministre et, du reste, avec ou sans doctorat, Philippe Bilger – en dépit de leurs profonds désaccords – a toujours rendu hommage à sa grande intelligence. Cela ne change certes pas la dame, mais le regard que portent sur elle les Français. Qui commencent à atteindre leurs limites de tolérance en matière de boniment gouvernemental : la première fois (Cahuzac), ça allait encore, la deuxième fois (les écoutes), ils ont eu une poussée d’urticaire, une troisième fois, ce serait le choc anaphylactique. Qui vole un œuf vole un bœuf, qui ment sur un doctorat ment sur une affaire d’État.
En 2011, en Allemagne, le baron von und zu Guttenberg, ministre de la Défense d’Angela Merkel, avait dû démissionner à la suite d’un scandale lié à un prétendu doctorat. On l’avait surnommé le « baron von und zu Googleberg », ou « baron du copier-coller ». Sa thèse s’était révélée être un vaste plagiat, et son doctorat un diplôme de complaisance. Une humiliation qui sera peut-être évitée à Christiane Taubira. Si elle met un point final à la rumeur en produisant les diplômes litigieux… ou si, remaniement oblige, elle part la tête haute. Il y en a peut-être au moins une qui se réjouit secrètement des résultats des dernières municipales.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des collèges possibles…
Le 27 mars 2014
Les résultats définitifs du Brevet des collèges 2013 viennent d’être publiés par la DEPP (Direction des études, de la prospective et des performances – défense de rire, ça existe vraiment). Un cru aussi bon que l’an dernier puisque 84,7 % des collégiens ont décroché le diplôme qui atteste de leur maîtrise du « socle commun ». Il y a bien entendu encore des progrès à faire, notamment pour ce qui est des inégalités en fonction de la classe sociale, mais même les plus défavorisés sont 75,3 % à réussir. À la lecture de ces chiffres, on peut se demander la raison des lamentations de certains (devrais-je faire mon mea culpa ?) sur la baisse de niveau des écoliers français. Seuls 15 % ne maîtrisent pas le « socle commun de compétences et de connaissances » en fin de scolarité obligatoire. Il devrait être facile de s’occuper de cette fraction en difficulté puisque les autres maîtrisent les fondamentaux. Quand on maîtrise la culture commune, on doit pouvoir se débrouiller dans la suite de ses études avec un peu de travail.
Le problème est que si l’on regarde d’un peu plus près les chiffres, ils sont près de 40 % à ne pas avoir eu la moyenne à l’épreuve finale en français et plus de 50 % en mathématiques. La moitié des collégiens n’ont pas la moyenne dans ces deux matières fondamentales. Malgré tout, 70 % de ceux-là décrochent le Brevet. Sans doute l’épreuve finale est-elle trop difficile (l’essentiel des coefficients de l’examen provient du contrôle continu)… À moins que l’Éducation nationale ne considère qu’il n’est pas indispensable à la culture commune de maîtriser la langue de notre pays et les bases des mathématiques.
Il se peut bien qu’elle ait raison puisque les taux de réussite aux baccalauréats, trois ans plus tard, sont quasiment identiques à ceux du Brevet des collèges. À se demander s’il ne vaudrait pas mieux envoyer les collégiens directement à l’université. Ils y échoueraient plus tôt, ce qui leur permettrait de se réorienter plus vite. Au passage, quelle économie, de supprimer le lycée ! Tant qu’à être absurde, autant que ce soit rentable.
Dans une vidéo postée il y a quelques jours sur des sites musulmans (et visible ci-dessous), on voit un Syrien crucifié sur la place publique par les rebelles (syriens ou non), devant une foule d’enfants et d’adultes ébahis. Plusieurs spectateurs admirent la scène, sourire aux lèvres… Leurs soutiens Fabius et Hollande en feraient peut-être autant s’ils étaient là.
Par ailleurs, une autre vidéo a été postée récemment (visible ci-dessous) où l’on voit les islamistes abattre des soldats syriens prisonniers (faisant preuve d’une grande dignité), capturés lors de la prise de l’hôpital Al Kindi à Alep. Et encore, ils ont de la chance d’être mis à mort de cette manière plutôt que d’autres appréciées des islamistes… La prise de l’hôpital – fin décembre – avait été rendue possible, après des semaines de siège, suite à un attentat-suicide commis avec un camion bourré d’explosifs, qui avait détruit les postes de garde de l’hôpital et endommagé celui-ci (attentat filmé par les islamistes, video ci-dessous).
Les films de ce genre se multiplient, et ils ont l’avantage de rappeler ce dont sont capables les musulmans radicaux, et ce qui arrivera peut-être en France dans quelques années.